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Travail inédit ? Vérifier : 1)- aucune source n'utilise "suprématisme" dans son titre (en quoi est-ce gênant puisque le thème de l'article est le suprémacisme ?) ; 2)- confusions avec des notions qui suggèrent l'idée de domination (lesquelles exactement ? pour corriger l'article, il faut définir ces notions et ces confusions) ; 3)- certaines sources sont totalement obsolètes (lesquelles ? et qu'est-ce qu'une "source obsolète" ? par exemple, est-ce que Joseph-Arthur de Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines Hanovre-Rumpler, 1853, est obsolète ? pour les idées et scientifiquement, c'est évident, mais en tant que point de repère historique dans l'évolution des idées, et en tant que socle idéologique du racisme, il faut pourtant bien mentionner son existence, n'est-ce pas ? Bref, nous avons besoin d'éclaircissements). 2A01:CB1C:821F:A400:79E8:15F8:8419:4C92 (discuter) 24 mai 2023 à 17:54 (CEST)Répondre

Bonjour @2A01:CB1C:821F:A400:79E8:15F8:8419:4C92
1)Aucune source n'utilise "suprémacisme", bien sûr ; suprématisme est une coquille.
2)Je n'ai pas trouvé au cours d'une rapide recherche en ligne une définition académique et solide de "suprémacisme". Si je n'ai pas le temps d'effectuer une plus longue recherche, je signale le caractère problématique d'un article au sujet mal défini, où l'on trouve pêle-mêle des idées et des pratiques de tous les siècles et de tous les continents, non contextualisées, en vrac.
3)Sources obsolètes : voir Wikipédia:Source fiable#Sources anciennes. Gobineau est une source obsolète ; vous ne pouvez la citer que si elles est encadrée et analysée par une source secondaire moderne, qui la fait apparaître comme un repère dans l'histoire du suprémacisme. Vous ne pouvez pas vous substituer aux chercheur.se.s : vous avez fait du travail inédit, et livré une recherche personnelle, ce qui est interdit.--JMGuyon (discuter) 24 mai 2023 à 18:12 (CEST)Répondre
Merci @JMGuyon, je comprends mieux le souci. C'est surtout une traduction de l'article anglais qui has multiple issues. Le terme "suprémacisme" semble être surtout journalistique. Il me semble donc désormais qu'il "vaut mieux ne rien faire" ici... jusqu'à ce que les chercheurs aient fait et publié leurs recherches. Cordialement, 2A01:CB1C:821F:A400:79E8:15F8:8419:4C92 (discuter) 24 mai 2023 à 20:08 (CEST)Répondre
@2A01:CB1C:821F:A400:79E8:15F8:8419:4C92 Concernant le 1er point, j'ai effectué une recherche sur google scholar jusqu'à la 12e page en anglais sans jamais trouver dans un titre "suprémacisme" seul ; c'est toujours "white supremacism", "male supremacism", "buddhist/jewish/islamic supremacism", "human supremacism". Le titre de cette source m'a donné de l'espoir https://journals.lub.lu.se/st/article/view/9740 mais quand on clique sur le pdf il se révèle que le mot n'est jamais employé dans l'étude.
EN français, je trouve le compte rendu de Suprémacistes, l'enquête mondiale chez les gourous de la droite identitaire.Philippe-Joseph Salazar Paris, Plon, 2020, 304 page https://www.proquest.com/openview/7e76aaf75208e4b76b1cecb484a5829f/1?pq-origsite=gscholar&cbl=2036831 ; ce qui rend l'article admissible.
La conséquence est que je vais tout enlever du contenu de l'article hors ce qui concerne la droite identitaire actuelle.
S'il y a d'autres sources c'est le moment de les donner avant que je ne pratique WP:TNT--JMGuyon (discuter) 24 mai 2023 à 20:10 (CEST)Répondre

Projet de tout effacer pour recommencer modifier

Voir la section précédente.

