Utilisateur:LE HENRY/Brouillon

Radio Zénith
Description de l'image Logo Radio Zénith.jpg.
Présentation
Pays Drapeau de la France France
Siège social 33 ROUTE DE VERRIÈRES - 10450 BREVIANDES
Propriétaire Luc Le Henry
Langue Français
Statut Radio privée de Catégorie B
Site web www.radio-zenith.com.com
Historique
Création
Diffusion hertzienne
AM  Non
FM  Oui (106.8 MHz à Troyes
RDS  Oui (Zénith + affichage du titre en cours et à suivre)
DAB+  Non
Satellite  Non
Diffusion câble et Internet
Câble  Non
IPTV  Oui
Streaming  Oui
Podcasting  Oui

Radio Zénith est une station de radio locale de catégorie B diffusant son programme principalement dans le département de l'Aube.

 Historique

modifier

La radio libre (1981-1983)

modifier

Revenant des États-Unis où il fit des études de commerce, Jean-Paul Baudecroux profite de l'élection de François Mitterrand en 1981 pour créer sa radio libre. Il est alors question de libéraliser les ondes et Baudecroux y voit l'occasion d'en faire une affaire rentable, bien que la publicité soit à cette époque interdite sur les nouvelles radios FM.

Après l'idée d'une radio pour les femmes, Baudecroux opte finalement pour une radio musicale pour les jeunes, et fonde ainsi NRJ (pour Nouvelle Radio des Jeunes). Il installe ses studios dans un petit appartement situé au dernier étage d'un immeuble près des Buttes Chaumont devant l'entrée du métro Télégraphe dans le XXe arrondissement, endroit de haute altitude, stratégique pour y monter son antenne et couvrir ainsi tout Paris sur 92,0 MHz.

NRJ, au statut associatif, comme toutes les radios libres avant 1984, est dirigée jusqu'à l'arrivée de la pub sur les ondes de la FM (1984) par Jean-Pierre d'Amico. Les animateurs sont bénévoles. Dès le début, NRJ entend se démarquer de ses concurrentes. Pour cela, elle concentre ses efforts sur deux points essentiels : la qualité du son et la programmation musicale. Alors que beaucoup de ses concurrentes ne sont audibles que dans certains quartiers de la capitale française, NRJ réussit à arroser une large zone. De plus, les disques diffusés à l'antenne doivent impérativement être approuvés par Jean Pierre d'Amico - cela permet d'avoir une homogénéité de programme.

Grâce à cette stratégie, NRJ devient l'une des radios libres parisiennes les plus populaires, aux côtés de Radio show et RFM. Si la publicité est officiellement interdite, la radio ne manque pas de détourner la loi, en diffusant notamment de la publicité clandestine.

L'institutionnalisation (1984)

modifier

Ce n'est qu'après l'officialisation de la publicité sur la bande FM (1984) que NRJ se structure en prenant des bureaux au 39 de l'avenue d'Iéna. C'est à ce moment-là que Jean Paul Baudrecroux apparaît réellement et reprend les commandes du navire, il décide de se séparer de Jean Pierre d'Amico. Les animateurs bénévoles, qui comprennent que la radio commence à faire du chiffre d'affaires, ne tardent pas à réclamer un salaire (une journée de grève a même lieu, avec messages à l'antenne). Cela devient encore plus légitime à partir de l'été 1984 où François Mitterrand autorise la publicité sur les radios FM : NRJ quitte alors son statut associatif pour devenir une véritable entreprise commerciale. Les animateurs commencent à recevoir un salaire et plusieurs d'entre eux sont renouvelés. Un avocat, Max Guazzini, devient directeur général de la station.

