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Théâtre de la Manufacture

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Le Théâtre de la Manufacture a vu le jour en 1975 dans le grand bouillonnement artistique théâtrale s'étalant de 1965 à 1980. Cette compagnie théâtrale montréalaise sera rapidement associée au Théâtre La Licorne, le lieu physique qui l’abrite.

Fondation/ Contexte historique

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En 1965, pendant que le Québec continuait d'absorber les nombreuses réformes de la Révolution Tranquille, la génération baby boom d'après-guerre, alors dans la jeune vingtaine, s'apprêtait à bousculer l'ordre des choses et, son nombre aidant, à remettre en cause les valeurs traditionnelles repoussées comme «canadiennes-françaises». Une autre conscience collective, aiguillonnée par le changement des moeurs et des mentalités, allait ainsi innerver une société qui était, par ailleurs, en pleine phase de rattrapage culturel et qui s'ouvrait avec passion aux exigences liées à la modernisation de son fonctionnement.[1]

Ainsi, l'effervescence des jeunes compagnies théâtrales bouscule l'ordre établi. Les théâtres institutionnels de l’époque préconisent une forme plus traditionnelle de faire du théâtre. Ceux-ci valorisent les textes classiques d’auteurs français montés sous la tutelle d'un metteur en scène. De cet attachement au passé, découle le fait que ces théâtres établis ouvrent très rarement leurs portes aux plus jeunes compagnies émergeantes qui, elles, tenteront de faire du théâtre à tous prix. Deux pôles de changement artistiques s'imposent: la redéfinition de la dramaturgie nationale et de la théâtralité et ce, par le biais de la création collective. [1]


«Entre 1965 et 1980, la situation de l'Institution théâtrale est devenue explosive.»[1] L'urgence se fait alors sentir au sein des nouvelles compagnies de théâtre de démocratiser la possibilité de faire du théâtre.

Il faut se souvenir de l’année 1968 et du rejet en bloc des étudiants de l’École Nationale de jouer L’étourdi de Molière. Devant la décision catégorique de la direction, la cohorte rassemblant entre autres Jean-Denis Leduc, Pierre Curzi, Gilbert Sicotte, Paule Baillargeon, Claude Laroche, Madeleine Arsenault, Yvon Barette et Michel Lanctôt, démissionne. L’École Nationale est dans l’obligation de revoir sa stratégie directionnelle l’année suivante. On se souviendra de cette cuvée d’étudiant.e.s contestataires comme moteur de changement important dans l’histoire du théâtre québécois. De cette affirmation massive des étudiant.e.s, naîtra le Grand Cirque Ordinaire qui accomplira son désir de création collective entre autres avec son spectacle T’es pas tannée Jeanne D’arc (1969). L'essence qui animent toutes les nouvelles branches théâtrales à ce moment est sensiblement la même: faire du théâtre qui rassemble et qui s'adresse directement de la société contemporaine par le biais de la création collective.

Lors de la fondation du Théâtre de la Manufacture, le Théâtre d'Aujourd'hui venait, entre autre, d’être fondé en 1972 par Jean-Claude Germain. Un autre exemple serait celui du Nouveau Théâtre expérimental avec Robert Gravel, Pol Pelletier et Jean-Pierre Ronfard en 1974. [2]

Jean-Denis Leduc, principal membre fondateur du Théâtre de La Manufacture, se remémore l’effervescence du début des années 70 dans la brochure du théâtre La Licorne soulignant les quarante ans de la compagnie:

Le milieu du théâtre ne fait pas exception. On sent que ça bouge. On veut faire tomber les tabous, les hiérarchies, les règles et les contraintes. On veut innover. Tout est possible. Les plus jeunes veulent prendre leur place. Les créations québécoises se multiplient. On s’ouvre à ce qui se fait ailleurs dans le monde, on veut présenter un théâtre plus actuel. Beaucoup de jeunes compagnies naissent. On cherche des lieux à nous pour y présenter nos créations.   C’est dans cette mouvance qu’est née La Manufacture et cinq ans plus tard, La Licorne.


Fondateurs

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La fluctuation des membres du Théâtre de la Manufacture n’a pas cessé au courant de son évolution. Parmi eux, Jean-Denis Leduc, est le seul à avoir traversé le temps. Il faut toutefois souligner l’apport des nombreux autres membres à travers l’histoire de la compagnie.

