*Jeannot Arthur : jeune dynamique, intelligent, investit, beau qui a donné a sa commune plus d'amour que n'importe qui !, né dans la tour de constance au 3ème étage le . (article manquant)
*Le négociant et banquier Pierre Cazenove qui émigre à Londres en 1681 et fonde la banque du même nom, toujours en activité, avec son portrait dans le hall d'accueil. (175)
*Le négociant Boissier qui émigre en 1677 à Gènes avec la famille André, à l'origine de l'invention du blue-jean. (123)
Victor Crumière, né en 1895 à Avignon. Très jeune, il suit les cours de Charles Vionnet et Jules Flour, professeurs à l’école des Beaux-Arts d’Avignon. Il y obtient de nombreux prix. Décorateur et architecte d’intérieur, il crée du mobilier, des panneaux décoratifs, des logos qui reflètent un esprit « art déco ». Il s’intéresse aux méthodes de décoration tel que le faux marbre, le faux bois, patine, peinture craquelée… Il peint avec passion sa Provence, des paysages plein de lumière et des natures mortes toujours baignées de soleil. Il expose de 1920 à 1950 à Avignon, seul ou avec des groupes de peintres provençaux et à Paris de 1927 à 1936 au salon des Artistes français et à Nîmes de 1928 à 1946. En 1950, il décède brutalement à Avignon. (801)
André Derain, né à Chatou en 1880. Il meurt à Garches en 1954. Formé par l’atelier Carrière, l’académie Julian et surtout par ses amis peintres : Matisse, Marquet, Rouault, Vlaminck, Picasso, il peint avec Matisse à Collioure, séjourne à Sorgues chez Braque. À Avignon, il est davantage attiré par les couleurs du fauvisme que par le cubisme. Également sculpteur, il crée des décors de théâtre pour les ballets de Diaghilev et Roland Petit et des illustrations pour Apollinaire, Max Jacob, André Breton, Blaise Cendrars… Il expose à New-York, Berlin, Londres, Paris, Munich, Stockholm. Il peint plusieurs tableaux des Angles et de sa région lors de ses passages en Provence entre 1922 et 1931, que l’on retrouve dans la collection Jean Walter et Paul Guillaume au musée de l’Orangerie à Paris. (835)
Herbert Klingst, né en 1913 à Freiberg, il meurt en 1998 aux Angles. Il étudie aux Beaux-Arts de Leipzig et Dresde. À partir de 1984, il vit aux Angles. Il a laissé beaucoup de dessins très intimistes du village et des paysages de la région. (258)
Louis Agricol Montagné né à Avignon en 1879, peintre de grand talent, passa la plus grande partie de sa vie entre Paris et les Angles où il demeure dans l’ancien château de Pontmartin. Élève de Paul Saïn et de Fernand Cormon, il réalise de très nombreuses toiles d’une grande qualité. Il devient Président de l’Association des Paysagistes Français et de l’Amicale des anciens Elèves de Fernand Cormon. Directeur de l’École des Beaux-Arts d’Avignon, conservateur du musée de Villeneuve les Avignon, ses œuvres figurent dans les plus grands musées et dans de nombreuses collections privées (Rothschild, Vanamecker (New-York). Il meurt à Paris en 1960. (692)
Une artère de la commune porte son nom en hommage à sa renommée. (67)
Louis-Alexandre d’Albignac, est un petit officier de carrière qui, comme beaucoup d’autres soldats issus d’une petite noblesse pauvre (Napoléon Bonaparte), adhère très tôt aux idées nouvelles. Louis-Alexandre est né au château d’Arrigas le 22 mars 1739. En 1755, il s’engage dans le régiment de Hainault. En 1778, alors qu’il est aux Indes lieutenant-colonel du régiment de Pondichéry, il doit tenir tête avec ses 700 hommes à une troupe britannique de plus de 20 000 hommes: sa résistance héroïque lui vaut d’être élevé par Louis XVI au grade de chevalier de l’ordre de Saint Louis. Lorsque éclate la Révolution de 1789, d’Albignac, déjà en retraite au Vigan, embrasse immédiatement le nouvel ordre des choses . Voici, à ce sujet, ce qu’il écrivait à son cousin Alex d’Albignac, en juillet 1813: (891)
