Liste des collèges et lycées de Paris

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Cet article dresse la liste des collèges et lycées de Paris (France).

Les lycées de garçons sont créés en 1802. Jusqu'aux années 1880, quand sont établis les lycées de jeunes filles, Paris est la seule ville de France à compter plusieurs lycées. Contrairement au reste des lycées du pays (un par ressort de cour d’appel puis un par département), ils ne sont pas soumis à une circonscription urbaine[1].

Histoire modifier

Genèse et concentration dans le Quartier latin modifier

Le collège Louis-le-Grand vers 1789.

Les lycées sont héritiers des collèges royaux qui, sous l'Ancien régime, se situaient sauf exception dans le Quartier latin, à l'instar du collège de Clermont. L'entassement de ces établissements parisiens dans une zone dense percée de petites ruelles suscite des critiques mais, dans les années 1760, les projets de déménagement rive droite n'aboutissent pas. Réduits à cinq sous la Révolution, ils prennent le nom d'« écoles centrales ». Pour les accueillir, on privilégie les biens aristocratiques et religieux confisqués, pour des raisons de coût et de praticité (chaque école doit se situer près d'une bibliothèque, d'un jardin, d'un cabinet d’histoire naturelle et d'un cabinet de chimie-physique, choses dont ne disposaient pas les anciens collèges). Ce plan n'est finalement adopté que pour deux écoles, dont celle qui investit l'abbaye Sainte-Geneviève. Avec la fermeture du collège des Quatre-Nations, situé plus à l'ouest, le Quartier latin retrouve sa suprématie, bien que les écoles sont moins entassées qu'auparavant. Au début de l'Empire, la création du lycée ne s'accompagne pas de la construction de nouveaux établissement mais de la transformation des maisons d’éducation préexistantes : au Prytanée français et à l'école centrale du Plessis succède le lycée Louis-le-Grand, le lycée Charlemagne remplace l’école centrale de la rue Saint-Antoine et le lycée Condorcet, rive droite, ouvre dans un ancien couvent ; avec le lycée Henri-IV, ils sont les seuls lycées de Paris. Pourtant le nombre de lycéens parisiens augmente vite (environ 1800 en 1809 contre près de 3700 en 1812) ainsi que la demande d'internat (plus de 900 internes en 1812), alors que seuls les lycées de la rive gauche en proposent. En 1811, Napoléon annonce la création de quatre nouveaux lycées, notamment au profit de l'Est de Paris, pour arriver au nombre de huit, mais la Restauration met un terme au projet : seul le collège royal de Saint-Louis voit le jour en 1820, encore dans le Quartier latin[1].

La cour du lycée Condorcet, ancien cloître.

Cette situation reste figée pendant une soixantaine d'années, jusqu'au début de la Troisième République. Les élèves parisiens ne disposent que de cinq lycées, auxquels s'ajoutent des établissements privés, laïcs ou religieux, après la loi Falloux de 1850. Comme sous l'Ancien régime, la rive droite reste globalement délaissée, ainsi que l'Ouest de Paris. Malgré les demandes de la population et même après l'annexion des faubourgs en 1860 et les transformations haussmaniennes, les autorités ne créent aucun nouvel établissement à Paris, si ce n'est le ministre Victor Duruy qui installe à 700 mètres de la porte de Versailles ce qui est de nos jours le lycée Michelet de Vanves, une annexe de Louis-le-Grand. Quant au baron Haussmann, il ne fait qu'agrandir les lycées Saint-Louis, Henri-IV et lycée Condorcet[1].

Multiplication de lycées au début de la Troisième République modifier

En août 1870, lors de la guerre franco-prussienne, le ministre de l'Instruction publique Jacques Mège autorise les troupes et les ambulances militaires à occuper les bâtiments scolaires. Lors du siège de Paris y stationnent également des gardes mobiles, des gardes nationales et des ateliers d'équipements[1].

Le lycée Janson-de-Sailly, premier lycée de l'Ouest parisien.

À partir de 1879, sous la conduite du vice-recteur Octave Gréard et du ministre Jules Ferry, les républicains s'engagent à pallier les problèmes de demande, les cinq lycées de la capitale ne suffisant plus : Louis-le-Grand est reconstruit, dans l'Ouest le lycée Janson-de-Sailly est créé et de nouveaux établissements sont projetés dans l'Est, le 17e et le 15e arrondissements. À cela s'ajoutent bientôt les lycées de jeunes filles, que la loi vient d'autoriser. Cette effervescence se déroule dans un mouvement général, qui voit également la construction de nombreuses écoles élémentaires et la reconstruction de la Sorbonne. Les travaux sont rapides et se multiplient : un nouveau lycée est créé à chaque rentrée scolaire à partir de 1882, soulageant les anciens établissements. Le nombre d'élèves s'accroit fortement : entre 1879 et 1914, il triple. Dans les arrondissements de l'Ouest, l'emplacement des nouveaux lycées de garçons est choisi avec soin, afin de contrer l'influence des établissements religieux qui s'y étaient implantés durant les dernières décennies, et ce dans un contexte national de lutte entre républicains anticléricaux et catholiques. Ainsi, trois lycées voient le jour à l'Ouest (Janson-de-Sailly, Buffon et Carnot) contre un seul à l'Est (Voltaire), là où les établissements religieux ne sont pas nombreux. Quant aux lycées de jeunes filles, ils sont érigés à proximité des lycées de garçons (Fénelon dans le Quartier latin, Racine près de Carnot, etc.) et dans les arrondissements centraux, à l'exception du lycée Molière, dans le 16e arrondissement[1].

