Utilisateur:TChrono/Brouillon
{{subst:AfC submission/draftnew}}
De nombreuses études ont été réalisées afin de déterminer s’il existe un lien entre le cycle circadien et les troubles psychiatriques.
L’anxiété est l’un des troubles psychiatriques les plus communs, environ 17% de la population vivra des épisodes au courant de sa vie. De fait, l'insomnie, des cauchemars et la réduction du sommeil paradoxal sont des facteurs pouvant être associés à des dérèglements du cycle circadien chez l’individu atteint d’anxiété[1].
La schizophrénie est un trouble psychiatrique complexe touchant environ 1% de la population. Cette pathologie est décrite comme multifactorielle puisque c’est une combinaison entre les variations génétiques ainsi que les influences environnementales in utero et au cours de la vie de l’individu qui la déclencherait[2][3][4]. De plus, une corrélation entre schizophrénie et trouble circadien existe est corroborée par certaines observations cliniques. En effet, les personnes atteintes de schizophrénie souffrent fréquemment de troubles du sommeil[5], notamment une diminution significative du temps total de sommeil, de l’efficacité du sommeil, d’une augmentation du temps nécessaire à l’endormissement et du temps d’éveil durant la nuit. Enfin, la présence de troubles du sommeil est positivement corrélée à la sévérité, la persistance et la fréquence d’apparition de certains symptômes de la schizophrénie tels que la psychose[6].
Anxiété et perturbation du cycle circadien
modifierLien entre l’anxiété et le sommeil
modifierDes études, notamment sur la souris, ont tenté de trouver un lien entre l’anxiété et la perturbation des rythmes circadiens dû à l’exposition à une lumière constante (LL). Ce lien fut exploré en analysant les concentrations de corticostérone chez des souris, à la suite de conditions expérimentales de trois semaines en lumière constante (LL) comparé à un groupe de souris vivant en condition LD[7]. Dans cette étude les auteurs se basent sur la corticostérone car cette hormone a un rôle adaptatif dans les ajustements métaboliques et comportementaux lors d'un stress aigu (Bardgett et al., 1994). Ainsi, Fonken et al. (2009)[7] ont prédit que le taux de corticostérone augmenterait en réponse à un environnement LL constant. Mais les résultats de cette étude révèlent un taux de corticostérone plus bas pour le groupe de souris LL comparé au groupe de souris LD. Par conséquent, Fonken et al. (2009)[7] n’ont pas pu établir de lien entre de l’anxiété induite par le dérèglement des rythmes circadiens. Dans une autre mesure, Jones et King (2001)[8] arrivent aux mêmes conclusions que Fonken et al. (2009)[7] en utilisant plusieurs tests mesurant l’anxiété (EPM, open field arena, holeboard, UEEPM) chez des rats ou le niveau d’éclairage fut modifié (conditions LL et LD). Bien que Jones et King (2001)[8] tiennent compte de la sensibilité de ces tests à une variété de variations méthodologiques pouvant altérer les résultats, des changements majeurs de l'éclairage et de la phase circadienne n’ont eu aucun effet sur l’anxiété potentielle de ces rats. Malgré les conclusions de ces deux articles, ces méthodes ont été employées pour des recherches plus concluantes.
Bases génétiques
modifierPlusieurs liens entre des gènes de l’horloge biologique des souris et humains auraient été découverts. Sipilä et al. (2010)[9] démontrent qu’il y aurait quatre gènes appartenant à la voie de signalisation reliant le rythme circadien et les comportement d’anxiété qui prédisposerait à l’anxiété chez les humains, ARNTL2, BCL2, DRD2 et PAWR. PAWR est un facteur de transcription qui interagit avec DRD2 afin de réguler la dopamine. La surexpression de BCL2 serait reliée à la diminution des comportements anxiogène[10]. La mutation de BCL2 amènerait au contraire à l’augmentation des comportements anxieux[11]. DRD2 serait induit à partir de la détection de lumière par la rétine[12]. Deux SNPs de ce gène serait commun à différents types d’anxiété, les troubles d’anxiété et les phobies sociales. ARNTL2 serait un élément essentiel des horloges biologiques des mammifères[9]. Il serait relié à l’anxiété par la voie de signalisation reliant le rythme circadien et l’anxiété par son lien avec BCL2. Ensuite, l’étude de Roybal et al. (2007)[13] démontre que des souris mutantes pour le gène CLOCK (gène du cycle circadien) exprimerait moins de comportement anxieux dans des test réalisés. Le gène CLOCK aurait donc une influence sur l’anxiété. Enfin, l’étude de Keers et al. (2012)[14] démontre que la mutation Afterhours du gène FBXL3 (qui contrôle l’oscillation de l’horloge par la dégradation de la protéine CRY[15]) diminuerait les comportements anxieux des souris. Les mutants Afh/Afh seraient ainsi moins anxieux que les génotypes Afh/+ et sauvage (+/+).
