Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil
Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil | |||||
Château de Tayac, abritant une partie du musée national de Préhistoire, et L'Homme primitif de Paul Dardé. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Philippe Lagarde 2019-2020 |
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Code postal | 24620 | ||||
Code commune | 24172 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Eyzicois | ||||
Population | 842 hab. (2021) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 56′ 10″ nord, 1° 00′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 245 m |
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Superficie | 37,44 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Vallée de l'Homme | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Les Eyzies | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Au , elle est intégrée à la commune nouvelle des Eyzies en tant que commune déléguée.
Géographie
modifierGénéralités
modifierDans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune déléguée des Eyzies-de-Tayac-Sireuil s'étend sur 37,44 km2. Représentant les parties est et sud de la commune nouvelle des Eyzies, elle est arrosée par la Vézère et par deux de ses affluents : la Beune et le Manaurie.
L'altitude minimale avec 55 mètres se trouve localisée à l'extrême ouest, près du lieu-dit le Peuch, là où la Vézère quitte la commune et sert de limites entre celles de Campagne et de Saint-Cirq. L'altitude maximale avec 245 mètres est située à l'est, en bordure de la commune de Marquay, au nord du lieu-dit le Gat. Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé, avec des alluvions holocènes recouvrant les vallées de la Beune, du Manaurie et de la Vézère[1].
La commune est accessible par le réseau SNCF à la gare des Eyzies, et par l'autoroute A89, sortie no 16 Périgueux-Est (axe Bordeaux – Périgueux) puis par les (routes départementales (RD) 710 et 47, ou encore via Terrasson, sortie no 18 (axe Lyon – Terrasson-Lavilledieu), Le Lardin-Saint-Lazare et Montignac par les RD 6089, 704 et 706 .
Implanté au confluent de la Vézère et de la Beune, à l'intersection des RD 47, 48 et 706, le bourg des Eyzies est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l'est-nord-est du Bugue et dix-sept kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Sarlat-la-Canéda, la sous-préfecture.
Trois sentiers de grande randonnée traversent le territoire communal : en provenance du Bugue et de Saint-Cirq à l'ouest, le GR 6 passe devant l'abri de Cro-Magnon puis dans le bourg des Eyzies et continue vers l'est vers Marquay et Sarlat-la-Canéda, passant au bourg de Sireuil et au pied du château de Commarque ; en provenance de Tursac au nord, le GR 36 passe également dans le bourg des Eyzies où il fait tronçon commun avec le GR 64, continuant vers le sud vers Meyrals et Saint-Cyprien.
Dans le département de la Dordogne, la température la plus élevée a été enregistrée les 4 et 5 août 2003 aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil, avec 43 °C[2].
Communes limitrophes
modifierEn 2018, année précédant la création de la commune nouvelle des Eyzies, Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil était limitrophe de neuf autres communes, dont Saint-André-d'Allas au sud-est sur 300 mètres.
Urbanisme
modifierPrévention des risques
modifierUn plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour la Vézère — qui traverse la commune du nord-est au sud-ouest — aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil, affectant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser les 400 mètres au niveau des Eymaries, ainsi que les parties aval de ses affluents le Manaurie (les 650 derniers mètres) et la Beune (les 300 derniers mètres)[3],[4].
