Groupe socialiste (Assemblée nationale)

groupe parlementaire français
(Redirigé depuis Socialistes et apparentés)

Le groupe socialiste — abrégé en SOC par les services de l'Assemblée nationale —, officiellement dénommé groupe socialistes et apparentés entre 2018 et 2022 puis depuis 2023, est le groupe parlementaire constitué autour du Parti socialiste (PS) à l'Assemblée nationale française. Ayant le plus souvent porté le nom de groupe socialiste, il a parfois pris d'autres appellations au cours de son histoire.

Groupe Socialistes et apparentés
Image illustrative de l’article Groupe socialiste (Assemblée nationale)
Logo du groupe Socialistes et apparentés depuis 2023.
Chambre Assemblée nationale
Législature(s) Depuis la VIe de la IIIe République (1893)
Ancien(s) nom(s) Socialiste
Fédération de la gauche démocrate et socialiste
Socialiste, radical, citoyen et divers gauche
Socialiste, républicain et citoyen
Socialiste, écologiste et républicain
Nouvelle Gauche
Socialistes et apparentés
Socialistes et apparentés, membre de l'intergroupe Nupes
Vice-présidente Dieynaba Diop
Création 3 septembre 1893
Partis membres Parti socialiste
Parti progressiste démocratique guadeloupéen
Péyi-A
Euskal Herria Bai
Place publique
Président Boris Vallaud
Député des Landes (3e circonscription)
Porte-parole Arthur Delaporte
Mélanie Thomin
Béatrice Bellay
Emmanuel Grégoire
Secrétaire général Maxime Sauvage
Représentation
66  /  577
Positionnement Centre gauche à gauche
Idéologie Progressisme
Social-démocratie
Socialisme démocratique
Social-écologie
Réformisme
Europhilie
Site Web parti-socialiste.fr/nosdeputes

Le groupe est présidé depuis le par Boris Vallaud, député de la 3e circonscription des Landes.

Effectifs et dénominations depuis 1893

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Année Législature Nom Membres Apparentés Total Évolution % Rang
IIIe République
1893 VIe Union socialiste
40  /  574
6,97 % 4e
1898 VIIe
37  /  581
en diminution 3 6,37 % 6e
1902 VIIIe Socialiste révolutionnaire
12  /  589
2,03 % 8e
Socialiste parlementaire
37  /  589
6,28 % 7e
1906 IXe Socialiste unifié
54  /  592
en augmentation 5 9,12 % 6e
1910 Xe Parti socialiste
75  /  595
en augmentation 21 12,60 % 3e
1914 XIe
104  /  602
en augmentation 29 17,28 % 2e
1919 XIIe
68  /  613
en diminution 36 11,09 % 4e
1924 XIIIe
104  /  581
en augmentation 36 17,90 % 2e
1928 XIVe
100  /  604
en diminution 4 16,56 % 3e
1932 XVe 131 1
132  /  607
en augmentation 32 21,75 % 2e
1936 XVIe Groupe socialiste (SOC) 148 1
149  /  610
en augmentation 17 24,43 % 1er
IVe République
1945 Ire Constituante Groupe socialiste (SOC) 139 0
139  /  586
en diminution 10 23,60 % 3e
1946 (juin) IIe Constituante 127 1
128  /  586
en diminution 11 21,84 %
1946 (nov) Ire 101 0
101  /  619
en diminution 27 16,31 %
1951 IIe 105 2
107  /  627
en augmentation 6 17,07 % 2e
1956 IIIe 94 0
94  /  607
en diminution 13 15,48 % 3e
Ve République
1958 Ire Groupe socialiste (SOC) 43 4
47  /  576
en diminution 47 8,16 % 5e
1962 IIe 64 2
66  /  482
en augmentation 19 13,70 % 2e
1967 IIIe Groupe de la Fédération de la gauche démocrate et socialiste (FGDS) 116 5
121  /  486
en augmentation 55 24,90 %
1968 IVe 57 0
57  /  487
en diminution 64 11,70 % 3e
1973 Ve Groupe du Parti socialiste et des radicaux de gauche (PSRG) 100 2
102  /  490
en augmentation 43 20,82 % 2e
1978 VIe Groupe socialiste (SOC) 102 11
113  /  491
en augmentation 11 23 % 3e
1981 VIIe 265 20
285  /  491
en augmentation 172 58 % 1er
1986 VIIIe 196 16
212  /  577
en diminution 73 37,75 %
1988 IXe 258 17
275  /  575
en augmentation 63 47,83 %
1993 Xe 52 5
57  /  577
en diminution 218 9,88 % 3e
1997 XIe 242 8
250  /  577
en augmentation 193 43,33 % 1er
2002 XIIe 140 1
141  /  577
en diminution 109 24,44 % 2e
2007 XIIIe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC) 189 15
204  /  577
en augmentation 63 35,35 %
2012 XIVe Socialiste, républicain et citoyen (SRC)
puis socialiste, écologiste et républicain (SER) à partir du 25 mai 2016[1]
279 16
295  /  577
en augmentation 91 51,13 % 1er
2017 XVe Groupe Nouvelle Gauche (NG)
puis groupe socialistes et apparentés (SOC) à partir du 12 septembre 2018
28 3
31  /  577
en diminution 264 5,37 % 4e
2022 XVIe Groupe Socialistes et apparentés, membre de l'intergroupe Nupes (SOC)
puis groupe socialistes et apparentés (SOC) à partir du 19 octobre 2023
27 4
31  /  577
en stagnation 5,37 % 6e
2024 XVIIe Socialistes et apparentés (SOC) 62 4
66  /  577
en augmentation 35 11,44 % 4e

