Utilisateur:Catherine Tourangeau/Brouillon/Regroupement des citoyennes pour la souveraineté

Regroupement des citoyennes pour la souveraineté modifier

Le Regroupement de citoyennes pour la souveraineté (RCS) est un organisme national de promotion de la souveraineté du Québec mis sur pied dans la foulée de la campagne référendaire de 1995. Le RCS s'inscrit plus spécifiquement dans le prolongement de l'Opération porte-voix, une grande tournée des femmes du Québec organisée par les Partenaires pour la souveraineté quelques semaines avant le scrutin.

La mobilisation des femmes dans la campagne référendaire de 1995 modifier

Alors que la campagne de 1980 n'avait était témoin d'aucune mobilisation concertée des femmes souverainistes, la campagne de 1995 voit dès ses débuts un certain engagement des femmes. Notamment au sein des Partenaires pour la souveraineté.

Les Partenaires pour la souveraineté modifier

Les Partenaires pour la souveraineté sont une coalition fondée en 1995 en prévision du référendum sur la souveraineté du Québec promis par le gouvernement de Jacques Parizeau. Cette coalition comprenait des organismes nationaux représentant plus d’un million de Québécois, y compris les trois principales centrales syndicales, les grandes associations étudiantes et diverses organisations culturelles ou communautaires.

La mission des Partenaires pour la souveraineté était de faire la promotion de l’option souverainiste au sein de la société civile, et ce, à l’extérieur des structures traditionnelles de la politique partisane. Cette coalition s'était donné une plateforme commune, résolument progressiste, dans les domaines de l'économie, de l'éducation, des politiques sociales, des relations internationales, de la citoyenneté, de la culture et des droits et libertés.

L'Opération porte-voix modifier

« c'est dans la foulée de la campagne référendaire de 1995 que s'est mis sur pied le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté, un groupe de femmes qui se donne comme but de faire la promotion de la souveraineté. Durant la campagne référendaire de 1995, une cinquantaine de femmes du Regroupement effectuent une tournée du Québec en autobus. L'opération est baptisée « Opération porte-voix ». Dans un bilan de la mobilisation, Nicole Boudreau, porte-parole de l'événement, tirait certaines conclusions de l'expérience. Selon elle, les femmes s'intéressent à la souveraineté, seulement elles ne perçoivent pas la souveraineté comme une fin mais comme un moyen d'améliorer les conditions de vie de la population. Le projet de souveraineté que les femmes appuient comprend l'égalité des sexes, des programmes sociaux, la garantie des libertés fondamentales, le développement durable dans le respect de l'environnement et le partage des richesses. Enfin, toujours selon Nicole Boudreau, les femmes sont plus sensibles au discours souverainiste lorsque celui-ci est porté par des femmes et qu'il reflète leurs préoccupations.[1] »

La période post-référendaire modifier

Des événements de mobilisation des femmes souverainistes sont organisés à Québec et en Estrie en 1997 et 1998, mais ce n'est qu'en 1999 que le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté s'est formellement constitué, en lien avec le plan d'action présenté par le Mouvement national des Québécoises et des Québécois[2].

L'événement De souveraineté et d'espoir (19 octobre 1997) modifier

L'année qui suit le référendum, le groupe travaille à l'organisation de l'événement « De souveraineté et d'espoir ». En 1997, 250 femmes viennent débattre de la place des femmes dans l'histoire du mouvement nationaliste au Québec à l'occasion de la tenue de cet événement[1].

« Le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté du Québec tiendra le dimanche 19 octobre, au Centre d'arts Orford en Estrie, un déjeuner-rencontre ayant comme thème De souveraineté et de mémoire. Le groupe, fondé en 1996, en sera à la deuxième d'une série de quatre événements décentralisé (sic) qui cumulera par la tenue d'un forum sur les femmes et la souveraineté. Pour le 19 octobre, environ 200 participantes sont attendues. Pour information, on contacte Nicole Boudreau, au (514) 521-7751 ou Louise Paquet (819) 563-1600 »[3].

Point tournant: l'événement De souveraineté et d'espoir se tient à Orford le 19 octobre 1997. Une initiative du Regroupement des citoyennes pour la souveraineté, il réunit environ 250 militantes souverainistes pour échanger sur le thème de « souveraineté et mémoire ». Devant le constat que la place des femmes est typiquement occultée de l'histoire du mouvement nationaliste du Québec, le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté annonce son intention de remobiliser les femmes souverainistes « afin qu'elles soient partie prenante du débat sur l'avenir du Québec et que le discours souverainiste en tienne compte »[4].