Le lien entre certains gènes du noyau suprachiasmatique (NSC), noyau déterminant le rythme circadien des mammifères[16], et l'anxiété ont également été étudiées. En effet, l’ajout de PK2 (output circadien du NSC) amène à une augmentation de comportement anxieux, tandis que la diminution de PK2 amène à une diminution de ces comportements[16]. De plus, certains médicaments anxiolytiques (diazepam, triazolam et tandospirone) diminueraient la concentration d’ARNm de PER1[17]. Enfin, un SNP de PER3 serait également associé à l’anxiété[18].
Schizophrénie et perturbation du cycle circadien
modifierLien entre troubles du cycle circadien et schizophrénie
modifierIl semblerait que la relation entre troubles du cycle circadien et schizophrénie est bilatérale, dans laquelle les patients schizophrènes exhibent des perturbations du rythme circadien[19], et réciproquement, celles-ci aggravent la pathologie chez des personnes susceptibles[20].
En effet, l’étude de Wulff et al. (2012)[19] du cycle de sommeil/éveil, cycle d’environ 24h régulé en partie par l’horloge circadienne du noyau suprachiasmatique[21] (NSC) et des variations circadiennes des niveaux de mélatonine (une hormone pituitaire dont la sécrétion est rythmée par le NSC[22]) chez des personnes au chômage saines ou schizophrènes suggère un retard de phase et/ou une absence de rythmicité dans le cycle de sommeil/éveil et des niveaux de mélatonine chez 50% des patients schizophrènes étudiés comparativement aux contrôles sains. De plus, une étude[20] sur des souris possédant une mutation perte de fonction dans le gène Dtnbp1, un facteur de risque pour la schizophrénie, démontre que des conditions d’éclairage constantes, connues pour causer une désynchronisation des neurones du NSC[23], aggravent les comportements liés à la schizophrénie chez ces souris, et ce de manière persistante après un retour à un cycle lumière/obscurité normal.
Altération du profil d’expression des gènes de l’horloge chez les personnes schizophrènes
modifierLa rythmicité et le profil d’expression de plusieurs gènes de l’horloge circadienne semblent différents chez les personnes schizophrènes. En effet, certaines études[24][25][26] effectuées post-mortem[24] ou sur des patients schizophrènes chroniques[25] et/ou récemment diagnostiqués[25][26] suggèrent une altération du profil d’expression des gènes du bras positif de l’horloge circadienne NPAS2 et CLOCK et des gènes du bras négatif CRY1, PER1, PER2 et PER3 de l’horloge circadienne comparativement à des contrôles sains. Notamment, ces études suggèrent une perte de rythmicité significative dans l’expression des gènes CRY1[25], NPAS2[26] et PER1[26]. De plus, une perte de rythmicité significative de PER2 est observée par l’étude de Johansson et al (2016)[25] alors qu’un délai de phase de 4h dans la rythmicité de l’expression de PER2 est observé par l’étude de Sun et al. (2016)[26] chez des patients schizophrènes. Enfin, une diminution significative de l’expression des gènes de l’horloge circadienne de CLOCK[25], CRY1[25], PER2[25], PER3[26], NPAS2[26] et PER1[24] est observée chez les patients schizophrènes.