Si les lycées essaiment, un nouveau déséquilibre se dessine toutefois, cette fois-ci au détriment des quartiers Est, du nord au sud, plus populaires, où l'on trouve a contrario la majeure partie des écoles professionnelles. On ne peut toutefois pas parler de « ségrégation géographique ou sociale » note l'historien Marc Le Cœur, puisque les progrès des transports ferroviaires et l'emplacement des lycées à proximité de gares facilite les conditions d'accès. Excentrés à l'Ouest, Janson et Molière sont ainsi érigés près de la ligne de la Petite ceinture et grâce à sa proximité avec la gare Saint-Lazare, Condorcet devient le lycée le plus fréquenté de la capitale. L'éloignement devient moins un problème que la longueur des trajets, que les élèves doivent désormais parcourir seuls[1].

Par la suite, le nombre de constructions ralentit. Aucun nouveau lycée n'est créé entre le lycée Victor-Hugo (1895) et le lycée Victor-Duruy (1912). Alors que la population scolaire continue de croître, il faudra attendre l'entre-deux-guerres pour qu'une nouvelle campagne de constructions s'impose dans Paris et, nouveauté, également en banlieue. C'est seulement à ce moment-là que la création de nouveaux établissements se fera en lien avec la population ; ils deviennent des lycées de quartier, fréquentés par des élèves résidant à proximité[1].

Architecture modifier

Comme le note Marc Le Cœur, les lycées français restent pendant une longue période des « établissements confinés et cloisonnés où vivent recluses d’importantes populations d’enfants et d'adultes de toutes conditions ». Mais au fil du temps, leur aménagement d'abord primitif se rationalise, prenant en compte les nouvelles exigences pédagogiques, hygiénistes et de discipline, jusqu'à façonner une typologie architecturale scolaire nouvelle. Ces généralités n'empêchent cependant pas de fortes hétérogénéités : ainsi, avant sa reconstruction (1885-1898), Louis-le-Grand était un ensemble de bâtiments disparates délabrés, bien éloignés du style harmonieux de son voisin Henri-IV, bordé de jardins et de vergers. Pourtant, tous les lycées ont l'inconvénient de devoir partager certains bâtiments avec d'autres équipements publics (musées, facultés, etc.), qui perturbent leur fonctionnement et freinent leur rationalisation. Par exemple, jusqu'à la construction de la bibliothèque Sainte-Geneviève à partir de 1843, ses locaux situés dans Henri-IV privent le lycée d'un étage entier. Au début des années 1840, le ministre Abel François Villemain met un terme à ces enchevêtrements de compétences[1].

Dans les années suivantes, certains lycées doivent par ailleurs batailler pour ne pas disparaître, leur emplacement suscitant des convoitises (à titre d'exemple, la construction d'une basilique était envisagée en 1853 sur le terrain de Condorcet) et s'adaptent aux transformations urbaines, qui leur retirent parfois certaines parcelles ou leur en donnent de nouvelles. La trop grande proximité avec d'autres immeubles suscite également du désordre : un treillage est ainsi installé devant les façades du lycée Saint-Louis, enclavé, pour empêcher les troubles provoquées par les prostituées et les étudiants qui habitent les bâtiments en vis-à-vis. La nécessité pour les lycées de posséder la totalité de leur îlot devient impérieuse mais ne se réalise que rarement, notamment pour des raisons financières[1].

L'imposante façade du lycée Chaptal.

Il faudra attendre le jalon important que constitue la construction d'établissements ex nihilo sur la totalité de la surface d'îlots quadrangulaires (Chaptal en 1876 et Rollin en 1877), aux façades dégagées et à l'organisation rationnelle et respectueuse de l'hygiène. Leur architecture monumentale connaitra le succès et sera imitée par la plupart des grands lycées construits sous la Troisième République, jusqu'à la Grande guerre. Leurs hautes façades rectilignes les protègent du monde extérieur et ils s'imposent dans l'urbanisme parisien, conduisant par ailleurs à l'urbanisation de nouveaux quartiers et l'installation de familles bourgeoises à proximité, qui souhaitent que leur progéniture y étudie. L'historien Gustave Dupont-Ferrier note ainsi à propos des environs des lycées Buffon et Janson : « Le quartier fit autant pour la fortune du lycée, que le lycée pour la fortune du quartier ». Mis à part le lycée Molière, cette logique ne vaut pas pour les lycées de jeunes filles, aux dimensions plus modestes. Marc Le Cœur note ainsi que les établissements dévolus aux filles « s'apparentent à de vastes demeures bourgeoises, enchâssées dans des immeubles et ouvertes sur des voies secondaires, à l'abri du tumulte de la cité ». Ainsi, Fénelon et Lamartine occupent d'anciens hôtels particuliers, tandis que Racine est érigé sur une parcelle étriquée et en pente[1].

« Petits lycées » modifier

Le petit lycée de Fénelon, situé en face du lycée originel.

L'augmentation de la population scolaire et les nouveaux besoins exigés par les progrès de l'hygiène rendent au XIXe siècle de plus en plus pressants l'agrandissement des lycées. Les solutions trouvées sont multiples : lotir des espaces de la parcelle qui ne l'étaient pas encore (Henri-IV), acquérir des bâtiments mitoyens (Racine) voire surélever l'édifice (Condorcet). Mais cela ne suffit pas toujours et des initiatives de fortune sont lancées, comme à Louis-le-Grand et Saint-Louis en 1880, qui installent des baraquements dans leur cour. Solution plus pérenne, l'administration encourage ensuite la création des « petits lycées ». Il s'agit de quartiers spéciaux de l'établissement, auparavant situés dans un coin du lycée, et qui abritent les petites classes destinées à former le futur vivier des lycéens (à une époque ou le collège unique n'existe pas). Au motif initial d'éloigner les jeunes élèves des mauvaises manières des lycéens s'ajoute bientôt la nécessité de désengorger les lycées et d'aménager à la place libérée des équipements jugés nécessaires (cour, gymnase, internat). Il s'agit souvent d'annexes, simplement séparés du vieux lycée par une rue peu passante (petit lycée Fénelon) mais parfois situés beaucoup plus loin (petit lycée Condorcet), notamment en raison du manque de terrains disponibles, si bien qu'on y délocalise également certains équipements dédiés aux petites classes (administration, réfectoire, etc.) au point, note Marc Le Cœur, que « ces établissements n’ont-ils de "petit" que la dénomination » : le « petit Louis-le-Grand » est ainsi presque aussi vaste que l'originel. En conséquence, ces lycées finissent souvent par obtenir leur indépendance, ce qui est fait en 1891 pour le dernier établissement cité (futur lycée Montaigne)[1].