« Piqué de l’injustice que l’ancien gouvernement m’avait fait éprouver (...), je me livrai au premier coup de cloche de la Révolution, dans la seule idée que les anciens abus seraient corrigés (...) Je n’ai jamais trempé dans aucune faction, ni jamais su dans les différents gouvernements que j’ai eus, qu’il se soit répandu une goutte de sang, ni commis par ceux qui étaient sous mes ordres, le moindre pillage » . (443)
Non content d’approuver les idées de la Révolution, il se met à son service. Elu maire du Vigan le 11 mars 1790, il prend le commandement militaire du département du Gard. C’est à ce poste qu’il doit prévenir la naissance des agissements contre-révolutionnaires: les camps de Jalès, Saint-Ambroix et Barjac fourmillent d’ennemis de la Révolution qui préparent l’insurrection. En 1791, le général d’Albignac disperse les conjurés du camp de Jalès et fait arrêter les chefs: le camp de la contre-révolution ne le lui pardonnera jamais. Le 22 mai 1792, le général d’Albignac fut nommé commandant de la réserve de l’intérieur de l’armée du midi: à ce poste, il continua de pourchasser la contre-révolution, ce qui lui valut les félicitations du tribun républicain Boissy d’Anglas. En avril 1792, d’Albignac rejoignit le commandement de l’une des divisions de l’Armée des Alpes, aux côtés de Kellermann. En 1793, aux pires heures de la Terreur, il passa à la prestigieuse Armée du Rhin. Il quitta définitivement le service en 1801 et fut élevé en 1805, par l’Empereur, au grade de chevalier de la Légion d’honneur . Il mourut au Vigan en 1825, dans sa maison de la rue de l’église . Bien qu’aucune plaque, qu’aucun monument ou qu’aucune statue ne perpétue sa mémoire dans notre village, le général d’Albignac est à ce jour le plus glorieux des enfants d’Arrigas et, qui plus est, un héros républicain ! (1483)
Raymond Martin, le curé résistant et Notre-Dame de la Résistance. (74)
Né à Vauvert en 1909, dans une famille fort modeste, Raymond Martin est orienté très jeune par sa mère vers la prêtrise et il est ordonné prêtre le 29 juin 1935. Après un vicariat de trois ans à Saint-Hippolyte-du-Fort, il est nommé curé d’Arrigas le 13 mars 1938, quelques jours avant qu’Hitler ne s’empare de l’Autriche. Mobilisé en 1939, comme des millions de jeunes français de sa génération, Raymond Martin se retrouve prisonnier de guerre. Forte tête, il subit de mauvais traitements comme en témoignent encore les anciens d’Arrigas qui se souviennent avoir constaté des traces de tortures sur le dos du prêtre, et il finit par être déporté en Silésie où il travaille durement pour l’effort de guerre du Reich. Rapatrié sanitaire, il retrouve sa paroisse fin 1942 et, à l’image de son voisin le curé d’Arre, il ne cache pas en chaire ses sympathies pour ceux qui combattent l’occupant. (938)
Il faut préciser que l’on est ici au cœur des Cévennes résistantes, toutes confessions confondues. Nombreux sont les anciens qui témoignent encore que le soir venu, la plupart des fermes ou hameaux isolés comme Peyraube, Vernes, le Pont d’Arre, Entraygues, servaient de refuge aux maquisards pour dormir et se ravitailler. C’est ainsi que naît l’histoire de la grotte de Peyraube. Afin de tromper toute surveillance, l’Abbé Martin installe une statue de la Sainte Vierge dans une grotte (ancien sondage minier) située au-dessus de la route du hameau de Peyraube. Agent de liaison du maquis de l’Aigoual, il dissimule dans son bréviaire les messages secrets destinés à la Résistance et, l’air de rien, en se promenant, vient les glisser dans la Vierge de Peyraube : la nuit venue, les soldats de l’ombre n’ont plus alors qu’à venir les chercher discrètement. (892)