Villages, hameaux et lieux-dits
modifierOutre le bourg des Eyzies proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[5] :
- Abri du Cro Magnon
- Abri Pataud
- Abri du Poisson
- le Banquet
- la Barbarie
- la Bassetie
- Belsaud
- Beune
- le Bil
- la Borderie
- la Borie
- la Borie du Brel
- le Brel
- la Bruyère
- la Cabane
- Cabrillac
- Calimon
- le Coderc
- la Calavie
- le Combal
- les Combarelles
- la Combe
- la Cour
- Cournazac
- le Coustal
- la Couze
- Cros de Biscot
- la Croix de Legal
- les Eymaries
- Falaise du Cingle
- Fonluc
- Font de l'Auzelou
- Font de Gaume
- les Fontenelles
- Fontvialane
- la Forge
- les Fosses
- la Garde
- la Gaubert
- les Girouteaux
- Gorge d'Enfer
- Grabou
- la Grange
- la Grangette
- le Grel
- la Grenouille
- Grotte du Grand Roc
- les Guignes
- les Jarjottes
- Laugerie-Basse
- Laugerie-Haute
- Lespare
- le Mas
- la Mazetie
- les Merliauds
- la Micoque
- le Moulin de Pagenal
- la Mouthe
- Pagenal
- le Pech
- Pecheyrou
- le Peuch
- Peyreblanque
- Piot
- Planège
- Prunerède
- Queylou
- le Repaire
- la Rivière
- Roc de Laumède
- la Rosière
- la Rougerie
- la Rouquette
- les Savies
- le Secadou
- les Serres
- Tayac
- le Téoulet
- les Tourneries
- les Tours
- Tremoulède
- la Valette.
À ceux-ci s'ajoutent les villages, hameaux et lieux-dits de Sireuil.
Toponymie
modifierEn occitan, la commune porte le nom de Las Aisiás de Taiac e Siruèlh[6].
Histoire
modifierLe site des Eyzies-de-Tayac-Sireuil est habité depuis le Paléolithique.
En 1905, la commune de Tayac prend le nom de Les Eyzies-de-Tayac[7].
Elle fusionne ensuite au avec la commune de Sireuil sous le nouveau nom de Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil. Sireuil conserve le statut de commune associée et, à ce titre, élit un maire délégué qui siège obligatoirement au conseil municipal des Eyzies-de-Tayac-Sireuil.
Au , la commune passe dans la région Nouvelle-Aquitaine à la suite de la fusion de sa région, l'Aquitaine; avec les régions Poitou-Charentes et Limousin.
Le , la commune nouvelle des Eyzies résultant de la fusion de la commune des Eyzies-de-Tayac-Sireuil avec Manaurie et Saint-Cirq est créée pour une prise d'effet au [8].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune de Tayac a, dès 1790, été rattachée au canton de Marquay qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Cyprien dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[9].
Tayac change de nom pour Les Eyzies-de-Tayac en 1905 puis s'associe avec Sireuil en 1973, devenant Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil.
Intercommunalité
modifierFin 2000, Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil intègre la communauté de communes Terre de Cro-Magnon. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.
Administration municipale
modifierLa population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2011, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2014[10],[11]. Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle des Eyzies, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020.
Liste des maires
modifierInstances judiciaires
modifierDans les domaines judiciaire et administratif, la commune des Eyzies-de-Tayac-Sireuil relève[15] :
- du tribunal d'instance et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce de Bergerac ;
- de la cour d'assises et du tribunal des affaires de Sécurité sociale de la Dordogne ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Jumelages
modifierPuente Viesgo (Espagne) depuis 1994[16].
Politique environnementale
modifierDans son palmarès 2018, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[17].
Projets locaux
modifierLa commune est au cœur d'un vaste projet de valorisation utilisant le thème de la Préhistoire comme support de développement local. Ce projet est le fruit de l'intervention de l'État, du Conseil général de la Dordogne et du Conseil régional d'Aquitaine. Il se concrétise sur le terrain par le Pôle International de la Préhistoire (PIP), structure de pilotage opérationnel du projet.
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants des Eyzies-de-Tayac-Sireuil se nomment les Eyzicois[18].
La commune de Tayac change de nom et devient « Les Eyzies-de-Tayac » en 1905.
Jusqu'en 1972, les communes de Sireuil et Les Eyzies-de-Tayac étaient indépendantes[19]. Le , la commune des Eyzies-de-Tayac devient « Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil » lorsqu'elle s'associe à la commune de Sireuil.
Démographie de Sireuil
modifierDémographie de Tayac, puis des Eyzies-de-Tayac, puis des Eyzies-de-Tayac-Sireuil
modifierEn 2018, dernière année en tant que commune indépendante, Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil comptait 838 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012, 2017 pour Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil[20]). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.
Au , la commune déléguée des Eyzies-de-Tayac-Sireuil compte 842 habitants[21].
