Dernier commentaire : il y a 3 ans17 commentaires7 participants à la discussion
15 octobre 2020 à 10:45:37 : il est maintenant possible de clore la proposition. En analysant les modèles LSV, le bot a estimé une décision de probable acceptation, sous réserve d'un sourçage certifié (62.5%). Pour notifier les participants : {{Notif|Raresvent|JPC38|Micheletb|Fanfwah}}
Pour que la proposition puisse être validée, elle doit disposer d'une source correctement référencée dans l'article dont elle est tirée. Après l'avoir vérifié, il faut l'indiquer dans le paramètre source. En cas de non, et si aucune source n'est ajoutée, la proposition sera au final rejetée.
Proposition refusée. L’anecdote suivante, proposée par Raresvent le 2020-10-01 08:48:00, a été rejetée par Micheletb (pas de consensus sur le traitement du sujet). La discussion est conservée pour archivage.
La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées et possèdent des similarités
(surtout au niveau des termes utilisés). N'hésitez pas à supprimer ce bloc si les sujets sont vraiment différents.
Proposée par Bounè rodzo le 16 août 2019, et publiée le 01 décembre 2019. [indice de similitude 7.6/10]:
Depuis que l'APA a redéfini les « caractéristiques » de l'autisme, je me méfie un peu de ce que ces gens peuvent raconter. De plus, sur ce coup là, je ne les sens pas bien objectifs. Chacun se fait son opinion du monsieur sans avoir besoin de l'avis de quiconque. --JPCDes questions ?1 octobre 2020 à 09:12 (CEST)Répondre
À mon avis, l'anecdote ne vise pas à donner un avis sur Donald Trump. C'est l'existence de cette règle qui est intéressante. Le contenu de l'article parle des controverses autour de la règle et pas vraiment de la réalité où non de ce qui est avancé par certains. La psychiatrie c'est comme l'économie, il y a toujours un expert pour dire ce qu'on veut entendre.--Raresvent (discuter) 1 octobre 2020 à 09:26 (CEST)Répondre
Donc c'est jugé comme étant de la diffamation, c'est contre les règles de déontologie, mais des psy s'arrogent le droit d'être au-dessus des lois et de trahir leur éthique professionnelle pour décréter de leur propre autorité, en tant que professionnels mais sans examen clinique, qu'un président démocratiquement élu est incapable d'accomplir son office? Bel exemple de fair-play démocratique, donc . En tout cas, tant que les élections US sont en cours, inutile de rajouter de l'huile sur le feu. Pour mémoire, la diffamation est tout autant un délit en droit français. Michelet-密是力 (discuter) 1 octobre 2020 à 10:27 (CEST)Répondre
À peine plus acceptable, même si ça va dans le bon sens. On ne peut pas parler de « diagnostic » sans examen clinique. Donc ce que « certains psychiatres américains » ont fait c'est juste une faute professionnelle, doublée d'une diffamation, et il n'y a aucune raison de faire passer cette faute professionnelle pour autre chose. Michelet-密是力 (discuter) 1 octobre 2020 à 16:02 (CEST)Répondre
Plutôt une bonne accroche pour découvrir le sujet de l'article. Pour éviter d'avoir l'air d'imputer au POTUS en titre, même « malgré lui », une quelconque responsabilité dans ces débordements, on pourrait juste mettre Donald Trump a fait l'objet [...] --Fanfwah (discuter) 6 octobre 2020 à 17:38 (CEST)Répondre
Vision d'horreur. Mais il y a peut-être des sadiques qui s'y verraient. Est-ce indispensable ? Et puis si je comprends bien, c'est une règle qui a été violée (d'accord, c'est mal)... c'est donc à la fois faux et malsain. --Otto Didakt (discuter) 12 octobre 2020 à 18:50 (CEST)Répondre
Un peu trop tiré par les cheveux (oranges). Un viol et un « viol d'une règle », ce n'est quand même pas la même chose. Je n'accroche pas sur les formules, et je pense que le moment est mal choisi mais il est intéressant de mettre en lumière l'article règle Goldwater. Peut-être une autre fois. Bertrouf14 octobre 2020 à 09:53 (CEST)Répondre