En NRJ, ainsi que cinq autres radios parisiennes (95.2 dirigée par Benoit Clair et Robert Namias, Radio Libertaire, la Voix du Lézard, Radio Solidarité et TSF 93), sont suspendues le 4 décembre par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle car elles ne respectent pas leurs conditions d'émission. NRJ, la plus touchée par cette mesure et la plus écoutée (1,2 million d'auditeurs), écope d'un mois d'arrêt ; 95.2 a quinze jours de suspension, et les quatre autres ont en moyenne douze jours de suspension. Il y a deux motifs : un non-respect des fréquences et surtout une puissance d'émission excessive qui perturberait notamment les liaisons radios des pompiers et des avions, selon la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, qui dit frapper d'abord les radios les plus écoutées car elles seraient celles qui enfreignent le plus les règles, et pour éviter qu'on l'accuse de s'attaquer d'abord aux petites radios. NRJ est notamment accusée d'émettre avec une puissance démesurée (au-delà des 500 W autorisés, ce qui brouille France Culture et France Musique). Jean-Paul Baudecroux s'étonne depuis trois ans et demi que les radios libres émettent, ces mesures de suspension, jugées aujourd'hui indispensables, n'aient pas été mises en œuvre plus tôt. Malgré la suspension des radios, les émissions continuent. NRJ organise alors une grande manifestation : à l'aide d'une agence de publicité et de plusieurs stars dont Dalida, elle appelle ses auditeurs à descendre dans la rue. La manifestation est un énorme succès, rend encore plus populaire NRJ et contraint le pouvoir à suspendre ses sanctions.

Expansion et professionnalisation (1985-2002)

modifier

Forte de son succès (elle est donnée première de toutes les radios libres à Paris), la radio finit par quitter ses minuscules studios pour un vaste appartement au 39 avenue d'Iéna, dans le 16e arrondissement. Au milieu des années 1990, elle déménagera une nouvelle fois au 22 rue Boileau.

NRJ est l'une des premières radios à se constituer un réseau de radios locales franchisées NRJ en France. Bien que la diffusion par satellite soit encore inexistante (chaque radio réalisant ses propres programmes), elle permet de faire connaître la marque NRJ au reste de la France.

Le , coup de théâtre : sept stations franchisées NRJ (Nancy, Montpellier, Bordeaux, Carcassonne, Toulouse, et Grenoble) quittent soudainement le réseau pour créer le leur : le réseau Fun Radio. Cette sécession, dirigée par Éric Péchadre et Pierre Lattès, deux cadres d'NRJ, ainsi que par Jean-Baptiste Blanchemain, propriétaire et directeur d'NRJ Montpellier, fait prendre conscience à la direction qu'il lui faut protéger son réseau. Désormais, elle s'assurera plus efficacement de la fidélité de ses radios. De plus, elle s'intéresse de plus en plus à leur ligne éditoriale : des membres d'NRJ parcourent le pays pour épurer la discothèque des radios des disques un peu trop folkloriques, et impose petit à petit une couleur musicale NRJ.

Vers 1986, la diffusion par satellite s'installe. Les radios locales deviennent des relais du programme national, tout en conservant quelques heures de programme local chaque jour. La diffusion de la publicité à l'échelle nationale devient possible, et la qualité et l'uniformité des programmes au niveau national sont désormais assurées à la direction parisienne.

Ces années 1980 constituent « les grandes années NRJ » dans la mémoire des auditeurs. Elle rassemblent une bande d'animateurs ayant une grande liberté de ton, des habillages spécifiques pour chacun d'eux, des passages d'antenne mémorables entre les animateurs. On citera Marc Scalia et son Starmatch, Thierry Defrene et son Funky Party. Serge Repp, Dominique Duforest (dit « Dodo »), ou encore Mitsou (NRJ) réalisé par Anthony Planes d'ailleurs lors de son retour à l'antenne en 1994 pour les Mitsou nights où le célèbre animateur faisait des directs depuis de nombreuses discothèques parisiennes; Jean-Marc Laurent (qui partira ensuite à la télévision avant de retourner dans le groupe NRJ pour diriger NRJ School de 2006 à 2008), Éric Perrin, journaliste, et même un passage de Daniela Lumbroso. Malgré cette grande liberté de ton, la radio veille à un maximum de professionnalisme.

