Discussion:Violence féminine

Dernier commentaire : il y a 4 ans par Okhjon dans le sujet Mary Melody Bourbon
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Cet article me pose plusieurs problèmes :

  1. il reste des tournures à revoir et sans doute des fautes
  2. ça me fait l'effet d'un article de magazine, j'espère que ce n'est pas repompé. Après réécriture, pourra-t-on le considérer comme lavé de tout copyvio ou est-ce que je perds mon temps ? De toutes façons il faudra virer des citations, il y en a beaucoup trop.
  3. partialité manifeste (et probablement totalement naïve) pour l'essentialisme (la fameuse "nature" féminine) + risque de partialité inverse de ma part

Adrien(ne) [1729] 8 octobre 2007 à 10:05 (CEST)Répondre

Les citations sont longues et les reprises d'ouvrages prennent trop de place j'en conviens ce qui donne un effet "pompage" . L'intertextualité de citation trop longue finit par faire plagiaire. Il faut donc les diminuer. L'entrée spécifiquement "psy" et plus encore jungienne ( c'est mon truc et j'ai donc parlé de ce que je connaissais et j'ai cité les ouvrages si référents...) ... est reductrice c'est sur ! Il faut que d'autres écrivent d'autres entrées d'études .

Seulement, en la matiére a part, quelques psys et quelques ouvrages de travailleurs sociaux , la production en général en sciences sociales est relativement pauvre ? Il va falloir qu'on lise ...

Comme tu le dis lorsque tu parle de partialité il y aurait quelquechose de l'ordre du tabous, du camps a choisir ... ben franchement intellectuellement moi j'aime pas les camps meme si evidemment je suis référéncés a quelques écoles de pensées . Il m'interesse plus ici, donner à comprendre ce "truc" et comment il a était pensé par certains. Et je te prête ce même intéret comme celui de ne pas vouloir voire ecrit, tout et n'importe quoi, d'ou ton heureuse vigilance.

Maintenant voila je suis dispo et pret a bosser avec toi. On cherche des pistes ? On reconstruit l'article ? N'hésite pas a me recontacter sur ma page.

PlexusSolaris 16 octobre 2007 à 01:36 (CEST)Répondre


Je ne suis pas du tout spécialiste de cette question. Cependant, votre article m'a vraiment intéressé, passionné... Merci pour tout votre travail de synthèse. Toutefois, sans prétention, je vous relate ce que votre article me suggère comme interrogations :

  1. J'imagine que l'agressivité et la domination sont des facteurs de base de la violence (point de vue d'un Candide)... Ensuite, il y a des éléments déclencheurs... mais ceux-ci sont moins utiles pour comprendre la violence. A partir des différentes "composantes" de la violence, est-il possible de comparer la violence des hommes et celles des femmes ? Est-il possible d'expliquer la violence conjugale ?
  2. Les statistiques fournies par le 119 sont des éléments pertinents de votre approche. Ces statistiques montrent la violence faite aux enfants. A partir des différentes composantes de la violence, est-il possible d'expliquer celle qui est faite aux enfants ?
  3. Est-il possible enfin de corréler toutes ces violences pour expliquer ce qui se passe dans une famille et dans la société ?

Intuitivement, sans aucune connaissance ou référence, je vous livre mon point de vue qui n'est que personnel. Pardonnez moi si j'exprime des sottises. Ce que j'écris peut être effacé. Je pense que la violence (de l'un vers l'autre) ne s'installe que s'il existe une "domination" et de l'agressivité. La domination peut être psychologique ou physique. Généralement, l'homme est plus fort (musculairement) que la femme. Mais j'imagine que la femme est plus agressive... La femme est plus "forte" que l'enfant. Aussi, le nombre de femmes susceptibles de se montrer violentes envers leurs époux (violence physique) est probablement inférieur à ce qu'il pourrait être, et que beaucoup de femmes doivent refouler leur violence. Cela a probablement pour effet d'augmenter l'agressivité de ces femmes. La femme peut être violente contre les enfants. Elle peut ainsi matérialiser son agressivité. L'homme peut être facilement violent, puisqu'il est physiquement le plus fort. Bien sûr à cela s'ajoute la culture machiste encore omniprésente dans certaines couches de la société pour expliquer les violences faites aux femmes... mais je ne pense que cela soit prédominant (?) Voilà, je reste sur ma faim (ma fin).

