Robert des Gabetz, métaphysicien du XVII siècle, est né à Ancemont. (77)
En 1658, il essayait la transfusion du sang, dont les Anglais revendiquent la découverte, bien qu'ils n'en aient commencé les expériences qu' en 1664. Ce savant bénédictin est mort à Breuil, près de Commercy, en 1678. (224)
Ferry Maclot, seigneur en partie puis, à partir de 1667 jusqu'à sa mort en 1685, seigneur de Baâlon, combattant de l'indépendance lorraine au service du duc Charles IV résistant à l'invasion française de 1632. (216)
Sources: Bazaille Manuel; "Ferry Maclot, patriote lorrain"; La Revue lorraine populaire; n°176; février 2004. (121)
* Charles-Laurent Maréchal dit Maréchal de Metz (1801-1887) et Charles Champigneulle (1820-1882), qui installèrent, en zone de Salvanges, le célèbre atelier de vitrail qui portait leurs noms. (article manquant)
Le général Lebrun commandait le 12em corps à Bazeilles en 1870 dont faisaient partie les marsouins de la division bleue de l'infanterie de marine (148)
Alain Convard, sportif de haut niveau. La salle des sports porte le nom de cet archer qui participa avec gloire aux Jeux Olympiques de Munich en 1972. Son père Jean Convard a été instituteur à Belleville de nombreuses années. (230)
* François Etienne (né en 1846): officier d'académie, contribue à l'embellissement de la plupart des édifices religieux et civils en France comme à l'étranger. (166)
Il n'y a pas de personnalité célèbre liée a ce village, du moins de nos jours, des gens entament néanmoins des recherches afin de connaitre le passé, sans doute y a-t-il eu dans le passé des personnes connues oubliées de nos jours. (239)
* Marie Michel Alexandre Rene AUDEOUD, Lieutenant-colonel, Officier de la Légion d'honneur, Commandant supérieur des troupes du groupe de l'Afrique Occidentale, né le 07/09/1854 à Buxières-sous-les-Côtes.[2] (252)
* Marie Laurence NOËL : est, avec son associée, à l'origine des 2 premières Société Coopérative Ouvrière de Production en Guyane Française [3]. (207)
*Léon Dormois: Né en 1891 à Sivry sur Meuse, d’une longue lignée de paysans, Léon Dormois est remarqué très jeune par son instituteur qui le pousse à faire l’école normale dont il sort diplômé à 19 ans. A peine a-t-il commencé à exercer, après avoir fini son service militaire au Bataillon de Joinville en tant que gymnaste de haut niveau, qu’il est mobilisé pour la guerre qui vient de se déclencher. (article manquant)
Sous-lieutenant de réserve, il est fait prisonnier et s’illustre par trois tentatives d’évasion qui échoueront de peu et lui vaudront la médaille des évadés : la première fois à l’aide d’une corde de la forteresse de Königstein en compagnie d’un lieutenant russe, puis par un souterrain du camp de Strohën, et enfin caché dans un camion du camp de Füschburg. (386)
A son retour, il se marie avec Clotilde Beauzée, fille d’instituteur meusien, et est nommé à Dannevoux, où durant plus de 30 ans, il instruira des générations d’élèves avec exigence, humanisme et dévouement, attentif à développer leur potentiel physique et intellectuel afin de les préparer à leur entrée dans la vie active. (342)
A la retraite, il continue à se dévouer pour le bien public, en étant secrétaire de mairie et correspondant de L'Est Républicain, le grand quotidien de Nancy. Curieux de tout et de tous, il apprend l’anglais, se perfectionne en russe, joue du violon et lit tout ce qui lui passe sous la main. Il discute inlassablement avec tous ceux qu’il peut rencontrer au cours de ses balades en solex sur les routes meusiennes. A la tête d’une famille de 4 enfants et 7 petits enfants, dont il suit attentivement l’évolution, il s’éteint en 1971. (560)
Voici la vie d’un de ces « hussards de la République » de Jules Ferry, qui contribuèrent tant à développer partout en France une éducation de masse, empreinte d’exigence et de valeurs humanistes et républicaines. (234)
* On y porta disparu au cours des combats du , le romancier Alain-Fournier, lieutenant de réserve parti en campagne dès la mobilisation avec le 288e régiment d'infanterie. Cette disparition fit travailler l'imaginaire de beaucoup jusqu'à ce que son corps fût retrouvé et identifié dans une fosse commune allemande en 1991 à quelques centaines de mètres de la Tranchée de Calonne. (427)
