Discussion:El Gaada/Droit d'auteur

Dernier commentaire : il y a 7 ans par Lomita dans le sujet El Gaada
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El Gaada

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Deux copyvios détectés pour cet article : l'un en 2015, l'autre en 2016

Copyvio de Janvier 2016

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Signalé par : Laszlo Quo? Quid? 30 janvier 2016 à 23:14 (CET)Répondre

Copyvio détecté le 29 janvier 2015 comme décrit en PDD :

« Message aux administrateurs. Bonjour, Je me permets de vous signaler des plagiats et des bizarreries dans cet article consacré à El Gaada. Plusieurs passages sont pris d’une étude mise en ligne début de l’année 2011 et dont le texte fut déposé à la Bibliothèque nationale de France en avril 2011. Actuellement ce sont les éditions L’Harmattan (Paris) qui détiennent les droits de cette oeuvre publiée sous forme d’ouvrage en octobre 2014, sous le titre : Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme : 1830-1962, Mokhtar Lakehal. Depuis la date de transfert des droits, le site les Mhadja d’El Gaada ne contient que la couverture de l’ouvrage et la table des matières. Plagiat :

1) « El Gaada, signifie en arabe 《le Plateau 》 dans le sens partie haute et plate d'un territoire. La signification d'El Gaada est le Plateau, au géographique. Le préfixe arabe 《EL》signifie indifféremment 《LE》ou 《LA》. Ce sont des Arabes qui donné un nom arabe Gaada à ce Plateau. »L'expression 《Ain Fard》 est composée de 《Ain》(point de) et 《Fard》(obligation), Ain Afard est une sorte de plate-forme vers laquelle convergeaient toutes les tribus du plateau (El Gaada) qui devaient payer leur 《fardh》(aumône, impôt et taxes) et également l'endroit d'où partaient les contributions en solidarité avec les communautés dans le besoin. » Source : « « El Gaada » signifie en arabe « le plateau », dans le sens de partie haute et plate d’un territoire. Ce n’est ni « l’endroit de retraite », ni « le caravansérail », comme j’ai pu l’entendre ou le lire. (…) Les Anciens ont toujours utilisé l’expression Aïn Farḍ et non « Aïn Affeurd » ou « Aïn Afferd ». L’expression « Aïn Farḍ » est composée de « Aïn » (point de …) et « Fardh » (obligation). Aïn Farḍ est une sorte de plate-forme vers laquelle convergeaient toutes les tribus du plateau (El Gaada) qui devaient payer leur « fardh » (aumône, impôts et taxes) et également l’endroit d’où partaient les contributions en solidarité avec les communautés dans le besoin (lire annexes 6, rapports entre Aïn Farḍ et Damas). (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 9)

2) « El Mhadja incriminés étant ceux d'El Gaada.《Nous sommes un peuple qu'Allah a élevé par l'islam. Chaque fois que chercherons l'élévation par autre que l'islam Allah nous rabaissera》 ». Cette citation est celle du calife Omar El Khattab. L’auteur l’a prise de l’ouvrage Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, page 26, pour la placer ici comme « un cheveu sur la soupe ». Dans l’ouvrage elle intervient à la fin d’une longue liste de fautes que tout Mhadji ne doit pas faire : « En matière de comportements sociaux vertueux, point de place au déterminisme génétique. Aujourd’hui certains enfants de familles non nobles sont mille fois plus vertueux que certains enfants de « familles nobles ». La décadence de la noblesse arabe n’est pas la tare des seules familles princières ou dirigeantes ; elle a atteint depuis plusieurs siècles la glèbe. Qu’est-ce qu’un musulman prétendant appartenir à Mhadja pourra affirmer de chérifien (noble) en lui, alors qu’il s’adonne à l’un ou à l’autre de tout ce que l’Islam interdit : l’Islam interdit et refuse de se soumettre à la Sunna (règles de vie édictées par Mohamed (ç)) ? Qu’est-ce qu’un charif qui ne fait pas ses cinq prières quotidiennes et celle du vendredi ou ne jeûne pas ? Qu’est-ce qu’un charif qui consomme de l’alcool, (…) passe son temps à médire, calomnier ou envier les autres, oublie Allah et voue un culte à son père ou à son oncle, quand il n’est pas corps et âme dans la superstition, la sorcellerie, le culte des saints, l’associationnisme (chirq) et les innovations blâmables (bid’a) ? « Nous sommes un peuple qu’Allah a élevé par l’Islam. Chaque fois que nous chercherons l’élévation par autre que l’Islam, Allah nous rabaissera » (Calife Omar Ibn El Khattab) (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 24 et 25)

3) « Mais non assimilées par des alliances matrimoniales par les familles d'El Mhadja, a provoqué un exode rural principalement vers Oran et l'extension des trois quartiers qui a transformé ce petit Douar Ain Afard (le centre ville) d'El Gaada , en véritable grand village de près de quatre mille habitants qui s' étend sur les quatre coins cardinaux. » Source : « l’accueil de plusieurs familles nomades (les Hmiyènes) venues du Sahara, toutes sédentarisées mais non assimilées par des alliances matrimoniales par les familles Mhadja – a provoqué un exode rural principalement vers Oran et l’extension des trois quartiers qui a transformé ce petit village d’Aïn Farḍ, en véritable ville de quatre mille habitants qui s’étend sur les quatre coins cardinaux. » (Les Mhadja d’El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, pages 10-11).

(...)

