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Alternatives Pyrénées est le nom partagé par l’association et le site d'informations citoyen et participatif, animé par ses membres, ouvert aux contributions. L'objectif est de favoriser la libre expression et le débat public, dans les territoires entre Garonne (au nord) et Pyrénées.

Description modifier

Alternatives Pyrénées a l’ambition d’être, grace à ses contributeurs, un « journal citoyen pour le Béarn, la Bigorre, le Pays basque, les Landes, le Gers et l'Ariège ».

A ces territoires des Pays de l'Adour et de la Gascogne pyrénéenne s'ajoute un intérêt pour le versant espagnol correspondant des Pyrénées : Aragon, Navarre et Pays Basque.

L'association est déclarée d’intérêt général depuis 2013[1]

Historique modifier

Alternatives Paloises modifier

L’association Alternatives Paloises est fondée en 2003, notamment par le journaliste Bernard Boutin[2], président jusqu’en ? : élu au Conseil municipal de Pau, il laisse alors la présidence à Joël Braud. Le site internet éponyme[3] est fondé en parallèle, sur lequel 7 600 articles seront publiés jusqu'en 2013[4]. Le site est toujours accessible, mais figé.

Alternatives Paloises est plus centré à l'origine sur la région de Pau, tout en s'intéressant aux territoires voisins. En mai 2013 Alternatives Pyrénées lui succède[5], le changement de nom marquant l'objectif de couvrir l'ensemble des départements des Pays de l'Adour et les Pyrénées et leur piémont jusqu'à l'Ariège.

Prises de position modifier

Avec l’objectif de favoriser la participation des citoyens aux décisions majeures concernant l’agglomération paloise, comme le réaménagement des Halles, Alternatives Paloises lance (via son site) en 2012 une pétition qui recueille 2 500 signatures[6].

En 2014, Alternatives Pyrénées suggère au maire de Pau François Bayrou de diffuser en continu (via une webcam) la vue depuis le Boulevard des Pyrénées[7].

Des membres d'Alternatives Paloises (puis d'Alternatives Pyrénées) ont pris position en faveur de plus de coopérations, politiques notamment, entre Béarn (Pyrénées-Atlantiques) et Bigorre (Hautes-Pyrénées)[4]. Parmi les idées émises, celle d'une métropole Pau-Lourdes-Tarbes ; alors que les villes-préfectures (Pau et Tarbes) de ces deux territoires limitrophes sont distantes de 45 km, elles sont dans deux régions séparées : Aquitaine (devenue Nouvelle-Aquitaine) et Midi-Pyrénées (devenue Occitanie).

Association Alternatives Pyrénées modifier

Objet[8] : « Mise en place de moyens favorisant la "libre expression" et le débat public ainsi que la valorisation de la culture, dans les territoires situés entre Garonne et Pyrénées ; ces moyens peuvent prendre la forme de sites électroniques, de newsletters (lettres d’information), de participations à des conférences et de tous autres types d’actions permettant de réaliser l’objet de l’association ; les sites et newsletters seront mis à la disposition du public sous le nom Alternatives Pyrénées (..) »

Les membres de l'association Alternatives Pyrénées gèrent le site éponyme.

Site Alternatives Pyrénées modifier

Le site est propulsé par Wordpress. Les articles et contributions sont classés selon deux types de thèmes :

  • Géographique (Territoires) : Pyrénées, Béarn, Bigorre, Pays basque, Landes, Gers-Adour, Aragon-Navarre-Euskadi
  • Dossiers : Transparence, Grands projets, Infrastructures de transport, Elections locales
  • ainsi que : Débats Publics, ou Autres

Notes et références modifier

  1. « Qui sommes-nous ? », sur Alternatives Pyrénées
  2. « Bernard Boutin », sur Huffington Post (consulté le )
  3. Alternatives Paloises
  4. a et b Andy Barréjot, « Bigorre et Béarn : effacer ce mur de l'Atlantique ; «Une voie citoyenne» », sur La Dépêche du Midi, (consulté le )
  5. Patrice Sanchez, « Le Palois, devenu habitant de l’agglo, n’existe plus », sur Sud Ouest, (consulté le )
  6. Nicolas Rebière, « Halles : 2015 personnes prêtes à donner leur avis », sur Sud Ouest, (consulté le )
  7. « Pau : une webcam sur le boulevard des Pyrénées ? », sur Sud Ouest, (consulté le )
  8. Alternatives Pyrénées (Déclaration de l’association à la préfecture)

Lien externe modifier

suite suppression article modifier

merci pour vos explications, je vais me documenter plus en profondeur comme recommandé. Il n'était pas clair qu'un quotidien régional (au moins ceux qui ont une diffusion comparable aux quotidiens nationaux) n'est pas considéré comme source suffisante, pour création de page. Dernière question du jour : si j'estime (plus tard) être parvenu à respecter la règle, dans quel délai est-il possible de demander la restauration d'une page supprimée ?

Notification Basilics : - Bonjour, vous pouvez demander une restauration de page sur WP:DRP en indiquant des liens externes fiables WP:Citez vos sources, vers la presse nationale ou internationale ayant fait des articles centrés sur ce sujet, une simple citation ne suffisant pas, sur une période espacée de deux ans - Bonne continuation Lomita (discuter) 30 juin 2018 à 10:23 (CEST)

Vastin Lespy et Paul Raymond, Dictionnaire béarnais ancien et moderne, Marrimpouey nouvelle édition, , 660 p.

Vincent Foix, Dictionnaire gascon-français, Presses universitaires de Bordeaux]], , 817 p.