* Michel Sabourdy, chevalier de la Légion d'honneur, secrétaire national de la FNACA, première association d'anciens combattants en Algérie (370 000 membres), rédacteur en chef du mensuel "l'Ancien d'Algérie", et auteur d'un livre "Chronique d'une drôle d'époque 1954-1962" est né à Abzac, le 6 mai 1940 et il y a fréquenté l'école primaire jusqu'en 1952. (400)
* Les membres de Noir Désir, groupe de musique très connu, ont enregistré une partie de leur premier album à Ambarès dans un local près de La Blanche ( point d'eau ) l'un des membres du groupe habitant à Ambarès. (224)
* André Lignac, né à Ambarès, fut adjoint au maire de la ville pendant plus de 50 ans. (article manquant)
Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, Sophie Javal Wallerstein, illustre personnage local était puissante et influente. Elle possédait non seulement un château à Arès mais de nombreuses terres réparties dans la commune dont le boulevard Javal (du nom de son père) qui longe la plage. Elle avait créé la Fondation Wallerstein qui comprenait une maison de santé pour soigner les indigents et un aérium pour accueillir les enfants tuberculeux, qu'elle finança jusqu'à sa mort. Sophie Wallerstein, de confession juive se sentant menacée par l'avancée allemande, fut obligée de confier ses biens personnels et le sort de sa fondation à la Croix-Rouge, pour qu'ils ne tombent pas aux mains de l'occupant. (813)
Aujourd'hui le Centre médico-chirurgical Wallerstein, l'Ehpad Paul Louis Weiller, du nom de son neveu, et l'Aérium Wallerstein sont regroupés dans une association à but non lucratif, l'Association des Amis de l'Œuvre Wallerstein dont le conseil d'administration est toujours présidé par un descendant de Madame Wallerstein. A la mort de Madame Wallerstein, le 31 décembre 1947, c'est son neveu Paul Louis Weiller qui lui succèda, puis en 1993 le fils de ce dernier, Paul Annik Weiller, puis la sœur de celui-ci, Elisabeth Irisarri Weiller, enfin, depuis le 17 Juillet 2006, Maria Pilar de la Béraudière, fille d'Elisabeth Irisarri Weiller. De nombreuses rues des villes du Nord-Bassin portent les noms Wallerstein et Javal. (755)
* Adolphe Catusse, écrivain, auteur d'une "Petite histoire de Bègles. Des origines à la Révolution (1080-1788)" parut en septembre 2004. (article manquant)
Pierre Laffitte, né à Béguey le 21 février 1823 a été honoré par les Bégueyerais par la construction en 1996 d'un buste à son effigie sur la place qui porte aujourd'hui son nom. Pour plus de détails, se reporter à l'article de Jean-Claude Drouin ici!. (301)
"Les premiers immigrants français [à Los Angeles!!!] dont l’histoire a retenu les noms sont d’anciens soldats de Napoléon Bonaparte venus aider les indépendantistes mexicains et arrivés dans le pueblo en 1827 avec leur officier Louis Bauchet. Les tout premiers vignobles de la Californie ont été plantés en 1832 en bordure des rues Macy et Aliso par Louis Bouchet et Jean Louis Vignes (un natif de Béguey, canton de Cadillac, Gironde, arrivé en 1831) : ils produiront jusqu’à 150.000 bouteilles par an. En 1834, Vignes plante aussi la première orangeraie de Los Angeles." (665)
* Jean François Joseph Elysée AVIRAGNET, né le 30 juillet 1828 (Ile Maurice), a été un des propriétaires du château du "Grand Clapeau" à Blanquefort (Caychac) avec sa mère LISE CHAUVOT, son épouse Lucie Hippolyte Anaïs de RAVEL de l’ARGENTIERE, noble famille de la Mure dans l’Isère, veuve de Jules Charles BOURGAULT du COUDRAY (une filiation avec le musicien compositeur Maurice RAVEL n’est pas à exclure). Son frère Joseph Camille AVIRAGNET et sa belle sœur Marguerite Adeline MOREAU en étaient propriétaires eux aussi jusqu’au douze octobre 1864. Jean François Joseph Elysée AVIRAGNET a immigré aux USA où il est devenu directeur de la prestigieuse Bucknell School of Music . Il meurt en 1908 et repose au cimetière de Lewisburg où l'on peut toujours se recueillir sur sa tombe.* (913)
