Les Sables-d'Olonne (ancienne commune)

ancienne commune française du département de la Vendée

Les Sables-d’Olonne sont une ancienne commune de l'Ouest de la France située dans le département de la Vendée et la région des Pays de la Loire. Elle se situe au cœur de l'arc atlantique, à mi-distance de Nantes et de La Rochelle (environ 100 kilomètres).

Les Sables-d’Olonne
Les Sables-d'Olonne (ancienne commune)
Une vue aérienne des Sables-d’Olonne en 2010.
Blason de Les Sables-d’Olonne
Blason
Les Sables-d'Olonne (ancienne commune)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Code postal 85100
Code commune 85194
Démographie
Gentilé Sablais
Population 14 233 hab. (2016 en évolution de −2,53 % par rapport à 2010)
Densité 1 636 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 50″ nord, 1° 47′ 00″ ouest
Altitude 10 m
Min. 0 m
Max. 26 m
Superficie 8,70 km2
Historique
Fondation
Dissolution
Commune(s) d'intégration Les Sables-d'Olonne
Localisation
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Les Sables-d’Olonne
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Les Sables-d’Olonne
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Les Sables-d’Olonne

Ancienne paroisse du Bas-Poitou, elle devient au cours des XIXe et XXe siècles la principale ville de la Côte de Lumière. Importante station balnéaire, port de pêche, de commerce et de plaisance, la ville possède deux casinos et accueille le Vendée Globe tous les quatre ans.

La commune compte 13 940 habitants au sein d’une agglomération comprenant 43 080 habitants, d’une aire urbaine comptant 49 914 habitants et d’une zone d’emploi de 68 323 habitants selon le découpage de l’Insee en 2010.

Le , elle fusionne avec Château-d’Olonne et Olonne-sur-Mer et devient une commune déléguée de la commune nouvelle des Sables-d’Olonne. La commune déléguée est supprimée par décision du conseil municipal du .

Géographie

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Le territoire municipal des Sables-d’Olonne s’étend sur 870 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 10 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 26 mètres[1],[2].

Communes limitrophes

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La commune déléguée des Sables-d'Olonne est bordée à l'est par la commune de Château-d’Olonne et au nord par la commune d'Olonne-sur-Mer. Avec la commune de L'Île-d'Olonne, elles forment le pays des Olonnes[3].

La commune déléguée des Sables-d'Olonne appartient aux Sables-d'Olonne-Agglomération en tant que partie de la commune nouvelle des Sables-d’Olonne[4].

Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées de 1971 à 2020 à la station La Roche-sur-Yon, située à 35 km dans les terres. Le climat des Sables-d'Olonne est plus doux l'hiver, moins pluvieux et plus ensoleillé que celui de La Roche-sur-Yon, avec notamment plus de 2 100 heures d'ensoleillement par an[5].

Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées à la station « La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs » depuis 1971.

Relevé météorologique de La Roche sur Yon de 1971 à 2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,5 3,5 5,1 8,8 11,3 13,5 13,1 11,1 8,5 4,8 3,2 7,4
Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,8 12,1 14,3 18,6 22 24,7 24,8 22 17,2 11,8 9,1 16,2
Record de froid (°C)
date du record
−14,9
1985
−15,4
1986
−10,3
2005
−4,1
1996
−0,3
1995
2,8
2006
7,2
1996
5,1
1986
3
2002
−4,5
1997
−7,1
1988
−9,5
1996
Record de chaleur (°C)
date du record
15,6
2007
20,6
1998
24,1
2005
28,1
2005
30,7
2001
38,8
2019
36,6
2006
38,7
2003
33,7
2005
28,4
1997
19,7
1988
18,7
2000
Ensoleillement (h) 73 99 147 154 196 210 229 231 171 116 75 54 1 756
Précipitations (mm) 94,4 77,4 54,1 76,4 51,1 49 45,3 40 85,2 102,2 110,5 98,7 884,3
Nombre de jours avec précipitations 12 11 10 10 11 8 7 6 9 12 12 14 122
Source : Météo-France[6] et lameteo.org[7]


Voies de communication et transports

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Voies routières

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En provenance de Paris par l'A11, via Le Mans, Angers, et par l'A87 via Cholet, La Roche-sur-Yon jusqu'aux Sables ;

En provenance de Bordeaux par l'A10, via Saintes par l'A837, La Rochelle par la D 105 et la D 949 ;

En provenance de Saint-Nazaire via Pornic, Beauvoir-sur-Mer, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Brem-sur-Mer, la Girvière ;

En provenance de Challans via L'Aiguillon-sur-Vie, Vairé et Olonne-sur-Mer.

Transports ferroviaires

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La commune est desservie par la gare des Sables-d'Olonne qui accueille des trains TER Pays de la Loire quotidiens à destination ou en provenance de Nantes ou La Roche-sur-Yon et des TGV quotidiens à destination ou en provenance de Paris-Montparnasse, via Nantes et La Roche-sur-Yon. Les premiers TGV à arriver aux Sables-d'Olonne étaient tractés par des motrices Diesel le temps que la ligne reliant Nantes aux Sables-d’Olonne via La Roche-sur-Yon soit électrifiée[8]. Les TGV tractés ont ensuite été remplacés par des TER de 2004 à 2008, année où le TGV a été réintroduit grâce à l'électrification de la ligne[9].