Composition

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XVIIe législature

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Groupe Socialiste et apparentés durant la XVIIe législature (depuis 2024)
Circonscription Nom Parti Remarques
Ardèche 1re Hervé Saulignac PS
Bas-Rhin 3e Thierry Sother PS
Bouches-du-Rhône 11e Marc Pena PS
2e Laurent Lhardit PS
Calvados 2e Arthur Delaporte PS Porte-parole du groupe[2]
Charente-Maritime 3e Fabrice Barusseau PS
Corrèze 1re François Hollande PS Ancien Président de la République
Côte-d'Or 1re Océane Godard PS
3e Pierre Pribetich PS
Drôme 1re Paul Christophle PS
Essonne 6e Jérôme Guedj PS
Eure 4e Philippe Brun PS
Finistère 6e Mélanie Thomin PS Porte-parole du groupe[2]
Gironde 4e Alain David PS
5e Pascale Got PS
6e Marie Récalde PS
7e Sébastien Saint-Pasteur PS
Haute-Garonne 10e Jacques Oberti PS
6e Arnaud Simion PS
8e Joël Aviragnet PS
Haute-Vienne 2e Stéphane Delautrette PS Président de la Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation[3]
Hautes-Alpes 1re Marie-José Allemand PS
2e Valérie Rossi PS
Hautes-Pyrénées 2e Denis Fégné PS
Hérault 3e Fanny Dombre-Coste PS
Ille-et-Vilaine 8e Mickaël Bouloux PS
3e Claudia Rouaux PS
Indre-et-Loire 4e Laurent Baumel PS
Isère 4e Marie-Noëlle Battistel PS
Landes 3e Boris Vallaud PS Président du groupe
Loire 1re Pierrick Courbon PS
Loire-Atlantique 1re Karim Benbrahim PS
5e Fabrice Roussel PS
Lot 2e Christophe Proença PS
Lozère 1re Sophie Pantel PS Secrétaire de l’Assemblée nationale
Manche 4e Anna Pic PS
Martinique 3e Béatrice Bellay PS Porte-parole du groupe[2]
Mayenne 1re Guillaume Garot PS
Meurthe-et-Moselle 1re Estelle Mercier PS
2e Stéphane Hablot PS
5e Dominique Potier PS
Nord 11e Roger Vicot PS
13e Julien Gokel PS
Orne 1re Chantal Jourdan PS
Paris 11e Céline Hervieu PS
7e Emmanuel Grégoire PS Porte-parole du groupe[2]
Puy-de-Dôme 2e Christine Pirès-Beaune PS Première questeure de l'Assemblée nationale
Pyrénées-Atlantiques 4e Iñaki Echaniz PS Secrétaire de l’Assemblée nationale
5e Colette Capdevielle PS
Rhône 4e Sandrine Runel PS
La Réunion 1re Philippe Naillet PS
Sarthe 2e Marietta Karamanli PS
Seine-et-Marne 11e Olivier Faure PS Premier secrétaire du Parti socialiste
9e Céline Thiébault-Martinez PS
Seine-Maritime 1re Florence Herouin-Léautey PS
5e Gérard Leseul PS
Seine-Saint-Denis 8e Fatiha Keloua-Hachi PS Présidente de la commission des affaires culturelles et de l'éducation
Val-d'Oise 2e Ayda Hadizadeh PS
7e Romain Eskenazi PS
Val-de-Marne 9e Isabelle Santiago PS
Yvelines 7e Aurélien Rousseau PP
9e Dieynaba Diop PS Vice-présidente du groupe
Guadeloupe 4e Elie Califer PS Apparenté
2e Christian Baptiste PPDG Apparenté
Martinique 1re Jiovanny William Péyi-A Apparenté
Pyrénées-Atlantiques 6e Peio Dufau EH Bai Apparenté

