* Charles Van Coppenolle : Mineur à la Fosse Saint-Marck, il s'engage dans l'armée en 1913. Lieutenant en 1916, il enlève avec sa compagnie le Mort-Homme à Verdun. Il reçoit alors la Croix de Guerre et figure dans le magazine L'illustration. Devenu lieutenant-colonel, il entre dans la Résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale et participe à de nombreuses batailles, notamment en Syrie. Élu maire de la commune en 1959, il meurt le 15 octobre 1968. (594)
*Ferdinand Cuignet (1823-1874), inventeur de la skiascopie, méthode de diagnostic de certains troubles troubles oculaires fréquents comme la myopie et la l'hypermétropie. (185)
Monsieur Jean michel SUEUR, premier importateur de la voiture "dacia logan" en france, patron de l'entreprise : "AUTO CENTRALE" située à TETEGHEM (59). Biographie passée dans les émissions télé CAPITAL, TURBO, etc...+ nombreux médias presse et radios.Créateur de la première logan de rallye ainsi que chargé de mission européen de plusieurs constructeurs automobiles chinois. (406)
(texte réalisé par un journaliste tv après une sympathique interview au domicile armbouts-cappellois de l'intéréssé.) (123)
Monsieur Jean Neuville, symbole de la résistance durant la Seconde Guerre Mondiale. (84)
* 1872 : Gustave Joseph Williatte, né le 2 mai 1872 à Auberchicourt. Le 13 septembre 1893, M. Williatte entra au séminaire des Missions Étrangères. Ordonné prêtre le 28 juin 1896, il partit le 26 août 1896 comme missionnaire dans le Kouy-Tcheou (Chine). Il débuta à Yang-Tsin, chez les "Dioys". Il apprit la langue Dioy. En 1907, avec M. Esquirol, il publia un Dictionnaire Y-Jen, imprimé à Nazareth, Hong Kong. En 1909, l'Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, lui décerna le prix Stanislas Julien pour son Essai de dictionnaire Dioi-Français, ouvrage de 669 pages, imprimé à Nazareth, Hong-Kong, l'année précédente. En 1911, M. Williatte fut appelé à prendre la direction du "séminaire dioy", à King-kia-tchong, près de Hin-Y-fou (Lan-long). La fin de sa vie est marquée par l'avancée des armées communistes dans la région de Lan-long. Il meurt le 29 novembre 1944 dans son séminaire<ref>Notice biographique dans les Archives des Missions Étrangères de Paris.</ref>. (1172)
Parmi les personnes nées à Auberchicourt titulaires de la Légion d'honneur on peut citer : (97)
* 1783 : Hyppolyte-Joseph Lemaire né le 22 mai 1783 (53)
* 1801 : Jean-Louis Molle né le 20 mai 1801 (45)
* 1845 : François Pasture né le 22 juillet 1845 (49)
* 1849 : Georges-Henri-Fernand Vuillemin né le 21 décembre 1849 (65)
* 1864 : Jules-Charles Domis né le 16 décembre 1864 (53)
* 1896 : Paul-Achille-Émile Coquelet né le 16 novembre 1896 (61)
* Antonin des Rotours. Alexandre Antonin Desrotours, puis des Rotours , 3ème baron des Rotours, né au château de La Ruaudière à La Graverie le 22 mai 1806 et décédé à Paris le 5 janvier 1868, fut élève à l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr, sous-lieutenant de l’Ecole Royale de Cavalerie de Saumur le 1er octobre 1826, sous-lieutenant au 4ème régiment de Hussards, lieutenant au 14ème régiment de chasseurs à cheval le 1er octobre 1830, puis renonça à la carrière militaire à l’occasion de son mariage en 1832 avec Eugénie Plichon. En 1845, Antonin et Eugénie firent l’acquisition du château d’Avelin, des héritiers du marquis Mallet de Coupigny. Antonin, maire d’Avelin, fut élu conseiller d’arrondissement du canton de Pont-à-Marcq, le 26 août 1848, puis fut nommé chevalier de la Légion d’Honneur, par décret du 1er janvier 1853. Resté très attaché à sa Normandie natale, Antonin publia, au Comice Agricole de Lille en 1860, une brochure « Notice sur la foire aux chevaux d’Etouvy (Calvados) » qui fut reproduite, à Vire en 1926, dans la revue « Au Pays Virois » . Enfin il fut membre du Corps Législatif du 31 mars 1863 à 1868. (1204)
Jean claude gengembre auteur compositeur interprète talentueux ayant fait partie de l'orchestre Casadesus,soliste à l'orchestre philarmonique de radio france depuis 2006 et professeur de percussion au conservatoire de roubaix (230)
Henry James Nicholas, sergent du régiment de Canterbury et véritable premier héro de la nation néo-zélandaise, est tué dans la commune de Beaudignies. (156)
-----Gérard de Meckeren (van Meckeren) né à Bergues-Saint-Winoc; Capitaine de la flotte flamande en 1528. Vice-amiral de Flandres sous Charles-Quint (157)
----- Louis Joseph Zylof de Steenbourg (né à Bergues le 17 mars 1786) de la famille qui a possédé le château de Zilof de Steenbourg, de 1679 à 1957. Château qui fut construit par un ancien bourgmestre de Bergues : Vigorus de Raepe en 1574 (255)
-----Elshoect, Karl ou Elshoect-Vital ou Elshoect, Jean Jacques Marie Carl, Vital ( 3 mai 1791 à Bergues - le 25 février 1856 à Paris),Sculpteur. Œuvres : - Thérèse Elssler dans le rôle de la reine Mab, conservée au Musée du Louvre (département des sculptures) / Jacques Lisfranc de Saint-Martin, médecin (1787-1847) / Ferdinand-Philippe, duc d’Orléans (1800-1842), conservée au Musée du Louvre / Baron Larrey, conservée au château de Prunay / Médaillon ; Relief Marceline Desbordes-Valmore (1843), conservée au Musée de la Chartreuse à Douai / Le duc d’Orléans, Ferdinand-Philippe-Louis-Charles-Henri-Joseph, (1844), conservée au Musée du Louvre / Eloa (qui, Lors de l’exposition Universelle de Mars 1858, fut déposée au Palais de l’Industrie) / Etc. (814)