Transports aériens

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Par avion privé à l'aérodrome des Sables-d'Olonne-Talmont ou par aviation de ligne, aéroports de Nantes-Atlantique et de La Rochelle-Île-de-Ré.

Le phare des Sables-d'Olonne, sur la digue ouest à l'entrée du port (la Chaume), avec le prieuré Saint-Nicolas en arrière-plan.
Le phare vert sur la digue est à l'entrée du port.
Le chenal du port vu de la Chaume, avec l'entrée de Port Olona en arrière-plan et celle du port de commerce et de pêche à droite.
Voilier prenant la mer, dans le chenal du port.

La ville des Sables-d'Olonne est tournée vers la mer, ce qui se traduit par la présence de trois ports :

Le port de pêche, huitième de France, avec une criée, pêche artisanale (soles, seiches, morues…) ;

Le port de commerce, la Cabaude ;

Le port de plaisance, Port Olona, accueille de nombreuses manifestations nautiques dont la plus prestigieuse est le Vendée Globe.

Le port des Sables-d'Olonne est doté de plusieurs phares et balises qui jalonnent le chenal d'entrée : le phare de l'Armandèche, le phare de la Potence, le phare des Barges, le phare de la Jetée-Saint-Nicolas (ou Grande-Jetée) et le phare de la Chaume dit aussi de la tour d'Arundel.

Le bassin olonnais accueille de nombreux chantiers dont Alubat, Kirié, Privilège Marine, Océa et Tresco.

Les bateaux de pêche immatriculés aux Sables-d'Olonne ont pour code LS, selon la liste des quartiers maritimes.

Transports en commun

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2 bus et 2 utilitaires alignés au terminus Jet d'eau de la plupart des lignes.
Bus Oléane au terminus Jet d'Eau de la plupart des lignes.
Accostage de la petite navette fluviale côté grande jetée.
Accostage de la ligne Passeur C au niveau de la grande jetée.

Les Sables-d'Olonne disposent au sein des Sables-d'Olonne-Agglomération d'un réseau de transport en commun baptisé Oléane, anciennement Tusco (pour Transports urbains des Sables-d’Olonne, du Château d’Olonne et d’Olonne-sur-Mer)[10], exploitant 9 lignes de mini-bus urbains (3 le dimanche), 13 lignes de bus urbains, ainsi qu'un bac desservant trois débarcadères dans le port[11].

On peut également noter que, par le passé, de 1898 à 1925, la ville bénéficiait des services du tramway des Sables-d'Olonne, un tramway électrique qui circulait sur le remblai et qui, sur une distance de six kilomètres, reliait les casinos à la gare. La mauvaise gestion de la compagnie fondée par le directeur du Grand Casino fera abandonner ce mode de transport[12].

Toponymie

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Le nom de la commune est lié à l’île d'Olonne. Le nom est attesté sous les formes Portus Ollone en 1007 et Portus Olonae en 1182[13].

Histoire

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L'histoire des Sables-d'Olonne est liée au monde de la mer depuis la fondation en 1218 du havre d'Olonne par Savary Ier de Mauléon, seigneur de Mauléon, sénéchal de Poitou et prince de Talmont, sur un cordon de sable entre La Chaume et le marais d'Olonne.

Une histoire aux racines lointaines

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Le pays d’Olonne est occupé par l’homme depuis les temps les plus reculés comme en témoignent les nombreux vestiges découverts dans la région.

La mer recouvrait à l’époque une grande partie de la contrée : Ol-ona, hauteur au-dessus de l’eau, serait peut-être d’origine celtique et aurait donné son nom à quatre des six communes qui composent la région. À cette époque, c’est Olonne qui règne en maître. Sous l’Empire romain, Olonne devient un carrefour important grâce à son petit port du Havre d’Olonne, situé au fond d’une baie bien abritée par la longue île Vertime (l'actuelle côte sauvage et forêt d’Olonne). La création des marais salants et des vignobles à l’Île d’Olonne daterait de cette époque et fera la richesse de cette région pendant 2 000 ans[14].

Du Ve au IXe siècle, le pays est ravagé par de nombreuses invasions, les Normands étant présents jusqu’au Xe siècle. Puis, par le mariage d’Aliénor d’Aquitaine et Henri II Plantagenêt, la région passe pendant plus de cinquante ans sous domination anglaise. Richard Cœur de Lion, leur fils, fait de Talmont sa résidence privilégiée, et des terres d’Orbestier son terrain de chasse favori. C’est au Moyen Âge, sous l’impulsion des seigneurs d’Olonne, que le pays connaît un véritable essor économique. Il s’ensuivra l’émergence d’un fabuleux patrimoine religieux[14].