XVIe législature

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Groupe Socialiste et apparentés durant la XVIe législature (2022-2024)
Circonscription Nom Parti Remarques
Ardèche 1re Hervé Saulignac PS
Calvados 2e Arthur Delaporte PS Porte-parole du groupe[4]
Eure 4e Philippe Brun PS
Finistère 6e Mélanie Thomin PS
Gironde 4e Alain David PS
Haute-Garonne 8e Joël Aviragnet PS
Ille-et-Vilaine 8e Mickaël Bouloux PS
3e Claudia Rouaux PS
Isère 4e Marie-Noëlle Battistel PS
Landes 3e Boris Vallaud PS Président du groupe
Manche 4e Anna Pic PS
Mayenne 1re Guillaume Garot PS
Meurthe-et-Moselle 5e Dominique Potier PS
Nord 11e Roger Vicot PS
Orne 1re Chantal Jourdan PS
Pas de Calais 8e Bertrand Petit PS Élu sous l'étiquette divers gauche (et en tant que dissident NUPÉS en 2022)
Puy-de-Dôme 2e Christine Pirès-Beaune PS Porte-parole du groupe[4]
Pyrénées-Atlantiques 4e Iñaki Echaniz PS
Saône-et-Loire 4e Cécile Untermaier PS
Sarthe 2e Marietta Karamanli PS
Seine-Maritime 5e Gérard Leseul PS
Seine-et-Marne 11e Olivier Faure PS
Tarn-et-Garonne 1re Valérie Rabault PS Première vice-présidente de l’Assemblée
Haute-Vienne 2e Stéphane Delautrette PS
Essonne 6e Jérôme Guedj PS
Seine-Saint-Denis 8e Fatiha Keloua-Hachi PS
Val-de-Marne 9e Isabelle Santiago PS
Guadeloupe 4e Elie Califer PS Apparenté
2e Christian Baptiste PPDG Apparenté
Martinique 3e Johnny Hajjar PPM Apparenté
La Réunion 1re Philippe Naillet PS Apparenté