Enseignement
modifierFin 2018, la commune dispose du groupe scolaire « Séverin-Blanc » regroupant écoles maternelle et élémentaire[23].
Économie
modifierLes données économiques des Eyzies-de-Tayac-Sireuil sont incluses dans celles de la commune nouvelle des Eyzies.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'Homme primitif est une statue de Paul Dardé, inaugurée en 1931 et placée sur une plate-forme naturelle qui domine le village des Eyzies ; on peut l'approcher lors de la visite du musée national de Préhistoire ; cette œuvre de trois mètres de haut et de cinq tonnes a été sculptée dans un seul bloc ; elle représente un homme de Néandertal et non pas un homme de Cro-Magnon, ainsi surnommé localement à cause de la proximité de l'abri de Cro-Magnon[24], distant de moins d'un kilomètre.
Sites naturels
modifier- Grotte du Grand Roc, grotte avec des cristallisations excentriques naturelles comparables à des coraux.
Sites préhistoriques
modifierLa commune compte de nombreux sites archéologiques préhistoriques dont :
- la grotte de Font-de-Gaume, dernière grotte avec des peintures polychromes préhistoriques encore ouverte à la visite dans la région
- la grotte des Combarelles
- la grotte de la Mouthe
- la grotte de Bernifal
- le gisement de la Micoque : on y a découvert de nombreux témoignages des industries lithiques du Paléolithique (Tayacien, Micoquien et Moustérien)
- l'abri Armand Chadourne, du nom de son propriétaire[25]
- l'abri Audi
- l'abri de Cro-Magnon, site éponyme de l'homme de Cro-Magnon.
- l'abri Pataud, site étudié sous la responsabilité du muséum national d'histoire naturelle. La séquence stratigraphique comprend des niveaux du Paléolithique supérieur avec en particulier, de bas en haut, de l'Aurignacien, du Gravettien et du Protomagdalénien
- Laugerie-Basse et Laugerie-Haute : sites paléolithiques
- l'abri du Poisson
- la gorge d'Enfer, site naturel protégé, origine de la plus ancienne source d'eau connue en Europe[réf. nécessaire], ainsi que l'un des plus grands abris naturels du monde[réf. nécessaire].
- les grottes du Roc de Cazelle constituent un site troglodytique occupé depuis la Préhistoire jusqu'en 1960[réf. souhaitée].
Nombre de ces sites ont été classés au patrimoine mondial par l'Unesco en tant que « sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère ». La découverte de ces abris dans un rayon restreint autour des Eyzies, leur exploration méthodique et l'étude des gisements qu'ils recèlent ont permis à la préhistoire de s'ériger en science et expliquent que la ville revendique le statut de capitale mondiale de la préhistoire, comme le rappellent les dépliants publicitaires[26].
Musée
modifierLe musée national de Préhistoire, où sont conservés de nombreuses découvertes préhistoriques, se trouve au cœur du village. Très riche en silex taillés, il s'adresse particulièrement aux spécialistes.
Sites historiques
modifier- Château de Commarque, XIIe XIVe et XVe siècles, classé, visitable.
- Château de Tayac et ses dépendances, XIIe XIVe et XVe siècles, classé.
- Le fort troglodytique du Roc de Tayac, datant du Moyen Âge, a été transformé en restaurant (« Auberge du Paradis ») au début du XXe siècle puis a abrité un Musée de la Spéléologie en 1970[27]. Il a été acheté en 2010 puis aménagé par Jean-Max Touron, déjà propriétaire de plusieurs autres sites du Périgord, et a ouvert au public fin 2020[28],[29].
Patrimoine religieux
modifier- L'église fortifiée Saint-Martin de Tayac, classée au titre des monuments historiques en 1895[30].
- L'église Saint-Marcel de Sireuil du XIIe siècle, classée au titre des monuments historiques en 1974[31].
- La chapelle Saint-Jean (en ruines) du château de Commarque, XIIe, XIVe et XVIIe siècles.