C'est le pire des maudits trous perdus où j'aie jamais atterri. Sur la voie sacrée de Verdun. Un petit village clairsemé de part et d'autre de la route principale. La plupart des maisons...ont été consciencieusement détruites par les bombardements passés... (290)
Le calme absolu, un calme de mort. (34)
Grande concentration d'ambulanciers. (36)
La campagne sombre déroule largement ses moissons brunes - étendues sous une pluie grasse, sous du crachin, sous de la bruine, ou sous des déluges - mais toujours sous la pluie. (180)
3 août, pluie, pluie, pluie... (31)
Erize a pu être tout d'abord une petite ville sans attraits, mais à présent, avec la moitié des maisons qui ne sont que des coquilles pleines de gravats et de fumier boueux, et le sol partout piétiné en une sorte de brouet par le défilé ininterrompu des troupes et des camions, c'est incroyablement le symbole de l'intense ennui latent de la guerre ». (360)
Ces quelques lignes décrivant l'aspect du village d'Érize-la-Petite durant la première Guerre mondiale sont tirées du livre d'un américain, ambulancier engagé volontaire pour servir sur le front et en poste au village. Cet ouvrage est l'Initiation d'un Homme : 1917. (280)
Ce soldat, c'est John Dos Passos (1896-1970), un des écrivains américains majeurs du XXe siècle. (107)
Entre le 3 septembre 1918 et la fin de la Grande Guerre, le village hébergeait la base aérienne de quatre escadrilles américaines, y inclus le 94th Aero Squadron de l'as des as Eddie Rickenbacker. Les autres escadrilles étaient numérotées 95th, 27th et 147th. (269)
Durant la première guerre mondiale le Général Pétain, qui est devenu Maréchal en décembre 1918 par décision de Mr le Président de la République Poincaré originaire de Bar le Duc, y a effectué une prise d'Arme avec remise de décoration. (247)
D. Ignace Philbert (1602-1667), Bénédictin, Abbé de Saint-Denis et de Saint-Germain-des-Prés, auteur de plusieurs ouvrages sur l'histoire des Bénédictins. (160)
* Louis du Grandrupt, industriel ( maître des verreries ), maire des Islettes et conseiller d'arrondissement, président du comité de l'Action libérale populaire de Verdun avant 1914, candidat aux législatives de 1919 sur la liste républicaine démocratique libérale. (277)
* Robert du Granrupt, fils du précédent, ingénieur ECP, industriel, maire des Islettes à partir de 1929, ancien combattant ( officier d'artillerie, officier de la Légion d'honneur, 7 citations ), chef d'escadron d'artillerie de réserve, président de la section locale d'anciens combattants, vice-président du Centre républicain meusien dans la seconde moitié des années 1930, membre de l'Union catholique. (416)
* André du granrupt, frère du précédent, président de la section locale de l'Union catholique, président fondateur de la section locale des Croix-de-feu, vice-président du Centre républicain meusien à la mort de son frère en janvier 1937<ref>Jean-François Colas, "Les droites nationales en Lorraine dans les années 1930 : acteurs, organisations, réseaux", thèse de doctorat, Université de Paris X-Nanterre, 2002</ref> . (464)
Né le 30 Novembre 1843 dans la vieille maison à l'ombre de l'église, professeur au Petit Séminaire de Verdun, aumônier du Pensionnat de Juvigny, curé de Han-lès-Juvigny, Jésuite en 1871, missionnaire en Chine, évêque d'Amathonte et sacré à Shanghaï en 1901, décédé dans sa mission du Tché-Ly en (?). (320)
* Nicolas Maillard ( 1842 - 1910 ), inventeur de la cuisinière Maillard.<br /> La cuisinière faisait office de feu à l'âtre et de fourneau.<br /> (169)
On peut voir sur sa tombe au cimetière de Ligny-en-Barrois une plaque de bronze représentant la cuisinière de son invention. (127)
* Oscar Forget, qui fut secrétaire de Mairie, a écrit une "Histoire de Lion-devant-Dun" sous forme d'un cahier écrit à la main en trois ou quatre exemplaires. Par ailleurs, il a laissé un cahier de mémoire dont le texte est disponible sur une partie bientôt consacrée sur wikipedia ou ici (306)