« Dressant un bilan critique de la place des femmes dans les luttes pour l'émancipation politique du Québec, quelque 250 militantes souverainistes ont convenu hier de poursuivre leur action politique. Réunies à Orford à l'initiative du Regroupement des citoyennes pour la souveraineté, les participantes ont échangé sur le thème de 'souveraineté et mémoire'. Elles ont notamment fait le constat que les analyses des femmes disparaissaient trop souvent devant les impératifs économiques. Le Regroupement travaillera donc à remobiliser les femmes souverainistes afin qu'elles soient partie prenante du débat sur l'avenir du Québec et que le discours souverainiste en tienne compte. Il s'agissait de la deuxième rencontre organisée par le Regroupement, qui en prévoit une troisième à Québec, au printemps prochain. Cette série d'événements débouchera sur un Forum national sur les femmes et la souveraineté, qui réunira à Trois-Rivières plus de 1000 femmes de toutes les régions du Québec.[5]»

** Collaboration avec d'autres organisations de la société civile, à commencer par le MNQ et les diverses branches régionales de la Société nationale des Québécoises et Québécois (SNQ).

Événements de mobilisation, mise sur pied de cellules régionales et bilan modifier

Le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté se constitue formellement en 1999[1].

Le 20 février 2000, le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) entame une nouvelle campagne de promotion de la souveraineté. Campagne annoncée lors d'une conférence de presse donnée par la présidente du MNQ, Louise Paquet, aux côtés de l'homme politique Yves Michaud et de l'écrivain Jean-Claude Germain. Cette campagne, rapporte la journaliste Caroline Montpetit, comporte plusieurs volets: 1) vise les femmes 2) vise les jeunes du collégial 3) campagne publicitaire 4) conférences données par des souverainistes convaincus[6]. Le volet qui s'intéresse aux femmes est le produit d'une collaboration avec le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté. Louise Paquet: « Les femmes sont plus frileuses à l'idée de la souveraineté. Ce peut être parce qu'il n'y a pas assez de porte-parole féminins. Les femmes sont plus sensibles quand ce sont des femmes qui leur parlent. Aussi, le fait que les femmes ont eu le droit de vote plus tard que les hommes, a peut-être pour conséquence qu'elles s'intéressent moins à la politique ».

Des événements sont prévus à travers le Québec: ont pour objectif d'établir un réseau de cellules régionales de femmes souverainistes. Chercheuses doivent aussi livrer le fruit de leurs travaux sur la place des femmes dans le projet de souveraineté.

Au cours du printemps 2000, l'organisation fraîchement constituée organise donc des événements de mobilisation dans six régions du Québec: le Centre-du-Québec, l'Est-du-Québec, les Hautes-Laurentides, Lanaudière, la Mauricie et l'Outaouais[1]. S'y retrouvent en moyenne une cinquantaine de militantes des sociétés nationales, du PQ, des syndicats ou du milieu communautaires. Membrariat totalisant environ 300 femmes.

Sujets abordés: liens entre féminisme et question nationale; rapports entre société civile et partis politiques; l'indépendance comme projet de société ou comme société de projets.

Exemple d'événement de mobilisation:

1) forum sur les femmes et la souveraineté de Hull: « Environ 70 femmes ont participé au forum Femmes et souveraineté, qui était organisé hier, à Hull, par la Société des Québécoises et des Québécois de l’Outaouais (SNQO). Les participantes, issues de différentes nationalités, ont participé à différentes conférences et tables rondes. […] La réunion a débouché sur l’engagement ferme d’une poignée de participantes à mettre sur pied une section régionale du Regroupement des citoyennes pour la souveraineté.[7]»

2) 13 mai 2000 = journée rencontre de mobilisation pour les femmes de Lanaudière: « Dans le cadre du plan d’action pour la promotion de la souveraineté, la Société nationale des Québécoises et Québécois (SNQ) de Lanaudière, en collaboration avec le Mouvement national des Québécoises et Québécois, organise une journée non partisane pour les femmes de Lanaudière le samedi 13 mai prochain au cours de laquelle les participantes pourront échanger sur le sujet. […][8]

= occasion privilégiée pour les femmes de « discuter de leur avenir dans celui du Québec, d’exprimer leurs attentes, de rajeunir les discours et les idées » (Claire J. Poliquin, présidente de la SNQ Lanaudière)

Centaine de femmes attendues, dont Gisèle Tremblay du Regroupement des citoyennes pour la souveraineté et Josée Néron, juriste et consultante en droits et libertés; coût événement 5$. + performance de la chanteuse et monologuiste Anne Dansereau[8].

