Coux et Bigaroque-Mouzens

commune nouvelle du département de la Dordogne

Coux et Bigaroque-Mouzens
Coux et Bigaroque-Mouzens
Le château de Monsec à Mouzens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède
Maire
Mandat
Jean-Louis Chazelas
2020-2026
Code postal 24220
Code commune 24142
Démographie
Gentilé Couzensois
Population
municipale
1 223 hab. (2021)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 05″ nord, 0° 58′ 22″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 245 m
Superficie 27,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Coux et Bigaroque-Mouzens
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Liens
Site web www.couxetbigaroque-mouzens.fr

Coux et Bigaroque-Mouzens est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Coux-et-Bigaroque et Mouzens.

Géographie modifier

Généralités modifier

La commune nouvelle regroupe les communes de Coux-et-Bigaroque et Mouzens, qui deviennent des communes déléguées le [1]. Son chef-lieu se situe à Coux-et-Bigaroque.

En Périgord noir, dans le quart sud-est du département de la Dordogne, la commune est bordée au sud par la Dordogne.

À l'intersection des routes départementales (RD) 51 et 703, le bourg du Coux, où est implantée la mairie, est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres à l'est-sud-est du Buisson-de-Cadouin et sept kilomètres au sud-ouest de Saint-Cyprien.

Le territoire communal est également desservi par la RD 703E1.

Communes limitrophes modifier

Carte
Carte de Coux et Bigaroque-Mouzens

Coux et Bigaroque-Mouzens est limitrophe de huit autres communes.

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Coux et Bigaroque-Mouzens est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Coux et Bigaroque-Mouzens.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 45 m et 245 m[5].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[7]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[8].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 27,47 km2[9],[Note 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 7 km à vol d'oiseau[15], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[19]. Elle est drainée par la Dordogne, le ruisseau d'Aurival et le Boule, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[20],[21],[Carte 2]

La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[Carte 3],[22]. Elle borde la commune au sud sur près de cinq kilomètres et demi, face à Allas-les-Mines et Berbiguières.

Son affluent de rive droite le ruisseau d'Aurival prend sa source dans le nord de la commune, près du lieu-dit-Fontenelle, et traverse le territoire vers le sud sur plus de quatre kilomètres.

Autre affluent de rive droite de la Dordogne, le Boule prend sa source dans le nord-ouest, en limite de Saint-Chamassy, près de Ladière, et sert de limite territoriale aux deux communes sur plus de deux kilomètres, en trois tronçons.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[23]. Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[24]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [25].

La quasi-intégralité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Seule une infime zone au nord, limitrophe de Campagne, est rattachée au SAGE Vézère-Corrèze.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 4].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Natura 2000 modifier

La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 103 communes riveraines de la Dordogne[Note 3], dont Coux et Bigaroque-Mouzens[26],[27]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[28].

La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes[Note 4], fait également partie du réseau Natura 2000[29],[30]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[29] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros). Sur la commune, elle s'étend sur près de deux kilomètres carrés, en cinq sites séparés, et correspond aux coteaux situés de chaque côté du ruisseau d'Aurival, ainsi qu'au nord des routes départementales 703 et 703E1.

ZNIEFF modifier

Coux et Bigaroque-Mouzens fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[31],[32], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[33].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Coux et Bigaroque-Mouzens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[34],[35],[36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].

Villages, hameaux et lieux-dits modifier

Outre les bourgs de Coux-et-Bigaroque et de Mouzens proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur cet article et celui-ci.

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Coux et Bigaroque-Mouzens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1996, 1999, 2003 et 2008[41],[39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[42],[43].

Coux et Bigaroque-Mouzens est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coux et Bigaroque-Mouzens.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 23,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[49]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[50].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[52].

Toponymie modifier

Histoire modifier

La création de la nouvelle commune, entérinée par l'arrêté du 21 décembre 2015[53], est effective le , entraînant la transformation des deux anciennes communes, Coux-et-Bigaroque et Mouzens, en communes déléguées.