De plus, quelques études d’association pangénomiques[27][28][29] suggèrent que l’allèle C du polymorphisme nucléotidique (SNP) T3111C du gène CLOCK est retrouvé plus fréquemment chez les personnes schizophrènes par rapport aux sujets sains[27][28]. Enfin, les polymorphismes des gènes de l’horloge circadienne rs2290036-C de BMAL1 (ARNTL), est plus fréquemment retrouvé chez les patients psychotiques et les polymorphismes rs934945-G et rs10462023-G de PER2 sont associés à une sévérité accrue des épisodes psychotiques[29].
Traitement efficace contre les troubles de sommeils, la schizophrénie et l'anxiété
modifierLa sécrétion de mélatonine, hormone régulatrice du sommeil, présente des irrégularités chez les patients schizophrènes. Normalement, ses concentrations plasmiques suivent la variation circadienne contrôlée par le NSC[30], mais chez les patients atteints de schizophrénie les concentrations nocturnes sont anormalement basses. Conséquemment, on observe une dysrythmie de leur cycle circadien[31]. Ces perturbations sont souvent traitées par des drogues sédatives telles que les benzodiazépines, cependant leur administration ne règle pas le problème sur le long terme[32]. En fait, la prise de tels sédatifs empire le désordre circadien en baissant la sécrétion de mélatonine nocturne[31].
La prise de mélatonine exogène serait plus appropriée pour mieux soigner les perturbations associées à l’insomnie. De fait, elle aurait des propriétés anti-neuroinflammatoires ainsi qu’une activité neuroprotectrice qui aident non seulement à avoir un sommeil réparateur, mais aussi à améliorer l’humeur chez les patients atteints de schizophrénie[31]. Il a été démontré que l’ajout de ramelteon aux traitements antipsychotiques réduit considérablement les perturbations associées au cycle circadien et au sommeil comparativement à la mélatonine. Cet agoniste synthétique aurait une meilleure affinité pour les récepteurs MT1 et MT2 du NSC que la mélatonine elle-même[31] en plus d’avoir des effets positifs sur les patients présentant des symptômes de trouble cognitif[33].
Alternativement, des traitements non-pharmacologiques sont offerts tels que la thérapie comportementale cognitive (CBT-I)[34], des recommandations sur l’hygiène du sommeil, la relaxation musculaire, la méditation et la relaxation musicale[35]. Ces traitements complémentaires aideraient également à baisser la gravité de symptômes négatifs associés à la pathologie tels que l’alexithymie et les troubles cognitifs[35].
Les traitements pour l’anxiété et le sommeil se chevauchent également. En effet, les traitement cognitif comportemental tel que l’hygiène du sommeil et la relaxation sont efficaces dans les deux cas[36][37]. Les médications d’agoniste des récepteurs de benzodiazépine seraient un traitement efficace contre les troubles psychiatriques et en particulier le trouble d’anxiété généralisé[38][39]. La prégabaline, tiagabine aurait également un effet sur les récepteur benzodiazépine ou les neurotransmission γ-aminobuty acid (GABA)-ergique. Cependant il ne sont pas approuvés par la FDA[40][41]. Ensuite, les antidépresseur tel que les inhibteur sélectif de la recapture de la serotonie(ISRS) et Les inhibiteurs de la recaptur de la sérotonine-noradrénaline (IRSN)[38].