Menfous (d) 13 janvier 2010 à 21:05 (CET)Répondre

% (Les maltraitances sur enfants)

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Il faudrait expliquer un peu plus ces pourcentages. Pourcentage de quoi ? Pourcentage d'agressions commises par les femmes sur l'ensemble des agressions ? Pourcentage de femmes commettant ce type d'agression sur l'ensemble des femmes ? Répartitions en pourcentage des types d'agressions commises par des femmes ? Alors intuitivement on a tendance à ne retenir qu'une seule hypothèse mais il serait bon que ce soit bien clair.

Lacrymocéphale 4 juin 2008 à 10:00 (CEST)Répondre

Marie Besnard

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Marie Besnard ayant été acquittée, il n'est pas normal de la faire figurer parmi les tueuses en série. Gustave G. (d) 30 octobre 2008 à 18:22 (CET) Oui ! PlexusSolaris (d) 31 octobre 2008 à 01:03 (CET)Répondre

Information digne d'intérêt ?

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Il m'a paru judicieux d'indiquer un paragraphe sur l'état de la situation en France, où il semble que le sujet spécifique de la violence féminine ne fasse l'objet d'aucun organisme ou association qui la prend particulièrement en charge. Comme dans d'autres domaines, il semble que des pays voisins soient plus avancés que nous en la matière. J'ai donc introduit un lien externe et un petit passage pour parler de l'association Face à Face qui est bien implantée en suisse francophone, et commence à bénéficier d'une petite popularité grandissante en France, certainement du fait de l'absence d'équivalent dans l'hexagone. J'espère que ce lien pourra servir à celles et ceux qui sont confrontés au phénomène, aussi il m'a semblé utile de le signaler. Nairolf FR (d) 15 février 2009 à 06:14 (CET)Répondre

Tiens, je viens juste de voir qu'on parlait de l'association et de sa présidente dans la référence 8 :-) Mais c'était un peu trop discret, vu que l'article à recycler est noyé sous un tas de citations qui rendent la lecture difficile. Incontestablement, un bon recyclage ne ferait pas de mal ici... Nairolf FR (d) 15 février 2009 à 06:17 (CET)Répondre

Renommage

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Le titre "violence féminine" semble plus adapté que "violence des femmes" en raison de la convention de nommage des articles (l'usage de l'adjectif est ici préférable au nom commun au pluriel). Ce sera un bon préalable également au recyclage de l'article, qui en a bien besoin.Nairolf FR (d) 26 février 2009 à 23:44 (CET)Répondre

le regard de la société

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bonjour, je pense aux sanctions pénales, je ne suis pas psy mais juriste de formation
un homme tue sa femme ou sa partenaire, on est souvent choqués de la peine légère 3 ans, 5 ans, le maximum n'est souvent même requis -quelle est la valeur de la vie d'une femme ?-
mais si c'est la femme qui est meurtrière, soudain on arrive à 25, 30, 50 ans... ce n'est pas la "valeur de la vie d'un homme" puisque quand celui qui a tué est un homme la peine est bien moindre mais toujours moins légère que si la victime est une femme, je vois plutôt le "scandale" de la transgression d'un tabou, la menace que représente celui qui renverse les valeurs établies de la société, agression contre l'autorité, dieu/idole, roi, père, le danger doit être écarté et là la nécessité de l'exemplarité de la peine est sous jacente
je n'ai jamais eu l'occasion de me pencher sur ce phénomène qui me soucie et je m'attendais à trouver des références ici
la violence fait peur, celle des femmes révulse, pour la raison ci-dessus du tabou, qui aussi s'applique à l'aspect essentiel du rôle maternel dans la société, pour la sécurité sociale une mère doit être un refuge pas une menace, la mère représente la base (en tant que support et la base arrière où l'on se replie) de la sécurité
et la violence d'une mère déroute, apparaît comme une abhération, vue comme exceptionnelle, alors que les chiffres fournis dans l'article montrent que c'est plus souvent la mère qui est actrice -à priori je pense parce que c'est plutôt elle qui s'occupe des enfants, elle a plus d'opportunités, et parfois parce qu'elle est mal située dans la société, elle vente ainsi sa frustration, encore une fois ce ne sont que des réflexions d'une non spécialiste
je suis intéressée d'en apprendre plus sur ces aspects, voulez-vous aborder ces questions ? merci pour votre travail Hope&Act3! (d) 31 mars 2009 à 08:30 (CEST)Répondre

