Discussion:Plante dépolluante

Dernier commentaire : il y a 3 ans par Lamiot dans le sujet gaz carbonique
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

A sourcer modifier

L'ajout de sources plus convaincantes serait bienvenu. Quelles publications scientifiques attestent le rôle dépolluant des plantes, en dehors des sites partisans ? Si le rôle dépolluant des plantes est mis en évidence au moyen d'expériences, il devrait être attesté quelque part dans les publications scientifiques officielles, indépendamment des entreprises d'horticulture et des considérations écologistes subjectives. Si cela n'est pas le cas, alors le rôle dépolluant des plantes est soit une hypothèse non vérifiée, soit une affirmation gratuite recopiée par des partisans dans de nombreux forums (mécanisme des légendes urbaines). Ce qui manque clairement ici, ce sont des liens vers des résultats expérimentaux quantitatifs qui pourraient rendre l'article crédible. Sans évaluation des projets scientifiques, ceux-ci ont une pertinence qui reste discutable. Sceptique lundi 5 novembre 2007

Document de la Nasa modifier

J'ai trouvé un pdf du rapport effectué par la NASA au sujet des plantes dépolluantes mais je n'ai pas les compétences nécessaires pour rédiger un article à partir de celui-ci. Rapport de la NASA

J'ai ajouté en référence le lien qui mêne sur le site de la NASA. On peut y trouver de nombreux textes relatant les études et résultats très probants. Il y a de quoi interpréter sans difficulté grace aux nombreux graphiques même si on ne connait pas trop la langue. Je crois qu'il s'agit d'une base scientifique permettant le développement de l'article sur les plantes dépolluantes fort intéressant et dont le développement doit être encouragé. Enfin je pense qu'il existe des essais plus récents d'autres origines d'après ce que j'ai pu voir lors d'une recherche. A développer. Je n'ai pour ma part pas de temps actuellement à y consacrer. Bon travail et encouragements à tous.

[Ajouté le 29/03/2010 par CdeMills] A mon sens, il y a un biais dans les publications de la NASA. Le système permet de mettre en évidence une décroissance d'une produit polluant, ce qui est fort bien, mais ne s'attache aucunenemt à élucider les mécanismes : est-il absorbé par la plante ? Par des bactéries ? Adsorbé dans le sol ? Dégradé sous l'effet de la lumière ? Une vérification minimaliste aurait consisté à comparer deux systèmes identiques, l'un avec plante, l'autre sans, mais avec le même contenu : pot, substrat de culture, ...

Véracité des informations modifier

Les publications scientifiques ne sont pas nombreuses, mais les expériences restent d'une simplicité enfantine. Quatre plaques de verre, une plante absorbante, de quoi mesurer la quantité d'un polluant facile à mesurer comme le benzène par exemple. Il ne reste plus qu'à polluer l'air, et mesurer l'efficacité de la chose. J'ai pu observer des résultats sur des émissions dont le nom m'échappe malheureusement. Mais il est vrai qu'une bonne base scientifique manque à l'appel pour voir nos maisons se remplir de belles plantes...

Pour le soursage, c'est genre "j'ai vu ça à la télé, un jours", mais ton mode opératoire était justement contesté. En gros, un pot plein de terre avait exactement le même effet et la conclusion était que le filtrage était effectué par les bactéries dans la terre.
Au final, mieux vaut mettre les plantes sur le balcon et le compost dans ton appart Émoticône --Madlozoz (d) 24 mars 2010 à 10:19 (CET)Répondre

Radiations dues aux écrans et cactus modifier

Hello, juste pour dire qu'en Amérique Centrale & du Sud, les gens croient fermement que les radiations dues aux écrans (TV, moniteurs etc...) sont nettement atténuées par un cactus en pot placé à proximité. Y a-t-il une base scientifique ? Bien cordialement, Arapaima (d) 25 mars 2010 à 09:56 (CET)Répondre

