Discussion:Annales bleues
Dernier commentaire : il y a 1 mois par Rédacteur Tibet dans le sujet Pertinence d'une phrase
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Pertinence d'une phrase
modifierPopolon, vous écrivez sur cette page une phrase qui ne cite pas les Annales bleues [1], en plus d'être difficilement trouvable dans la source, particulièrement longue (elle comporte 10 000 mots, bibliographie comprise). Il faut donc malheureusement la retirer de la page. Merci de bien vouloir, pour éviter ce type de difficultés, donner des citations pour faciliter la vérifiabilité de ce type de source. Rédacteur Tibet (discuter) 27 août 2024 à 18:24 (CEST)
- Popolon, vous avez ajouté une citation, et je vous en remercie. Cependant, vous avez conservé votre texte qui diverge sensiblement de la citation : [2]. Une traduction rapide de la citation donne en effet "L'importance de l'assassinat qui, selon les sources, a été perpétré par dPal gyi rdo rje, un moine bouddhiste de lHa Lung, peut être mesurée par le fait qu'il est vénéré par certaines grandes écoles bouddhistes comme le précurseur du bouddhisme au Tibet. .⁷ Au moins un monastère l'identifie comme une ancienne réincarnation, ou même retrace sa lignée d'abbés jusqu'à lui.⁸ En outre, certains bouddhistes tibétains contemporains ont utilisé son acte comme exemple et justification de la lutte contre l'oppression - dans leur cas, le Occupation chinoise du Tibet (depuis 1959).[…] Les positions vont du récit prudent dans les Annales bleues de 'Gos lo-tsā ba gZhon nu dpal, dont la description est rare et en termes simples également les récits hautement mythologiques de gSal snang ou de Bu ston.¹³ Comme je voudrais me concentrer sur les stratégies de justification de la violence présentées dans ces textes, je me limiterai à quelques tendances générales qui font partie de presque tous les récits de l'épisode en question.". C'est bien bien plus nuancé que votre phrase qui pose un problème : "l'assassinat du dernier empereur du Tibet, Langdarma, connu pour ses persécution anti-bouddiques, par le moine Lhalung Pelgyi Dorje, sert de base à la préconisation de violences et révoltes au sein du bouddhisme tibétain est décrite dans cet ouvrage". Une solution serait de donner la traduction compléte, mais c'est un peu long. Quoiqu'il en soit, il faut attribuer, car la phrase "certains bouddhistes tibétains contemporains ont utilisé son acte comme exemple et justification de la lutte contre l'oppression" diverge sensiblement des appels constant à la non-violence du dalaï-lama qui est largement suivi par la plupart des "bouddhistes tibétains contemporains". Par ailleurs, le texte concernant les Annales se réduit à "Les positions vont du récit prudent dans les Annales bleues de 'Gos lo-tsā ba gZhon nu dpal, dont la description est rare". Je me demande si cela justifie d'utiliser cette source pour la présente page.--Rédacteur Tibet (discuter) 30 août 2024 à 12:05 (CEST)
- Comme toujours il y a une différence entre le discours politique et les actes. Entre les violences sexuelles, bien documentées notamment dans l'ouvrage et le documentaire vidéo « Bouddhisme, la loi du silence » de nombreux proches de Lhamo Dhondup (qui porte le titre [[théocratie|théocratique]) tibétain de Tenzin Gyatso, et que l'on nomme XIVe dalaï-lama) défend, avec Mathieu Ricard et d'autres, lui même ayant visiblement des problèmes d'après l'histoire de la langue de l'enfant. On retrouve déjà sur ce point un silence similaire à l'église catholique. Ce documentaire et d'autres décrivent également les humiliations qu'ils font subir à leur fidèles. On peut parler aussi du servage que subissait l'ensemble de la population tibétaine sous son règne, ainsi que sa proximité avec la CIA (notamment de par son frère Gyalo Thondup et de la milice indépendantiste du Chushi Gangdruk) qui est connue de ses violences et son ingérence à travers le monde, et sa proximité avec différents régimes fascistes, comme tout théocrate qui se respecte. Ça n'est pas pour rien qu'il est défendu par des personnages comme Robert Ménard, loué par Bolloré via CNews. Popolon (discuter) 30 septembre 2024 à 23:57 (CEST)
- Le texte que vous avez introduit dans cette page est un TI qui s'apparente à un détournement de source. Par ailleurs, je vous rappelle que Wikipédia n'est pas un forum. Me basant sur la source, je propose de modifier votre contribution ainsi : "Jens Schlieter qui a étudié les stratégies de justification de la violence présentées dans des textes tibétains en se basant sur l'assassinat du dernier empereur du Tibet Langdarma par le moine Lhalung Pelgyi Dorje, indique que cet épisode est relaté de façon prudente dans les Annales bleues", et de déplacer cela dans un paragraphe intitulé "Contenu".--Rédacteur Tibet (discuter) 1 octobre 2024 à 10:41 (CEST)
- Comme toujours il y a une différence entre le discours politique et les actes. Entre les violences sexuelles, bien documentées notamment dans l'ouvrage et le documentaire vidéo « Bouddhisme, la loi du silence » de nombreux proches de Lhamo Dhondup (qui porte le titre [[théocratie|théocratique]) tibétain de Tenzin Gyatso, et que l'on nomme XIVe dalaï-lama) défend, avec Mathieu Ricard et d'autres, lui même ayant visiblement des problèmes d'après l'histoire de la langue de l'enfant. On retrouve déjà sur ce point un silence similaire à l'église catholique. Ce documentaire et d'autres décrivent également les humiliations qu'ils font subir à leur fidèles. On peut parler aussi du servage que subissait l'ensemble de la population tibétaine sous son règne, ainsi que sa proximité avec la CIA (notamment de par son frère Gyalo Thondup et de la milice indépendantiste du Chushi Gangdruk) qui est connue de ses violences et son ingérence à travers le monde, et sa proximité avec différents régimes fascistes, comme tout théocrate qui se respecte. Ça n'est pas pour rien qu'il est défendu par des personnages comme Robert Ménard, loué par Bolloré via CNews. Popolon (discuter) 30 septembre 2024 à 23:57 (CEST)