Il faudra attendre la Libération pour que l’histoire de l’Abbé Martin soit connue au grand jour, l’occasion d’un pèlerinage à la grotte de Peyraube, tous les 15 août, en remerciement au ciel pour la liberté retrouvée. Raymond Martin quitte la paroisse en octobre 1950 et il meurt cinq ans plus tard, victime des mauvais traitements subis dans les camps. Le pèlerinage disparaît quant à lui vers 1959, avec le départ du dernier curé résidant sur la paroisse, le père Fernand Aubanel. La statue de la Vierge, dégradée par les enfants, est alors rapprochée du village, dans un oratoire érigé à côté du château d’eau. (647)
Grâce aux jeunes du Comité des fêtes d’Arrigas, une statue de la Sainte Vierge a été rétablie dans la grotte de Peyraube le 16 août 2008, en présence de l'Evêque de Nîmes Robert Wattebled. Elle témoignera longtemps encore du combat courageux de l’Abbé Martin, dans une période sombre où les valeurs chrétiennes et humanistes ont dû faire face au mal absolu. (377)
* L'artiste contemporain allemand Anselm Kiefer avait installé son atelier, appelé La Ribaute, sur la commune depuis 1993 dans une ancienne friche industrielle de 35 hectares reconvertie.il est maintenant à l'étranger. (230)
Antoine Valette de Travessac(XVIIIème siècle) Prieur de Bernis Fondateur et secrétaire perpétuel du "Tripot" de Milhauud (Académie de belles lettres) - (166)
Louis Raoul Avocat des pauvres (XV ème siècle) - (50)
Alexandre Ducros dit Marignan d'Aubord Ecrivain (XIX ème siècle) (66)
Madeleine Brès née Gebelin, première femme médecin en France (74)
Fille d’un charron de Bouillargues, mariée à 15 ans, bachelière en candidate libre, universitaire avec l’assentiment de l’impératrice Eugénie, docteur en médecine avec 4 enfants, elle se dévouera, en tant que précurseur, à la médecine de la femme et de l’enfant pendant 50 ans avant de finir aveugle, pauvre et oubliée. (342)
*Gédéon Laporte, chef camisard (1660-1702), né à Saint-Paul-la-Coste, a résidé à Branoux où il exerçait le métier de forgeron. Il prit part aux guerres de religion opposant les catholiques et les protestants dans les Cévennes. Il fut mis à prix 100 pistoles, mort ou vif, et fut tué lors d'une attaque par les soldats du roi. (385)
*Lucien Lantier, artiste peintre, né à Odessa (Ukraine) en 1879 et décédé dans le Gard en 1960. L'artiste a participé à la Première Guerre mondiale dans les rangs de l'armée française et a longtemps habité à Verdun. Il a peint les hauts-fourneaux de Longwy et a décoré de nombreuses églises en Lorraine (Samogneux notamment). Chassé par la Seconde Guerre mondiale, Lucien Lantier a trouvé refuge dans l'ancienne bibliothèque de Branoux dans les années 1940.Il sera fortement inspiré par les paysages cévenols et les gueules noires de la Grand-Combe. (627)
*Louis Riquet, créateur du vélodrome des Taillades. Comptable dans une entreprise de travaux publics à La Grand-Combe, Louis Riquet eut l'idée de construire un vélodrome en 1932. (193)
En 1975, le château du village (résidence privée) a servi de décor au film de Just Jaeckin, "Histoire d'O" avec Corinne Cléry. (141)
En 1976, Jacques Besnard a tourné, dans le village, plusieurs scènes du film "Le jour de gloire" avec Jean Lefebvre, Darry Cowl, Pierre Tornade, Christian Marin, Robert Rollis, Pierre Doris, Chantal Nobel. (217)
Emilien Coquard, participant très remarqué à l'émission de télé-réalité Le Pensionnat de Sarlat à l'automne 2005. C'est à cette date également qu'il quitte la commune pour s'installer à Calvisson, un village voisin. (235)
