Ubisoft

entreprise française de jeux vidéo
(Redirigé depuis Ubisoft Porto Alegre)

Ubisoft (anciennement Ubi Soft Entertainment) est une entreprise française de développement, d'édition et de distribution de jeux vidéo, créée en par les cinq frères Guillemot, originaires de Carentoir dans le Morbihan, en France.

Ubisoft
logo de Ubisoft
Logo d'Ubisoft.
illustration de Ubisoft
Siège administratif d'Ubisoft à Montreuil, en France.

Ancien nom Ubi Soft Entertainment
Création [1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Dates clés 1992 : ouverture d'Ubisoft Paris, premier studio de développement
1996 : entrée en Bourse
2000 : acquisition de Red Storm Entertainment et de la licence Tom Clancy's
2007 : succès mondial d'Assassin's Creed
2011 : lancement de sa société de production cinématographique
Fondateurs Michel Guillemot et Yves GuillemotVoir et modifier les données sur Wikidata
Personnages clés Yves Guillemot (PDG)
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : UBI
Siège social Carentoir (Morbihan)
Drapeau de la France France
Direction Yves Guillemot (PDG)
Actionnaires Famille Guillemot : 13.91 %

Tencent Holding : 9,742%
Capital Research & Managagement Co. : 5,301 %
T. Rowe : 5,033%
Ubisoft ESOP : 3,497%

Activité Industrie vidéoludique
Produits Rayman
Les Lapins crétins
Prince of Persia
Assassin's Creed
Far Cry
Watch Dogs
Just Dance
Tom Clancy
Filiales Les Deux Royaumes
Ubisoft Motion Pictures
(voir également studios)
Effectif 19 011 (mars 2024)[2]
SIREN 335186094Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne FR34335186094Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.ubisoft.com

Capitalisation en diminution 1,71 milliards Euro (2024)[3]
Fonds propres en augmentation 1,879 milliards Euro (2024)[4]
Chiffre d'affaires en augmentation 2,300 milliards Euro (2024)[4],[5]
Bilan comptable en augmentation 5,121 milliards Euro (2024)[4]
Résultat net en augmentation 157,9 millions Euro (2024)[4],[5]

Ubisoft est détenteur de nombreuses franchises à succès telles que Rayman, Les Lapins Crétins, Prince of Persia, Assassin's Creed, Far Cry, Watch Dogs, Just Dance, TrackMania et Tom Clancy's.

La société s'est diversifiée en transposant ses franchises de jeux vidéo dans les domaines de la bande dessinée depuis 2009 avec Les Deux Royaumes et du cinéma et de la télévision depuis 2011 avec sa filiale Ubisoft Motion Pictures.

Histoire

modifier

Fondation

modifier

Dans les années 1980, les cinq frères Guillemot (Claude, Michel, Yves, Gérard et Christian) veulent diversifier les activités de l'entreprise familiale spécialisée dans les produits agricoles. Ils se tournent alors vers des secteurs plus technologiques[6]. Lors d'un voyage en Angleterre, Michel Guillemot découvre que les jeux vidéo y sont moins chers qu'en France, et voit tout le potentiel du marché[7]. Les frères créent Guillemot International, une société spécialisée dans la distribution de jeux vidéo[8], notamment sur Amstrad et Atari[9],[10].

Après avoir achevé ses études de commerce à l'Institut des petites et moyennes entreprises de San Francisco, Yves Guillemot rentre en France en 1986 et fonde Ubisoft avec ses frères[6] à Carentoir, en Bretagne[11]. La société distribue les jeux des grandes sociétés américaines et européennes telles qu'Elite, Electronic Arts, Sierra ou LucasArts[12]. En parallèle de son activité de distribution, Ubisoft se lance dans le développement de ses propres jeux vidéo[7]. En 1986, la société sort son premier jeu, basique, mais novateur, Zombi, sur Amstrad CPC. Les ventes démarrent en France, puis au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis[6]. Avec ce succès commercial, Ubisoft connaît une croissance rapide et enchaîne les titres[7], comme le jeu médiéval Iron Lord sorti en 1989 et vendu à 100 000 exemplaires[8]. En 1990, Ubi Soft loue un château en Bretagne pour réunir les différents développeurs de jeux avec lesquels ils travaillent[13].

Origine du nom

modifier

Le nom de la société est composé du préfixe « Ubi », que certains interprètent comme étant l'acronyme d'Union des Bretons indépendants[14],[15]. La société fait toutefois état d'une racine liée au terme d'ubiquité[16], collant parfaitement à son catalogue de titres variés[17]. Le suffixe « soft » rappelle le mot « software » signifiant « logiciel » en anglais. Christian Guillemot, l'un des cinq frères cofondateurs d'Ubisoft a déclaré à ce sujet en novembre 2014 : « Il y a beaucoup de Bretons qui aimeraient que Ubi signifie Union des Bretons Indépendants, Union pour une Bretagne indépendante ou intelligente. En réalité, Ubi est un nom inventé par mon frère Gérard parce qu'il trouvait que ça sonnait bien »[18]. En 2012, lors d'une interview, Yves Guillemot dévoile que le terme « ubiquité », qui signifie exister partout à la fois, est choisi, car les quatre frères veulent qu'Ubisoft se développe « dans le monde entier de cette manière-là », sur une proposition de Gérard[19].

Les débuts du développement international

modifier

La société se réorganise en véritable industrie[8] et ouvre plusieurs studios de développement en France et à l'étranger. En 1992, elle crée son premier véritable studio, Ubisoft Paris, à Montreuil, ainsi que son premier studio à l'étranger, Ubisoft Bucarest, en Roumanie. Elle fonde Ubi Pictures en 1994 (futur Ubisoft Montpellier) puis Ubisoft Annecy en 1996. La même année, elle ouvre son deuxième studio à l'étranger : Ubisoft Shanghai en Chine[20]. En parallèle, de 1991 à 1996, des filiales de distribution sont créées au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis, puis au Japon, en Italie et en Australie[21].

L'éditeur investit plusieurs millions de francs dans le développement du jeu Rayman[7], créé par le français Michel Ancel. En 1995, c'est le premier jeu à sortir simultanément en Europe, au Japon et aux États-Unis sur la PlayStation, toute nouvelle console de Sony[6]. Rayman rencontre un succès mondial, se retrouve classé dans les dix premières ventes mondiales, et devient la mascotte de l'éditeur[7]. En dix ans, les différentes versions du jeu se vendent à près de quinze millions d'exemplaires[8].

Le , Ubisoft Entertainment fait son entrée au Second Marché de la Bourse de Paris avec succès : en un jour, la valeur du titre est multipliée par 252, dégageant 50 millions de francs pour de nouveaux investissements[22],[23]. Avant l'entrée en bourse, les cinq frères Guillemot possédaient chacun 20 % de la société[13]. Le chiffre d'affaires de l'exercice 1995-1996 était alors de 250 millions de francs[13].

En 1997, Ubisoft ouvre son premier studio sur le continent américain : Ubisoft Montréal au Québec. Pour attirer l'éditeur, le gouvernement du Québec lui octroie un crédit d'impôts de 50 % sur les salaires. Ubisoft Montréal est devenu depuis le « vaisseau amiral » de la multinationale, c'est-à-dire son plus gros studio de développement[24]. En 1998, la société ouvre trois nouveaux studios : Ubisoft Casablanca au Maroc, Ubisoft Milan en Italie et Ubisoft Barcelona en Espagne[20]. Elle étend également son réseau en ouvrant des filiales de distribution à Hong Kong, aux Pays-Bas et au Danemark[25].

Années 2000

modifier

En 2000, les actions d'Ubisoft sont transférées sur le Premier marché de la Bourse de Paris[25]. La même année, la société fait l'acquisition du studio américain Red Storm Entertainment, fondé en 1996 par l'écrivain Tom Clancy, pour la somme de 45 millions de dollars[8]. Elle lance également son portail de jeux vidéo en ligne ubi.com[25]. En , elle achète le studio allemand Blue Byte Software (The Settlers, Battle Isle)[26], puis le mois suivant, la division divertissement de l'américain The Learning Company (Prince of Persia, Myst)[27],[28]. En 2002, elle se dote de filiales en Suisse, en Finlande et en Corée du Sud[25]. Dans les marchés européens, Ubisoft distribue en outre plusieurs licences japonaises comme SoulCalibur, Final Fantasy, Dragon Quest. Sur le marché français à destination des jeunes filles Ubisoft distribue le jeu Jeune Styliste développé par Carré Multimedia[29].

