Discussion:Rennes-le-Château

Dernier commentaire : il y a 4 ans par Apokrif dans le sujet Jean-Jacques Sanvert
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Légende et histoire modifier

Je trouve dommage de mettre une légende dans le paragraphe histoire(partie italique). Je ne crois pas que cette partie est un fondement historique prouver (mais je peux me tromper)

Pendant la veille de la Révolution Française, le village, par une suite compliquée des mariages endogames, était passé entre les mains de la famille Blanchefort. Marie, marquise d'Hautpol de Blanchefort et descendante du Grand Maître des templiers portant le même nom, aurait transmis un secret au curé du village au moment de sa mort. Ce prêtre, l'abbé Bigou, forcé de s'exiler en Espagne aprês la mort de sa paroissienne, était le prédécesseur de Bérenger Saunière. Artich 20 juillet 2006 à 17:26 (CEST)Répondre

« Prédécesseur » ?? Même si le mot est exact, il faut bien comprendre que cent ans séparent ces deux curés. Est ce que le fait de dire que Raymond Poincaré fut le prédécesseur d' François Hollande peut expliquer quelque chose dans la politique de ce dernier ?? Non ? Eh bien l'influence de Bigou sur Saunière est exactement du même niveau ! Jean-Paul Corlin 07 août 2015 à 22:10 (CEST)Répondre

Publications d'historiens modifier

Comment se fait il qu'il soit impossible de trouver des publications de vrais historiens sur cet histoire ?Au moins des contres arguments aux "theses" des partisans du tresor de Rennes Loupiat

A titre indicatif, ce qui est expliqué dans la partie "histoire", est rigoureusement exact. Par contre, les informations selon lesquelles l'abbé Saunière n'aurait pas découvert de trésor, datent en réalité du Jeudi 2 Novembre 2006, suite à des documents retrouvés par le Maire de Rennes le château et concernant la bonne du curé, Marie Dénarneau. --Emmanuel de Careil 10 novembre 2006 à 15:15 (CET)Répondre

Désinformation à but touristique modifier

N'importe quelle recherche un peu sérieuse donne toutes les explications nécessaires pour comprendre la supercherie derrière la légende, y compris les aveux de ceux qui ont fabriqué les faux documents. Même la page anglaise sur le sujet est bien plus sérieuse. Un comble pour une ville française !

Conclusion un peu rapide! il existe maintenant d'autres explications beaucoup plus fiables ! Voir "la dépêche" du 3 Novembre 2006. --83.193.73.35 26 novembre 2006 à 14:24 (CET)Répondre
Cet article sonne effectivement très promotionnel. On y lit par exemple :
« Durant ces travaux, il aurait probablement découvert un trésor » ou, même dans l'introduction « […] qui y aurait trouvé un trésor ». La moindre brève recherche sur internet montre qu'il s'agit d'affirmations qui versent dans le sensationnel, sans preuves et que cela ne reflète pas un consensus. Une source de mauvaise qualité comme celle-ci par exemple : [1] l'explique. Le ton adopté dans l'article n'est pas correct dans une encyclopédie. Peut-on avoir une discussion sérieuse et éviter de demander l'intervention d'un administrateur ? Vincent Lextrait (discuter) 4 mai 2015 à 00:33 (CEST)Répondre
Bonjour, je suis l'auteur de la majeure partie de cet article à la date du 25 mai 2015 et j'ai revu une grande partie du texte. Personnellement, ce qui m'intéresse dans l'histoire de Rennes le Château, c'est plutôt le côté aventureux et extraordinaire des pérégrinations de ce pauvre curé devenu célèbre malgré lui (mais l'aurait-il désavoué ?), plutôt que de la pseudo histoire, d'un pseudo « trésor », dont je reste convaincu qu'il n'a existé que dans l'esprit de gens soit un peu simples, soit complètement délirants ou manipulateurs (mais il faut bien en parler, tellement cela a fait couler d'encre, c'est une histoire dans l'Histoire avec des intervenants parfois illustres). Pour être clair et ôter toute ambiguïté, j'ai donc ajouté dans ce texte, à la date d'aujourd'hui, (au niveau du chapitre Histoire, sous chapitre XXème siècle, des termes qui sont sans équivoque : les termes « mythe », « mythique », « rumeurs » et « hypothétique » ont bien été rajoutés, afin que personne ne soit dupe. Jean-Paul Corlin 26 mai 2015 à 19:44 (CEST)Répondre