* Adalbert Carrière : oncle de Dany boon, ancien directeur de l'harmonie municipale, fut pendant plus de cinquante ans le carillonneur de la commune. (155)
L'abbé Lamps a marqué Bissezeele durant les premières décennies du vingtième siècle. Il était un prêtre 'lemiriste', c'est à dire proche des idées progressistes de l'abbé Lemire, député maire d'Hazebrouck. Par humilité, il souhaitait exercer son ministère dans la plus petite paroisse du diocèse de Lille. On l'envoya donc à Bissezeele. Durant la messe, il n'hésitait pas à interpeller en chaire les fermiers qui maltraitaient leur personnel... (475)
Homme érudit, l'abbé Lamps avait une grande passion pour la photographie. Cette passion, il la transmit à Jeanne Devos, une adolescente tuberculeuse de Bailleul qu'il recueillit. (201)
Ici tu ne dois pas mourir lui dira-t-il. (45)
Durant la guerre, des soldats allemands et britanniques ont 'cohabité' dans son presbytère. (93)
En fait, les Anglais étaient cachés. Les Allemands ne s'en sont jamais rendu compte. Ils ont tous étaient fascinés par la personnalité et l'érudition de l'abbé. (167)
Les époux ducornet fondateur des pacotins pacotines groupe de danses folkloriques connu en france et dans certains pays d'europe par leur diverses représentations . (166)
Ce sont eux qui sont à l'origine de la traductions du flamand en français de toutes les danses flamandes ,mais ils ont surtout fait des recherches à l'aide de beaucoup d'amis flamand et français.Mr ducornet a aussi était maire pendant 12 ans,sa femme "alouette" et lui ont aussi exercés une grande partie de leur carrière comme instituteur à l'école du village. (380)
Profondément ancrés à gauche il furent à l'origine de la création de l'amicale laïque de boeseghem qui regroupait la danse mais aussi le tennis de table (plusieurs participation au championnat de France).Ils ont élevés plusieurs générations d'enfants à la vie en communauté tout en respectant par dessus tout le principe de laïcité. (346)
*Jean Lebon citoyen d'honneur depuis 2003, pour services rendus à la musique et à l'harmonie municipale de Bousies, chef de musique de 1984 à 2004. (150)
Henri DUFRENELLE, Comte de BOUSIES, Citoyen d'honneur de Solesme (64)
*Guy Dutron : Candidat aux Législatives de 2007 sous l'étiquette "Gauche Alternative", écrivain qui a publié en février 2008 son premier roman dont l'action se passe à Bousignies sur Roc, Un jour je mangerai du Pain Blanc, aux Éditions du Lectambule. (272)
Guy Dutron a publié en Octobre 2008, un Essai de Pamphlet politique intitulé "A mort l'Europe ?" et une "Notice historique sur l'émergence de la frontière du Hainaut" ; ces deux livres étant commercialisés au profit de l'Association "Hainaut Avenir Environnement" Siège : 3 route de Ramousies - 59440 Sémeries (347)
Le frère de Guy Dutron, Pierre Dutron fut secrétaire parlementaire à Thuin, député suppléant du même arrondissement de 1976 à 1981, fondateur du RPW (Rassemblement Populaire Wallon) il en est encore actuellement le président. Il fut secrétaire général du syndicat CFDT la Caisse des Dépôts et Consignations (320)
Un autre roman a pour cadre Bousignies-sur-Roc : Le bourreau de Maubeuge d'Orlando de Rudder. (97)
Charles Grimminck (1676-1725), mystique flamand, y fut curé de 1714 à 1723 avant de se retirer comme ermite au pied du Mont-des Cats. On se souvient de lui comme le "saint curé" (den heyligen pastoor).<ref>Cf. PERSIJN, Un mystique flamand, Charles Grimminck (1676-1728), Contribution à l’histoire religieuse de la Flandres, Lille/Lyon/Paris, Coll. « DDB et Cie – Edition du Comité Flamand de France », 1925.</ref> (450)
Cambrai a vu naître quelques célébrités parmi lesquelles : (68)
*Baptiste Chambray (ou Cambray ?), tisserand du XIIIe siècle qui, le premier, a réalisé la toile de lin appelée la « toile de Batiste » (en anglais cambric). (article manquant)
*Charles Fleury né a Catillon en ??. Commandant, mort à Saragosse vers 1614. (90)
*Charles Ghillet né a Catillon en ??. Écuyer adjudant général des armées de sa Sainteté (99)
décédé en 1662. (18)
(Simon Daniel Goris né à Catillon en 1788, fils de Jérome Joseph Goris, capitaine, mort au combat à Spandeau en 1812.<!-- Son nom est inscrit dans les Fastes de la Gloire ou les Braves Recommandés (tome IV) ?--> (229)
*Henry Cochet né a Catillon en ??. Notaire, membre du conseil général du Nord en 1790, député à l'Assemblée législative en 1791 , à la Convention et au Conseil des Cinq-Cents. Il vota la mort de Louis XVI le 20/09/1792. Il termina sa carrière à 60 dans les fonctions de juge à la cour de justice criminelle du Dpt du Nord. Il est décédé le 29 janvier 1807 (491)
*Charles Lefebvre né a Catillon en ??. Greffier de la maîtrise des eaux et foréts de Le Quesnoy, député du Nord à l'assemblée législative en 1791, puis notaire à Valenciennes (197)
*Laurent Béthune né a Catillon en 1739, ancien procureur du roi à Bouchain, fut successivement président du tribunal criminel et du tribunal civil du Dpt du Nord, député au Conseil des Cinq-cents, prêta serment le 21 fructidor an V (1797). Décédé le 26 nivôse an VII à l'age de 60 ans. (308)
*Simon Béthune né a Catillon le ??. Ex-jésuite, au XVIIe siècle il enseigna quelque temps les humanités dans une maison qui porta le nom de collège, mais cet établissement dura fort peu, son fondateur ayant été appelé à la cure de Saint-Aubert Cette rue porte actuellement le nom de rue du collège. (340)
