Vic-en-Bigorre
Vic-en-Bigorre est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Vic-en-Bigorre | |||||
Hôtel de ville de Vic-en-Bigorre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Tarbes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Adour Madiran (siège) |
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Maire Mandat |
Clément Menet 2020-2026 |
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Code postal | 65500 | ||||
Code commune | 65460 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vicquois | ||||
Population municipale |
4 822 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 151 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 204 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 23′ 11″ nord, 0° 03′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 192 m Max. 323 m |
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Superficie | 31,86 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Vic-en-Bigorre (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Tarbes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vic-en-Bigorre (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | mairie-vic-bigorre.fr/ | ||||
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Adour, l'Échez, le Lys, le canal de Luzerte, le canal du Moulin[Lequel ?], le ruisseau de Dibès, le ruisseau de la Poutge et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de l'Adour ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vic-en-Bigorre est une commune rurale qui compte 4 822 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Vic-en-Bigorre et fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Vicquois ou Vicquoises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Vic-en-Bigorre se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département [2], bureau centralisateur du canton de Vic-en-Bigorre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1] La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-Lézer (2,5 km), Artagnan (2,7 km), Camalès (3,3 km), Caixon (3,4 km), Sanous (4,2 km), Pujo (4,3 km), Nouilhan (4,4 km), Liac (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Vic-en-Bigorre fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].
Vic-en-Bigorre est limitrophe de 14 autres communes dont Maubourguet au nord par un simple quadripoint, aux Aléas, ainsi que Bazillac au sud-est.
Géologie et relief
modifierVic-en-Bigorre se situe en plaine entre deux séries de coteaux ; cette situation a été façonnée par le fleuve l'Adour et ses affluents.
Il en résulte que les sols contiennent beaucoup de galets roulés par les cours d'eau en provenance des montagnes ; ces galets ont d'ailleurs été utilisés de manière prépondérante comme matériau de construction dans la région, ils font partie de l'identité du Pays du Val d'Adour. L'altitude de la mairie de Vic-en-Bigorre est de 216 mètres environ.
Hydrographie
modifierElle est drainée par l'Adour, l'Échez, le Lys, le canal de Luzerte, le canal du Moulin, le ruisseau de la Poutge, un bras de l'Echez, un bras de l'Echez, un bras de l'Echez, Canal de Camalès, Canal de la Herray et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[6],[Carte 1].
L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, se forme dans la vallée de Campan en Haute-Bigorre de la réunion de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne à Anglet, après avoir traversé 118 communes[7].
L'Échez, d'une longueur totale de 64,1 km, prend sa source dans la commune de Germs-sur-l'Oussouet et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Maubourguet, après avoir traversé 26 communes[8].
Le Lys, d'une longueur totale de 29,6 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Échez à Larreule, après avoir traversé 10 communes[9].
Le canal de Luzerte, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Siarrouy et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Lys à Caixon, après avoir traversé 5 communes[10].
Le canal du Moulin, d'une longueur totale de 12,5 km, prend sa source dans la commune d'Oursbelille et s'écoule vers le nord. Il se jette dans l'Échez sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[11].
Climat
modifierLe climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1987 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[12]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,2 | 1 | 3,5 | 6 | 10,2 | 13,2 | 14,7 | 14,7 | 11,2 | 7,8 | 3,6 | 0,9 | 7,3 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6,7 | 9,5 | 11,5 | 15,8 | 18,9 | 20,7 | 20,8 | 17,5 | 13,8 | 8,8 | 5,9 | 13 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,7 | 12,3 | 15,4 | 17 | 21,5 | 24,6 | 26,6 | 26,9 | 23,9 | 19,8 | 13,9 | 10,8 | 18,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−10 27.01.07 |
−12 08.02.12 |
−9,3 01.03.05 |
−3,4 04.04.1996 |
0,5 06.05.19 |
3,4 01.06.06 |
6 08.07.1990 |
4,7 29.08.1998 |
1,1 25.09.02 |
−4 25.10.03 |
−10,7 23.11.1988 |
−12 25.12.01 |
−12 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,5 01.01.22 |
26,8 24.02.1990 |
29,2 21.03.1990 |
30,3 09.04.11 |
33,5 30.05.01 |
39,7 22.06.03 |
39,7 20.07.1989 |
40,4 04.08.03 |
36,1 12.09.16 |
34,1 04.10.04 |
26,6 01.11.20 |
22,6 15.12.1989 |
40,4 2003 |
Précipitations (mm) | 81,9 | 68 | 71,7 | 111,5 | 99,8 | 71,5 | 56,4 | 57,4 | 66,6 | 74,8 | 91 | 75 | 925,6 |
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de l'Adour »[14], d'une superficie de 2 694 ha, un espace où les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiée, avec la présence de la Loutre et de la Cistude d'Europe[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[16] : « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-Pyrénées[17] et le « réseau hydrographique de l'Échez » (392 ha), couvrant 26 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 23 dans les Hautes-Pyrénées[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[16] :
- l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées[19] ;
- le « plateau de Ger et coteaux de l'ouest tarbais » (6 409 ha), couvrant 26 communes dont six dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées[20].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Vic-en-Bigorre est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vic-en-Bigorre[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), forêts (16,3 %), zones urbanisées (12,3 %), eaux continentales[Note 8] (1,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Morphologie urbaine
modifierLogement
modifierEn 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 2 619[I 6].