Différencier le véridique de l'archi-faux. modifier

Certains témoignages véridiques d'habitants de Rennes-le-château montre que en effet, l'abbé Saunière était étrange. Mais à partir de ça, toute les hypothèses des plus fiables aux plus invraisemblables ont été données.

Selon moi, Saunière, aurai découvert des documents importants cachés à Rennes-le-Château depuis l'époque templière, est aurai reçu cette fortune collossale de l'église de Rome, qui lui en offrait pour qu'il se taise et qu'il emporte son secret dans la tombe. Ce qu'il a fait. Néanmoins, peut-être a-t-il laissé quelques indices sur la nature des document. un Da Vinci code II? Des documents sur la descendance de Jesus? Regardez le nom de l'église. Le nom de la tour semblable à une proche de Jésus. Tous les délires sont permis. Encore faut-il savoir rêver sans y toucher. --VladoubidoOo 6 janvier 2007 à 12:51 (CET)Répondre

Ici c'est un site encyclopédique, basé sur des faits historiques vérifiés et surement pas un site de recherche ésotérique consacré aux chimères et où on se lance dans de vagues suppositions, même si elles peuvent être, éventuellement, très intéressantes. D'ailleurs, je pense qu'il y a des sites pour cela... et je me permets de demander à tous de bien se conformer à cette idée. Cordialement. --Jean-Paul Corlin (discuter) 14 septembre 2015 à 14:00 (CEST)Répondre

Marquis de Blanchefort modifier

Le titre de marquis de Blanchefort, relevé par F.D'Hautpoul à la demande de son épouse n'a aucun rapport avec la famille du Grand-maître de l'ordre du temple Bertrand de Blanquefort ou Blanquafort ou encore Blanchefort. Cette dernière étant issue des environs de Bordeaux (Gironde actuelle) et le titre n'était qu'un titre concernant un fief qui appartenait à la famille de Negre (Branche d'Able par référence à l'autre branche, dite du Clat). Il ne convient donc pas de parler de "famille de Blanchefort" dans ce qui n'est qu'un relévement de titre "tombé en quenouille" (autrement dit sans héritier mâle) ce qui était exactement le cas avec Marie de Negre qui, bien qu'en étant héritière ne pouvait le porter et le fit "relever" par son mari. Pour ce qui est de l'Abbé Antoine Bigou, si celui-ci semble bien s'être exilé en Espagne, il est cependant enterré au cimetière de Collioures dans les Pyrénées-Orientales. DEFOSR (d) 17 septembre 2011 à 16:06 (CEST)Répondre

Les "Pommes bleues" modifier

Ce n'est pas vraiment la date du phénomène qui fait "monter les imaginations" mais plutôt le fait que ces "pommes bleues" font partie de l'un des décodages des fameux vrais-faux parchemins trouvés par Sauniére (selon Charroux et De Séde) et dont le texte donne :

"BERGERE PAS DE TENTATIONS QUE POUSSINS TENIERS GARDENT LA CLE PAX DCLXXXI PAR LA CROIX ET CE CHEVAL DE DIEU J’ACHEVE CE DAEMON DE GARDIEN A MIDI POMMES BLEUES"

Texte bien connu par tous les amateurs de "l'énigme de Rennes-le-château".