En 2002, elle sort le jeu Tom Clancy's Splinter Cell qui rencontre un tel succès que les stocks européens sont épuisés en moins de 24 h[11]. Le jeu est récompensé du titre de Jeu d'action et aventure de l'année au salon de l'E3[25]. L'année suivante, elle sort Prince of Persia : Les Sables du temps[30] qui rencontre également le succès avec 1,1 million de jeux vendus en trois mois sans être sorti sur toutes les consoles[31]. Les deux jeux connaitront plusieurs suites.

En , à l'occasion de la vente de son cent millionième jeu, Ubisoft dévoile son nouveau logo et sa nouvelle identité visuelle[32],[33].

En , Electronic Arts acquiert 19,9 % du capital d'Ubisoft et en devient actionnaire principal devant les fondateurs du groupe, les frères Guillemot (15 %)[34]. La première confrontation entre l'éditeur américain et le français date de l'année précédente lorsqu'il avait tenté de débaucher les cinq principaux créateurs de Splinter Cell. Mais Ubisoft avait obtenu raison devant la justice canadienne, et les quatre créateurs avaient dû attendre un an[8]. La même année, une équipe d'Ubisoft aide à la création de l'équipe féminine Frag Dolls, qui reste active jusqu'en 2015[35].

De 2004 à 2005, Ubisoft signe des accords de licence avec plusieurs majors hollywoodiennes pour l'adaptation en jeux vidéo de films comme King Kong ou Star Wars[21]. Le , un nouveau studio est ouvert dans la ville de Québec, Ubisoft Québec[36]. La société fonde Ubisoft Sofia en Bulgarie en [20], et achète Reflections Interactive (Driver) la même année[37]. En , Ubisoft s'offre le studio allemand Sunflowers (Anno) et obtient ainsi 30 % du britannique Related Designs[38], qu'il finira par racheter en totalité en [39].

Costumes semblables à ceux visibles dans différents épisodes de la série Assassin's Creed, franchise majeure d'Ubisoft, créée en 2007.

En 2006, les Lapins crétins créés par Michel Ancel font leur apparition dans Rayman contre les lapins crétins. Conçus pour être les gentils ennemis de Rayman, l'engouement du public autour d'eux en fera un véritable phénomène marketing, présents dans des publicités pour diverses marques, et déclinés en jouet, bande dessinée, série télévisée et même en une attraction au Futuroscope, La Machine à voyager dans le temps[40]. En 2007, Ubisoft sort le jeu d'action-aventure Assassin's Creed qui se voit salué par la critique pour son ambition, son audace et son esthétique. Le jeu est également un succès commercial, il se vend à 3 millions d'exemplaires en moins de deux mois et dépasse largement les objectifs de l'éditeur. Le jeu connait de multiples suites et la série Assassin's Creed devient la plus grosse franchise d'Ubisoft[41],[42]. Cette année-là, Ubisoft devient le 3e éditeur indépendant de jeux vidéo au monde[21].

En 2008, la société ouvre plusieurs studios à travers le monde : Ubisoft Chengdu en Chine en mars[43], Ubisoft Kiev en Ukraine en avril[44], Ubisoft São Paulo au Brésil[45] et Ubisoft Singapour en juillet[46]. Elle fait également l'acquisition du japonais Digital Kids (devenu Ubisoft Nagoya) en janvier[47], du suédois Massive Entertainment en novembre[48] et reprend un studio indien de Gameloft (devenu Ubisoft Pune) en avril[49]. En juillet de la même année, elle achète Hybride Technologies, un studio canadien spécialisé dans la création d'effets spéciaux numériques pour le cinéma, la télévision et la publicité[50]. En 2009, Ubisoft renforce son implantation sur la côte ouest nord-américaine avec le rachat du studio canadien Action Pants Inc. à Vancouver en février[51], et l'ouverture d'Ubisoft Toronto au cours de l'année[52]. En octobre de la même année, l'éditeur rachète le studio parisien Nadeo (TrackMania)[53].

En 2009, Ubisoft dévoile Just Dance, un jeu de rythme basé sur la danse. Ce dernier rencontre un franc succès avec 2 millions d'unités vendues en cinq mois, créant une nouvelle franchise qui cumule en 2014 42 millions de jeux vendus[54],[55]. En , l'éditeur annonce la création d'une maison d'édition de bande dessinée, baptisée Les Deux Royaumes, chargée de transposer les franchises de jeux vidéo dans l'univers de la BD, tel qu'Assassin's Creed. Ubisoft s'associe avec les éditions Dargaud, Dupuis et Le Lombard pour la diffusion et le conseil[56],[57]. La même année, la société lance sa plateforme de services en ligne Uplay où les joueurs peuvent acheter des contenus, obtenir des récompenses et gérer leurs droits[58].

Années 2010

modifier

En , Electronic Arts revend ses parts dans Ubisoft, alors 14,8 %, pour un montant approximatif de 94,36 millions d'euros[59],[60]. Après ce départ, la Société générale de financement du Québec prend une participation de 4,5 % dans la société pour un montant estimé à 40 millions de dollars. Ubisoft emploie alors plus de 2 700 personnes au Québec[61]. Au même moment, le fonds d'investissement américain Harbinger Capital Partners acquiert 9 % du capital et devient le second actionnaire derrière la famille Guillemot[62]. En , ayant perdu 48 % de sa valeur boursière depuis le début de l'année, l'entreprise annonce le rachat de 286 000 de ses titres, provoquant une hausse de 3,55 % de la valeur de son action[63].

En 2011, le groupe annonce la création de sa propre société de production, Ubisoft Motion Pictures, chargée de porter les franchises de jeux vidéo à la télévision et au cinéma. Cela confirme la stratégie de développement transmédia qu'a commencé à mettre en place Ubisoft depuis plusieurs années[64]. Leur première production est la série télévisée d'animation Les Lapins Crétins : Invasion qui est diffusée en 2013 aux États-Unis et en France. En parallèle, le studio travaille sur des projets de films adaptés des franchises Assassin's Creed, Splinter Cell et Watch Dogs[65].

En , une convention est signée entre Ubisoft et le gouvernement français autour d’un projet de recherche et développement destiné à servir de base pour une prochaine génération de jeu vidéo. Le projet nommé « Mango » mobilisera une soixantaine de personnes réparties entre les studios d'Ubisoft, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, et le Laboratoire d'informatique en image et systèmes d'information du CNRS. Sur un investissement total de quatorze millions, l'aide financière de l'État pourra atteindre jusqu'à 3,5 millions d'euros[66].

En 2011, le groupe fait l'acquisition du français Owlient (Equideow) en juillet[67] et du finlandais RedLynx (Trials HD) en novembre[68], et ouvre Ubisoft Abu Dhabi aux Émirats arabes unis, le premier studio au sein d'un pays du Conseil de coopération du Golfe[69]. En octobre 2013, la multinationale achète le britannique Future Games Of London (Hungry Shark)[70], et en octobre 2015, le français Ivory Tower (The Crew)[71] et le canadien Longtail Studios (futur Ubisoft Halifax)[72].

Le , Ubisoft annonce le report de la sortie de deux nouveaux jeux : le jeu d'action-aventure Watch Dogs et le jeu de course The Crew. L'éditeur dégringole alors de plus de 23 % en Bourse, ce report affectant les résultats de l'année 2013[73]. Watch Dogs sort en et rencontre un succès commercial avec quatre millions d'unités vendues en une semaine, devenant selon l'éditeur la franchise de jeu vidéo la plus vendue au monde à son lancement[74]. The Crew sort en décembre de la même année et se vend à deux millions d'exemplaires[75].

En 2015, elle se définit comme le troisième plus grand éditeur indépendant du monde[11],[Note 1], derrière les américains Electronic Arts et Activision Blizzard. Également en 2015, elle est le plus gros éditeur français de jeux vidéo devant Gameloft[76], une autre société de jeux vidéo créée en 1999 par la famille Guillemot.