A ma connaissance aucune étude ne démontre que les peines prononcées pour meurtres sont plus clémentes envers les hommes qui tuent des femmes qu'envers des femmes qui tuent des hommes. C'est même le sentiment inverse qui transparaît. En 2008, à l'occasion de la Journée de la Femme, Nice-Matin titrait dans son édition du 8 Mars un article qui parlait de "l'excuse de féminité", arguant du fait que les femmes étaient moins souvent et moins durement sanctionnées que les hommes, par le fait qu'elles sont femmes, et parfois aussi qu'elles sont mères ou futures mères et que pour cette raison on n'envisage pas d'envoyer en prison une femme qui va accoucher ou qui élève des enfants (et de là, découlent l'excuse de maternité, l'excuse de grossesse, et pourquoi pas l'excuse d'hormones). Votre intervention est donc intéressante mais elle est à démontrer. Je veux bien croire qu'elle se vérifie dans des pays où le statut de l'homme est très élevé par rapport à celui de la femme. Mais si vous me parlez de la France, le seul fait qu'un quotidien régional s'interroge par rapport à l'excuse de féminité, suffit à faire flageoler votre affirmation. Pour enfoncer le clou : la magistrature est très féminine, dès lors, je vois mal comment des femmes juges pourraient se montrer plus sévères envers d'autres femmes qu'envers des hommes, en vertu d'un principe bien connu : celui de la solidarité féminine. Bonsoir !. Nairolf FR (d) 3 avril 2009 à 23:38 (CEST)Répondre
Pour enfoncer le clou, je vous invite à lire le début de cet article : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=14653 (intitulé Infanticides en série : étrange clémence des décisions judiciaires). Vous lirez notamment : Un calcul simple permet de dire qu’il a été infligé un total de 46 ans de prison pour 15 infanticides, ce qui fait approximativement une moyenne de trois ans et un mois de réclusion par infanticide. Sachant que la peine théorique encourue pour un assassinat d’enfant est la perpétuité, comment expliquer cette particularité des jugements dans les infanticides en série, lorsqu’ils sont commis par la mère ? Sachant que les jurés d’assises sont recrutés au hasard dans la population, cela révèle-t-il quelque chose sur un mode de fonctionnement mental de notre société ?... Je vous fais juge. Nairolf FR (d) 3 avril 2009 à 23:43 (CEST)Répondre

Irma Griese ou Irma Grese (comme le mentionne le lien wiki) ?

A lire aussi l'interview dans Libé de Coline Cardi, qui explique le pourquoi du faible taux d'incarcération des femmes, après enquête de deux ans : http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article124

"Pour enfoncer le clou : la magistrature est très féminine, dès lors, je vois mal comment des femmes juges pourraient se montrer plus sévères envers d'autres femmes qu'envers des hommes, en vertu d'un principe bien connu : celui de la solidarité féminine. Bonsoir !"

Je trouve l'argument de la <<solidarité féminine>> très bas sachant qu'il existe énormément de femmes qui se rabaissent entre elles. C'est d'un cliché. Ca implique donc l'existence d'une nature féminine qui n'existe évidemment pas.

Bien-fondé de cet article ?

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Bonjour
J'ai été étonnée de découvrir l'existence de cet article, car je ne pensais que la violence féminine puisse faire l'objet d'un article distinct de l'article Violence (mais au regard de la bibliographie elle semble avoir ses problématiques propres) ; j'ai été encore plus surprise de voir qu'il n'existait pas d'article Violence masculine (il n'a même jamais été créé).
À mon sens, un article Violence féminine peut avoir l'une de ces raisons d'être :

  • Comparer la violence féminine et la violence masculine : ce n'est de toute évidence pas le cas actuellement (statistiques, exemples... exclusivement féminins) ; pour ce faire, il faudra soit créer un pendant masculin à cet article, soit le renommer "Violence en fonction du sexe" et le remanier en ajoutant tous les éléments comparatifs nécessaires. Amha, c'est seulement dans ces conditions que l'article pourra indiquer des éléments statistiques.
  • Problématiser pourquoi la violence féminine est un sujet d'études à part qui a une raison d'être. Certaine sections vont dans ce sens, mais ce n'est guère clair (pourquoi est-ce "tabou" p. ex. : cela devrait être expliqué au début de l'article), et l'article est pour l'essentiel un amalgame de faits , amha souvent peu intéressants (liste de tueuses en série) et surtout qui ne devraient pas exister sans un pendant masculin. Dans cette optique, il me semble qu'il faudrait élaguer l'article des éléments purement factuels et définir une vraie problématique. Cette dernière orientation est, je pense, la plus intéressante.