Que les plantes dévient un faisceau d'électrons ? C'est quand même difficile à croire. De toute façon, les écran LCD n'en émettent plus. --Madlozoz (d) 25 mars 2010 à 15:38 (CET)Répondre
Les seuls rayons électromagnétiques émis par les écrans TV et moniteurs d'ordinateurs sont le spectre optique (les couleurs visibles de la lumière), et autrefois quelques rayons X (écrans cathodiques) qui n'existent plus avec l'avènement des écrans plats. Les plantes ne dévient ni n'absorbent les couleurs émises par un écran : les plantes ne sont pas transparentes, elles réfléchissent la lumière reçue (sinon les plantes seraient invisibles). Les plantes ne sont pas opaques aux rayons X : seuls les métaux et les os et certains minéraux peuvent l'être, bref les rayons X traversent les plantes comme n'importe quelle matière non opaque. Quand au faisceau d'électrons, dans un tube cathodique, il est émis par la cathode et attiré par l'anode sur laquelle il s'arrête pour produire un rayonnement : ainsi, le faisceau d'électrons ne sortait pas de la TV. Seul du métal ou un champ électrique peut dévier des électrons. Souvent la méconnaissance de la physique fait croire n'importe quoi... Giordano Bruno - (d) 1 octobre 2011 à 22:20 (CEST)Répondre

Scepticisme modifier

Les sources servant de références pour cet article ne sont pas neutres, ni même objectives. La biologie est une science, et dans ce contexte il faut nécessairement des sources scientifiques indépendantes issues du milieu académique afin de confirmer ou réfuter l'affirmation selon laquelle les plantes sont dépolluantes. Ici, il n'y a pas de preuves expérimentales solides. En général, des substances comme les solvants organiques, voire certains produits irritants comme l'ammoniac et le formaldéhyde, sont complètement incompatibles avec le métabolisme des plantes, la plupart de ces produits brûlent les feuilles. En l'état, l'article ressemble plus à un programme marketing qu'à de la recherche scientifique. Il faut se souvenir que le métabolisme des plantes vertes est essentiellement basé sur la photosynthèse. Giordano Bruno - (d) 29 septembre 2011 à 10:03 (CEST)Répondre


Huit mois plus tard après mon dernier commentaire, je constate l'insuffisance de sources scientifiques sérieuses par rapport au contenu actuel de l'article qui reste partial. En outre, quelqu'un a ajouté un paragraphe qui contient des affirmations non sourcées.

  • Soit on a le devoir d'ajouter des références scientifiques rigoureuses ;
  • Soit on supprime tout texte dont les affirmations partisanes, et peu objectives, restent indéfiniment invérifiables.