Le , le groupe Vivendi dirigé par Vincent Bolloré prend une participation minoritaire non sollicitée de 6,6 % dans Ubisoft en achetant 7,36 millions d'actions pour un montant de 140,3 millions d'euros. En parallèle, il prend une participation de 6,2 % dans la société sœur d'Ubisoft, Gameloft[77]. Le PDG d'Ubisoft, Yves Guillemot, réagit dans un mail interne adressé à ses équipes : il exprime sa volonté de rester indépendant et affirme que le risque est que l'entreprise soit « dirigée par des gens qui ne comprennent pas notre expertise ni ce qu'il faut faire pour avoir du succès dans cette industrie ». Dès la semaine suivante, Vivendi augmente sa participation dans l'éditeur de jeux vidéo à 10,39 % et devient son actionnaire principal. Le groupe parle alors de « convergence opérationnelle » entre les deux entreprises[78],[79]. Vivendi continue d'augmenter sa participation au fil des mois jusqu'à atteindre plus de 25 % en [80]. De son côté, la famille Guillemot augmente également sa participation à 13,22 % pour essayer de contrer l'arrivée de ce nouvel actionnaire[81], et ne pas voir Ubisoft rachetée comme sa société sœur en au terme d'une offre publique d'achat hostile[82].

En novembre 2017, lors de la présentation de ses résultats financiers, Vivendi confirme que sa direction ne désire pas déposer d'offre publique d’achat sur Ubisoft dans les six mois à venir, alors qu'elle en a l'occasion[83]. Le groupe annonce finalement en mars 2018 vendre cette participation, pour deux milliards d'euros, à la société elle-même, et à d'autres actionnaires dont la Famille Guillemot, Tencent et le fonds de pension Ontario Teachers[84]. En mars 2019, Vivendi vend sa participation résiduelle de 5,9 % dans Ubisoft pour 429 millions d'euros[85].

En mai 2019, Ubisoft annonce un bénéfice net record de cent millions d'euros sur un chiffre d'affaires de 1,8 milliard d'euros pour le compte de son exercice décalé 2018-2019. L'entreprise juge ses revenus « records » mais « conformes » aux prévisions[86]. Ubisoft prévient que ses ventes seront dopées pour l'exercice 2019-2020, avec le lancement de nouveaux jeux à grosses productions comme Ghost Recon Breakpoint[87],[88].

Fin 2019, Ubisoft annonce que les résultats ne seront finalement pas si hauts qu'attendus, le groupe ayant pris du retard dans le développement de plusieurs titres majeurs, tout en ayant accumulé des ventes décevantes[89]. Le groupe anticipe désormais un chiffre d'affaires de 1,45 milliard d'euros au lieu des 2,185 milliards d'euros espérés initialement[90],[91].

Années 2020

modifier

En mai 2020, Ubisoft annonce porter plainte contre Ejoy, un éditeur de jeux vidéo chinois, pour le plagiat supposé du jeu Rainbow Six Siege[92]. Ubisoft porte également plainte contre Apple et Google, en les accusant de ne pas être intervenus contre la distribution du jeu[93].

En septembre 2022, l'entreprise chinoise, Tencent a acquis une participation minoritaire dans Guillemot Brothers Limited, la holding familiale qui contrôle Ubisoft. L'acquisition s'élève à 300 millions d'euros (200 millions d'euros d'acquisition de titres et 100 millions d'euros d'augmentation de capital) et donne à Tencent 49,9 % du capital et 5 % des droits de vote[94].

Identité visuelle (logo)

modifier

Organisation de la société

modifier

Gouvernance et effectif

modifier

Conseil d'administration [95]

  • Administrateur, Président, Directeur général : Yves Guillemot (depuis )
  • Administrateur, Directeur général délégué, Opérations : Claude Guillemot (depuis )
  • Administrateur, Directeur général délégué, Développement stratégique et financier : Michel Guillemot (depuis )
  • Administrateur, Directeur général délégué, Édition : Gérard Guillemot (depuis le )
  • Administrateur, Directeur général délégué, Administratif : Christian Guillemot (depuis le )
  • Administrateur salarié, Directeur Technologie au siège du Groupe, Membre du comité RSE : Lionnel Bouchet (depuis 1996)
  • Administrateur référent, Membre du Comité d’audit : Didier Crespel (depuis 2013)
  • Administratrice indépendante : Belén Essioux-Trujillo (depuis )
  • Administratrice indépendante, Présidente du Comité RSE, Membre du Comité des nominations, des rémunérations et de la gouvernance : Corinne Fernandez-Handelsman
  • Administratrice indépendante, Présidente du Comité des nominations, des rémunérations et de la gouvernance, Membre du Comité d’audit : Laurence Hubert-Moy (depuis 2013)
  • Administratrice indépendante, Présidente du Comité d’audit : Florence Naviner (depuis 2018)
  • Administrateur représentant les salariés actionnaires : John Parkes (depuis 2010)
  • Administratrice représentant les salariés : Anne Wübbenhorst (depuis 2014)
  • Administratrice indépendante : Claude France


Comités [95]

Comité d’audit

  • Florence Naviner, Présidente
  • Didier Crespel, Membre
  • Laurence Hubert-Moy, Membre

Comité des nominations, des rémunérations et de la gouvernance

  • Laurence Hubert-Moy, Présidente
  • Corinne Fernandez-Handelsman, Membre

Comité responsabilité sociale, environnementale et sociétale

  • Corinne Fernandez-Handelsman, Présidente
  • Lionel Bouchet, Membre
  • Gérard Guillemot, Membre
Effectif
Ubisoft emploie environ 21 000 salariés, dont environ 15 000 affectés à la production de jeu.

Sièges et filiales de distribution

modifier

Le siège social de la société Ubisoft Entertainment est situé à Carentoir, au 2 rue du Chene Heleuc[96].

Montreuil (France) accueille les sièges d'Ubisoft Monde[97], d'Ubisoft Mobile pour les marchés des smartphones, tablettes et TV connectées[98], d'Ubisoft Motion Pictures pour la production au cinéma et à la télévision[99], et le siège de la région Europe et Asie-Pacifique (EMEA)[100].

San Francisco (États-Unis) accueille le siège de la région Amérique du Nord, Centrale et du Sud (NCSA) depuis 1996. La structure compte 350 collaborateurs travaillant dans les domaines du marketing, de la vente, de la communication, de la création, de la finance[101].

Le groupe possède une vingtaine de filiales de distribution à travers le monde :

Jeux vidéo

modifier

En 2018, Ubisoft possédait 45 studios de développement de jeux vidéo dans 30 pays[121].

Ubisoft investit aussi dans des entreprises d'infrastructures, notamment avec le rachat de l'entreprise i3D.net, dans le top 10 des entreprises fournissant des serveurs à l'industrie du jeu vidéo[122].