Références
modifier- « {{{1}}} »
- (en) Simona A. Stilo et Robin M. Murray, « Non-Genetic Factors in Schizophrenia », Current Psychiatry Reports, vol. 21, no 10, , p. 100 (ISSN 1535-1645, PMID 31522306, PMCID PMC6745031, DOI 10.1007/s11920-019-1091-3, lire en ligne)
- J. van Os, B. P. Rutten et R. Poulton, « Gene-Environment Interactions in Schizophrenia: Review of Epidemiological Findings and Future Directions », Schizophrenia Bulletin, vol. 34, no 6, , p. 1066–1082 (ISSN 0586-7614, PMID 18791076, PMCID PMC2632485, DOI 10.1093/schbul/sbn117, lire en ligne)
- (en) Yavuz Ayhan, Ross McFarland et Mikhail V. Pletnikov, « Animal models of gene–environment interaction in schizophrenia: A dimensional perspective », Progress in Neurobiology, vol. 136, , p. 1–27 (ISSN 0301-0082, PMID 26510407, PMCID PMC4707068, DOI 10.1016/j.pneurobio.2015.10.002, lire en ligne)
- (en) Man-Sum Chan, Ka-Fai Chung, Kam-Ping Yung et Wing-Fai Yeung, « Sleep in schizophrenia: A systematic review and meta-analysis of polysomnographic findings in case-control studies », Sleep Medicine Reviews, vol. 32, , p. 69–84 (ISSN 1087-0792, DOI 10.1016/j.smrv.2016.03.001, lire en ligne)
- (en) Felicity Waite, Bryony Sheaves et Louise Isham, « Sleep and schizophrenia: From epiphenomenon to treatable causal target », Schizophrenia Research, vol. 221, , p. 44–56 (ISSN 0920-9964, PMID 31831262, PMCID PMC7327507, DOI 10.1016/j.schres.2019.11.014, lire en ligne)
- (en) Laura K. Fonken, M. Sima Finy, James C. Walton, Zachary M. Weil, Joanna L. Workman, Jessica Ross et Randy J. Nelson, « Influence of light at night on murine anxiety- and depressive-like responses », Behavioural Brain Research, vol. 205, no 2, , p. 349–354 (ISSN 0166-4328, DOI 10.1016/j.bbr.2009.07.001, lire en ligne)
- (en) Nicholas Jones et Sheila M King, « Influence of circadian phase and test illumination on pre-clinical models of anxiety », Physiology & Behavior, vol. 72, no 1, , p. 99–106 (ISSN 0031-9384, DOI 10.1016/S0031-9384(00)00388-7, lire en ligne)
- Tessa Sipilä, Laura Kananen, Dario Greco, Jonas Donner, Kaisa Silander, Joseph D. Terwilliger, Petri Auvinen, Leena Peltonen, Jouko Lönnqvist, Sami Pirkola et Timo Partonen, « An Association Analysis of Circadian Genes in Anxiety Disorders », Biological Psychiatry, vol. 67, no 12, , p. 1163–1170 (ISSN 0006-3223, DOI 10.1016/j.biopsych.2009.12.011, lire en ligne)
- (en) L Rondi-Reig, Y Lemaigre-Dubreuil, C Montécot, D Müller, J. C Martinou, J Caston et J Mariani, « Transgenic mice with neuronal overexpression of bcl-2 gene present navigation disabilites in a water task », Neuroscience, vol. 104, no 1, , p. 207–215 (ISSN 0306-4522, DOI 10.1016/S0306-4522(01)00050-1, lire en ligne)
- (en) Haim Einat, Peixiong Yuan et Husseini K. Manji, « Increased anxiety-like behaviors and mitochondrial dysfunction in mice with targeted mutation of the Bcl-2 gene: Further support for the involvement of mitochondrial function in anxiety disorders », Behavioural Brain Research, vol. 165, no 2, , p. 172–180 (ISSN 0166-4328, DOI 10.1016/j.bbr.2005.06.012, lire en ligne)
- (en) Irene Yujnovsky, Jun Hirayama, Masao Doi, Emiliana Borrelli et Paolo Sassone-Corsi, « Signaling mediated by the dopamine D2 receptor potentiates circadian regulation by CLOCK:BMAL1 », Proceedings of the National Academy of Sciences, vol. 103, no 16, , p. 6386–6391 (ISSN 0027-8424, PMID 16606840, PMCID PMC1458887, DOI 10.1073/pnas.0510691103, lire en ligne)
