Utilisateur:HaT59/Brouillon2
Un peu fourre-tout, mais surtout politique…
Numéro deux du gouvernement français modifier
Numéro deux du gouvernement français | |
Titulaire actuel Bruno Le Maire depuis le | |
Création | |
---|---|
Mandant | Président de la République |
Premier titulaire | André Malraux |
modifier |
Le terme numéro deux (no 2) du gouvernement français est utilisé afin de désigner le ministre venant immédiatement après le Premier ministre dans la composition du gouvernement.
Il est parfois chargé de l'intérim de celui-ci pendant ses périodes d’indisponibilité, sans toutefois que les textes encadrent ce cas.
Tout au long de la Cinquième République, le numéro deux du gouvernement a occupé systématiquement un ministère important dans le programme du gouvernement, ou un ministère régalien.
Le titulaire actuel est le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, depuis le .
Rôle et fonctionnement modifier
Bien qu'il ne s'agisse pas d’une fonction officielle d'un point de vue constitutionnel, l’expression de « numéro deux du gouvernement » est largement reprise dans la sphère politique et dans la presse (comme c’est le cas, par exemple, pour la conjointe du président de la République qui est plus communément appelée « Première dame de France »).
Dans certains pays, c’est l’appellation de « Vice-Premier ministre » qui est utilisée pour caractériser un ministre comme étant le numéro deux du gouvernement ; ce peut être une fonction, comme en Allemagne, ou un titre honorifique, comme au Royaume-Uni.
En France, cette appellation n’existe pas, mais il existe le statut de « ministre d’État » ; il peut toutefois y avoir plusieurs ministres d’État dans un même gouvernement, distingués formellement par leur rang protocolaire et informellement par l’importance politique donnée à leur portefeuille.
Deux numéros deux du gouvernement, Lionel Jospin et Jack Lang, ont assuré temporairement la charge de Premier ministre par intérim, respectivement en 1989 et 1992[1],[2],[3].
Le secteur d’activité du numéro deux du gouvernement français reflète les thèmes centraux de l’activité gouvernementale ou l’importance accordée à un portefeuille. En 2006, le Pacte écologique signé par le candidat et futur président Nicolas Sarkozy, prévoyait la création d’un poste de vice-Premier ministre chargé du Développement durable, poste qui ne fut finalement pas créé en tant que tel, mais sous la forme d’un poste de ministre d’État. En 2010, le fondateur du Pacte écologique Nicolas Hulot, réitère sa proposition de création d’un poste de vice-Premier ministre, proposition qui est une nouvelle fois refusée[4].
Dans l’histoire de la Cinquième République, quatre femmes ont exercé cette fonction. Quatre ministres l’ont été à deux périodes différentes. Quatre anciens Premiers ministres sont devenus par la suite numéro deux, et trois numéros deux sont devenus par la suite Premier ministre.
Liste des numéros deux des gouvernements français de la Cinquième République modifier
Notes et références modifier
- « Intérim du Premier ministre ou d'un ministre », sur Légifrance.
- « Décret du 14 décembre 1989 », sur Légifrance (consulté le ).
- « Décret du 31 octobre 1992 », sur Légifrance (consulté le ).
- « Sarkozy hésite encore… Hulot veut un Vice-Premier ministre chargé du Développement durable… », sur 20 minutes, .
- « Alain Juppé, un numéro 2 à la Défense », Libération, (lire en ligne).
- « Laurent Fabius, numéro deux du gouvernement », Le Point, (lire en ligne).
- « Jean-Marc Ayrault, la revanche », sur Europe 1, .
- « Gérard Collomb, la consécration d'un fidèle de Macron », Le Figaro, (lire en ligne).
- « Avec le remaniement, Rugy devient numéro deux du gouvernement », sur BFM TV, .
Articles connexes modifier
Jacques Chirac modifier
Mort, réactions et hommages modifier
Sa santé continue de se détériorer au fil des années. En , Jean-Louis Debré indique qu’il ne reconnaît plus ses proches et qu’il ne parle plus[1],[2]. Il meurt à Paris, à son domicile du 4, rue de Tournon, le à 7 h 45, à l'âge de 86 ans[3],[4]. Sa famille annonce que l'ancien président « s'est éteint au milieu des siens, paisiblement »[5].
