Utilisateur:Sara-Athènes-lfhed/Brouillon


Les différents types de morts de soldats au combat modifier

Lors de la Première Guerre mondiale, différentes causes ont engendré la mort des soldats, on compte dans le bilan de l'Armée d'Orient 70 000 tués, dont la majorité sont morts de maladies... L’une des  causes de mort est liée au combat, en raison de différentes sortes de blessures

Ce sont par exemple les blessures à la tête, partie la plus exposée et la plus vulnérable puisqu’elle dépasse des abris et des tranchées. Ces blessures étaient essentiellement dues aux éclats d’obus et au fait que les soldats portaient le képi hérité de la guerre de 1870 qui ne protégeait d’aucune façon. Cela représente 11 à 14% du total des morts. ceux qui ne sont pas décedés de ces blessures au visage formerons les rangs des gueules cassées.

Les blessures aux poumons, en raison des différentes armes chimiques employées, comme le chlore utilisé dès avril 1915 et le gaz moutarde à partir de 1917. La mort des soldat atteints par ces gaz était due à de graves lésions pulmonaires mais également des brûlures de la peau et des yeux.

Les blessures aux membres, bien qu’elles présentent peu de risque de mortalité, provoquent des lésions qui sont dues aux éclats d’obus, aux  balles de mitrailleuses ou aux grenades. Les lésions les plus importantes nécessitent souvent une amputation sans produit anesthésiant . Mais elles restent néanmoins une des cause de mort, quand les plaies sont souillées par des fragments de terre ou des vêtements sales,ce qui provoque la gangrène , notamment la gangrène gazeuse qui avait presque disparu.

Les blessures aux pieds, causées par les conditions de vie dans les tranchées ( hygiène, froid, humidité ,  mauvais usage des bandes molletières trop serrées) sont très rarement mortelles et affectent 1% des combattants.  Elles peuvent aboutir sous sa forme grave au « pied de tranchée » qui provoque une gangrène et une septicémie mortelle.

Enfin, les blessures a l'abdomen, sont les plus mortelles et graves de toutes en cas d’atteinte aux viscères. En raison de conditions qui laissent peu de chance aux soldats blessés de survivre, peu de chance d’évacuation vers des ambulances et une impossibilité pour les médecins de pratiquer rapidement une laparotomie.