Discussion:Effet de serre/Archive 1

Dernier commentaire : il y a 12 ans par Gesornot dans le sujet Exemples : Mars, Terre, Lune
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remarque générale modifier

La rédaction de cet article est très criticable, dans son ensemble. Pour un sujet de cette importance, c'est dommage. Il mériterait d'être entièrement réécrit par des rédacteurs ayant une bonne culture scientifique. La description de l'effet de serre ("mécanismes de la terre") est indigente. Le reste est à l'avenant. Pourquoi ne pas s'inspirer des bons écrits du CNRS, disponibles sur leur site ? J'ai corrigé quelques erreurs flagrantes, mais ce n'est pas suffisant.

Vérification des conditions d'intervention modifier

Wikipédia se distingue des encyclopédies traditionnelles, qui sont surtout celles du savoir, en étant l'encyclopédie de la connaissance. Autrement dit, au-delà de croire, nous voulons comprendre. Cet article « effet de serre » présente des exemples et non des démonstrations pour s'accréditer concept. Comparaison n'est pas raison. L'exemple de Mars, pour expliquer « l'effet de serre » gagne à être mis en perspective avec ce qui peut être dit parallèlement pour la Terre et pour la Lune. Les trois développements logiques enrichissent l'un l'autre la compréhension globale qui intègre le cas de Vénus. Notre démonstration, n'utilise que des données disponibles dans différentes encyclopédies, en particulier sur Wikipédia.

Si vous ne soustrayez pas ce texte prématurément à la vue des internautes, dans l'esprit de Wikipédia et dans son cadre, il y aura forcément, démarche d'intelligence collective, quelqu'un qui complétera cette justification dans une vision systémique sans contradiction pour la rendre incontestable.

Exemples : Mars, Terre, Lune modifier

Données générales modifier

La Lune n'a pas d'atmosphère et donc pas de gaz à « effet de serre ».

L'atmosphère de Mars contient 95 % de CO2, (Source article « Mars » de Wikipédia). La pression atmosphérique moyenne sur cette planète est de 6 hPa, (Sources encyclopédies : mesures). La pression partielle du CO2 sur Mars est d'environ 6 hPa, [(6 x 0,95), (déduction ➊)].

L'atmosphère de la Terre contient 380 ppm de CO2, (Sources encyclopédies). La pression atmosphérique sur notre planète est de 1013 hPa, (Sources encyclopédies). La pression partielle du CO2 sur la Terre est de 4 hPa, [(1013 x 0,000 380), (déduction ❷)].

Le rayonnement solaire traverse 1,5 fois plus de CO2 sur Mars qu'il ne le fait sur la Terre avant d'arriver au « sol ». L'effet du CO2 sur Mars est équivalent à 570 ppm sur Terre, [(380 x 1,5), (déduction ❸)].

Les puissances des rayonnements et les albédos modifier

La distance moyenne entre le Soleil et Mars, (Dsm), est de 1,52 UA (Unité Astronomique), la distance moyenne entre le Soleil et la Terre, (Dst), est de 1 UA (Sources encyclopédies). La « constante » (ou irradiance) solaire de la planète Mars est de 590 W / m² (Source Wikipédia, article  Mars au début de septembre 2011), quand elle est de 1 360 W / m² sur la Terre. [Sources des encyclopédies, confortées par le calcul du rayonnement sphérique du Soleil suivant la formule : Puissance irradiée x D² = Constante, où D est la distance au Soleil. Ici, 590 x (1,52)² = 1363 x (1)²] Les radiations du soleil ont des longueurs d'onde comprises entre 0,2 et 4 µm. Les ondes de la lumière visible ont des longueurs comprises entre 0,3 et 0,7 µm qui appartiennent entièrement à cet intervalle. L'albédo, pour un corps, est la fraction exprimée en centième de l'énergie lumineuse reçue du Soleil qui est réfléchie ou diffusée par ce corps.

Il est de 0,15 pour Mars, de 0,34 pour la Terre et de 0,07 pour la Lune.

Par rapport à la Terre, sur Mars les rayons du Soleil sont 2 fois moins réfléchis vers l'espace, (déduction ❹). Le rayonnement solaire transfère de l'énergie à la planète Mars avec une puissance de 500 W / m² [(590 W / m² x (1 – 0,15)], (déduction ❺). Le reste, 15 % soient 90 W / m², est réfléchi vers l'espace. C'est pourquoi il est possible de voir Mars depuis la Terre.

Ces 500 W / m² utiles, du flux venant du soleil, le sont à travers un « disque » (projection de la planète Mars sur un plan diamétral, perpendiculaire au rayonnement). Ils se répartissent sur toute la surface du globe de Mars qui tourne sur lui-même en un peu plus d'un jour terrestre. Le rapport de ces 2 surfaces, ΠR² / 4 ΠR², où R est le rayon de la planète Mars, fait que la puissance moyenne directement d'origine solaire qui arrive par m² sur l'atmosphère et atteint le sol de Mars, est de l'ordre de 125 W / m² (500 / 4 : déduction ❻). Quand sur Terre, seuls 170 W /m² arrivent directement jusqu'au sol (les 51 %, [de 340 W/ m²], précisés par l'article «effet de serre» de Wikipédia en octobre 2011). Dans cet article la figure Rayonnement transmis par l'atmosphère de la Terre, présente des courbes d'absorption du CO2 qui sont transposables pour le cas de Mars. Ténue et composée à 95 % de CO2, l'atmosphère de Mars absorbe très peu le rayonnement incident du Soleil (Cf. figure / « radiations solaires vers... »), comme il absorbe peu le rayonnement infrarouge ré-émis, (Cf. figure / « radiations provenant de... »), les 125 W / m² qui contribuent à réchauffer le sol de Mars. Quid du rôle du CO2 ?

Les températures moyennes réelles au sol (Tr) modifier

La température du sol de la Lune est de 125 °C le jour et de – 175 °C la nuit, avec pour température réelle moyenne annoncée Tr = - 18 ° C ou 255 °K. La température moyenne des basses couches de l'atmosphère de la Terre est Tr = 15 °C ou 288 °K. La température moyenne du sol de Mars est considérée en jour / nuit et d'une année martienne à l'autre. Elle serait de – 63 °C [ (273,15 – 63) = 210 K°. Cf. l'article Mars de Wikipédia]. Pour respecter l'équilibre énergétique existant sur la planète Mars, son sol ré-émet, à concurrence de 125 W/ m², des infrarouges lointains, de 4 à 100 μm (rayonnement de corps noir). Avant d'arriver dans l'espace, ils vont rencontrer 1,5 fois plus de CO2 que celui rencontré par les rayons IR ré-émis par le sol terrien.

Ce qui suit est la recherche de l'explication logique de cette différence de 78 °C entre la température moyenne de surface sur Mars : 210 °K et celle sur la Terre : 288 °K.

