Utilisatrice:BeatrixBelibaste/Brouillons/200

  • "[Marie-Guillemine Benoist] figure, en compagnie d'Angélique Mongez et d'autres peintres talentueux comme Jean-Germain Drouais, [Girodet, Gros, Gérard ou Ingres], sur la liste que David a établie de ses trente "élèves qui se sont le plus distingué"" (Lévy 2018, p. 20, citant Reuter, p. 25) - Liste complète sur Liste des élèves de Jacques-Louis David
  • « Nécrologie : Mme Benoist (Emilie Leroux-Laville) », La Pandore : journal des spectacles, des lettres, des arts, des moeurs et des modes, 10 octobre 1826, p. 4 lire en ligne (mention du portrait de Mme Cayla)

Autoportrait copiant le Bélisaire et l’enfant à mi-corps de David, 1786 modifier

  • Ballot, p. 34 et suiv.
  • Cameron, p. 80
  • Levy
  • (À propos de Les Adieux de Psyché à sa famille)"Il s’agit donc d’un record mondial pour une œuvre de l’artiste (...), triplant son dernier meilleur résultat de 114 884 €, pour un Autoportrait copiant le Bélisaire et l’enfant à mi-corps de David, adjugé par Artcurial - Briest - Le Fur - Poulain - F. Tajan OVV, le 12 décembre 2004 à Paris (source Artnet)."[1]
  • "Connue pour ses portraits, Benoist avait de plus hautes aspirations, manifestes dans un autoportrait de ses débuts, où l'artiste, vêtue à l'antique, peint une copie du Bélisaire de David. A la fois portrait et peinture d'histoire, cette oeuvre mêle le style de ses deux maîtres: ombres et lumières douces, couleurs pâles avec des draperies aux plis lourds qui mettent en valeur le corps sous-jacent." (Vivian Cameron, Siefar) - voir l'article de Cameron dans Delia Gaze (éd.), Dictionary of Women Artists (2 vols). Londres et Chicago, Fitzroy Dearborn Publishers, 1997, I, p.244-47.
la tenue "à la grecque"

Apparences, politique et Révolution https://www.cairn.info/revue-annales-historiques-de-la-revolution-francaise-2022-3.htm

costume de scène
passage au costume grec


nombreux autoportraits féminins à l'expo de la Jeunesse de 1786
Bélisaire et l'enfant ou Le Bélisaire
Portrait d'une femme peintre, élève de David (musée Marmottan Monet)

WD - image

Le Capitaine Morden rendant visite à Clarisse Harlowe la veille de sa mort, 1788 modifier

L’Innocence entre le Vice et la Vertu, 1790-1791 modifier

  • Analysé par Vivian Cameron, “Woman as Image and Image-Maker in Paris during the French Revolution” (doctoral thesis, Yale University, 1983), p. 110-112

Les Adieux de Psyché à sa famille, 1791 modifier

  • Cameron, Image, p. 109-110 - description d'un dessin - anticipation de son mariage avec P. V. Benoist
  • Ballot - description dessin, citation Demonstier

Portrait d'une femme noire, 1800 modifier

  • « Madame Benoît, née La Ville-le-Roux, fille d'un sénateur du tems de Napoléon Bonaparte, et femme de M. Benoît , conseiller d'état actuel, directeur général des impôts indirects, madame Benoît, disons-nous, récemment enlevée aux beaux arts qu'elle cultivait en amateur très-distingué, après les avoir jadis exercés en artiste, avait fait, entr'autres ouvrages marquans, le portrait à mi-corps d'une négresse, tableau à l'huile qui a longtems orné la galerie du Luxembourg. Ce portrait, fort ressemblant était celui d'une femme africaine du plus beau noir, qui a longtems servi de modèle aux jeunes artistes dans les premiers ateliers de peinture de Paris. Cette femme, jeune encore, était représentée assise, le corps légèrement penché en arrière, et nu jusqu'à la ceinture , les mains croisées au-dessous de la gorge. Une draperie de mousseline blanche recouvrait les parties inférieures de cette belle négresse, qui était coeffée d'un mouchoir noué à la Créole. »[2]
  • (en) James Smalls, « Slavery is a Woman: ‘Race,’ Gender, and Visuality in Marie Benoist’s Portrait d’une négresse (1800) », Nineteenth-Century Art Worldwide, vol. 3, no 1,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Madame Philippe Panon Desbassayns de Richemont (Jeanne Eglé Mourgue, 1778–1855) et son fils Eugène (1800–1859), 1802 modifier

