Utilisateur:Michel Abada/Article en cours de modification/Les Marie des évangiles

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Dans la tradition orthodoxe modifier

Marie Salomé selon l'évangile de Bathélémy modifier

D'après wiki en anglais.

Un apocryphe copte le « Livre de la Résurrection du Christ », attribué à l'apôtre Barthélemy, nomme les femmes qui sont allées au tombeau. Parmi elles se trouvaient: Marie-Madeleine; Marie, la mère de Jacques, que Jésus délivra de la main de Satan; Marie qui le servait; Martha sa sœur; Jeane (peut-être la même que Suzane) qui a renoncé au lit conjugal, et « Salomé qui l'a tenté ».

A noter modifier

La tradition orthodoxe accorde une importance à la soeur de Moïse, tout comme l'Islam

Histoire universelle de l'Eglise modifier

« Quant à la première introduction du christianisme dans les Gaules, les sentiments ont varié en France depuis deux siècles. Jusqu'alors on avait cru comme partout ailleurs que le christianisme avait été prêché dans la Gaule méridionale par saint-Lazare, premier évêque de Marseille; par ses deux sœurs sainte Marthe et sainte Marie Madeleine, et par saint Maximin l'un des soixante-douze disciples, premier évêque d'Aix; que sous l'empereur Claude, saint Pierre avait envoyé dans les Gaules accompagnés d'autres missionnaires, les sept évêques suivants: Trophime d'Arles, Paul de Narbonne, Martial de Limoges, Austremoine de Clermont, Gatien de Tours et Valère de Trèves; que le Pape Clément, troisième successeur de saint-Pierre envoya Denis l'Aréopagite, premier évêque de Paris[1]. »

L'auteur poursuit en écrivant qu'Epiphane de Salamine dit que l'évangéliste Luc a prêché en Dalmatie, en Italie, mais principalement en Gaule, « et que c'est une erreur d'appliquer à la Galatie ce que dit l'apôtre à cet égard dans sa seconde épîtres à Timothée[2]. »

Il poursuit: « Saint Isidore de Séville compte encore l'apôtre saint Philippe, parmi ceux qui prêchèrent l'évangile dans les Gaules[3]. »

Puis il commente: « Vers la fin du XVIIe siècle à la suite et sous l'autorité de Launoy, docteur suspect et téméraire, un certains nombre d'écrivains, plus ou moins infectés de jansénisme, se faisant les échos les uns des autres, avancèrent et soutinrent que cette ancienne et commune tradition sur la première introduction du christianisme dans les Gaules était fausse et inventée depuis le Xe siècle[4]. » On se mit à répéter cela sans le vérifier et cela devint l'opinion générale. « On se mit à changer la tradition des bréviaires et des missels, tant à Paris que dans d'autres diocèses. Sainte Marie-Madeleine ne resta plus une et la même; elle fut divisé en trois personnes: la femme pécheresse et pénitente, Marie sœur de Lazare et enfin Marie-Madeleine de laquelle le Sauveur avait chassé sept démons. L'arrivée de Lazare et de ses deux sœurs en Provence fut déclarée non-avenue. La mission apostolique des sept premiers évêques fut retardée de deux siècles[5]... »

Liens externes modifier

Notes et références modifier