*JosephWallet né a Catillon le ??. Sergent-major au 13é régiment d'infanterie légére, Légion d'Honneur, pour un fait d'armes, le 3 août 1813, à Culm, son nom est inscrit sur l'Arc de Triomphe à Paris (218)
*Maximilien Cousin né a Catillon le 3 juin 1752, pharmacien puis militaire sous Louis XVI et sous la république décédé a Landrecies en 1842 (154)
*Camus Robin, Honoré Blondeau tous deux frères d'armes de l'Intrépide (navire de ligne de 74 canons) (119)
*Joseph Bocq chevalier de la Légion d'Honneur né à Catillon (69)
*Joseph Soufflet capitaine, chevalier de la Légion d'Honneur (68)
*Constant Blondeau dit l'intrépide né a Catillon en 1775 croix de la Légion d'Honneur décédé en mars 1850 (117)
*Olympe Demarez Née le 27 01 1878 au hameau de Rejet-de-Beaulieu devint, le 2 février 1914, l'une des premières avocates de France. Mariée à Charles Valentin avocat, conseiller général à Gravelines en 1913, maire de Dunkerque en 1925 puis député en 1936. Elle sacrifie sa carrière personnelle pour se consacrer totalement aux activités politiques de son mari. Elle décède le 5 septembre 1964. (449)
* Chrysole ou Chryseuil († 303), d'origine arménienne, saint chrétien qui évangélisa le nord-est de la Gaule, et mourut martyr en Flandre, vers Comines, où une église lui est consacré ; il est fêté le 7 février. (article manquant)
Les plus connues des habitantes de Cousolre sont sainte Aldegonde et sa sœur sainte Waudru, filles de saint Walber et de sainte Bertille. Aldegonde créa le Chapitre des Dames de Maubeuge. (224)
Vient bien plus tard un autre personnage important pour la commune, Alfred Jennepin, professeur de divers matière, il a écrit les chroniques de ce village, histoire remontant de l'époque romaine jusqu'au XIXe siècle. (220)
Craywick est le berceau d'une branche de la famille Duriez, qui a donné plusieurs maires à la ville ainsi que de nombreux industriels à la région. (150)
* Sébastien Joseph Brasdefer, Maître Brasseur, né à Lorgy (Lorgies) en 1702. Décédé à Cysoing en 1749. Il exerça son art à Tourcoing et à Cysoing. (157)
Il Publie: Inuhldiging der waterbron - Gedicht op Lodewijk Clarisse - Ik eer de moedertaal - Ode aen Van Rechem. (114)
Il fut lauréat de nombreuses chambres de rhétorique : Watou en 1861, Eecke et Ypres en 1862, l'Abeele en 1864, Poperinge en 1866, Brugge en 1875 et poète attitré de la chambre "Verblijders in het kruis" à Eecke[réf. souhaitée] (292)
* Daniel Devendeville : Directeur de l'école primaire et maternelle de 1978 à 2002 et Maire de la commune de 1984 à 2004. (124)
Depuis le 18 décembre 2004, l'école s'appelle désormais "école Daniel DEVENDEVILLE" pour lui rendre hommage, une plaque se trouve à l'entrée principale de l'Etablissement. (187)
Coureur de fond réputé, Anatole Herlem est né à Erquinghem-Lys le 25 Avril 1910. Il habite rue des Acquêts à Erquinghem-Lys (dans la rue où je suis né précise t-il). Il est venu à la course à pied à l’âge de 25 ans après avoir essayé d’autres sports tels que le football ou le vélo. Inscription aux clubs d’Armentières (S.O.A.), de Lambersart (IRIS), de l’U.S.Marquette. (401)
Premières compétitions : Des courses de ducasse. (52)
Ensuite un superbe palmarès au cours de plus de 50 années de course à pied. (78)
* Naissance 12 février 1846 Jules-Bruno Logez, titulaire de l'Ordre de la Légion d'honneur. (97)
* Un domaine aujourd'hui disparu abritait les villégiatures du Comte de Ségur, parent de la célèbre Comtesse de Ségur. Cette dernière aurait séjourné à Esquerchin. (176)
Dehaisnes, Chrétien-César-Auguste (1825-1897) ; Mgr. Né le 25 novembre à Estaires, décédé le 2 mars 1897 à Lille. --Archiviste. Historien d’art.--Prélat du Diocèse de Cambrai (ordonné prêtre en 1853). - Conservateur des Archives de la ville de Douai (1863-1870). - Archiviste honoraire du Nord (1870-1883). - Secrétaire général (à partir de 1882) et vice-recteur (à partir de 1884) des Facultés catholiques de Lille. – Président de la commission historique du département du Nord. Publia des textes latins du Moyen-âge. - Publia d’abord quelques ouvrages relatifs à l’histoire locale puis des ouvrages importants sur l’histoire de l’art dans les Flandres. (697)
Entre autres publications : Le testament de George Colveneere, chancelier de l’université de Douai (1864) - Les annales de Saint-Bertin et de Saint-Vaast, suivies de fragments et de chroniques… (1872)- Histoire des archives communales de Douai (1874) - Recherches sur l’art à Douai aux XIVe, Xve et XVIe siècles, et sur la vie et l’œuvre de Jean Bellegaucle (s.d.) - Histoire de l’art dans la Flandre, l’Artois et le Hainaut avant le Xve siècle (1886) (ouvrage en 3 vol. et qui a représenté 25 ans de recherches). - Etc. (550)
* Emile Roche, homme politique, né à Estaires. (article manquant)
* Dr Gérard Debuigne<ref>Auteur remarqué de publications parues entre autres aux Éditions de Montsouris (1968) : Je veux guérir par les plantes, aux Éditions Larousse: Dictionnaire des vins (1969), Larousse des vins (1970), Dictionnaire des plantes qui guérissent (1973), Larousse des plantes qui guérissent (1975). Ses Confessions d'un médecin de province (Éditions France-Empire, 1976) tiennent une place à part. C'est le témoignage intéressant d'un médecin généraliste dont la réputation ne se limitait pas à Estaires et à ses environs.</ref>. (600)
Auguste le Clément de Taintignies meurt le à Tournai. (77)
*Louis le Clément de Taintignies (1789-1834): (54)
----Louis Lamoral le Clément de Taintignies est né à Féchain le . (90)