Histoire des membres

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Dès la première année de sa fondation, le Théâtre de la Manufacture voit dejà de grands changements survenir au sein de son organisation. Au départ, huit personnes y figurent comme membres. Rapidement, à force de constater qui s’implique vraiment dans les prises de décisions, l’entonnoir de resserre et il ne reste que quatre membres actifs. Christiane Raymond, Louise Gamache, Claude Maher et Jean-Denis-Leduc forment ce collectif. Chacun quitte à tour de rôle, laissant, après les cinq premières années, Jean-Denis Leduc seul avec une compagnie qui bat de l’aile.  


À ce moment précis, tout aurait pu s’arrêter, si ce n’avait été d’un coup de téléphone décisif. Naîtra alors la première Licorne, le lieu physique abritant la compagnie théâtrale, sous la forme d’un café-théâtre. Cette formule, très populaire à l'époque, permettra au théâtre de La Manufacture de s’établir et de s’auto-produire.

« Cette entrée dans le domaine du café-théâtre s’est fait, selon Jean-Denis Leduc, le plus simplement et le plus rapidement du monde, après un appel téléphonique du propriétaire où logera le café-théâtre, François Hédéger.»[3]


Jean-Denis Leduc décide alors d’appeler Claude Pelletier et Réal Tremblay qui au tout départ faisaient partis du collectif afin d’insuffler un vent de fraîcheur au projet.  

« Après une année de relâche, le Théâtre de la Manufacture reprend son activité. Un théâtre quelque peu décimé puisque seulement trois membres du groupe originel ont survécu à cette retraite fermée et ont décidé de poursuivre le travail commencé en 1976. […]»[3]

Cette première version du Théâtre La Licorne a vu se succéder différents intervenants. Daniel Simard a intégré la troupe rapidement pour partager la direction artistique avec Jean-Denis Leduc. Puis Réal Tremblay et Claude Pelletier ont quitté alors que Daniel Valcourt a fait son entrée.


Direction artistique tricéphale

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Le trio que l’on mentionne le plus souvent pour parler des fondateurs du Théâtre La Licorne se compose de  Daniel Simard, Daniel Valcourt et Jean-Denis Leduc. Les trois hommes assuraient conjointement la direction artistique. La période de direction artistique dites tricéphale a tenu la route jusqu’au décès de Daniel Valcourt, le 14 octobre 1987. (Il est à noter que la scène du Théâtre la Licorne porte désormais le nom de Daniel Valcourt.)[4]

Durant cette période, le Théâtre La Licorne propose en moyenne deux spectacles de son cru, c’est-à-dire des créations du Théâtre de La Manufacture, et six autres par de jeunes troupes invitées pour lesquelles elle demande 30% en tant que partenaire de codiffusion. La formule café-théâtre favorise grandement l’aspect sortie avec un bon souper avant le spectacle ou encore festif d’après- spectacle. La Licorne, à cette époque, est un lieu de rencontre et d’échange. [5]

Direction artistique bicéphale

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Après le déménagement sur la rue Papineau, Jean-Denis Leduc prend une année sabbatique pour se remettre de l’épuisement encourue. À son retour, Daniel Simard et lui-même conviennent d’une formule de direction artistique dite bicéphale soit en alternance sur trois ans.[2] Jean-Denis Leduc débute les trois premières années à la suite desquelles Daniel Simard affirme vouloir passer son tour. C’est ainsi que, pour la première fois, Jean-Denis Leduc se retrouve seul aux reines de la direction artistique de la compagnie théâtrale. Il s’attèle alors à définir le mandat artistique du théâtre plus spécifiquement.

Vers une direction unique

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Lors de son premier trois ans, Jean-Denis Leduc entreprend de structurer le mode de fonctionnement afin de sortir d’une méthode dite «au jour le jour» et plutôt instinctive. Il confirme :«Le plaisir dans la rigueur... Et ne pas faire du théâtre pour faire du théâtre, faire du théâtre avec un but, une pensée, un objectif. Faire du théâtre parce qu'on a choisi de parler à des gens.»[2]


De 1997 à 2009, Jean-Denis Leduc sera le directeur artistique et générale du Théâtre de la Manufacture. Durant cette période, la ligne directrice de son théâtre se définira pour devenir le sceau d'une certaine esthétique reconnue pour être «La Licorne». Les éléments que nous lui rattachons sont : une dramaturgie essentiellement contemporaine, fortement québécoise avec des incursions dans l'univers d'auteurs d'Europe anglophone et privilégiant un théâtre de l'intime

Un Théâtre qui tourne

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En 1995, La Petite Licorne, deuxième petite salle du théâtre, s'ouvre, faisant ainsi place à plus de possibilités d’explorations pour les jeunes compagnies. Un tournant se fait sentir alors que l’équipe se renouvelle.  