Personnalités liées à la commune
modifier- Homme de Cro-Magnon
- Claire Athias-Henriot (1921-2004), acarologiste morte aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil.
- Robert Filliou (-1926-1987), mort aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil.
Les pionniers de l'archéologie :
Héraldique
modifierBlason | ||
---|---|---|
Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur gueules). Création C. Buty G. Bochet, adoption en 2015. |
Galerie
modifier-
Le plateau qui domine
Les Eyzies -
L'église-forteresse de Tayac -
Mammouth gravé de la grotte des Combarelles -
Entrée de la grotte de Bernifal
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Jacqueline Géroudou, Histoire d’un village, de Cro-Magnon aux Eyzies, en passant par Tayac, 2012.
- Patrick Esclafer de La Rode, Le château des Eyzies et les seigneurs de Tayac, , 264 p.
Articles connexes
modifier- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Liste des monuments historiques des Eyzies-de-Tayac-Sireuil
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée GR 6
- Sentier de grande randonnée GR 36
- Sentier de grande randonnée GR 64
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- « Les records météo absolus enregistrés en Périgord », Sud Ouest édition Dordogne, 22 février 2018, p. 11, d'après Météo France - Centre météorologique d'Agen.
- PPR inondation - 24DDT20000008 - Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil - Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 10 avril 2019.
- [PDF] Vallée de la Vézère – Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil – Révision du plan de prévention du risque inondation, DREAL Aquitaine, consulté le 10 avril 2019.
- « Les Eyzies » sur Géoportail (consulté le 1er novembre 2018).
- Le nom occitan des communes du Périgord - Las Aisiás de Taiac e Siruèlh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- « no 45 981 - Décret portant que la commune de Tayac (canton de Saint-Cyprien, arrondissement de Sarlat, département de la Dordogne) portera à l'avenir le nom de Les Eyzies-de- Tayac », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 71, no 2626, , p. 215 (lire en ligne).
- « recueil des actes administratifs de la Dordogne » [PDF], (consulté le ), p. 72-76
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 21 octobre 2018.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 20 octobre 2018.
- Période 1790-1995 : document Les Eyzies de Tayac honore ses Maires vu le 26 novembre 2018 en mairie des Eyzies-de-Tayac-Sireuil.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 21.
- Léna Badin, « Philippe Lagarde est un habitué », Sud Ouest édition Dordogne-Lot-et Garonne, 24 mai 2020, p. 16.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Léa Sanchez, « Le succès du jumelage franco-espagnol », Sud-Ouest édition Périgueux, 2 décembre 2016, p. 21.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 janvier 2019.
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 1er novembre 2018.
- Code officiel géographique de Sireuil sur le site de l'Insee, consulté le 17 octobre 2013.
- « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le )
- [PDF] Populations légales 2021 à compter du - Fichier Dordogne, p. 24-7 sur le site de l'Insee, consulté le .
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- École Séverin-Blanc, Académie de Bordeaux, consultée le 28 novembre 2018.
- Hervé Chassain, « L'homme primitif rajeunit », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14-15.
- F Bordes, P. Fittes, S. Blanc, « L'abri Armand Chadourne » dans Bulletin de la Société préhistorique de France, 1954, Vol. 51, no 5-6, p. 229-254.
- Jean-Jacques Cleyet-Merle, La province préhistorique des Eyzies: 400 000 ans d'implantation humaine, Caisse nationale des monuments historiques et des sites, coll. Patrimoine au présent, CNRS Éditions, 1995, p. 85.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 240.
- Léna Badin, « La quatrième vie du fort du Roc de Tayac », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 21.
- Boris Rebeyrotte, « La vallée de la Vézère salue deux renaissances », Le Mag no 445, supplément à Sud Ouest, , p. 20-22.
- « Eglise Saint-Martin de Tayac », notice no PA00082538, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 novembre 2020
- « Eglise Saint-Martin de Sireuil », notice no PA00082537, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 novembre 2020
- Dessin revu plus héraldiquement (les meubles en nuances de gris revus simplifiés d'argent, et suppression du chef type "écusson brodé") avec blasonnement correspondant.