Les anciens présidents Valéry Giscard d'Estaing, Nicolas Sarkozy et François Hollande ainsi que de nombreux élus et responsables politiques de tous bords lui rendent hommage, de même que de nombreuses personnalités politiques étrangères[6],[7]. Une minute de silence est observée à l'Assemblée nationale et au Sénat le jour de sa mort[8], ainsi qu'aux Nations unies. Un deuil national est déclaré en France le et une minute de silence est observée dans les administrations et les écoles ce jour-là à 15 heures[9]. Plusieurs hommages lui sont également rendus en Corrèze[10], où un hommage officiel, à la demande de la famille et du département, se tient le [11].
La ville de Paris, dont il a été maire pendant 18 ans, et l'administrateur de la Tour Eiffel décident d'éteindre les lumières de l'édifice au soir de sa mort[12]. Fait inédit après la disparition d’un président de la République, le vestibule d’honneur du palais de l'Élysée est ouvert le même soir ; dans cet espace, un recueil de condoléances est mis à disposition du public[13], une heure après une intervention télévisée d’Emmanuel Macron, qui déclare que « le président Chirac incarna une certaine idée de la France » et « était un grand Français, libre, […] amoureux taiseux de notre culture »[14].
Des réactions plus nuancées voire critiques se font cependant entendre. À l’extrême gauche, plusieurs personnalités critiquent sa politique économique et sociale ou son discours sur « le bruit et l'odeur » des immigrés[15]. Des médias, surtout étrangers, indiquent que les hommages sont davantage adressés à sa personnalité et à son époque qu’à son « maigre » bilan politique[16],[17],[18]. Le journaliste d'investigation Edwy Plenel insiste sur la condamnation judiciaire de l'ancien président[19].
Le , un hommage populaire lui est rendu aux Invalides, où le cercueil de l'ancien président recouvert du drapeau français est exposé pour que le public puisse venir se recueillir[20]. Le lendemain, une première cérémonie privée est organisée à 9 h 30 à la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, en présence de 200 personnes[21]. Les honneurs funèbres militaires lui sont ensuite rendus dans la Cour d'honneur des Invalides en présence du président Emmanuel Macron[21]. À midi, un hommage solennel a lieu dans l’église Saint-Sulpice de Paris où le cercueil de Jacques Chirac, enveloppé du drapeau tricolore et porté par ses anciens officiers de sécurité à l’Élysée, remonte la nef au son du Requiem de Gabriel Fauré en présence de 1 900 invités, dont 80 dignitaires étrangers[22], parmi lesquels le président russe Vladimir Poutine, le prince Albert II de Monaco, le président italien Sergio Mattarella, le président de la République du Congo Denis Sassou-Nguesso ou encore le roi de Jordanie Abdallah II[23]. Les anciens dirigeants américain Bill Clinton, chilienne Michelle Bachelet ou sénégalais Abdou Diouf sont également présents[23].
Jacques Chirac est ensuite inhumé au cimetière du Montparnasse (Paris 14e) auprès de sa fille Laurence[24].
Notes et références modifier
- « Jacques Chirac ne se reconnaît plus : les confidences inquiétantes de son ami Jean-Louis Debré », sur Femme Actuelle (consulté le ).
- « Jacques Chirac : « Je ne sais pas s'il me reconnaît », confie Jean-Louis Debré », sur Le Point, (consulté le ).
- « Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans, annonce sa famille », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- Serge Raffy, « Jacques Chirac, un destin », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
- « L'ancien président Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- « Larcher : « Jacques Chirac aura incarné l’âme de la France » », sur Public Sénat, (consulté le ).
- « Décès de Chirac: pluie d'hommages et tristesse », sur tdg.ch/ (consulté le ).
- « Une minute de silence à l’Assemblée et au Sénat pour Jacques Chirac », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Comment va se dérouler l'hommage à Jacques Chirac ? », sur FIGARO,
- Centre France, « Adieu - La Corrèze "orpheline" rend hommage à Jacques Chirac ce lundi à l'hôtel Marbot à Tulle », sur www.lamontagne.fr, (consulté le ).
- « Jacques Chirac : Journée d'hommage ce samedi 5 octobre en Corrèze », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Mort de Jacques Chirac : la tour Eiffel s'éteindra à partir de 21 heures, en hommage à l'ancien président », sur Franceinfo, (consulté le )
- Par R. Bx Le 26 septembre 2019 à 19h45 et Modifié Le 26 Septembre 2019 À 21h26, « Mort de Jacques Chirac : l’Elysée ouvre ses portes aux Français pour les condoléances », sur leparisien.fr, (consulté le )
- Par Cyril Simon et Vincent GautierLe 26 septembre 2019 à 12h18 et Modifié Le 26 Septembre 2019 À 22h42, « DIRECT. Mort de Jacques Chirac : des funérailles nationales la semaine prochaine », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « "Politicien bourgeois", "héritage bien maigre"... Ces quelques voix discordantes après la mort de Jacques Chirac », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
- Raphaëlle Bacqué, « Mort de Jacques Chirac, frère, père ou grand-père de toutes les générations », sur lemonde.fr, .