* Pas de lien avec le Gascon Antoine Laumet dit Antoine de Lamothe-Cadillac, fondateur de Detroit (Michigan) -U.S.A- en 1701, natif de Tarn-et-Garonne, en l'honneur de qui fut nommée la marque Cadillac (automobile). Le nom de Lamothe-Cadillac fut inventé par Antoine Laumet par imitation de 'Sylvestre d'Esparbes de Lusan de Gout, baron de Lamothe-Bardigues, seigneur de Cadillac'. (399)
* Marc Rebeyrol (1905?-1949), instituteur et secrétaire de mairie. Il fait partie des 82 victimes de l'incendie du 20 août 1949 centré sur Cestas. (153)
* Étienne Damoran (1920-1994), curé de la paroisse et fondateur de l'"Ajoncière". (94)
* Antoine Victor Bertal Né à Créon le 18 janvier 1817.Après avoir fait fortune loin de sa ville natale, il entra dans l'histoire de Créon à la lecture de son testament le 2 janvier 1895. Ce legs extraordinaire permis la construction d'une nouvelle Mairie inaugurée le 2 septembre 1907, la construction d'un musée, mais le plus bel héritage a traversé les générations : la Fête de la Rosière. Les oeuvres d'art léguées par Bertal à sa commune natale sont actuellement en dépôt au Musée des Beaux Arts de Libourne. (article manquant)
* Suzanne Salvet fut la première Rosière de la ville couronnée en 1907. La centième Rosière de la ville, Aurélie Camus fut couronnée en 2006 (article manquant)
* Jean-Baptiste Dudon d'Envals né le 2 août 1765 à Bordeaux, mort le 27 fevrier 1836, Curé des Esseintes. Un résumé de sa biographie figure sur la stèle érigée sur sa tombe dans le cimetière du village. Il n'entra au grand séminaire qu'après la mort de sa femme (épousée en Westphalie) et l'établissement de ses enfants. (article manquant)
Le 3 Août 1808, Napoléon, l'impératrice Joséphine et leur suite font un court arrêt à Etauliers à leur retour de Bayonne. Une autre halte de l'empereur a lieu le 29 Octobre 1808 alors qu'il se rend en Espagne. Ils sont hébergés à l'hôtel DEZAGE. (316)
Lors de sa transformation en mairie, on laisse subsister en 1903-1904 une cheminée de style Renaissance qui se trouve encore dans la salle du Conseil Municipal. On la montre aux visiteurs comme ayant fait partie de la chambre de Napoléon 1er. (264)
*En 1621, Arnaud d'Escodéca de Boisse, un des seigneurs de Pardaillan de la même famille que ceux de la série écrite par Michel Zévaco, eut la mauvaise opportunité de mourir à Gensac. (226)
:Nous sommes en pleines Guerres de religions. Pardaillan est protestant ; il participe à la défense de Montauban, assiégée par les troupes de Louis XIII. C'est un cadet de Gascogne, personnage trouble, ayant vécu nombre d'aventures. Après une vie dissolue, à la recherche de la fortune et de la gloire, à courir après des amours impossibles, on fait espérer à Pardaillan la lieutenance du Roi en Guyenne s'il se convertit au catholicisme. C'est un poste important, équivalent d'un gouverneur de région militaire actuel. Le Chevalier saute sur l'occasion. (616)
:Pardaillan quitte le siège de Montauban et se rend à Monheurt tenue par les protestants et dont il est le gouverneur ; là, il parvient à calmer les esprits. Puis il se rend à Sainte-Foy la Grande et enfin à Gensac où il est reçu par les notables locaux. (270)