Au fur et à mesure des années, l'ensemble des radios FM se professionnalise. La concurrence entre réseaux devient de plus en plus forte, les plus faibles disparaissent. NRJ devient elle aussi de plus en plus formatée, ainsi que les animateurs non renouvelés. Le programme musical est de plus en plus dicté par les enquêtes marketing. Parallèlement à ça, NRJ connaît toujours un accroissement de son audience, à mettre au compte également du développement spectaculaire de son réseau, de ses méthodes de communication.

Très tôt, NRJ a tenté de développer un groupe radiophonique. Dès 1987, elle rachète la radio parisienne Gilda pour créer le programme Chérie FM. En 1989, c'est le réseau Pacific FM qui est racheté. Alors que le réseau de province est repris pour diffuser Chérie FM, la fréquence parisienne de Pacific FM sert à créer une troisième radio : Rire et Chansons. Cependant, ce réseau ne pourra être véritablement développé en province qu'à partir de 1996, le CSA ayant jusque-là freiné au maximum le développement des grands groupes radiophoniques. Enfin, NRJ a racheté Nostalgie en 1998, et a tenté vainement de prendre possession de RMC, mais fut empêché par la loi anti-concentration des médias.

En 1991, NRJ entre en bourse. Elle a su s'imposer en prenant compte des besoins des auditeurs, mais aussi grâce à des méthodes commerciales, toujours plus ou moins à la frontière de la loi : diffusion de la publicité avant l'heure, rachat de radios locales pour la constitution de ses réseaux... Elle a aujourd'hui une dimension européenne, ayant réussi à s'implanter en Belgique, Suisse, Autriche, Allemagne, Danemark, Finlande, Suède, Norvège et Liban.

Évolutions et mutations (depuis 2002)

modifier

À la suite de l'intégration des 13-14 ans dans les enquêtes radio de Médiamétrie, NRJ devient première radio de France en audience cumulée en 2002, dépassant RTL qui dominait le classement depuis vingt-deux ans. Cette situation ne dure pas. La révolution numérique de la musique nuit en effet à l'audience de la station. Selon une enquête Médiamétrie de janvier 2010, NRJ aurait rétrogradé à la quatrième place, derrière RTL, France Inter et Europe1, avec un chiffre d'audience inférieur à 10 %[1]. Malgré cette grosse perte d'audience NRJ reste tout de même la radio musicale la plus écoutée en France[2].

Distancée sur le territoire national, la station s'est efforcée d'élargir son marché à l'international. Au cours de ces dernières années, elle s'est notamment implantée :

  • En Russie : Le , Prof Media, l'un des plus importants groupe de médias russe obtient l'autorisation d'exploiter la marque NRJ en Russie. Cette nouvelle radio de Moscou s'adresse essentiellement à la cible des 18-35 ans[3]
  • Au Liban : Depuis le , NRJ lance son programme sur deux fréquences au Liban. Cette station est animée en anglais et elle diffuse des concerts et des interviews d'artistes internationaux produits depuis NRJ France. NRJ collaborait déjà avec le groupe libanais Murr Group depuis 1988 pour le développement de sa station Nostalgie au Liban.
  • Au Québec : Le , Astral et Groupe NRJ ont conclu un accord portant sur l'exploitation de la marque NRJ au Québec. Cet accord permit au groupe canadien de passer son réseau Énergie sous le label NRJ. Le changement de NRJ Québec est effectué le [4]. Le 17 août 2015, Bell Media, qui a racheté Astral Media l’été 2013, met fin à cet accord de licence : le réseau reprend le nom Énergie le 24 août 2015[5].