Peintre décorateur , dont la famille était originaire de Congénies, ayant joué un rôle important dans les arts décoratifs français tout au long de la première moitié du 20ème siècle . A participé au décor de nombreux hotels de luxe , notamment du côté du lac Léman ainsi qu'à celui de la célèbre Villa Kerylos . (338)
Un des survivants du terrible nauffrage de la frégate La Méduse sous la Restauration en 1816. Cette affaire produit d'ailleurs un énorme scandale d'Etat. Le célèbre peintre Gericault immortalisera la scène de certains rescapés entassés sur le fameux « Radeau de la Méduse », un tableau présenté au cours du salon de 1819. Paulin Etienne d'Anglas terminera ses jours à Congénies en compagnie de sa femme en tenant un bureau de tabac et habitera le mas situé en contre-bas de la source de Font-Vielle. Il est inhumé à Aimargues d'où sa famille était originaire. (623)
Marco CARDUS peintre Catalan. Il commence sa carrière à Paris comme dessinateur dans une revue satirique. Aprés la disparition de sa fille prématurément, l'artiste sombre dans la dépression. Aprés de longs mois difficiles, il découvre le petit village de Crespian dans les années 1970. Village situé au nord de nimes, aux prémices du massif des Cévennes. Très vite séduit par l'aspect typique de Crespian, trés vite adopté par la population qui n'est à cette époque qu'essentiellement rurale, Marco et Lilly Cardus décide d'y acheter une maison. L'artiste va déployer tout son art à travers ses toiles et ses céramiques. Toutes ses toiles sont réalisées depuis son petit atelier de verre surplombant la vallée de Courmes. (746)
Il est enterré dans le cimetière du village aux cotés de son épouse Lilly. (78)
Certaines de ses oeuvres sont exposés au musée des peintres catalans à Barcelone. (84)
* André Bernardy. (1901-1986) Historien et écrivain, un de ses ouvrages "Euzet, mon pays" (31 juillet 1958) a pour sous-titre modeste : "Contribution à l'Histoire de quelques villages de l'Uzège". Une rue d'Euzet les Bains immortalise son souvenir. (article manquant)
* Docteur Louis Eugène Perrier - Directeur de la station thermale d'Euzet les Bains de 1875 à 1912. (101)
* Quintus Statius Gallus, tribun militaire de la Légion VII Gemina sous le règne de Tibère qui établit sa villa au 77e mille de la via Domitia sur la colline qui porte depuis son nom Gallargues (qui signifie en latin Gallus argum — la terre de Gallus). (262)
* Isabelle dernière reine titrée de Majorque (1337-1404) qui prit possession du château et de la seigneurie de Gallargues en 1395 (château dont il reste une tour dite tour royale à l’appareillage identique à celui de la citadelle d’Aigues-Mortes). (257)
* Les Rochemore (marquis), famille de hauts magistrats au Présidial de Nîmes et à la Cour des Aides de Montpellier dont la seigneurie dépassait le territoire actuel de Gallargues s’étendait de l’autre côté du Vidourle, qui édifièrent leur château "moderne" à Gallargues en 1750, lequel incendié à la Révolution puis partiellement restauré et remanié est devenu sous le premier Empire le Temple. (455)
* Isaac Berard (1770-1819), bouilleur de vins natif de Gallargues qui inventa une technique fiable et économique de distillation et réalisa une machine portant son nom rivale des modèles brevetés par le Nîmois Adam en 1801 et du modèle d’alambic préconisé par Chaptal. (article manquant)
* Paulin Talabot (1799-1885) polytechnicien fondateur de la compagnie des chemins de fers du Gard puis de la compagnie PLM qui mit en service en 1845 la ligne Nimes-Montpellier sur laquelle il construisit la gare de Gallargues puis fit de cette gare une plaque tournante en prolongeant de là son réseau vers Sommières Le Vigan en 1872. (338)