Je recommencerais en me fondant sur 2 sources :

  • Suprémacistes, l'enquête mondiale chez les gourous de la droite identitaire.Philippe-Joseph Salazar Paris, Plon, 2020 ; compte rendu autre que celui cité plus haut : https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/01/19/charlottesville-capitole-salazar/
  • https://www.jbe-platform.com/content/journals/10.1075/jlac.5.2.02bai : seul le résumé est accessible mais il confirme la définition du livre de Salazar : "suprémacisme" s'entend pour des discours de l'extrême-droite actuelle uniquement ; l'idée principale est celle d'une idéologie raciste anti-immigration, d'une invasion d'immigrés qui représenteraient un poids insupportable, et du refus du multiculturalisme traduit comme un génocide blanc. Il s'agit d'une idéologie mondiale / transnationale.

JMGuyon (discuter) 24 mai 2023 à 20:26 (CEST)Répondre

VERSION SUPPRIMEE :

Le suprémacisme est une idéologie de supériorité et de domination : elle affirme qu'une certaine catégorie de personnes est supérieure aux autres et se doit de dominer ou d’asservir, ou est en droit de le faire. La catégorie supposée supérieure peut être définie par une race, un sexe, une classe, une religion, une civilisation, une culture, une langue ou autre système de croyances[réf. nécessaire]

C’est ainsi une notion qui, s’appuyant sur l’idée d’une mission civilisatrice des dominants, réunit toutes les formes particulières de croyances en la supériorité ou la domination naturelle d’une catégorie de personnes sur les autres, simplement parce que l’on appartient ou est censé appartenir à cette catégorie, réelle ou supposée. Le suprémacisme se traduit ainsi dans la pratique par la domination d’une élite, d’une classe gouvernante et privilégiée sur d’autres milieux ou communautés qui sont discriminés légalement ou factuellement.[réf. nécessaire]

un sexe, une classe, une religion, une civilisation, une culture, une langue ou autre système de croyances[réf. nécessaire]

Suprémacisme de l’espèce humaine modifier

Apparue dans l’Ancien Testament[1], l’idée d’« Homme créé à l’image de Dieu », destiné à « dominer la Terre et les autres créatures », est partagée par les religions abrahamiques, mais se diffuse aussi dans l’anthropologie, la philosophie et la physiocratie[2], étayant la croyance anthropocentriste qui considère l’espèce humaine comme le « fleuron de l’évolution »[3], au sommet d’un « ordre naturel »[4] qui lui donne le droit d’exploiter les ressources de la Terre selon ses besoins, sans se soucier des autres espèces[5].

Suprémacisme de race modifier

Parade du Ku Klux Klan à Washington, D.C. en 1926.

Bien que la notion de « race humaine » ne soit pas biologiquement valide[6] pour l’espèce Homo sapiens[7], elle est largement utilisée par les mouvements conservateurs qui utilisent la dépréciation de diverses « races » considérées comme « inférieures », « nuisibles » ou « parasitaires », et ont historiquement pu aller jusqu’à leur extermination[8] (voir Génocide, Shoah, Porrajmos, Aktion T4…).

Suprémacisme de race motivé par la religion modifier

Le suprémacisme de race, par exemple le suprémacisme blanc, peut parfois se parer de motivations religieuses.

Christianisme modifier

L’Église catholique romaine a ainsi soutenu l’esclavage, notamment par la bulle du pape Nicolas V, Romanus pontifex publiée en 1454, qui légitime l’esclavage des Africains[9]. Dans le Sud-Est des États-Unis (Bible Belt) et en Afrique du Sud, par exemple certains calvinistes et évangéliques se sont appuyé sur une interprétation littérale de la malédiction de Canaan dans le livre de la Genèse (9:25 à 27) et de la « Table des peuples », pour justifier l’esclavage, la ségrégation et l’apartheid, encouragés par les doctrines raciales de l’anthropologie du XIXe siècle [10],[11], héritées d'Arthur de Gobineau à qui l’on doit le premier livre en français s’appuyant sur la science pour tenter de prouver la hiérarchie des races dans son Essai sur l’inégalité des races humaines[12].