- « Jacques Chirac, miroir des contradictions françaises », sur lemonde.fr, .
- Gaël Lombart, « Mort de Chirac : la presse internationale loue le leader, pas son bilan », sur leparisien.fr, .
- « Tout le monde n’a pas rendu un hommage ému à Jacques Chirac », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
- "Comment se préparent les obsèques de Jacques Chirac" par Sophie Lebrun, lavie.fr, 28 septembre 2019.
- Benoît Floc'h, Béatrice Gurrey et Solenn de Royer, « Adieux intimes et offices solennels pour un dernier hommage à Jacques Chirac », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Obsèques de Jacques Chirac : arrivée de nombreuses personnalités à l'église Saint-Sulpice », sur France 24 (consulté le ).
- "La longue liste des personnalités présentes aux obsèques de Jacques Chirac", L'Obs, 30 septembre 2019.
- « Jacques Chirac sera inhumé au cimetière du Montparnasse auprès de sa fille Laurence », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
Pandémie de Covid-19 modifier
Graphique établi à partir des données du gouvernement.
- Morts
- Cas soignés
- Cas actifs
Quiero Volver Tour modifier
Album promu | Quiero Volver |
---|---|
Date de début | à Buenos Aires, Argentine |
Pays visités |
Allemagne Argentine Belgique Chili Colombie Espagne France Italie Mexique Paraguay Pays-Bas Uruguay |
Site web | www.tinistoessel.com |
Tournées par Martina Stoessel
Quiero Volver Tour est la deuxième tournée de la chanteuse argentine Martina Stoessel. Elle débute le au Luna Park, à Buenos Aires[1]. Durant cette tournée, elle présente son deuxième album, Quiero Volver, et reprend également des titres de son premier album, Tini. Elle chante aussi des remixes auxquels elle a participé, comme La Cintura d’Álvaro Soler ou Lo Malo d’Aitana et Ana Guerra.
Déroulement modifier
Après sa représentation au Luna Park, elle enchaîne d’autres dates, dans d’autres villes d’Argentine et au Chili[2],[3],[4]. La tournée se poursuit à Montevideo, à Salta, à Tucumán et à Neuquén[5],[6],[7].
La date à Tucumán a été doublée en raison de la forte demande[8], deux dates sont ajoutées à Córdoba pour les et , de même que deux dates supplémentaires, les et , au Luna Park[9],[10]. Elle annonce, via les réseaux sociaux, qu’elle donnera une représentation à Mexico, le au Pepsi Center WTC[11].
Plus tard, la chanteuse partage d’autres dates en Argentine comme à Córdoba, mais aussi une date au Pérou, le à Lima[12],[13]. Elle se produit aussi à San Salvador de Jujuy, devant plus de 10 000 personnes[14].
Sur Twitter, Martina Stoessel fait savoir que, pour la première fois, le Quiero Volver Tour passera en Colombie et au Paraguay[15],[16]. Le , elle partage les premières dates européennes de la tournée, en France, en Belgique, en Italie, aux Pays-Bas et en Allemagne[17],[18].
La tournée se poursuit ensuite en Argentine au Movistar Arena (es), le , devant plus de 11 000 personnes, et au Luna Park, les 28 et , ainsi que les 3 et [19],[20].
Sa tournée passe également dans des festivals comme celui de la Villa María, le , en Argentine et le festival Únicos, en Espagne, le , ainsi que dans des programmes à but bénéfique, comme Un Sol para los Chicos (es) le [21].
En , Martina Stoessel suspend sa tournée en Europe en raison de la pandémie de Covid-19[22].
Premières parties et invités modifier
- : Aitana, MYA, Ruggero Pasquarelli et Cali y El Dandee (es)[1].
- : Sebastián Yatra[23].
- : Greeicy Rendón, Camila Gallardo (es) et MYA[24].
- : Jorge Blanco et Toco Para Vos (es)[25].
Notes et références modifier
- (es) « Así fue el show de Tini Stoessel en el Luna Park », sur www.clarin.com, (consulté le ).
- (es) « Tini llega a Mendoza con “Quiero volver tour” », sur www.viapais.com, (consulté le ).
