Fernando Moraleda Quílez
Fernando Moraleda Quílez (prononcé en espagnol : [fɛɾˈnãn̪do moɾaˈleða ˈkilɛθ]) est un homme politique et syndicaliste espagnol né le à Ciudad Real. Il est membre du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE).
Fernando Moraleda | |
Fernando Moraleda en 2006. | |
Fonctions | |
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Député aux Cortes Generales | |
– (3 ans, 8 mois et 12 jours) |
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Élection | |
Circonscription | Ciudad Real |
Législature | IXe |
Groupe politique | Socialiste |
Secrétaire d'État à la Communication | |
– (2 ans, 6 mois et 14 jours) |
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Ministre | María Teresa Fernández de la Vega |
Prédécesseur | Miguel Barroso (es) |
Successeur | Nieves Goicoechea |
Biographie | |
Nom de naissance | Fernando Moraleda Quílez |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Ciudad Real (Espagne) |
Nationalité | Espagnol |
Parti politique | PSOE |
Syndicat | UGT |
Diplômé de | Université complutense de Madrid |
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Secrétaires d'État à la Communication d'Espagne | |
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Il s'engage dans le syndicalisme agricole entre et , ayant précédemment travaillé pour l'Union générale des travailleurs (UGT), syndicat proche du PSOE. En , il est nommé secrétaire général de l'Agriculture et de l'Alimentation au ministère de l'Agriculture, puis il devient en secrétaire d'État à la Communication. Il siège au Congrès des députés de à , après quoi il se retire de la vie politique.
Vie privée
modifierFernando Moraleda Quílez naît le à Ciudad Real[1]. Il est marié et père de deux enfants[2].
Études et vie professionnelle
modifierFernando Moraleda étudie les sciences chimiques entre et , d'abord au collège universitaire de Ciudad Real, puis à l'université complutense de Madrid (UCM)[2].
Il commence à travailler aussitôt à la fin de son cursus universitaire. Il intègre en le cabinet technique de la Fédération des travailleurs de la terre de l'Union générale des travailleurs (FTT-UGT). Six ans plus tard, il est recruté au sein du cabinet technique confédéral de l'UGT[3].
Engagement syndical
modifierEn , Fernando Moraleda est élu secrétaire général de l'Union des petits agriculteurs et éleveurs (UPA), un syndicat agricole intégrée à la structure dédiée aux travailleurs indépendants de l'UGT. Il est successivement réélu en , , et [2].
Il devient membre du Conseil économique et social (CES) en , où il prend la présidence de la commission de l'Agriculture. Il intègre la commission permanente en , avant d'être élu en au Conseil économique et social européen. Il y est réélu deux ans plus tard[2].
Vie politique
modifierFernando Moraleda adhère en au Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE)[3].
À la suite de la victoire du PSOE aux élections générales du 14 mars 2004, le conseil des ministres du suivant le nomme secrétaire général de l'Agriculture et de l'Alimentation au sein du ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation[4]. Ami intime du président du gouvernement José Luis Rodríguez Zapatero, il devient secrétaire d'État à la Communication en remplacement de Miguel Barroso (es) le [5].
Dans la perspective des élections générales du 9 mars 2008, il est investi en deuxième position sur la liste socialiste dans la circonscription de Ciudad Real, conduite par la députée Clementina Díez de Baldeón[6]. Élu au Congrès des députés, il annonce se retirer de la vie politique en à l'issue de son unique mandat[7], après que les militants socialistes ont voté pour le rétrograder à la troisième place[8].
Notes et références
modifier- (es) Congrès des députés, « Moraleda Quílez, Fernando », sur congreso.es (consulté le ).
- (es) « Fernando Moraleda será nombrado secretario de Estado de Comunicación », El País, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « Zapatero coloca en Comunicación al secretario general de Agricultura », ABC, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « Relevos en la dirección del CNI y el Consejo de Estado », El País, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « Fernando Moraleda sustituirá a Miguel Barroso como secretario de Estado de Comunicación », El Mundo, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « Fernando Moraleda compaginará su cargo de secretario de Estado de Comunicación con apariciones en mítines como ‘número 2’ por Ciudad Real », El Confidencial Digital, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « Moraleda (PSOE) deja la política activa con agradecimientos a Zapatero, Barreda y Méndez », 20 Minutos, (lire en ligne, consulté le ).
- (es) « Moraleda (PSOE) apela a su "decisión personal" para seguir o no en las listas del PSOE por Ciudad Real », 20 Minutos, (lire en ligne, consulté le ).