Journée de mobilisation au Centre St-Jean-Bosco de Saint-Charles-Borromée, dans Lanaudière; les femmes de la région y sont convoquées par la Société nationale des Québécoises et Québécois de Lanaudière afin de « donner l'occasion aux femmes de partager la vision de la place qu'elles veulent occuper dans l'avenir du Québec. Elles auront l'occasion de partager leur point de vue personnel ou celui de groupe qu'elles représentent et de prendre part à la formation d'une cellule Lanaudoise (sic) qui pourrait se joindre au Regroupement des citoyennes pour la souveraineté ». À l'horaire: moments de discussion et de divertissement, ainsi que la participation d'invitées spéciales comme Josée Néron, juriste et consultante en droits et libertés; Anne Dansereau, artiste, et Gisèle Tremblay du RCS[9].

Résultat? À l'occasion d'une rencontre nationale de coordination organisée à Orford en novembre 2000, les membres du RCS constatent un certain essoufflement au sein des forces souverainistes. La mobilisation est difficile et inégale d'une région à l'autre; des divergences importantes persistent quant aux attentes de militantes vis-à-vis de la souveraineté.

Une période de réorientation: 2001-2002 modifier

Travail sur le contenu:

- élaboration de principes directeurs

- ébauche d'une plate-forme

- envoi d'un bulletin d'information

- réunions du CA + comité exécutif

Aussi: production d'une vidéo destinée aux femmes grâce à l'appui de Linda Goupil, ministre de la Justice la Condition féminine du cabinet de Lucien Bouchard. Cette dernière facilite l'octroi de fonds discrétionnaires de la part de plusieurs ministres du gouvernement du PQ au RCS.

+ prises de position en lien avec l'actualité

Prise de position à l'occasion du Sommet des Amériques (2001) modifier

« Le MNQ de même que d’autres groupes souverainistes dénoncent l’exclusion du gouvernement du Québec et de la société civile de la table des négociations du Sommet des Amériques, et ils invitent leurs sympathisants à aller manifester à Québec, samedi. […] L’action nationale et le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté « refusent que le gouvernement fédéral parle de langue et de diversité culturelle sur des tribunes internationales, ‘alors qu’il ne reconnaît même pas la nation québécoise’. […] Les groupes souhaitent aussi qu’une place soit faite à des représentants de la société civile dans les négociations et le suivi du sommet. »[10]

« Nous trouvons inacceptable que le gouvernement du Canada négocie en notre nom dans des domaines qui relèvent, selon sa propre Constitution, de nos compétences, soit la culture, l’éducation, l’environnement et le travail », a expliqué Louise Paquet, président du MNQ. »

MNQ + SSJBM, IPSO, Génération Québec, L’Action nationale et le RCS « refusent que le gouvernement fédérale parle de langue et de diversité culturelle sur des tribunes internationales, ‘alors qu’il ne reconnaît même pas la nation québécoise’. Y voient une nouvelle démonstration de la nécessité de la souveraineté.

Louise Paquet : « Les intérêts sociaux, culturels, environnementaux sont tellement importants que nous ne pouvons laisser les grandes entreprises dicter les choix de nos gouvernements ».

Invitation à manifester à Québec : sur le thème « Chez nous sans nous? Inacceptable! »[11]

Prise de position à l'occasion du 20e anniversaire de la Loi constitutionnelle de 1982 modifier