Studios actuels

modifier
Nom Situation Pays Création Acquisition Réf.
1492 Studio Vailhauquès Drapeau de la France France [123]
Blue Mammoth Games Atlanta Drapeau des États-Unis États-Unis [124]
Future Games Of London Londres Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [125]
Green Panda Games Paris Drapeau de la France France [126]
Hybride Technologies Piedmont Drapeau du Canada Canada [127]
i3D.net Rotterdam Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas [128]
Ivory Tower Villeurbanne Drapeau de la France France [129]
Ketchapp Paris Drapeau de la France France [130]
Kolibri Games Berlin Drapeau de l'Allemagne Allemagne [131]
Massive Entertainment Malmö Drapeau de la Suède Suède [132]
Nadeo Paris Drapeau de la France France [133]
Owlient Paris Drapeau de la France France [134]
Quazal Technologies Montréal Drapeau du Canada Canada [135]
Red Storm Entertainment Morrisville Drapeau des États-Unis États-Unis [136]
RedLynx Helsinki Drapeau de la Finlande Finlande [137]
Ubisoft Abu Dhabi Abu Dhabi Drapeau des Émirats arabes unis Émirats arabes unis NC [138]
Ubisoft Annecy Annecy Drapeau de la France France [139]
Ubisoft Barcelona Sant Cugat del Vallès Drapeau de l'Espagne Espagne [140]
Ubisoft Barcelona Mobile Barcelone Drapeau de l'Espagne Espagne [141]
Ubisoft Belgrade Belgrade Drapeau de la Serbie Serbie NC [142]
Ubisoft Berlin Berlin Drapeau de l'Allemagne Allemagne [143]
Ubisoft Bordeaux Bordeaux Drapeau de la France France [144]
Ubisoft Bucarest Bucarest Drapeau de la Roumanie Roumanie [145]
Ubisoft Chengdu Chengdu Drapeau de la République populaire de Chine Chine [146]
Ubisoft Digital Arts Montréal, Canada Drapeau du Canada Canada [147]
Ubisoft Düsseldorf Düsseldorf Drapeau de l'Allemagne Allemagne [148]
Ubisoft Da Nang Da Nang Drapeau de la République socialiste du Viêt Nam Viêt Nam NC [149]
Ubisoft Halifax Halifax Drapeau du Canada Canada [150]
Ubisoft Japan Tokyo Drapeau du Japon Japon NC [151]
Ubisoft Kyiv Kiev Drapeau de l'Ukraine Ukraine [129]
Ubisoft Leamington Leamington Spa Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [152]
Ubisoft Mainz Mayence Drapeau de l'Allemagne Allemagne [148]
Ubisoft Milan Milan Drapeau de l'Italie Italie NC [129]
Ubisoft Montpellier Castelnau-le-Lez Drapeau de la France France [129]
Ubisoft Montréal Montréal Drapeau du Canada Canada [129]
Ubisoft Mumbai Mumbai Drapeau de l'Inde Inde [153]
Ubisoft Odesa Odessa Drapeau de l'Ukraine Ukraine [153]
Ubisoft Osaka Osaka Drapeau du Japon Japon [129]
Ubisoft Paris Montreuil Drapeau de la France France NC [129]
Ubisoft Paris Mobile Montreuil Drapeau de la France France [129]
Ubisoft Philippines Santa Rosa Drapeau des Philippines Philippines [129]
Ubisoft Pune Pune Drapeau de l'Inde Inde [129]
Ubisoft Québec Québec Drapeau du Canada Canada NC [129]
Ubisoft Reflections Newcastle Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [129]
Ubisoft Saguenay Chicoutimi Drapeau du Canada Canada NC [154]
Ubisoft San Francisco San Francisco Drapeau des États-Unis États-Unis [129]
Ubisoft Shanghai Shanghai Drapeau de la République populaire de Chine Chine [129]
Ubisoft Sherbrooke Sherbrooke Drapeau du Canada Canada 2022 [155]
Ubisoft Singapour Singapour Drapeau de Singapour Singapour [129]
Ubisoft SA Madrid Drapeau de l'Espagne Espagne [156]
Ubisoft Sofia Sofia Drapeau de la Bulgarie Bulgarie [129]
Ubisoft Stockholm Stockholm Drapeau de la Suède Suède [157]
Ubisoft Toronto Toronto Drapeau du Canada Canada [129]
Ubisoft Winnipeg Winnipeg Drapeau du Canada Canada [158]

Anciens studios

modifier
Nom Localisation Création Acquisition Fermeture Réf.
Game Studios Los Angeles, États-Unis [159],[160],[161]
Microïds Canada Montréal, Canada [162]
Related Designs Mayence, Allemagne [163],[164]
Sinister Games Chapel Hill, États-Unis [165],[166],[167]
Southlogic Studios Porto Alegre, Brésil [168]
Sunflowers Interactive Heusenstamm, Allemagne [169]
THQ Montréal Montréal, Canada [170],[171]
Tiwak Montpellier, France [172],[173],[174]
Ubi Studios Oxford, Angleterre NC NC [175],[166],[176]
Ubisoft Casablanca Casablanca, Maroc NC [177]
Ubisoft Sao Paulo São Paulo, Brésil NC [178],[179]
Ubisoft Vancouver Vancouver, Canada [180],[181]
Ubisoft Zurich Thalwil, Suisse NC [182],[183]
Wolfpack Studios Round Rock, États-Unis [184],[185],[186]

Bande dessinée

modifier

En 2009, Ubisoft fonde sa propre maison d'édition de bande dessinée nommée Les Deux Royaumes, en référence au titre d'un jeu vidéo Prince of Persia. Elle est chargée de transposer les franchises de jeux vidéo dans l'univers de la bande dessinée, tel que la série de BD Assassin's Creed. Ubisoft s'associe avec les éditions Dargaud, Dupuis et Le Lombard pour la diffusion et le conseil[187],[188],[189].

La première bande dessinée, Assassin's Creed : 1.Desmond, sort le . Le scénario est confié à Éric Corbeyran et le dessin à Djillali Defali[190],[191]. La maison d'édition a publié les collections Assassin's Creed, The Lapins crétins, Might & Magic Heroes et Watch Dogs.

Cinéma et télévision

modifier

En 2011, Ubisoft crée sa propre société de production nommée Ubisoft Motion Pictures. Elle est chargée de porter les franchises de jeux vidéo à la télévision et au cinéma[192]. L'éditeur avait déjà fait un pas dans le domaine audiovisuel en faisant l'acquisition, en , d'Hybride Technologies, un studio spécialisé dans la création d'effets visuels pour le cinéma, la télévision et la publicité[50].

La première production de la nouvelle structure est la série télévisée d'animation Les Lapins Crétins : Invasion qui est diffusée en 2013 aux États-Unis et en France[193]. Le premier film produit est Assassin's Creed réalisé par Justin Kurzel avec Michael Fassbender et Marion Cotillard dont la sortie a eu lieu le [194].

Également, en 2020, Ubisoft lance une webTV nommée gTV[195].

Parc d'attractions et d'amusement

modifier

En décembre 2013, une nouvelle attraction ouvre ses portes au Futuroscope (Poitiers, France), une attraction sur l'univers de Lapins crétins[196]. Celle-ci est co-créée par Ubisoft Motion Pictures.

Ubisoft a ouvert, en août 2016, un parc d’attractions au Québec à Montréal autour du thème des Lapins crétins. Ce parc s'étend sur une surface de 1 400 m2[197].

L'entreprise souhaite également ouvrir un parc d'attractions basé sur ses licences les plus connues, à Kuala Lumpur, pour 2020[198].

Ubisoft développe plusieurs escape-game en nouant des partenariats avec 300 lieux spécialisés. Ubisoft Blue Byte a donc créé trois escape-game en réalité virtuelle basés sur les licences Assassin's Creed (Beyond Medusa's Gate et Escape the Lost Pyramide) et Prince of Persia (Dagger of Time)[199].

Liste des jeux

modifier

Principales franchises

modifier

Ubisoft possède dans son catalogue plusieurs grandes franchises : certaines ont été créées par l'éditeur lui-même et d'autres ont été acquises par l'achat de studios de développement.

Note : entre parenthèses figurent les chiffres de vente des franchises, mais ils peuvent aussi bien indiquer le nombre de jeux vendus aux consommateurs que le nombre d'unités fournies aux distributeurs.

Controverses

modifier

Ubi Free

modifier

De à , des employés d'Ubisoft protestent anonymement contre les méthodes d'administration de l'entreprise en lançant sur internet Ubi Free, le « premier syndicat virtuel »[217]. Suscitant de nombreux articles dans la presse française, Ubi Free fustigeait dans ses articles et ses chroniques signées « Albert » le management des dirigeants d'Ubisoft et dénonçait une communication interne « infantilisante », des contrats de travail « précaires », le non-paiement du temps de travail supplémentaire, l'inégalité salariale entre hommes et femmes, et surtout l'absence de structures permettant le dialogue social au sein du groupe. Une tribune y publiait des réactions et commentaires de salariés, ex-salariés ou simples internautes.

La direction d'Ubisoft a réagi en organisant des « réunions de dialogue » avec le personnel, en annonçant l'organisation d'élections de délégués du personnel et en mettant en place les 35 heures[218]. En mars 1999, les créateurs d'Ubi Free ont gelé le site, estimant avoir rempli leur mission qui était « une prise de parole, pas une prise de pouvoir »[219]. Sorti de l'anonymat, Jérémie Lefebvre, l'un des créateurs de Ubi Free, a ensuite publié un roman inspiré de cette expérience[220].

Enquête sur des faits de harcèlement et d'agressions sexuelles

modifier

En 2020, une enquête de Libération révèle de multiples faits de harcèlement et d'agressions sexuelles au sein de l'entreprise, connus et couverts par le service des ressources humaines[221].

L'enquête permet une libération de la parole, de nombreuses femmes se mettent à porter plainte et à témoigner sur les réseaux sociaux. La plateforme de jeux vidéo a ouvert des enquêtes internes[222]. Le directeur de la création de l'entreprise, Serge Hascoët, est notamment mis en cause par le journal[223]. Le 26 juin 2020, deux vice-présidents, Maxime Béland et Tommy François sont mis à pied[224]. Le 11 juillet, Serge Hascoët démissionne ainsi que la responsable aux ressources humaines Cécile Cornet et le PDG des studios canadiens du groupe Yannis Mallat[225],[226]. Le 3 août, un mail envoyé aux employés par le PDG lui-même annonce le départ définitif et immédiat de Tommy François, le vice-président chargé des services créatifs du département éditorial[227].

