Liste de peintures de Marie-Guillemine Benoist

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Cet article récapitule de façon chronologique les peintures réalisées par l'artiste peintre française Marie-Guillemine Benoist, née Le Roux de La Ville (1768-1826).

Peinture modifier

Image Titre Date Technique et dimensions Notes Lieu de conservation Références
Portrait de René Delaville-Leroulx 1784 (vers) Huile sur toile ovale
93 × 60 cm
Portrait du père de l'artiste.

Exposition de la Jeunesse, 1784.

Vente aux enchères, La Flèche, Cyril Duval, 16 juin 2017, lot 250.

Collection privée Auction.fr / Cyril Duval (lien archivé)

Reuter, no 1

Tête d'étude 1784 (vers) Pastel Exposition de la Jeunesse, 1784. Inconnu Reuter, no 2
Jeffares, no J.142.104
Tête d'étude, dans le goût antique 1784 (vers) Pastel Exposition de la Jeunesse, 1784. Inconnu Reuter, no 2
Jeffares, no J.142.104
Portrait de Joseph Delaville Le Roulx 1784 (vers) Portrait de l'oncle de l'artiste.

Conservé en 1914 à Paris chez la veuve de Joseph Delaville Le Roulx, arrière-petit-fils et homonyme du modèle.

Inconnu Reuter, no 3
Ballot, p. 253
Portrait du Dauphin Louis-Joseph de France (d'après Élisabeth Vigée Le Brun) 1784-1786 (vers) Huile sur toile ovale
63 × 55,5 cm
Œuvre en relation : Élisabeth Vigée Le Brun, Madame Royale et son frère, le dauphin Louis-Joseph Xavier François de France, 1784 (Versailles, musée national du château de Versailles et de Trianon)[1].

Vendu par un antiquaire parisien en 2021.

Collection privée Lien archivé.
Non catalogué par Reuter.
Deux jeunes personnes 1785 (vers) Exposition de la Jeunesse, 1785 (Deux jeunes personnes, l'une assise, l'autre debout à côté d'elle) Inconnu Reuter, no 4
Tête d'une Didon, à la couronne 1785 (vers) Pastel Exposition de la Jeunesse, 1785 Inconnu Reuter, no 5
Jeffares, no J.142.101
Tête de femme, étude dans le genre historique 1785 (vers) Pastel Salon de la Correspondance, 1785, no 19 Inconnu Jeffares, no J.142.103
Tête d'étude de femme 1785 (vers) Pastel Salon de la Correspondance, 1785, no 47 Inconnu Jeffares, no J.142.102
Portrait de Charles-Albert Demoustier 1785 (vers) Huile sur toile
132 × 93 cm
Exposition de la Jeunesse, 1785 (Portrait d'un homme de lettres).

Exposition des femmes peintres du XVIIIe siècle, Paris, 1926, no 1. Ancienne collection Lucien Kraemer, Paris, dispersée avant la Seconde Guerre mondiale.

Inconnu Reuter, no 6
Autoportrait copiant le Bélisaire et l’enfant à mi-corps de David 1786 Huile sur toile
95,7 × 78,5 cm
L'artiste se représente peignant Bélisaire et l’enfant à mi-corps (Rome, 1780) de son maître Jacques-Louis David, une version préliminaire du Bélisaire demandant l'aumône[2].

Exposition de la Jeunesse, 1786.

Acquis par le Staatliche Kunsthalle Karlsruhe en 2020[3],[4].

Staatliche Kunsthalle Karlsruhe
3029
Reuter, no 8
Musée
Clarisse Harlowe chez l'Archer 1787 Inspiré du roman Clarisse Harlowe de Samuel Richardson.

Description : « [Le tableau] représente Clarisse Harlowe chez l’archer. (...) On y voit la victime de Lovelace à genoux devant une table chargée de quelques lettres, son coude appuyé sur le bord de la table, et la tête appuyée sur sa main. Le caractère de la tête est douloureux, mais ce n’est point celui d’une femme que la douleur abat, c’est celui d’une âme forte encore, et supérieure par son courage aux chagrins qui l’oppressent. (...) Le jour qui éclaire la prison est double & heureusement contrasté. Il vient à grands jets, par une fenêtre grillée, percer les masses d’ombre que les rideaux d’un lit épaississent au milieu de ce sombre asile, et par une porte qui s’ouvre à la partie opposée, sur laquelle on distingue deux personnages qui observent Clarisse, un jour qui paraît venir d’un certain éloignement, répand quelques faibles rayons[5]. » (orthographe modernisée)

Exposition de la Jeunesse, 1787.

