Discussion:Système bielle-manivelle
besoin de maths
modifierSi un mathématicien passe par là, il peut jeter un oeil aux équations horaires et proposer les lois de vitesse et d'accélération du piston, avec en bonus l'inverse de ces fonctions. L'idéal étant une courbe. Je n'ai pas les outils sous la main.
Maintenant, on peut discuter de la pertinence de ces données.Ruizo 28 février 2006 à 09:21 (CET)
Voici l'équation de position (j'ai pris comme axe de mouvement l'axe x et la position initiale au point mort haut) e est la longueur de l'excentrique et b la longueur de la bielle et o l'angle entre l'axe x et l'excentrique. w est la vitesse de rotation. o=w*temps
x = e*cos(o)+b*cos(arcsin(-e/b*sin(o))) (la formule mise sur la page est bonne avec son repère où y est l'axe de translation.)
v = -e*w*sin(o)+e*w*cos(o)*1/sqrt(1-(e/b*sin(o))²)*sin(arcsin(-e/b*sin(o)))
comment mettre les courbes, j'ai fait un programme sous excel ?--86.212.217.40 (d) 7 juin 2009 à 18:58 (CEST) --86.212.217.40 (d) 7 juin 2009 à 19:01 (CEST)
volant d'inertie et régulateur de Watt
modifierLes deux dispositifs sont différents sur le principe, et sur la fonction technique assurée: Le volant d'inertie est passif (inerte) et s'oppose, ou plutôt résiste à la variation de vitesse. Il constitue ainsi un peu un ammortisseur de vibrations et une réserve d'énergie cinétique (inertie). Le régulateur agit pour que la vitesse soit maintenue à un régime donné. Celui à boules de Watt utilise les effets d'inertie (centrifuge). On peut donc disposer de l'un ou l'autre mais aussi des deux. Sur une locomotive à vapeur, la loco elle même est "système d'inertie", une fois lancée elle assure le passage des points morts.--Ruizo 13 mai 2006 à 04:25 (CEST)
Correction d'une erreur
modifierh(t)= OB = OH + HB = R.sinθ + L.sin(arcos(R.cosC/L))
Si l'on fait θ = pi/2, on obtient h(t)= R + L.sin(arcos(R.cosC/L)), alors que le résultat devrait être R + L
Il y a une erreur de frappe: La formule correcte est:
h(t)= OB = OH + HB = R.sinθ + L.cos(arsin(R/L.cosθ))
je me permets de corriger dans le texte.
Cette correction est fausse!!
La formule précédente est correcte: h(t)= OB = OH + HB = R.sinθ + L.sin(arcos(R.cosθ/L))
Je suis désolé mais je pense que cette première personne avait raison:
Si on se fit au schéma on a:
OH = R.sinθ
AH = R.cosθ
Nommons α l'angle [ABO] dans le triangle ABH. On a:
AB = L
HB = L.cosα
AH = L.sinα
Soit L.sinα = R.cosθ donc α = arcsin(R/L.cosθ)
Donc h(t) = R.sinθ + L.cosα = R.sinθ + L.cos(arsin(R/L.cosθ))
CQFD.
Je me suis permit de faire une correction détaillée pour éviter les controverses.
Diruggiero (d) 22 mai 2011 à 15:57 (CEST)
Rapport Bielle/Manivelle
modifierJe suis loin d'être sûr de la véracité de cette affirmation: La longueur de bielle n'a pas d'incidence sur la course. Elle contribue cependant à la symétrie du mouvement: si L est très grand devant R, celui-ci devient sinusoïdal.
Pour moi, c'est justement l'inverse, pour que le mouvement du piston devienne sinusoïdale il faut que le rapport R/r soit égale à 1. Dès lors le mouvement s'apparent à une représentation de fresnel, qui elle, donne une courbe sinusoïdale.
Cdt--Polo92 (d) 16 décembre 2010 à 13:34 (CET)
Dans le mouvement normal du mécanisme, le point B reste toujours du même côté de O. Si on décompose la course du piston en 2 parties : course haute (Ch) correspondant au demi-cercle parcouru par A du même côté de O que B et course basse (Cb) correspondant au demi-cercle "arrière", on a les mesures suivantes :
point bas de B : L-R point haut de B : L+R position de B à l'amplitude latérale maximale (OAB triangle rectangle) : racine_carrée(L^2-R^2)
Les deux courses se mesurent ainsi :
Ch = (L+R) - racine_carrée(L^2-R^2) Cb = racine_carrée(L^2-R^2) - (L-R)
Les équations discutées plus haut s'interprètent ainsi : - Sur la course haute, le mouvement latéral de A induit une accélération du mouvement de B et augmente Ch. - Sur la course basse, le mouvement latéral de A induit un ralentissement du mouvement de B et diminue Cb.