XVe législature

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Groupe Nouvelle Gauche puis Socialiste et apparentés durant la XVe législature (2017-2022)
Circonscription Nom Parti Remarques
Aisne 3e Jean-Louis Bricout PS puis DVG
Ardèche 1re Hervé Saulignac PS
2e Michèle Victory PS
Calvados 2e Laurence Dumont PS
Charente 3e Jérôme Lambert PS puis MDC
Gers 2e Gisèle Biémouret PS
Gironde 4e Alain David PS
Haute-Garonne 8e Joël Aviragnet PS
Ille-et-Vilaine 3e Claudia Rouaux PS Rejoint le groupe le 12 février 2020
Isère 4e Marie-Noëlle Battistel PS
Landes 3e Boris Vallaud PS
Mayenne 1re Guillaume Garot PS
Meurthe-et-Moselle 5e Dominique Potier PS
Orne 1re Joaquim Pueyo PS Démissionne le 2 août 2020
Chantal Jourdan PS Remplace Joaquim Pueyo le 3 août 2020
Puy-de-Dôme 2e Christine Pirès-Beaune PS
Pyrénées-Atlantiques 3e David Habib PS Vice-président de l’Assemblée (à partir d'octobre 2019)
Saône-et-Loire 4e Cécile Untermaier PS
Sarthe 2e Marietta Karamanli PS
4e Stéphane Le Foll PS Démissionne le 11 juillet 2018
Sylvie Tolmont PS Remplace Stéphane Le Foll le 12 juillet 2018
Paris 15e George Pau-Langevin PS Démissionne le 16 novembre 2020
Lamia El Aaraje PS Élection annulée le 28 janvier 2022
Seine-Maritime 5e Christophe Bouillon PS Démissionne le 17 juin 2020
Gérard Leseul PS Remplace Christophe Bouillon le 28 septembre 2020
Seine-et-Marne 11e Olivier Faure PS Président de groupe (2017-2018)
Deux-Sèvres 2e Delphine Batho PS puis Rejoint les non-inscrits le 2 mai 2018
Tarn-et-Garonne 1re Valérie Rabault PS Présidente de groupe (2018-2022)
Val-de-Marne 9e Luc Carvounas PS Démissionne le 24 juin 2020
Isabelle Santiago PS Remplace Luc Carvounas le 28 septembre 2020
Val-d'Oise 8e François Pupponi PS puis DVG Rejoint le groupe Libertés et territoires le 17 octobre 2018
Guadeloupe 4e Hélène Vainqueur-Christophe PS
La Réunion 1re Ericka Bareigts PS Démissionne le 13 juillet 2020
Philippe Naillet PS Remplace Ericka Bareigts le 13 juillet 2020
Loire 1re Régis Juanico PS puis G.s Apparenté au groupe à partir du 23 juin 2018
Nord 13e Christian Hutin MRC puis MDC Apparenté au groupe
Martinique 1re Josette Manin BPM Apparentée au groupe
3e Serge Letchimy PPM Apparenté au groupe, démissionne le 1er juillet 2021