Islam modifier

Le statut d'esclave est soutenu par le Centre de recherches et de fatwas de Daech qui a établi que ces pratiques existaient déjà au Moyen Âge, avant que l'esclavage ne soit aboli[13]. Selon un document daté du , présenté par l'agence de presse Iraqi news[14], l'État islamique aurait fixé le prix de vente des femmes yésides ou chrétiennes, comme esclaves, entre 35 et 138 euros. « Une fillette âgée de un à neuf ans coûterait 200 000 dinars (soit 138 euros), une fille de dix à vingt ans 150 000 dinars (104 euros), une femme entre vingt et trente ans 100 000 dinars (69 euros), une femme entre trente et quarante ans 75 000 dinars (52 euros) et une femme âgée de quarante à cinquante ans 50 000 dinars (35 euros) ». Le document mentionne l'interdiction « d'acheter plus de trois femmes », sauf pour les « Turcs, les Syriens ou les Arabes du Golfe »[15].

Indou modifier

Suprémacisme de genre modifier

L’idéologie postulant que le masculin prime sur le féminin, considère que la force musculaire qui est, en moyenne, plus grande chez les Homo sapiens mâles, constituerait un « ordre naturel », issu de l’évolution ou d’une volonté divine, qui donnerait aux hommes un statut supérieur aux femmes, avec plus de droits et de responsabilités, notamment celle de gouverner seuls les sociétés. Cette idéologie va souvent de pair avec l’homophobie et les différentes autres formes de discriminations familiales et sexuelles, mais trouve sa réponse dans le suprémacisme féminin, beaucoup plus rare et cantonné le plus souvent à la littérature et à la science-fiction, qui inverse les rôles en postulant que l’intelligence féminine et la maternité constitueraient une autre forme de « supériorité naturelle », l’homme étant alors réduit au rôle de fécondateur[16].

Suprémacisme de classe modifier

Affiche soviétique de 1935 avec l'inscription suprémaciste de classe « Le monde entier sera à nous ! », par Jacob Zavialov (1887-1938).

Compatible avec l’idéologie méritocratique, qui postule que les personnes au sommet de l’échelle sociale ont des droits étendus vis-à-vis du reste de la société, par exemple en ce qui concerne la consommation des ressources ou les décisions favorisant leur maintien au sommet de la pyramide sociale, le suprémacisme de classe peut être aristocratique (systèmes monarchiques), bourgeois (systèmes capitalistes) ou prolétarien (systèmes marxistes-léninistes communistes). Quel qu’il soit, le suprémacisme de classe s’appuie sur les notions de lutte des classes et d’ennemi de classe, et peut se revendiquer comme démocratique[17].

Suprémacisme religieux modifier

Le suprémacisme religieux postule que les dogmes d’une religion expriment une vérité absolue et indiscutable, donnant aux adeptes de cette religion droit à une supériorité sur ceux des autres confessions, et un devoir de convertir ces derniers à la religion dominante. C’est entre autres le cas de la notion de Filioque dans le catholicisme, qui postule que le Saint-Esprit procède non seulement de Dieu-le-Père, mais aussi de son fils Jésus-Christ, ce qui justifia l’alternative « la conversion ou la mort » qui fut imposée dans le cadre des guerres de religion et du colonialisme[18] ; dans l’islam aussi, la loi musulmane légitime diverses discriminations entre d’un côté les ikhwan mukhlis et les ma’mīnīm (« frères croyants » et « convertis », dominants) et de l’autre côté les dhimmis et les kafres (non-musulmans, « protégés » ou simples « infidèles », dominés)[19]. Il existe aussi un suprémacisme juif[20],[21].