Aux dires de Jean-Denis Leduc, les saisons théâtrales de 1997-1998 et 1998-1999 correspondent à un certain établissement de la notoriété de La Licorne telle que nous la connaissons aujourd’hui. De ces belles cuvées théâtrales, le spectacle Trick or Treat  (1999), qui est la première collaboration du théâtre avec Jean-Marc Dalpé, marque le début de la notion de famille toujours présente au sein de créateurs et collaborateurs en plus de marqué le cap d’une nouvelle aire de tournée.  


L’importance de la tournée rentre en ligne de compte pour faire dialoguer un plus vaste public avec des œuvres contemporaines. Lorsque le Théâtre de La Manufacture fait voyager ses spectacles sur l’ensemble de la province, elle adapte sa scénographie aux réalités des salles qui l’accueillent. Cependant, la compagnie désire conserver la proximité avec le public qui favorise le théâtre de l'intimité qu'elle préconise. C'est pourquoi, la salle hôte se voit parfois déguisée afin de se rapprocher le plus possible de la boîte noire qu'est La Licorne. [2]

Le Théâtre fait peau neuve

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Après 35 ans de direction artistique et générale, Jean-Denis Leduc se retire pour une année sabbatique en 2009. Denis Bernard reprend la direction générale et artistique de la compagnie avec la supervision des travaux de rénovation de la nouvelle Licorne et occupe le poste jusqu’en 2018.


Depuis janvier 2019, Philippe Lambert, travaillant à titre d’adjoint au directeur artistique et générale depuis 2007, assure maintenant la direction de La Manufacture tout comme de La Licorne.[4]

Emplacements / Lieux géographiques

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Période d’itinérance (1975-1980)

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Au tout début, La Manufacture flatte l’espoir de s’installer au sous-sol de la maison Beaujeu sur la rue Notre-Dame qui abrite déjà le Théâtre expérimental au premier étage.[6] La cohabitation ne fonctionnera pas et c’est seulement en 1981 qu’une autre possibilité survient.

Après six ans d’itinérance durant lesquels la compagnie se produit au Centre d’essai de l’Université de Montréal, au Cinéma Parallèle, au Quat’sous ou encore à la salle Fred-Barry[7] ( qui refusera de diffuser le Macbeth  de Garneau sous prétexte qu’il ne s’agit pas d’une création. Spectacle qui fût finalement présenté au Cinéma Parallèle et remporta un vif succès.) , la compagnie théâtrale obtient l’opportunité de s’installer dans un lieu physique.[2]

Rue Saint-Laurent (1981- 1989)

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Le premier emplacement du Théâtre de la Manufacture se situait au 2075 rue Saint-Laurent, juste en bas de la rue Sherbrooke. Cet emplacement abrite aujourd’hui l’espace CoWorking LAB tout juste à côté du siège social des 7 doigts de la main, compagnie circassienne montréalaise. La mode de l’époque était au café-théâtre et la première Licorne n'a pas fait exception. Réal Tremblay, Claude Pelletier et Jean-Denis Leduc mettent la main à la pâte durant tout un été afin de rénover le lieu en espace théâtral.  

«Le soir de la première du Moman , on était 120 personnes dans une salle de 84 places. On a fini de peinturer le matin. Il y avait du monde partout, même assis par terre autour de la scène.»[2] Même après ce fameux soir de première présentant Moman  de Louisette Dussault en reprise, les soirs de représentations dépassaient la capacités de la salle, frôlant les 100 personnes immanquablement. Le prix d’une entrée était de 6 dollars et de 5 dollars pour les étudiants. Il s’agissait d’un lieu de rencontre festif et créatif qui accueillait également des spectacles de musique.[3]

Rue Papineau (1989- …)

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La décision de déménager survient en 1989 pour des raisons pratiques. Pour répondre à l'achalandage et pour des besoins de création, il faut trouver un lieu plus grand. De plus, une colonne traversait la scène et la salle obstruant la vue d’un certain nombre de spectateur. Cet obstacle avait été jusqu’alors intégré aux mises en scène, mais le temps aura prouvé que la formule d’un café-théâtre devenait limitative. Convaincre de la pertinence du déménagement a été un tour de force. Ils ont invité Lise Bacon, ministre des Affaires Culturelles, à assister à deux de leur spectacle aux suites desquels elle a convenu du manque d’espace flagrant du lieu. Le financement du provincial est venu ainsi. « Et un peu plus tard, le fédéral a suivi. Mais quelqu’un quelque part a décidé de plafonner le soutien des gouvernements provincial et fédéral réunis à 500 mille dollars, sur un budget de 1 million 250 milles environ. On a fait une collecte de fonds et on a amassé environ 90 milles dollars...Le reste il a fallu l’emprunter.» affirme Jean-Denis Leduc.[2]

Le déménagement se fait en 1990 avec beaucoup de complications.