Environnement urbain modifier

L'administration veille à préserver l'environnement direct des lycées, afin que les abords jugés dangereux ou bruyants ne perturbent pas l'établissement. Il peut s'agir d'activités industrielles, de résidences étudiantes ou de débits de boisson. Sous le Second Empire, le passage du Havre situé près du lycée Condorcet est ainsi considéré comme un lieu de dépravation où les élèves « peuvent [se] procurer des friandises, des images licencieuses, des romans libertins ou des pamphlets politiques ». La probité du personnel enseignant est également surveillée : on aménage donc pour ces derniers des espaces de sociabilité dans les lycées (salon de lecture, salle de jeu), afin qu'ils ne traînent pas au cabaret[1].

La cour intérieure du lycée Molière, typique des lycées érigés sous la Troisième République.

Dans les premiers projets architecturaux, les problèmes liés à voirie sont insuffisamment pris en compte. Devant être bien reliés aux axes de communication, les lycées sont en conséquence confrontés à la circulation ou à l'animation des voies qui la bordent (boulevard Saint-Michel près du lycée Saint-Louis par exemple). Par ailleurs, les lycées érigés sous la Troisième République sont dotés pour des raisons hygiénistes (il faut que l'air circule) et de discipline (les surveillants doivent avoir une vue d'ensemble) de galeries couvertes qui entourent la cour de recréation, obligeant d'établir les salles de classe sur leur pourtour, donc donnant sur la rue (tandis que les écoles primaires choisissent la solution inverse). Ces choix qui marquent l'architecture scolaire sont critiqués, en cela qu'ils exposent les élèves aux courants d'airs et au intempéries obliques dans les galeries, et aux bruits de la rue en classe. Le lycée Buffon en est l'exemple paroxystique : construit le long du boulevard Pasteur, il est bientôt confronté à la présence du métro aérien, aménagé sous ses fenêtres en 1906. Quelques règles sont cependant adoptées pour réduire les nuisances : les salles de classe ne sont pas installées au rez-de-chaussée et certains lycées sont érigés en retrait de la rue, une grille dotée de verdure faisant lieu de frontière[1].

Annexes champêtres modifier

Dès 1776, les autorités avaient installé hors des villes douze écoles royales militaires afin de pallier les médiocres conditions dans lesquelles évoluaient les établissements urbains. Mais seulement quelques centaines d'élèves bénéficièrent du dispositif. Le Second Empire puis la République tentèrent de généraliser cette idée, influencée par l'idéal bucolique venu d'Angleterre et le souci d'éloigner des centres urbains denses les personnes âgées, les malades et les jeunes. Déjà sous l'Ancien régime, certains écoles parisiennes possédaient des lieux de villégiature loin de la ville, servant pour la promenade les jours de congés ; ainsi, Louis-le-Grand disposait d'une maison à Gentilly. En 1787, le collège Sainte-Barbe va plus loin, délocalisant par manque de place ses petites classes à la campagne. L'idée est mise en veille pendant la Révolution mais est reprise sous la Restauration, cette-fois ci dans un but pédagogique et prophylactique, alors que la ville, industrielle et pathogène, commence à être considérée comme néfaste pour les jeunes générations. Ces initiatives sont soutenues par les familles. En 1853, Sainte-Barbe inaugure « Sainte-Barbe-des-Champs » à Fontenay-sous-Bois et Louis-le-Grand transfère ses classes élémentaires à Vanves. En 1861, le ministère de l'Instruction publique recommande désormais ce genre d'entreprises dans toute la France, écrivant : « Dans les grandes villes, où l’air et l’espace sont rares, il est à désirer que le petit collège forme une succursale tout à fait distincte et placée à la campagne ». Trois ans plus tard, après être devenu la succursale champêtre de trois lycées parisiens, le lycée de Vanves obtient son indépendance (lycée Michelet). En parallèle, les autorités de la capitale aménagent des parcs dans la ville et repoussent les hospices à sa périphérie[1].

L'ancienne annexe du lycée Louis-le-Grand, devenu en 1891 le lycée Michelet de Vanves.

Au début de la Troisième République est proposée l'idée de déménager loin de la ville les grandes classes, afin que leurs élèves bénéficient aussi des vertus de la campagne. Toutefois, jusqu'en 1880, ce sont surtout les écoles privées qui investissent la banlieue, encore salubre et peu chère. Par ailleurs, l'idée fait son chemin de ne conserver à Paris que des externats et de délocaliser les internats hors de la capitale. C'est en ce sens qu'il faut comprendre qu'un certain nombre de nouveaux lycées ne proposent que le régime d'externat (Buffon, Voltaire, Carnot). S'ils sont dotés d'internats, c'est uniquement car ils sont à proximité immédiate d'un grand parc (le bois de Boulogne pour Janson, le jardin du Luxembourg pour Montaigne) ou parce qu'ils en possèdent eux-mêmes un (Duruy). Des critiques estiment que le gouvernement n'en fait pas assez sur le sujet, déplorant qu'il n'abandonne finalement pas la tradition des lycées de villes. Il faut cependant mettre à son crédit d'avoir transformé l'ancien petit-lycée Louis-le-Grand, bordant le Luxembourg, en lycée de grandes classes en 1881 (lycée Michelet) ou d'avoir fait construire le lycée Lakanal de Sceaux (1885), en banlieue, considéré comme « le plus anglais aussi des lycées français ». Enfin, il faut noter la diminution progressive de l'intérêt des familles pour l'internat, ce qui explique en partie que ces lycées champêtres ne se sont pas multipliés[1].