- (es) « Llega a Rosario Tini Stoessel con su esperado “Quiero volver tour” », sur www.elciudadanoweb.com, (consulté le ).
- (es) « Así fue el regreso de Tini Stoessel a los escenarios nacionales », sur www.adnradio.cl, (consulté le ).
- (es) « Quiero Volver Tour », sur www.teatroprovincial.gob.ar (consulté le ).
- (es) « Tini presenta su tour “Quiero volver” el 7 de septiembre en el Antel Arena », sur m.subrayado.com.uy (consulté le ).
- (es) « Salen a la venta las entradas para Tini en Neuquén », sur www.rionegro.com.ar (consulté le ).
- (es) « Sorpresa y agradecimiento : Tini Stoessel suma una fecha en Tucumán », sur www.eltucumano.com (consulté le ).
- (es) « TINI regresa al Luna Park con el ‘Quiero Volver Tour’ », sur www.billboard.com.ar, (consulté le ).
- (es) « TINI Quiero volver Tour | 18 y 26/10/2019 », sur www.lunapark.com.ar (consulté le ).
- (es) « Tini “Quiero Volver Tour” », sur m.ticketmaster.com.mx (consulté le ).
- « TINI - QUIERO VOLVER TOUR », sur portal.autoentrada.com (consulté le ).
- « TINI - QUIERO VOLVER TOUR PLAZA ARENA JOCKEY - SANTIAGO DE SURCO - LIMA 8/11/2019 », sur teleticket.com.pe (consulté le ).
- « Tini vuelve a la Argentina con todo ¡La está rompiendo en Jujuy! », sur www.abcdiario.com.ar (consulté le ).
- « TINI », sur www.entradasamarillas.com (consulté le ).
- « Tini Stoessel dará un concierto en Paraguay en diciembre », sur Última Hora (consulté le ).
- (de) « Tini auf Tour: Hier kannst du sie sehen! », sur www.bravo.de (consulté le ).
- (it) « Martina Stoessel annuncia tre concerti in Italia nel 2020 », sur www.notiziemusica.it (consulté le ).
- (es) « Los 5 mejores momentos de Tini Stoessel en la inauguración del Movistar Arena », sur La Nación (consulté le ).
- (es) « TINI Quiero volver Tour | 29/11/2019, 03 y 05/12/2019 », sur www.lunapark.com.ar (consulté le ).
- (es) « Con Tini Stoessel, Jimena Barón y Luciano Pereyra arrancó una nueva edición de “Un sol para los chicos” », sur viapais.com.ar (consulté le ).
- (es) « Tini Stoessel suspendió su gira en Europa por el coronavirus », sur infobae.com, (consulté le ).
- (es) « Villa María 2019 : cómo fue la noche de Tini, Pablo Alborán y Sebastián Yatra », sur vos.lavoz.com.ar (consulté le ).
- (es) « Tini Stoessel declara su amor a Chile : “Es un país que siempre me ha abierto las puertas” », sur 24 Horas (consulté le ).
- (es) « Tini Stoessel promete hacer estallar mañana el Antel Arena con su nuevo show », sur www.tvshow.com.uy (consulté le ).
Élections municipales de 2020 à La Réunion modifier
| ||||||||||||||
Élections municipales de 2020 à La Réunion | ||||||||||||||
(1er tour) (2d tour) |
||||||||||||||
Type d’élection | Élections municipales | |||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Corps électoral et résultats | ||||||||||||||
Population | 853 659 | |||||||||||||
Inscrits | 655 938 | |||||||||||||
Votants | 330 090 | |||||||||||||
50,32 % | ||||||||||||||
Votes exprimés | 315 947 | |||||||||||||
Votes nuls | 14 143 | |||||||||||||
Divers droite | ||||||||||||||
Voix | 94 960 | |||||||||||||
30,06 % | ||||||||||||||
Divers gauche | ||||||||||||||
Voix | 62 539 | |||||||||||||
19,79 % | ||||||||||||||
Divers centre | ||||||||||||||
Voix | 48 042 | |||||||||||||
15,21 % | ||||||||||||||
Union de la gauche | ||||||||||||||
Voix | 37 210 | |||||||||||||
11,78 % | ||||||||||||||
Les Républicains | ||||||||||||||
Voix | 24 129 | |||||||||||||
7,64 % | ||||||||||||||
Divers | ||||||||||||||
Voix | 19 686 | |||||||||||||
6,23 % | ||||||||||||||
Carte des communes de La Réunion | ||||||||||||||
modifier - modifier le code - voir Wikidata |
Listes | Premier tour | Second tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | |||
Divers droite | DVD | 94 960 | 30,06 | |||
Divers gauche | DVG | 62 539 | 19,79 | |||
Divers centre | DVC | 48 042 | 15,21 | |||
Union de la gauche | UG | 37 210 | 11,78 | |||
Les Républicains | LR | 24 129 | 7,64 | |||
Divers | DIV | 19 686 | 6,23 | |||
Parti communiste français | PCF | 12 160 | 3,85 | |||
Union des démocrates et indépendants | UDI | 5 767 | 1,83 | |||
Divers écologiste | ECO | 3 131 | 0,99 | |||
La France insoumise | LFI | 2 301 | 0,73 | |||
Rassemblement national | RN | 1 727 | 0,55 | |||
Parti socialiste | PS | 1 712 | 0,54 | |||
Gilets jaunes | GJ | 1 404 | 0,44 | |||
Mouvement démocrate | MoDem | 456 | 0,14 | |||
La République en marche | LREM | 422 | 0,13 | |||
Divers extrême gauche | EXG | 301 | 0,10 | |||
Votes blancs et nuls | 14 143 | 4,29 | ||||
Total | 330 090 | 100 | 100 |
- Le classement correspond aux nuances établies par le ministère de l'Intérieur.