Le 14 août 2020, un autre directeur de la création, Ashraf Ismail, est licencié à la suite d'une enquête interne[228]. Il est accusé par une salariée d'avoir menti au sujet de sa situation maritale et d'avoir abusé de sa position hiérarchique afin d'obtenir des relations extra-conjugales[229]. Alors qu'il avait pris du recul depuis fin juin et l'ouverture de l'enquête, Ashraf Ismail s'est déclaré sur Twitter « profondément désolé pour tous ceux qui ont été blessés ». Yves Guillemot, le PDG d'Ubisoft, a reconnu « qu'Ubisoft n'a pas été en mesure de garantir à ses collaborateurs un environnement de travail sûr et inclusif [...]. Ce n'est pas acceptable. Tout comportement toxique est en opposition totale avec les valeurs avec lesquelles je n'ai jamais transigé et avec lesquelles je ne transigerai pas[230]. »

En septembre 2020, Michel Ancel, directeur de la création historique de l'entreprise démissionne « sur fond d'enquête interne »[231]. Dans une enquête, Erwan Cario et Marius Chapuis pour Libération évoquent « un directeur de la création aux méthodes toxiques »[232].

Grèves de 2023 et 2024

modifier

Le 27 janvier 2023, un mouvement de grève a lieu pour dénoncer les pratiques managériales de l'entreprise[233].

Le 14 février 2024, entre 400 et 500 salariés de l'entreprise font grève pour réclamer des « salaires dignes »[234].

Du 15 au 17 octobre 2024, les syndicats appellent à la grève pour lutter contre la limitation du télétravail que la direction veut imposer[235]. Avec plus de 700 grévistes, un représentant syndical avance qu'il s'agirait de la plus grosse grève de l’histoire du jeu vidéo[236].

Données économiques

modifier

Données financières

modifier
Données financières en euros
Année fiscale[Note 2] Chiffre d'affaires Résultat net Capitaux propres
1998[237] 132 582 000 6 256 000 27 544 000
1999[237] 186 527 000 10 946 000 282 752 000
2000[237] 259 815 000 3 651 000 293 234 000
2001[238] 368 961 000 7 953 000 309 055 000
2002[239] 452 952 000 4 854 000 304 829 000
2003[240] 508 444 000 - 9 023 000 293 650 000
2004[241] 538 048 000 20 022 000 319 139 000
2005[242] 547 070 000 11 932 000 381 258 000
2006[243] 680 348 000 40 558 000 521 819 000
2007[244] 928 307 000 109 844 000 634 151 000
2008[245] 1 057 926 000 68 848 000 751 756 000
2009[246] 870 954 000 - 43 672 000 761 472 000
2010[247] 1 038 826 000 - 52 120 000 713 995 000
2011[248] 1 061 296 000 37 321 000 762 707 000
2012[249] 1 256 164 000 64 831 000 838 227 000
2013[250] 1 007 064 000 - 65 525 000 810 048 000
2014[251] 1 463 753 000 87 011 000 979 382 000
2015[252] 1 393 997 000 93 408 000 1 018 510 000
2016[253] 1 459 874 000 107 813 000 1 133 816 000
2017[254] 1 731 894 000 139 452 000 889 330 000
2018[255] 1 845 522 000 99 985 000 920 018 000
2019[256] 1 594 831 000 −124 242 000 1 321 743 000
2020[257] 2 223 800 000 105 200 000 1 665 000 000
2021[258] 2 125 200 000 79 500 000 1 809 000 000
2022[259] 1 814 300 000 −494 700 000 1 482 600 000
2023[260] 2 300 900 000 157 900 000 1 879 300 000
Données aux normes comptables IFRS à partir de 2005.

Données boursières

modifier

Données boursières à jour au [261] :

Actionnaires

modifier

Liste des principaux actionnaires au [262] :

Famille Guillemot 13,91%
Tencent Holdings Ltd 9,74%
The Capital Group Companies 5,30%
T. Rowe Price 5,03%
Ubisoft Entertainment SA ESOP (Actionnariat salarié) 3,49%
AllianceBernstein (en) 0,57%
Yves Guillemot 0,55%
Waystone Management 0,31%
Generali 0,26%
Spuerkeess Asset Management 0,21%

Notes et références

modifier
  1. C'est-à-dire sans compter les constructeurs Nintendo, Sony et Microsoft.
  2. L'exercice fiscal s'étend du au .