XIVe législature

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XIIIe législature

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Groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche durant la XIIIe législature (2007-2012)
Nom Parti Circonscription Remarques
Patricia Adam PS Finistère (2e)
Sylvie Andrieux-Bacquet PS Bouches-du-Rhône (7e)
Jean-Marc Ayrault PS Loire-Atlantique (3e) Président du groupe
Jean-Paul Bacquet PS Puy-de-Dôme (4e)
Dominique Baert PS Nord (département) (8e)
Jean-Pierre Balligand PS Aisne (3e) Secrétaire de l'Assemblée
Gérard Bapt PS Haute-Garonne (2e)
Claude Bartolone PS Seine-Saint-Denis (6e)
Jacques Bascou PS Aude (2e)
Christian Bataille PS Nord (22e)
Delphine Batho PS Deux-Sèvres (2e)
Marie-Noëlle Battistel[5] PS Isère (4e)
Jean-Louis Bianco PS Alpes-de-Haute-Provence (1re)
Gisèle Biémouret PS Gers (2e)
Serge Blisko PS Paris (10e)
Patrick Bloche PS Paris (7e)
Daniel Boisserie PS Haute-Vienne (2e)
Maxime Bono PS Charente-Maritime (1re)
Jean-Michel Boucheron PS Ille-et-Vilaine (1re)
Marie-Odile Bouillé PS Loire-Atlantique (8e)
Christophe Bouillon PS Seine-Maritime (5e)
Monique Boulestin PS Haute-Vienne (1re)
Pierre Bourguignon PS Seine-Maritime (3e)
Danielle Bousquet PS Côtes-d'Armor (1re) Secrétaire de l'Assemblée
François Brottes PS Isère (5e)
Alain Cacheux PS Nord (3e)
Jérôme Cahuzac PS Lot-et-Garonne (3e) Président de la commission des Finances
Jean-Christophe Cambadélis PS Paris (20e)
Thierry Carcenac PS Tarn (2e)
Christophe Caresche PS Paris (18e)
Martine Carrillon-Couvreur PS Nièvre (1re)
Laurent Cathala PS Val-de-Marne (2e)
Bernard Cazeneuve PS Manche (5e)
Jean-Paul Chanteguet PS Indre (3e)
Gérard Charasse PRG Allier (4e)
Alain Claeys PS Vienne (1re)
Jean-Michel Clément PS Vienne (3e)
Marie-Françoise Clergeau PS Loire-Atlantique (2e)
Gilles Cocquempot PS Pas-de-Calais (7e)
Pierre Cohen PS Haute-Garonne (3e)
Catherine Coutelle PS Vienne (2e)
Pascale Crozon PS Rhône (6e)
Frédéric Cuvillier PS Pas-de-Calais (5e)
Claude Darciaux PS Côte-d'Or (3e)
Pascal Deguilhem PS Dordogne (1re)
Michèle Delaunay PS Gironde (2e)
Guy Delcourt PS Pas-de-Calais (13e)
François Deluga[6] PS Gironde (8e)
Bernard Derosier PS Nord (2e)
Michel Destot PS Isère (3e)
René Dosière SE Aisne (1re)
Julien Dray PS Essonne (10e)
Tony Dreyfus PS Paris (5e) Vice-président de l'Assemblée
puis Secrétaire
Jean-Pierre Dufau PS Landes (2e)
William Dumas PS Gard (5e)
Jean-Louis Dumont PS Meuse (2e)
Laurence Dumont PS Calvados (2e) Vice-présidente de l'Assemblée
Jean-Paul Dupré PS Aude (3e)
Yves Durand PS Nord (11e)
Philippe Duron PS Calvados (1re)
Olivier Dussopt PS Ardèche (2e)
Christian Eckert PS Meurthe-et-Moselle (3e)
Henri Emmanuelli PS Landes (3e)
Corinne Erhel PS Côtes-d'Armor (5e)
Laurent Fabius[7] PS Seine-Maritime (4e)
Albert Facon PS Pas-de-Calais (14e)
Martine Faure PS Gironde (9e)
Hervé Féron PS Meurthe-et-Moselle (2e)
Aurélie Filippetti PS Moselle (8e)
Geneviève Fioraso PS Isère (1re)
Pierre Forgues PS Hautes-Pyrénées (1re)
Valérie Fourneyron PS Seine-Maritime (1re)
Michel Françaix PS Oise (3e)
Jean-Claude Fruteau PS Réunion (5e)
Jean-Louis Gagnaire PS Loire (2e)
Geneviève Gaillard PS Deux-Sèvres (1er)
Guillaume Garot PS Mayenne (1re)
Jean Gaubert PS Côtes-d'Armor (2e) Secrétaire de l'Assemblée
Jean-Patrick Gille PS Indre-et-Loire (1re)
Jean Glavany PS Hautes-Pyrénées (3e)
Daniel Goldberg PS Seine-Saint-Denis (3e)
Pascale Got PS Gironde (5e)
Marc Goua PS Maine-et-Loire (2e)
Jean Grellier PS Deux-Sèvres (4e)
Élisabeth Guigou PS Seine-Saint-Denis (9e)
David Habib PS Pyrénées-Atlantiques (3e)
Danièle Hoffman-Rispal PS Paris (6e) Secrétaire de l'Assemblée
Sandrine Hurel PS Seine-Maritime (11e)
Monique Iborra PS Haute-Garonne (6e)
Jean-Louis Idiart PS Haute-Garonne (8e)
Françoise Imbert PS Haute-Garonne (5e)
Michel Issindou PS Isère (2e)
Éric Jalton FRAPP Guadeloupe (1re)
Serge Janquin PS Pas-de-Calais (10e)
Henri Jibrayel PS Bouches-du-Rhône (4e)
Régis Juanico PS Loire (1re)