Parmi ces logements, 85,3 % sont des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
modifierCette commune est desservie par les routes départementales D 935 et D 934 et les routes départementales D 4, D 6 et D 7.
-
PN 84. -
PN 85. -
PN 87.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Vic-en-Bigorre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Adour, l'Échez, le Lys, le canal du Moulin et le canal de Luzerte. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009 et 2019[25],[22].
Vic-en-Bigorre est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[26]
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 978 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 978 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risque technologique
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Toponymie
modifierOn trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[31] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
- Bic (XIIe siècle, cartulaire de Bigorre) ;
- Big (v. 1200-1230, ibid.) ;
- Vich (1256, Trésor des Chartes, J 294) ;
- apud Vicum, latin (1285, montre Bigorre) ;
- apud Vicum Bigore, latin (1300, enquête Bigorre) ;
- de Vico, de Byco, de Bico Bigore, latin (ibid.) etc. ;
- Bic (1429, censier de Bigorre) ;
- Vic-Bigorre (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
- Vic-de-Bigorre a été employé au XXe siècle[32].
Étymologie : latin vicus (= bourg, village).
Nom occitan : Vic de Bigòrra.
Histoire
modifierAntiquité
modifierAvant l'époque romaine, Vic-en-Bigorre était un bourg de l'oppidum de Bigorra, ancienne capitale des Bigerriones. Après la conquête de l'Aquitaine par les Romains (en 56 av. J.-C. par Publius Crassus), le bourg celtibérique se développait en vicus gallo-romain. Sur le territoire de l'oppidum, les Gallo-Romains érigeaient au IVe siècle une fortification, le Castrum Bigorra, aujourd'hui dénommée Saint-Lézer.
Moyen Âge
modifierLes comtes de Bigorre séjournèrent à Vic qui est alors l'une des principales villes de Bigorre. Ils la délaissent cependant au IXe siècle et en 1151, Vic fut érigée en commune. La ville est alors libre de s'administrer elle-même.
Époque contemporaine
modifier- Bertrand Barère, député des Hautes-Pyrénées à la Convention et célèbre orateur de la Révolution française, s'est marié en 1785 dans l'église paroissiale Saint-Martin.
- Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Cadastre napoléonien de Vic-en-Bigorre
modifierLe plan cadastral napoléonien de Vic-en-Bigorre est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[33].