Références

modifier
  1. « https://www.ubisoftgroup.com/en-US/about_ubisoft/facts_and_figures.aspx »
  2. « Ubisoft annonce ses résultats pour l'exercice 2023-24 » [PDF], sur ubisoft.com, (consulté le ).
  3. « Action Ubisoft Entertainment | Cours UBI Bourse Euronext Paris - Zonebourse », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
  4. a b c et d « Document d'Enregistrement Universel 2024 » [PDF], sur ubisoft.com, (consulté le ), p. 182-183.
  5. a et b « Chiffre d'affaires et résultat Ubisoft, comptes détaillés, bilan et compte de résultat UBI - FR0000054470 - Boursier.com », sur www.boursier.com (consulté le ).
  6. a b c et d Marco Mosca, « Quand Yves Guillemot, le patron d'Ubisoft, se rêve en Disney français » [archive du ], sur Challenges, (consulté le )..
  7. a b c d et e « Ubisoft : du jeu vidéo au rayonnement mondial », Les Numériques, .
  8. a b c d e et f Emmanuel Paquette et Grégoire Poussielgue, « Ubisoft : une famille en état de siège », sur Les Échos, .
  9. Hervé Rousseau, « Les frères Guillemot « serials entrepreneurs » », Le Figaro, .
  10. Julien Dupont avec Andy David, « Les temps sont durs pour les jeux Ubisoft », Capital (magazine),‎ , p. 46-47 (lire en ligne).
  11. a b et c « Présentation du groupe », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  12. Colette Thomas, « Un éditeur français intéresse les Américains », RFI, .
  13. a b et c Ubi Soft : le club des cinq, juillet/août 1996, PC Team no 15, pp. 22-27.
  14. Daniel Ichbiah et Sébastien Mirc, Michel Ancel : Biographie d'un créateur de jeux vidéo français, Châtillon, Pix'n Love, coll. « Les Grands noms du jeu vidéo » (no 2), , 193 p. (ISBN 978-2-918272-16-8, BNF 42379914).
  15. Damien Greffet, « E3 2013 : suivez la conférence Ubisoft en direct ! », JeuxActu.com, .
  16. Ubisoft Montreal, « Here is the answer to Friday’s questions », Twitter, .
  17. « Rapport annuel 2005 » [PDF], le site officiel (consulté le ), p. 14.
  18. « Ma Bretagne - Christian Guillemot », Bretons, no 103,‎ , p. 46 (résumé).
  19. Satoru Iwata, « Iwata demande - 2. Ce qui est possible ou non - ZombiU », Nintendo, .
  20. a b et c « Communiqué - La créativité des studios Ubisoft » [PDF], Media.generationmp3.com (consulté le ).
  21. a b et c « Ubisoft, troisième éditeur mondial de jeux vidéo », sur La Croix, .
  22. Daniel Ichbiah, La saga des jeux vidéo, Triel-sur-Seine, Pix'n love Éditions, , 5e éd., 250 p. (ISBN 978-2-918272-32-8, BNF 42579922, lire en ligne).
  23. « Ubisoft Entertain - Historique », La Tribune (consulté le ).
  24. Vincent Brousseau-Pouliot, « L'heureux malentendu à l'origine d'Ubisoft », sur La Presse, .
  25. a b c d et e « Communiqué - Moments forts de l'histoire d'Ubisoft » [PDF], Media.generationmp3.com (consulté le ).
  26. (en) Jennifer Ho, « Ubi Soft acquires Blue Byte Software », GameSpot, (consulté le ).
  27. « Ubi Soft acquiert la division entertainment de The Learning Company », Edubourse.com, (consulté le ).
  28. Dagdag, « Le Maître des échecs arrive sur GBA », sur Gamekult, (consulté le ).
  29. « Jeune Styliste Style City », sur La Nouvelle République, (consulté le )
  30. « 5 choses à savoir sur Prince of Persia : les sables du temps (M6) »
  31. Rodolphe Donain, « Un million de Prince of Persia », JeuxActu.com, .
  32. « Ubisoft change de look et révèle son nouveau logo », Association française pour le jeu vidéo (consulté le ).
  33. (en) Justin Calvert, « New Ubisoft logo unveiled », Gamespot, .
  34. Puyo, « EA rachète 20% d'Ubi Soft », sur Gamekult, (consulté le ).
  35. (en) Stephany Nunneley, « Ubisoft's professional gaming team Frag Dolls calling it quits », sur VG247, (consulté le ).
  36. « Notre Histoire » [archive du ], sur le site d'Ubisoft Québec (consulté le ).
  37. « Ubisoft Reflections », sur IGN (consulté le ).
  38. Poischich, « Ubisoft s'offre Sunflowers », sur Gamekult, .
  39. « Ubisoft rachète Related Designs », sur Jeuxvideo.com, .
  40. Chloé Woitier, « Ubisoft ambitionne de faire des Lapins crétins une marque globale », sur le site du Figaro, .
  41. Boris Manenti, « Assassin's Creed, le jeu qui révolutionne l'Histoire », sur L'Obs, .
  42. OscarL, « AC Unity a-t-il mis Ubisoft en sur-régime ? », sur Gamekult, .
  43. « Ubisoft Chengdu », sur jeuxvideo.com, .
  44. Julien Hubert, « Ubisoft Kiev voit le jour », sur Gameblog, .
  45. (en) Jean Snow, « Ubisoft Opens New Studio in Brazil », sur Wired, .
  46. « Ubisoft Singapour », sur jeuxvideo.com, .
  47. « Ubisoft finalise l'acquisition du studio japonais Digital Kids », sur boursier.com, .
  48. Julien Hubert, « Ubisoft rachète Massive Entertainment », sur jeuxvideo.com, .
  49. Julien Hubert, « Ubisoft achète un studio indien à Gameloft », sur Gameblog, .
  50. a et b Michel Munger, « Ubisoft achète Hybride Technologies », sur le site de La Presse, .
  51. Nourdine Nini, « Ubisoft rachète Action Pants Inc. », sur Gameblog, .
  52. (en) « Ubisoft Expands Global Reach, Opening New Studio in Toronto », .
  53. A. Maïakovsky, « Ubisoft s'offre Nadéo », sur 01net.com, .
  54. « Ubisoft "heureux" du succès de Just Dance », TF1, .
  55. Melinda Davan-Soulas, « Just Dance 2014, dans les coulisses d'un blockbuster à la française », TF1, .
  56. « Ubisoft crée une maison d'édition de BD inspirées de ses jeux vidéo », sur Stratégies, .
  57. « Ubisoft se lance dans la BD », sur le site d'Europe 1, .
  58. Prodigy, « E3> Ubisoft présente son service UPlay », sur Gamekult, .
  59. Yukishiro (Thomas Cusseau), « EA sort du capital d'Ubisoft », sur Gamekult, (consulté le ).
  60. « Electronic Arts sort du capital d'Ubisoft », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  61. « Le Québec entre au capital d'Ubisoft », Le Figaro, (consulté le ).
  62. « Ubisoft : le fonds d'investissement américain Harbinger devient le deuxième actionnaire », LeBoursier.com, (consulté le ).
  63. « Ubisoft porté par un rachat d'actions », La Tribune, .
  64. « Ubisoft prend officiellement pied dans le cinéma », sur Allociné, .
  65. Romain Gueugneau, « Les Lapins crétins d'Ubisoft s'invitent à la télévision », sur Les Échos, .
  66. Frédéric Bergé, « Jeu vidéo : le gouvernement soutient un projet de R&D Ubisoft-CEA-CNRS », 01net.com, (consulté le ).
  67. « Ubisoft rachète l'éditeur de jeux online Owlient », sur L'Express, .
  68. « Ubisoft acquiert RedLynx, studio à l’origine de Trials », sur jeuxvideo.fr, .
  69. « Ubisoft ouvre un studio de développement à Abu Dhabi » [archive du ], sur Capital, (consulté le ).
  70. Nourdine Nini, « Ubisoft acquiert le studio Future Games of London », sur Gameblog, .
  71. « Le studio Ivory Tower rejoint Ubisoft », sur jeuxvideo.com, .
  72. « Ubisoft acquiert Longtail Studios », sur jeuxvideo.com, .
  73. « Le retard de lancement de Watch Dogs fait plonger Ubisoft en Bourse », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  74. Logan, « Watch Dogs : Record de ventes », sur jeuxvideo.com, .
  75. Florent Deligia, « The Crew : 2 millions de ventes pour le jeu vidéo lyonnais », sur lyoncapitale.fr, .
  76. « Top 30 des éditeurs français de Jeux Vidéo en 2015 », AFJV,‎ (lire en ligne, consulté le )
  77. William Audureau et Sarah Belouezzane, « Vivendi investit dans Ubisoft et Gameloft, deux sœurs aux destins opposés », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  78. Kevin Hottot, « Vivendi augmente sa participation dans Ubisoft et parle de convergence opérationnelle », Next INpact, .
  79. « Vivendi monte au capital de Gameloft et Ubisoft, qui veulent rester indépendants », sur L'Express, .
  80. Kevin Hottot, « Ubisoft : Vivendi porte sa participation à 25,15 % du capital », Next INpact, (consulté le ).
  81. Pierre Manière, « Ubisoft fortifie sa ligne Guillemot », La Tribune, (consulté le ).
  82. « Vivendi réussit son rachat de Gameloft », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  83. « Vivendi relâche son emprise sur Ubisoft », Gamekult, (consulté le ).
  84. Sandrine Cassini, « Le géant des médias Vivendi renonce à l'éditeur de jeux vidéo Ubisoft », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  85. Sudip Kar-Gupta et Inti Landauro, « Vivendi sells its remaining shares in video games group Ubisoft », sur Reuters, .
  86. AFP, « Ubisoft: bénéfice net annuel de 100 millions d'euros », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  87. Benjamin Mallet et Jean-Michel Bélot, « Ubisoft-Rentabilité record en 2018-2019, croissance en vue », Reuters,‎ (lire en ligne, consulté le )
  88. « Ubisoft Entertainment : Rentabilité record en 2018-2019, croissance en vue », sur www.zonebourse.com (consulté le ).
  89. Erwan Lucas, « Ubisoft révise ses objectifs à la baisse », sur La Presse, (consulté le ).
  90. Le Figaro avec AFP, « Ubisoft révise à la baisse ses objectifs pour l'exercice en cours », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  91. « UBISOFT révise fortement à la baisse ses objectifs pour 2019-2020, le titre plonge », sur Capital.fr, (consulté le ).