Rudolph DIESEL, l'inventeur bien connu du moteur qui porte son nom, et le meusien Frédéric DYCKHOFF, ont créé en 1897 à Bar-le-Duc la Société française des moteurs Diesel à combustion interne, et ont édifié à Longeville la première usine de fabrication, en France, de moteurs diesel. Il subsistait, en 2006, une friche industrielle le long de la voie ferrée de Paris à Strasbourg. (395)
La personnalité de Manheulles est le général Auguste Margueritte, qui y est né en 1823. (92)
A huit ans, il quitte la Meuse pour suivre son père, gendarme, qui est nommé en Algérie. Le Général Margueritte, héros de la guerre de 1870, a reçu devant Sedan, le 1er septembre 1870, une blessure qui lui sera fatale (il décèdera en Belgique, cinq jours plus tard). Malgré sa blessure (une balle lui a traversé les joues), il mène avec sa division de chasseurs d'Afrique une charge suicidaire contre les troupes prussiennes. (464)
Une statue, érigée à sa mémoire en 1884, s'élève aujourd'hui encore sur la place de Fresnes-en-Woëvre. Décapitée en 1914, elle a été remodelée quelques années plus tard. (182)
Jacques Charles François Deulneau, lieutenant de la maréchaussée de Verdun à la fin de l'ancien régime, est connu pour avoir débarrassé l'actuel département de la Meuse de nombreuses bandes de brigands dont "la bande à Duchêne". (249)
Elu en 1789 par ses pairs du verdunois et du marvillois pour présenter les cahiers de doléance à Paris, il démissionne de cette tâche en août 1789 pour venir prendre sa retraite et élever ses enfants à Mogeville. Il est mort dans cette commune en 1823. (260)
Chirurgien. Formé à Châlons, puis à Paris, Humbert accompagne l'armée d'Italie en 1799, et il enseigne à l'hôpital de Turin et à celui de Milan en 1800. La même année, il rentre à Châlons, puis s'installe à Morley (Meuse), ville dont il est maire de 1803 à 1812. En 1805, il est chirurgien-chef de l'hôpital de Joinville (Haute-Marne). Il se spécialise dans le traitement des déformations des membres inférieurs et de la colonne vertébrale, et fonde un établissement orthopédique à Morley, en 1817. Jusqu'en 1846, il y soigne de nombreux patients venus de France et de l'étranger. Il décède en 1850 à Morley. (634)
Humbert a publié ses travaux sous les titres suivants : Essai et observations sur la manière de réduire les luxations spontanées de l'articulation ilio-fémorale (Bar-le-Duc, 1831-1834), qui lui fait remporter le prix Montyon de l'Académie de médecine ; De l'emploi des moyens mécaniques et gymnastiques dans le traitement des difformités du système osseux (1835) ; De l'invention et de l'emploi de l'hybomètre, instrument destiné à faire connaître les divers changements que le corps éprouve par suite d'une incurvation du rachis (Bar-le-Duc, 1834). (564)
En septembre 1914, lors d'une attaque à Vaux les Palameix (Meuse) près de Verdun, Marcel LOISEAU soldat au 106 éme RI et agent de liaison est blessé. Il se rend à l'infirmerie quand il croise le capitaine Girard qui lui donne l'ordre de regagner les lignes malgré sa blessure. Le soldat qui souffre, désobéit et rejoint l'infirmerie pour se faire soigner. Le capitaine Girard rédige un rapport et l'accuse se s'être mutilé volontairement. Le conseil de guerre condamne Marcel LOISEAU à la peine de mort pour abandon de poste et mutilation volontaire. La sentence est exécutée le lendemain, à Mouilly. (635)
Le 17 mars 1922, la chambre criminelle de la Cour de cassation constatant qu'il n'y avait pas de charges suffisantes, réhabilitait le fusillé. (144)
Moulinsboy, pseudonyme d'un grand résistant du nord meusien qui sauva beaucoup de vie juives en les cachant dans sa cave. (122)
Régulièrement, nous pouvons voir les jeunes enfants de la commune dans la rue haute, arpenter les rues, depuis que la commune ( ancienne mairie datant d'avant la première guerre mondiale ) a été rénovée. Il y a en dessous le lavoir, existant depuis le XIX siècle, où s'est déroulé il n'y a pas longtemps une pêche à la truite, organisé par le maire pour inaugurer la commune. (389)
La commune comporte une école maternelle, où les enfants des communes respectives de Autreville, Moulins st Hubert, Inor, et Pouilly-sur-meuse . L'école se situe dans le bâtiment de la nouvelle mairie, au milieu du village. (227)
