Discussion:Nicolas Miguet

Dernier commentaire : il y a 4 ans par AliceBzh dans le sujet Frère escroc ??
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Rassemblement des contribuables français et Nicolas Miguet modifier

Rassemblement des contribuables français (h · j · ) : 32 révisions sur 15 ans
Nicolas Miguet (h · j · ) : 498 révisions sur 15 ans
La fusion des 2 historiques entraînera 54 changements d'articles (10%) sur 530 révisions.
Méthode suggérée pour respecter la licence (en cas de transfert de contenu) : utiliser {{Crédit d'auteurs|interne|titre de la source}} sur l'article et optionnellement {{auteurs crédités après fusion}} sur la page de discussion. Demande de fusion suite à décision PàS (Voir la décision). Ceci n'est pas une demande de vote pour ou contre la fusion (la décision a déjà été prise lors de la PàS) mais uniquement une demande pour qu'un tiers effectue la fusion. --Skouratov (discuter) 1 avril 2017 à 22:29 (CEST)Répondre
✔️-- KAPour les intimes © 5 avril 2017 à 11:53 (CEST)Répondre

mais qui est NM ? modifier

article récent du Monde
c'est un peu désolant de coller à ce point à l'actualité alors qu'il y a tant à faire; m'enfin, c'est mon point de vue; et heureusement qu'il y en a des différents ;D Alvaro 22 oct 2003 à 13:45 (CEST)


Ci-dessous, la copie d'un article du Journal Le Monde du 25 février 2007 (je mets pas le lien, comme au bout de deux semaines c'est périmé.) Pierre73 25 février 2007 à 20:28 (CET) Le secrétaire général du Conseil constitutionnel Jean-Eric Schoettl et un collaborateur de l'un des candidats, Gérard Schivardi, ont indiqué à l'AFP que des élus de plusieurs départements ont reçu des documents se présentant comme des "guides officiels à destination des élus - parrainages des candidats" les invitant notamment à renvoyer leurs parrainages à une adresse du huitième arrondissement de Paris. L'adresse mentionnée est "RF République Française - Opération parrainage 63 rue de Courcelles 75008 Paris". Cet envoi est accompagné d'un livret présentant une vingtaine de candidats déclarés et est "surtout à la gloire de Nicolas Miguet", indique M. Schoettl. "Ce document n'a aucun caractère officiel", souligne le secrétaire général du Conseil constitutionnel. "Je mets en garde les maires contre toute fausse interprétation", a-t-il déclaré à l'AFP. Ce document, qui donne également la liste des rencontres électorales de M. Miguet, et comprend un article du candidat, comporte des présentations parfois erronées, selon un collaborateur de M. Schivardi, Philippe Delorme. Le Conseil constitutionnel réfléchit sur les mesures à prendre quant à cette opération. (avec AFP)Répondre


2003-12

Autres liens modifier

http://www.lemonde.fr/web/imprimer_article/0,1-0@2-3230,36-338761,0.html http://www.lexpress.fr/express/info/france/dossier/miguet/dossier.asp

C'est apparement un délinquant et un bandit.

blanchi par le tribunal,personne ne mentionne ici et ailleurs que ses parrainageS n'ont fait l objet d'aucune condamnation.----

Supprimer mes modifications, parfaitement fondées, ne se justifiait pas : je ne mentionnais aucune condamnation ni quoi que ce soit du même genre, et les conflits qu'il a eus tant avec Serge de Beketch qu'avec Emmanuel Ratier sont réels. Mentionner un conflit, sans guère plus de précision, et surtout en ayant pris soin de rester neutre, ne me semble pas de nature à porter atteinte à la réputation de la personne. Je rétablis ce que j'avais indiqué.

D'autres ici n'hésitent pas à répèter des insinuations calomnieuses sans que quiconque réagisse (cf. AGRIF et ce qui est écrit au sujet de Bernard Antony, lequel a été mis hors de cause dans l'affaire de l'attentat contre le cinéma, et non pas relaxé, ce qui laisserait entendre que des charges avaient pu être retenues contre lui au cours d'une instruction et l'auraient conduit à la barre d'un tribunal dans cette affaire). Jerotito | @ 20 avr 2004 à 19:37 (CEST)

Si l'article AGRIF ne te plaît pas, remplace relaxé par hors de cause ! ℓisllk 20 avr 2004 à 19:42 (CEST)

Réecriture de l'article modifier

Cet article est une vitrine publicitaire de Miguet et de son parti. La vie professionnelle du papa en long et en large ou les résultats détaillés du RCF n'ont pas leur place ici. Je propose de modifier cet article pour en virer ce qui n'a pas sa place ici. --Hayek 28 août 2006 à 16:25 (CEST)Répondre

Controverses et démêlés judiciaires modifier

Sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Cheminade on peut y lire : Le 29 avril 2003, le Tribunal de grande instance de Paris (17ème Chambre) condamne Nicolas Miguet, directeur de publication du magazine L'Hebdo (anciennement Minute l'Hebdo), à payer la somme de 7500 euros à titre de dommages-intérêts, pour avoir diffamé publiquement Jacques Cheminade (voir ci-dessus: candidat aux élections présidentielles). Le tribunal souligne la « mauvaise foi caractérisée » du diffamateur. Il serait peut être bon de rajouter cet évènement dans l'article sur Miguet.