Loi de Stefan, calcul des températures d'équilibre (Téq) et des puissances modifier

Tous les rayons du Soleil réfléchis ou diffusés, par un corps, une planète, étant retirés, ce corps, cette planète peut alors être considérée comme un corps noir.

La loi de Joseph Stefan modifier

La loi de Stefan lie la température moyenne d'équilibre Téq du corps noir (du sol et non celle réelle Tr mesurée des seules basses couches de l'atmosphère éventuelle) et la puissance ré-émise [P (ré-émise)] par radiation seule (hors réflexion ou albédo),

P (ré-émise) = 5,674 x 10-⁸  Téq⁴  

Calcul des températures d'équilibre (Téq) modifier

Téq⁴ (d'émission) = P (ré-émise) x 10⁸ / 5,674. A partir des puissances calculées (onde sphérique du Soleil, Cf. déduction ), cette loi donne les résultats suivants :

Pour la Lune. modifier

La Lune n'a pas d'atmosphère ni d'eau. La valeur de l'absorption atmosphérique et océanique est nulle. “L'effet de serre” n'existe pas. Elle reçoit, comme la Terre, 1360 W / m² répartis sur toute sa surface donc divisés par 4, soient 340 W / m² sur le sol lunaire, et au niveau de la thermosphère terrestre.

Son albédo est de 0,07, (Cf. Encyclopédies), son sol n'absorbe et ne ré-émet que 316 W / m², [340 (1 – 0,07). C'est plus que les 170 reçus, directement du soleil, au sol par la Terre.]

Téq⁴ (d'émission) = 316 x 10⁸ / 5,674 Téq (d'émission) = 273 °K soit 0°C. Sans albédo (retiré) et sans « effet de serre ».

D'où un 1er problème, la valeur officielle annoncée de la température d'équilibre Téq pour la Lune est – 18 °C, (identique à celle de la Terre : valeur donnée par l'article de Wikipédia d'octobre 2011).

Ce résultat, officiel, n'est pas celui donné par la loi de Stefan : 0°C ou 273°K.

Pour Mars. modifier

Téq⁴ (d'émission) = 125 x 10⁸ / 5,674, [voir ci-dessus P (ré-émise) = 125 W / m² ] Téq = 216,6 °K. Cette valeur est supérieure de 3 % à celle réelle annoncée : 210°K, ou en degrés Celsius : – 56,6 °C pour - 63 °C donné dans l'article “Mars” de Wikipédia et cela avec “l'effet de serre” éventuel du CO2.

D'où un 2ème problème : c'est impossible.

Pour la Terre. modifier

Pour retirer l'albédo, le calcul du rayonnement (du sol) se fait sans atmosphère. Il n'y a alors plus ni “effet de serre”, ni absorption de rayonnement ; de plus l'absence de nuage diminue la valeur de l'albédo global... La Terre et la Lune sont situées à la même distance du Soleil, elles ont un rayon-nement de corps noir, au sol, qui se calcule de façon identique avec des albédos différents. « L'effet de serre », concept de la confusion, fait oublier que par conduction (prélèvement d'énergie) l'air atmosphérique prend plus et rend moins d'énergie au sol, à la mer, à la surface des infrastructures, des bâtiments, des équipements... des êtres et des choses, partout. Chacun a la même expérience de la conduction, avec une donnée plus précise : pour une même température, le froid (ou le frais) réel perçu est plus important par grands vents. Comme l'effet atmosphérique n'est pas indiférent, le calcul de la température d'équilibre, Téq, du corps noir de la Terre n'est pas à notre portée pour l'instant.

Calcul des puissances d'équilibre ou des puissances disponibles modifier

En appliquant la loi de Stefan avec la température réelle mesurée Tr, au lieu de Téq, cela conduit à trouver un potentiel de “puissance de ré-émission en infrarouges” [P(ré-émise +)]. Le sol, étant alors plus chaud qu'à l'équilibre de corps noir, pourrait émettre en infrarouges avec une puissance plus forte.

Vérification à partir de la température Tr (réelle) modifier

Cette vérification à partir de la température Tr (réelle) utilise 

P(ré-émise +) = 5,674 x 10-8 (Tr)⁴ et donne les résultats suivants.

Pour Mars modifier

(nous faisons ainsi l'analyse de la 2ème impossibilité trouvée).

Avec un “effet de serre” éventuel du CO2, la température réelle Tr au sol (qui se communique aux basses couches des gaz atmosphériques : CO2...), ne peut qu'être supérieure à la température Téq du corps noir (Tr > Téq). P (ré-émise +) = 5,674 x 10-⁸ (210)4, P (ré-émise +) = 110 W / m², avec Tr = - 63°C ou 210 °K annoncée, l'énergie au sol serait moindre que la seule puissance solaire incidente : 125 W / m² : nous savions déjà que c'est impossible. Il ne faut pas en conclure hâtivement qu'en dépit de la présence de CO2, il n'y a pas “d'effet de serre”.

Pour la Terre modifier

(le test est moins évident à cause de différents phénomènes imbriqués)

Sans pouvoir retirer à la température réelle Tr le surcroît dû à un éventuel “effet de serre” qui s'ajouterait à “l'effet édredon” de l'atmosphère (qui est un isolant), il est maintenant possible d'appliquer la loi de Joseph Stefan qui lie la puissance ré-émise au niveau du sol par radiations IR, évapo-transpiration, conduction au sol vers les gaz atmosphériques, cela hors réflexion ou albédo, à la température réelle moyenne d'équilibre Tr du sol. ==> P (ré-émise +) = 5,674 x 10-⁸ Tr⁴. Avec Tr = 15°C ou 288 °K, P (ré-émise +) = 5,674 x 10-⁸ (288)⁴ = 390 W / m²,

La puissance totale maximale disponible au niveau du sol de la Terre avec Tr = 15°C (288 °K) est de 390 W / m². (Déduction ❼). La valeur du rayonnement direct du Soleil effectivement absorbé par le “sol” : 170 W / m² est bien inférieure à 390 W / m². Nous retrouvons celle-ci dans des modèles schématiques ci-dessous.

Puissances échangées sur la Terre modifier

Calcul à partir du corps noir modifier

Si Téq = - 18°C ou 255 °K annoncée pour la Terre et la Lune (ce serait aussi la température réelle annoncée Tr = - 18 °C sur la Lune), le calcul du rayonnement infrarouge “théorique de référence au sol” vers l'espace pour la Terre (et celui du corps noir de la Lune) est, dans ce cas, le suivant : P (ré-émise +) = 5,674 x 10-⁸ (255)⁴ = 240 W / m². [Le calcul est fait avec les -18°C (255°K)].