- (en) K. Roybal, D. Theobold, A. Graham, J. A. DiNieri, S. J. Russo, V. Krishnan, S. Chakravarty, J. Peevey, N. Oehrlein, S. Birnbaum et M. H. Vitaterna, « Mania-like behavior induced by disruption of CLOCK », Proceedings of the National Academy of Sciences, vol. 104, no 15, , p. 6406–6411 (ISSN 0027-8424, PMID 17379666, PMCID PMC1851061, DOI 10.1073/pnas.0609625104, lire en ligne)
- (en) Robert Keers, Inti Pedroso, Gerome Breen, Kathy J. Aitchison, Patrick M. Nolan, Sven Cichon, Markus M. Nöthen, Marcella Rietschel, Leonard C. Schalkwyk et Cathy Fernandes, « Reduced Anxiety and Depression-Like Behaviours in the Circadian Period Mutant Mouse Afterhours », PLOS ONE, vol. 7, no 6, , e38263 (ISSN 1932-6203, PMID 22719873, PMCID PMC3376117, DOI 10.1371/journal.pone.0038263, lire en ligne)
- (en) Luca Busino, Florian Bassermann, Alessio Maiolica, Choogon Lee, Patrick M. Nolan, Sofia I. H. Godinho, Giulio F. Draetta et Michele Pagano, « SCFFbxl3 Controls the Oscillation of the Circadian Clock by Directing the Degradation of Cryptochrome Proteins », Science, vol. 316, no 5826, , p. 900–904 (ISSN 0036-8075, PMID 17463251, DOI 10.1126/science.1141194, lire en ligne)
- (en) Jia-Da Li, Wang-Ping Hu et Qun-Yong Zhou, « Disruption of the Circadian Output Molecule Prokineticin 2 Results in Anxiolytic and Antidepressant-like Effects in Mice », Neuropsychopharmacology, vol. 34, no 2, , p. 367–373 (ISSN 1740-634X, PMID 18432189, PMCID PMC2667318, DOI 10.1038/npp.2008.61, lire en ligne)
- (en) Masashi Akiyama, Tomoko Kirihara, Satomi Takahashi, Yoichi Minami, Yuko Yoshinobu, Takahiro Moriya et Shigenobu Shibata, « Modulation of mPer1 gene expression by anxiolytic drugs in mouse cerebellum », British Journal of Pharmacology, vol. 128, no 7, , p. 1616–1622 (ISSN 1476-5381, PMID 10602344, PMCID PMC1571793, DOI 10.1038/sj.bjp.0702957, lire en ligne)
- (en) Amanda R. Liberman, Soo Bin Kwon, Ha T. Vu, Allan Filipowicz, Ahmet Ay et Krista K. Ingram, « Circadian Clock Model Supports Molecular Link Between PER3 and Human Anxiety », Scientific Reports, vol. 7, no 1, , p. 9893 (ISSN 2045-2322, PMID 28860482, PMCID PMC5579000, DOI 10.1038/s41598-017-07957-4, lire en ligne)
- (en) Katharina Wulff, Derk-Jan Dijk, Benita Middleton, Russell G. Foster et Eileen M. Joyce, « Sleep and circadian rhythm disruption in schizophrenia », British Journal of Psychiatry, vol. 200, no 4, , p. 308–316 (ISSN 0007-1250, PMID 22194182, PMCID PMC3317037, DOI 10.1192/bjp.bp.111.096321, lire en ligne)
- (en) Sanjeev K. Bhardwaj, Katarina Stojkovic, Silke Kiessling, Lalit K. Srivastava et Nicolas Cermakian, « Constant light uncovers behavioral effects of a mutation in the schizophrenia risk gene Dtnbp1 in mice », Behavioural Brain Research, vol. 284, , p. 58–68 (ISSN 0166-4328, DOI 10.1016/j.bbr.2015.01.048, lire en ligne)
- Aaron Laposky, Amy Easton, Christine Dugovic, Jacqueline Walisser, Christopher Bradfield et Fred Turek, « Deletion of the Mammalian Circadian Clock Gene BMAL1/Mop3 Alters Baseline Sleep Architecture and the Response to Sleep Deprivation », Sleep, vol. 28, no 4, , p. 395–410 (ISSN 1550-9109, DOI 10.1093/sleep/28.4.395, lire en ligne)
- (en) Stéphanie Perreau‐Lenz, Andries Kalsbeek, Marie-Laure Garidou, Joke Wortel, Jan Van Der Vliet, Caroline Van Heijningen, Valérie Simonneaux, Paul Pévet et Ruud M. Buijs, « Suprachiasmatic control of melatonin synthesis in rats: inhibitory and stimulatory mechanisms », European Journal of Neuroscience, vol. 17, no 2, , p. 221–228 (ISSN 1460-9568, DOI 10.1046/j.1460-9568.2003.02442.x, lire en ligne)