NRJ ne néglige pas pour autant le numérique. Mi-septembre 2008, quatre nouvelles webradios sont lancées : NRJ Nouveautés, NRJ All French, NRJ Electro, NRJ Tech Le , à l'occasion de la Fête de la musique, la station s'est enrichie de sept nouvelles webradios avec NRJ Friendly qui propose une programmation musicale gay et lesbienne, NRJ Ibiza qui propose les titres qui font danser à Ibiza, NRJ Summer pour une programmation musicale de l'été. Les webradios NRJ Lady Gaga, NRJ DJ'Stars, NRJ Running, NRJ Sessions ont fait aussi leurs apparitions[6]. À cette même date, NRJ lance son application sur iPad, cette application permet d'écouter les 23 webradios, de regarder les quatre web TV musicales, ainsi que de voir ces deux chaînes présente sur la TNT[7].

Le mardi 2 novembre 2010, Davy Serrano, dit « Morgan », ex-directeur des programmes de Fun Radio, prend les rênes de la direction des programmes de NRJ. Il est rejoint par Gaël Sanquer, lui aussi issu de Fun Radio, un mois plus tard.

Le mardi 17 juillet 2012, NRJ redevient la première radio de France avec une audience cumulée de 11,7 %, soit 6 159 000 auditeurs quotidiens, devant RTL. Elle perd cependant cette place en novembre 2012, au profit de RTL, qui la reprend.

Le 11 juillet 2013, NRJ dépasse les 2 millions de fans sur la page Facebook de la radio.

Le mardi 16 juillet 2013, NRJ redevient, une nouvelle fois, la première radio de France avec une audience cumulée de 12,3 %, soit 6 500 000 auditeurs quotidiens, reprenant la place occupée par RTL et ce, un an, jour pour jour, après son dernier record.

Les audiences Médiamétrie confirment une nouvelle fois NRJ première radio de France pendant l'été (juillet et août) avec 5 858 000 auditeurs quotidiens ce qui fait les meilleures audiences d'NRJ pendant l'été.

Le mardi 13 janvier 2015, NRJ redevient une nouvelle fois la première radio de France avec 6 600 000 auditeurs quotidiens. Ainsi qu'en record d'audience pour l'émission C'Cauet entre 19 h et 22 h. Cependant, pour ce programme précisément, le CSA adresse une mise en demeure à NRJ le , dans la mesure où il a constaté de graves manquements aux dispositions relatives au respect de l'image des femmes et à la protection de l'enfance et de l'adolescence, et cela pour les émissions des , et [8].

Identité

modifier

Nom de la radio

modifier

« NRJ » est initialement le sigle de « Nouvelle radio jeune »[9] ou « Nouvelle radio pour les jeunes »[10], devenu l'allographe d'« énergie »[11], lancé le 15 juillet 1981 à 13 heures[12].

Dans les pays non-francophones où elle est implantée, la radio est aussi appelée « Energy »[13] (anglais pour « énergie »), puisque « NRJ » ne se prononce phonétiquement « énergie » qu'en langue française (« NRJ » est « énardjey » en anglais par exemple).

Slogans

modifier
  • En 1981 : « NRJ va, tout va ! »
  • En 1981 : « Le plaisir avant tout »
  • En 1981 : « La radio stéréotonique »
  • De 1981 à 1991 : « La plus belle radio »
  • De 1991 à 1992 : « La musique est une force »
  • Depuis 1997 : « Hit Music Only ! » (« Que des hits sur NRJ ! »)
  • Depuis 2016: « Hit Music Only ! » (« Pop RnB Dance, Ici c'est NRJ ! »)

Dans les jingles, une fausse prononciation anglaise de « NRJ » est fréquemment appliquée (au lieu d'« énergie » on entend « énerdgie », de notation phonétique : /εnødʒi:/), fausse car en anglais, les lettres « R » et « J » sont prononcées différemment (respectivement /a:(r)/ et /dʒei/), ce qui est proche de « énardjey ».