Raymond Castans, journaliste, ancien directeur de Paris Match et ancien directeur des programmes de la station de radio française RTL, y vécut sa retraite depuis le début des années 1980 jusqu'aux derniers jours de sa vie, en septembre 2006. (article manquant)
La famille Dombre était une famille très implantée dans le Gard. Tony Dombre descend ainsi de riches négociants en soierie des Basses Cévennes. (181)
Sa femme, Marie Rossel, est une petite nièce de l'astronome Benjamin Valz, une descendante directe du naturaliste Pierre Baux et du négociant et homme politique Jean Valz ; et une cousine éloignée de l'officier Louis-Nathaniel Rossel (ministre de la guerre de la Commune de Paris). (329)
*La famille Dombre : (21)
Notamment Charles Léon Dombre (père de Tony Dombre), Charles Célestin Dombre (également chevalier de la Légion d'honneur ; oncle de Tony Dombre), David Dombre (grand-père de Tony Dombre), Henri et David Dombre (frère et cousin, également chevalier de la Légion d'onneur) ont beaucoup fait pour le développement économique du village. (384)
* Les familles Boissier, Hutter, Dufes-Martin (désormais Van Der Bent) et Sarran-Cadène (anciennement Dombre) : Ce sont elles qui ont relancé la vini-viticulture dans le village. (181)
Armand CLAROU né le 6 décembre 1860 à Pieusse (Aude) décédé le 19 mars 1927 à Le Vigan (Gard), homme politique. (118)
Aprés des études à la Faculté de Médecine de Montpellier, Armand CLAROU est mobilisé dés le 2 août 1914 en qualité de Médecin auxilliaire, le 6 septembre 1917, il est nommé Aide Major de 2° classe. Il termine la guere avec le grade de Médecin Lieutenant; décoré de la Croix de Guerre avec deux citations. (320)
La paix revenue, il devient Médecin à l'Hôpital du Vigan et au Disspensaire d'Hygiène Sociale (qu'il créé) il est Médecin-Inspecteur des enfants assistés. Dans le ême temps il est Président du Conseil d'Arrodissement. (227)
le 11 mai 1924, Armand CLAROU est élu Député du Gard, liste du Cartel des Gauches. A la Chambre des Députés il s'inscrit au Groupe Radical et Radical Socialiste. Il est élu Vice-Président de la Commission de l'hygiène, il est membre du Groupe de Défense Paysanne (277)
* Aimé Vielzeuf (1922-2007) est né dans une modeste famille de mineurs grand'combiens. Résistant pendant la Seconde Guerre mondiale dans les maquis cévenols, il a rédigé un ouvrage sur "Le maquis de Bir Hakeim". Professeur à La Grand-Combe et à Nîmes, Aimé Vielzeuf a écrit de nombreux romans et ouvrages sur les Cévennes et sur la Résistance. Son neveu Bernard Vielzeuf était professeur de géographie à l'Université Paul Valéry de Montpellier. Ami de Jean-Pierre Chabrol depuis le maquis, il est reçu en 1973 à l'académie de Nîmes dont il deviendra plus tard le président. (719)
Le peintre Georges Bauquier, collaborateur de Fernand Léger, créateur du musée Fernand-Léger de Biot, est issu d'une famille mageoise. Dans les années 1970, il a monté, dans les locaux de l'école du village plusieurs expositions de grande qualité. A sa demande, Nadia Léger a donné à la commune la mosaïque de Fernand Léger qui orne le fronton de la salle polyvalente. En 2006 a été créé l'espace Georges Bauquier, comprenant une salle d'exposition et une salle de projection vidéo. (512)
l'abbé Albouy, Michel Isidore premier maire du Martinet en 1921, autodidacte et leader de la corporation ouvrière. Elie et Victorin Duguet, devenu secrétaire général de la fédération du sous sol et premier président des charbonnages de France à la libération. Marius Tour.Marcel Cachin en avril 1948. (314)
Rolland, ou Rolland Laporte, de son vrai nom Pierre Laporte, né le 3 janvier 1680 et décédé le 14 avril 1704 à l'âge de 24 ans était un chef camisard des Cévennes, surnommé le « Général des enfants de Dieu ». (221)
Sa maison natale au Mas Soubeyran est aujourd'hui le Musée du Désert. (71)