--81.250.249.243 (discuter) 23 février 2016 à 22:50 (CET) --Gargamail (discuter) 23 février 2016 à 22:51 (CET)Répondre

Bonjour et merci pour ces précisions.
Au niveau encyclopédique, on ne peut pas trop rentrer dans ce domaine, mais on peut tout de même évoquer le phénomène, bien que cela soit déjà un petit peu « limite »... alors, évitons d'en rajouter --Jean-Paul Corlin (discuter) 18 avril 2016 à 10:24 (CEST)Répondre

Toponymie modifier

"On ne peut pas évoquer ce qu'Albert Dauzat ne sait pas" Ah bon ? vous avez escamoté Ernest Nègre également. Ces ref sont absolument incontournables dans cette rubrique, alors que cet historien n'est pas une référence pour la question. Si Dauzat et Nègre n'en parle pas, c'est qu'il existe un problème et de toute évidence Reda- n'a pas pu aboutir à Rennes, il s'agit d'un autre mot. On se demande sur quoi repose la théorie de cet historien comme quoi il y aurait eu une tribu appelée Reda ou Redones (nom de la tribu de Rennes et de Redon en Bretagne) dans la région. Source ? Aucun auteur antique n'en parle, ni aucun historien ou archéologue à ma connaissance. Le nom du pagus Radensis ou Redensis est dérivé de Reda, selon le même processus que Rotomagus > Rouen et pagus Rotomagensis > Roumois. En ce qui concerne ce mot Reda, donné sans date, ce qui est une erreur méthodologique, il est vraisemblable d'y voir soit le gaulois rate, ratis « muraille, rempart » > « fort », ce qui est pertinent étant donné l'oppidum et le château, ou encore ratis « fougère », comme Fougères en Bretagne ce qui l'est moins (cf. Delamarre à ce sujet). La forme Reda est une forme médiévale évoluée ou [t] s'est sonorisé en [d], quant au [a], il a fait place à [e] dans cette même forme médiévale, ce qui est fréquent mais pas obligatoire d'où son maintien dans Razès. Ainsi trouve-t-on : Razac-de-Saussignac (de Rezaco 1555), Razac-sur-l'Isle (Razacum XIIIe), Rezay (Raseyum 1397), tous avec le suffixe -acum, Rezé (Ratiaton IIe siècle) avec suffixe -ate (cf. Dauzat et Rostaing, DENLF, p. 558b), peut-être le nom de l'Île de Ré selon Delamarre ce qui en ferait un cas similaire puisqu'il n'y a pas de suffixe dans ce cas. En tout cas ce mot n'a rien à voir avec le nom de Rennes qui a une autre origine. D'ailleurs même en admettant, (sur quelle preuve d'ailleurs ?) que l'origine soit la même que la ville de Bretagne, l'évolution de Redones en Rennes est impossible en langue d'oc, la forme devrait être obligatoirement Redon ou Rezon. De toute façon ça n'a aucun sens. Aucune preuve, aucune forme ancienne, juste des conjectures non encyclopédiques....C. Cottereau (discuter) 28 septembre 2016 à 16:46 (CEST)Répondre