Identité visuelle (logo)

modifier

Équipes

modifier

Direction

modifier

- Luc LE HENRY : Directeur Général Radio Zénith

- Arnaud LEMAIRE : Directeur Général Play Again Radio

- Mévin GRIVAULT : Directeur Adjoint Play Again Radio

- Télio TORTAY : Directeur Adjoint Play Again Radio

Zone de couverture

modifier

Depuis sa création, Radio Latitude diffuse son programme depuis un émetteur libre. Jusqu'en 2000, l'émetteur était implanté au-dessus de ses studios situé Mail des Charmilles à Troyes à 110 m d'altitude avec une antenne d'une hauteur 15 mètres/sol. De 2000 jusqu'en 2010, il était situé au 33 Bd Jules Guesde à Troyes à 110 m d'altitude. Sa puissance est de 1 000 W avec une antenne d'une hauteur 36 mètres/sol9 permet une diffusion dans un rayon de 15 à 25 km autour de la préfecture de l'Aube.

Depuis le 24 avril 2010, la radio bénéficie d'un changement de site de diffusion à Montgueux à 265 m d'altitude avec un émetteur de 300 W détenant une antenne d'une hauteur de 15 mètres/sol10. La radio sera de nouveau autorisée à 1 000 W à partir du 5 novembre 20123. Cette mise à niveau permet à Radio Latitude d'être diffusé dans la quasi-totalité du département de l'Aube sur la même fréquence, ainsi qu'à SézanneConnantreFère-Champenoise, Pleurs et une partie du sud du département de la Marne11.

La station espère désormais obtenir des nouvelles fréquences, notamment à Nogent-sur-Seine et Bar-sur-Aube, et dans les départements limitrophes12.

Audiences

modifier

En 2011, Radio Latitude avait réalisé pour la 4e année consécutive un nouveau record historique d'audience avec 7,4 % de part de marché cumulé, devançant ainsi l'ensemble des stations régionales et locales et plusieurs stations nationalesNote 1,2.

Le 25 juillet 2013, la station a réalisé un nouveau record d'audience avec 14 900 auditeurs par jour13. Le chiffre passe à 19 600 auditeurs par jour selon le dernier sondage Médiamétrie publié le 24 juillet 2014.

Webradios et site internet

modifier

Webradios

modifier

En 2015, Radio Zénith rachète sa première webradio. Du nom de Play Again Radio, elle est consacré aux jeux-vidéos et nouvelles technologies.

Site internet du groupe

modifier

Le groupe NRJ est également propriétaire de la marque Reducavenue.com et a lancé en 2011 un site internet dédié à la proposition de coupons de réduction pour différentes marques[14].


  1. « Médiamétrie - Enquête 126 000 Radio janvier-mars 2010 », sur RadioActu,
  2. « Audiences radio : RTL conforté face à Inter, Europe 1 passe devant NRJ », sur Ozap.com,
  3. « NRJ - De nouvelles implantations internationales », sur RadioActu,
  4. « NRJ - Le groupe s'implante en Amérique du Nord », sur RadioActu,
  5. « NRJ devient ÉNERGIE et dévoile une programmation renouvelée plus stimulante que jamais! », sur bellmedia.ca,
  6. « NRJ lance sept nouvelles webradios ultra-spécialisées », sur Ozap.com,
  7. « NRJ - Lancement de l'appli iPad et création de 7 nouvelles webradios », sur RadioActu,
  8. « "C'Cauet" : NRJ mise en demeure par le CSA », sur www.ozap.com, (consulté le )
  9. (de) Hans-Jürgen Lüsebrink, Klaus Peter Walter, Ute Fendler, Georgette Stefani-Meyer et Christoph Vatter, Französische Kultur- und Medienwissenschaft : eine Einführung, Tübingen, Gunter Narr Verlag, , 261 p. (ISBN 3-8233-4963-5), p. 106
  10. Nicolas Charbonneau et Laurent Guimier, La Ve République pour les Nuls, Éditions Générales First, 2008 (ISBN 978-2-7540-0620-0), p. 207
  11. Les allographes, sur Au domicile des mots dits et écrits.
  12. Daniel Lesueur, « 1981-1983, séisme à la radio : le miracle NRJ », sur Suite101.fr, (consulté le )
  13. (en) Portail international de NRJ
  14. « Reducavenue.com, site du groupe NRJ », sur www.reducavenue.com (consulté le )