Page à la cour de France puis lieutenant dans le Ier de Hussards, et enfin chef d'escadron dans le XIIIe, officier d'ordonnance de Napoléon, chevalier de la légion d'honneur, Louis le Clément de Taintignies meurt le à Tournai. (296)
----Irma SablonIrma Aglaé Laurette Sablon est née à Bermerain le . (142)
Elle passe 85 ans à Féchain, au 40 de la rue Jean-Baptiste Hosselet. Nommée le , elle occupe durant 37 ans le poste d'enseignante. Elle prend la direction de l'école de Féchain en 1872. (218)
Conservateur à l’école nationale supérieure des arts et industries textiles de Roubaix de 1907 à 1940, il réorganise complètement ce musée, fort de nombreuses sections telles que peinture, sculpture, arts décoratifs, tissus, numismatique, préhistoire, oiseaux, et y ajoutera la géologie, minéralogie, et bien sûr, l’entomologie. (360)
Retraité, il s'installe à Féchain, rue Jean-Baptiste Hosselet. (65)
Ernest Cavro disposait alors de plus de 15000 insectes qu’il confia au Muséum de Paris, donna d’autres insectes et oiseaux à celui de Douai, ses ouvrages à la bibliothèque d’Annappes. (205)
* L'exhibitionniste du Bois-l'Évêque a fait la une de la presse locale et nationale, avec notamment un reportage sur Arte Radio. Écouter Arte Radio. (241)
* Les ascendants de l'écrivainbelgePatrick Lowie sont de Fromelles. Jacques Lohier y est né en 1550. Il sera le personnage d'un roman de Lowie intitulé "Le sorcier de Fromelles" (242)
* Le chanteur Raoul de Godewarsvelde (ou Raoul de Godewarsvelde) a pris le nom de la ville comme pseudonyme. (118)
* Le peintre Nicolas Ruyssen (né à Hazebrouck le 26 septembre 1757) fonde la Communauté du Mont des Cats (moines cisterciens - trappistes). Il meurt le 18 mai 1826 et est inhumé dans la chapelle de l'Abbaye. (219)
* Michael Trotobas, Espion franco-britannique lors de la dernière guerre. (84)
* Jacques Duquesne, grand reporter, écrivain et fondateur du magazine Le Point, a vécu dans le village. Il est l'auteur de plusieurs livres, dont en 1983 : (172)
: Maria Vandamme (prix Inter allié) pour lesquels l'auteur a choisi certains noms de personnages issus de ceux portés à Gondecourt, les affectant toutefois à des cas volontairement non ciblés pour son intrigue. Il fit la dédicace de cet ouvrage au Lycée Marguerite de Flandres de cette commune. (317)
* DJ WARS, DJ et Animateur Radio , vit encore dans le village (67)
* Auguste BERNARD et son epouse Marie ont reçu la médaille pour famille nombreuse (11 enfants : Jacques, Marie Yvonne, Marie Christine, Pascale, Christian, etc ...) (173)
* Pierre Wadoux : Fils de Joseph Wadoux, islandais, et de Eugénie-Marie Gaffet, né en 1925, Ancien Officier de la marine marchande, ancien inspecteur de la marine et écrivain, auteur du célèbre Guide Vagnon de la mer destiné aux plaisanciers désirant passer le "permis mer" mais aussi d'ouvrages dont " Sur les bords de l'Aa" écrit en français (sur la page de gauche) et en patois de grand-fort philippe (sur la page de droite) et qui constitue, à l'heure actuelle, le seul livre en patois (picard) de grand-fort actuellement publié. (574)
Il a écrit également "Sur la côte du Nord" (édition Self-édit Lorient 1997), "Du moussaillon au commandant" (Self-edit, Lorient et éditions du plaisancier, 1997), "Avant d'être matelot" ( Self-edit, Lorient, 1998) (250)
Pierre Crétin : résistant Hasnonais , tué par les Allemands Route de Cataine (rue qui relit Hasnon centre au hameau de Cataine ). Une stèle a été érigée à l'endroit de son décès , et la Route de Cataine a été renommée Rue Pierre Crétin . (252)
Henri, son père, est nommé directeur de l’école des garçons et la famille emménage dans le logement du groupe scolaire Louis-Pasteur datant de 1929. Juste derrière l’église et le monument aux morts de 14-18, au bord de la charmante Selle qui appelle à la pêche et aux baignades enfantines<ref>Par Olivier Berger (la voix du nord)</ref>. (361)
* Jeanne Leroux : artiste, chef d'entreprise (Ateliers Leroux) et résistante pendant la seconde guerre mondiale. (article manquant)
Cyclisme (12)
* Amand Goubert a participé au Tour de France durant les années 1928 à 1933. Il a tenu à Hautmont, avec son épouse, un magasin de cycles et mobylettes. (article manquant)
Villard de Honnecourt est l'auteur d'un corpus de 33 parchemins, qui rassemblent environ 250 dessins. Ces documents sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. De 1191 à 1235, Villard de Honnecourt fut chargé de la construction de l'église de l'Abbaye de Vaucelles (monument actuellement situé sur la commune des Rues-des-Vignes) (387)
* Baron Nicolas-Joseph Scalfort et notamment la Baronne Scalfort dont sa fondation en faveur des pauvres a donné lieu a un procés de Février à mars 1842 <ref>Page ii - Notice historique et généalogique ancienne et illustre famille et comtes du nom de Lalaing par Félix Brassrt -Publié par Adam d'Aubers en 1847 archivé à l'Université de Gand numérisé par Google Books</ref> (408)
*Hugues II de Lannoy (fils de Hugues Ier de Lannoy), qui achète en 1385 la seigneurerie de Wattignies (106)
*Jean II de Lannoy, (fils du précédent, Hugues II de Lannoy), nommé gouverneur de Lille en 1410, mort à Azincourt en 1415 (150)
*Jean III, (fils de Jean II), organisateur du Banquet du faisan en 1437, pour lancer la nouvelle croisade en Terre sainte (elle n'eut pas lieu). (148)