Rénovations sur la rue Papineau

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En 2010, l’agrandissement de La Licorne débute. Les travaux d’agrandissement rasent entièrement le théâtre et  l'espace commercial adjacent. Convaincre de la nécessité de ces travaux n’a pas été aussi pénible que lors du premier déménagement, puisque la réputation du théâtre était alors établie. Le nouveau lieu comprend toujours La Petite et La Grande Licorne sous forme de boîte noire. On en sort pour se rejoindre dans un immense hall dont le bar est la pièce maîtresse. Ces travaux ont été pensé dans l’objectif de raviver l’esprit de communion et de rencontre avant et après les spectacles. Cet établissement comprend les bureaux administratifs à l'étage et toutes les commodités nécessaires pour subvenir au mandat du théâtre.

Les activités dans cette nouvelle Licorne reprennent pour la saison théâtrale 2011-2012.


Historique des Noms:

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La Manufacture

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Aux tout début, la compagnie théâtrale aurait failli s’installer dans une ancienne usine d'olives. Spontanément, lors de la décision du nom de la troupe, La Manufacture a été suggéré en lien avec la dite usine et le nom a été adopté.  

La Licorne

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L’anecdote veut que ce soit François Hydeger (nom écrit différemment selon les sources), alors propriétaire du restaurant Charade, qui allait proposer la cohabitation avec le Théâtre de la Manufacture sur la rue Saint-Laurent,  le nom «La Licorne». [2]


Jean-Denis Leduc ne considère pas les noms comme ayant une grande importance bien que si c’était à refaire aujourd’hui il y porterait probablement une attention plus particulière.  

«Aujourd’hui, c’est ce qu’on fait de la Manufacture et de La Licorne qui veut dire quelque chose. C'est connu et quand on parle de La Licorne, on sait de quoi on parle. Alors s’adresser à un public spécifique? Non! On veut s’adresser à un spectateur curieux, qui a le goût de découvrir des choses, qui accepte aussi d’être secoué et touché et qui, après la représentation, aime bien parler de ce qu’il vient de voir sur scène, continuer la conversation entreprise quoi! Nous voulons faire du théâtre accessible qui touche le plus grand nombre de spectateurs possible mais sans compromis.»  [2]

Théâtrographie partielle

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2002-2003

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  • Cheech, texte François Létourneau, m.e.s. Frédéric Blanchette.
  • Et un et deux! , (Janvier Toupin Théâtre d'Envergure en codiffusion avec La Manufacture) texte et m.e.s Patrice Dubois et Dany Michaud.
  • La reine de beauté de Leenane, texte Martin McDonagh, m.e.s Martin Faucher.
  • La société des loisirs, texte François Archambault, m.e.s Michel Monty
  • Le rire de la mer (Les Éternels pigistes en codiffusion avec La Manufacture), texte Pierre-Michel Tremblay, m.e.s Marie Charlebois.

2003-2004

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  • Cette fille-là (Production Théâtre du Grand Jour), texte Joan Macleod, m.e.s Sylvain Bélanger.
  • Gargarin Way *Production Théâtre de La Manufacture et Trans-Théâtre), texte Gregory Burk, m.e.s Michel Monty.
  • Imago (Production Les moutons noirs), m.e.s Normand Daneau, Marie-Christine Lê-Huu.

2004-2005

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  • Doldrum Bay (Production La Manufacture), texte Hilary Fannin, m.e.s Philippe Soldevila.
  • Betty à la plage (Production Théâtre de la Banquette arrière), m.e.s Patrice Dubois.
  • Du pépin à la fissure (Production Théâtre du Nouvel-Ontario), m.e.s André Perrier.
  • Toutou rien (Production Théâtre Qui va là), Une tragédie marionnettique de et avec Félix Beaulieu-Duchesneau, Justin Laramée, Philippe Racine.
  • La société des loisirs (REPRISE)
  • Amour et protubérances:Fable pour bouffons (Production Théâtre Les Porteuses d’Aromates), texte Marcelle Dubois, m.e.s Jacques Laroche.
  • Téléroman (Production Théâtre des Fonds de Tiroir), m.e.s. Frédéric Dubois.