Armand Jung PS Bas-Rhin (1re)
Marietta Karamanli PS Sarthe (2e)
Jean-Pierre Kucheida PS Pas-de-Calais (12e)
Conchita Lacuey PS Gironde (4e)
Jérôme Lambert PS Charente (3e)
François Lamy PS Essonne (6e)
Jack Lang PS Pas-de-Calais (6e)
Colette Langlade[8] PS Dordogne (3e)
Jean Launay PS Lot (2e)
Jean-Yves Le Bouillonnec PS Val-de-Marne (11e)
Marylise Lebranchu PS Finistère (4e) Questeure de l'Assemblée
Patrick Lebreton PS La Réunion (4e)
Gilbert Le Bris PS Finistère (8e)
Jean-Yves Le Déaut PS Meurthe-et-Moselle (6e)
Michel Lefait PS Pas-de-Calais (8e)
Jean-Marie Le Guen PS Paris (9e)
Annick Le Loch PS Finistère (7e)
Patrick Lemasle PS Haute-Garonne (7e)
Catherine Lemorton PS Haute-Garonne (1re)
Annick Lepetit PS Paris (17e)
Bruno Le Roux PS Seine-Saint-Denis (1re)
Bernard Lesterlin PS Allier (2e)
Michel Liebgott PS Moselle (10e)
Martine Lignières-Cassou PS Pyrénées-Atlantiques (1re)
François Loncle PS Eure (4e)
Victorin Lurel PS Guadeloupe (4e)
Jean Mallot PS Allier (3e) Vice-président de l'Assemblée
Louis-Joseph Manscour PS Martinique (1re)
Jacqueline Maquet PS Pas-de-Calais (3e)
Marie-Lou Marcel PS Aveyron (2e)
Marie-Claude Marchand[9] PS Nord (19e)
Jean-René Marsac PS Ille-et-Vilaine (4e)
Philippe Martin PS Gers (1re)
Martine Martinel PS Haute-Garonne (4e)
Frédérique Massat PS Ariège (1re)
Gilbert Mathon PS Somme (4e)
Didier Mathus PS Saône-et-Loire (4e)
Sandrine Mazetier PS Paris (8e)
Michel Ménard PS Loire-Atlantique (5e)
Kléber Mesquida PS Hérault (5e)
Jean Michel PS Puy-de-Dôme (6e)
Arnaud Montebourg PS Saône-et-Loire (6e)
Pierre Moscovici PS Doubs (4e)
Pierre-Alain Muet PS Rhône (2e)
Philippe Nauche PS Corrèze (2e)
Henri Nayrou PS Ariège (5e)
Marie-Renée Oget PS Côtes-d'Armor (4e)
Michel Pajon PS Seine-Saint-Denis (13e)
George Pau-Langevin PS Paris (21e)
Christian Paul PS Nièvre (3e)
Germinal Peiro PS Dordogne (4e)
Jean-Luc Pérat PS Nord (24e)
Jean-Claude Perez PS Aude (1re)
Marie-Françoise Pérol-Dumont PS Haute-Vienne (3e)
Philippe Plisson PS Gironde (11e)
François Pupponi[10] PS Val-d'Oise (8e)
Catherine Quéré PS Charente-Maritime (3e)
Jean-Jack Queyranne PS Rhône (7e)
Dominique Raimbourg PS Loire-Atlantique (4e)
Marie-Line Reynaud PS Charente (2e)
Alain Rodet PS Haute-Vienne (4e)
Marcel Rogemont PS Ille-et-Vilaine (3e)
Bernard Roman PS Nord (1er)
Gwendal Rouillard[11] PS Morbihan (5e)
René Rouquet PS Val-de-Marne (9e)
Alain Rousset PS Gironde (7e)
Michel Sainte-Marie PS Gironde (6e)
Michel Sapin PS Indre (1re)
Odile Saugues PS Puy-de-Dôme (1re)
Christophe Sirugue PS Saône-et-Loire (5e)
Pascal Terrasse PS Ardèche (1re)
Jean-Louis Touraine PS Rhône (3e)
Marisol Touraine PS Indre-et-Loire (3e)
Philippe Tourtelier PS Ille-et-Vilaine (2e)
Jean-Jacques Urvoas PS Finistère (1re)
Daniel Vaillant PS Paris (19e)
Jacques Valax PS Tarn (1re)
Manuel Valls PS Essonne (1re)
Michel Vauzelle PS Bouches-du-Rhône (16e)
Michel Vergnier PS Creuse (1re)
André Vézinhet PS Hérault (2e)
Alain Vidalies PS Landes (1re)
Jean-Michel Villaumé PS Haute-Saône (2e)
Jean-Claude Viollet PS Charente (1re)
Philippe Vuilque PS Ardennes (2e)
Chantal Berthelot AGEG Guyane (2e) Apparentée au groupe
Guy Chambefort PS Allier (1re) Apparenté au groupe
Paul Giacobbi PRG Haute-Corse (2e) Apparenté au groupe
Annick Girardin PRG-CSA Saint-Pierre-et-Miquelon (1re) Apparentée au groupe
Joël Giraud PRG Hautes-Alpes (2e) Apparenté au groupe
Christian Hutin MRC Nord (12e) Apparenté au groupe
Serge Letchimy PPM Martinique (3e) Apparenté au groupe
Albert Likuvalu PRG Wallis-et-Futuna (1re) Apparenté au groupe
Jeanny Marc GUSR Guadeloupe (3e) Apparentée au groupe
Dominique Orliac PRG Lot (1re) Apparentée au groupe
Sylvia Pinel PRG Tarn-et-Garonne (2e) Apparentée au groupe
Martine Pinville PS Charente (4e) Apparentée au groupe
Simon Renucci CSD Corse-du-Sud (1re) Apparenté au groupe
Chantal Robin-Rodrigo PRG Hautes-Pyrénées (2e) Apparentée au groupe
Christiane Taubira Walwari Guyane (1re) Apparentée au groupe