Inconnu Reuter, no 9
Le Capitaine Morden rendant visite à Clarisse Harlowe la veille de sa mort 1788 Inspiré du roman Clarisse Harlowe de Samuel Richardson.

Description : « Clarisse est endormie. (...) La figure de Morden, qui se groupe très bien avec deux autres, est d’une expression excellente; on y voit sa douleur amère à la vue de l’intéressante victime de Lovelace; et on ne peut la regarder sans partager son indignation[6]. » (orthographe modernisée)

Exposition de la Jeunesse, 1788.

Inconnu Reuter, no 10
L'Innocence entre le Vice et la Vertu (es) 1790 Huile sur toile
87 × 115 cm
Salon de 1791, no 273 Collection privée Reuter, no 12

[7],[8].

Les Adieux de Psyché à sa famille 1791 (vers) Huile sur toile
111 × 145 cm
Salon de 1791, no 164
Vente aux enchères en ligne, Vasari (Bordeaux), 4 juillet 2020, lot 10
Vendu par la Matthiesen Gallery de Londres en 2022 (catalogue dédié à l'oeuvre[9]) au FAMSF.
Legion of Honor, Fine Arts Museums of San Francisco (FAMSF)
2022.2
Reuter, no 11
Musée
Vasari
Matthiesen
Artnet News
Sapho 1795 (vers) Salon de 1795, no 300, Tableaux (sic) représentant Sapho Inconnu Reuter, no 13
Portrait d'homme 1795 (vers) Salon de 1795, no 301, Portrait d'homme Inconnu Reuter, no 14
Portrait de l'artiste 1795 (vers) Autoportrait de profil à droite, en buste.

Salon de 1795, no 302, Tête de femme (selon le livret) ou Portrait de l'artiste (selon les archives de l'exposition)

Œuvre en relation : Mme Benoist, gravure d'Auguste Delvaux non datée d'après l'autoportrait de l'artiste (voir illustration ci-contre).

Inconnu Reuter, no 15
Portrait de l'artiste 1796 (vers) Huile sur toile ovale
73 × 60 cm
Autoportrait

Peut-être Salon de 1796, no 21 bis (L'un des deux portraits ovales de femmes)

Collection de Denys Cochin (descendant de l'artiste) à Paris en 1914.

Œuvres en relation : Au moins 4 répliques ou copies conservées dans la descendance de l'artiste en 1914[10].

Collection privée Reuter, no 16
Prosper et Denys 1797 (vers) Huile sur toile
45,5 × 38 cm
Portrait de Prosper (1794-1858) et Denys Benoist (1796-1880), fils de l'artiste.

Collection d'André de Manneville (descendant de l'artiste) à Paris en 1914.

Collection privée Reuter, no 19

Ballot, p. 247

Portrait de M. de Briche 1795-1799 (époque Directoire) Huile sur toile ovale
66 × 57 cm
Exposition des femmes peintres du XVIIIe siècle, Paris, 1926, no 4.

Collection de la comtesse de Jonquières en 1926.

Inconnu Reuter, no 21
Portrait de Mme de Briche 1795-1799 (époque Directoire) Huile sur toile ovale
66 × 57 cm
Exposition des femmes peintres du XVIIIe siècle, Paris, 1926, no 5.

Collection de la comtesse de Jonquières en 1926.

Inconnu Reuter, no 20
Portrait d’Auguste Benoist-Cavay 1800 Portrait du beau-frère de l'artiste.

Connu par la correspondance de l'artiste.

Anciennement au château de La Motte Baracé.

Inconnu Reuter, no 30

Ballot, p. 248

Portrait d'une femme noire
Portrait présumé de Madeleine
Portrait d'une négresse[note 1]
1800 Huile sur toile
81 × 65 cm
Salon de 1800, no 238 (Portrait d’une négresse)

Achat par l'État à l'artiste en 1818 avec la Lecture de la Bible, la Diseuse de bonne aventure et la Sorcière.

Musée du Louvre, département des peintures
INV 2508, L 3597
Musée
Reuter, no 31
Portrait de Zoé Talon, future comtesse du Cayla 1801 Huile sur toile
101 × 81 cm
Salon de 1802, no 16 (Portrait d’une jeune personne).

Contre-épreuve d'un croquis du tableau par Monsaldy conservé à la Bibliothèque nationale de France (BNF)

Collection privée Reuter, no 33
Madame Philippe Panon Desbassayns de Richemont (Jeanne Eglé Mourgue) et son fils Eugène 1802 Huile sur toile
116,8 × 89,5 cm
Salon de 1802, no 17 (Portrait d'une jeune femme avec un enfant).