Les Sables-d’Olonne prennent leur essor

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À la fin du Moyen Âge, les échanges maritimes se développent et le pays d’Olonne florissant exporte vers le nord de l’Europe son sel et son vin, les bourgades environnantes (Château-d'Olonne, Vairé, Ste Foy) se consacrent à une activité plus agricole, terres de seigneuries[14].

Le XIIIe siècle verra sortir de l’ombre, ou plutôt du sable, une petite sœur cadette : les Sables-d’Olonne. En effet, pour remplacer le port de Talmont qui s’envase, le prince Savary de Mauléon décide de développer le havre d’Olonne. Il accorde au quartier de La Chaume en 1218 des terres et des droits pour y installer un ensemble urbain[14].

Louis XI, en 1472, sépare Les Sables-d’Olonne de la ville d’Olonne pour en faire le port principal du pays. En effet, d'après un conseil de Philippe de Commynes, le roi ordonne la fortification de la ville de sorte que son port s'accroisse, le , en dépensant 5 000 livres tournois pour cinq ans[15],[16]. La paroisse des Sables-d’Olonne naît au XVIIe siècle, la construction d’une église est décidée. Les guerres de Religion freinent l’expansion de la ville. Les Sablais, fidèles au catholicisme, affrontent les Chaumois, convertis au protestantisme[14].

L’âge d’or et les prémices du tourisme

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Le XVIIe siècle marque l’apogée de la ville des Sables-d’Olonne, devenu premier port morutier du royaume. Plus de cent bateaux arment pour la pêche à la morue sur les bancs de Terre Neuve[14]. Puis un long déclin s’amorce au XVIIIe siècle, qui ne disparaîtra qu’avec le développement de la pêche et du tourisme à la fin du XIXe siècle.

Pendant la Révolution, la région est restée républicaine avec pas moins de six prisons aux Sables-d’Olonne, une guillotine et un tribunal révolutionnaire. Sous l’Empire, la ville doit faire face au blocus continental instauré par Napoléon Ier, ainsi qu’à la menace des vaisseaux de guerre anglais[14].

Dès 1845, le port se modernise. La pêche à la sardine et au thon assure l’essor des conserveries (appelées confiseries). Les chantiers de construction navale, sur les quais de la Cabaude, fabriquent des dundees et autres sardiniers.

Côté ouest de la plage, dans les années 1900.
La plage, un jour de fête, dans les années 1910.

Quant au tourisme, si les premières réglementations de bains remontent à 1816, il faut attendre 1825 pour voir apparaître les premiers établissements de bains et les bathing machine (en) importées sur le modèle anglais par le négociant Pître Raguet[17],[18]. Les Sables-d’Olonne deviennent une station mondaine fréquentée par l’aristocratie et l’élite artistique et se dote alors de son premier casino : le casino des Bains de Mer (actuel casino des Atlantes). C’est la Belle Époque sablaise[14].

L’arrivée du chemin de fer en 1866 dynamise le tourisme avec « les trains de plaisir » reliant Paris à la « plus belle plage d’Europe ». La grande vogue des bains de mer est née.

Début 1881, la ville est endeuillée par une tempête où périssent cinquante-deux marins-pêcheurs[19].

Un deuxième casino apparaît en 1898, le casino des Pins, et en 1900 on compte plus de 35 hôtels à proximité du Remblai[14].

Dates clés

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En 1472, Louis XI sépare les Sables-d'Olonne de la ville d'Olonne.

En 1630, François L'Olonnais (Jean David Nau) nait dans Les Sable D'Olonne.

Au XVIIe siècle, le port des Sables-d'Olonne est le premier port morutier de France et compte près de 14 000 habitants[réf. nécessaire].

En 1754, La Chaume est rattachée aux Sables-d'Olonne (arrêt royal du ).

Pendant la Révolution française, la ville est acquise à la République. Elle est assiégée à plusieurs reprises pendant la guerre de Vendée et résiste grâce au ravitaillement par la mer.

Le , bataille des Sables-d'Olonne entre les Français et les Anglais.

En 1816, premier arrêté municipal réglementant les bains sur la plage.

En 1825, les premiers établissements de bains apparaissent, la ville devient une station balnéaire.

Le , le chemin de fer arrive aux Sables en provenance de La Roche-sur-Yon, Bressuire, Saumur, Tours, ligne qui reliera la ville à Paris en train express jusqu'en 1971.

En 1925, la ligne de chemin de fer à voie métrique Bourgneuf - Saint-Gilles-Croix-de-Vie est prolongée jusqu'aux Sables-d'Olonne deux ans après son inauguration.

Du à h 30 au , la ville est occupée par l'armée allemande[20].

Dans la nuit du 27 au , l'armée allemande d'occupation évacue la ville, laissant des installations portuaires détruites et des plages minées.