Suprémacisme civilisationnel ou linguistique modifier

Les pays impérialistes et colonialistes d’Europe occidentale ont donné comme principale justification à leurs campagnes coloniales la « supériorité » de leur civilisation définie par la notion d’occident chrétien, justification qui s’est incarnée dans les expressions « fardeau de l’homme blanc » forgée par Rudyard Kipling[22] et « choc des civilisations » popularisée par Samuel Huntington[23]. En Russie, un messianisme lié aux notions de « troisième Rome »[24], de « patrie du socialisme » et, plus récemment, de « renaissance russe » (vozrojdenie Rossii), génère une vision péjorative de la civilisation européenne qui serait décadente parce que l’idée des droits de l'Homme y place les droits de l’individu au-dessus du « destin commun de la nation » (obchtchestvo sud’by, notion définie en 1936 sous le nom de Schicksalsgemeinschaft par l’autrichien Alois Carl Hudal[25] dans le sens de « courant de l’histoire et tendances de l’évolution d’une nation »)[26]. Imprégnée par cette vision, la nomenklatura russe post-soviétique refusa d’adhérer au modèle civilisationnel international qui lui était proposé dans la décennie 1990 et choisit de relancer la guerre froide et même la guerre tout court afin de reconstituer la puissance impériale de la Russie[27]. Une semblable évolution s’est produite en Chine à partir de la répression du « Printemps de Pékin » et durant le processus de « normalisation » qui a suivi[28].

Effets des idéologies suprémacistes modifier

La diffusion croissante des idées suprémacistes au XXIe siècle va de pair avec l’intensification de la domination de l’espèce humaine sur les autres espèces et sur les équilibres dynamiques de la Terre, avec la radicalisation de toutes les sphères idéologiques et avec l’exacerbation des tensions internationales, qui relancent une nouvelle course aux armements, sans qu’il soit possible de discerner ce qui relève de la cause, et ce qui relève de l’effet[29],[30].

Suprémacisme modifier

[Message transféré depuis la pdd de JMGuyon]

Bonjour M. Guyon,

Je vous écris car vous avez pris la décision de modifier en profondeur la page précitée.

Je ne comprends pas cette démarche, puisque wikipaedia est un lieu de collaboration et supprimer tout le contenu d'une page pour n'y placer que les considération que vous trouvez valable n'est pas ce que j'appelle de la collaboration.


selon le robert : https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/supremacisme/

"Partisan d'une idéologie qui postule la suprématie d'un groupe d'individus"

selon Larousse: https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/supr%C3%A9macisme/188311

"Idéologie qui postule la supériorité d’un peuple ou d’une civilisation sur tous les autres, et légitime ainsi leurs aspirations hégémoniques."


Ce sujet me tient à coeur, car le suprémacisme est un terme clé de notre époque. Il évoque autant nos problèmes de mépris de classe lié à un suprémacisme social (français par exemple) que le masculinisme ambiant (, ou les revendications de quasi tous les groupes religieux fondamentalistes. (dernier exemple en date: https://www.reformes.ch/societe/2023/08/civitas-le-catholicisme-est-la-seule-veritable-religion-civitas-eglise-catholique)

Comment procéder pour que l'on redonne toute la diversité requise aux définitions de ce terme, en renforçant si nécessaire les références nécessaires.

En vous présentant mes meilleures salutations et dans l'attente d'une collaboration que j'espère fructueuse.

Avec mes meilleures salutations.

J-F Pochon Jfpochon (discuter) 10 août 2023 à 20:24 (CEST) JMGuyon (discuter) 10 août 2023 à 21:17 (CEST)Répondre