Alors pour la Terre, les 150 W/ m² (390 – 240) représenteraient toute la puissance qui n'est pas ré-émise par des rayonnements infrarouges. Cette puissance serait la contre valeur “énergétique” de l'évapotranspiration (78 W /m² : chaleur latente) à laquelle s'ajouteraient la chaleur sensible des stockages déstockages d'énergie par conduction / absorption, portés par la circulation de convection atmosphérique (28 W /m² ?) et une part de la puissance du rayonnement solaire directement absorbé par l'atmosphère et les nuages (67 W /m²) récupérés par conduction puis transférés au sol par les précipitations. Pour assurer l'équilibre thermique de la planète (342 – 107 = 195 + 40), 235 W / m² devraient être renvoyés dans l'espace par l'émission d'infrarouges produits par les atomes de surface et par des molécules atmosphériques en tant que corps noir in fine. Ceci avec les données des modèles.

Les modèles existant modifier

a) Dans le modèle schématique ci-dessous le rayonnement infrarouge à partir du sol se voit attribuer toute la puissance disponible (390 W / m², Cf. Déduction ), une puissance plus de 2 fois supérieure à celle du rayonnement du Soleil directement absorbée par le “sol” (170 W / m²). Toute la puissance disponible au niveau du sol, ici, rayonne en InfraRouges.

http://www.manicore.com/documentation/serre/physique.html

Pour aller directement au modèle :

http://www.manicore.com/documentation/serre/physique_graph2.gif

Disponible également dans les références pour l'article "gaz à effet de serre" de Wikipédia
 	

Fonctionnement général simplifié de l'atmosphère. Source : “L'avenir climatique”, rédigé par J.M. Jancovici (Seuil mars 2002)

Comme, nous ne disposons au sol que de 390 W / m² (Cf. Déduction ) et non de 492 W / m² (390+78+24), il n'y a plus d'énergie pour produire de surcroît, en particulier, de la vapeur d'eau (78 W / m²) et un réchauffement de l'air (24 W / m²).

Ce schéma n'est pas conforme à la réalité.

Des valeurs de puissances affichées dans le schéma ci-dessus sont erronées.


b) Dans le modèle schématique réduit présenté actuellement dans l'article “effet de serre” de Wikipédia, la puissance qui provient du sol est également 492 W / m², (452 + 40).

 Voir le Schéma ou l'importer ici :

C'est identiquement une mauvaise représentation de la réalité.


Remarque :

Les mesures réparties statistiquement et leur moyenne étant réalisées sur l'année. Quid de la précision < au 1/100ème de W / m² sur certaines valeurs ?

Conclusions modifier

Conclusion pour la planète Mars modifier

Dans l'article “Mars” de Wikipédia la température au niveau du sol – 63°C apparaît inexacte. Le calcul à partir de la loi de Stefan donne 216,6 °K [– 56,5 °C ( 273,15 – 216,6 précisément ? )].

Le sol de Mars, en tant que source chaude et dont la température moyenne de surface est de ordre de – 56 °C (217 °K), ne peut produire par conduction une élévation de la température du CO2 supérieure à - 56 °C. A cette température le CO2 composant à 95 % de l'atmosphère, avec une densité et une énergie cinétique faibles, capte et cède peu les radiations infrarouges dans les basses couches de l'atmosphère martienne. La température moyenne du CO2 de l'atmosphère de Mars est inconnue et impossible à calculer à quelques degrés près, pour l'instant. La quantité de CO2 au m² sur Mars est 1,5 fois celle sur la Terre. La puissance absorbée par le sol de Mars (125 W / m², Cf. Déduction ) représente les 125 / 170ème de celle absorbée par celui de la Terre. Ces seuls 3 points font que l'exemple de Mars, n'accrédite pas le concept de l'“effet de serre” comme pertinent.

Éléments scientifiques sur Mars ; à reprendre pour toutes les planètes à atmosphère modifier

De façon général, hors phénomène local particulier, la température baisse progressivement au fur et à mesure que l'on s'élève dans les couches atmosphériques. L'explication scientifique doit donc mettre en avant les phénomènes qui conduisent à cette décroissance et l'accompagnent. Sur Mars, (comme sur Terre), la circulation par convection, de la puissance énergétique à travers la couverture des gaz atmosphériques n'est pas intégrée dans l'article “effet de serre” de Wikipédia. La température étant réduite, l'énergie cinétique du CO2, l'est aussi. La densité étant faible, les chocs intermoléculaires internes au CO2 et la conduction de l'énergie le sont eux-mêmes. La conductibilité d'une couche de gaz d'épaisseur e, entre deux milieux de températures respectives T1 et T2 , est donnée par une loi du type Q = K (T2 – T1) / e, où K est le coefficient de conductibilité thermique. (Pour l'air, à la pression atmosphérique, K = 0,026 W / m / °C). Pour le CO2, à une pression atmosphérique au sol 166 fois moindre (6/1013ème), K = ?... est très faible. La pression atmosphérique du CO2 devient de plus en plus faibles avec l'altitude. Liées à l'inverse de la distance intermoléculaire, les valeurs de K évoluent comme cette pression. Avec une pression nulle, dans le vide la conductibilité est égale à zéro et K = 0. La chaleur spécifique du CO2 est de 0,23 Wh / kg / ° C (rappel : celle de l'air de 0,28 Wh/ kg / °C). Avec une pression partielle de 6 hPa, les masses concernées sont de 6 grammes de CO2 /cm² soient 60 kg de CO2 au-dessus de chaque m² de Mars. La puissance de 125 W / m², qui est ré-émise, est (statistiquement) simplement freinée en traversant le CO2 sans être renvoyés vers le sol. Elle peut le faire sans avoir réchauffé le CO2 au-delà de la température moyenne calculée du sol martien (- 56 °C). Le CO2 martien est alors un gaz isolé qui ne bénéficie pas de l'effet isolant d'autres gaz atmosphériques : ni de leur capacité calorifique, ni de leur énergie cinétique. Il reste alors à exprimer les situations rencontrées, sur d'autres planètes à atmosphère avec le CO2 et sur la Lune qui est une référence par sa simplicité. Une conclusion s'impose déjà : les atmosphères sont des isolants thermiques, qu'elles soient constituées de gaz dit à “effet de serre” ou non.

La conclusion générale qui s'impose à nous modifier

“L'effet de serre” ignore les transferts d'énergie par convection, par conduction et les apports énergétiques par l'homme. Il n'indique pas les calculs qui permettent à un lecteur de contrôler les jugements a priori et d'ouvrir sa réflexion vers des notions plus systémiques, donc plus encyclopédiques.

“L'effet de serre” est une expression générique qui ne cherche à apporter qu'une justification globale par analogie. Elle s'affranchit du traitement des effets de nombreux phénomènes physiques qu'elle n'explicite pas. Ces phénomènes sont pourtant l'objet de nombreuses lois de la physique.

En affirmant stocker l'énergie par absorption de radiations infrarouges le “gaz à effet de serre” oublie qu'il le fait déjà, comme tous les corps, par sa capacité calorifique suivant des lois connues. Il casse ainsi l'universalité de la vérité scientifique qui doit être “une”, sans contradiction.