Fin de l'année 2002, Jean-Pierre Raffarin et Roselyne Bachelot alors respectivement premier ministre et ministre de l'environnement sont venus juger de l'avancée de la reconstruction du pont de Ners détruit suite aux inondations du mois de Septembre. Ils en profiteront pour rencontrer les élus locaux et pour rendre visite à l'école primaire. C'est à ce jour la seule visite de personnalités politiques qu'ai connue le village de Ners. (444)
* Mathias Alphonse BOURRAS (Pompignan, 1836 - Montpellier, 1880) - Colonel, commandant du corps-franc des Vosges en 1870-1871, où il s'illustra, notamment lors de l'affrontement de Brouvelieures. Sa statue en bronze fut inaugurée le 4 septembre 1892 sur la place principale du village; il est représenté en uniforme, portant képi, sabre au côté, bras droit tendu, avec à ses pieds un mortier, un casque prussien et un rameau de chêne. Le socle est en pierre de Pompignan. (502)
* Portes est le lieu de naissance du mathématicien Antoine Deparcieux (1703-1768), né à Cessoux, hameau qui appartenait à son époque au village de Peyremale. (178)
* Pierredon est un nom de famille trompeur. Il désigne en effet celui qui est originaire de Puechredon, petit village du Gard (= la colline arrondie). Le mot a été mal compris, et déformé en Pierredon, ce qui est également le cas pour un hameau de l'Hérault portant le même nom (commune de Paulhan). Source : http://jeantosti.com/noms/p5.htm (349)
*Durant l'été 1988, la disparition de la jeune comédienne Pauline Lafont attira de nombreux journalistes dans le village qui fit, bien malgré lui, la une des médias français. (184)
Georges Rivals historien a effectué des recherches sur la prestigieuse Abbaye de Psalmodi (1937). Ce dernier avec sérieux ayant étudié avec rigueur et méthode son étymologie. En nous donnant ses sources, il appui de façon formelle et irréfutable son argumentation (source : www.nimausensis.com, site personnel de Georges Mathon). (337)
* Salomon Sabatier, dit Salomonet (ca 1682-1710), prédicant et camisard cévenol, né au hameau de Driolle à Saint-Roman-de-Codières où il était faiseur de bas, avant de s'engager auprès des troupes rebelles (1703). [3] (281)
L'écrivain genevois Firmin Abauzit, selon Jean-Jacques Rousseau le seul vrai philosophe du siècle. Il naquit en 1679 à Uzès qu'il fuit très jeune en raison des troubles religieux. (193)
* Le Marquis de Montcalm, dont le château natal se trouve à l'entrée de la ville sur la commune voisine de Vestric et Candiac, près du CD 135. Ce héros mourut en 1759 lors du siège de la ville de Québec par les anglais au cours de la guerre pour la possession du Canada. Désormais, la bâtisse a été transformée en collège privé. (362)
* Hadrien Poujol, raseteur (Vainqueur de la palme d'argent en 2001, de la Cocarde d'Or & du trophée des Maraîchers en 2003, du Muguet d'Or & de la Cocarde d'Or en 2004 Et du Trophée des Maraîchers en 2005) (article manquant)
Le célèbre chef camisardJean Cavalier comptait dans sa troupe deux officiers de Vic, Paul et Jean Trentinian. (121)
Fils de Paul, Jacques (1702-1782) fut l'un des consuls de Montpellier de 1744 à 1754 et père de Jean-Jacques de Trentinian, qui participa à la guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique de 1778 à 1783 ; chevalier de Saint-Louis en 1783, ce dernier temina sa carrière comme colonel dans l’armée du Rhin. Il était l'arrière-grand-père du général de Trentinian (1851-1942), dont il existe notamment deux statues : avenue Foch à Paris et sur l'acropole de Koulouba à Bamako (Mali). (512)
Monique Olivier était garde-malade à Vic-le-Fesq lorsqu'elle a rencontré par correspondance Fourniret, alors détenu de la prison de Fleury-Merogis. (151)