Dans l'absence de ces orientations, je ne perçois pas le bien-fondé de la page, qui pourraît être fusionnée avec Violence voire tout bonnement supprimée. Mais je suis biens sûr ouverte à toute explication, réflexion, réfutation etc.
Cordialement, Matou91 (d) 10 janvier 2012 à 02:01 (CET)Répondre

La violence masculine a existé de tous temps, est condamnée par la loi. La violence féminine est une notion plus récente, distincte et sociologiquement étudiée de façon particulière. Pour info, il y a Violence conjugale. Celette (d) 10 janvier 2012 à 04:40 (CET)Répondre
Mecri, mais ça fait déjà plusieurs semaines que je planche sur l'article Violence conjugale ;) . La violence féminine a, elle aussi, existé de tout temps.. Ce qui en fait un sujet à part (à mon sens, mais je ne suis pas sociologue) c'est qu'elle a été longtemps réfrénée ou tabou : c'est donc dans cette optique historique et anthropologique qu'il faudrait, je pense, construire l'article, qui est aujourd'hui pour l'essentiel un ensemble de faits. Ou alors il faut lui créer un pendant masculin pour comparaison. Matou91 (d) 10 janvier 2012 à 17:18 (CET)Répondre
Des ouvrages existent sur la violence féminine, des études universitaires => donc le sujet est admissible. Je suis assez réservée pour la création d'un article sur la Violence masculine, mais si vous avez des sources… Le tout est de ne pas créer un pendant qui ne se justifierait que dans la volonté de faire un parallèle. On ne va pas créer Droit de vote des hommes dans la même optique que Droit de vote des femmes : vous voyez ce que je veux dire ? Celette (d) 10 janvier 2012 à 18:34 (CET)Répondre
Oui je comprends : le droit de vote à sa création s'est appliqué aux hommes (mâles) par défaut, tandis que le vote des femmes était problématique. Je vais faire des recherches sur la violence masculine en tant que telle, je vous tiens au courant.
Sinon, êtes-vous satisfaite de la forme actuelle de l'article ? Matou91 (d) 10 janvier 2012 à 18:40 (CET)Répondre
Non. Des exemples sont successivement érigés en arguments d'autorité. Il faudrait prendre un livre global sur le sujet (cf. biblio), et adapter ces exemples à un discours traitant spécifiquement de la violence féminine. Disons que l'article est à améliorer, ce qui signifie aussi utiliser ce qu'il comporte déjà. Celette (d) 10 janvier 2012 à 19:21 (CET)Répondre

J'ai créé une sous-page pour étudier la pertinence d'un article consacré à la violence masculine. N'hésitez pas à compléter et commenter. Matou91 (d) 11 janvier 2012 à 02:14 (CET)Répondre

Je l'ai mise dans ma LdS, mais j’insiste encore sur le fait que, dans la presse et la littérature en général, on emploie « violence conjugale » pour « violence masculine » assez parallèlement. C’est sans doute, plus que créer un nouvel article, le premier qu’il faudrait améliorer. Celette (d) 11 janvier 2012 à 05:20 (CET)Répondre
Pour info, il existe un article Violence contre les femmes. Ceci dit, curieusement, violence familiale renvoie vers violence conjugale (alors que ce devrait être, en toute logique, l'inverse), de même que violence faite aux femmes, expression chérie des féministes, journalistes et politiques, ces derniers temps. Attis (d) 11 janvier 2012 à 20:42 (CET)Répondre
Je me suis permise de corriger cette dernière redirection, qui pointe désormais vers Violences contre les femmes.
Je précise que si un article Violence masculine venait à être créé, il couvrirait une problématique plus large que la violence des hommes envers les femmes ou la violence conjugale (par exemple, au hasard : le lien entre violence et virilité, le rôle de la testostérone...), autrement il serait un doublon inutile : mais les hommes se tabassent aussi (surtout ?) entre eux. Cependant s'il s'avère que le sujet ne fait pas l'objet de publications sérieuses, je ne créerai évidemment pas d'article. Matou91 (d) 11 janvier 2012 à 22:31 (CET)Répondre
l'article testostérone [1] indique la présence de cette hormone chez homme et femme. Les études récentes concernant le rôle de cette hormone sur la violence et l'expression de violences sont assez "diverses" et "discutées". Cordialement. --G de Gonja 12 janvier 2012 à 02:39 (CET)
J'aimerais également que les violences conjugales soient incluses dans les violences familiales, et non l'inverse, car la famille ne se résume pas au couple. Attis (d) 12 janvier 2012 à 16:59 (CET)Répondre