“L'effet de serre” est donc une idée, un concept subjectif, une croyance. Il se développe en marge de la science. Pour en faire une connaissance “l'esprit scientifique a parmi de saines habitudes, celle d'être porté à tout réexaminer”.

Utilisateur : Gesornot (d) 11 novembre 2011 à 11:50 (CET)Répondre

Effet de serre et Fondamentaux du dérèglement climatique modifier

Lorsqu'ensemble, nous recherchons la vérité et que nous n'insultons personne, - nous respectons forcément tout le monde, - nous défendons l'intérêt général et, ainsi, chacun des intérêts individuels bien compris.

– Critique pure : raison du doute modifier

« Ce n'est pas parce-qu'un événement A est suivi d'un événement B qu'il y a un lien de cause à effet entre-eux », « ce lien peut être le produit de notre imagination »... Il suffit, par exemple, qu'un événement C soit la cause commune des 2 événements A et B séparément pour justifier notre prudence quant à certaines affirmations.

Vers 1780 cette mise en garde a été précisée de la façon suivante : « Seule une loi universelle [régulièrement vérifiée par le calcul à la manière de Copernic] transforme le rapport de simple succession en celui de cause à effet ».

– Problème du protocole scientifique suivi pour accréditer les « gaz à effet de serre » (GES) modifier

Les relevés de températures effectués depuis 2 siècles, dans les airs, sur les mers et sur les continents, n'ont pas les qualités statistiques pour représenter, en réduction, les différents champs de mesures. Ainsi n'étant qu'un biais de la réalité, ils ne peuvent être utilisés pour établir des moyennes sur des périodes couvrant des centaines de millénaires. Certains scientifiques essaient de réduire cette erreur de méthode en multipliant le nombre de points de mesure depuis quelques décennies.

- La seule courbe de la température moyenne des basses couches de l'atmosphère tracée à partir de ces «moyennes» n'offre ainsi que l'illusion de la précision et de la rigueur scientifique.

- La courbe de la concentration moyenne du CO2 au cours du temps établie à partir d'une dizaine de carottes de glace en 2 régions particulières du globe repose sur de trop nombreuses hypothèses.

- Conclusion modifier

- donc il n'y a pas de courbe fiable, 
- donc il n'y a pas de loi entre le forçage radiatif des «gaz à effet de serre» et leurs concentrations, 
- donc il ne peut y avoir de modèle mathématique.

Si dans les programmes universitaires, comme dans ceux des classes préparatoires, cette loi est inconnue, heureusement d'autres lois abordées dès le lycée sont universellement validées. A défaut d'un objectif et d'une méthode globale, (Si le problème s'avérait mal posé, il ne pourrait recevoir que de mauvaises solutions), voici une série de...

- Questions préparatoires modifier

– Rigueur des arguments ? modifier

Question n°1 modifier
     * Pourquoi le forçage radiatif additionnel annoncé du CO2 ≈ 1 W / m2, correspond-il à l'énergie 
     qui suffit pour élever la température de toute l'atmosphère de 1°C en 4 mois alors qu'il 
     peine à faire la même chose sur les seules basses couches de cette atmosphère 
     en un siècle ?
   
     CALCUL, sous votre contrôle
Forçage radiatif additionnel ou stockage énergétique additionnel de la Terre modifier
     (dû à l’accroissement du taux de concentration du CO2 «Gaz à Effet de Serre (GES)» au 20ème siècle)

* Le forçage radiatif additionnel annoncé est de l'ordre de 1 Watt / mètre carré

* Surface de la Terre (globe) = 510 x 10¹² m² (510 millions de km²)

* Puissance radiative additionnelle terrestre de l'excédent de CO2 = 510 x 10¹² W

* Energie radiative additionnelle (forçage) annuelle : 510 x 10¹² W x 24 (heures) x 365 (jours) ≈ 4 500 000 x10¹² Wh

                  ≈ 4,5 x 10¹⁵ kWh  ①
Masse de l'air atmosphérique modifier
       La pression atmosphérique est environ celle produite par 1 kg d'air sur chaque centimètre carré.
       Il y a autant de kilogrammes d'air dans l'atmosphère que de  cm² de surface terrestre

* Surface de la Terre = 510 x 10¹² m² = 5,1 x 10¹⁸ cm²

* Masse de l'air atmosphérique ≈ 5,1 x 10¹⁸ kg

La chaleur spécifique de l'air est 0,28 Wh / kg / °C = 0,28 x 10-³ kWh / kg / °C modifier
       Il faut une puissance de 0,00028 kilowatt pendant une heure pour élever la température d'un kg 
       d'air de 1 degré centigrade (propriété physique). 
La capacité calorifique de tout l'air atmosphérique (pour 1°C) modifier
       C'est le produit de sa masse par sa chaleur spécifique : 5,1 x 10¹⁸ x 0,28 x 10-³  ≈ 
       	           1,4 x 10¹⁵ kWh ➃
      Des résultats de  ① et ➃ nous déduisons que le forçage radiatif additionnel annoncé 
      de l'excédent de CO2 observé au 20ème siècle ne mettrait que 0,3 année -(4 mois seulement)-
      pour élever la température moyenne de toute l'atmosphère d'un degré centigrade. 
      (1,4 x 10¹⁵  /  4,5 x 10¹⁵  = 0,3 an).
      C'est en contradiction avec l'augmentation mesurée et calculée de 0,6 °C de la température 
       moyenne des seules basses couches de l'atmosphère sur tout un siècle.
      Il y a une impossibilité entre les résultats des calculs à partir des données annoncées 
      et la réalité observée. La différence est énorme de 1 à 300 fois (4 mois à un siècle)
      Où est l'erreur ?
Rappel de la question n°1 modifier
     * Pourquoi le forçage radiatif additionnel annoncé du CO2 ≈ 1 W / m2, correspond-il à l'énergie 
      qui suffit pour élever la température de toute l'atmosphère de 1°C en 4 mois alors qu'il 
      peine à faire la même chose sur les seules basses couches de cette atmosphère 
      en un siècle ?

_______________________________________________________________________________________________________________________


Question n° 2 modifier
  Pourquoi oublie-t-on que 15 ans de toute l'énergie consommée par l'humanité sont suffisants pour 
  élever la température de toute l'atmosphère de 1°C ?

Méthode

   Si nous estimons de façon quantitative l'impact de la consommation des énergies primaires sur 
   l'atmosphère, nous réduirons le nombre de jugements qualitatifs a priori qui conduisent à 
   discuter sans fin (: subjectivité contre subjectivité donc croyance contre croyance).

calcul - pour la 2ème question relative au DEREGLEMENT CLIMATIQUE – sous votre contrôle

Équivalence énergétique modifier

Une Tonne équivalent pétrole (Tep) <==> 11 666 kWh

Énergies primaires (non renouvelables) consommées annuellement dans le Monde modifier

≈ 9 000 MTep, source Agence Internationale de l’Énergie (AIE), soit 0,1 x 10¹⁵ kWh ① (9 000 x 106 x 11 666)

Capacité calorifique de l'air atmosphérique modifier
        1,4 x 10¹⁵ kWh ➃        (Voir le calcul effectué pour la question n°1).
Déduction modifier
     Des résultats de  ① et ➃ nous trouvons que les énergies primaires consommées annuellement 
     élèveraient la température moyenne de toute l'atmosphère d'un degré centigrade en 14 ans  
     (1,4 x 10¹⁵ / 0,1 x 10¹⁵ = 14 ans).