Œuvres en relation : Au moins six copies du tableau existent (l'une d'elles attribuée à M.-G. Benoist), dont au moins deux variantes montrant la femme sans l'enfant.

Metropolitan Museum of Art
53.61.4
Musée
Oppenheimer 1996
Reuter, no 34
Une jeune fille portant deux pots de fleurs 1802 Huile sur toile
92 × 73,5 cm
Salon de 1802, no 18 (Une jeune fille portant deux pots de fleurs. Portrait).

Collection d'André de Manneville (descendant de l'artiste) à Paris en 1914.

Collection privée Reuter, no 35

Ballot, p. 151-152, 248

La Sorcière, tête d'étude 1802 73 × 60 cm Description : « Une vieille femme vue de face, se tient la tête dans les deux mains, et appuie les coudes sur une table où sont arrangées des cartes. On aperçoit à gauche la tête d'une jeune fille endormie. »[11]

Salon de 1802, no 19. Achat par l'État à l'artiste en 1818 avec le Portrait d'une négresse, la Lecture de la Bible et la Diseuse de bonne aventure. D'abord exposé au musée des artistes vivants (Luxembourg), transféré ensuite au château de Compiègne, puis à la maison d'éducation de la Légion d'honneur à Saint-Denis, d'où il disparaît en 1870-1871 durant l'occupation prussienne.

Inconnu Reuter, no 36
Bonaparte, Premier Consul 1804 Huile sur toile
240 × 173 cm
Commande d'État à l'artiste. Offert par Napoléon à la ville de Gand. Hôtel de ville de Gand Reuter, no 37
Portrait de Napoléon Bonaparte 1804 ou après Huile sur toile
85 × 74 cm
Musée du Service de santé des armées (Val-de-Grâce)
Inv. nat. 1865
Reuter, no 38
Portrait de Bonaparte en habit de consul 1804 ou après Grisaille, huile sur bois
50 × 45 cm
Médaillon en grisaille grandeur nature. Bibliothèque de l'Institut de France
Fonds Larrey, Objet 163
Calames
catalogue d'exposition[12]
Portrait de Madame Maret 1804 Portrait de Marie-Madeleine Lejéas (1780-1827), épouse (1801) de Hugues-Bernard Maret, futur duc de Bassano. Elle est représentée avec un châle vert[13].

Salon de 1804, no 14 (Portrait de Mme M***).

Inconnu Reuter, no 39
Portrait de Madame d'Autichamp 1803-1804 Portrait d'Élisabeth de Vassé (1781-1848), épouse (1797) de Charles d'Autichamp.

Salon de 1804, no 15 (Portrait de Mme A*** ou Portrait de Mme d'A***[14]).
Contre-épreuve d'un croquis du tableau par Monsaldy conservé à la Bibliothèque nationale de France (BNF)[15]

Encore conservé dans la descendance du modèle chez le comte Charles d'Autichamp à Poitiers en 1914.

Inconnu Reuter, no 40
Ballot, p. 162-163, 249
Portrait de Mlle L. 1804 (vers) Peut-être un portrait de Mlle Lagand (?).

Salon de 1804, no 16 (Portrait de Mlle L***)

Inconnu Reuter, no 41
Portrait de Mlle F. 1804 (vers) Salon de 1804, no 17 (Portrait de Mlle F***) Inconnu Reuter, no 42
Portrait du baron Larrey 1804 (vers) Huile sur toile
117 × 89,5 cm
Portrait de Dominique-Jean Larrey, beau-frère de l'artiste.
Salon de 1804, no 18 (Portrait de M. L***). Identifié par Oppenheimer 1996 à l'aide d'une contre-épreuve d'un croquis du tableau par Monsaldy conservé à la BNF.

Œuvre en relation :

musée des Augustins de Toulouse, RO 339 Musée
Oppenheimer 1996
Reuter, no 43
Portrait de Dominique Larrey 1804 (vers) Huile sur toile
65,5 × 56 cm
Copie en buste d'après le portrait original au musée des Augustins de Toulouse. Musée du Service de santé des armées (Val-de-Grâce)
Inv. nat. 1864 / 2006.1824
Reuter, no 43
[17]
Une jeune fille chantant pour distraire son vieux père aveugle 1804 Salon de 1804, no 19.

Contre-épreuve d'un croquis du tableau par Monsaldy conservé à la Bibliothèque nationale de France (BNF).