En définitive, les lycées de la République diffèrent grandement de ceux de l'époque napoléonienne. Comme le note Marc Le Cœur, les premiers « tenaient tout à la fois de la caserne et du couvent ; longtemps lieux de séjours permanents, ils sont devenus des lieux de passage pour un nombre croissant de professeurs et d’enfants qui ne les fréquentent plus que l'espace de quelques heures quotidiennes ». Désormais davantage ouverts sur la ville, considérée comme une partenaire, les lycées voient au tournant du siècle leurs règlements intérieurs s'alléger (autorisation de parler au réfectoire, personnel féminin embauché pour les petites classes, etc.)[1].

Entre-deux-guerres modifier

Massification des études secondaires depuis les années 1960 modifier

Après la Seconde Guerre mondiale, un certain nombre de lycées parisiens reprend la création d'annexes, qui par la suite acquièrent à leur tour leur indépendance. Par exemple, le lycée Rodin créé en 1956 est l'origine une annexe du lycée Montaigne ; il devient autonome en 1960[1]. Fondé à Montgeron (Essonne) en 1946, l'actuel lycée Rosa-Parks est pour sa part un établissement pilote du lycée Henri-IV, avec qui les liens sont rompus après 1955.

1er arrondissement modifier

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Collège Jean-Baptiste-Poquelin Public Collège - 4, rue Molière

2e arrondissement modifier

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Collège César-Franck Public Collège - 5, rue de la Jussienne
Lycée Jean-Baptiste Lulli Public Lycée sanitaire et social - 44, rue des Jeûneurs

3e arrondissement modifier

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Collège Montgolfier Public Collège - 15, rue Montgolfier
Collège Pierre-Jean-de-Béranger Public Collège - 5, rue Béranger
Lycée Simone-Weil Public Lycée (général et technologique) - 7, rue de Poitou
Lycée Turgot Public Lycée (général et technologique) 1836 69, rue de Turbigo
Lycée Victor-Hugo Public Collège, lycée (général) et CPGE 1895 27, rue de Sévigné

4e arrondissement modifier

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École Massillon Privée sous contrat École primaire, collège et lycée (général) 1877 2 bis, quai des Célestins
Collège François-Couperin Public Collège - 2, allée des Justes-parmi-les-Nations
Lycée Charlemagne Public Collège, lycée (général) et CPGE 1804 14, rue Charlemagne
Lycée des Francs-Bourgeois Privé sous contrat Collège et lycée (général et technologique) 1843 21, rue Saint-Antoine
Lycée Sophie-Germain Public Lycée (général) 1882 9, rue de Jouy
Lycée Théophile-Gautier Public Lycée professionnel 6 bis, place des Vosges

5e arrondissement modifier

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Lycée professionnel Abbé-Grégoire Public Lycée (professionnel) - 30, rue Saint-Jacques
Collège Pierre-Alviset Public Collège 1976 88, rue Monge
Collège Raymond-Queneau Public Collège - 66, boulevard Saint-Marcel
Collège Rognoni Public Collège - 24, rue du Cardinal-Lemoine
Lycée Henri-IV Public Collège, lycée (général) et CPGE 1796
1804
23, rue Clovis
Lycée Jacques-Monod Public Lycée (technologique) - 12, rue Victor-Cousin
Lycée Lavoisier Public Collège, lycée (général) et CPGE 1964 17, rue Henri-Barbusse
Lycée Louis-le-Grand Public Lycée (général et technologique) et CPGE 1563
1803
123, rue Saint-Jacques
Lycée Louise-de-Marillac Privé sous contrat Lycée (général) 1968 32, rue Geoffroy-Saint-Hilaire
Lycée Lucas-de-Nehou Public Lycée (professionnel ; métiers des arts du verre et des structures verrières) - 4, rue des Feuillantines
Lycée Sévigné Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 28, rue Pierre-Nicole

6e arrondissement modifier

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Collège Jacques-Prévert Public Collège - 18, rue Saint-Benoît
Collège Stanislas Privé sous contrat École primaire, collège, lycée (général) et CPGE 1804 22, rue Notre-Dame-des-Champs
Groupe scolaire Notre-Dame de Sion Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 93, rue Notre-Dame-des-Champs
École alsacienne Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) 1874 109, rue Notre-Dame-des-Champs
Institut Sainte-Geneviève Privé sous contrat Collège, lycée (général) 1913 64, rue d’Assas
Lycée Carcado-Saisseval Privé sous contrat Collège, lycée (général, technologique et professionnel), BTS, CAP et Diplôme d'État - 121, boulevard Raspail
Lycée Fénelon Public Lycée (général) et CPGE 1883 2, rue de l'Éperon
Lycée Maximilien-Vox Public Lycée (technologique) - 5, rue Madame
Lycée Montaigne Public Collège, lycée (général) et CPGE 1891 17, rue Auguste-Comte
Lycée Saint-Louis Public CPGE 1820 44, boulevard Saint-Michel
Lycée Saint-Nicolas Privé sous contrat Lycée (général et technologique), CAP, BTS et prépa - 92, rue de Vaugirard
Lycée Saint-Sulpice Privé sous contrat[2] Collège, lycée (général) 1637[3] 68, rue d’Assas