Bonjour,
Les règles sur Wikipedia sont simples : quand on évoque un sujet : on cite et on source... Si Albert Dauzat n'a rien écrit sur Rennes-le-Château (petit village sans intérêt à son époque), il n'y a donc rien à citer, donc rien à sourcer, donc rien à évoquer. C'est tellement simple que je ne vois pas où est le problème... J'ai contribué à tout un tas de sujet concernant des communes de France qu'Albert Dauzat ne cite pas au niveau toponymique et à chaque fois, je n'ai pas évoqué sa « méconnaissance », et cela n'a posé aucun problème à qui que ce soit et je ne pense pas être le seul (et de loin). On peut d'ailleurs parfaitement se passer d'Albert Dauzat pour créer un sujet de toponymie et cela ne pose, là non plus, aucun problème à qui que ce soit.
En ce qui concerne Ernest Nègre (agrégé de lettres), celui-ci évoque bien Rennes-le-Chateau et Rennes-les-bains dans ses écrits, mais selon les mêmes sources que j'ai évoqué, c'est à dire d'après les écrits de Raymond Lizop (agrégé d'histoire), son aîné de 28 ans et dont Nègre s'est inspiré. Relisez le document intitulé « Toponymie générale de la France » publié sur « books.google » (édité par la Librairie Droz à Genève) à la page 156 et vous verrez que ce que j'ai écrit dans ma contribution sur la toponymie de Rennes-le-Château est identique à ce qui est écrit dans cet ouvrage... signé par Ernest Nègre, lui-même. CQFD...
Cordialement--Numenius38 (discuter) 28 septembre 2016 à 21:38 (CEST)Répondre
Je n'ai pas trouvé la version en ligne pour Rennes-le-Château sur google, curieux quand même, car je connais cette source bien évidemment, pouvez vous mettre le lien exact? Non je ne suis pas d'accord, Albert Dauzat fait encore autorité dans ce domaine, alors qu'un historien, à de rares exceptions près comme Michel Roblin, n'en a aucune, car généralement il n'y connaît rien. Je ne suis pas d'accord avec vous quand un toponyme n'est pas traité par un de ces auteurs, penser que c'est un oubli n'a pas de sens, c'est juste qu'il n'a aucune idée sur la question et plutôt que de se lancer dans de sottes conjectures, il préfère ne pas en parler. C'est aussi simple que ça. Ce que vous affirmez me semble erroné, Ernest Nègre ne s'est certainement pas inspiré de Raymond Lizop, puisqu'il est linguiste et Lizop historien, ils ne jouent pas du tout la même partie, à moins que vous me renvoyez à un ouvrage d'onomastique écrit par Raymond Lizop.C. Cottereau (discuter) 28 septembre 2016 à 22:05 (CEST)Répondre
C'est votre opinion et à moins qu'un autre contributeur ait une autre idée sur ce sujet, on en reste là. Quant à la version en ligne sur la toponymie de Rennes-le-Château qui confirme ma contribution, elle est très facile à trouver. Je retire le bandeau pour l'instant. :Cordialement --Numenius38 (discuter) 28 septembre 2016 à 22:16 (CEST)Répondre
Non, ce n'est pas une opinion, le fait est clair : il n'y a aucune référence onomastique dans cette rubrique. Quand on prétend traiter d'un sujet on le fait correctement avec les références adéquates. Cet historien n'est pas une référence en onomastique, d'autant plus que cette référence est donné au travers d'un site douteux. Je vous renvoie à l'article Toponymie de WP. En outre, je persiste et signe pour dire que, si Ernest Nègre a traité le sujet, il n'y en a aucune trace dans google-book, et c'est la raison pour laquelle vous n'en donnez pas le lien. Tout cela relève de la forgerie pure et simple.C. Cottereau (discuter) 28 septembre 2016 à 22:30 (CEST)Répondre
Rebonjour,
Mais qu'est ce que cette mauvaise foi ? Oh ! (en plus d'une certaine incorrection car vous n'utilisez jamais aucune formule de salut ou de politesse). Il suffit simplement de se rendre sur google books, chercher "Toponymie générale de la France" d'Ernest Nègre[1], page 256 au niveau des références 2506 et 2507 pour vérifier ce que j'ai écrit. (je pense que tout lecteur, ici peut le vérifier).