Emblèmes

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D’azur au vaisseau équipé et habillé d’argent voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe, surmonté de la Vierge aussi d’argent, les bras croisés sur la poitrine et au voile mouvant à senestre, posée sur une nuée du même, accostée de deux chérubins aux ailes déployées d’argent cantonnés l’un en barre à dextre, l’autre en bande à senestre.
Commentaires : Les armes de la ville et la devise « Advocata nostra, ora pro nobis » (« Notre avocate, priez pour nous ») remontent à la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Sous la Révolution, on a supprimé ce qui rappelait l’idée religieuse, mais on revint plus tard aux anciennes armoiries.

La devise des Sables-d'Olonne : « Advocata Nostra Ora Pro Nobis. » « Ô notre médiatrice, intercède pour nous. »

Logotype

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En 1988, le graphiste Patrick Riegert conçoit un premier logotype pour la commune. Celui-ci est amélioré en 2003 par la direction de la Communication de la mairie, l’office de tourisme et l’Agence Bertaud[21],[22].

Le , une série harmonisée de nouvelles identités visuelles est présentée par SEV Communication notamment pour la future commune nouvelle et la communauté d’agglomération créée en [23].

Politique et administration

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Le , elle constitue une commune nouvelle avec Château-d'Olonne et Olonne-sur-Mer[24]. Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire des Sables-d'Olonne sont les suivantes :

Élection Territoire Titre Nom Tendance politique - Début de mandat Fin de mandat
Municipales Les Sables-d'Olonne Maire des Sables-d'Olonne Didier Gallot DVD mars 2014 janvier 2019
Départementales Canton des Sables-d'Olonne Conseillers départementaux Gérard Faugeron et Florence Pineau LR 2015 2021
Législatives Troisième circonscription de la Vendée Député Stéphane Buchou LREM
Régionales Pays de la Loire Présidente du conseil régional Christelle Morançais LR 2021
Présidentielle France Président de la République Emmanuel Macron LREM

Liste des maires

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Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 octobre 1947 Odette Roux PCF Institutrice
octobre 1947 février 1960
(démission)
Charles Rousseau CNI Industriel
Député de la Vendée (1945 → 1958)
Conseiller général du canton des Sables-d'Olonne (1949 → 1961)
février 1960 mars 1965 Michel Laurent CD Avocat
Conseiller général du canton des Sables-d'Olonne (1961 → 1967)
mars 1965 mars 1971 Pierre Mauger UDR puis RPR Administrateur de sociétés
Député de la 3e circonscription de la Vendée (1967 → 1986)
Conseiller général du canton des Sables-d'Olonne (1967 → 1993)
mars 1971 1979
(décès)
Albert Prouteau   Ingénieur des travaux publics
janvier 1980[25] 4 avril 2014 Louis Guédon RPR puis UMP Pharmacien-biologiste
Député de la 3e circonscription de la Vendée (1993 → 2012)
Conseiller général du canton des Sables-d'Olonne (1992 → 2004)
Président de la communauté de communes des Olonnes (2008 → 2014)
Membre du Conseil national du littoral (2006)
Président de la fédération UMP de la Vendée (jusqu'au 21 décembre 2012)
Réélu en 1983, 1989, 1995, 2001 et 2008[26]
4 avril 2014[27] 31 décembre 2018 Didier Gallot[28] DVD Magistrat honoraire, fondateur du Festival Simenon

Liste des maires délégués

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Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
[29]
(démissionnaire)
Didier Gallot[30] DVD Magistrat honoraire

Le , le conseil municipal de la commune nouvelle des Sables-d’Olonne supprime la commune déléguée[31],[32].

Tendances politiques et résultats

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Démographie

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En été, la population double de par la présence des estivants[33].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[34],[Note 1].

En 2016, la commune comptait 14 233 habitants[Note 2], en évolution de −2,53 % par rapport à 2010 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 0395 1685 7234 6984 9064 7785 0766 2805 983
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6 4646 9967 3528 2929 34710 42011 07011 55711 826
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
12 24412 67314 00513 38713 62713 66014 53617 65017 761
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
18 40118 09317 46316 10015 83015 53215 59614 16514 233
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (49,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (56,3 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 43,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 10,6 %, 15 à 29 ans = 13,7 %, 30 à 44 ans = 13,2 %, 45 à 59 ans = 19,8 %, plus de 60 ans = 42,6 %) ;
  • 56,3 % de femmes (0 à 14 ans = 8 %, 15 à 29 ans = 8,3 %, 30 à 44 ans = 10,8 %, 45 à 59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 54,9 %).
Pyramide des âges aux Sables-d'Olonne en 2007 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ans ou +
3,0 
16,9 
75 à 89 ans
24,4 
24,7 
60 à 74 ans
27,5 
19,8 
45 à 59 ans
18,0 
13,2 
30 à 44 ans
10,8 
13,7 
15 à 29 ans
8,3 
10,6 
0 à 14 ans
8,0 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ans ou +
1,2 
7,3 
75 à 89 ans
10,6 
14,9 
60 à 74 ans
15,7 
20,9 
45 à 59 ans
20,2 
20,4 
30 à 44 ans
19,3 
17,3 
15 à 29 ans
15,5 
18,9 
0 à 14 ans
17,4 

Économie

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Tourisme

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Grâce à ses plages et à ses ports, la ville exploite depuis le XIXe siècle un fort potentiel touristique qui engendre une activité marquée par une forte saisonnalité. En 1900, on comptait 35 hôtels à proximité du remblai et les particuliers ont vite vu l'intérêt de louer tout ou partie de leurs maisons en été. Aujourd'hui, la capacité hôtelière reste importante et il y a deux campings en activité malgré un territoire communal exigu. Les locations en meublés sont également très répandues.