La conséquence est que lorsque L est très grand, l'influence de ce mouvement latéral est quasiment négligeable (racine(L^2-R^2) ~ L) et on est proche de la sinusoïde alors que lorsque L est proche de R, la "demi-période" haute s'étire tandis que la "demi-période" basse s'aplatit (On le voit très bien sur les exemples de courbes de position, vitesse et accélération figurant dans l'article).
Au cas limite, ces équations donnent une demi-sinusoïde d'amplitude 2R sur la course haute et un arrêt total (B=O) pour la course basse. Mais dans ce cas, un autre phénomène vient modifier le comportement du système : l'inertie. Comme L=R, B n'est pas arrêté à son point bas qui est alors son point de vitesse maximum mais poursuit son mouvement en franchissant O pour parcourir une autre demi-sinusoïde de longueur 2R. On a donc quand L=R une sinusoïde d'amplitude 4R au lieu du mouvement déformé d'amplitude 2R lorsque L>R.
Il est à noter que bien qu'étant intéressante en théorie (doublement de la course), cette configuration pose des difficultés de mise en œuvre au plan pratique :
- l'inertie doit être suffisante pour surpasser les efforts résistants (frottements, pression sur le piston, ...) lors des passages au point O afin d'éviter un arrêt inopiné,
- il faut s'assurer soit de ne jamais arrêter le mouvement au point O soit si cela arrive, de pouvoir exercer un effort sur le piston pour réamorcer le mouvement.
Que vient faire cette image dans l'article bielle-manivelle ? La légende en est même une question. Quelqu'un pourrait-il mettre une légende correcte ?
Merci.
Terminologie : oscillateur
modifierL'article utilise le terme oscillateur pour nommé la pièce qui est en contact avec la matière d’œuvre. Je n'ai jamais rencontré ce terme associé au système bielle-manivelle. Un oscillateur en mécanique ou en technologie à un sens strict qui ne correspond pas à la fonction de la pièce ici, en particulier un oscillateur (système vibrant) à sa propre cinétique . Classiquement en mécanisme et en automatisme , on parle , pour désigner cette pièce de :
Le terme oscillateur n'est pas totalement ridicule puisque nous avons un système périodique mais il porte à confusion, puisqu'il n'est pas à l'origine des cycles.
Une recherche internet sut les systèmes bielle-manivelle ne m'a pas permis de retrouver ce terme autre part que sur un TD de STI manifestement dérivé de l'article. Idem, sur la recherche des articles sur Wikipédia anglais ou le terme oscillator n'apparait pas. Alors terminologie inédite crée par un contributeur ? Si quelqu'un avait des éléments ou des sources à apporter sur l'usage du mot Oscillateur dans un système bielle-manivelle, ses informations seraient le bien venues.--Yond29 (discuter) 29 septembre 2016 à 12:07 (CEST) PS : je n'ai pas modifié son usage dans l'article car il est référencé dans des figures et des tableaux.
- A y regarder de plus prés, le terme effecteur me parait plus approprié, sa définition wikipedia est conforme à son usage ici : " en robotique et en génie mécanique, c'est l'outil mis en mouvement par les actionneurs (ressort, vérin, moteur, …) via une chaîne cinématique ". le terme recouvre les différentes pièces pouvant s'intégrer à la chaine cinématique : piston, pédale, levier, guidage linéaire, etc... Donc, je suis partisan d'effectuer le remplacement oscillateur par effecteur.--Yond29 (discuter) 30 septembre 2016 à 14:58 (CEST)
- Bon, pas foule de réactions dans un sens ou dans un autre. j'ai regardé sur les wikis anglais , allemand, italien. : ils ne considèrent que les deux pièces principales...donc pas plus d' oscillateur la bas non plus. Par défaut, je procède au remplacement. On pourra toujours revenir en arrière si nécessaire. --Yond29 (discuter) 3 octobre 2016 à 17:56 (CEST)