En plus votre assertion concernant un "lien douteux" me faire largement sourire : quasiment tous les sites qui traitent de Rennes-le-Chateau sur le Web peuvent être qualifiés de "douteux" vus leurs quantités et leurs valeurs inégales... Cependant, dans ce cas précis, j'évoque le Pr Raymond Lizop qui lui n'est pas "douteux" et qui possède son propre article sur Wikipedia en tant que spécialiste diplômé (agrégé) en Histoire du Languedoc et du Razès et qu'il a été le premier à se pencher scientifiquement sur la toponymie des lieux, avant Nègre, lui-même et qui a forcément été influencé par ce premier ouvrage comme le fait tout bon chercheur (et qui en a tiré d'ailleurs les mêmes conclusions).
Personnellement, je considère que cette discussion comme terminée et toute tentative d'intrusion ou de modification sans élément nouveau, sans lien sourcé et sans justification sera retirée et un appel à la modération sera effectuée.
Bien cordialement--Numenius38 (discuter) 29 septembre 2016 à 09:49 (CEST)Répondre
Pardon, mauvaise foi ? Qu'est-ce qui vous permet de telles affirmations péremptoires ? Si je vous dis que je n'ai pas pu trouver la ref, c'est que je n'ai pas pu la trouver et ce n'est pas faute de l'avoir cherchée !!! D'autre part, je n'ai pas de leçon de politesse à reçevoir de votre part étant donné que vous me prenez de haut et ne prenez même pas la peine de lire ce que j'ai écrit dans cette page de discussion. Je vous signale également que ce n'est pas votre propre page de discussion mais celle de l'article et cela est une nuance importante. Je vous répète donc qu'un historien qui n'a écrit aucun ouvrage sur l'onomastique n'est pas une référence appropriée pour rubrique toponymie, pas plus que s'il était professeur de médecine, de physique ou de je ne sais quoi. Ces deux matières, certes littéraires, n'ont rien à voir. L'une est du domaine de l'analyse des faits historiques, l'autre du domaine de l'analyse des faits linguistiques. Par conséquent, seule la ref Ernest Nègre est valable, dans la mesure où l'on ne possède que celle la pour le moment dans cette rubrique. De plus, vous devez en premier lieu citer les formes anciennes avec leur date précise, puisque c'est à partir de la que repose l'analyse étymologique d'un toponyme. c'est la seule façon acceptable et logique de présenter la rubrique et tous les contributeurs sérieux et compétents dans ce domaine font de même, par conséquent, je vous invite à vérifier cette rubrique sur les différents article du projet commune. La rubrique dans sa mouture actuelle n'est pas pertinente. Le problème, c'est que votre attitude est typique des gens ayant des connaissances en histoire géographie et qui sans jamais avoir vraiment réfléchi à la question s'imagine que l'onomastique relève de l'une ou l'autre de ces deux matières. S'il y a une rubrique Toponymie dans WP, c'est bien pour en marquer la distinction d'avec l'histoire et la géographie, sinon ça n'a plus de sens.C. Cottereau (discuter) 29 septembre 2016 à 11:41 (CEST)Répondre
Comme je l'avais pressenti, il y a bien un problème avec ce toponyme. C'est sans doute pour ça qu'Albert Dauzat n'en parle pas. Si j'en crois Ernest Nègre qui cite, lui, des formes anciennes, valables et précisément datées, sur lesquelles on peut donc travailler. Ernest Nègre patauge dans la semoule pour expliquer le passage de *Reda- à Rennes, il suppute qu'« on a dû ajouter...et aussi le suffixe gaulois ou roman -enas »....d'où Red-enas > *Reznas, *Rennos (l'astérisque signifie en linguistique que ces formes ne sont pas attestées) > Rennes. Le problème est véritablement qu'on a aucune trace de ce suffixe dans les formes anciennes. Tout ça ne me convient pas, évidemment, malheureusement, n'ayant aucune autre source, je dois m'en contenter.C. Cottereau (discuter) 29 septembre 2016 à 12:02 (CEST)Répondre