Wikipedia doit servir à présenter des informations fiables, pas à promouvoir de possibles légendes urbaines. Ensuite, le métabolisme naturel de photosynthèse des plantes vertes est basé sur l'utilisation de l'oxygène et du dioxyde de carbone présents dans l'air, mais en aucun cas les plantes vertes ne peuvent métaboliser directement via les feuilles des substances nocives et/ou irritantes comme le formaldéhyde (nommée aussi méthanal, et formol sous sa forme hydratée), le monoxyde de carbone, l'ammoniac (très irritant, ça brûle les feuilles), le benzène (molécule trop grosse, et effets mutagènes) et le trichloréthylène (les molécules halogénocarbonées sont chimiquement trop stable pour être biodégradables). Le public peut être dupé par le pouvoir dépolluant miraculeux des plantes, mais pas les chimistes qui voient dans un tel article une forme de promotion des pseudo-sciences. Pseudo-science ou pas, on peut se tromper, mais en l'état, l'article éveille des soupçons qu'il convient d'atténuer par des SOURCES OBJECTIVES empiriques... Dans l'article anglophone de Wikipedia, je m'aperçois que le travail de Wolverton est publié sur son propre site, ainsi il ne fait que se citer lui-même. Dans les sciences, les travaux scientifiques sont couramment évalués par les pairs lors d'expériences reproductibles. Mais là, c'est un champ de recherches plutôt creux, par exemple il manque des détails essentiels comme ceux-ci : quelle est la proportion de substances ayant disparu par rapport à la quantité initiale de polluants ?, en combien de temps ?, qui a fait les expériences, où, comment et quand ?, a t-on pris soin de réduire au mieux les biais expérimentaux possibles ?, a t-on utilisé des échantillons témoins (polluants sans plantes) par rapport aux échantillons avec plantes ?... Je viens de voir via Google que ce que l'on appelle NASA Clean Air Study n'est présente que dans deux pages de la NASA. Pire, je ne trouve aucune trace de ce genre d'étude dans le site nature.com. J'ai cependant trouvé via scholar.google.com des références sur les travaux de Wolverton, datés de la fin des années 70 et du début des années 80, où l'on apprend que le chercheur parle d'une méthode de traitement des eaux polluées par l'utilisation de micro-organismes et de plantes aquatiques (ce n'est donc pas pareil à ce qui est raconté dans l'article ici) : là http://www.jstor.org/discover/10.2307/25039826?uid=3738016&uid=2&uid=4&sid=47698977858317 et là https://www.agronomy.org/publications/jeq/abstracts/12/2/JEQ0120020236 Ainsi, à la base, il s'agit de recherches vraisemblables (mais anciennes) en agronomie mais je ne trouve aucune source actuelle qui soit convaincante. On ne sait même pas si les recherches actuelles, si elles existent, présentent une évolution (c'est-à-dire s'il existe des recherches actuelles qui fournissent un accroissement des connaissances depuis les premiers travaux de Wolverton). En dehors des sites web du chercheur lui-même, tout contributeur wikipédien aura une intervention utile en retrouvant des références scientifiques en provenance de sites universitaires (avec l'extension .edu) et de publications scientifiques à comité de lecture (nature.com, sciencemag.org). En l'état, l'article reste insuffisant, il faut le sourcer par des références scientifiques fiables et récentes donnant lieu à une description empirique précise du mécanisme dépolluant prétendu ! De plus, dans Google, je remarque plutôt une bibliographie qui promeut une purification de l'air des maisons plutôt que des protocoles expérimentaux validés, on voit aussi des sites d'écologie orientée sur le développement durable mais je n'aperçois pas de publications scientifiques qui attestent actuellement la crédibilité de recherches concrètes sur les plantes dites dépolluantes. L'incertitude du contenu de l'article incite à apposer un bandeau de controverse de neutralité ou de partialité. En effet, quiconque attribue des vertus extraordinaires à quelque chose doit pouvoir être en mesure de prouver par des sources, or je constate la difficulté de trouver de telles sources, à moins que les partisans connaissent eux-mêmes ces sources, donc à eux de les mentionner. Giordano Bruno - (d) 7 mai 2012 à 15:40 (CEST)Répondre

« l’ADEME considère que l’argument «plantes dépolluantes » n’est pas validé scientifiquement » (source) Sub (discuter) 26 février 2014 à 21:22 (CET)Répondre

Article très partial modifier

L'article est partial, les sources ne sont pas académiques. Une entreprise, la société Phyt'air, sous couvert d'expériences de phytoremédiation, essaie de faire le buzz sur les plantes dépolluantes. Wikipedia doit rester vigilant face à ces tentatives d'autopromotion.

Ce qui ne va pas du tout :

Principe de base : les plantes vertes utilisent le dioxyde de carbone et le dioxygène pour leur respiration.

  • Le formaldéhyde est irritant et nocif pour les plantes, le monoxyde de carbone n'est pas absorbé par les plantes ou alors il est potentiellement toxique (le monoxyde de carbone est toxique pour les mammifères qui ont du sang composé de porphyrine de fer mais la chlorophylle est à base de porphyrine de magnésium).
  • Le benzène, hydrocarbure aromatique, n'est pas absorbé par les plantes.
  • Le trichloréthylène est un solvant organique pas recommandé pour les plantes. De plus, la molécule de trichloréthylène est chimiquement stable, les plantes n'ont pas une énergie suffisante pour la métaboliser. Les xylènes et le toluène sont des dérivés du benzène.