7e arrondissement modifier

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Collège Jules-Romains Public Collège - 6, rue Cler
Établissement La-Rochefoucauld Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 90 bis, rue Saint-Dominique
Institut de l'Alma Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 12, avenue Bosquet
Lycée Paul Claudel-d'Hulst Privé sous contrat Collège et lycée (général) - 118-120, rue de Grenelle
21, rue de Varenne
Lycée Sainte-Jeanne Elisabeth Privé sous contrat Lycée (général) - 8, rue Maurice-de-La-Sizeranne
Lycée Saint-Thomas-d’Aquin Privé sous contrat Lycée (général) - 44, rue de Grenelle
Lycée Thérèse-Chappuis Privé sous contrat Collège et lycée (général) - 52, rue Vaneau
Lycée Victor-Duruy Public Collège, lycée (général) et CPGE 1912 33, boulevard des Invalides
Istituto Statale Italiano Leonardo Da Vinci Public étranger Primaire-Lycée - 12 rue Sédillot (collège-lycée)
Lycée Albert-de-Mun Privé sous contrat Lycée - 2 rue d'Olivet
Cours Fides Privé hors contrat Collège et lycée - 87 avenue de la Bourdonnais
Lycée professionnel Gustave-Eiffel Public Lycée (professionnel) - 1 rue du Général-Camou

8e arrondissement modifier

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Collège Condorcet Public Collège - 61, rue d’Amsterdam
Collège Octave-Gréard Public Collège - 28 rue du Général-Foy
Hattemer Privé hors contrat Collège et lycée (général) 1885 22, rue de Londres
Lycée Chaptal Public Collège, lycée (général) et CPGE - 45, boulevard des Batignolles
Lycée Fénelon Sainte-Marie Privé sous contrat Lycée (général) et CPGE 1869 24, rue du Général Foy
Lycée Racine Public Lycée (général et technologique) et BTS 1886 20, rue du Rocher
Lycée technologique La Plaine Monceau Privé Lycée (technologique) et BTS 9, boulevard de Courcelles

9e arrondissement modifier

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Cours Clapeyron Privé hors contrat Lycée (général et technologique) et CPGE et CPES 1973 64 bis, rue Taitbout
Collège Paul-Gauguin Public Collège - 35, rue Milton
Collège-lycée Morvan Privé sous contrat Collège et lycée (général) - 68, rue de la Chaussée-d’Antin
Lycée Condorcet Public Lycée (général) et CPGE 1804 8, rue du Havre
Lycée Edgar-Quinet Public Lycée (général & technologique) et BTS - 63, rue des Martyrs
Lycée Edgar-Quinet Public Lycée Pro (Vente - Commerce - Accueil) 24, rue Duperré
Lycée Jacques-Decour Public Collège, lycée (général) et CPGE 1879 12, avenue Trudaine
Lycée Jules-Ferry Public Collège, lycée (général) et CPGE 1913 77, boulevard de Clichy
Lycée Lamartine Public Collège, lycée (général) et CPGE 1893 121, rue du Faubourg-Poissonnière
Lycée Pétrelle Public Lycée (général et professionnel) et BEP - 8, rue Pétrelle

10e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège Bernard-Palissy Public Collège - 21, rue des Petits-Hôtels
Collège de la Grange-aux-Belles Public Collège - 158, quai de Jemmapes
Collège Louise-Michel Public Collège - 11 rue Jean-Poulmarch
Collège Valmy Public Collège - 119, quai de Valmy
Établissement Bossuet Notre-Dame Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 17 rue Yves-Toudic
Établissement Rocroy Saint-Vincent de Paul Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) 1877 106, rue du Faubourg-Poissonnière
Lycée Colbert Public Lycée (général) 1868 27, rue du Château-Landon
Lycée Edgar-Poe Privé sous contrat Lycée (général) 1965 2, rue du Faubourg-Poissonnière
Lycée Jules-Siegfried Public Lycée (technologique) et BTS - 12, rue d’Abbeville

11e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège Alain-Fournier Public Collège - 87, rue Léon-Frot
Collège Anne-Frank Public Collège - 38, rue Trousseau
Collège Beaumarchais Public Collège - 124-126, rue Amelot
Collège Lucie-et-Raymond Aubrac
(anc. collège Lucie-Aubrac)
Public Collège - 62, rue de la Fontaine-au-Roi
Collège Pilâtre de Rozier Public Collège - 11, rue Bouvier
Établissement Charles-Péguy Privé sous contrat École primaire, collège, lycée (général et technologique) et BTS - 80, avenue Parmentier
Lycée Dorian Public Lycée (général, technologique et professionnel), BTS et CPGE 1887 74, avenue Philippe-Auguste
Lycée Otzar-Hatorah Privé sous contrat Lycée (général) - 34, rue du Moulin-Joly
Lycée Paul-Poiret Public Lycée (professionnel métiers de la mode et du spectacle), DMA, MANAA, DTMS et DN MADE - 19, rue des Taillandiers
Lycée des Petits-Champs Privé sous contrat Lycée (général) et BTS - 19, rue Voltaire
Lycée Voltaire Public Collège, lycée (général) et CPGE 1890 101, avenue de la République
 Votre École Chez Vous  Privé sous contrat École primaire, collège, lycée (général et technologique) - 29, rue Merlin