Inconnu Reuter, no 44
Portrait de Madame Chaptal 1804 Portrait de Françoise Chaptal, née Brunel (1721-1789).

Commandé à l'artiste par Jean-Antoine Chaptal, ministre de l'Intérieur, fils du modèle.

Inconnu Reuter, no 45
Portrait de Guillaume Marie-Anne Brune, maréchal de France 1805 Huile sur toile
220 × 143 cm
L'un des 18 portraits de maréchaux commandés en mars 1805 sur l'ordre de Napoléon pour la galerie des Tuileries[18]. Payé 2 000 francs.

Oeuvres en relation :

Détruit en mai 1871 dans l'incendie des Tuileries Reuter, no 46
Portrait de Claude-Ignace Brugière, baron de Barante 1805[24] Huile sur toile
114 × 87 cm
Conservé au château de Barante jusqu'à la dispersion de ses collections aux enchères, Clermont-Ferrand, Vassy-Jalenques, 5 novembre 2016, lot 141. Collection privée [25]
Non catalogué par Reuter.
Portrait du grand maître des cérémonies, Louis-Philippe de Ségur 1806 Huile sur toile
218,5 × 142,5 cm
Description : « Vêtu du costume de sa charge, le comte debout semble marcher, il pose la main gauche sur la poignée de son épée, de la droite il tient une canne et son chapeau; dans le fond un large rideau se relève sur un paysage. »

Commande faisant partie de la série des portraits des ministres et grands officiers civils de l'Empire commandés en 1806 sur ordre de Napoléon[26]. Payé 4 000 francs. Donné au comte de Ségur en 1818.

Oeuvre en relation : Louis-Philippe, comte de Ségur (1753-1832), huile sur toile, 92,5 × 74,5 cm, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, MV 5963 (don du comte Louis de Ségur)[27], peut-être une copie anonyme à mi-corps du portrait original.

Inconnu Reuter, no 47
Portrait d'Élisa Bonaparte, grande-duchesse de Toscane (it) 1806 Huile sur toile
214 × 129 cm
Portrait d'Élisa Bonaparte Museo Nazionale di palazzo Mansi (Lucques)
inv. Com. 207
Curtura italia
Catalogo generale dei beni culturali
Reuter, no 48
Portrait de Félix Baciocchi 1806 Huile sur toile
206 × 125 cm
Museo napoleonico di Roma
MN 202
Notice
Reuter, no 49
Deux jeunes enfants avec un nid d’oiseaux (Prosper et Denys Benoist) 1806 (vers) Huile sur toile Portrait de Prosper (1794-1858) et Denys Benoist (1796-1880), fils de l'artiste

Salon de 1806, no 20 (Deux jeunes enfans — Ils viennent de se baigner, et regardent un nid d'oiseaux que l'un d'eux a trouvé. Œuvre en relation : copie, huile sur toile, 129 × 96 cm, collection privée

Collection privée Reuter, no 50
Le Sommeil de l'Enfance et celui de la Vieillesse 1806 Huile sur toile
118 × 89 cm
Salon de 1806, no 21 Collection privée Reuter, no 51
Portrait d'une dame 1806 (vers) Description : Portrait d’une dame en noir avec un châle rouge brique[28].

Salon de 1806, no 22

Inconnu Reuter, no 52
Portrait de Jean-Louis Brousse-Desfaucherets 1806 (vers) Description : L'homme est représenté assis, un document roulé à la main.

Salon de 1806, no 23 (Portrait d'homme) ; la critique contemporaine identifie unanimement l'homme représenté comme « l'auteur du Mariage Secret ».

Inconnu Reuter, no 53
Portrait de Madame Lacroix-Saint-Pierre 1806 (vers) Portrait probable de Bonne-Émilie Poissalolle de Nanteuil (1794-1869), épouse (1813) de Louis-Antoine-François Lacroix-Saint-Pierre, secrétaire général du ministère de l'intérieur sous son cousin Montalivet.

Conservé en 1914 dans la famille du modèle chez Mme et M. Couperie[note 2] au château de La Beyrie, à Cudos, près de Bazas.

Inconnu Reuter, no 54

Ballot, p. 173-174, 250

Portrait d'Éléonore 1807 Le modèle est la femme de chambre de Félicité de Jully, née Benoist, belle-sœur de l'artiste. Inconnu Reuter, no 55
Portrait de Félix Lepeletier 1807 Portrait en pied commandé par le modèle. Légué par celui-ci à « Madame veuve Raincey »[29]. Inconnu Reuter, no 56
Portrait de Michel Étienne Le Peletier de Saint-Fargeau (1736-1778) 1807 Huile sur toile
215 × 129 cm
Portrait en pied rétrospectif, commandé à l'artiste par le fils du modèle, Félix Lepeletier. Légué par celui-ci à « Madame veuve Raincey »[29].