Celles-ci sont supprimées en date du [54].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune de Coux et Bigaroque-Mouzens dépend de l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[55].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Vallée Dordogne[55] et de la 4e circonscription législative[56].

Intercommunalité modifier

À sa création en 2016, elle fait partie de la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède[55].

Administration municipale modifier

Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des deux anciennes communes (quinze pour Coux-et-Bigaroque et onze pour Mouzens, soit un total de vingt-six)[53]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des deux anciennes communes deviennent maires délégués.

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[57]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[58], soit dix-neuf[59].

Communes déléguées modifier

Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Coux-et-Bigaroque
(siège)
24142 CC Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède 19,33 987 (2015) 51


Mouzens 24298 CC Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède 8,14 233 (2015) 29

En date du , les deux communes déléguées de Coux-et-Bigaroque et de Mouzens sont supprimées[54].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
janvier 2016 mai 2020 Michel Rafalovic[60] LR Retraité de l'armée
Président de la CC Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède (2014-2020)
mai 2020[61] En cours Jean-Louis Chazelas   Agriculteur

Équipements et services publics modifier

Justice modifier

Dans le domaine judiciaire, Coux et Bigaroque-Mouzens relève[62] :

Population et société modifier

Démographie modifier

En , le conseil municipal a validé le gentilé « Couzensois » comme nom des habitants de la commune nouvelle[63].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 223 habitants[Note 8], en augmentation de 0,25 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2014 2015 2016 2017 2021
1 2141 2201 2201 2201 223
(Sources : Insee à partir de 2014[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Emploi modifier

En 2016, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[65], les actifs représentaient 524 personnes, soit 43,0 % de la population municipale. Il y avait 59 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 11,3 %.

Établissements modifier

Au , il y avait 120 établissements[66], dont soixante au niveau des commerces, transports ou services, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix-neuf dans la construction, dix relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et huit dans l'industrie[67].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Martin de Coux
  • Église Saint-Jean de Bigaroque. L'église date du XIVe siècle pour le castrum, peut-être par Clément V. L'église est rectangulaire et non voûtée. De nombreuses reprises sont visibles dans les appareils réguliers et les moellonnages de fortune. Le chevet n'est percé que d'une seule baie en plein cintre, aveuglée. Les murs goutterots ont quatre baies brisées reprises en 1890. Le clocher-mur est bercé d'un portail brisé, d'une baie en plein cintre et deux baies campanaires, surmonté d'un petit campanile récent percé d'une baie campanaire. L'autel de pierre du XIIe siècle provient peut-être de l'ancienne église Saint-Blaise qui était dans le castrum et a disparu[68].

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Monique Bourgès Audivert, Nous, de Coux et Bigaroque-Mouzens en Périgord - Histoire des gens et de leur terre, Les éditions du Perce-Oreille, 2022, 400 p.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

o

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
  3. Aux 104 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès et Peyrillac-et-Millac qui, avec Orliaguet, ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 103 communes au total.
  4. Aux 27 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès, Orliaguet et Peyrillac-et-Millac qui ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 25 communes au total.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[51].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. « Carte géologique de Coux et Bigaroque-Mouzens » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de Coux et Bigaroque-Mouzens » sur Géoportail (consulté le 29 mars 2023)..
  3. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 29 mars 2023)..
  4. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).

Références modifier

  1. « Commune de Coux et Bigaroque-Mouzens (24142) », sur le Code officiel géographique de l'Insee (consulté le ).
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Coux et Bigaroque-Mouzens », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  6. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  7. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Coux et Bigaroque-Mouzens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Orthodromie entre Coux et Bigaroque-Mouzens et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  17. « Station Météo-France « Belves » (commune de Pays de Belvès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
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  21. « Fiche communale de Mouzens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
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  23. « SAGE Dordogne amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
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  25. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  27. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher la couche « Fonds Cartographique IGN ». La zone Natura 2000 étant matérialisée par un mince ruban de couleur bistre, la visualiser nécessite d'utiliser le zoom.
  28. Espèces, INPN, consulté le .
  29. a et b [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  30. Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  31. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  32. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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  34. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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