Il fut le fondateur de la ville de Lannoy, fortifiée et nantie de privilèges dans les années 1450-1460. Confirmés par le roi Louis XI en 1463. En 1477, le même roi Louis XI confia une importante mission de négociation à Jean III pour déclencher le mariage entre la fille de Charles le Téméraire (Marie de Bourgogne, orpheline et donc convoitée) et le Dauphin de France. Cependant Maximilien d'Autriche emporta la décision. Ce mariage donna naissance à Charles Quint, l'empereur le plus puissant d'Europe au XVIe siècle, conquérant du Nouveau Monde découvert en 1492 (Christophe Colomb) (708)
* Jacques-François Momal, peintre né en 1754 peintre et graveur, dirigea pendant de longues années l'école de peinture de Valenciennes décédé à Valenciennes le 22 septembre 1832<ref>page 618, statistique archéologique du département du Nord seconde partie, Librairies Quarré Lille ; Leleu, Lille, A. Durand Parisarchive au Harvard College Library numérisé par Google Books.</ref>. (article manquant)
* Le général Jacques Fromentin s’illustra à la bataille de Wattignies en 1793. Il fut nommé plus tard gouverneur militaire de Landrecies. Ayant épousé une censière de Grand-Fayt, Joséphine Lebrun, il vint s'installer dans la commune où il mourut en 1830. On peut voir sa pierre tombale dans le cimetière. Sa maison, donnée au village , sert de mairie (ensemble rénové en 2006 ). (425)
* Marchiennes est aussi le lieu de naissance en 1905 du célèbre peintreFélix Labisse, lié au mouvement surréaliste sans y adhérer, connu entre autres pour ses Femmes bleues. (206)
Fernand LANTOINE, né et mort à Maretz 1878-1955, peintre francais mais de l'Ecole Belge. Peintre à ses débuts néo-impressioniste, puis d'inspiration Fauve, il devint peintre officiel de la marine en 1922. A notamment voyagé en Algérie et Tunisie et dans l'empire Français (Congo, AEF, Indochine, Madagascar), et a décoré les paquebots Leoploldvillet et Albertville de la compagnie maritime belge du Congo. (417)
* Un comte de Maulde a épousé vers 1760 la fille de Charles Davy de la Pailleterie ( 1716 - 1773 ), cadet d'une famille originaire du Pays de Caux (Rouville), militaire devenu dans les années 1730 planteur à Saint Domingue et oncle du général de division républicain Thomas-Alexandre Dumas Davy de la Pailleterie, ce dernier étant le père d'Alexandre Dumas dont les cendres reposent au Panthéon depuis 2002 (416)
* Roger Facon, né à Monchecourt le 20 janvier 1950 ;s'est orienté vers les carrières d'animation avant de devenir enquêteur de police;passionné par la culture et notamment l'écriture, il devient polygraphe, s'intéressant particulièrement à l'occultisme et à la littérature d'anticipation;il trouve sa voie en publiant des romans policiers largement inspirés de son expérience professionnelle ; il anime des ateliers d'écriture et d'expression théâtrale,crée des romans-photo avec les publics qui lui sont confiés. En 2001, il est élu à Aniche et devient adjoint à la culture ; il crée la biennale du polar qui rassemble une cinquantaine des signatures les plus célèbres dans cette discipline. (article manquant)
* Władysław Ważny (capitaine). Héros de la Résistance, mort tragiquement le 19 août 1944.<ref>En 1994, à l'occasion du 50ème anniversaire de cet évènement, la société d'histoire locale avait organisé avec la municipalité une exposition et une journée commémorative. Une équipe de la Télévision Polonaise est venue tourner des séquences filmées. Une émission d'une demi-heure a été diffusée à plusieurs reprises par TV Polonia (par satellite) et suivie avec intérêt non seulement dans toute l'Europe mais aussi en Amérique du Nord.</ref> (581)
* Stanislas Łukowiak. Arrêté et emmené ainsi que sa femme Françoise par les Allemands, il est mort le 13 mai 1945 en déportation. (135)
* Valentin de Pardieu, seigneur de la Motte <ref> Annales (67)
De Comité flamand de France, Conservatoire national des arts et métiers (France) pages 177, 223</ref>.<ref>Bulletin historique trimestriel ,pagee 24 de la Société des antiquaires de la Morinie . 1866</ref> (229)
*Le Père Alexandre MONNET, né à Mouchin, a contribué à l'abolition de l'esclavage en union avec Victor Schoelcher. Il avait créé une paroisse ("La Rivière des Pluies") dans l'île Bourbon, au service des esclaves et des plus pauvres locaux. Mort en rejoignant son diocèse. (291)
(voir le site perso.wanadoo.fr/mouchin.net) (43)
*Hippolyte-Hyacinthe, géant de Mouchin, représentant à la fois le dernier Seigneur et la période d’évolution et d’industrialisation de la commune. (171)
* Léon Claude Duhamel (né en 1935], inventeur du K-way, imperméable dans une poche banane qui se porte à la taille, en 1965. Fabricant de pantalons, il eut l'idée de faire un vêtement léger pour se protéger du mauvais temps (235)
Raphaël Lardeur est né le 19 décembre 1890 à Neuville sur Escaut. (69)
C’est un peintre verrier qui a notamment réalisé certains vitraux de l'église de la commune, mais il est surtout connu pour la réalisation des vitraux de la basilique de Thonon les Bains et de l’église de Valenciennes. (227)
* Antoine - Joseph Scouflaire (1800-1865) : fondateur de la piperie en terre Scouflaire (91)
* La famille Venot : industriels ayant oeuvrés dans la commune et dont certains membres sont devenus présidents de la Lyre Ouvrière (harmonie municipale) (158)
D'abord curé de Notre-Dame de Roubaix puis, par décret du 12 juillet 1850, il fut nommé évêque de Saint-Denis à la Réunion et sacré le 5 janvier 1851. (158)