Collection Boisgelin ; par descendance collection Pozzo di Borgo, château de Dangu.

Vente aux enchères, Fontainebleau, Osenat, 9 décembre 2018, lot 217 (non vendu).

Collection privée Reuter, no 57
[30]
Portrait de Raphaël de Casabianca 1807 huile sur toile
216 × 147 cm
Musée d'art et d'histoire Baron-Gérard
P0275
Reuter, no 58
Portrait de l'empereur Napoléon 1807 huile sur toile
243 × 213 cm env. (avec cadre)[31]
Destiné à la ville de Brest. Inauguré en grande pompe le dans la salle des séances du conseil municipal de Brest[32]. Louis Joseph Saint-Amans composa pour l'occasion une cantate[33]. René de Chazet dédia des vers à l'artiste[34]. Inconnu Reuter, no 59
Portrait de l'empereur Napoléon 1807-1808 Commande d'État à l'artiste en décembre 1807. Don de l'empereur à la ville du Mans pour la salle des séances du Conseil général de la Sarthe. Payé 3 000 francs à l'artiste en avril 1808 et livré au Mans en août suivant. Inconnu Reuter, no 60
Portrait du docteur Franz Joseph Gall 1807-1808 huile sur toile
120 × 90 cm
Demeuré dans la descendance de l'artiste. Propriété de Denys Cochin, puis en 1913-1914 de la comtesse de Quincey à Neuilly.

Salon de 1808 (hors livret)[35]; Exposition rétrospective féminine, Paris, Lyceum, 1908 (no 1); Exposition David et ses élèves, Paris, 1913 (no 71).

Oeuvre en relation : Le Dr Gall, aquatinte par Edme Jean Ruhierre, 1839, d'après le tableau original[note 3].

Inconnu Reuter, no 61
Pauline Bonaparte, princesse Borghese 1808 huile sur toile
204,5 × 143,3 cm
Salon de 1808 (hors livret)[36]. château de Fontainebleau, dépôt du musée national du château de Versailles
MV 5140
Musée
Joconde

Reuter, no 63

Portrait de Madame Boselli 1809 (vers) Huile sur toile
120 × 93 cm
Portrait de Justine Madeleine Prévost (morte vers 1830), épouse de l'horloger François-Louis Godon, puis de l'homme politique italien Benedetto Boselli Collection privée Reuter, no 64
Napoléon Ier 1809 Huile sur toile
244 × 170 cm
Commande d'État en 1808. Musée des Beaux-Arts d'Angers
MBA J 188 (J1881)P
Musée

Reuter, no 65

Napoléone-Elisa Bacciochi 1810 Huile sur toile
146,7 × 113,7 cm
Commandé à l'artiste en 1810 par Élisa Bonaparte, mère du sujet, alors qu'elle était venue assister au mariage de son frère Napoléon avec Marie-Louise d'Autriche.

Salon de 1810, no 34 (Portrait en pied de S. A. la duchesse Napoléon Elisa, princesse de Piombino, fille de S. A. I. madame la grande duchesse de Toscane)

château de Fontainebleau, dépôt du musée national du château de Versailles
MV 6459
Musée
Joconde

Reuter, no 66

La Lecture de la Bible ou les trois âges 1810 Huile sur toile
130 × 98 cm
Salon de 1810, no 35 (Lecture de la Bible) : « Un vieux soldat suisse endort l’enfant de sa fille, pendant que celle-ci lui lit la Bible. »

Achat par l'État à l'artiste en 1818 avec le Portrait d'une négresse, la Diseuse de bonne aventure et la Sorcière.

musée de Louviers
I. N. 2504, CD 1896-3
Reuter, no 67
Portrait de deux petites filles qui regardent une collection de papillons 1810 Salon de 1810, no 36 Inconnu Reuter, no 68
Pierre Jules Soufflot, engagé au 20e régiment de Chasseurs 1810 Connu uniquement par la reproduction en noir et blanc par héliogravure du tableau original (illustration ci-contre). Inconnu [37]
Non catalogué par Reuter.
Portrait de l'impératrice Marie-Louise 1811 ou 1812 Huile sur toile
238,5 × 176,5 cm
Probablement Salon de 1812, no 43 : Portrait en pied de S. M. l’Impératrice et Reine Musée national du château de Fontainebleau
F 2449 C
Joconde
Reuter, no 71
La Diseuse de bonne aventure 1812 huile sur toile
195 × 144 cm
Réalisé en collaboration avec Pierre-Antoine Mongin, qui peint le paysage et l’architecture.