  92. AFP, « Jeu vidéo : Ubisoft dépose plainte contre le développeur d’une copie conforme de « Rainbow Six Siege » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  93. « Sur fond de copyright, Ubisoft attaque en justice Apple et Google », sur Always For Keyboard, (consulté le ).
  94. Vincent Fagot, « Le chinois Tencent se renforce au sein du champion français du jeu vidéo Ubisoft », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  95. a et b « Investors | Ubisoft », sur www.ubisoft.com (consulté le )
  96. « Siège social d'Ubisoft Entertainment S.A. », sur societe.com (consulté le ).
  97. « Ubisoft Monde », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  98. « Ubisoft Mobile », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  99. « Ubisoft Motion Pictures », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  100. « Ubisoft EMEA », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  101. « Ubisoft San Francisco », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  102. « Ubisoft Allemagne », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  103. « Ubisoft Autriche », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  104. « Ubisoft Belgique », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  105. « Ubisoft Espagne », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  106. « Ubisoft France », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  107. « Ubisoft Italie », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  108. « Ubisoft Pays-Bas », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  109. « Ubisoft Pologne », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  110. « Ubisoft Royaume-Uni », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  111. « Ubisoft Russie », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  112. « Ubisoft Scandinavie », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  113. « Ubisoft Suisse », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  114. « Ubisoft Canada », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  115. « Ubisoft Mexique », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  116. « Ubisoft Brésil », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  117. « Ubisoft Japon », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  118. « Ubisoft Corée du Sud », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  119. « Ubisoft Hong-Kong », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  120. « Ubisoft Australie », sur le site d'Ubisoft (consulté le ).
  121. « Ubisoft - Recrutement / Travailler chez Ubisoft », sur www.ubisoft.com (consulté le )
  122. « UBISOFT rachète i3D.net pour renforcer ses infrastructures », sur capital.fr, (consulté le ).
  123. Emmanuel Forsans, « Ubisoft acquiert 1492 Studio », sur afjv.com, (consulté le ).
  124. « Blue Mammoth Games Joins Ubisoft! », (consulté le ).
  125. « Ubisoft acquiert le studio Future Games of London », sur Gameblog (consulté le ).
  126. Eddie Makuch, « Ubisoft Acquires Developer Of "Hyper-Casual" Games », sur GameSpot, (consulté le ).
  127. « Journal économique et financier », sur La Tribune (consulté le ).
  128. Rebekah Valentine, « Ubisoft acquires server company i3D.net », sur GamesIndustry.biz, (consulté le ).
  129. a b c d e f g h i j k l m n o p et q Emmanuel Forsans, « Ubisoft : les chiffres clés et les studios », sur afjv.com, (consulté le ).
  130. Wesley Yin-Poole, « Ubisoft buys mobile game company behind Threes clone, 2048 », sur Eurogamer, Gamer Network, (consulté le ).
  131. Chris Kerr, « Ubisoft acquires mobile studio Kolibri Games to expand into 'idle' genre », sur Gamasutra, (consulté le ).
  132. la_redaction, « Ubisoft rachète Massive Entertainment », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  133. Nerces, « C. Lagarrigue (Focus) revient sur le rachat de Nadeo », sur clubic.com, (consulté le ).
  134. L'Expansion.com, « Ubisoft rachète l'éditeur de jeux online Owlient », sur Lexpress.fr, L'Express, (consulté le ).
  135. « Ubisoft achète une PME québécoise », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  136. « Ubi Soft : la perspective du rachat de Red Storm bien accueillie », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  137. « Ubisoft s'offre RedLynx (Trials HD) », sur Gamekult.com, (consulté le ).
  138. Emmanuel Forsans, « Ubisoft ouvre le premier studio de jeux vidéo à Abu Dhabi », sur afjv.com, (consulté le ).
  139. « Ubisoft Annecy (informations sur la société) », sur AFJV (consulté le ).
  140. (en) « Ubisoft Barcelona - WholesGame », sur WholesGame (consulté le ).
  141. https://www.devuego.es/bd/festudio/ubisoft-barcelona-mobile
  142. Alissa McAloon, « Ubisoft opens fourth Eastern European studio in Belgrade, Serbia », sur Gamasutra, UBM TechWeb, (consulté le ).
  143. « Ubisoft Berlin's growth ambitions will need government support », sur gamesindustry.biz (consulté le ).
  144. Evan Campbell, « Ubisoft Opens Two New AAA Studios », sur IGN, IGN Entertainment, (consulté le ).
  145. William Audureau, « En Roumanie, les débuts d’Ubisoft Bucarest sur les cendres de la dictature », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  146. https://cn.ambafrance.org/Ubisoft-Chengdu-a-10-ans
  147. « Yves Guillemot sur le futur d'Ubi », sur Gameblog (consulté le ).
  148. a et b Rebekah Valentine, « Ubisoft rebrands its German studios », sur GamesIndustry.biz, (consulté le ).
  149. Rebekah Valentine, « Ubisoft opens new Vietnam studio », sur GamesIndustry.biz, (consulté le ).
  150. « Ubisoft rachète le studio Longtail Halifax », sur Direction Informatique (consulté le ).
  151. https://www.ubisoft.com/fr-FR/filiale/japon.aspx
  152. https://m.jeuxactu.com/ubisoft-rachete-freestyle-games-les-developpeurs-de-guitar-hero-live-107645.htm
  153. a et b Jason Wilson, « Ubisoft announces new studios in Mumbai and Odesa », sur VentureBeat, (consulté le ).
  154. « Ubisoft Saguenay inauguré », sur Le Quotidien, (consulté le ).
  155. Xavier Tessier, « Ubisoft annonce l'ouverture d'un nouveau studio à Sherbrooke », sur Ubisoft Sherbrooke, (consulté le ).
  156. « Ubisoft Spain », sur www.ubisoft.com (consulté le )
  157. Silent_Jay, « Ubisoft ouvre un nouveau studio en Suède », sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
  158. https://www.cbc.ca/news/canada/manitoba/ubisoft-winnipeg-studio-open-1.4974299.
  159. Shahed Ahmed, « Game Studios Established », sur gamespot.com, (consulté le ).
  160. « Game Studios Sale Confirmed », sur gamasutra.com (consulté le ).
  161. « Ubi Soft buys GAMEs », sur eurogamer.net (consulté le ).
  162. Tor Thorsen, « Ubisoft subsumes Microids Canada », sur gamespot.com, (consulté le ).
  163. « Ubisoft takes full ownership of Anno developer Related Designs », sur polygon.com (consulté le ).
  164. « Ubisoft: Ehemaliges Related Designs-Studio ab sofort unter Blue Byte-Flagge », sur gamezone.de (consulté le ).
  165. Eddie Makuch, « Paul Meegan returns to Epic », sur gamespot.com, (consulté le ).
  166. a et b Doug Trueman, « Ubi Soft Announces Acquisitions », sur gamespot.com, (consulté le ).
  167. « Gamescape: A Look at Development in North America's Cities », sur gamasutra.com (consulté le ).
  168. Jimmy Thang, « Ubisoft Expands Brazilian Operations », sur ign.com, (consulté le ).
  169. « Ubisoft snaps up SunFlowers », sur mcvuk.com (consulté le ).
  170. « THQ Montreal will be a two team studio working on 'great, original IP' », sur engadget.com (consulté le ).
  171. « Ubisoft Canada boss says THQ Montreal staff are 'pretty happy ... that everything went well' with the acquisition », sur polygon.com (consulté le ).
  172. Quang Hong, « Gamasutra – The Art & Business of Making Games », sur www.gamasutra.com (consulté le ).
  173. I. G. N. Staff, « E3 2002: Tork: First Look », sur ign.com, (consulté le ).
  174. « Ubisoft acquires Tiwak », sur eurogamer.net (consulté le ).
  175. I. G. N. Staff, « Ubi Soft Gets Sinister », sur ign.com, (consulté le ).
  176. « Dinner with Anne McCaffrey », sur eurogamer.net (consulté le ).
  177. Alex Wawro, « After 18 years, Ubisoft Casablanca is closing up shop », sur gamasutra.com (consulté le ).
  178. « Ubi opens development studio in Brazil – VG247 », sur vg247.com, (consulté le ).
  179. Kris Graft, « Ubisoft: Brazilian Operations Will 'Ramp Down' By Year-End », sur gamasutra.com (consulté le ).
  180. Mike Fahey, « Ubisoft Acquires Action Pants », sur kotaku.com (consulté le ).
  181. Tom Curtis, « Ubisoft shuts down its Vancouver studio », sur gamasutra.com (consulté le ).
  182. « Ubisoft Zurich is founded to create "free to play games for PC" – GameWatcher », sur www.gamewatcher.com (consulté le ).
  183. www.20minuten.ch, 20 Minuten, 20 Min www.20min.ch, « Ubisoft Zürich muss dicht machen », sur 20min.ch (consulté le ).
  184. « Shoot To Thrill: Playing Catch-Up with Former Shadowbane Developers at Stray Bullet Games », sur gamasutra.com (consulté le ).