Précisons que la phytoremédiation ne s'applique qu'à des concentrations en phase gazeuse très faible, les variation sont de l'ordre du ppm (parties par million), est-ce que les variations sont statistiquement significatives ? Existe t-il des expériences sérieuses et indépendantes ?

Comment peut-on laisser des inepties dans un tel article ? Dès qu'on a le dos tourné et si l'article reste peu surveillé, les contributions des sceptiques sont remplacées par des interventions partiales en faveur de la phytoremédiation.

À l'exception des recherches (authentique mais assez anciennes) de Wolverton (de la NASA), dont les travaux sérieux n'ont été reproduits que de façon discrète de nos jours, les autres sources du web sont plutôt très orientées et fonctionnent selon le principe du bouche à oreille via les médias sans même que les allégations soit validées empiriquement par des organismes universitaires de recherche scientifique !

Une simple question : que disent les sources en provenance de scholar.google.com ? Dans la revue scientifique Nature, on trouve 121 articles. Il est question de phytoremédiation des métaux lourds, et quand il s'agit de molécules organiques, c'est à l'état de sels solubles absorbables par les plantes.

Pour les articles scientifiques, il faut préférer scholar.google.com pour fournir des sources fiables.

Monsieur Spock (discuter) 2 novembre 2015 à 20:54 (CET)Répondre

gaz carbonique modifier

On ne peut pas considérer le gaz carbonique comme un polluant. C'est un composant normal de l'air qui fait partie des cycles vitaux de la plupart ou de tous les organismes vivants sur Terre. PolBr (discuter) 20 mai 2020 à 09:11 (CEST)Répondre