12e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège Jules Vernes Public Collège 20 rue de la Brèche-aux-Loups
Collège Georges Courteline Public Collège 48 avenue du Docteur-Arnold-Netter
Collège Germaine Tillion Public Collège 8 avenue Vincent-d'Indy
Collège Guy Flavien Public Collège 6 rue d'Artagnan
Collège Paul Valéry Public Collège 38 boulevard Soult
Collège Paul Verlaine Public Collège 167 rue de Bercy
Collège Jean-François Oeben Public Collège 1995 21 rue de Reuilly
Cours Spinoza Privé hors contrat collège et lycée (général et technologique), BTS, MANAA 1955 22, rue du Sergent-Bauchat
Ensemble scolaire Eugène-Napoléon - Saint-Pierre-Fourier Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 13, rue de Prague
Établissement scolaire Georges-Leven Privé sous contrat Collège et lycée (général) - 30, boulevard Carnot
Lycée Arago Public Lycée (général et technologique) et BTS 1880 4, place de la Nation
Lycée Paul-Valéry Public Collège, lycée (général) et CPGE 1960 38, boulevard Soult
Lycée Saint-Michel de Picpus Privé sous contrat École primaire, collège, lycée (général), prépa et BTS - 53, rue de la Gare de Reuilly

13e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège Notre-Dame de la Gare Privé sous contrat Primaire et collège 1861 20, rue de Domrémy
Collège Thomas-Mann Public Collège 1999 Rue Thomas-Mann
École nationale de chimie physique et biologie de Paris ou Lycée Pierre-Gilles-de-Gennes Public Lycée (général), BTS, CPGE, licence professionnelle et formation par alternance 1953 11 rue Pirandello
École Yabné Privé sous contrat Collège et lycée (général) 1948 29, avenue Léon-Bollée
Groupe scolaire Notre-Dame-de-France Privé sous contrat École primaire, collège, lycée (général) et prépa - 63, rue de la Santé
Groupe scolaire Saint-Vincent-de-Paul Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général, technologique et professionnel) - 49, rue Bobillot
Lycée Claude-Monet Public Collège et lycée (général) et CPGE - 1, rue du Docteur-Magnan
Lycée Le Rebours Privé sous contrat Lycée (général et technologique), prépa et CPGE - 44, boulevard Auguste-Blanqui
Lycée Rodin Public Lycée (général) et CPGE 1960 19, rue Corvisart
Lycée technique supérieur du laboratoire Privé sous contrat Lycée (technologique) - 95, rue du Dessous-des-Berges
Lycée professionnel Corvisart-Tolbiac Lycée public Lycée - 61, rue Corvisart
Cité scolaire Gabriel-Fauré Public Collège et lycée (général) - 81, avenue de Choisy
Collège Gustave-Flaubert Public Collège - 76, avenue d'Ivry
Lycée Lazare-Ponticelli Public Lycée professionnel - 92-96, rue Barrault
Lycée polyvalent Jean-Lurçat Public - 121-123, rue de Patay
Collège Elsa-Triolet Public - 9, rue Yéo-Thomas
Collège Moulin-des-Prés Public - 18, rue Moulin-des-Prés
Lycée professionnel Galilée Public Lycée professionnel 28, rue de Patay
Lycée Bachelard Public Lycée professionnel 2, rue Tagore

14e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Lycée Catherine-Labouré Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général, technologique et professionnel) - 29, rue Gassendi
Lycée François-Villon Public Lycée (général et technologique) - 10-16, avenue Marc-Sangnier
Lycée Raspail Public Lycée (général et professionnel), prépas et BTS - 5 bis, avenue Maurice-d’Ocagne
Lycée hôtelier Guillaume-Tirel Public Lycée - 237, boulevard Raspail
Collège-lycée Paul-Bert Public Collège - 7-8, rue Huyghens
Collège Jean-Moulin Public Collège - 75-77, rue d'Alésia
Lycée d'adultes de la Ville de Paris Public Lycée - 132, rue d'Alésia
Cours Fides Privé hors contrat Lycée - 87 rue Émile-Dubois
Lycée Erik-Satie Public Lycée professionnel - 2 rue Pierre-Castagnou

15e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
École active bilingue Jeannine-Manuel Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) et Option internationale du baccalauréat 1954 70, rue du Théâtre
École, Collège, Lycée Privés Sainte-Élisabeth Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 112, rue de Lourmel
Lycée autogéré de Paris Public Lycée (général) 1982 393, rue de Vaugirard
Lycée Blomet Privé sous contrat Lycée (général) et CPGE - 5, rue Blomet
Lycée Buffon Public Collège, lycée (général), BTS et CPGE 1889 16, boulevard Pasteur
Lycée Camille-Sée Public Collège et lycée (général) et Option internationale du baccalauréat - 11, rue Léon-Lhermitte
École Internationale Bilingue- Victor Hugo School Privée accréditée - 23, rue de Cronstadt
Lycée Beaugrenelle Public professionnel - 62, rue Saint-Charles
Lycée Claude-Anthime-Corbon Public professionnel - 5, rue Corbon
Lycée Roger-Verlomme Public général et technologique - 24, rue Fondary
Lycée Louis-Armand Public polyvalent - 316, rue Lecourbe
Lycée Fresnel Public polyvalent - 31, boulevard Pasteur
Lycée Léonard-de-Vinci Public polyvalent - 20, rue Bourseul
Lycée de l'École nationale supérieure des arts appliqués Public technologique - 63, rue Olivier-de-Serres
Lycée Bâtiment-Saint-Lambert Public Bâtiment et travaux publics - 15, rue Saint-Lambert
Lycée technique Saint-Nicolas Privé sous contrat Technique - 108, rue de Vaugirard