Il fut ensuite transféré au siège épiscopal en 1857, il a été nommé à l'archevêché de Toulouse par un décret de juillet 1859 et préconisé en Septembre. (164)
En mai 1879, il a été fait cardinal de l'ordre des prêtres avec l'évêque de Poitiers (Mgr Pie), il reçut des mains de Jules Grévy (Président de la République) la barette. (183)
Il a été chanoine d'honneur des diocèses de : Cambrai, Montauban, Montpellier, Limoges, Oran, Tarbes, Perpignan. (115)
Il a été promu Officier de la légion d'honneur le 12 août 1865. (71)
Ses ouvrages : (14)
On cite de Mgr Desprez des Mandemens et Instructions pastorales, dont l'une fut une Instruction pastorale sur le spiritisme qui a été publiée en 1875 par la Librairie spirite, suivie d'une réfutation par M. V. Tournier. (223)
Homme politique belge membre du Parti communiste belge et un militant wallon. (77)
décédé à Courcelles le 3 octobre 1997. (43)
*Jules Coisne (poète) (22)
Poète patoisan, il nous a laissé : Les Chants de la Muse noire, Mœurs et coutumes en pays minier (1918) (114)
est ancien international algérien de football. Il mesure 1m92 pour 87 kg. Jouant au poste de défenseur, il a fait partie de la grande équipe nationale d'Algérie au mondial 1982 en Espagne. (200)
*Michael Chéret, né le 23 juin 1974 à Ostricourt (Musicien) (63)
Dés l'âge de 16 ans ce jeune saxophoniste alto et soprano apprend la musique avec Ronald Alphonse. Puis il étudie avec les plus grands tels que : Nasshbaun, Beirach, Griffin, Chambers, Homair, Selin et Wheeler. (213)
Il est aujourd'hui un saxophoniste incontournable à Paris où il compose et enseigne. (86)
--M. Mascart reçut la légion d'honneur le 12 Mars 1871, promu Officier le 29 Déc. 1881 et Commandeur le 29 Oct 1889 comme président de classe à l'exposition universelle. (174)
--Mr MASCART est né à Quarouble le 20 Février 1835. (54)
Il entra à l'Ecole Normale Supérieure en 1858 où il fut agrégé en 1858 puis docteur es sciences en 1864. Il demeura d'abord attaché à cette école comme conservateur des collections scientifiques, ensuite il devint professeur de physique au collège Chaptal puis suppléant de Ragnault au Collège de France. (315)
--Mr Mascart succéda ensuite à Chaptal comme professeur titulaire en 1872 (25 Mai) et en outre prit la direction du bureau central météorologique en 1878 (25 Mai), fit aussi partie du bureau national et permanent des poids et mesures. (238)
Durant ces années, il s'est particulièrement distingué par ses travaux sur l'électricité (93)
-- Ses Ouvrages : Eléments de mécanique, rédigés conformément au programme des lycées (1866). Traité d'électricité statique (1876 en 2 volumes de format in 8). Leçons sur l'électricité et le magnétisme (1882, 2 volumes de format in 8, avec figures) en collaboration avec M. Joubert. Ces volumes comprennent en Tome 1 : Phénomènes généraux et théorie et en Tome 2 : Méthodes des mesures et applications. (cet ouvrage a été traduit en langue allemande par le docteur Léopold Lévy et est paru à Berlin en 1888 en 2 volumes également). Traité d'optique (en 2 tomes de format in 8), le 1er tome est paru en 1889 et le second en 1891, tous deux édités à Berlin. (688)
Emmanuel Coquelet, joueur de football français, né à Quarouble le 27 février 1975 (85)
Club actuel : F91 Dudelange Luxembourg (D1) (45)
Palmarès : (11)
- Finaliste de la Coupe de France 2001 (38)
- Quart de finaliste de la Coupe de la ligue 2001 (49)
* Wenceslas Cobergher, ingénieur des eaux, habitat le château Bouly de Lesdain, qui dessécha Les Moëres de 1619 à 1627 par la création d'une digue de protection des Moëres, le Ringsloot. Il inventa également le drain en terre cuite permettant le drainage des terres humides de la Flandre argileuse. (318)
* Les frères Neuville : Dans la première moitié du XIXe siècle, une famille de facteurs d'orgues d'églises, les Neuville, y fut en grand renom. Le père Charles Louis (1816) et ses deux fils, Emile (1843), Alfred (1847), fournirent, réparèrent ou transformèrent les instruments de la plupart des églises de Flandre et largement au-delà, exportant même en Allemagne et en Amérique. Un troisième fils, Valentin Neuville, fut Premier Prix de Conservatoire de Bruxelles et professeur d'orgue au Conservatoire de Lyon ; c'est un compositeur post-franckiste des plus attachants. Ainsi, la rue qui porte leur nom honore tous ceux qui oeuvrent à l'essor et à la réputation du village. (701)
Au n° 25, rue des Frères Neuville, se situe la maison qui fut la demeure et l'atelier de fabrication des frères Neuville (123)
* Lamartine qui avait un faible pour Hondschoote fit don à l'église de Rexpoëde d'une cloche, c'était lors d'une campagne électorale... en 1833. (179)
* Le général Anthoine: Une rue porte le nom du général Anthoine. « Durant la Première Guerre mondiale, le général Anthoine, commandant la première armée française, eut, de juin à septembre 1917, son quartier général dans l'actuel GROEN HOF (le domaine vert) où l'on décida d'aligner le front de Dixmude, au nord, avec celui de l'armée anglaise vers Ypres, et par la même occasion de montrer aux alliés américains, fraîchement entrés en guerre à nos côtés, que l'armée française était restée un outil efficace et cohérent entre les mains de ses chefs, après les mutineries du printemps 1917. Pendant toute cette période défila dans cette propriété tout ce que les pays alliés possédaient comme rois, princes, présidents de la République, généraux. ministres et délégations ». (826)