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierLe résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[34] :
Candidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
Eva Joly (EÉLV) | 58 | 1,97 | |||
Marine Le Pen (FN) | 549 | 18,67 | |||
Nicolas Sarkozy (UMP) | 658 | 22,37 | 1 135 | 40,54 | |
Jean-Luc Mélenchon (FG) | 396 | 13,46 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 43 | 1,46 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 15 | 0,51 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 5 | 0,17 | |||
François Bayrou (MoDem) | 286 | 9,72 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) | 40 | 1,36 | |||
François Hollande (PS) | 891 | 30,30 | 1 665 | 59,46 | |
Inscrits | 3 734 | 100,00 | 3 734 | 100,00 | |
Abstentions | 734 | 19,66 | 718 | 19,23 | |
Votants | 3 000 | 80,34 | 3 016 | 80,77 | |
Blancs et nuls | 59 | 1,58 | 216 | 5,78 | |
Exprimés | 2 941 | 78,76 | 2 800 | 74,99 |
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[35] :
Candidat | Premier tour | Deuxième tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) | 128 | 4,56 | ||||
Marine Le Pen (FN) | 704 | 25,08 | 970 | 41,00 | ||
Emmanuel Macron (EM) | 634 | 22,59 | 1 396 | 59,00 | ||
Benoît Hamon (PS) | 160 | 5,70 | ||||
Nathalie Arthaud (LO) | 17 | 0,61 | ||||
Philippe Poutou (NPA) | 32 | 1,14 | ||||
Jacques Cheminade (SP) | 4 | 0,14 | ||||
Jean Lassalle (RES) | 117 | 4,17 | ||||
Jean-Luc Mélenchon (LFI) | 563 | 20,06 | ||||
François Asselineau (UPR) | 19 | 0,68 | ||||
François Fillon (LR) | 429 | 15,28 | ||||
Inscrits | 3 706 | 100,00 | 3 706 | 100,00 | ||
Abstentions | 824 | 22,23 | 959 | 25,88 | ||
Votants | 2 882 | 77,77 | 2 747 | 74,12 | ||
Blancs | 53 | 1,43 | 281 | 7,58 | ||
Nuls | 22 | 0,59 | 100 | 2,70 | ||
Exprimés | 2 807 | 75,74 | 2 366 | 63,84 |
Liste des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierHistorique administratif
modifierPays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Vic, chef-lieu du canton de Vic-en-Bigorre. Baloc est commune en 1790 avant de lui être rattachée entre 1791 et 1801[38].
Intercommunalité
modifierVic-en-Bigorre appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en janvier 2017 et qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.
Services publics
modifierLa commune de Vic-en-Bigorre dispose d'une agence postale.
-
Le centre culturel . -
La médiatheque.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].
En 2021, la commune comptait 4 822 habitants[Note 9], en évolution de −4,14 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierLa commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’écoles, collège et lycées en 2016[44].
- École maternelle : du Petit Bois
- École élémentaire : Pierre Guillard
- École privée : Saint-Martin
- Collège : Pierre Mendès France, Saint-Martin
- Lycée professionnel : Pierre Mendès France
- Lycée général : Pierre Mendès France
- Lycée agricole et forestier : Jean Monnet
-
L'école maternelle du Petit Bois. -
L'école primaire Pierre Guillard. -
Le collège Pierre Mendès France. -
Le lycée Jean Monnet. -
L'école privée Saint Martin.
Santé
modifier- Maison des Jeunes et de la Culture : association d'éducation populaire proposant de nombreux services et loisirs aux habitants du territoire : ALSH pendant les vacances 3-11 ans, CLAS du CP à la 3e, Accueil des 12-15 ans, Clubs d'activités pour adulte ou enfants et Animations Locales et Familiales. Site : mjcvic.fr
Sports
modifier- : Vic-en-Bigorre possède un club de rugby à XV : l'Union Sportive Vicquoise, champion de France de 2e série 2019, qui a évolué dans le championnat de France de rugby à XV de 2e division fédérale. L'USV a également été championne de France de 2e division en 1977 et 1988, d'Honneur en 1964 et de 3e série en 1939.
- : Vic-en-Bigorre possède un club de football : le Football Club du Val D'Adour.
-
Le stade de football des Arcales. -
Le stade de rugby Antoine-Ménoni. -
La piscine Louis-Fourcade. -
Le court de paddle-tennis. -
L'aérodrome. -
Le gymnase.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 2 108 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 4 206 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 640 €[I 7] (20 420 € dans le département[I 8]). 39 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (44,4 % dans le département).
Emploi
modifier2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 8 % | 11,7 % | 11,4 % |
Département[I 10] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 713 personnes, parmi lesquelles on compte 68,3 % d'actifs (56,9 % ayant un emploi et 11,4 % de chômeurs) et 31,7 % d'inactifs[Note 12],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 12]. Elle compte 2 157 emplois en 2018, contre 2 240 en 2013 et 2 114 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 565, soit un indicateur de concentration d'emploi de 137,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44 %[I 13].
Sur ces 1 565 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 613 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 82,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 10,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L’hôtel de ville date du XVIIIe siècle et XIXe siècle mais a été remanié au XXe siècle.