- (en) Hidenobu Ohta, Shin Yamazaki et Douglas G. McMahon, « Constant light desynchronizes mammalian clock neurons », Nature Neuroscience, vol. 8, no 3, , p. 267–269 (ISSN 1546-1726, DOI 10.1038/nn1395, lire en ligne)
- (en) Christopher Aston, Lixin Jiang et Boris P. Sokolov, « Microarray analysis of postmortem temporal cortex from patients with schizophrenia », Journal of Neuroscience Research, vol. 77, no 6, , p. 858–866 (ISSN 1097-4547, DOI 10.1002/jnr.20208, lire en ligne)
- (en) Anne-Sofie Johansson, Björn Owe-Larsson, Jerker Hetta et Gabriella B. Lundkvist, « Altered circadian clock gene expression in patients with schizophrenia », Schizophrenia Research, vol. 174, nos 1-3, , p. 17–23 (DOI 10.1016/j.schres.2016.04.029, lire en ligne)
- (en) Hong-Qiang Sun, Su-Xia Li, Fang-Bin Chen, Yan Zhang, Peng Li, Mei Jin, Yan Sun, Fan Wang, Wei-Feng Mi, Le Shi et Jing-li Yue, « Diurnal neurobiological alterations after exposure to clozapine in first-episode schizophrenia patients », Psychoneuroendocrinology, vol. 64, , p. 108–116 (DOI 10.1016/j.psyneuen.2015.11.013, lire en ligne)
- Jia J. Liu, Dzana Sudic Hukic, Yvonne Forsell, Martin Schalling, Urban Ösby et Catharina Lavebratt, « Depression-associated ARNTL and PER2 genetic variants in psychotic disorders », Chronobiology International, vol. 32, no 4, , p. 579–584 (ISSN 0742-0528, PMID 25799324, DOI 10.3109/07420528.2015.1012588, lire en ligne)
- (en) T. Takao, H. Tachikawa, Y. Kawanishi, K. Mizukami et T. Asada, « CLOCK gene T3111C polymorphism is associated with Japanese schizophrenics: A preliminary study », European Neuropsychopharmacology, vol. 17, no 4, , p. 273–276 (ISSN 0924-977X, DOI 10.1016/j.euroneuro.2006.09.002, lire en ligne)
- (en) Jing Zhang, Ga Liao, Chang Liu, Lei Sun, Yanyou Liu, Yuhui Wang, Zhou Jiang et Zhengrong Wang, « The association of CLOCK gene T3111C polymorphism and hPER3 gene 54-nucleotide repeat polymorphism with Chinese Han people schizophrenics », Molecular Biology Reports, vol. 38, no 1, , p. 349–354 (ISSN 1573-4978, DOI 10.1007/s11033-010-0114-2, lire en ligne)
- B. Claustrat, « Mélatonine : aspects biochimiques, physiologiques et pharmacologiques en relation avec les phénomènes rythmiques et le sommeil », Médecine du Sommeil, vol. 17, no 3, , p. 177–194 (ISSN 1769-4493, DOI 10.1016/j.msom.2019.12.187, lire en ligne)
- (en) Archana Mishra, Rituparna Maiti, Biswa Ranjan Mishra, Monalisa Jena, Santanu Nath et Pallabi Sahu, « Effect of add-on ramelteon therapy on sleep and circadian rhythm disruption in patients with schizophrenia: A randomized controlled trial », European Neuropsychopharmacology, vol. 31, , p. 109–118 (ISSN 0924-977X, DOI 10.1016/j.euroneuro.2019.11.008, lire en ligne)
- Markus Dold, Chunbo Li, Magdolna Tardy, Vesal Khorsand, Donna Gillies et Stefan Leucht, « Benzodiazepines for schizophrenia », Cochrane Database of Systematic Reviews, (ISSN 1465-1858, PMID 23152236, PMCID PMC7052813, DOI 10.1002/14651858.cd006391.pub2, lire en ligne)
- (en) Yukihiko Shirayama, Michio Takahashi, Masatoshi Suzuki, Yoshiaki Tsuruoka et Koichi Sato, « Effects of Add-on Ramelteon on Cognitive Impairment in Patients with Schizophrenia: An Open-label Pilot Trial », Clinical Psychopharmacology and Neuroscience, vol. 12, no 3, , p. 215–217 (ISSN 1738-1088, PMID 25598825, PMCID PMC4293167, DOI 10.9758/cpn.2014.12.3.215, lire en ligne)