* Wilfried Martens : Le restaurant du Lion d'Or reçut l'été 1988 la visite de M. Wilfried Martens, Premier ministre de Belgique. (139)
* Adolphe Patoux né en 1810 à Saint-Hilaire-lez-Cambrai ancien souffleur de verre il fonde en 1864 une verrerie sur Aniche <ref>Page 474- revue du Nord par Alexandre Saint-Légéer Université de Lille-1985 -numérisé par Google Books</ref> (article manquant)
Dom Bévy un moine bénédictain de la congrégation de Saint Maur né le 4 novembre 1738 à St Hilaire. Il devient l'historiographe du roi Louis XV pour la province de Hainaut, auteur de plusieurs livres à caractère historique. (230)
Escaufourt fut marqué par ses instituteurs, secrétaires de mairie. Tout d'abord Monsieur Raimbaut, puis Monsieur Amédée Soufflet ( 1920-1981 ) qui est resté, ainsi que son épouse, de 1945 à 1967 dans cette petite commune de l'Aisne. (239)
Le comte d'Hespel : fit batir le château de Coisne, de style Louis XIII, au milieu du XVIIIe siècle. (102)
Le comte d'Hespel : fit bâtir l'ancienne église et la chapelle funéraire familiale vers le milieu du XIXe siècle et fut un donateur exemplaire pour le village. (163)
Edmond Lestarquit : maire du village au début du XXe siècle, il était propriétaire de la chicorée Lestarquit de La Bassée. (128)
Emile Dubois : maire, conseiller général, député du Nord, sénateur, il participa après la Seconde Guerre mondiale à l'ouverture et la modernisation du village. (166)
Saint Druon est né vers 1118 à Epinoy Carvin (Pas-de-Calais), de riches parents possédant d'immenses domaines. Son père décède avant sa naissance et sa mère perd la vie en lui donnant le jour. Arrivé à l'adolescence, Druon s'enfuit du château familial, rompt tous liens avec sa classe aristocratique et, afin de faire pénitence, s'engage comme gardien de troupeau de moutons. Epris d'un grand amour de solitude et d'humilité, Druon se dépouille de tous ses biens, prend son bâton de pèlerin et part au hasard au gré de la providence. Ses pas le conduisent à Sebourg où il se met au service d'une dame du village, Elisabeth Le Haire. Il mène la vie de berger toute sa jeunesse et son adolescence. Considérant ensuite que seul le pape peut l'absoudre de ce qu'il regardait comme le meurtre de sa mère, il fait neuf fois le pèlerinage à Rome, sans jamais pouvoir rencontrer le souverain pontife. (916)
Druon avait, dit-on, un don d'ubiquité. Et lorsqu'on demandait à un vieux paysan d'exécuter un travail important, il lui arrivait de répondre: «Je n'sus mie Saint Druon, je n'pus point sonner à l'messe et être à l'procession ». (237)
Fatigué par ces longs voyages, atteint d'une affreuse hernie qui le condamne à l'immobilité presque totale, il revient à Sebourg. Il passera le reste de ses jours dans une étroite cellule en planches adossée à l'église d'où il peut, dans la mortification, adorer l'Eucharistie. (286)
Au cours de cette réclusion, Druon échappa miraculeusement à un incendie qui réduisit en cendres l'église de Sebourg. A cette époque les églises étaient en bois avec des toits en chaume. (194)
Saint Druon mourut le mardi de Pâques 16 avril 1186 entouré de la vénération générale. Aussitôt, par droit de naissance, sa famille revendique le corps, qui est placé sur un chariot pour être ramené à Epinoy. Mais à mesure que le convoi s'éloigne du village, la charge s'appesantit de plus en plus et, à la montée d'une petite hauteur à la limite de Sebourg, malgré tous les efforts de ses escorteurs, l'attelage refuse d'aller plus loin. Druon, pense-t-on, manifeste ainsi son désir de rester à Sebourg. Il y est ramené et inhumé au milieu de l'église dans l'allégresse générale. Des milliers de pèlerins venant de partout envahissent le village et l'église pour l'honorer et le remercier d'être resté à Sebourg. (744)
Une croix perpétue toujours le souvenir de l'endroit où s'arrêta le cortège (en direction de Curgies, au lieu dit « le taillendier » sur la route en section pavée du CD87. Pendant plusieurs siècles (jusqu'au 17ième ) ce lieu-dit a été appelé: « Mont-Joie ». (271)
LE RAYONNEMENT NATIONAL DE SAINT DRUON (38)
Les compétences de Druon dans l'art de gérer les troupeaux firent sa réputation au-delà des frontières du Hainaut. Il devint le fondateur d'écoles de pasteurs en Flandres puis en Champagne où l'élevage était très florissant. Saint Druon enseignait aux bergers comment protéger le bétail des maladies ou se débarrasser des hannetons dont les nuées dévastatrices détruisaient la végétation et agaçaient les bêtes. Il leur montra que des murs de bottes de paille attiraient les « bruants » le soir. Il suffisait alors, à la nuit tombante, d'enflammer et de brûler ainsi les insectes dévastateurs. (618)
Les Vies de Saint Druon rédigées par les historiens au cours des siècles (elles sont au nombre de quatorze) nous indiquent qu'il est aussi le saint de Duisans, de Vis en Artois, de Clary et de Oisy-le-Verger dans le Cambrésis, de Cambrai (église et Faubourg Saint Druon), de Condé sur Aisne, de Roucourt (près de Douai). Il eut des fidèles à Cottenchy (Somme) où l'on pouvait voir dans une chapelle, près d'une statue du saint en costume de berger, un reliquaire en forme de bras et des « calculs » suspendus comme ex-votos car on l'invoquait pour la pierre, la gravelle, les hernies, les maladies des intestins. (625)
A Warmeriville (MARNE), sur la voie romaine Reims-Cologne, une chapelle en pleine campagne, et elles sont rares en cette région, est dédiée à Saint Druon. (159)