  • Publié dans L'Illustration, 1923 n°4213 (1er décembre) : Hors-texte remmargés : Portrait de femme (Niklaas Maës) – Têtes de nègres (Watteau) – En concert dans un parc (Lancret) – Au moins soyez discret et Le passe-temps (dessins de Gabriel de Saint-Aubin) – Madame de Richemont et sa fille (David) – Portrait (pastel de Henri Royer). source
  • Reproduction par la maison Braun, 1898 Bibliographie de la France, avec les autres tableaux de l'exposition
  • Copie miniature du tableau, «Portrait de Madame RICHMOND et de son fils Eugène.» Miniature sur ivoire encadrée de laiton ciselé de palmes. 13 x 10,5 cm. Cadre plaqué de loupe d'orme., Vente aux enchères, Fontainebleau, Osenat, 10 Juin 2012, lot 181 - Osenat - Gazette Drouot - catalogue pdf
  • Elizabeth E. Gardner. "David's Portrait of Madame de Richemont and Her Daughter." Metropolitan Museum of Art Bulletin 12 (November 1953), pp. 57–59, ill. pp. 58 and 59 (details of heads) and in color on cover, states that it was sold by Sigismond Bardac to Viscount G. Chabert before 1897. (Jstor)
Copie du Ritz

La Sorcière, 1802 modifier

au Luxembourg avec Portrait d'une femme noire

Portrait du baron Larrey, 1804 modifier

Le Portrait du baron Larrey est un tableau de l'artiste peintre française Marie-Guillemine Benoist, réalisé vers 1804, représentant son beau-frère, le chirurgien militaire Dominique-Jean Larrey. Il est conservé depuis 1896 au musée des Augustins, à Toulouse.


  • Autre copie du portrait de Larrey par Benoist léguée au Louvre en 2019, en dépôt au Musée de l'Armée
  • commentaire sur le portrait de Larrey par Benoist exposé au Salon :
    • "Parmi les peintres de portraits qui ont exposé au Salon, il faut citer en première ligne Robert Lefèvre. [...] Après lui, vient Madame Davin-Mirvault. Le portrait de Bruni est d'une fermeté et d'une vigueur d'expression qui ressemblent plus à la touche d'un peintre d'histoire qu'à la grâce délicate d'un pinceau féminin. Larrey, peint par madame Benoît, a beaucoup des qualités c y-dessus et prouve que Madame Benoît a changé son premier genre pour en prendre un bien préférable, si elle sait se deffendre de tomber dans un autre excès." (Vivant Denon, Notes sur le Salon de l'an XII (adressée à Napoléon], Dupuy/Le Masne de Chermont/Williamson 1999 [Correspondance Denon], vol. 2, Nr AN 24, S. 1261-1264, ici 1264, cité par Eva Knels, Der Salon und die Pariser Kunstszene unter Napoleon I.: Kunstpolitik, Künstlerische Strategien, Internationale Resonanzen, Georg Olms Verlag, 2019, p. 202 et note 119) - Lettre complète en ligne


  • notice musée
  • Ernest Roschach, Catalogue des collections de peintures du musée de Toulouse, Toulouse, 1908 (rééd. 1920), n° 339 Gallica (pas d'attribution)
  • (en) Margaret A. Oppenheimer, « Three Newly Identified Paintings by Marie-Guillelmine Benoist », Metropolitan Museum Journal, vol. 31,‎ , p. 143–150 (ISSN 0077-8958 et 2169-3072, DOI 10.2307/1512977, lire en ligne).
  • (en) Margaret A. Oppenheimer, Women Artists in Paris : 1791-1814 (thèse de doctorat en histoire de l'art), New York, New York University, Institute of Fine Arts, (lire en ligne Accès payant). p. 113-114 et note 35 (entré au musée des Augustins avec une attribution à David)
  • Diane Manguin, Les artistes femmes dans les collections du musée des Augustins de Toulouse (XVIIIe-XXe siècles), vol. 1 (Master de recherche, Histoire de l'art moderne et contemporain, sous la direction de Christian Mange), Toulouse, Université Toulouse - Jean Jaurès, (lire en ligne), p. 225, cat 15 (entrevue avec le conservateur - peinture de Benoist, exposable, mais manque de place)


Barante modifier

Autres modifier

Notes et références modifier