2005-2006

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  • Howie le Rookie (Production La Manufacture), texte Mark O'Rowe, m.e.s Fernand Rainville.
  • Toutou rien (REPRISE)
  • La tête blanche (Production Théâtre Qui va là),De, mis en scène par et avec Félix Beaulieu-Duchesneau, Justin Laramée, Philippe Racine.
  • M. Ratichon dans: La vie est un match (Production Théâtre de la Pire Espèce), texteMarc Mauduit, m.e.s Francis Monty.
  • Cette fille-là (REPRISE)
  • Beaver (Production Urbi et Orbi), texte Claudia Dey, m.e.s Philippe Lambert.
  • Avaler la mer et les poissons (Production La Manufacture), texte Sylvie Drapeau et Isabelle Vincent, m.e.s Martine Beaulne.
  • Le Christ est apparu au Gun Club (Production Théâtre L'Escaouette en coproduction avec le Théâtre français du Centre national des Arts), Texte Herménégilde Chiasson, m.e.s Andréi Zaharia
  • Les contes urbains(Production Urbi et Orbi), de Yvan Bienvenue, Olivier Choinière, Fabien Cloutier, Michel Faubert, Justin Laramée, Mise en conte: Yvan Bienvenue.
  • Août- un repas à la campagne (Production de La Manufacture), texte Jean-Marc Dalpé, m.e.s Fernand Rainville.

2006-2007

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  • King Dave(Production L.I.F:T), de et avec Alexandre Goyette, m.e.s Christian Fortin.
  • La fête sauvage (Production Théâtre de la Banquette arrière), texte Mathieu Gosselin, m.e.s Claude Poissant.
  • Les points tournants ( un Road Movie sans entracte)[(Production La Manufacture)], texte Stephen Greenhorn, m.e.s Philippe Lambert.
  • Les frères Laforêt (Production Théâtre d'Envergure (Janvier Toupin)), texte François Archambault, m.e.s Patrice Dubois.
  • Quelques conseils utiles aux élèves huissiers (Production Théâtre de Fortune), texte Lydie Salvayre (Éditions Verticales/Le Seuil), m.e.s Jean-Marie Papapietro.
  • Les petits urbains (Production Urbi et Orbi), textes Yvan Bienvenue.
  • Les contes urbains (Production Urbi et Orbi), Auteurs Yvan Bienvenue, Biz (Loco Locass), Gary Boudreault, Urbain Desbois, Michel Garneau, Jean-François Mercier, Mise en contes Stéphane Jacques.
  • Coin St-Laurent ( ou les cinq doigts d'la Main) [(Production Urbi et Orbi)], De François Archambault, Élizabeth Bourget, Fanny Britt, Jean Marc Dalpé, François Létourneau, m.e.s Philippe Lambert.
  • Coma Unplugged (Production La Manufacture), texte Pierre-Michel Tremblay, m.e.s Denis Bernard.
  • Encore (Production Ah! l'Amour), texte Marc Prescott, m.e.s Marie-Ève Gagnon.
  • Stand-up tragique (Production Les Foutoukours),De Félix Beaulieu-Duschesneau, Charles Gaudreau, Rémi Jacques, Justin Laramée, Annick Lefebvre, Anne-Marie Olivier, Gilles Poulin-Denis, Rébécca Déraspe, m.e.s Rémi Jacques.
  • La société des loisirs (REPRISE)
  • King Dave (REPRISE)
  • Le Christ est apparu au Gun Club (REPRISE)
  • Cette fille-là (REPRISE)



Notes et références

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  1. a b et c Legris, Renée., Société d'histoire du théâtre du Québec. et Bibliothèque nationale du Québec., Le Théâtre au Québec, 1825-1980 : repères et perspectives, VLB éditeur, (ISBN 2-89005-331-8 et 978-2-89005-331-1, OCLC 25370146, lire en ligne)
  2. a b c d e f g h et i Leduc, Jean-Denis, 1944-, Direction artistique : conversations avec Jean-Denis Leduc, directeur fondateur du Théâtre de la Manufacture et du théâtre La Licorne (ISBN 2-89637-069-2 et 978-2-89637-069-6, OCLC 897492820, lire en ligne)
  3. a b et c « La Presse », Journaux,‎ (ISSN 0317-9249, lire en ligne)
  4. a et b Théâtre La Licorne, « Le Théâtre » (consulté le )
  5. « La Presse », Journaux,‎ (ISSN 0317-9249, lire en ligne)
  6. « La Presse », Journaux,‎ (ISSN 0317-9249)
  7. « La Presse », Journaux,‎ (ISSN 0317-9249, lire en ligne)

Voir aussi

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Articles connexes

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