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Clinique des femmes de l'Outaouais
modifierColloques Accoucher ou se faire accoucher
modifierAccoucher ou se faire accoucher
http://www.aspq.org/uploads/pdf/4d07a1088b7a4web_periscoop_sept2010.pdf
Depuis que le monde est monde
modifierhttp://realisatrices-equitables.com/video/sylvie-van-brabant/
Isabelle Brabant
modifierIsabelle Brabant est une sage-femme pionnière du Québec. Elle est également auteure de Une naissance heureuse. Elle a également écrit l'article phare de la naissance naturelle, « Ne touchez pas à ma douleur » dans le magasine L'une à l'autre, publié par le Regroupement Naissance-Renaissance.
Céline Lemay
modifierprésidente de l'ordre des sages-femmes du Québec, chargée de cours UQTR
Huguette Boilard
modifierLouise Toupin
modifierDanielle Mercier
modifierJeen Kirwen
modifierSage-femme québécoise retraitée,
Jeen Glezos
Jennie Stonier
modifierhttp://www.nametauinnu.ca/fr/culture/ouverture/detail/58/148
http://www.cbc.ca/news/canada/montreal/midwives-quebec-north-salluit-maternity-indigenous-1.4040828
Michèle Champagne
modifierAndrée Rivard
modifierAurore Bégin
modifier« Aurore Bégin fut une sage-femme forte et courageuse qui, durant plus de dix ans, a contribué de façon exceptionnelle à soutenir et à accompagner les femmes, pour leur grossesse et leur accouchement, dans les colonies de l’Abitibi. Cette femme mémorable n’a pas eu peur d’être diff érente et elle a fait tout ce qui était en son pouvoir pour contribuer à l’amé- lioration des conditions de vie des femmes et des familles de sa communauté, guidée par son bon sens et sa confi ance dans la capacité des femmes à mettre leur enfant au monde »http://www.aspq.org/uploads/pdf/4cd969c957fde4-vers-l-accouchement-normal.pdf
http://collections.banq.qc.ca:81/lapresse/src/cahiers/1982/01/23/06/82812_1982012306.pdf
Casa Susanna fut une destination week-end populaire à Hunter, NY[1] pour les travestis au début des années 1960. La maisonnée fut dirigée par Susanna Valenti[2] et sa femme Marie, qui tenait également un commerce de perruques en ville.[1] Marie acheta la propriété de 150 âcres au milieu des années 1950 et, avec Susanna, l'avait originalement nommée Chevalier D’Eon Resort.[3] Elles chargeaient 25$ pour une fin de semaine, incluant la nourriture, les jeux de tables et les leçons de maquillage. Cachée dans les Catskills ruraux, Casa Susanna permettait à ses invités une intimité précieuse à une époque où le travestissement était considéré comme un crime. Toutefois, plusieurs invitées s'aventuraient à visiter la ville de Hunter pour y magasiner, accueillies par une panoplie de réaction de la part des habitants et habitantes. Certaines réactions furent négatives, mais plusieurs habitants et habitantes ont vu ces visiteuses comme étant des consommatrices fiables et fidèles.[4] Casa Susanna fut un havre de paix pour ses invitées afin de s'y rendre et de célébrer leur "fille intérieure" sans faire face à de la persécution. Dans cette maison, elles ont pu être heureuses, confortables, participant à des activités telle que le jardinage ou Scrabble dans leurs robes et talons hauts élégants des années 1950.[5] La plupart des invités et invitées de la Casa Susanna étaient marriés et se considéraient comme étant des hommes hétérosexuels pratiquant le travestissement, but many others later identified as transgender and lived out their lives as women, including Virginia Prince and Susanna herself.[1]
Photography for transvestites in the 1950s was both affirming and extremely dangerous. Sending negatives to a professional developer who might call the police was out of the question, so Casa Susanna appointed an official photographer from one of its own: Andrea Susan. Andrea took many photographs of her fellow guests and developed them at home.[6] Although Polaroids were popular for their instantaneous development, Andrea's photography was of higher quality, and she could be trusted. She put the negatives in the possession of her mentor Dick, who had gifted her her photo development equipment. when Dick threw them away, they made their way to a Manhattan flea market in the mid-2000s. There, they were found by Robert Swope,[7] “a gentle punk rocker turned furniture dealer,” who bought every photograph he could find and published them into a book with his partner Michel Hurst.[6] The release of this book fifty years later led many former attendees of Casa Susanna to come forward and share their experiences, allowing the resort to be documented. Without this chance encounter, Casa Susanna may have been lost to history.
Casa Susanna also inspired the Tony-nominated play Casa Valentina by Harvey Fierstein.
References
modifier- (en) Penelope Green, « A Safe House for the Girl Within », The New York Times, (lire en ligne)
- Susanna Valenti (born Tito, a name which she went by for many years) immigrated to the United States from Latin America in the mid-1940s. She wrote numerous articles for Virginia Prince's Transvestia. Susanna's time and place of death are unknown: the last known mention of her was her contribution to the 100th issue of Transvestia in 1979.
- Zagria, « Susanna Valenti (192? - ?) translator, broadcaster, activist. », sur A Gender Variance Who's Who, (consulté le )
- Jay Blotcher, « Queens of the Catskills », sur Chronogram Magazine (consulté le )
- TIME, « Casa Susanna: Photographs From a 1950s Transvestite Hideaway », sur Time (consulté le )
- (en-US) « The Historical Roots of Casa Valentina | Chrysalis Quarterly », sur dallasdenny.com (consulté le )
- Not the Roger Swope of Vagina Monologues fame.