Au nom de quel arbitraire peut-on supprimer une ref à Charles Rostaing, spécialiste de la toponymie occitane, dans la rubrique adéquate Toponymie, pour expliquer un toponyme qui plus est situé en occitanie ? Parce que ça plait pas au contributeur lambda ? Je reconnais m'être trompé en disant qu'Ernest Nègre n'avait pas traité le sujet et je remercie le contributeur de me l'avoir amené sur un plateau, car malgré mes nombreuses tentatives de recherche sur Google, je n'avais pas trouvé la ref. Comment peut on affirmer que c'est pas la peine de parler d'Ernest Nègre non plus puisqu'il a repris -soi-disant- les théories de Raymond Lyzop ? Alors qu'ils ne sont pas d'accord sur la forme initiale du toponyme. Il semble bien d'ailleurs que Raymaond Lyzop se soit fourvoyé sur les grandes longueurs, c'est ce qui arrive généralement quand on veut émettre des théories historiques à partir de la toponymie, alors même que l'onomastique n'est pas une science exacte et nécessite de solides connaissances en linguistique historique.C. Cottereau (discuter) 29 septembre 2016 à 17:32 (CEST)Répondre

Bonsoir,
Comme je vous l'ai écrit, ailleurs, on va se calmer (tous les deux). Indiquez ce que vous voulez, même si je pense (c'est plus fort que moi) qu'il ne faut pas trop "charger la mule". Wikipedia est une encyclopédie généraliste, pas un support de cours d'étymologie et de toponymie, sinon cela va devenir assez "imbuvable". Mais bon, allez y, ce que vous écrivez n'est pas si négatif, ni intéressant, en fait. Le seul regret, c'est un peu le passage en force que j'ai eu du mal à digérer au début... mais bon, passons à autre chose et continuons à contribuer en bonne intelligence.
Cordialement --Numenius38 (discuter) 29 septembre 2016 à 21:32 (CEST)Répondre
Tout à fait d'accord, calmons le débat. Je ne crois pas qu'il soit écrit dans les principes fondateurs et dans les régles de fonctionnement de WP et les recommandations qu'il faille limiter quoique ce soit, du moment que c'est correctement sourcé. Il suffit de regarder les articles ayant le label BA, ils sont très longs et il y en a des tartines. Alors je ne vois pas au nom de quel principe on devrait bacler la rubrique Toponymie. La rubrique Toponymie n'est pas un cours de quoi que ce soit et nécessite des développements, puisque ce n'est pas une science exacte, il faut citer les divers spécialistes qui ont développé ce sujet, puisque leurs conclusions divergent. WP n'est pas un média partisan. En outre, dans les BA, c'est toujours l'une des rubriques les plus courtes. Concernant mon attitude, excusez-moi d'avoir donné l'impression de passer en force, mais c'est comme un prof qui à force de corriger des copies finit par en avoir ras-le-bol de lire les mêmes erreurs, erreurs qui je le rappelle discréditent l'ensemble des contributeurs de WP, d'où le « WP bashing » dans les médias. Votre affirmation en introduction comme quoi l'oppidum gaulois s'appelait Redae / Rhedae est simplement fausse : On a aucune idée du nom de l'oppidum gaulois près de 1000 ans avant la première attestation qui date du XIe siècle. Quant à la forme *Rhedae, c'est encore un coup d'un fonctionnaire de mairie qui aura mal recopié son texte, bref une cacographie pure et simple. C'est tout à fait évident puisque les spécialistes qui ont fait les recherches sur les formes anciennes ne citent pas cette forme bidon (aussi bien Lyzop que Nègre, d'ailleurs). Quant à la forme Redae, elle représente l'évolution phonétique de 10 siècles, avec en prime, le passage de plusieurs langues, le gaulois, bas latin, l'occitan et le français. Il est évident que le nom a évolué phonétiquement, comme il a évolué phonétiquement par la suite ce que montre les attestations suivantes recueillies. Il faut bien comprendre qu'avant d'être fixé graphiquement / phonétiquement par une administration centrale moderne, grosso modo à partir du XIXe siècle, les toponymes évoluaient phonétiquement avec la langue parlée dont ils sont un élément, même après perte de sens (délexicalisation). Il me semble par conséquent exclu que Redae ne soit pas une forme phonétiquement évoluée. Personne ne peut donc affirmer que l'oppidum gaulois avait ce nom, personne, il pouvait très bien s'appeler *Ratis, ce qui est pour moi beaucoup plus pertinent, mais hélas on en a pas la preuve donc on doit se contenter d'analyser la forme la plus anciennes Redae et les plus semblables suivantes. En plus de ne pas être la