  185. I. G. N. Staff, « Ubisoft Acquires Wolfpack Studios », sur ign.com, (consulté le ).
  186. David Jenkins, « Gamasutra – The Art & Business of Making Games », sur www.gamasutra.com (consulté le ).
  187. « Ubisoft crée une maison d'édition de BD inspirées de ses jeux vidéo », sur le site de Stratégies, .
  188. « Ubisoft se lance dans la BD », sur le site d'Europe 1, .
  189. Thierry Lemaire, « Ubisoft se lance dans la BD », sur actuabd.com, .
  190. « Ubisoft se lance dans la BD », sur Jeuxvideo.com, .
  191. « La BD Assassin's Creed : 1.Desmond sortira le 13 novembre 2009 », sur le site de l'Association française pour le jeu vidéo, .
  192. Olivier Pallaruelo, « Ubisoft prend officiellement pied dans le cinéma », sur le site d'Allociné, .
  193. Romain Gueugneau, « Les Lapins crétins d'Ubisoft s'invitent à la télévision », sur le site des Échos, .
  194. Thomas Destouches, « Assassin's Creed: Jeremy Irons et Brendan Gleeson rejoignent l'adaptation », sur le site d'Allociné, .
  195. « GTV, un nouveau média dédié aux jeux vidéo par Ubisoft », sur Begeek.fr, (consulté le ).
  196. Futuroscope: Les Lapins crétins, meilleure attraction au monde - 20minutes.fr, 23 mars 2015.
  197. Ubisoft va ouvrir cet été un parc d'amusement à Montréal - Midi libre, 27 avril 2016.
  198. Ubisoft crée un parc d’attractions à Kuala Lumpur - Marine Boissière, Ubiblog, 7 septembre 2015.
  199. « Ubisoft annonce son troisième escape game en réalité virtuelle, basé sur Prince of Persia », sur usine-digitale.fr (consulté le ).
  200. Trey Walker, « Chessmaster 9000 announced », sur gamespot.com, (consulté le ).
  201. a b c d e et f Rami Bououd, « Quelles sont les séries les plus populaires d'Ubisoft ? Tous les chiffres », Gameblog.fr, (consulté le ).
  202. « Ubisoft : Elève discipliné, travailleur et en progrès », xbox-mag.net, (consulté le ).
  203. a b et c Neoanderson, « Ubisoft dévoile ses ventes totales : Assassin's Creed atteint les 100 millions ! Loins devant... Just Dance et Far Cry ! », n-gamz.fr, (consulté le )
  204. Ubisoft : Les Chiffres clés et les studios - Agence française pour le jeu vidéo, 14 juin 2016.
  205. « Ubisoft : Les chiffres pharaoniques des ventes de ses licences – », sur Try aGame, (consulté le ).
  206. a b et c « Les licences les plus juteuses d'Ubisoft », JeuxVideo.com, (consulté le ).
  207. https://ubistatic19-a.akamaihd.net/comsite_common/fr-FR/images/pressrelease_downloadablemm_20200514_035836_ubisoftfy20earningsprfrenchfinal_tcm100-361810_tcm100-196733-32.pdf.
  208. Shauni Chan, « 4 millions de ventes pour la série Trials », GameHope.com, (consulté le ).
  209. « BG&E, succès commercial 5 ans après ? », bgemyth.net, (consulté le ).
  210. a b et c https://ubistatic-a.akamaihd.net/0090/PROD/ubigroup/PressKit/20180611/2019_06_Press_Kit_Facts_Figures-EN.pdf.
  211. « Gameloft's Asphalt series tops 10 million », sur GamesIndustry.biz (consulté le ).
  212. https://nintendoeverything.com/mario-rabbids-kingdom-battle-played-by-over-10-million-people-interview-with-its-creators/
  213. « Assassin's Creed est définitivement l'une des sagas les plus populaires du jeu vidéo avec ces chiffres », sur Jeuxvideo.com (consulté le )
  214. https://staticctf.akamaized.net/8aefmxkxpxwl/667U3sKCZltRVFBUMN0jM8/984be4d2f53fb295b9625b0cbbbec4c2/Ubisoft_FY22_H1_Earnings_PR_French.pdf
  215. Florent Deligia, « The Crew : 2 millions de ventes pour le jeu vidéo lyonnais », LyonCapitale.fr, (consulté le ).
  216. Pazou, « Déjà 2 millions de téléchargement pour Grow Home », Gamekult, (consulté le ).
  217. Laurent Mauriac et Nicole Pénicaut, « Le web, repaire du salarié en colère », Libération,‎ .
  218. « Comment on bosse chez... Ubi Soft », sur 01.net, (consulté le ).
  219. (fr) Interview d'« Albert » dans le journal de 7h de France Inter par Gérard Zénoni, [source insuffisante]
  220. Jérémie Lefebvre, La société de consolation : chronique d'une génération ensorcelée, Paris, Éditions Sens & Tonka, , 329 p. (ISBN 978-2-84534-004-6).
  221. Erwan Cario et Marius Chapuis, Récits de harcèlement et d'agressions sexuelles à Ubisoft : « Les jeux vidéo, c'est fun, on peut tout faire, rien n'est grave », 1er juillet 2020, Libération.
  222. « Viol, harcèlement sexuel… Le studio Ubisoft visé par plusieurs accusations », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
  223. Sandrine Cassini, « Serge Hascoët, le jouisseur créatif d’Ubisoft », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  224. « MeToo in Gaming: Two Ubisoft Executives Placed on Leave ... », sur bloomberg.com,
  225. Dan Israël, Démissions au sommet à Ubisoft, emporté par la vague #MeToo, 12 juillet 2020, Mediapart.
  226. Antoine Vinette-Lambert, Trois démissions chez Ubisoft suite à des allégations de comportements inappropriés, 11 juillet 2020, Jeux.ca.
  227. « Le vice-président en charge du service éditorial quitte Ubisoft », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
  228. Le Figaro avec AFP, « Harcèlement sexuel: un autre responsable quitte Ubisoft », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  229. « Harcèlement sexuel: un autre responsable quitte Ubisoft », sur TVA Nouvelles (consulté le ).
  230. « Harcèlement sexuel : un autre responsable licencié par Ubisoft », sur Europe 1 (consulté le ).
  231. Corentin Lamy, Michel Ancel, créateur de « Rayman », a quitté Ubisoft sur fond d’enquête interne, 1er octobre 2020, Le Monde.
  232. Erwan Cario et Marius Chapuis, Enquête sur le côté obscur du géant Beyond Good & Evil 2, 25 septembre 2020, Libération.
  233. Jeux vidéo : grève chez Ubisoft en pleine tourmente, 27 janvier 2023, Le Parisien.
  234. Ubisoft : entre 400 et 500 salariés en grève ce mercredi, selon les syndicats, 14 février 2024, Le Figaro.
  235. Liza Cossard, Ubisoft : l’entreprise veut limiter le télétravail… Les syndicats appellent à la grève contre un retour "forcé" au bureau, 27 septembre 2024, La Dépêche.
  236. Guillaume Bernard, Trois jours de grève à Ubisoft : “la plus grosse grève de l’histoire du jeu vidéo”, 15 octobre 2024, rapportsdeforce.fr.
  237. a b et c [PDF]« Rapport annuel 2001 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 46-47.
  238. [PDF]« Rapport annuel 2002 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 43-44.
  239. [PDF]« Rapport annuel 2003 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 41-42.
  240. [PDF]« Rapport annuel 2004 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 47.
  241. [PDF]« Rapport annuel 2005 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 49.
  242. [PDF]« Rapport annuel 2006 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 55-57.
  243. [PDF]« Rapport annuel 2007 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 55-57.
  244. [PDF]« Rapport annuel 2008 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 53-55.
  245. [PDF]« Rapport annuel 2009 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 127-129.
  246. [PDF]« Rapport annuel 2010 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 79-81.
  247. [PDF]« Rapport annuel 2011 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 68-70.
  248. [PDF]« Document de référence 2012 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 79-80.
  249. [PDF]« Document de référence 2013 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 90-91.
  250. [PDF]« Document de référence 2014 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 100-101.
  251. [PDF]« Document de référence 2015 », sur le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 95-96.
  252. [PDF]« Ubisoft® annonce son chiffre d'affaires et ses résultats pour l'exercice 2015-16 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 8.
  253. [PDF]« Ubisoft® annonce son chiffre d'affaires et ses résultats pour l'exercice 2016-17 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 127.
  254. [PDF]« Document de référence 2018 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 141.
  255. [PDF]« Document de référence 2019 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 164.
  256. [PDF]« Document d'Enregistrement Universel 2020 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 187-189.
  257. [PDF]« Document d'Enregistrement Universel 2021 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 198-199.
  258. [PDF]« Document d'Enregistrement Universel 2022 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 182-183.
  259. [PDF]« Document d'Enregistrement Universel 2023 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 188-189.
  260. [PDF]« Document d'Enregistrement Universel 2024 », sur Le site d'Ubisoft (consulté le ), p. 182-183.
  261. « Société UBISOFT ENTERTAIN. UBI Euronext Paris : Secteur d'activité, Actionnaire, PDG et Capitalisation - Boursorama », sur www.boursorama.com (consulté le ).
  262. « Ubisoft Entertainment: Actionnaires Dirigeants et Profil Société | UBI | FR0000054470 | Zonebourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )

Voir aussi

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier