Utilisateur:Steiner jean pierre/Brouillon

Jean-Pierre Steiner né à Bordeaux le 27 mars 1950 est un commissaire de police qui a fait toute sa carrière dans la police judiciaire, spécialisé en matière économique et financière. Après des études droit, il effectue son service militaire comme sous officier dans l'Intendance à la IVème division de la région militaire de Verdun. A sa sortie, formé par l'armée à la comptabilité publique, il entreprend des étides de comptabilité et devient étudiant salarié en qualité d'officier de police adjoint (OPA) au sein de la direction centrale de la police judiciaire, affecté à la 8ème division, en charge des affaires économiques. (1976)

Séduit par la fontion d'enquêteur financier,il n'embrassera pas la carrière d'expert comptable à laquelle il se destinait, ne démissionnera pas de l'administration comme il l'avait envisagé et s'investira sans compter dans les investigations complexes souvent à forte connotation politique, dans des affaires qui pour la plupart deviendront des scandales d'État. Reconnu pour son expérience professionnelle acérée .à une époque où la police judiciaire (année 1970-1980) ne comptait pas pléthore de spécialistes en la matière et s'appuyait sur les fonctionnaires des impôts qui lui étaient détachés, ilfera presque office de précurseur et participera pendant plus de 20 ans à la formation des nouvelles recrues jusqu'à produire un module de "comptabilité d'investigation"..

Durant toute sa carrière, il n'épargnera pas sa hiérarchie lui reprochant de laisser traiter la police financière en parent pauvre de la police nationale. Iln'aura de cesse de réclamer des moyens et de revendiquer la place de l'investagation financière dans les enquêtes de grande crilminalité. Tout en reconnaissant qu'il avait raison sur le fond, un direcrteur général, devenu Préfet de Police de Pris, (Pierre Verbrugghe) lui dira un jour qu'iln'avait pas la façon de dire .. ce à quoi il lui répondra "je fais mon métier.. et vous ma carrière". Malgré son caractère trempé, il a toujours été nommé parmikles premiers à l'avancement, de toutes les directions confondues , dans les grades succesifs d'inspecteur, inspecteur principal, inspecteur divisionnaire, chef inspecteur divisionnaire, commissaie, commissaie principal... dernier grade après lequel il met fin à son métier ,par un départ anticipé en 2005.

De la police judiciaire, Jean Pierre Steiner ne connaît que sa spécialité ,à l'exception d'un court passage à la Préfecture de Police de Paris (La PP 1992-1995) où il occupe le poste de responsable des services généraux (DRH) d'une direction de 4 000 fonctionnaires, après avoir été évincé des enquêtes par le nouveau directeur des affaires économiques et financières. A l'époque, il lui était reproché ses alliances trop marquées avec les journalistes rencontrés lorsqu'il occupait les fonctions syndicale se secrétaire national à l'action sociale. A ce titre il défendra l'intégration de la sujétion spéciale de police dans le salaire de base des fonctionnires, combat qu'il poursuivra auprès de Bernard Deleplace, alors secrétaire général de la FASPT, fédération classée à gauche..Il refuse à Piere Joxe le poste de conseiller technique qui lui est préférant resté en activité. Cen'est qu'après le retour de Charles Pasqua comme minsite de l'Intérieur qu'il sera réintégré numéro deux de la Division Nationale des Investigations Financières (DNIF) devenue l'Office Central de lutte conre la corruption. Investi dans la lutte contre la grande criminalité, il participe à l'élaboration de sommets internationnaux au sein d'INTERPOL et effectuera, pour le compe de l'OCDE plusieurs missions d'expert dont en Russie.

Nommé chef de service à Bordeaix en 2000, il,prend faits et causes pour la défense du juge Eric Halphen, menacé de radiation après une disponibilité et continue d'appeler au renforcement des moyens, dénonce la disparité de traitement entre les affaires financières et les affaires de droit commun. Aux termes de trois années de fonction, il refuse le poste de chef de service qu'on lui propose à Marseille et anticipe son départ à la retratie.Retiré dans les Landes, il crée en 2006 un cabinet de conseils en soutien aux entreprises en difficultés et poursuit son combat contre la grande criminalité financière, au sein notamment d'ANTICOR dont il devient adminsitrateur.  ; .

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