bonjour, Oui, d'un certain point de vue, ou avant l'ère industrielle...
C'est un point de vue a été largement diffusé par les climatosceptiques ou ceux feignant de l'être ou leurs juristes et communiquants dans ce que certains ont appelé la fabrique du déni (CO2: inoffensif, omniprésent et certainement pas un polluant dans le cadre de l'exclusion absolue de pollution d'une politique de responsabilité pouvait-on lire il y a un peu plus de 10 ans à propos du commentaire juridique d'une plainte déposée contre Exxon par des Inuits voyant fondre leur territoire et leurs ressources).
Rather, both the climate skeptics, for whom CO2 is an 'elixir of life' but not a 'pollutant', and the balneologists, for whom it is a 'healing gas', regard themselves just as much as scientists as those who warn of the climatic and ecological consequences of human CO2 emissions ironisait Soentgen [1].
Selon lui "Un examen plus approfondi de l'histoire du CO2 montre que la substance est de plus en plus politisée et moralisée depuis les années 1980 environ dans le contexte du débat sur le changement climatique. Le CO2 chimique (autrefois simple gaz atmosphérique) est reconsidéré comme «polluant» qui menace la Terre et les générations futures."
....Mais, pour aller dans ton sens : à la différence de certaines molécules ou éléments qui n'ont pas de fonctions biologique positive connues (mercure, plomb ou cadmium ou argon par exemple) le CO2 est absolument vital pour les plantes, et il fait partie du grand cycle de la vie. ...Mais on pourrait alors dire la même chose pour les nitrates et NOx, le SO2, les phosphates, ou encore de l'ozone (selon qu'il soit troposphérique ou non) ou même de microparticules qui nourrissent les mousses, les lichens et certaines algues épiphytes... et idem pour tous les métaux toxiques naturellement crachés par les volcans ou arrangé au sols et roches par l'érosion naturelle, etc. Ce sont aussi des produits naturels (l'arsenic, à très faible dose joue un rôle d'oligo-élément, mais il devient rapidement un polluant au delà d'une seuil qui est très bas) ; un produit (aussi banal que la poussière de silice, ou la sciure de bois par exemple) devient polluant quand il altère (anormalement, par rapport au bruit de fond, etc.) le fonctionnement d'une cellule, d'un organe, d'un organisme ou d'un écosystème ;
la définition du polluant (pour le dictionnaire normalisé de l'environnement/AFNOR) est ' altéragène biologique, physique ou chimique ' ce qui implique qu'un produit aussi banal que le CO2 quand il est anormalement concentré (dans l'atmosphère relativement au climat) ou dans la mer (où il y est déjà non seulement un eutrophisant, mais aussi un acidifiant, deux formes d'altération d'un coup !) devient, de fait, un polluant; je pense que la NASA peut considérer à juste titre que dans une station orbitale, le CO2 devient un polluant à traiter (mais par les plantes, ca ne va pas suffire, c'est certain). Sur terre, il est bien moins toxique que le CO, mais environnementalement problématique et quand même asphyxiant à partir d'une certaine dose ; il est d'ailleurs sur terre l'un des polluants recherché lors des tests de pollution de véhicules à moteur à explosion.
Pour l'air intérieur, la question a été posée par quelques articles, dont par exemple Is CO2 an indoor pollutant? Higher levels of CO2 may diminish decision making performance (2013) [2] ou Is CO2 an indoor pollutant? Direct effects of low-to-moderate CO2 concentrations on human decision-making performance (2012) [3].
Il reste possible de rappeler dans l'article que les plantes elles même pour "dépolluer" (à leur petite mesure) ont aussi besoin de CO2 pour leur métabolisme (mais n'est-ce pas implicite)... ou préciser que certains classent le CO2 un peu à part parmi les polluants (dans le contexte industriels on trouve des formulations telles que par exemple 'Le CO2 et les polluants X, Y Z' <= ex : Hall, W. J. (2010). Assessment of CO2 and priority pollutant reduction by installation of shoreside power. Resources, Conservation and Recycling, 54(7), 462-467.). Dans la vraie vie, j'aime rappeler que le CO2 est en quelque sorte au plante ce que l'oxygène est pour nous, et qu'en fait le CO2 est un excrément des animaux (humains y compris) et que l'O2 est un excrément des plantes, ce pourquoi nous avons besoins les uns des autres (les plantes ne sont pas là que pour être mangées ou décoratives), mais je pense que la tendance est clairement à de plus en plus considérer le CO2 comme un polluant (et il l'est au sens de la définition que je citais plus haut (altéragène biologique, physique et chimique).
A réfléchir donc. L'article peut et doit être amélioré, mais une difficulté est que certaine études ont un biais problématique (en voulant bien faire, pour des questions de reproductibilité de protocole pas trop compliqués, etc. on a oublié de donner du CO2 aux plantes quand elles étaient supposées dépolluer, par exemple en les maintenant dans des sorte d'aquariums à atmosphère contrôlée avec un polluant, ou dans la maison du CSTB (totalement étanche et pilotée à distance pour l'ouverture des volets), où il n'y avait ni humains, ni animaux, ni chaudière à gaz ou cuisinière en fonctionnement, les plantes n'y avaient que le CO2 produit par les bactéries d'un terreau très standard [stérilisé ? pour être le même dans tous les pots, je ne sais plus])
Bien à toi, et merci pour ton travail sur Wikipédia --Lamiot (discuter) 18 octobre 2020 à 02:16 (CEST)Répondre
  1. (Soentgen, J. (2014). Hot air: The science and politics of CO2. Global Environment, 7(1), 134-171.)
  2. Fisk, W. J., Satish, U., Mendell, M. J., Hotchi, T., & Sullivan, D. (2013). Is CO2 an indoor pollutant? Higher levels of CO2 may diminish decision making performance. ASHRAE JOURNAL, 55(LBNL-6148E)
  3. Satish, U., Mendell, M. J., Shekhar, K., Hotchi, T., Sullivan, D., Streufert, S., & Fisk, W. J. (2012). Is CO2 an indoor pollutant? Direct effects of low-to-moderate CO2 concentrations on human decision-making performance. Environmental health perspectives, 120(12), 1671-1677
Revenir à la page « Plante dépolluante ».