Établissement régional adapté Alexandre Dumas Public adapté - 29 bis , rue de Cronstadt
École Skol-Diwan Privée sous contrat bilingue breton - 12, rue Georges-Citerne
École secondaire Georges-Gusdorf Privée hors contrat général - 50 rue Castagnary
École Saint-Joseph Privée sous contrat polyvalente - 13, place Étienne-Pernet
Collège Guillaume-Apollinaire public général et adapté - 39, avenue Émile-Zola
Collège André-Citroën Public général - 208, rue Saint-Charles
Collège Claude-Debussy Public général - 4, place du Commerce
Collège Madame-de-Staël Public général - 14, rue de Staël
Collège Georges-Duhamel Public général - 13, rue des Volontaires
Collège Modigliani Public général - 1, rue de Cherbourg

16e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Fides-Beauséjour Privé hors contrat Collège et lycée 1971 23, boulevard de Beauséjour
École d'esthétique Yves Rocher Privé hors contrat Lycée - 62 avenue d’Iéna
École normale israélite orientale Privé hors contrat Collège et lycée (général) 1865 6 bis, rue Michel-Ange
École Pascal Privé sous contrat Collège et lycée (général) 1899 33, boulevard Lannes
Institut de l'Assomption Privé sous contrat Collège et lycée 1882 6, rue de Lübeck
Institut de La Tour Privé sous contrat Collège et lycée (général) 1901 86, rue de la Tour
International School of Paris (en) Privé hors contrat Collège et lycée 1964 6, rue Beethoven
Ipécom Paris Privé hors contrat Lycée et CPGE 1983 8, rue Benjamin-Godard
Lycée Claude-Bernard Public Collège et lycée (général et technologique) 1938 1, avenue du Parc-des-Princes
Lycée Gerson Privé sous contrat Collège et lycée (général) XIXe siècle 31, rue de la Pompe
Lycée Janson-de-Sailly Public Collège, lycée (général) et CPGE 1884 106, rue de la Pompe
Collège Eugène-Delacroix
(site de Janson-de-Sailly)
Public Collège 13-15, rue Eugène-Delacroix
Lycée Jean-de-La-Fontaine Public Collège et lycée (général) 1938 1, place de la Porte-Molitor
Lycée Molière Public Collège, lycée (général) et CPGE 1888 71, rue du Ranelagh
Lycée Moria-Diane Benvenuti Privé sous contrat Lycée (général) - 9-11, rue Lekain
Lycée Notre-Dame des Oiseaux Privé sous contrat Collège et lycée (général) - 12, rue Michel-Ange
Lycée Octave-Feuillet Public Lycée (professionnel) - 1, rue Octave-Feuillet
Lycée Passy-Saint-Honoré Privé sous contrat Lycée 1862 117, avenue Victor-Hugo
Lycée René-Cassin Public Lycée (professionnel) - 185, avenue de Versailles
Lycée Saint-Jean-de-Passy Privé sous contrat Collège, lycée (général) et CPGE 1835 72, rue Raynouard
Lycée Saint-Louis-de-Gonzague Privé sous contrat Collège et lycée (général) 1894 12, rue Benjamin-Franklin
Lycée Sainte-Thérèse Privé sous contrat Lycée (polyvalent) - 40, rue Jean-de-La-Fontaine
Lycée Jean-Baptiste-Say Public Lycée général et CPGE - 11 bis, rue d'Auteuil

17e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège Boris-Vian Public Collège - 76, boulevard Berthier
École internationale bilingue-Étoile Privé sous contrat Lycée (général) - 9, rue Villaret-de-Joyeuse
Ensemble scolaire Saint-Michel Privé sous contrat Collège et lycée (général) - 35, avenue de Saint-Ouen
Ensemble scolaire Sainte-Ursule Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 102, boulevard Pereire et 25, rue Daubigny
Lycée Carnot Public Collège, lycée (général) et CPGE 1895 145, boulevard Malesherbes
Lycée Gaston-Tenoudji Privé sous contrat Lycée (général) - 2, rue Émile-Borel
Lycée Honoré-de-Balzac Public Collège, lycée (général et technologique) et CPGE - 118, boulevard Bessières
École hôtelière de Paris - lycée Jean Drouant Public Lycée des métiers 20, rue Médéric

18e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège lycée Sinaï Privé sous contrat Collège et lycée (technologique) - 2-6, rue Tristan-Tzara
Ecole Saint-John Perse Privé hors contrat Lycée (général et technologique) 1982 14, rue Cavallotti
Lycée Charles-de-Foucauld Privé sous contrat Lycée (général et technologique) et BTS - 5, rue de la Madone
Lycée François-Rabelais Public Lycée (général et technologique), BTS, GRETA et écoles paramédicales et sociales. ~1965 9, rue Francis-de-Croisset
Lycée Belliard Public Lycée professionnel ~1960 135, rue Belliard
Lycée Edmond-Rostand Public Lycée professionnel 15, rue de l'Évangile
Lycée technologique d'Arts appliqués Auguste-Renoir Public Lycée (technologique) 1880 : École professionnelle et ménagère de jeunes filles

1959 : Collège technique de jeunes filles

1993 : Lycée d’Arts Appliqués

24, rue Ganneron
Collège Antoine Coysevox Public Collège 1975 16, rue Coysevox
Collège Aimé-Césaire Public Collège SEGPA 2010 2, esplanade Nathalie-Sarraute
Collège Hector Berlioz Public Collège 17, rue Georgette-Agutte
Collège Georges-Clemenceau Public Collège 43, rue des Poissonniers
Collège Maurice-Utrillo Public Collège 4, avenue de la Porte de Clignancourt
Collège Daniel-Mayer Public Collège 2, place Hébert
Collège Roland-Dorgelès[4] Public Collège 63, rue de Clignancourt
Collège Yvonne-Le-Tac Public Collège 7, rue Yvonne-Le-Tac
Collège Gérard-Phillipe Public Collège 1996 8, rue des Amiraux
Collège Marx-Dormoy Public Collège 55, rue Marx-Dormoy