Maltraitantce des enfants

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Je me suis permis d'inclure l'étude de 2015 de l'Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales basée sur l'exploitation des données du Casier Judiciaire a établi que 70 % des meurtres d'enfant sur la période de 1996-2015 ont été perpétrés par une femme, et que dans 72 % des cas l'enfant victime avait un lien familial avec son bourreau[1]. Hoggan (discuter) 30 novembre 2017 à 23:13 (CET)Répondre

Violences conjugales

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Un bandeau de pertinence avait été posé, mais je ne vois pas de sujet spécifique à ce propos. Le voici. Me concernant je vois mal pourquoi les violences conjugales ne seraient pas abordées sur cette page étant donné que nombre d'entre ces violences conjugales ont pour auteur une ou des femmes, parfois la conjointe, confère notre article consacrées aux violences conjugales. Ca me semble donc cohérent. Hoggan (discuter) 30 novembre 2017 à 23:21 (CET)Répondre

Le texte est en partie hors sujet: il y est bien question de violences de la part de femmes, mais aussi de mari ou homme battu, pas forcément par des femmes: des sources disent-elles, par exemple, que c'est généralement par des femmes que sont battus ces hommes ? Si oui, il faudrait le dire explicitement. Apokrif (discuter) 2 décembre 2017 à 05:34 (CET)Répondre
Oui, une partie du corps de cette section semble amalgamer le thème de la violence conjugale commise par des femmes avec le sexe masculin de certaines victimes... Ca donne effectivement l'impresison que les victimes des femmes violentes ne seraient que des hommes, et que les agresseurs d'hommes ne seraient que des femmes. Bon pour commencer il me semble qu'il faille retirer tout ce qui ne fait que traiter de la victime lorsqu'elle est un homme car en effet ça ne signifie pas qu'une femme est l'agresseur. Ensuite je viens de coller l'Etude ESG2004 liée aux couple homosexuels/lesbiens car là difficile de dire que l'on ne connait pas le sexe de l'agresseur. Ensuite,
  • L'étude Behind Closed Doors semble pertinente étant donné qu'elle parle bien des femmes violentes.
  • Le paragraphe comportant l'allégation de Suzanne Steinmetz semble aussi pertinent : vu qu'il met en évidence que la femme violente serait plus agressif que l'homme violent.
  • Le sous-paragraphe lié à l'amérique du nord donne les études ESG dont effectivement une partie précise le sexe des auteurs de violences (par exemple couples homosexuels/hétéro)
  • Le sous-paragraphe France ne parle que des victimes, sauf la ligne relative aux situations de divorce. Donc je me permet de supprimer le reste de ce sous-paragraphe.
  • Le sous-paragraphe Suisse ne parle que des victimes hommes, donc je le retire.
Au final cette section parle désormais uniquement des violences conjugale liées lorsque l'agresseur est une femme (ou couple lesbien/homo). Hoggan (discuter) 2 décembre 2017 à 10:25 (CET)Répondre
Et avec ta permission je retire le bandeau vu que désormais cette section parle bien des violences conjugales en rapport avec les violences féminines (n'hésite pas à le remettre si j'ai omis quelque chose ;) ). Hoggan (discuter) 2 décembre 2017 à 10:28 (CET)Répondre

Mary Melody Bourbon

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L’ouvrage Femmes violentes, de nouveaux modèles ? ainsi que le nom de son autrice, Mary Melody Bourbon, sont introuvables sur Internet : les seuls mentions ne sont que des copié/collés du même extrait que l’article sur des sites masculinistes. À moins que quelqu’un ait une trace de l’existence de cette personne et de son ouvrage, je serais tenté de supprimer le paragraphe. -- Okhjon (discuter) 28 novembre 2020 à 11:17 (CET)Répondre

Strictement introuvable (je ne recueille que 4 résultats sur Google : le site hommes-battus, WP et 2 copies de WP). Je partage ton avis et supprime le paragraphe.
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