Commerce

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Sur le territoire de la commune, on trouve trois supermarchés (dont un à la Chaume), trois marchés couverts (dont un à la Chaume) et de nombreux magasins spécialisés. Les principales zones commerciales sont le Centre (entre le Cours Dupont et le quartier du Passage), le Remblai et le quartier Arago. Les communes limitrophes exercent une forte attraction commerciale grâce à leur centres commerciaux constitués autour d'hypermarchés.

Restauration

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Grâce au tourisme et à la présence d'une population importante même hors saison, la ville dispose de nombreux restaurants et bars ouverts toute l'année, principalement sur le Remblai, le port de pêche et à la Chaume.

Le port de plaisance, Port Olona, accueille de nombreuses manifestations nautiques dont la plus prestigieuse est le Vendée Globe.

Les bateaux de pêche immatriculés aux Sables-d'Olonne ont pour code LS, selon la liste des quartiers maritimes.

Écologie

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En 1999, pour faire face à l'érosion du rivage, la municipalité, pionnière en France, a fait appel à Ecoplage, une société sise en Loire-Atlantique, qui installe des drains afin que les vagues des marées n'emportent plus le sable au large[39]. Le procédé permet aussi de récupérer l'eau filtrée pour une piscine. Plusieurs stations balnéaires dont Sainte-Maxime (Var) ont adopté ce système. Le coût est de 1 500 à 3 000 euros le mètre installé et 15 000 euros d'entretien par an pour la ville.

Médias

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Presse :

Télévision locale

  • Telesables (web télévision municipale)
  • Télévision Vendée ( TV Vendée )

Personnalités liées aux Sables-d'Olonne

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Lieux et monuments

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Environnement naturel

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Ville fleurie

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Jets d'eau Place du Palais de Justice.

Patrimoine culturel

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Les Sables

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Le port de pêche des Sables-d'Olonne.
Détail architectural d'un immeuble.
  • Le Remblai (promenades Lafargue et Clemenceau), bordé de nombreuses villas du XIXe siècle, faisant face à la mer et figurant à l'inventaire des monuments historiques[44] ainsi que plusieurs autres disséminées dans le centre-ville.
  • Ses trois ports :
  • Plusieurs lieux de culte, dont :
    • l'église Notre-Dame-de-Bon-Port, place de l'Église, construite entre 1646 et le XVIIIe siècle, sa façade ouest évoque la Renaissance ; à la Révolution, elle devient le temple de la Raison avant d'être un grenier à grain puis elle retrouve sa vocation en 1800[45], située en plein centre ;
    • l'église Saint-Pierre, rue des Deux-Phares ;
    • l'église Saint-Michel, rue Gambetta ;
    • l'église Saint-Nicolas et Sainte-Anne, place Sainte-Anne de la Chaume ;
    • l'abbaye Sainte-Croix, rue de Verdun, construite de 1633 à 1639, elle abrite, après le départ des sœurs, l'hôpital militaire, un camp d'internement, un centre de perfectionnement militaire, est réquisitionnée par les Allemands puis, rachetée par la municipalité, c'est un centre culturel, le musée des Sables, l'école de musique, et, actuellement, la médiathèque [46],[47] ;
    • la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Espérance, dite Notre-Dame-des-Marins, construite en 1850, abrite une statue de la Vierge en bois polychrome, ancienne figure de proue d'un navire, qui aurait sauvé la vie de Flandrine de Nassau, naufragée au large de Bourgenay. Elle se trouve au 37 de la rue de l'Amidonnerie ;
    • La chapelle de la communauté des Béatitudes, rue du Petit Montauban de la Chaume.
    • La chapelle du Sacré-Cœur, rue Flandrine de Nassau.
    • le temple protestant, au 14 du cours Blossac.
  • Le cimetière, dans le quartier Arago, avec des tombes du XIXe siècle.
  • Le quartier du Passage, entre port et plage, avec ses maisons anciennes et ses ruelles étroites, dont :
  • Le quartier de l'île Penotte, ruelles piétonnes et façades ornées de mosaïques de coquillages.
  • Ses halles et marchés :
    • les halles centrales, au cœur de la ville, de style Baltard, abritent un marché quotidien et un marché de producteurs locaux, les mercredis et samedis ;
    • la halle à poissons, sur le port de pêche ;
    • le marché couvert Arago.
  • Le musée de l'abbaye Sainte-Croix, le MASC (art moderne et contemporain) : avec des œuvres de Victor Brauner, Gaston Chaissac, Philippe Cognée, Claude Viseux, Robert Combas, René Leleu, Albert Marquet, Peter Saul…, salle consacrée aux arts populaires et aux pratiques balnéaires, cycle de conférences sur l'art moderne organisé par la Société des amis du musée, présidée par Jacques Masson[48].
  • Le Conservatoire de musique Marin-Marais, situé derrière l'abbaye Sainte-Croix.
  • Le zoo des Sables-d'Olonne, à la Rudelière, dans une végétation luxuriante et fleurie.