Commentaire et 1ère explication modifier

Compte tenu des pertes thermiques (d'énergie) vers l'espace, ce résultat est cohérent avec l'augmentation de 0,6°C des seules basses couches de l'atmosphère en 100 ans.

Les basses couches de l'atmosphère sont celles dans lesquelles se situent les stations de mesures météorologiques. Une épaisseur de 2 mètres contient la quasi totalité des thermomètres.

Compte tenu de la masse volumique de l'air au niveau du sol [1,3 gramme / litre (ou 1 000 cm3)] et du fait qu'une colonne d'air de 2 mètres de haut et de 1 cm2 de surface de base a un volume de 200 cm3, la masse de l'air de cette colonne est de 0,26 grammes [1,3 gramme x 0,2 litre]. L'air d'une colonne de même section pour toute l'atmosphère a une masse de ≈ 1000 grammes (Cf. pression atmosphérique). La masse des basses couches de l'atmosphère et celle de toute l'atmosphère sont donc dans un rapport de 0,26 / 1 000 soit 1/4 000ème. Pour chauffer, de 0,6°C, cette couche de 2 mètres d'épaisseur il ne faut donc que 0,0035 année [14 ans x 1/4 000ème], soit environ un jour de toute la consommation d'énergie primaire par l'humanité.

Ce sont alors le charbon, le gaz, le pétrole et l'énergie nucléaire - en chauffant toute l'atmosphère,- (- en la faisant passer par de nouveaux équilibres successifs, - en la chauffant, couche après couche, de proche en proche du niveau du sol à la stratosphère, jour après jour,) _ qui ont permis d'obtenir progressivement l'accroissement mesuré de 0,6 °C des températures moyennes au niveau du sol au 20ème siècle.

Toutes ces énergies fossiles et nucléaires [0,1 x 10¹⁵ kWh en tout] ne sont pas injectées dans l'atmosphère de façon uniforme. Ceci perturbe localement de nombreux équilibres (températures, pressions, degrés d'humidité...) et donc agit sur le climat. Les énergies fossiles et nucléaires perturbent le climat.

Conclusion provisoire modifier

La question n° 1 a mis en doute l'importance annoncée de « l'effet de serre » dans le dérèglement climatique. Ce concept apparaît de plus en plus inadéquat et inadapté. La deuxième question apporte une autre explication pour le dérèglement climatique. Le problème ainsi reformulé appelle alors une solution différente : Pour réduire le dérèglement climatique, il nous faut désormais diminuer globalement notre consommation d'énergie, en particulier l'énergie primaire, fossile bien sûr mais également nucléaire. Cette solution est aussi celle d'autres problèmes : la préservation des ressources naturelles, la diminution des pollutions, des nuisances et des risques etc. Cette solution est plus durable pour l'humanité. ___________________________________________________________________________________________________________________________

    Pourquoi oublie-t-on que 15 ans de toute l'énergie consommée actuellement par l'humanité 
    suffisent pour élever la température de tout l'atmosphère de 1°C ?

___________________________________________________________________________________________________________________________

     Ce forçage calorifique, cette énergie produite en majorité sur des fuseaux horaires de 
     l'hémisphère Nord converge, par la circulation atmosphérique, vers le pôle Nord qu'elle 
     échauffe et s'évacue vers l'espace avant d'atteindre le pôle Sud.
     * Question n° 3
      Pourquoi le CO2 retrouvé en Antarctique n'y produit-il pas un effet aussi spectaculaire 
     que celui que certains voudraient lui imputer sur la banquise du pôle Nord ?

– Incohérence ? modifier

   * Question n° 4
     Pourquoi ne pas dire que l'énergie plaquée au sol par «l'effet de serre additionnel» 
     au-dessus du glacier du Groenland mettra 4 000 ans pour le fondre ?
   * Question n° 5
     Pourquoi «l'effet de serre additionnel» mondial aura-t-il besoin d'environ 300 ans 
     (1 200 x 10¹⁵ kWh / 4,5x10¹⁵ kWh) pour élever d'un degré la température de la machine 
      thermique «océans, terres et atmosphère, hors fonte des glaciers» ?
   * Question n° 6
     Pourquoi tout le CO2, qui a une capacité calorifique globale faible (1/20ème de celle 
     des nuages) et dérisoire (1/ 3 000ème de celle de l'atmosphère, dont l'air est un isolant),
     produirait-il un « effet de serre » si décisif ?

– Explication chiffrée ? modifier

    La puissance moyenne du rayonnement solaire qui arrive au sol, après avoir joué à cache cache 
    avec les nuages, est de l'ordre de 170 W / m².
   * Question n° 7
     Qui garantit que l'énergie solaire reçue chaque année au sol par la Terre est constante en 
     régime normal ? Sur 11 ans ? D'autres cycles ?
   * Question n° 8
     Qui peut décrypter les rôles respectifs du forçage radiatif additionnel annoncé des «GES» 
     ~ 1 W / m² 
     et de la variation « orbitale » de ~ 7 % de la puissance solaire au sol au cours de l'année :
      12 W /m²?

A Paris, sur 105 km², il est consommé l'équivalent du 1/4 de l'énergie reçue par ailleurs du soleil.

   * Question n° 9
     Des colonnes d'air chaud au-dessus de Paris comme sur d'autres villes sont-elles, à tour de rôle, 
     le battement d'aile du papillon parmi des millions d'autres qui produit les tornades aux USA, 
     les tempêtes en Europe, les typhons en... Malaisie ?
   * Question n° 10
     Une colonne d'air chaud au-dessus de Grenoble fait-elle fondre la neige et les glaciers 
     avoisinants ?

– Comment la loi des GES existerait-elle ? modifier

   * Question n° 11
     Comment est mesurée la concentration du gaz carbonique (CO2 ) dans l'atmosphère ?... et où ?
   * Question n° 12
     Quel est le “mécanisme quantique” et quel est le calcul du forçage radiatif ?
   * Question n° 13
     Le réchauffement d'une molécule, d'un groupe de molécules, de CO2 par une flamme est-il de nature
     différente lorsque celui-ci est obtenu par des rayons InfraRouges (IR) ?
   * Question n° 14
     Quelle est la loi physique qui lie la concentration des « gaz à effet de serre » à la température ?
     Questions n° 15 et 16
     Accessoirement où peut-on trouver les formules et les calculs qui établissent que 
   * la vapeur d'eau, présente dans l'atmosphère pour 0,3 % ~3 000 parties par million, et le CO 2 pour 
    0,037 % ~ 370 ppm, participent respectivement pour 55 % et pour 25 %, à «l'effet de serre» (passage de 
    -18°C à plus de +15°C = + 33°C de la température moyenne annuelle des couches basses ? 
   * 100 ppm de CO2 de plus pourraient accroître la température de 1 à... 6 °C ?