Monsieur Lefrancq, conservateur honoraire de la bibliothèque de Valenciennes, a signalé le souvenir du saint conservé dans une oraison à Mende (Lozère). (157)
La grande popularité de Druon s'explique par l'importance du petit bétail pour les gens de la campagne, d'où leur hantise des épizooties, cause de famine et de misère. (A cette époque il n'y avait ni insecticide, ni vaccin, ni vétérinaire). (249)
La vénération qui entoure le saint dès avant sa mort s'est enrichie et embellie au cours des siècles. Le texte de Jacques De Guyse, le plus ancien qui nous soit parvenu sur lui, est déjà tout rempli de merveilleux. Depuis lors, les habitants du Hainaut, de l'Artois, du Cambrésis, des Flandres et de la Picardie continuent d'honorer ce saint familier qu'ils ont canonisé. (379)
LE CULTE DE SAINT DRUON A SEBOURG (34)
Chaque année, Saint Druon est honoré par un pèlerinage le dimanche de la Trinité (dimanche suivant la Pentecôte). La Messe est suivie d'une procession au cours de laquelle une bannière et une châsse renfermant les reliques du saint sont portées par les membres des confréries de Carvin et Sebourg. La procession est accompagnée de la fanfare communale, des communiants de l'année et de petits bergers et bergères. Elle mène à la chapelle élevée en l'honneur du saint, à l'endroit où, dit-on, Druon faisait paître ses moutons. On peut trouver à l'église de Sebourg des objets de piété de Saint Druon. La Sacristie renferme une relique symbole de paix, et des restes d'un bras se trouvent dans une petite châsse sous l'autel. (747)
* Guislain de Haynin, sgr du Broeucq (à Seclin) : 1° sgr de Seclin (après la période des moines), descendant des deux sœurs Jeanne et de Marguerite de Constantinople, indépendamment ainsi que de dix autres comtes de Flandres ; il s'est distingué en repoussant définitivement les Gueux, avec l'aide des habitants de Seclin, Gondecourt et Houplin. (353)
* Wilmo du Riez (du Riou) né à Seclin en 1210 (1210/1250) : Vassal de la Comtesse de Flandre Jeanne de Constantinople (124)
* Pierre Mourmant : auteur du livre Le Calcul graphique des circuits en série-parallèle (Éditions Chiron) (article manquant)
* Léon Richet est un peintre, né à Solesmes en 1838 et décédé à Paris en 1907. (94)
* Henri Dufrenelle, Comte de Bousies. Citoyen d'honneur de Solesmes. (68)
* François Nicolas Cheri Delsarte, musicien et danseur, né en 1811 et mort en 1871, oncle de Georges Bizet, créateur entre autres de l'Arlésienne. (150)
Le village de Taisnières-sur-Hon possède une union musicale qui participe aux manifestations officielles et assure plusieurs prestations dans les communes avoisinantes. (170)
Yvon Desreux est vice-président de la Communauté d'Agglomération Valenciennes Métropole, du Syndicat des Eaux du Nord (SIDEN), du SIVOM de Trith Saint Léger. (162)
* Candelier Roland décédé le 1er janvier 2009 ancien entrepreneur de bâtiment ,ancien conseiller municipal ,ancien président et fondateur de l'équipe de football (167)
<!--ci-dessous beaucoup de répétitions de choses déjà écrites plus haut--> (85)
* Philippe de Kessel, constructeur du château de Wattignies terminé en 1640 sous Louis XIII, qui fit venir à Wattignies un jeune paysagiste, Le Nôtre, pour lui passer sa première grande commande consistant à dessiner le jardin de son château. Le Nôtre parvint à convaincre le seigneur de Wattignies de la justesse de ces choix et put exprimer pour la première fois toutes ses idées de volumes en dégradé autour des tapis verts. La réalisation de Wattignies lui permit de recevoir d'autres commandes plus importantes encore (Vaux-le-Vicomte) qui, in fine, le menèrent à Versailles vers 1650. (620)
*Duc de Marlborough (celui de la chanson), commandant des forces anglo autrichiennes (prince Eugène), qui établit son quartier général au château de Lannoy au nord est de Lille (propriété des Lannoy). Face a la tentative des Français venus du sud pour faire lever le blocus, Marlborough établit son commandement à Wattignies, point central de son dispositif de défense au sud de Lille où se déroula la bataille. Il s'installa très probablement au château de Wattignies, propriété des Kessel. (551)
*Charles de Lannoy, dernier seigneur de Wattignies, député des états de Flandres aux états généraux de Versailles en 1788/1789, mort en 1792. Charles de Lannoy, enterré à Wattignies, avait hérité du château de Wattignies en 1746. Il était le descendant du grand Charles de Lannoy, conseiller de l'empereur Charles Quint, vainqueur de François 1er à Pavie (1525) et chevalier de l'ordre de la Toison d'or, ordre de chevalerie européen créé par Philippe le Bon. Le député des Flandres était secondé par le baron du Change, habitant le château blanc de Noyelles-lès-Seclin. Les Lannoy avaient une branche protestante et trois d'entre eux partirent aux États-Unis au 17e siècle, dont l'un parmi les pèlerins du Mayflower. La famille du président Delano Roosevelt considère descendre des Lannoy protestants des Flandres, le nom de Lannoy ayant perdu la dernière voyelle. (1040)
* Cardinal Decourtray (1923-1994), primat des Gaules, académicien français. (105)
*Alain Decaux, ancien ministre, historien réputé en France, auteur de nombreux ouvrages de référence, a passé son enfance à Wattignies chez sa grand-mère dans les années 1920 et se souvient parfaitement du château de Wattignies qui fut sa première initiation à l'histoire de France. (303)