Salon de 1812, no 44 : « Une vieille femme, assise près d’une fontaine, dit la bonne aventure à une jeune fille qui est venue la consulter. Un jeune homme écoute attentivement les prédictions adressée à sa maîtresse. »
Achat par l'État à l'artiste en 1818 avec le Portrait d'une négresse, la Lecture de la Bible et la Sorcière.
Œuvre en relation : Répétition par Mongin, Salon de 1819, no 847.

Musée de l'Échevinage de Saintes
1876.2.1B, 2505
Musée
Reuter, no 72
Napoléon en costume du sacre 1812 huile sur toile
226 × 157 cm
Vendu aux enchères, San Francisco, Bonhams, 27 juin 1996, lot 4164 Inconnu [38]
Autoportrait de Mme Benoist 1813 (avant) Miniature circulaire (gouache sur ivoire)
diamètre : 6,7 cm
Musée des Beaux-Arts d'Angers
MBA 399
Musée
Joconde
Portrait de Pierre-Vincent Benoist 1817 Portrait de l'époux de l'artiste.

Description : « Ce portrait représente M. Benoist dans son costume de député, la main dans son gilet avec le costume noir à collet orné de fleurs de lis, il se détache sur un fond rouge. »

Collection de Thérèse Benoist d'Azy (1858-1940), marquise de l'Espinay, arrière-petite-fille de l'artiste, au château d'Azy en 1914.

Inconnu Reuter, no 74
Ballot, p. 228, 253
Portrait de Denys Benoist 1817 huile sur toile ovale
65 × 56 cm (environ)
Portrait en buste du fils de l'artiste.

Description : « C'est un jeune homme aux cheveux blond cendré, aux yeux bleus, en habit noir à boutons d'or avec un haut faux col et une cravate blanche. »

Collection de Thérèse Benoist d'Azy (1858-1940), marquise de l'Espinay, arrière-petite-fille de l'artiste, au château d'Azy en 1914.

Oeuvre en relation : une copie conservée par la marquise de l'Espinay à Paris en 1914.

Collection privée Reuter, no 75
Ballot, p. 228, 253
Portrait de Mme Brud[?] 1817 Lecture du patronyme incertaine.

Attesté par deux lettres de l'artiste des 20 juillet et 23 août 1817.

Inconnu Reuter, no 76
La Vierge et l'Enfant Jésus 1820-1821 huile sur toile
210 × 100 cm
Description : « Vêtue d’une robe rose échancrée en rond, d’un voile jaune enroulé autour du bras gauche, d’un manteau bleu, jeté sur l’épaule droite et retombant en longs plis sur les jambes, Marie, cheveux bruns, regarde avec amour l’Enfant Jésus qu’elle tient sur ses genoux et qui est représenté nu, cheveux blonds ras, regardant vers la droite, et prenant de ses deux mains la droite que sa mère lui appuie sur l’épaule[39]. »

L'artiste utilise pour modèle sa fille Augustine pour le visage de la Vierge.

Commande de l'évêque d'Angers. Mis en place entre 1821 et 1823 dans la chapelle Sainte-Anne (dite aussi du Christ) de la cathédrale Saint-Maurice d'Angers. Encore présent en 1914.

Inconnu Reuter, no 77
Ballot, p. 232, 253
Portrait de Paul Benoist d'Azy pastel 1823, juillet Portrait du petit-fils de l'artiste.

Décrit en 1914 comme « un petit pastel très effacé du bébé ».

Collection de Thérèse Benoist d'Azy (1858-1940), marquise de l'Espinay, arrière-petite-fille de l'artiste, au château d'Azy en 1914.

Inconnu Reuter, no 78
Ballot, p. 232, 253
Jeffares, no J.142.051

Attribution incertaine ou douteuse modifier

Image Titre Date Description physique (technique, dimensions) Notes Lieu de conservation Références
Portrait d'une dame vers 1799 ? huile sur toile
100,33 × 81,6 cm
Attribution suggérée par Oppenheimer sur des critères stylistiques, qui propose une identification possible au Portrait de femme présenté au Salon de 1799 no 729, et commentée ainsi par un critique : « cette femme enveloppée d'un schall et qui regarde, elle est peinte à éclipser toute la société que vous lui avez composée. Le pinceau n'a point hesité, ces touches sont aussi justes que vigoureuses et vraies »[40]. San Diego Museum of Art
1946.5
Musée