*Mais M. de Savignac d'Eynesse, huguenot fanatique, décide de lui tendre une embuscade. (Eynesse est une localité proche de Gensac.) Dans la nuit, les mousquetaires du comte d'Eynesse l'assaillent dans la maison aux chats (place de la Mairie). Pardaillan tombe raide mort. Son fidèle valet succombe également, ainsi qu'un prêtre qui accompagnait le chevalier. (372)
:Le corps de Pardaillan est défenestré et exposé à la vindicte publique sous la halle pendant plusieurs heures. (115)
:Cet assassinat eut des conséquences fâcheuses : Pardaillan, bien que ses convictions religieuses et politiques soient fluctuantes était apprécié par nombre de hobereaux ; cette mort provoqua la désunion dans le camp protestant. Privés d'unité, la chute des huguenots devint inéluctable. (296)
*Bien que ce Chevalier de Pardaillan ne soit pas originaire de Gensac (le village de Pardaillan est en Lot-et-Garonne, à une trentaine de kilomètres), Arnaud d'Escodéca de Boisse est devenu une gloire locale. (215)
:Chaque année, sous le nom de Pierre d'Escodeca, chevalier de Pardaillan, seigneur de Boisse et de Roquefort, un spectacle son et lumière lui est consacré et retrace ses exploits légendaires et maintenant mythiques. (219)
:Depuis l'été 2006, la municipalité a remercié cette gloire locale en baptisant un ruet (petite rue) du nom de Pardaillan. Ce ruet est celui par lequel le seul survivant de l'embuscade fatale à Pardaillan a pu s'enfuir dans la campagne. (241)
* Nicolas, professeur de mathématiques et de chimie, actuellement deuxième meilleur champion du jeu télévisé de France 2 "Tout le monde veut prendre sa place". (178)
Georges Ricart, maire socialiste de la commune de 1988 à 2000, né le 13 août 1926, fut auparavant entraîneur national d'athlétisme en Côte d'Ivoire de 1955 à 1968. Il est décédé le 3 novembre 2006 à l'âge de 80 ans. (235)
Mais un des maires les plus emblematique de la commune fut surement Abel Laporte (maire entre 1965 et 1983),qui a su donner un grand essort à la commune.Le stade municipal porte actuellement son nom et une stèle lui est dediée. (230)
Le premier séjour du peintre Toulouse-Lautrec date de l'été 1885, chez le docteur Würtz. Il y retourna chaque été jusqu'en 1901, où il écrivit sa dernière lettre à sa mère en août. On raconte qu'il élevait des cormorans pour pêcher. (254)
Le peintre Cantegril, qui s'était fait construire une maison. (62)
L'écrivain François Mauriac venait régulièrement voir sa soeur. (71)
Le docteur Charles Perrens passait ses vacances à Taussat, avec sa famille, tous les étés pendant 75 ans. Le docteur Perrens n'est autre que le fondateur de l'hôpital psychiatrique bordelais nommé autrefois Picon et aujourd'hui Charles Perrens. (249)
*Julien Viaud, plus connu sous son nom d'écrivain Pierre Loti épouse en 1887 Blanche Franc de Ferrière, originaire de Pessac. Il viendra plusieurs fois résider au château de Vidasse, propriété de sa belle famille. Un arrière petit-fils de Pierre Loti (Pierre-Yves Pierre Loti-Viaud) réside toujours sur la commune. (342)
*Marc Amanieux (1851 - 1926), écrivain, est né à Pessac sur Dordogne le 16 janvier 1851. Ses œuvres principales sont : Les Écolières (poésie) (1875), les Grandes luttes (roman) (1879), Claude Fer (théâtre) (1885), Les Crucifiés (poésie) (1885), La Révolution (poésie) (1889), Formose (roman) (1891), Drame terrestre (1892), La Chanson Panthéiste (1893), La Fille de Rabelais (roman de capes et d'épées) (1904). (508)
* Roger Lanrezac (dit Roger Lanzac), homme de télévision et de spectacle, fondateur du cirque éponyme. (26)
* Marguerite Plaisir, enseignante, auteur d'un ouvrage autobiographique "Gens de Pineuilh" ainsi que d'un second ouvrage intitulé "Lettre à Bobo" : hommage posthume à ce jeune de Pineuilh mort en prison à Fresnes, à l'âge de 22 ans par manque de soins. Ces deux ouvrages sont publiés aux éditions "La fontaine secrète" <ref>Courriel : lafontainesecrete@laposte.net</ref> . (423)