Nous comptons également des collégiens, ainsi que deux lycéens, allant au lycée-collège de leur canton Stenay. (116)
Egalement des étudiants. (25)
La commune comporte un cimetière, se situant dans le jardin de l'église construite au VIII siècle, détruite, et reconstruite plusieurs fois pendant les guerres. (164)
Neuville en Verdunois, petit village de la Voie Sacrée (guerre 14-18) qui connut son heure de gloire pendant la guerre de Trente Ans, sous la protection seigneuriale de sa Dame, Barbe d’Ernecourt de Saint Balemont. Ce chevalier au féminin servit, sous l’armure, la communauté contre tous ses agresseurs,Suédois, Français, Allemands ou Croates. L’Histoire retiendra cette héroïne sous le nom d’Amazone Chrétienne. (466)
Issu d'une famille pauvre, il devient serrurier à Nancy puis horloger de la ville. Il invente de nombreux outils scientifiques pour le duc de Lorraine Léopold de Lorraine. Pour le duc Stanislas, il invente les machines hydrauliques qui alimenteront les automates du jardin de Lunéville. Ses découvertes seront utilisées dans les mines du Pérou. (410)
Il rejoint l'ancien duc de Lorraine François III en Toscane et à Vienne. Ses inventions le firent surnommer "l’Archimède Lorrain". (201)
Il est né le 30 septembre 1828 à Regnéville de parents cultivateurs. Après des études au séminaire de Verdun, il est ordonné prêtre le 10 avril 1852. Il est professeur de "belles lettres " au petit séminaire de Verdun, avant d'être curé des Islettes, de l'église Saint-Étienne de Saint-Mihiel et curé-doyen de Ligny-en-Barrois. Il est l'auteur d'une notice sur le sépulcre de Saint-Mihiel, d'une étude sur les Ligier et leurs œuvres, d'un écrit sur Notre Dame des Vertus de Ligny-en-Barrois et de quatre tomes sur l'hostie sainte. (558)
Jean GUEUSQUIN, né à Regnéville en 1782, époux de Marie Madeleine DULPHY. (83)
Un de ses fils, Joseph GUEUSQUIN part tenter sa chance à Paris comme marchand de vins. Vers 1840, il découvre le Val d’Aulnay en venant, le dimanche, traîner ses guêtres au bal de Sceaux, très fréquenté à l’époque. Sur le territoire de la commune de Plessis-Piquet, aujourd’hui dans les Hauts-de-Seine, il est émerveillé par les énormes châtaigniers à la taille tout à fait remarquable. Il imagine alors d’installer dans le plus grand d’entre eux des plates-formes et des cabanes reliées par un escalier. Il ouvre, en 1848, le premier bal-restaurant dans cet espace boisé un peu à l’écart du bourg. Parce qu’il est grand amateur de récits d’aventures et que la vie de Robinson Crusoé sur son île déserte le passionne , il nomme son établissement "Au Grand Robinson”. C’est le succès : le Tout Paris y défile. D’autres cabarets, une trentaine, s’installent. L’endroit devient vite un véritable hameau appelé Robinson. La tradition des guinguettes à Plessis-Piquet est lancée. On y déguste de la friture de poissons, de la matelote d’anguilles et plus tard des moules-frites. On y danse la polka, la valse et le quadrille puis le musette au son de l’accordéon. On y profite des balançoires et des loisirs liés à l’eau comme la pêche ou le canotage. (1319)
* Joseph Depardieu né en 1804 à Rigny-la-Salle, (décédé en 1861 à Rembercourt-aux-Pots, à l'âge de 57 ans), à été nommé prête de Rembercourt. (article manquant)
* Lieu d'origine des parents d'André Maginot 1877-1932 et lieu de son inhumation. (86)
* Village où est né le 19 novembre 1895 l'académicien Pierre Gaxotte. Élu à l'Académie française au fauteuil de René Grousset le 29 janvier 1953 et reçu par le Général Weygand le 29 octobre 1953. Décédé le 21 novembre 1982 et enterré au cimetière communal. Il a notamment écrit un livre de souvenirs sur Revigny qui a pour titre "Mon village et moi". (393)
Louis Best est né dans la vallée de la Saulx, à Rupt-aux-Nonains, le 6 juillet 1879. (87)
Il est parti le 1er août 1914 pour le 330ème régiment d’infanterie de Bar-le-Duc. Dans ce régiment se trouvait André Maginot (homme politique et ministre meusien). (171)
Louis Best a été nommé 13 fois : 5 fois à l’ordre de l’armée et 8 fois à l’ordre du régiment. (106)
Il a reçu la croix de guerre et la croix de chevalier de la légion d’honneur sur le front, pour s’être jeté sous le feu des balles ennemies pour sauver le politicien André Maginot et quelques camarades. (212)