Oppenheimer 1996, p. 149 Reuter, no 81

Portrait de Madame Grassini fin XVIIIe ou début XIXe siècle Huile sur toile
132 × 97 cm
Attribution suggérée par son ancien propriétaire Paul Marmottan, qui fit don du tableau au musée de Beaune en 1888. Autre attribution proposée : Élisabeth Vigée Le Brun. Musée des Beaux-Arts de Beaune
888.3.1
Reuter, no 29

Joconde [41],[42]

Autres œuvres dans une collection publique modifier

Image Titre Date Description physique (technique, dimensions) Notes Lieu de conservation Références
Cinq bustes d'homme 1797, 26 juin[43] dessin (encre brune, aquarelle, plume)
22 × 34,5 cm
Musée du Louvre, département des arts graphiques
RF 43003
Reuter, no 80
Musée Département des arts graphiques
Portrait de Mademoiselle Carnot 1800 (vers) dessin circulaire (craie noire sur papier)
diamètre : 6,7 cm
Fogg Art Museum / Harvard Art Museums
1954.87
Musée


Bibliographie modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Titre original sous lequel l'oeuvre est présentée en 1800.
  2. Adrienne-Marie-Henriette de Giresse-La-Beyrie (née en 1879), petite-fille d'une sœur du modèle et dont la famille possédait le château de La Beyrie, mariée à Cudos, le 25 novembre 1901, à Marie-Joseph Coupérie (né en 1875).
  3. L'estampe indique que le tableau original aurait été peint en 1816, mais la correspondance de l'artiste et la revue des salons atteste la réalisation du tableau en 1808. La date de 1816 peut correspondre à une réplique du tableau, à moins qu'il s'agisse d'une simple erreur.