Historique

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XIVe législature (2012-2017)

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Logo de 2016 à 2017.

Il est le groupe le plus important de la XIVe législature et compte à sa création 295 députés (279 membres et 16 apparentés), soit la majorité absolue. En , il compte 291 députés (275 membres et 16 apparentés). En , le départ de Jean-Pierre Maggi fait passer son effectif total à 288, perdant ainsi la majorité absolue à l'Assemblée nationale[12].

Députés ayant quitté le groupe en cours de mandat

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  1. Thomas Thévenoud, exclu à la suite des révélations sur ses impôts impayés[13] ;
  2. Philippe Noguès, qui conteste la ligne « sociale-libérale » du PS et rejoint en les non-inscrits[14].
  3. Pouria Amirshahi, frondeur, qui conteste la ligne politique du gouvernement, rejoint les non-inscrits[15].
  4. La frondeuse Dominique Chauvel quitte le groupe socialiste le et rejoint les rangs des non-inscrits[16].
  5. Le frondeur Patrice Prat quitte le groupe socialiste le et rejoint les rangs des non-inscrits[17].

Composition à la fin de la législature

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XVe législature

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Au début de la législature, le groupe se compose de 28 membres et de 3 apparentés[19].

Malgré l’inscription du groupe dans l'opposition, plusieurs députés qui le composent ont été élus en se réclamant de la majorité présidentielle. C'est le cas d'Ericka Bareigts[20], de Delphine Batho[21], d'Olivier Dussopt[22], de Marietta Karamanli[23], d'Hervé Saulignac[24] et de Christophe Bouillon[23]. D'autres, sans employer cette expression, ont exprimé leur soutien au mouvement d'Emmanuel Macron, comme Hélène Vainqueur-Christophe[25], Joaquim Pueyo[26] ou Guillaume Garot[25].

D'autres enfin, sans apporter de soutien aussi explicite, ont été élus dans des circonscriptions où La République en marche ! (LREM) a choisi de ne pas présenter de candidats face à eux, comme François Pupponi[25], Stéphane Le Foll ou George Pau-Langevin, ou ont demandé à la commission d’investiture de LREM qu’elle renonce à investir un candidat face à eux, comme Jean-Louis Bricout[27].

Lors du vote de confiance au gouvernement Philippe II, alors que le PS appelle à voter contre, 3 députés votent pour la confiance (Guillaume Garot, David Habib et Hélène Vainqueur-Christophe), 23 s'abstiennent, et seuls 5 votent contre (Joël Aviragnet, Luc Carvounas, Alain David, Régis Juanico et Boris Vallaud)[28].