– Comparaison scientifique ? – Anachronisme de fait ? modifier

L'atmosphère de Vénus, qui reçoit 2 fois plus d'énergie solaire, peut, à température égale, stocker ≈ 90 fois plus d'énergie que celle, 90 fois moins dense, de la Terre. C'est un édredon ≈ 90 fois plus isolant. La quantité de CO2 y est 200 000 fois plus importante que sur Terre, la vapeur d'eau 50 fois. Pourtant la température au sol n'est que 3,3 fois plus élevée (173+15) x 3,3 ≈ 173+450 °K (450 °C).

    * Question n° 17
      Pourquoi lorsque les molécules de «gaz à effet de serre» sont 200 000 fois plus nombreuses 
       ne sont-elles que 60 fois (3,3 ⁴/ 2) plus efficaces ?

Les périodes chaudes repérées dans les glaciers des pôles accompagneraient systématiquement les augmentations mesurées des concentrations de «gaz à effet de serre» (CO2) depuis 400 000 ans au moins (dixit des climatologues). Ceci tend à prouver que les «gaz à effet de serre» étaient produits dans les temps anciens par une cause naturelle antérieure au réchauffement, donc non du fait de l'homme. Or nous sommes dans une période interglaciaire (de réchauffement) qui a débuté il y a 10 000 ans.

      * Question n° 18
        Pourquoi cette cause n'opère-t-elle plus depuis 10 millénaires, en ne produisant plus de 
       «gaz à effet de serre» (du CO2 en particulier) cela pour la 1ère fois ?

* etc... autres questions modifier

    * Question n° 19
     Comment les cernes de croissance de quelques arbres donneraient-elles (au 1/10ème °C près)
     une valeur de la température moyenne des couches basses de l'atmosphère terrestre des années
     correspondantes ?
    * etc...

Gesornot (d) 3 juin 2011 à 10:03 (CEST)Gesornot (d) 22 août 2011 à 09:23 (CEST) Gesornot (d) 29 août 2011 à 09:31 (CEST)Répondre

effet de serre : une TRES mauvaise dénomination du point de vue de la physique modifier

bonjour, Je tiens à rappeler: une serre en verre ne piège pas les Infra-Rouge lointain comme semblent le croire bon nombre de personnes. La partie de réchauffement dans une serre est dûe pour majorité à l'arrêt des pertes de chaleur par Convection et un peu par Conduction. Si vous n'êtes pas convaincu, lisez le fond de l'article sur "Greenhouses" dans l'article de Wilki anglais.

(Attention l'effet appelé "effet de serre" existe, je n'ai pas dit le contraire, je dis juste que sa dénomination n'est pas adaptée à l'effet !!!)

c'est l'ensemble des metamorphoses planétaires necessitant une intervention plus efficace

éolien et effet de serre modifier

bonjour, suite à un débat sur Discuter:Énergie_éolienne#Problème de neutralité, est ce que quelqu'un sait si des gaz à effet de serre sont émis pour qu'une éolienne produise de l'électricité? personnellement il me semble que c'est négligeable, mais apparemement tout le monde n'est pas de mon avis.--Enr-v 17 janvier 2006 à 01:39 (CET) ..... A votre question ,je réponds de la manière suivante :"Je pense que les seuls gaz émis sont ceux dégagés lors de sa fabrication". .....Répondre

activites humaines modifier

J'ai ajoute des donnees sur l'orgine de la production de GES en France. Cependant les chiffes du groupe F4 sont (d'apres eux) bases sur ceux du CITEPA, dont le rapport est ici, mais ils n'y apparaissent pas dans la meme forme. Peut-etre les chiffres du GF4 font ils la deduction des puits de carbone ...? A preciser. --Josce 27 juillet 2006 à 15:46 (CEST)Répondre

Conséquences pour l'environnement modifier

L'article mentionne une hausse du niveau des mers à cause notamment de la fonte des calottes polaires. Il serait important de bien distinguer les glaces flottantes de celles reposant sur le continent. En effet, selon le principe d'Archimède, la fonte des icebergs ne fera ni monter ni baisser le niveau de la mer. En revanche, il va de soi que la fonte des glaces du Groenland, par exemple, entraînera une hausse. En ce qui concerne l'Antarctique, les températures qui y règnent sont trop basses pour y subir l'influence du réchauffement climatique, à l'exception toutefois de la côte qui, elle, subit actuellement le phénomène. Yves-Dominique FRANCK, 5 mars 2007

Une erreur, les icebergs sont des fragments détachés des glaciers continentaux (eau douce). Ils n'ont rien à voir avec les fragments de banquise (eau salée). Pierre de MARTIN, Géographe, Habilité à diriger la recherche, ex-Paris-IV-Sorbonne. (20 février 2010).

effet de serre modifier

comment luter contre l'effet de serre ?

Commencer par lire l'article. Airelle 15 novembre 2006 à 18:23 (CET)Répondre

Je suis parfaitement d'accord. Par exemple, l'Agence spatiale russe réfute carrément l'efffet de serre et l'activité humaine comme étant la cause principale du réchauffement planétaire, mais voit plutôt le Soleil comme étant la cause principale. On ne parle d'aucun lobby ici. Voir: http://www.polemia.com/article.php?id=1405 et http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1575_soleil_nouveau_cycle.php .

L'article prend parti, prend pour acquis, a de fausses prémisses, bref aucunement neutre ni scientifique.

==

Neutralité de l'article ==

Il me paraît nécessaire d'effectuer un suivi régulier de l'article, en particulier la section "Débat" qui est sujette à de graves problèmes de neutralité. Les thèses scientifiques réfutant l'alarmisme vis-à-vis de l'effet de serre sont sous-représentées dans cet article, à la faveur de leurs détracteurs qui peuvent rapidement (comme c'était le cas jusqu'à présent) les assimiler, dans cet article qui se veut pourtant encyclopédique, à de simples instruments de lobbys.