* L'artiste peintre Andrée Lavieille (1887-1960) a séjourné à plusieurs reprises à Plassac, avec son mari Paul Tuffrau. Elle y a réalisé de nombreuses peintures à l'huile et aquarelles, dans lesquelles elle a pu traduire les lumières et les délicatesses de couleurs de cette région. (310)
Décédé le 14 août 1992 à Puisseguin (Gironde) (50)
Député de la Gironde de 1946 à 1951, (39)
Conseiller de l'Union française de 1951 à 1958, (49)
Conseiller Général du canton de Lussac de 1945 à 1970, (57)
Maire de puisseguin de 1935 à 1977. (36)
Marceau Dupuy, marié et père de deux enfants, s'est établi comme médecin mais aussi propriétaire-viticulteur exploitant dans la commune de Puisseguin. (155)
Au scrutin du 2 novembre 1946,la liste menée par Jacques Chaban-Delmas entre dans le club des grands partis de la Gironde avec 71 551 voix et forme la quatrième force politique derrière la SFIO (90 368 voix), le MRP (75 451 voix), le Parti communiste (73 963 voix) et devant le Parti républicain de la liberté (69 854 voix). Chaque parti obtient deux élus, la Gironde ayant été dotée d'un siège supplémentaire par rapport au scrutin précédent. (457)
Jacques Chaban-Delmas et son co-listier Marceau Dupuy font ainsi leur entrée au Palais Bourbon. (96)
(www.assemblee-nationale.fr) (28)
Engagé dans la résistance il aide son frère, le Docteur Edouard Dupuy (Maire et Conseiller Général de Villamblard, (119)
* André Berry est né à Bordeaux le 1er Août 1902. Il publia en 1941 Les Esprits de Garonne. Il écrit à propos de Quinsac où il passa son enfance : « Votre modeste cité, faisant de moi son citoyen d'honneur m'a fait un honneur et un plaisir très grands […] tant il est vrai que le sol qu'ont foulé nos premiers pas reste pour chacun de nous un sol sacré, magique, dont les fleurs, dont les fruits ont plus de prix à nos yeux que toutes les autres fleurs, que tous les autres fruits ». En 1957, il est lauréat du Grand prix de poésie de l'Académie française. (594)
* Jean Daniel Plassan écrivain auteur de Quinsac aux XIXe et XXe siècles. (84)
* L'un des maires les plus importants a été Henri Hubert Delisle, qui avait été gouverneur de l'île de la Réunion. (128)
* Le commandant Jacques-Yves Cousteau (1910-1997) est né, rue Nationale, à Saint-André-de-Cubzac en 1910, au dessus de la pharmacie de son grand-père, Ronan Duranthon. Le cimetière abrite la dépouille du commandant Cousteau. (264)
* André Dubourdieu, pilote aviateur de l'Aéropostale, est né en 1901 à Saint-André-de-Cubzac. (article manquant)
* Aristide Plumeau, créateur du Livret de famille, est né en 1824 à Saint-André-de-Cubzac. (article manquant)
* Jean Honoré Olibet, fondateur des usines de biscuits, est né en 1818 à Saint-André-de-Cubzac. (article manquant)
*Saint Antoine le Grand ou Saint Antoine l'Ermite est indissociable de l'histoire de la commune qui porte désormais son nom. (159)
Né en 251 à Qeman (Fayyoum) en Haute-Égypte et fervent chrétien, il naquit d'une famille riche mais devint orphelin à 18 ans. Dès l'âge de vingt ans il prend l'Évangile à la lettre et distribue tous ses biens aux pauvres, puis part vivre dans le désert en ermite dans un fortin à Pispir, près de Qeman. Là, à la manière du Christ, il subit les tentations du diable. Si pour le Christ cela ne dure que quarante jours, pour Antoine c'est beaucoup plus long et plus difficile, les démons n'hésitant pas à s'attaquer à sa vie. Mais Antoine résiste à tout et ne se laisse pas abuser par les visions tentatrices qui se multiplient. En 312 il change de désert et