L'auteur du livre Les Mhadja d'El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962 »

Copyvio d’août 2015

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Signalé par : Laszlo Quo? Quid? 15 août 2015 à 12:48 (CEST) Veuillez donner un lien vers le site copié et, si nécessaire, les précisions permettant d’identifier le contenu copié.Répondre
Quelques exemples :

Version Wiki Verson Blogspot
L'historien de l'Oranie et l'ancien maire d'Oran, Saddek Benkada, qualifie cette localité de « bosse culturelle » de l'Oranie pour son rôle historique dans l'éducation arabe et religieuse assurée par ses Oulama et chouyoukh de Zaouïas auprès des populations de l'Ouest algérien (Live ORAN Face à sa mémoire Page 87) L'historien de l'Oranie et actuel maire d'Oran, Saddek Benkada : qualifie cette localité de « bosse culturelle » de l'Oranie pour son rôle historique dans l'éducation arabe et religieuse assurée par ses Oulama et chouyoukh de Zaouïas Derkaouia Al Mahajia auprès des populations de l'Ouest algérien Live (ORAN Face à sa mémoire)
Ce village dénommé El Gaada et le premier village dans la région d'Oran El Gaâda (arabe : القعدة) qui signifie littéralement Caravansérail, était jadis l’un des premiers villages dans la région.
El Gaada est peuplée a la fin du XIXème siècle par les fractions tribus des Béni Amer d'ascendants Arabes hilaliens (les Ouled Ali ) El Gaâda est peuplé au XIXe siècle par deux fractions de tribu les Ouled Ali et Al Mahaja, Les Ouled Ali appartiennent à la confédération des Béni Amer, d'ascendance Arabe de Bani Hilalienne et Al Mahaja
C'est tribus se sont installés dans cette région et se sont mêlés aux tribu Berbère Azdadja à cause de l'eau douce. Appeler par la suite le barrage des "Cherfas" 《Source des Nobles》 en l'honneur d'El Mhadja. La tradition orale raconte que les Al Mahaja se sont installés dans cette région à cause de l’eau douce de la rivière Ain Chorfa (Source des nobles).
Ces tribus se sont d'abord installées dans un lieu appelé aujourd'hui douar Oued El Mabtouh à El Gaada commune de Zahana sur une distance de 39 km au sud-est d'Oran et au nord-ouest Algérien. Jusqu'à présent on continue de nommer les uns, les Al Mahaja el Fwaga (ceux qui habitent au sommet, à côté du premier lieu d'installation, c'est-à-dire le village des Swaihiya et ses environs) et les autres, les Al Mahaja el T'hata (ceux qui habitent plus bas sur le plateau d'El Gaada, à côté de la source dite Ain Afferd, aujourd'hui centre ville d'El Gaada). La tradition orale raconte que les Al Mahaja se sont installés dans cette région El Gaada (le Plateau ) à cause de l’eau douce de la rivière Ain Chorfa (Source des nobles). Ces tribus se sont d'abord installées dans un lieu appelé aujourd'hui douar El Mabtouh à El Gaâda, situé à 6 kilomètres au sud du village de Ain Affeurd et 4 kilomètres du village Swaihiya. Jusqu'à présent on continue de nommer les uns, les Al Mahaja el Fwaga (ceux qui habitent au sommet d'El Gaâda, à côté du premier lieu d'installation, c'est-à-dire le village des Swaihiya et ses environs) et les autres, les Al Mahaja el T'hata (ceux qui habitent plus bas sur le plateau d'El Gaâda, à côté de la source dite Ain Afferd, aujourd'hui centre ville d'El Gaâda). La tradition orale raconte que les Al Mahaja se sont installés dans cette région à cause de l’eau douce de la rivière Ain Chorfa (Source des nobles).
Une grande famille idrisside s'installa sur ce site géographique et sera connue sous le nom d'Al Mahaja qui, après l'apparition du maraboutisme s'appellera Al Mahaja rab'ine chachias (Al Mahaja les 40 coupoles) selon la légende populaire régionale. Car beaucoup de ses imams auront droit chacun à son mausolée (goubba) et ses serviteurs (khoudem). c'est une grande famille Idrisside s'installa sur ce site géographique et sera connue sous le nom d'Al Mahaja comme le veut la tradition familiale. qui, après l'apparition du maraboutisme s'appellera Al Mahaja rab'ine chachias (Al Mahaja les 40 coupoles ou Goubba) selon la légende populaire régionale. Car beaucoup de ses imams auront droit chacun à son mausolée (goubba) et ses serviteurs (khoudem).
Depuis l'indépendance, ce sont plusieurs familles de bergers nomades venues du Sahara de la région de Mechria, Boulktob et Naama (steppe algérienne du sud ouest ) qui se sont sedentariees et établies définitivement dans les Douars d'El Gaada. Depuis l'indépendance, ce sont plusieurs familles de bergers nomades venues du Sahara, de la région de Mechria, Boulktob et Naâma (Steppe algérienne du Sud Ouest) qui se sont sédentarisées et établies définitivement dans les quartiers d'El Gaada

Bonjour, un peu plus compliqué que cela

Donc, il va falloir détricoter tout cela..... Je le ferai très rapidement - Merci et bonne continuation --Lomita (discuter) 6 septembre 2015 à 10:11 (CEST)Répondre

J'espère n'avoir rien oublié, mais n'hésitez pas à venir sur ma page si nécessaire - Bonne continuation --Lomita (discuter) 1 septembre 2016 à 20:54 (CEST)Répondre



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