Pour ce qui est de la remarque ci-dessus, il serait intéressant d'ajouter une section relative aux possibiltés d'actions contre l'augmentation de l'effet de serre (s'il y en a). Mayerwin 2 mai 2006 à 00:12 (CEST)Répondre

Illustrations ? modifier

Excellent article, mais il manque tout de même quelques illustrations à mon goût... peut-être au moins un schéma expliquant cet effet, ça doit pouvoir se trouver sur un autre Wikipédia (si besoin, je peux traduire ;-) ) --nico@nc 22 novembre 2006 à 06:46 (CET)Répondre

Importance de l'article modifier

Je propose que l'importance de l'article soit portée à "maximum" car il me semble qu'il correspond à un "sujet est très important au niveau universel ; il est traité par toutes les encyclopédies imprimées." pour des raisons pratiques, je le passe immédiatement en "maximum", si vous n'êtes pas d'accord vous pouvez (et devez) le replacer dans sa catégorie initiale en argumentant un minimum ci-dessous. Cordialement, Raziel {boudoir} 7 juin 2007 à 23:14 (CEST)Répondre

Vu que personne n'a contesté l'importance maximum de l'article, il serait intéressant de commencer à préparer le travail nécessaire pour le passer en statut bon article. Que manque t il? qui veut participer? Tadcoz 6 septembre 2007


Faut-il rappeler que le propre d'une serre n'est pas de "réchauffer" mais d'atténuer le "refroidissement". Pour l'atmosphère assimilée à une serre, le chauffage provient exclusivement du soleil qui chauffe le sol puis du sol qui émet de l'infrarouge vers l'atmosphère: le gaz carbonique ne "chauffe" pas, il est chauffé et peut restituer une partie de la chaleur qu'il absorbe.

Comme tous les gaz, le CO² possède une fonction filtre qui le caractérise. C'est-à-dire qu'il ne peut absorber ou émettre que dans une plage précise du rayonnement électromagnétique. Le gaz carbonique ne peut absorber et émettre que dans la plage infrarouge 15/17 µ. En dehors de cette plage il est transparent au rayonnement. Or, selon les lois du rayonnement, cette plage fait partie du rayonnement tellurique dont elle occupe 18%. Le gaz carbonique absorbe totalement l'énergie de cette plage et ne peut absorber ailleurs (ni émettre). La répartition de l'énergie infrarouge terrestre se réparti approximativement : 49% inabsorbable (fenêtre de transparence atmosphérique), 33% entièrement absorbés par la vapeur d'eau et 18% par le gaz carbonique (les ré-émissions de ces deux gaz constituent l'effet de serre). Si le gaz carbonique absorbent tout ce qu'il peut absorber, il n'y a plus rien à absorber par un surplus éventuel de CO². Pour que la chaleur renvoyée par les gaz à effet de serre soit plus importante, il faudrait que ceux-ci absorbent en-dehors de leurs fonctions filtres, donc dans la fenêtre de transparence atmosphéroque, ce qui n'est pas le cas.

Crédibilité scientifique modifier

Je pense avoir lu la totalité des l'articles concernant l'éffet de serre. J'ai l'impression que pour chaque point j'ai lu une chose et son contraire. En matière scientifique, les hypothèses doivent être avançées en tant qu'hypothèses et non en tant que vérité contreversée. Je voudrais préciser ma pensée sur un exemple. L'une des manifestations possible du réchauffement climetique pourrait être la remontée du niveau des océans. Le niveau moyen est surveillé très attentivement puisqu'il déterminait le niveau zéro du système de nivellement en France. Or je lis que le niveau des mers aurait remonté de quelques dizaines de cm. mais que la cause de cette remontée n'est pas la fonte des glaciers (et évidemment pas la banquise) mais l'augmentation de volume due à l'augmentation de la température de l'eau. Assez vite en profondeur, l'eau des océans est soumise à des pressions considérables. Il en résulte que le volume occupé par l'eau est le volume minimum. Or la température de l'eau à densité maximum est 4°. Autrement dit, à partir d'une certaine profondeur, la température de l'eau est constante et égale à 4°. Pour s'en convaincre, il suffit de penser à la couverture glaciaire du pôle Nord, sous la couche de glace, l'eau est liquide. J'ai lu aussi que l'eau froide descend au fond des océans, ce qui permet le renouvellement. Ne serait-ce pas exactement le contraire : l'eau de surface est plus chaude, comment pourrait-elle être suffisemment froide pour descendre. Par contre, l'eau au fond des océans est en contact avec la croute terrestre, donc elle se réchauffe. Celà diminue sa densité, donc elle remonte. Autrement ce n'est pas l'eau de surface qui descend au fond, mais l'eau du fond qui remente. Je terminerai en apportant une preuve (inédite) qu'il faisait moins chaud l'été à l'époque de Louis XIV : la chateau de Versaille ne comporte aucun système ce climatisation.

hihi quel absurdité l'histoire du château de versailles!!!croyez vous les rayons infra rouge capable de traverser des murs de plusieurs metres d'épaisseur????????même si une partie de la chaleur entre la journée, la nuit les pièces se réfroidissent...et la clim à cette époque....c'est petit....

Erreurs modifier

L'article contient des erreurs flagrantes. Celle qui saute aux yeux (erreur énorme!) premièrement est au début quand on dit que le C02 compose 39% de l'atmosphère, alors que la réalité est que le CO2 compose 0.039% de l'atmosphère (voir: http://www.esrl.noaa.gov/gmd/ccgg/trends/). Pour le reste je n'ai pas le temps, mais c'est truffé d'erreurs et de théories toutes plus alambiqués les unes que les autres, fondées sur des postulats qui ne font pas de consensus scientifique...


Excusez moi mais travaillant actuellement sur l'effet de serre en lisant cet article j'ai vu plusieurs erreurs exemple : l'effat de serre est en fait causé en grande partie par les gaz à effet de serre dont les principaux sont le CO2, les gaz issus d'hydrocarbures, l'ozone, le H2O, le carbone et une toute petite part naturelle due au soleil le H2O n'a pas une part importante dans l'effet de serre

La vapeur d'eau constitue la principale contribution à l'effet de serre : elle est responsable d'une augmentation d'environ 20.5°C; viennent ensuite, par ordre d'importance, le CO2 (7°C), l'ozone (2.5°C), le N2O (1.5°C), le CH4 (1°C) et enfin les autres gaz (0.5°C).

Rapport Brundtland modifier

Il a été publié en 1987, et non en 1972.

volontaires pour m'aider à traduire la section "positive feedback and runaway greenhouse effect" modifier

Y-a-t-il des volontaires pour m'aider à traduire la section "positive feedback and runaway greenhouse effect" de l'article anglais ? http://en.wikipedia.org/wiki/Greenhouse_effect#Positive_feedback_and_runaway_greenhouse_effect Alterte (d) 31 janvier 2008 à 16:43 (CET)Répondre

Je viens de publier le début de ce travail dans la section "Rétroaction positive et emballement de l'effet de serre" Alterte (d) 4 février 2008 à 17:31 (CET)Répondre

Effet de Serre Vénus modifier

Il ya une trés grande faute quand il parle de l'effet de serre sur Vénus (et sa a deux reprises dans l'article):

"Vénus a peut-être été le siège d'un emballement de l'effet de serre, ce qui expliquerait les niveaux très élevés de sa température et de sa teneur en CO2."

"L'effet de serre, en tant que processus naturel, est également observé sur Vénus où, avec une atmosphère composée à 96% de dioxyde de carbone (CO2), la température atteint plus de 400 °C."