Les quartiers de la Chaume et de l'Aubraie

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La piscine d'eau de mer Dombret, sur la côte sauvage de la Chaume.
  • Le château Saint-Clair qui abrite au sommet de son donjon le phare dit « de la tour d'Arundel ».
  • Le prieuré Saint-Nicolas, Corniche du Nouch, lieu d'expositions. À proximité, le mémorial des Péris en mer, mosaïque de Jacques Launois.
  • La Paracou, découverte de la faune et de la flore de l'estran, son ancienne écluse à poissons.
  • Musée du Coquillage.

Environs des Sables

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Loisirs

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Détente et sports

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Les Sables-d'Olonne sont la seule station balnéaire française de la côte Atlantique à posséder deux casinos : « Les Pins », dans le quartier de la Rudelière, aménagé dans le style Louisiane ; il propose des soirées avec groupes musicaux et dispose d'un minigolf ; et « Les Atlantes », situé dans le Palais des Congrès, sur le Remblai.

  • Le cinéma multiplexe Le Grand Palace (capacité totale de 800 places).
  • Le stade de la Rudelière : football (TVEC Les Sables-d'Olonne), rugby à XV (Rugby Club Sablais Les Sables-d'Olonne), athlétisme et aux Sauniers le handball avec le club des Sables Étudiants Club Handball.
  • Les Tennis du Casino des Sports, fondés dans les années 1930, furent un centre tennistique particulièrement dynamique pendant plusieurs décennies, recevant même pour leurs tournois d'été les meilleurs joueurs nationaux français. Le Tennis-Club Sablais, situé de l'autre côté du boulevard, à deux pas, fut créé au début des années 1970. Situé près du lac de Tanchet, mitoyen du parc boisé de la Rudelière, le club est ouvert à l'année et comporte 10 terres battues et 6 quicks (dont 2 couverts, un court en terre battue synthétique et 4 mini-tennis).
  • La piscine d'eau de mer sur le Remblai, ouverte à l'année, agrémentée d'une salle balnéo, d'une salle jacuzzi et d'un hammam.
  • Un boulodrome couvert.
  • Hippodrome de la Malbrande à Talmont-Saint-Hilaire : courses hippiques de trot, de galop et de haies de juin à septembre (diurnes et nocturnes) organisée par la Société des courses des Sables-d'Olonne.
  • Le golf des Olonnes à Olonne-sur-Mer, et le golf de Bourgenay à Talmont-Saint-Hilaire.
  • L'aéroclub de la Vendée au Château d'Olonne : baptêmes de l'air.
  • Le Poisson à Roulettes, café-concerts.
  • Le Club hippique sablais à La Malbrande juste à côté de l'hippodrome sur la route de Talmont-Saint-Hilaire accueille petits et grands.
  • L'association Les Tables d'Olonne : une association de jeux de société, qui accueille toute l'année les joueurs, débutants ou passionnés.
  • Le Grand Prix des Sables-d’Olonne automobile, ayant fait partie de l'histoire de la ville entre 1951 et 1956.

Le nautisme

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  • ARMADA, association des professionnels de Port olona, pôle nautique regroupant accastilleurs (AD, Big Ship, U Ship), mécaniciens, voiliers, distributeurs de marques vendéennes (Jeanneau, Beneteau), bateaux-écoles et loueurs de voiliers et de bateaux moteurs.
  • L'institut Sport Océan.
  • Sports nautiques sablais.
  • Club de chars à voile des Olonnes.
  • Club Canoë-Kayak Côte de Lumière (CKCL)
  • La Golden Globe Race 2018 est une course nautique qui célèbre le 50e anniversaire de la Golden Globe Challenge.
  • Le Vendée Globe est une course nautique autour du monde en solitaire, organisée tous les quatre ans, et qui met la ville en effervescence pendant plusieurs mois. Lauréat 2016-2017 : Armel Le Cléac'h, Dauphin : Alex Thomson, Troisième : Jérémie Beyou.
  • La Course Croisière EDHEC en 2005 et du 19 au (40e édition). 1er évènement étudiant européen rassemblant plus de 6000 étudiants autour d'une semaine de régate, de raid sportif et d'animation sur un village.
  • Course nautique de voiliers Mini 6.50, Classe Mini : «Les Sables-Les Açores (Horta)-Les Sables»
  • Course nautique de voiliers de 40 pieds, Class40 : «Les Sables-Madère-Les Sables» en 2007 et «Les Sables-Horta-Les Sables» en 2009 et 2011.
  • L'Amicale Plaisance de Port Olona, association qui regroupe les propriétaires de bateaux de plaisance et propose des programmes de navigation permettant à chacun d'élargir avec plus de sécurité son programme de navigation.
  • La pratique du funboard, du surf et du kite-surf.