19e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
École Lucien-de-Hirsch Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) 1901 68-70, avenue Secrétan
Collège Georges-Brassens Public Collège - 4, rue Erik-Satie
Collège Claude-Chappe Public Collège - 9, rue des Alouettes
Collège Édouard-Pailleron Public Collège - 35, rue Édouard-Pailleron
Collège Charles-Péguy Public Collège - 69, avenue Simon-Bolivar
Collège Guillaume-Budé Public Collège - 7-15, rue Jean-Quarré
Collège Mozart Public Collège 1889 7, rue Jomard
Collège Suzanne-Lacore Public Collège 2014 149, boulevard Macdonald
Collège Saint-Georges Privé sous contrat Maternelle, Élémentaire, Collège - 19 rue Bouret
Collège-Lycée Henri Bergson Public Collège, lycée (général et technologique) et BTS 1962 27, rue Édouard-Pailleron
Institutions scolaires du Beth Loubavitch Privé sous contrat École primaire, collège et lycée (général) - 49-51, rue Petit
Lycée Diderot Public Lycée (général, technologique et professionnel), BTS et CPGE - 61, rue David-d’Angers
Lycée L'Initiative Privé sous contrat Lycée (technologique et professionnel), CAP et BTS - 24, rue Bouret
Lycée Jacquard Public Lycée (général et technologique), BTS et prépa - 2 bis, rue Bouret
Lycée Jules-Richard Privé sous contrat Lycée (général, technologique et professionnel) et BTS - 21, rue Carducci
Lycée N'R Hatorah Privé sous contrat Lycée (général) - 3 et 5, rue Henri-Turot
Lycée polyvalent d'Alembert Public BTS - 22, sente des Dorées
Collège Edmond-Michelet Public Collège - 70, rue de l'Ourcq
Collège Georges-Méliès Public Collège - 45, rue de Tanger

20e arrondissement modifier

Nom Statut Destination Année de création Adresse Image
Collège Pierre-Mendès-France Public Collège Année 1970 24, Rue Le Vau
Cité scolaire Maurice-Ravel Public Collège, lycée (général et technologique) et BTS - 89, cours de Vincennes
Collège Jean-Baptiste-Clément Public Collège - 82, rue de Ménilmontant
Collège Robert-Doisneau Public Collège - 51, rue des Panoyaux
Collège-lycée Hélène-Boucher Public Collège, lycée (général) et CPGE 1938 75, cours de Vincennes
Lycée Beth Yacov Privé sous contrat Lycée (général) - 50 bis, rue des Prairies
Lycée Charles-de-Gaulle Public Lycée (professionnel) - 17, rue Ligner
Lycée Heikhal Menahem Sinaï Privé sous contrat Lycée (général) - 110, boulevard de Ménilmontant
Lycée Martin-Nadaud Public Lycée polyvalent 23, rue de la Bidassoa
Collège Léon-Gambetta Public Collège 149, avenue Gambetta
Groupe scolaire Sainte-Louise Privé sous contrat École, collège et lycée général 29, rue des Envierges
Collège Françoise-Dolto Public Collège 354, rue des Pyrénées
Collège Notre-Dame-de-Lourdes Privé Collège 16, rue Taclet

Collèges et lycées disparus modifier

Nom Statut Destination Année de création Année de fermeture Arrondissement Adresse Image
Collège Sainte-Barbe Public Collège 1460 1999 5e rue Valette
Lycée privé Saint-Louis Privé sous contrat Collège et lycée 1852 2012 9e 50, rue de Clichy
Lycée Les Camélias Public Lycée professionnel Années 1930 1990 14e 5, rue des Camélias
Lycée de haute couture et d'esthétique Fortuny Public Lycée professionnel 17e 9, rue Fortuny
Lycée Mariano-Fortuny Public Lycée professionnel 17e
Lycée Jean-Quarré Public Lycée 19e
Cours Desir Privé Lycée 1853 1992 6e
Lycée Brassaï Public Lycée professionnel et des métiers de la photographie - 2023 15e 8, rue Quinault
Lycée Suzanne-Valadon Public Lycée professionnel 2014 2023 18e 7, rue Ferdinand-Flocon
Lycée Armand-Carrel Public Lycée professionnel - 2023 19e 45, rue Armand-Carrel
Lycée Georges-Brassens Public Lycée - 2023 19e 40, rue Manin

Notes et références modifier

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p et q Marc Le Cœur, « Les lycées dans la ville: l’exemple parisien (1802-1914) », Histoire de l'éducation, 90 | 2001, p. 131-167.
  2. « Accueil - Collège et Lycée privé Saint-Sulpice », sur Collège et Lycée privé Saint-Sulpice (consulté le ).
  3. « Historique du Collège et Lycée Privés Saint Sulpice Paris », sur www.st-sulpice.fr (consulté le )
  4. « A Paris, le collège Dorgelès se divise sur le « cas » d’un enseignant d’EPS accusé d’agression sexuelle », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )

Bibliographie modifier

  • Michel Belin-Wurmser, Le livre des grands lycées de Paris construits entre 1563 et 1913, Do Bentzinger, 2019.
  • Anne-Marie Châtelet, Architectures scolaires 1900-1939, éditions du Patrimoine, 2018.
  • Victor Chauvin, Histoire des lycées et collèges de Paris : suivie d'un appendice sur les principales institutions libres et d'une notice sur le concours général, Librairie L. Hachette et Cie, Paris, 1866, p. 85-98, 194-196 (lire en ligne).
  • Marie-Hélène Westphallen, Les lycéens. Mémoires d’élèves et de professeurs (1880-1980), éd. Arènes, 2013.

Article connexe modifier

Lien externe modifier