Références modifier

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  2. Georges Wildenstein, David, Paris, Les Beaux-arts éditions d'études et de documents, coll. « L'Art Français », (lire en ligne), catalogue, p. 166-167 (no 44) et planche 38 planche 38.
  3. (de) Michael Hübl, « Kunsthalle Karlsruhe jubelt über Glücksfund aus New York » [archive du ], Badische Neueste Nachrichten, (consulté le ).
  4. (de) Stefan Trinks, « Ankauf eines Selbstporträts: Zwischen Zweifel und Zutrauen » [archive du ], sur Faz.net, (ISSN 0174-4909, consulté le ).
  5. « Lettre à MM. les Rédacteurs du Mercure de France, sur l’Exposition des Tableaux des Élèves de la Peinture à la Place Dauphine », Mercure de France,‎ , p. 184-190, ici p. 189, cité par Reuter, p. 310-311.
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  8. (de) Viktoria Schmidt-Linsenhoff, « Herkules als verfolgte Unschuld? Ein weiblicher Subjektentwurf der Aufklärung von Maire Guillemine Benoist », FKW // Zeitschrift für Geschlechterforschung und visuelle Kultur, no 12,‎ , p. 17-46 (ISSN 2197-6910, lire en ligne).
  9. (en) Guy Stair Sainty, Patrick Matthiesen et Carol Willoughby, Marie-Guillemine Benoist : Les adieux de psyché (Psyche bids her family farewell), Londres, Matthiesen, (ISBN 978-1-8383476-0-4 et 1-8383476-0-7, OCLC 1261762403, lire en ligne) [Aussi en format pdf]
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  18. Sur cette commande, voir Charles-Otto Zieseniss, « Les portraits de la salle des maréchaux sous le Premier Empire », Revue de l'Institut Napoléon, no 112,‎ , p. 199-205 (lire en ligne) ; Jérémie Benoit, « Les Portraits des maréchaux », Revue Napoléon, no 21,‎ , p. 52-57 (lire en ligne).
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  20. « Guillaume-Marie-Anne, maréchal Brune (1763-1815) », notice de l'œuvre, sur Collections - Château de Versailles (consulté le ).
  21. « Guillaume Brune (1763-1815), Maréchal », sur Google Arts & Culture (consulté le ).
  22. exemplaire en ligne : (en) « Portret van Guillaume-Marie-Anne Brune, Coutenau, after Marie Guilhelmine Benoist, 1738 - 1841 », sur Rijksmuseum (consulté le )
  23. Sur ce projet éditorial, voir Margot Renard, « Pages d’histoire : le livre illustré dans le sillage du musée historique de Versailles », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles,‎ (ISSN 1958-9271, DOI 10.4000/crcv.21400, lire en ligne).
  24. Ambroise Tardieu, Dictionnaire iconographique de l'ancienne Auvergne, Clermont-Ferrand, P. Raclot, (lire en ligne), p. 60.
  25. Vassy-Jalenques, Mobilier, dessins, peintures & souvenirs des barons de Barante : vente, Clermont-Ferrand, Hôtel des ventes, samedi 5 novembre 2016 (catalogue de vente aux enchères), Clermont-Ferrand, SVV Vassy-Jalenques, (lire en ligne), p. 44-45, lot 141.
  26. Sur cette série, voir Charles-Otto Zieseniss, « Les Portraits des ministres et des grands officiers de la couronne », Archives de l’art francais, nouvelle série, vol. 24,‎ , p. 133–158
  27. « Louis-Philippe, comte de Ségur (1753-1832) », sur Collections - Château de Versailles (consulté le ).
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  29. a et b Archives nationales 90/AP/54, note intitulée « Lepeletier Felix garde toute sa vie et lègue à Madame veuve Raincey une série de portraits dont (...) 3. Portrait en pied de Michel par Madame Benoist, élève de David sous sa direction ; 4. Portrait idem de Félix par la même. », cité par Yaelle Arasa, Davidiennes : les femmes peintres de l'atelier de Jacques-Louis David (1768-1825), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-343-17028-2 et 2-343-17028-2, OCLC 1097570645), p. 158 et note 359.
  30. Osenat, L'Empire à Fontainebleau, souvenirs historiques : [vente], Fontainebleau, 9 décembre 2018 (catalogue de vente aux enchères), Osenat, (lire en ligne [archive du ]), p. 186-187 no 217.
  31. « Nouvelles des départements », Journal de Paris,‎ , p. 2 (8 pieds de haut sur 7 de large) (lire en ligne).
  32. « Empire français », Journal de l'Empire,‎ , p. 2 (cérémonie) (lire en ligne) ; « Empire français », Journal de l'Empire,‎ , p. 2 (identification de l'artiste) (lire en ligne).
  33. Alexandre-Étienne Choron et François-Joseph-Marie Fayolle, « Saint-Amans (Louis-Joseph) », dans Dictionnaire historique des musiciens, Paris, Valade, (lire en ligne), p. 253-254.
  34. René de Chazet, « Vers sur un portrait de l'Empereur, fait pour la ville de Brest, par Mme Benoist », Mercure de France, vol. 30, no CCCXXIX (329),‎ , p. 246 (lire en ligne).
  35. Attesté par la critique : Vict. F., « Salon de peinture (septième article) : portraits, dessins, gravures », Mercure de France, no CCCLXXXVII (387),‎ , p. 556-565, ici p. 559 (lire en ligne) ; M. B., « Beaux-arts. Salon de 1808 (no XIII). Mesdames Mongez, Benoist, le Brun, etc. », Journal de l'Empire,‎ , p. 1-4, feuilleton, ici p. 2-3 (lire en ligne).
  36. Attesté par la critique : M. B., « Beaux-arts. Salon de 1808 (no XIII). Mesdames Mongez, Benoist, le Brun, etc. », Journal de l'Empire,‎ , p. 1-4, feuilleton, ici p. 2-3 (lire en ligne).
  37. Pierre-Jules Soufflot, 13 décembre 1793-2 juin 1893, Châteaudun, J. Pigelet, (BNF 34182468, lire en ligne), p. 10-11 (planche).
  38. (en) « Portrait of Emperor Napoleon in his Coronation robes », sur Invaluable (consulté le ).
  39. Joseph Denais, Monographie de la cathédrale d'Angers, Angers, Lachèse et cie, (lire en ligne), p. 114
  40. Pierre-Jean-Baptiste Chaussard, « Fin du compte-rendu de l'Exposition publique des ouvrages composés par les artistes vivans », La Décade philosophique, littéraire et politique, no 1 (vendémiaire, brumaire, frumaire),‎ viii, p. 220, cité par Oppenheimer 1996, p. 149.
  41. Valérie Susset, « Décrypt’ art : « Portrait de Madame de Grassini », attribué à Marie-Guillemine Benoist (fin XVIIIe -début XIXe siècle) » [archive du ], sur Le Républicain Lorrain, (consulté le ), p. 51–62.
  42. « L'Oeuvre du mois d'août - Portrait de Madame Grassini », lien archivé [PDF], sur Musée des Beaux-Arts de Beaune, (consulté le ).
  43. Inscription : Dessiné par Benoist/Le 8 Messidor 5e an

Voir aussi modifier

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