tes modifs "pour éviter les répétitions" ou autres, non opportunes. modifier

Salut.

- Retirer "aussi de sable" soit-disant pour éviter une répétition par un "du troisième" est pour moi (et pas que pour moi) un snobisme très négatif. "aussi de" est tout à fait admis, de même que la répétition quand on change de quartier dans un champ partitionné, alors que le "du troisième" ou analogue suppose qu'on a en mémoire l'apparition des couleurs, ce qui est quasi-impossible dès qu'il s'agit d'un blason un tant soit peu complexe. Se référer à l'écrit est peu dans l'espris du blason, un énoncé traditionnellement oral. Surtout quand en plus on fait des erreurs de comptage, comme pour Aubin dans l'Aveyron, où tu donnes la lanterne comme étant du troisième (donc de sable !) et non d'argent (qui est le quatrième) - ce qui montre bien que ce type de blasonnement est à fuir !

- "de même" est aussi correct que "du même" et ne constitue pas une "coquille".

Je vais donc reverter tous ces remplacements non pertinents.

Merci de ne pas créer de guerre d'édition.

A+

S. Ssire (discuter) 26 juillet 2022 à 19:51 (CEST)Répondre

Et merci pour ces remarques plus anciennes, notamment pour le "de même", que je ne corrigerai plus.
Je maintiens que, dans le cas d'énoncés (une ou deux lignes), ces expressions anaphoriques permettent de redorer le blason du blasonnement, qui est avant tout selon moi un bel énoncé ; je me suis penché il y a un mois et depuis, je me passionne pour ces énoncés à la fois concis et précis, jusqu'à entreprendre des corrections dans l'ordre des départements.
Encore une fois, je vais faire attention et je n'hésiterai pas à vous solliciter en cas de doute;
Auriez-vous une adresse mail ? 109.13.10.35 (discuter) 4 août 2022 à 01:42 (CEST)Répondre
A propos du blason d'Aubin, il faut effectivement être vigilant en employant ces expressions anaphoriques ; par ailleurs, si je trouve parfois du premier, du second et du troisième dans les blasonnements, je ne sache pas que du quatrième soit employé.
Sais-tu d'ailleurs pourquoi l'on dit du second alors qu'il existe un troisième ? Pourquoi n'a-t-on pas employé "du deuxième" ? 109.13.10.35 (discuter) 4 août 2022 à 01:45 (CEST)Répondre
du quatrième ou du dix-neuvième sont possibles si la liste d'apparition en contient suffisemment. le second putôt que le deuxième montre le snobisme de cette tradition. Le blasonnement avant dêtre un bel énoncé est un texte technique qui doit permettre de définir l'ensemble d'emblèmes qu'est le blason, avec le plus de précision possible. Les "embellissement" linguistiques tels que ces expressions "anaphoriques" (on se gargarise avec de l'étalage culturel) sont pour moi du vernis qui ne valorise rien du tout, mais ajoute du brouillard à une formulation déjà passablement "ésotérique".-- Ssire (discuter) 4 août 2022 à 02:39 (CEST)Répondre
Strictement, le second est incorrect s'il y a un troisième. La précision, soit. Et l'élégance aussi. Les deux ne sont pas incompatibles. Qui se gargarise ? Aucun étalage, ni de ta part, ni de la mienne ; de la précision. L'adjectif "anaphorique" décrit bien la fonction de ces expressions, qui sont anaphoriques, comme les pronoms personnels, par exemple. Et qui peuvent avantageusement embellir linguistiquement ou plutôt stylistiquement un énoncé aussi élégant qu'un blasonnement. Le brouillard guette par manque d'attention, j'en ai fait l'expérience, mais je pense que ces énoncés pleins de métaphores ou d'emplois inattendus (je pense au "habillé" pour parler des voiles, au "défendu" pour parler des défenses des sangliers, aux très beaux "allumés" ou "animés" pour parler des yeux...) méritent que l'on en prenne soin en évitant toute répétition disgracieuse, quand on le peut. 109.13.10.35 (discuter) 4 août 2022 à 02:49 (CEST)Répondre
il ne s'agit aucunement de metaphores ou d'emplois inatendus, mais des expressions courantes du parler des débuts de l'héraldique, conservées par tradition et efficacité, car c'est ce qui rend plus facile le suivit au travers du temps. -- Ssire (discuter) 4 août 2022 à 03:54 (CEST)Répondre