Dernier commentaire : il y a 5 mois14 commentaires6 participants à la discussion
17 février 2024 à 00:45:28 : il est maintenant possible de clore la proposition. En analysant 4 avis modélisés, le bot a estimé une décision de probable acceptation, sous réserve d'un sourçage certifié (75%). Pour notifier les participants : {{Notif|Cymbella|Bertrouf|Le Petit Chat|Oziris}}
Proposition refusée. L’anecdote suivante, proposée par Cymbella le 2024-01-09 22:11:00, a été rejetée par Oziris (Situation d'impasse). La discussion est conservée pour archivage.
La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées sur le même sujet.
Une nouvelle proposition est acceptable si l'anecdote porte sur un élément différent.
Proposée par Cymbella le 01 novembre 2014, et publiée le 01 décembre 2014. [indice de similitude 7/10]:
C'est quand même paradoxal pour une plante qui doit son nom à sa forme de vulve, qu'on utilise comme aphrodisiaque (justement à cause de sa forme), d'être dangereuse pour l'utérus. Mais la formulation ne fait pas assez ressortir ce paradoxe. Oui sur le fond, une réserve sur la forme. Bertrouf17 janvier 2024 à 17:41 (CET)Répondre
Pour l'instant je n'ai pas envie de certifier car je pense qu'il faut encore travailler sur la forme. D'une part nous avons un risque de doublon avec l'anecdote déjà passée et d'autre part l'étude de l'AESA est valable uniquement sur la fleur séchée, il manque de données sur la fleur fraiche... et ça n'apparaît pas dans l'anecdote. Bertrouf6 février 2024 à 17:31 (CET)Répondre
La fleur fraiche de Clitoria ternatea(photo) est utilisé comme aphrodisiaque en raison de sa forme, mais l'AFSA estime que la fleur séchée présente un risque pour l'utérus. Je tente ceci, mais on est encore trop proche du doublon et je n'aime pas l'opposition (mais) à la césure alors qu'on n'a pas de données sur la dangerosité de la fleur fraiche. Bertrouf9 février 2024 à 09:56 (CET)Répondre