Ces deux phrases stipulent ou du moins sous entendent que c'est le CO2 qui est responsable de l'effet de serre et donc de la trés forte température mais c'est une idée complétement éroné et transmise par beaucoup de gens tels que Al Gore.

Explication:

La température de Vénus est la conséquence d'un effet de serre résultant non du dioxyde de carbone (CO2) mais de constituants en très faibles quantités relatives tels que SO2 et H2O. En effet, dans le domaine infrarouge correspondant au maximum d'émission thermique pour un corps à la température de la surface et de la basse atmosphère de Vénus, le CO2 présente des fenêtres de transmission très larges qui ne peuvent piéger efficacement le rayonnement infrarouge. En revanche, SO2 et H2O, bien qu'en très faibles quantités, absorbent les radiations dans ce domaine de longueurs d'onde, tout comme le font également les fines particules d'acide sulfurique qui constituent les nuages. Le surcroît de température dû à l'effet de serre est atteint plus de 500 kelvins sur Vénus.


D'aprés un document de l'IMCCE (institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides)basé sur l'opération VT2004 ici

--- Le rôle essentiel du CO2 est pourtant mentionné par quasiment tout le monde, à l'exception de cette source que vous mettez en lien. J'ai modifié le paragraphe pour rétablir le rôle du CO2, avec comme référence un article récent (parmi beaucoup d'autres) qui évalue l'effet du CO2 seul à un surplus de 420 degrés celsius à la surface (p. 130). Cet article n'est pas signé par Al Gore, si ça vous inquiète. Il est vrai que les gaz à très faible concentration jouent un rôle beaucoup plus important que leur concentration ne le laisse soupçonner, mais le CO2 se taille la part du lion. D'ailleurs, le raisonnement à partir du rayonnement correspondant à la température de surface est juste, mais limité : l'effet de serre a lieu dans toute la profondeur de l'atmosphère, pas seulement juste à la surface.

Effet de Serre Vénus modifier

Pour illustrer les 2 erreurs relevées ci-dessus :

La composition de l'atmosphere Martienne est aussi constituée de 95 % de C02 pourtant la temperature moyenne est tres basse. Preuve que ce gaz meme a tres forte concentration ne suffit pas à augmenter de maniere considerable la temperature comme votre exemple pourrait le faire croire. La raison en est simple la capacité d'absortion du CO2 est tres limités, autrement dit il ne peut que pieger qu'une part etroite du rayonnement infrarouge qui le traverse.

Effet de serre modifier

Est ce que l'effe tde serre a une influence sur l'intensité et la création des cyclones si oui,expliquer pourquoi svp et comment.

Article modifier

Cet article débute bien sur une présentation de l'effet de serre et dérape sur les lieux communs habituels sur le réchauffement climatique, présente au passage les scientifiques sceptiques comme des vendus et des fraudeurs (allez plutôt voir la genèse de la courbe en "crosse de hockey" de Mann en matière de truquage et traficotage scientifique) et ne tient aucun compte des remarques faites en page de discussion (Vénus n'est pas un bon exemple).

"Le rôle des contrails ou traînées de condensation des avions a fait l'objet d'un rapport (en anglais) de l'IPCC mais doit encore être éclairci et maîtrisé, notamment dans ses liens avec le trou dans la couche d'ozone qui pourrait induire d'importantes rétroactions susceptibles d'accélérer le réchauffement global (via la réduction des capacités naturelles des écosystèmes à absorber et stocker le carbone)."

Que signifie cette phrase fourre-tout ? Qu'est-ce qui "pourrait induire d'importantes rétroactions"? les contrails ?, le trou dans l'ozone antarctique ?

Lady9206 (d) 20 octobre 2008 à 16:23 (CEST)Répondre

Je conteste cette température de -18° C qu'aurait la Terre sans effet de serre. Cette valeur résulte d'un raisonnement simpliste et d'un calcul arithmétiquement faux. Elle a été réfutée par Gerlich et Tscheuschner, et j'ai moi-même constaté qu'elle était erronnée par des calculs relativement simples. Malheureusement, cette température figure dans la plupart des ouvrages de climatologie, sans explication aucune. Elle est calculée en supposant une terre immobile dans l'espace, une moyenne de température entre une face chauffée par le soleil et l'autre face au zéro absolu, soit -273° C ! On ne tient aucun compte de la chaleur accumulée depuis quatre milliards d'années, ni de l'inertie thermique du sol lui même et surtout des océans. Enfin, on considère la terre comme un corps noir, ce qu'elle n'est pas, puisque les gaz ne sont pas des corps noirs, ni les liquides. Aucun scientifique sérieux n'accorde foi à ce chiffre. Aucun modèle climatologique ne retient les hypothèses sur lesquelles il est fondé. Bien plus, le calcul lui même est entaché d'une grossière erreur mathématique, puisque tirant une valeur de température moyenne de la racine quatrième de l'énergie moyenne reçue par la terre. Les bons élèves de terminale et les étudiants en science me comprendront. Or c'est sur le fondement de la différence entre la température observée sur terre, environ 15° C, et ces hypothétiques -18° C qu'on explique l'effet de serre. Ce n'est vraiment pas sérieux.michelPoitiers.

Problème de définition simpliste modifier

J'ai fait la modification de la définition du terme. Celle-ci était trop simpliste et contenait des sous-entendus trop partisans, comme quoi l'effet de serre est un processus qui réchauffe le climat, ce qui induit le lecteur dans l'erreur. La tournure est probablement profane, ce qui fait que j'invite le wikipédien à l'améliorer en se basant dessus. Et puis, il ne faut pas oublier qu'il n'y a pas que les gaz qui font effet de serre. Les étendues d'eau, les arbres, la roche, etc, conservent aussi la chaleur...--Phijazz (d) 8 décembre 2009 à 02:38 (CET)Répondre

Complément effet de Serre sur Mars modifier

Deux problèmes avec ce passage :

  1. Il s'agit probablement d'un WP:TI, en tout cas, rien n'est sourcé.
  2. On ne voit pas où ce passage veut en venir. Normalement, ce complément devrait illustrer que l’atmosphère est trop ténue pour que l'ES soit sensible, et se terminer par CQFD. La conclusion de ce paragraphe n'est pas claire : on dirait qu'il met en évidence un écart avec ce qui est prévu, mais dans ce cas, il faut ABSOLUMENT le sourcer.

Qu'en pensez-vous ? En l'état, ce paragraphe devrait être supprimé. --Jean-Christophe BENOIST (d) 21 septembre 2011 à 10:57 (CEST)Répondre

Je m'intéresse depuis peu à la rédaction de cet article et je pense en effet que ce récent ajout sur l'effet de serre sur Mars doit être supprimé. Il n'est pas sourcé et il est construit comme une tentative de démonstration d'on ne sait quoi qui se termine en eau de boudin.--Jmp48 (d) 21 septembre 2011 à 16:33 (CEST)Répondre
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