- (en) Vivian W. Chiu, Melissa Ree, Aleksandar Janca, Rajan Iyyalol, Milan Dragovic et Flavie Waters, « Sleep profiles and CBT-I response in schizophrenia and related psychoses », Psychiatry Research, vol. 268, , p. 279–287 (ISSN 0165-1781, DOI 10.1016/j.psychres.2018.07.027, lire en ligne)
- B. Bloch, A. Reshef, L. Vadas, Y. Haliba, N. Ziv, I. Kremer et I. Haimov, « The Effects of Music Relaxation on Sleep Quality and Emotional Measures in People Living with Schizophrenia », Journal of Music Therapy, vol. 47, no 1, , p. 27–52 (ISSN 0022-2917, DOI 10.1093/jmt/47.1.27, lire en ligne)
- (en) « Cognitive-behavioral therapy for anxiety disorders: an update on the empirical evidence », Dialogues in Clinical Neuroscience, vol. 17, no 3, , p. 337–346 (PMID 26487814, PMCID PMC4610618, DOI 10.31887/DCNS.2015.17.3/akaczkurkin, lire en ligne)
- « Nonpharmacological interventions for insomnia: a meta-analysis of treatment efficacy », American Journal of Psychiatry, vol. 151, no 8, , p. 1172–1180 (ISSN 0002-953X, DOI 10.1176/ajp.151.8.1172, lire en ligne)
- (en) Thomas A. Mellman, « Sleep and Anxiety Disorders », Psychiatric Clinics of North America, vol. 29, no 4, , p. 1047–1058 (ISSN 0193-953X, DOI 10.1016/j.psc.2006.08.005, lire en ligne)
- (en-US) RÉJEAN FONTAINE, PAUL BEAUDRY, PATRICK LE MORVAN, LINDA BEAUCLAIR et GUY CHOUINARD, « Zopiclone and Triazolam in Insomnia Associated with Generalized Anxiety Disorder », International Clinical Psychopharmacology, vol. 5, no 3, , p. 173–184 (ISSN 0268-1315, DOI 10.1097/00004850-199007000-00002, lire en ligne)
- (en) Murray Rosenthal, « Tiagabine for the Treatment of Generalized Anxiety Disorder: A Randomized, Open-Label, Clinical Trial With Paroxetine as a Positive Control », The Journal of Clinical Psychiatry, vol. 64, no 10, , p. 1245–1249 (ISSN 0160-6689, DOI 10.4088/jcp.v64n1016, lire en ligne)
- (en) Karl Rickels, Mark H. Pollack, Douglas E. Feltner, R. Bruce Lydiard, Daniel L. Zimbroff, Robert J. Bielski, Kathy Tobias, Jerri D. Brock, Gwen L. Zornberg et Atul C. Pande, « Pregabalin for Treatment of Generalized Anxiety Disorder », Archives of General Psychiatry, vol. 62, no 9, , p. 1022 (ISSN 0003-990X, DOI 10.1001/archpsyc.62.9.1022, lire en ligne)
- → N'hésitez pas à publier sur le brouillon un texte inachevé et à le modifier autant que vous le souhaitez.
- → Pour enregistrer vos modifications au brouillon, il est nécessaire de cliquer sur le bouton bleu : « Publier les modifications ». Il n'y a pas d'enregistrement automatique.
Si votre but est de publier un nouvel article, votre brouillon doit respecter les points suivants :
- Respectez le droit d'auteur en créant un texte spécialement pour Wikipédia en français (pas de copier-coller venu d'ailleurs).
- Indiquez les éléments démontrant la notoriété du sujet (aide).
- Liez chaque fait présenté à une source de qualité (quelles sources – comment les insérer).
- Utilisez un ton neutre, qui ne soit ni orienté ni publicitaire (aide).
- Veillez également à structurer votre article, de manière à ce qu'il soit conforme aux autres pages de l'encyclopédie (structurer – mettre en page).
- → Si ces points sont respectés, pour transformer votre brouillon en article, utilisez le bouton « publier le brouillon » en haut à droite. Votre brouillon sera alors transféré dans l'espace encyclopédique.