En février 1921, à Saint Germain en Laye (près de Paris), il a été sacré « As des As de l'infanterie française » lors d’une cérémonie en présence du Président de la République Mr Millerand et du Maréchal Foch. Il avait été choisi parmi les 5 meilleurs soldats ayant reçu la légion d’honneur sur le front. (327)
Après la guerre, il a repris son métier d'agriculteur à Rupt aux Nonains. (76)
En décembre 1951, il a eu un accident de voiture et il est mort peu après. (76)
* Le prince de Phalsbourg et la princesse (née Henriette de Lorraine) possédèrent la seigneurie et firent construire le château classique (voir ci-dessus). Le prince, la princesse et le dernier mari de celle-ci sont inhumés dans l'église Sainte-Lucie. (300)
* Le président Raymond Poincaré résida dans le château du Clos. (71)
M. Possien, maire de Ligny-en Barrois, sa fille Thérèse née en 1895 mariée à Jean Duflos dont elle a eu 4 enfants : Martine, Nicole, Annette, François. (157)
FRANCOIS-LOUIS de MORLAND (le général d'Empire connu sous le nom de général Morland, une avenue de Paris porte son nom et il partage avec Sully celui d'une station de métro). (179)
FRANÇOIS GOSSIN (juriste, parlementaire, membre de la commission qui créa les départements français) (104)
# Jérôme Klopp (chef d'entreprise) / Expatrié à Rio de Janeiro au Brésil (1972- ), a acquis une notoriété dans le domaine de la photographie digitale au Brésil. (170)
D'après des documents originaux huit habitants de la commune de Thierville-sur-Meuse ont participé dès 1793 aux guerres de la Révolution « pour deffendre la Patrie, maintenir la République francaise, et soutenir la Liberté et l'Égalité... » : Louis GENIN, Jean-Nicolas GUILLAUME', Baptiste HENRY, Nicolas Barnabé DOUCET, Jacques LEJEUNE, Francois HOUDINET, Sébastien MAZUET, Sébastien ERARD et Jean-François ROBINET. (430)
Sous la direction du maire DOUCET et des officiers municipaux AUBRY, AUBERTIN, HOUDINET et le greffier M. ROGÉ, en 1791 fut confié à Louis PIERRARD l'entretien d'un « porc mâle » pour le troupeau de la Commune ; en 1792 le Maréchal ferrand Pierre BEGARD fut condamné à payer « pressament la somme de cent cinquante livres pour lamande (sic !) prononcée contre lui sur rapport de deux cent bêtes à laine ... trouvées pâturant dans la prerie (sic !) à la contrée de devant la Tour ... », etc. La même année l'on a organisé des réserves de grains « suivant l'usage pour le profit des laboureurs » ; Nicolas DIEUDONNÉ et Jacques PONSARD furent nommés « gardes champêtres ... pour faire observer la police dans toutes ses formes... » ; Antoine ROBINET fut nommé « Maitre d'Écolle » ; et enfin à Jean BOURGEOIS fut confiée la « garde du troupeau des moutons » appartenant aux habitants de Thierville et au « pâtre François Le Clerc ... le troupeau de vaches ». Voilà quelques noms de vieux habitants de Thierville-sur-Meuse dont sûrement l'on aurait perdu la trace sans la découverte de ces quelques « vieux papiers ». (1159)
* François Proth <ref>Hugh C. Williams, Edouard Lucas and Primality Testing , (article manquant)
Canadian Mathematical Society Series of Monographs and Advanced Texts, vo. 22, John Wiley (89)
& Sons, 1998. (ISBN0-471-14852-0) - source non consultée mais connue via une page du site web de John B. Cosgrave au St Patrick's College de Dublin.</ref> (281)
* Antoine Pelgrin, lieutenant de la haute justice de Vouthon-Haut en 1676.<ref>Généalogie Lorraine, mars 1996 N° 99 par Alain PETIOT</ref> (167)
* Joseph Pelgrin, juge des Vouthons, né vers 1649 , + 14 octobre 1724 Vouthon-Haut.<ref>Vouthon Haut et ses seigneurs par Henri LABOURASSE, 1890, dans mémoires de la société des Lettres, Sciences et Arts de Bar le Duc 2e série tome 8</ref> (275)
* Joseph, Prêtre et chanoine, aumônier de l'hôpital Saint Laurent de Langres (89)
L'abbé Alfred-Nicolas Weber est né à Wavrille le 23 septembre 1843. Il a été chanoine de Verdun, et est l'auteur de nombreux ouvrages religieux en particulier "Les quatre Evangiles en un seul", tiré à quatre millions d'exemplaires et traduit dans de nombreuses langues. Il est mort à Verdun le 12 décembre 1912. (330)