va en Thébaïde, sur le mont Qolzum (où se trouve aujourd'hui le monastère Saint-Antoine). Le Diable lui apparaît encore de temps en temps, mais ne le tourmente plus comme autrefois. Vénéré par de nombreux visiteurs, Antoine leur donne à chaque fois des conseils de sagesse, les invitant à la prière plutôt qu'à la violence. Il mourut en 356, à 105 ans. Sa sépulture fut gardée secrète jusqu'en 529 où son corps fut transporté à Alexandrie puis à Constantinople en 704. Le comte Josselin de Poitiers le découvrit lors d'un pèlerinage et obtint le droit de l'emmener en France où il fut enseveli dans le village de La Motte aux Bois, qui devient Saint-Antoine-l'Abbaye ou Saint-Antoine-en-Viennois. En janvier 2006, les reliques d'Antoine le Grand ont été déplacées en Italie sur l'île d'Ischia. (1573)
De nombreux miracles firent accourir auprès de ses reliques tellement de malades qu'il fallut construire une église et un hôpital. Cet hôpital fut confié aux Frères de l'Aumône. Ceux-ci fondèrent le grand ordre des Antonins en 1070. Il compta rapidement des milliers de religieux qui essaimèrent dans toute la France en créant des commanderies, notamment à Artiguelongue. Lorsque la terrible maladie du feu de Saint Antoine ou mal des Ardents (la maladie de l'ergot de seigle) se développa en Europe au Xe siècle et que des guérisons se produisirent sur le tombeau du saint, des pèlerinages eurent lieu le 17 janvier, pour la fête du saint patron, dans toutes les commanderies, donc à Artiguelongue, où est conservée une relique du saint. (837)
*Le cochon de Saint Antoine est à l'origine de la fête patronale du village. Deux versions peuvent éclairer la présence d'un petit porcelet accompagnant Saint Antoine l'Ermite : (191)
***Une truie aurait déposé un porcelet, aveugle et gémissant, aux pieds du saint. Celui-ci apitoyé par ses pleurs lui rendit la vue. Le porcelet reconnaissant ne le quitta plus et le suivit dans sa retraite. (211)
***Émile Mâle signale que cette tradition date de la fin du XIVe siècle : le cochon n'a rien à voir avec la vie du saint mais avec l'ordre religieux des Antonins qui bénéficiaient du privilège de laisser paître un nombre illimité de porcs dans les forêts et de les laisser errer librement dans les rues à la seule condition qu'ils aient une clochette au cou. Ces porcs étaient souvent donnés aux commanderies et constituaient la principale ressource financière des hôpitaux. (497)
* François Merlet : Le poète, l’ancien fauconnier, l’amoureux du monde sauvage, le photographe, tout cela et encore plus que cela, François Merlet qui a écrit et illustré de ses clichés la plus belle quête de l’ours des Pyrénées. (article manquant)
« ils haïssent l’ours, parce qu’ils ne l’ont plus. Réfléchissez à cela. » (85)
* Pierre Mourisset, originaire de la commune, gendarme, résistant, en poste à la gendarmerie de Quimperlé à partir de 1936. Il est arrêté à Bubry le 27 juin 1944 par des feldgendarmes, en compagnie de Mathieu Donnart, du lieutenant de gendarmerie Jean Jamet, originaire de Lanvénégen et de deux opérateurs radios. Ils sont détenus et torturés dans une annexe du lycée de Pontivy. Pierre Mourisset est fusillé le 18 juillet 1944 à Bieuzy, Mathieu Donnart et Jean Jamet sont fusillés le 29 juillet 1944 à Pluméliau. (583)
* Saint Macaire (v. 390, Rome - v.430, Ligéna) (57)
Moine sanctifié qui donna son nom à la ville. (47)
Issu d'une famille de commerçants grecs établis à Rome, Makarios fut vicaire du Préfet du Prétoire. Chrétien convaincu, il fut envoyé en pays arien pour prendre l'évêché de Lugdunum Convenarum (Saint-Bertrand-de-Comminges), pillée par les Vandales en 408. (290)