Application des lois d'amnisties sur Wikipédia modifier

Bonjour ! Je vous invite à débattre ici de la manière dont les lois d'amnistie s'appliquent ou pas sur cet article de Wikipédia. Léna (d) 27 mars 2012 à 17:10 (CEST)Répondre

Pour apporter ma pierre, voici ce qu'on lit dans le code pénal, ici : « Il est interdit à toute personne qui, dans l'exercice de ses fonctions, a connaissance de condamnations pénales, de sanctions disciplinaires ou professionnelles ou d'interdictions, déchéances et incapacités effacées par l'amnistie, d'en rappeler l'existence sous quelque forme que ce soit ou d'en laisser subsister la mention dans un document quelconque. » Le sujet a déjà été abordé ici dans la FAQ de Wikipédia, et a priori réponse serait plutôt qu'on laisse l'info. Nochnix (d) 27 mars 2012 à 17:24 (CEST)Répondre

Bonjour, comme indiqué ci-dessus, la loi d'amnistie stipule qu'il est interdit de rappeler sous quelque forme que ce soit une condamnation pénale dans un document quelconque. Aussi l'idée avancée dans le ici "Il n'est pas interdit d'évoquer une peine amnistiée, simplement elle n'a plus d'existence juridique, ce qui est différent. Mais la publication de ces faits n'est pas en soi illégale." me parait être en totale contradiction avec la loi d'amnistie. Sait-on qui a rédigé le ici car ceci semble être modifiable par les utilisateurs de Wikipédia, contrairement à la Loi n°95-884 citée. Virginia75008 (d) 27 mars 2012 à 18:07 (CEST)Répondre

L'ennui c'est que Wikipédia n'est pas français. Quant au texte de la loi (qui est bien française), ce qui me tarabuste, c'est le « dans l'exercice de ses fonctions ». Je ne suis pas juriste, peut-être faudrait-il aller faire un tour sur Wikipédia:Legifer... Nochnix (d) 27 mars 2012 à 18:17 (CEST)Répondre
Quelques points :
  • J'ai vu passer un revert de condamnations de 1997, sous prétexte d'une loi d'amnistie de 1995 : c'est une erreur. Une loi d'amnistie couvre des faits passés, pas futurs (et je n'ai même pas regardé ce que couvrait cette loi d'amnisitie). Encore faudrait-il prouver qu'il y a eu amnistie pour les condamnations prononcées.
  • Dans l'exercice de ses fonctions, cela s'applique à des professionnels. Pas à des personnes ayant eu connaissance de ces informations par la grande presse. Si ces informations posent un problème à quelqu'un, il n'a qu'à aller se plaindre aux journaux concernés d'avoir diffusé ces informations encore en 2011 et 2012, et de les garder sur leurs sites à disposition du public.
  • Vu le temps passé à sourcer correctement ces infos, ce serait bien du vandalisme que de les ôter (je parle pour celles qui sont sourcées, évidemment, pas pour celles qui restent affublées de "refnec"). Cordialement, Deuxtroy (d) 27 mars 2012 à 18:25 (CEST)Répondre
Ok pour moi. D'ailleurs le bulletin d'information de la cour de cassation précise ceci : « L’article 133-11, alinéa 3, du code pénal a en outre tranché une difficulté qui revenait de manière récurrente à l’occasion de l’adoption des différentes lois d’amnistie et qui tenait à la portée ratione personae de cette interdiction. Il s’agissait en effet de déterminer si l’interdiction devait être limitée aux seules personnes qui, dans l’exercice de leurs fonctions, ont eu connaissance des faits amnistiés ou bien si cette prohibition devait s’étendre erga omnes. L’article 133-11 du code pénal a opté en faveur de la portée limitée de l’interdiction du rappel des peines ou des sanctions amnistiées. Il s’ensuit que n’y sont pas soumis ceux qui ont connu la peine ou la sanction en dehors d’une fonction, qu’elle soit publique ou privée. » Je crois que ça tranche la question. Nochnix (d) 27 mars 2012 à 18:31 (CEST)Répondre

Frère escroc ?? modifier

Il est pas responsable d’avoir un frère escroc... Le frère a droit à l’oubli, en plus... Laissez les donc tranquilles. --AliceBzh (discuter) 17 août 2019 à 07:12 (CEST)Répondre

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