Le 16 avril 2002, le gouvernement péquiste de Bernard Landry présente un projet de motion devant l'Assemblée nationale visant à souligner le 20e anniversaire de la nouvelle Constitution canadienne. En réaction à ce projet de motion, que le gouvernement espère voir appuyé à l'unanimité, 14 organismes de la société civile unissent leurs voix pour condamner la Constitution de 1982, adoptée sans la signature du Québec[12]. Ce regroupement circonstanciel inclut, à quelques exceptions près, les syndicats et les organismes qui avaient formé le regroupement des Partenaires de la souveraineté qui avait milité pour l'option souverainiste lors du référendum de 1995[13]. Dans leur déclaration commune, publiée dans plusieurs grands médias québécois, les contestataires dénoncent l'article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés, qui réduit les pouvoirs du Québec en matière de langue d'enseignement, notamment. Soulignant « les dommages causés à la politique linguistique québécoise » par l'enchâssement de la Charte dans la Constitution de 1982, la déclaration dénonce « la mise en tutelle par les tribunaux de notre Assemblée nationale et la subordination de notre législation linguistique aux opinions de juges nommés par le premier ministre du Canada »[13].

Louise Paquet, présidente du Mouvement national des Québécoises et Québécois et du Regroupement des citoyennes pour la souveraineté, signe cette lettre commune aux côtés, notamment, de Donia Loignon, président de l'Association québécoise des professeures et professeurs de français (AQFP), Monique Richard de la CSQ, Marc Laviolette de la CSN, Jennie Skene de la FIIQ, Henri Massé de la Fédération des travailleurs du Québec, et Guy Bouthillier de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal[14].

Le Regroupement des citoyennes pour la souveraineté aujourd'hui modifier

Le Regroupement finance quelques projets du Réseau femmes, féministes indépendantistes (REFFI), devenu le Réseau des citoyennes pour l'indépendance qui fait partie de OUI-Québec.

Un premier « Conseil de la souveraineté du Québec » est fondé peu avant la tenue du référendum de 1995 par l'ex-ministre péquiste Yves Duhaime et par Louise Laurin. Avait mené des campagnes publicitaires dans les mois précédent le référendum. Était par la suite disparu avant de renaître à l'initiative de Bernard Landry en 2002. La présidence du Conseil de la souveraineté avait alors été confiée à Gérald Larose[15].

Déjà au printemps 2003, l'ancienne ministre péquiste Lise Payette lance un appel au rassemblement des forces souverainistes au sein de la société civile et à l'écart des réseaux partisans. Dans une lettre ouverte publiée dans La Presse du 10 mai 2003, elle prône la création d'un comité de citoyens apolitique unis par le seul projet de la souveraineté du Québec[16].

Marche pour l'indépendance le 29 octobre 2011: rassemble plusieurs groupes souverainistes à Montréal. Organisée par l'ancien ministre péquiste et coordonnateur de l'organisme « Cap sur l'indépendance » Gilbert Paquette. Veut que la manifestation soit « unitaire, non partisane et pacifique ». « Cap sur l'indépendance » s'inscrit dans le projet de créer une campagne citoyenne permanente pour l'indépendance du Québec. Lancé à l'occasion de la Journée nationale des patriotes au mois de mai. Regroupe 22 organisations incluant les Jeunes Patriotes, le Réseau de résistance du Québécois, les Aînés pour la souveraineté et le Conseil de la souveraineté du Québec[17].

États généraux sur la souveraineté en 2012, coordonnés par Gérald Larose, président du Conseil de la souveraineté[18]: « Les états généraux sur la souveraineté lancés hier s'échelonneront sur plusieurs mois. Il s'agit d'une démarche citoyenne non partisane qui visera à identifier les raisons qui motivent les souverainistes à vouloir un pays pour le Québec et les actions à poser. » Prennent la forme d'une grande tournée du Québec; commissaires sont l'artiste Sébastien Ricard, le professeur de philosophie Danic Parenteau, les anciens sous-ministres Renaud Lapierre et Michelle Bussières, la conseillère municipale de Rivière-du-Loup Amélie Dionne et l'organisatrice communautaire Yasmina Drissi. La comédienne Tania Kontoyanni agit comme porte-parole. « Depuis trois ou quatre ans, plusieurs groupes ont formulé à leur manière le souhait qu'on tienne au Québec des états généraux sur la souveraineté, sur l'avenir, sur le projet du Québec ». C'est finalement P. Marois, chef du PQ, qui avait demandé au Conseil de la souveraineté de créer le groupe de travail en août 2012. États généraux s'inscrivent dans un ensemble de démarches de réflexions. Des représentants de QS, PQ, ON, BQ, Nouveau mouvement pour le Québec et IPSO sont présents au lancement des états généraux[18]. Tournée de rencontres de consultation pour la commission nationale des États généraux sur la souveraineté du Québec prend fin à Sherbrooke en janvier 2013. Un bilan des mémoires et des réflexions citoyennes recueillis au cours de la consultation citoyenne est prévu pour le mois.d'avril, à Québec. Un rapport sera par la suite livré. Rencontres de consultation citoyennes sont la première phase des États généraux; deuxième phase prévue, mais actions concrètes sont à déterminer[19].