Bonjour @Jfpochon
Comment faire demandez-vous ? Il faut remédier aux problèmes indiqués dans la 1ère section de l'article : trouver des sources centrées sur le suprémacisme ; ne pas piocher à droite à gauche des passages qui semblent correspondre à la définition du mot que l'on a trouvée dans le dictionnaire, car alors on ferait un travail inédit prohibé dans Wikipédia.
Mais de toute façon, vous ne pourrez pas utiliser dans cette page cette source https://www.reformes.ch/societe/2023/08/civitas-le-catholicisme-est-la-seule-veritable-religion-civitas-eglise-catholique, où le terme "suprémacisme" n'est jamais utilisé. Cordialement--JMGuyon (discuter) 10 août 2023 à 21:22 (CEST)Répondre
si le terme n'y est pas utilisé, on y parle par contre que de ça. Il me semble que votre approche vise à une sanctuarisation des connaissance qui sent la poussière, et ce n'est plus aucun musée n'ose fonctionner sur ce mode. C'est bien par l'ouverture d'esprit et la curiosité, l'exploration et la mise en lien des concepts que la pensée se développe. Sinon, il suffit de demander à Chat-GPT, qui fera très bien le travail.
Je vais requérir la modification de la page, mais je voulais vous en parler avant ( question de respect ).
Meilleures salutations.
J-F Pochon Jfpochon (discuter) 3 septembre 2023 à 22:04 (CEST)Répondre
Bonjour @Jfpochon
Vous pouvez "requérir la modification de la page" si vous voulez, mais le plus probable est que l'on vous conseillera de discuter pour que l'on se mette d'accord.
EN fait, je n'ai pas le choix ; la méthode que je suis m'est imposée. Celle que vous préconisez (se servir dans des sources où le mot "suprémacisme" n'apparaît pas) est proscrite. Elle porte un nom : WP:Synthèse inédite. Je vous suggère de lire ce texte.
Par ailleurs, j'avais annoncé de manière collaborative mon intention de modifier cette page (cf. ci-dessus, 24 mai, "Projet de tout effacer pour recommencer") en donnant les raisons. Cordialement--JMGuyon (discuter) 3 septembre 2023 à 22:18 (CEST)Répondre