- Face à lui, se dresse La Revanche, œuvre du sculpteur vicquois Edmond Desca faisant office de monument aux morts pour la guerre franco-prussienne de 1870.
- Non loin, trône encore Le Poilu de Martial Caumont, statuaire tarbais symbolisant ici le sacrifice des soldats de la Grande Guerre.
- La halle a été édifiée en 1862 par l'architecte Jean-Jacques Latour (établi à Tarbes de 1842 à sa mort en 1868). Représentative de l'architecture métallique de l'époque, elle est constituée d'une ossature de fonte vitrée suivant l'exemple des pavillons conçus par Victor Baltard (1805-1874) pour les halles centrales de Paris (voir Pavillon Baltard).
- L'église Saint-Martin abrite un magnifique retable datant du XVIIe siècle.
- Lavoir.
- Le Monument aux morts municipal œuvre de Martial Caumont.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jacques-Marie Fourcade (1779-1862) : homme politique né à Vic-en-Bigorre.
- Marie-Barthélemy de Castelbajac (1776-1868) : homme politique né à Vic-en-Bigorre.
- Joseph Jacques Marguerite Bernard Lacaze, homme politique né le à Vic-en-Bigorre (Hautes-Pyrénées) et décédé le à Vic-en-Bigorre (Hautes-Pyrénées).
- Joseph Fitte (1845-1915), homme politique, maire de Vic-en-Bigorre, député des Hautes-Pyrénées de 1902 à 1915.
- Edmond Desca (1855-1918) : sculpteur né à Vic-en-Bigorre.
- Xavier de Cardaillac (1858-1930), avocat, historien traducteur et journaliste né à Vic-en-Bigorre.
- Simin Palay (1874-1965) : poète, écrivain et auteur d'un grand dictionnaire de gascon et béarnais, il a vécu quelques années à Vic-en-Bigorre où ses parents s'installent en 1888.
- Pierre Trouillé, (1907-1986) : haut fonctionnaire français, préfet de la Corrèze durant la Seconde Guerre mondiale.
- Pipiou Dupuy (1934-2010) : joueur de rugby à XV né et mort à Vic-en-Bigorre.
- Henri Vignes (1916-1985) : résistant et écrivain français né à Vic-en-Bigorre.
- Aurore Tillac (1980-) cheffe du chœur de l'Armée française à la Garde républicaine, élève de l'école de musique.
Héraldique
modifierBlasonnement :
Coupé : au premier parti : au I d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au II écartelé au 1 et au 4 d'or aux deux vaches de gueules passant l'une sur l'autre, accornées, onglées, colletées et clarinées d'azur, au 2 de gueules aux chaînes d'or posées en croix, sautoir et orle, chargées en cœur d'une émeraude au naturel, au 3 d'or aux trois pals de gueules, au second d'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur, tenant de ses pattes antérieures un miroir d'argent bordé de sinople, au manche du même[45].
Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).
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Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Claude Larronde, Histoire de Vic-en-Bigorre, Orthez, Gascogne, 2019, 312 p. (ISBN 978-2-36666-132-3)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Vic-en-Bigorre sur le site de l'Insee
- Site officiel de la Mairie de Vic-en-Bigorre
- Site de la communauté de communes de Vic-Montaner
- Vic-en-Bigorre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Vic-en-Bigorre comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Vic-en-Bigorre » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Vic-en-Bigorre ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vic-en-Bigorre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Vic-en-Bigorre
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Vic-en-Bigorre et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Vic-en-Bigorre et Vic-en-Bigorre »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Vic-en-Bigorre », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Vic-en-Bigorre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Adour »
- Sandre, « l'Échez »
- Sandre, « le Lys »
- Sandre, « le canal de Luzerte »
- Sandre, « le canal du Moulin »
- « Fiche du Poste 65460002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vic-en-Bigorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300889 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Vic-en-Bigorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « réseau hydrographique de l'Échez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Ger et coteaux de l'ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Vic-en-Bigorre », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vic-en-Bigorre », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
- B. Kayser, « L'évolution démographique des petites villes (1936-1954) », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest européen, vol. 31, , p. 459-463 (lire en ligne, consulté le )
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Vic-en-Bigorre en 1809
- Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- "Les Maires de Vic-Bigorre, de Louis XIV à l'An 2000", Claude Larronde
- « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Vic-en-Bigorre », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- Passion Bigorre