En septembre 2014 se tient le Rassemblement citoyen pour l'indépendance du Québec, à Montréal; à l'occasion, Gilbert Paquette, président du Conseil de la souveraineté du Québec, un organisme fondé peu avant la tenue du référendum de 1995 par l'ex-ministre péquiste Yves Duhaime et la militante Louise Laurin, annonce que le Conseil change de nom pour devenir les Organisations unies pour l'indépendance du Québec, le OUI-Québec[20].

Références modifier

  1. a b c et d Chantal Maillé, « Le mouvement des femmes au Québec: histoire et actualité », dans Québec: État et Société, Tome 2, sous la direction de Alain-G. Gagnon (Montréal: Les Éditions Québec/Amérique, 2003), pp. 339-340.
  2. Chantal Maillé, « Le Conseil du statut de la femme, un laboratoire d'idées au service de la promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes au Québec », Bulletin d'histoire politique, vol. 28, no. 1 (automne 2019), pp. 43-62.
  3. « De souveraineté et de mémoire », La Tribune, 18 octobre 1997, Cahier 1, p. 11.
  4. Chantal Maillé, « Le mouvement des femmes au Québec: histoire et actualité », dans Québec: État et Société, Tome 2, sous la direction de Alain-G. Gagnon (Montréal: Les Éditions Québec/Amérique, 2003), p. 387; « Militantes souverainistes », Le Devoir, 20 octobre 1997, p. A2.
  5. « Les femmes souverainistes vont chercher à remobiliser les troupes », La Tribune, 20 octobre 1997, Cahier D, p. 8; « Militantes souverainistes », Le Devoir, 20 octobre 1997, Cahier A, p. 2.
  6. Caroline Montpetit, « Le MNQ lance une campagne de promotion de la souveraineté », Le Devoir, 21 février 2000, p. A3.
  7. « Une section régionale féminine pour la souveraineté », Le Droit, 3 avril 2000, p. 6
  8. a et b Sylvain Poisson, « Journée rencontre de mobilisation pour les femmes lanaudoises. Campagne de promotion de la souveraineté », L'artisan, 3 mai 2000, p. 9.
  9. « Journée de mobilisation des femmes de Lanaudière », La Revue, 3 mai 2000, Cahier A, p. 22.
  10. « Appel à manifester », Le Soleil, 17 avril 2002, p. A4.
  11. Marie-Claude Girard, « Le mouvement souverainiste invite ses sympathisants à manifester à Québec », La Presse, 17 avril 2001, p. A4.
  12. « Cette constitution n'est pas la nôtre », La Tribune, 17 avril 2002, p. A10; « Cette constitution n'est pas la nôtre », Le Devoir, 18 avril 2022, p. A7.
  13. a et b Benoît Dutrisac, « Le 'coup de force' de 1982. Le Québec fait-il toujours bloc? », Le Devoir, 17 avril 2002, Cahier A, p. 1 et 10.
  14. « Cette constitution n'est pas la nôtre », Le Devoir, 18 avril 2002, Cahier A, p. 7.
  15. Amélie Desmarais, « Référendum de 1995: les gens d'ici se souviennent », sur Ici Radio-Canada, (consulté le )
  16. Lise Payette, « Cul-de-sac », La Presse, 10 mai 2003, p. A19.
  17. « Une marche pour l'indépendance le 29 octobre », Le Devoir, 11 octobre 2011, p. A2.
  18. a et b Mélissa Guillemette, « Les états généraux sur la souveraineté sont lancés », Le Devoir, 5 mars 2012, p. A2.
  19. Sarah Saïdi, « États généraux sur la souveraineté. Les rencontres de consultation prennent fin à Sherbrooke », La Tribune, 21 janvier 2013, p. A7.
  20. « Le Conseil de la souveraineté change de nom », Ici Radio-Canada Info, 21 septembre 2014 https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/685593/conseil-souverainete-oui-quebec