- « Résultat élections municipales 2020 La Réunion », sur ouest-france.fr (consulté le ).
Henry Lémery modifier
Résultats électoraux modifier
Élections législatives modifier
Date | Circonscription | Voix | % | Issue | |
---|---|---|---|---|---|
1906 | [1] | 1re de la Martinique | 4 968 | 47,9 | Battu |
1909 | [2] | 2e du 12e arr. de Paris | 8 | 0,1 | Battu |
1914 | [3] | 1re de la Martinique | 6 868 | 67,7 | Élu |
1919 | [4] | Martinique[a] | 7 867 | 25,0 | Ballottage |
[5] | 13 499 | 20,6 | Battu |
Élections sénatoriales modifier
Date | Circonscription | Voix | % | Issue | |
---|---|---|---|---|---|
1920 | [6] | Martinique | 196 | 63,8 | Élu |
1924 | [7] | Martinique | 135 | 49,8 | Battu |
[8] | Martinique | 147 | 54,4 | Élu | |
1932 | [9] | Martinique | 155 | 52,2 | Élu |
- Circonscription unique.
- « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
- « Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris », sur gallica.bnf.fr, .
- « Résultats électoraux des élections législatives des 26 avril et 10 mai 1914 » [PDF], sur archives.assemblee-nationale.fr.
- « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
- « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
- « Séance du 22 janvier 1920 » [PDF], sur senat.fr.
- « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
- « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
- « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
Primaire citoyenne à Marseille modifier
Année | Parti | 1er tour | 2d tour | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Adversaires | Voix | % | Issue | Adversaire | |||
2013[1] | PS | 5 151 | 25,3 | 1re | 10 044 | 42,8 | Battue | Patrick Mennucci |
- « Résultats : Marseille », sur resultats.lesprimairescitoyennes.fr, (version du sur Internet Archive).
Synthèse des résultats électoraux modifier
Présidence du Sénat modifier
Date | Premier tour | Deuxième tour | Troisième tour | |||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Issue | Voix | % | Rang | Issue | Voix | % | Rang | Issue | |
[1] | 118 | 38,2 | 1er | Ballottage | 125 | 39,4 | 1er | Ballottage | 189 | 66,8 | 1er | Élu |
[2] | 201 | 65,7 | 1er | Élu | ||||||||
[3] | 191 | 62,0 | 1re | Élu |
Élections sénatoriales modifier
Année | Circonscription | Premier tour | Second tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Issue | Voix | % | Rang | Issue | ||
1986[4] | Vosges | 982 | 77,8 | 1er | Élu | ||||
1995[5] | 585 | 48,4 | 1er | Ballottage | 633 | 53,2 | 1er | Élu | |
2004[6] | 710 | 59,5 | 1er | Élu |
- « Compte rendu de la séance du 1er octobre 1998 », sur senat.fr.
- « Compte rendu de la séance du 1er octobre 2001 », sur senat.fr.
- « Compte rendu de la séance du 1er octobre 2004 », sur senat.fr.
- « Résultats des sénatoriales de 1986 : Vosges », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Résultats des sénatoriales de 1995 : Vosges », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Résultats des élections sénatoriales 2004 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).