Événements

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  • Le Vendée Globe
  • La Saison Culturelle (octobre à mai) aux Atlantes et à l'Auditorium.
  • Le festival Simenon : tous les printemps, au mois de juin, une association locale organise un festival centré sur l'œuvre de Georges Simenon. Films, pièces de théâtre, discussions au palais de justice, repas « bien arrosés » dans les rues et animations diverses.
  • Le Festival de la nouvelle chanson française (début avril).
  • Le festival du jeu des Sables d'Olonne (au mois d'avril depuis 2013) : une grande animation multi-jeux (jeux de société, jeux vidéo, jeux de rôles, jeux de figurines, etc.) au centre des congrès des Atlantes.
  • Vague de Jazz est un festival de Jazz créé en 2002 par l'association du même nom située dans la ville de Longeville-sur-Mer ainsi qu'aux Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer.
  • Art sur Mer : événement artistique sur la plage (réalisation de fresques par des peintres et graffeurs).
  • Les Mots à la Bouche, apéritif-lecture.
  • La fête des vieux métiers, à L'Île-d'Olonne, à la mi-juillet.
  • Chant'Appart (février-mars). Association Chants-sons présidée par Christian Gervais.
  • Le Souffleur d'Arundel, festival de la comédie amateur et professionnel (35 dates en été, depuis 2006).
  • La Grande Bordée, organisée par la Commune Libre de la Chaume évoque la vie du port de pêche d'autrefois, un hommage est rendu aux péris en mer et une parade de bateaux a lieu dans le chenal.
  • Le Premier Bain de l'Année, organisé par la marque 4-20-5 tous les 1er janvier aux Sables-d'Olonne, invite les plus courageux à se baigner dans l'océan pour fêter le nouvel an.

Depuis 1993, la ville est animée au printemps et en été par le festival « La Déferlante ». Diverses manifestations culturelles gratuites sont organisées par l'association éponyme dans neuf stations balnéaires de la région Pays de la Loire : Saint-Brevin-les-Pins, Pornic, Barbâtre, Notre-Dame-de-Monts, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Les Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer (du nord au sud)[50].

Jumelages

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Notes et références

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  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