Notes et références modifier

  1. Livre de la Genèse (1:31 et 2:4-25).
  2. Pierre-Paul Lemercier de La Rivière de Saint-Médard, L'Ordre naturel et essentiel des sociétés politiques (2 tomes), Londres et Paris 1767 lire en ligne sur Gallica
  3. Jean-Claude Léonide, L'évolution de l'amibe au cerveau humain en perspective élargie, Promothea, 1993, (ISBN 9782910040024).
  4. Vinciane Despret, « La hiérarchie est-elle bien naturelle ? » in Sciences Humaines n° 250 - Juillet 2013, [1]
  5. Derrick Jensen, Le mythe de la suprématie humaine, (ISBN 978-2-490403-24-0 et 2-490403-24-9, OCLC 1374926144, lire en ligne)
  6. Frédéric Monneyron, L'Imaginaire racial, L'Harmattan 2004.
  7. Pour qu’il y ait « race » du point de vue biologique, il faut qu’il y ait concordance entre génotype et phénotype, ce qui n’est pas le cas dans le genre humain : voir John Maynard Smith, La Théorie de l'évolution, Petite Bibliothèque Payot, 1962.
  8. Carole Reynaud-Paligot, Races, racisme et antiracisme dans les années 1930, Presses Universitaires de France, 2007.
  9. Jean-Marc Party, L’Eglise catholique et l’esclavage, sujet de débats, FranceTélévisions la 1ère Martinique, 30 mars 2018
  10. Pierre-André Taguieff, La couleur et le sang : doctrines racistes à la française, Paris, Mille et une nuits, , 236 p. (ISBN 2-84205-640-X et 9782842056407)
  11. Agnès Lainé, « Ève africaine ? De l’origine des races au racisme de l’origine », dans François-Xavier Fauvelle-Aymar, Jean-Pierre Chrétien et Claude-Hélène Perrot, dir., Afrocentrismes. L’histoire des Africains entre Égypte et Amérique, Paris, Karthala, , p. 105-125
  12. Joseph-Arthur de Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines, Paris, Hanovre-Rumpler, (lire en ligne)
  13. Eléonore de Vulpillières, « Théologie du viol : quand Daech rétablit l'esclavage des femmes », lefigaro.fr, 17 août 2015.
  14. Iraqinews, « ISIS document sets prices of Christian and Yazidi slaves », iraqinews.com, 3 novembre 2014
  15. Le Parisien, « Irak : comment Daech fixe les prix de vente des femmes esclaves », leparisien.fr, 15 novembre 2014.
  16. Raewyn Connell (trad. Claire Richard, Clémence Garrot, Florian Voros, Marion Duval et Maxime Cervulle, postface Eric Fassin), Masculinités. Enjeux sociaux de l'hégémonie, Paris, Amsterdam, , 288 p., p. 11
  17. La notion de « lutte des classes » apparaît au XIXe siècle chez les historiens libéraux français de la Restauration : François Guizot, Augustin Thierry, Adolphe Thiers et François-Auguste Mignet, auxquels Karl Marx l'a emprunté en 1852 : « Ce n'est pas à moi que revient le mérite d'avoir découvert ni l'existence des classes dans la société moderne, ni leur lutte entre elles. Bien longtemps avant moi, des historiens bourgeois avaient décrit l'évolution historique de cette lutte des classes, et des économistes bourgeois en avaient analysé l'anatomie économique. » (lettre de Marx citée dans Maximilien Rubel (éd.), Sociologie critique, Payot, p. 85).
  18. David Bradshaw, (en) Aristotle East and West. Metaphysics and the division of Christendom, Cambridge University Press 2004, p. 159.
  19. H. Patrick Glenn, (en) Legal Traditions of the World, Oxford University Press 2007, p. 219.
  20. « Israël. Nétanyahou s’allie à l’ultradroite en vue des législatives », sur Courrier international, (consulté le ).
  21. Piotr Smolar, « En Israël, les deux principaux rivaux de Nétanyahou s’unissent pour le battre », Le Monde, .
  22. (en) Rudyard Kipling, « The White Man's Burden : The United States and the Philippine Islands », McClure's Magazine, vol. 12, no 4,‎ , p. 290
  23. Samuel Huntington, Le Choc des civilisations, Éditions Odile Jacob, Paris, 1997.
  24. Georges Florovsky, Les Voies de la théologie russe, Paris 1937, en français par J.C. Roberti, Desclée de Brouwer Eds., Paris 1991, p.150.
  25. Alois Carl Hudal, Die Grundlagen des Nationalsozialismus (« Les bases du national-socialisme »), 1936.
  26. Hannah Arendt, Les Origines du totalitarisme, tome Sur l’antisémitisme, trad. par Micheline Pouteau, Calmann-Lévy, Paris 1973 ; trad. révisée par Hélène Frappat, Gallimard, coll. « Quatro », Paris 2002 ; éd. poche, Seuil, coll. « Points/Essais », no 360, Paris 2005. (ISBN 978-2-02-086989-8).
  27. (en) Simon Hooper, « Russia: A superpower rises again », Cable News Network, (consulté le )
  28. Christian Harbulot, « La normalisation : le cas de la Chine », in École de pensée sur la guerre économique du 20 mars 2023, [2].
  29. Christian Bardot (dir.), Frédéric Besset et al., Histoire, géographie, géopolitique du monde contemporain, Paris, Pearson Education France, coll. « Cap Prépa », , 512 p. (ISBN 978-2-744-07273-4)
  30. (en) Guy Ankerl, Global communication without universal civilization, Genève, INU Press, coll. « INU societal research series / Global communication without universal civilization », (ISBN 978-2-881-55004-1, lire en ligne)

A propos de la proposition de fusionner "suprémacisme" avec "suprémacisme blanc". modifier

Bonjour à tous.


La fusion des deux articles serait une très mauvaises idées car le suprémacisme tout court parle d'un ensemble (économique, soft power, racialisme, bref de sujet divers et variés) alors que le "suprémacisme blanc" comme le "suprémacisme noir" sont des sujets bien précis.


Il faudrait plutôt améliorer cet article au lieu de le fusionner. Petru30 (discuter) 3 avril 2024 à 16:29 (CEST)Répondre

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