forme initiale de l'oppidum, Redae est une forme fictive, c'est à dire latinisée et en plus en latin classique, langue savante. Or, un toponyme, à de rares exceptions près, est une formation populaire. Or le latin vulgaire ignore la désinence -ae dans sa déclinaison, remplacé par e, mais les formes en -is suivantes semblent indiquer qu'il s'agit d'un autre genre et d'une autre déclinaison que celle de rosa. Il faut savoir que l'on parlait le très ancien occitan dès le Xe siècle, même si on n'en conserve pas trace, puisque les clercs continuaient à écrire en latin. Evidemment on pourra me rétorquer que la forme latine conserve souvent, en partie du moins, la phonétique de la forme d'origine, à la fois oui et non, car il arrive que ces latinisations soient totalement fantaisistes. En tout cas, on remarque que même ces latinismes rendent parfois compte de l'évolution romane du toponyme ainsi trouve-t-on [castellum] Redae en 1002 (cad château de *Reda; génitif sing. déclinaison rosa, fém., réduite d'ailleurs à un simple -e en latin vulgaire), [castrum] de Redis (génitif singulier en -is de la IIIe déclinaison, à moins d'y voir un ablatif pluriel, ce qui parait bizarre, de la première déclinaison rosa), Redez / [castrum] Redes (-es semble être une évolution de -is) en 1067 - 70 avec la seule désinence réelle de l'aspect phonétique du nom tel qu'il était prononcé et dit depuis lontemps. Retour donc avec Rezae, attestation de 1258, d'une désinence fictive dans un texte essayant de bien écrire le latin, mais avec une bizarrerie typique du latinisme artificiel : elle prend en compte l'évolution romane, c'est-à-dire [t] > [z]. C'est à mourir de rire ou à piquer sa crise, tous ces contributeurs qui écrivent benoîtement : « le nom de la commune a eu successivement plusieurs orthographes ».Bien à vous.C. Cottereau (discuter) 30 septembre 2016 à 19:12 (CEST)Répondre
Une dernière remarque : je n'ai pas exclu totalement la forme Rhedae, mais ce n'est pas la forme la plus ancienne, ça c'est sûr, et elle n'est pas pertinente, c'est pourquoi aucun spécialiste ne la retient. Il est possible qu'elle fasse partie d'un stock de formes anciennes entre le XIe et le XVIe XVIIe, voire XVIIIe siècle. A ce niveau on atteint le summum de la latinisation, car les Romains ont souvent ajouté ce h intercalaire aux mots gaulois (cf. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, Errance 1994), ainsi reda, véhicule gaulois est-il devenu rheda sous la plume des classiques, *Renos> Rhenus "le Rhin", *Rodanos > Rhodanus "le Rhône", on remarquera au passage que les graphies modernes retiennent ces deux latinismes. Cette attestation Rhedae, si elle existe, ce qui reste à prouver, est évidemment celle d'un scribe bon latiniste qui a pensé au véhicule. Pour en revenir à mon idée de *Ratis « forteresse » au lieu de Reda « chariot » je la trouve bien plus pertinente pour expliquer un nom de lieu, car je vois mal un endroit s'appeler simplement « chariot » sans aucun autre appellatif, ni suffixe, contrairement par exemple à Carpentras de Carpento-rate, « fort des chariots ». Reste la question essentielle, phonétique, Ratis > Redes, évolution possible à mon avis. Quant à l'hypothétique *Redena jamais attesté à l'origine de la forme Rennes, pourquoi pas, c'est peut-être un lieu secondaire de *Redes, avec un nom dérivé, qui a fini par le supplanter, c'est assez courant en toponymie. En tout cas, je ne suis pas du tout d'accord avec R. Lysop quand il écrit qu'il y aurait eu une forme savante Reda et une forme populaire *Redonas, outre le caractère douteux de *Redonas > Rennes, la forme Redae passée à Rezae prouve qu'il n'en est rien.C. Cottereau (discuter) 1 octobre 2016 à 15:06 (CEST)Répondre

Liens externes modifiés modifier

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 3 lien(s) externe(s) sur Rennes-le-Château. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 16 avril 2018 à 23:00 (CEST)Répondre

Jean-Jacques Sanvert modifier

Jean-Jacques Sanvert (dans Le Magicien n° 142 de mars 1996) dit que Rennes-le-Château pourrait abriter quelque chose d'encore plus important que le tombeau de Jésus-Christ.

Sanvert s'est-il exprimé ailleurs sur ce sujet et a-t-il dit ce qui pourrait se trouver à cet endroit ? (je n'ai pas lu toute l'interview répartie entre plusieurs numéros du Magicien). Apokrif (discuter) 6 novembre 2019 à 15:03 (CET)Répondre

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