Références

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  1. « Commune 10482 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Les Sables-d’Olonne », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. « Le pays des Olonnes », sur lessablesdolonne.com (consulté le ).
  4. « Les Sables-d'Olonne-Agglomération », sur lessablesdolonne.fr (consulté le ).
  5. « Climat-Vendée - Toute l'info météo en Vendée (85) - Le climat Vendéen », sur climat-vendee.fr (consulté le ).
  6. (fr) « Normales - Station de La Roche-sur-Yon » sur le site officiel de Météo-France, consulté le 8 juillet 2009
  7. (fr) « Records à La Roche-sur-Yon » sur lameteo.org, consulté le 8 juillet 2009
  8. « Le TGV des Sables-d'Olonne sera lent et sans électricité. Afin d'éviter aux vacanciers un changement de train, Villiers exige une solution aberrante. La SNCF renâcle. », sur Libération.fr (consulté le ).
  9. « L'arrivée du chemin de fer aux Sables d'Olonne », sur lessablesdolonne.fr (consulté le ).
  10. Site officiel d'Oléane
  11. Passage d'eau, site officiel des « passeurs » de la ville des Sables-d'Olonne (consulté le 19 juillet 2015).
  12. « La voie ferrée du tramway électrique des Sables d'Olonne », notice no IA85000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  13. [187=187 Les Sables-d'Olonne], Dictionnaire toponymique de la Vendée.
  14. a b c d e f g h et i « Histoire et géographie du canton des Sables d'Olonne en Vendée / Patrimoine, monuments, quartiers typiques des Sables d'Olonne en Vendée / Agenda, restos, marchés, sports, visites aux Sables d'Olonne en Vendée / Les Sables d'Olonne », sur all.ot-lessablesdolonne.fr (consulté le ).
  15. Lettres patentes de Louis XI, le 10 novembre 1472 (lire en ligne).
  16. Lettres patentes de Louis XI, Meaux, le 2 juillet 1474 (lire en ligne).
  17. Notice no IA85000069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  18. « Histoire des bains de mer », sur le site de la ville des Sables d'Olonnes
  19. Voir le poème d'Adrien Dézamy La Catastrophe, consacré à ce drame.
  20. « L'Occupation allemande (1940-1944) », sur olona-histoire.fr.
  21. « Un nouveau logo, plus jeune, plus dynamique », Ouest-France,‎ .
  22. « Les armoiries des Sables-d’Olonne » sur le site de la commune [lire en ligne].
  23. « Les Sables-d’Olonne : nouvelle identité graphique », Ouest-France,‎ .
  24. . La ville comptera alors près de 50 000 habitants. La nouvelle commune ainsi formée se nommera "Les Sables d'Olonne".Commune nouvelle : ce qui se passera en 2019, www.lechateaudolonne.fr
  25. « M. Louis Guédon (U.D.F.), âgé de quarante ans, a été élu, dimanche 20 janvier, maire des Sables-d'Olonne. Il succède à Albert Prouteau, décédé. » [1]
  26. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
  27. « Élections municipales aux Sables : Didier Gallot, élu maire », Ma ville, les Sables d'Olonne - Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Les Sables-d’Olonne. L’ancien juge Didier Gallot candidat aux élections municipales », Ma ville, les Sables d'Olonne - Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Marylise Kerjouan, « Coup de tonnerre après la fusion aux Sables », Ouest-France,‎ .
  30. Laurence Monard, « Yannick Moreau a “la fusion heureuse” », Ouest-France,‎ .
  31. Franck Hermel, « La ville nouvelle des Sables-d’Olonne n’aura plus de maires délégués », Le Journal des Sables,‎ (lire en ligne).
  32. Jean-Marie Le Provost, « Le conseil tire un trait sur Olonne et Le Château », Ouest-France,‎ .
  33. L’hiver en ville, l’été à la plage, Émilie Dequidt, INSEE.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
  37. « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le ).
  38. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 » [archive du ], sur insee.fr (consulté le ).
  39. Loïc Chauveau, « Et voici le drain de sable », L'Express, 26 août 1999.
  40. https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/vendee/sables-olonne-0/sables-olonne-mort-marcel-hardenneau-ancien-deporte-temoin-aupres-jeunes-1818842.html
  41. L'homme des villes de sable, texte d'Edith de Cornulier-Lucinière, illustrations de Sara, éditions Chandeigne, 2014
  42. « centre naturiste - Plage de Sauveterre - Granges naturisme Plage naturiste en Vendée - Plage naturiste en Pays de la Loire », sur etre-naturiste.com (consulté le ).
  43. « Les dunes de la Paracou font peau neuve », sur Ouest-France.fr (consulté le ).
  44. « Base Mérimée - Pays de la Loire ; Vendée ; Les Sables-d'Olonne », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  45. « Patrimoine bâti -Église Notre-Dame de bon port », sur lessablesdolonne.fr (consulté le ).
  46. « Bibliothèque », sur bm.lessablesdolonne.fr (consulté le ).
  47. « Patrimoine bâti - L'Abbaye Ste Croix », sur lessablesdolonne.fr (consulté le ).
  48. « Site des Amis du musée de l'Abbaye Sainte-Croix »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur amisdumasc (consulté le )
  49. Site de l'association du Musée du Sable
  50. (fr) « Présentation » sur le site officiel du festival « La Déferlante », consulté le 2 juillet 2009

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Michel Brossard, Maisons d'armateurs des Sables d'Olonne, Beaupré, 2008, 240 p.
  • Michel Brossard, Petit Dictionnaire sentimental et fantaisiste des Sables d'Olonne, Beaupré, 2010, 240 p.
  • Michel Brossard, Petit Dictionnaire sentimental et fantaisiste de La Chaume, Beaupré, 2015, 240 p.
  • Philippe Courage, Les chemins de fer aux Sables-d'Olonne : 144 ans d'histoire des trains et des tramways, Le Poiré-sur-Vie, Vents et marais, 1997, 125 p.
  • Magali Grandet, James Fortune, Un hiver aux Sables-d'Olonne : le temps d'un Vendée Globe, Montreuil-Bellay, Éditions CMD, 1998, 68 p.
  • J.-J. Meunier, Guide historique et pittoresque du baigneur aux Sables d'Olonne, 1854.
  • Roland Mornet, Cent ans de l'histoire du port des Sables d'Olonne : De la fin du XIXe siècle à la fin du XXe siècle, Geste éditions, 2013, 424 p.
  • Hervé Retureau (photographies d'Antoine Tatin), Les Sables-d'Olonne, La Crèche, Geste éditions, collection « 365 jours », 2015, 280 p. (ISBN 978-2-36746-270-7)
  • Hervé Retureau, Petite Histoire des Sables d'Olonne, La Crèche, Geste éditions, collection « Petite histoire », 2013, 213 p.
  • Louise Robin, Michel Brossard, Alain-Pierre Daguin, Villas et édifices balnéaires des Sables d'Olonne, Beaupré, 2011, 384 p.
  • Mathias Tranchant, Les origines des Sables-d'Olonne : à la conquête des eaux et des sables, La Crèche, Geste éditions, 2012, 243 p.
  • Les Sables d'Olonne autour de la révolution, pièces marquantes, 18e et 19e siècles, Ville des Sables d'Olonne.
  • Le guide de l'étranger aux Sables d'Olonne et aux environs…, E. Serpeau-Delidon.

Articles connexes

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Liens externes

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