Après un an de législature, le groupe Nouvelle gauche est l'un des deux groupes les moins présents aux votes de l'Assemblée (19 %), avec le groupe Les Républicains (18 %), ce qui s'explique notamment par le fait que tous deux sont en majorité composés de députés sortants[29].

En , il a voté en moyenne 29,3 % des textes de la majorité, contre 15 % pour le groupe LFI et 9,3 % pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine ; ce taux monte à 40,8 % pour les seuls votes solennels (qui valident l'ensemble d'une loi)[30]. A cette date, il a voté favorablement lors de huit scrutins solennels, s'agissant des textes portant sur l'état d'urgence, sur la lutte contre le terrorisme, sur la moralisation de la vie politique, sur la fin de l'exploitation des hydrocarbures, sur le don de congé aux aidants familiaux, sur le droit à l'erreur, sur la protection des données personnelles et sur le transport aérien entre les États-Unis et l'Union européenne[30].

Le groupe PS vote intégralement contre la confiance au gouvernement Philippe en . Il s'agit du groupe qui connaît le plus grand changement d'orientation depuis le premier vote de confiance de 2017[31].

En , Olivier Faure, président du groupe parlementaire, annonce que le groupe devient Nouvelle Gauche[32],[33], une dénomination qui, pour la première fois depuis 1958, ne fait pas référence au socialisme[34]. Le groupe abandonne cette dénomination en pour « socialistes et apparentés » (SOC)[35].

Répartition partisane

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Parti/étiquette politiques Nombre de députés
Parti socialiste 24
Mouvement des citoyens 2
Génération.s 1
Bâtir le pays Martinique 1

Députés ayant quitté le groupe en cours de mandat

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  1. Delphine Batho, députée PS de la deuxième circonscription des Deux-Sèvres, annonce son départ du PS et du groupe le . Elle rejoint le parti Génération écologie et les députés non-inscrits[36].
  2. Stéphane Le Foll, député PS de la quatrième circonscription de la Sarthe démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie du Mans. Il est remplacé par Sylvie Tolmont.
  3. François Pupponi, député ex-PS de la huitième circonscription du Val-d'Oise annonce avec 15 autres députés la création du Groupe Libertés et territoires le [37].
  4. Christophe Bouillon, député PS de la cinquième circonscription de la Seine-Maritime démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie de Barentin[38].
  5. Luc Carvounas, député PS de la neuvième circonscription du Val-de-Marne démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie d'Alfortville.
  6. Ericka Bareigts, députée PS de la première circonscription de La Réunion démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie de Saint-Denis. Elle est remplacée par Philippe Naillet.
  7. Joaquim Pueyo, député PS de la première circonscription de l'Orne démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la mairie d'Alençon. Il est remplacé par Chantal Jourdan.
  8. George Pau-Langevin, députée PS de la 15e circonscription de Paris démissionne le de son mandat de député à la suite de sa nomination comme adjointe à la défenseur des droits.
  9. Serge Letchimy, député PPM de la troisième circonscription de la Martinique démissionne le de son mandat de député à la suite de son élection à la présidence du conseil exécutif de Martinique.
  10. Lamia El Aaraje, élue dans la 15e circonscription de Paris depuis le , perd son mandat le à la suite d'une décision du Conseil constitutionnel annulant l'élection à cause d'une usurpation de logo par l'un de ses adversaires[39].

Membres du bureau de l'Assemblée nationale

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XVIe législature (2022-2024)

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Le Parti socialiste avait préinvesti plus de 400 candidats avant son accord avec la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, que certains n'ont pas accepté, maintenant leurs candidatures. A émergé ainsi le projet d'un « autre groupe de gauche à l'Assemblée nationale » face à la NUPES[40], intégrant les socialistes « dissidents », le Parti radical de gauche (PRG), et « des socialistes investis NUPES mais qui ne s'en revendiquent pas »[40], parmi lesquelles Valérie Rabault, présidente des députés socialistes entre 2017 et 2022[40], qui en mai 2022 s'est opposée à l'accord électoral entre le PS et La France insoumise[41]. Le projet n'aboutit pas, les socialistes se situant en dehors de l'accord NUPES siègent soit parmi les députés non-inscrits, soit au sein du groupe LIOT, soit au sein du groupe socialiste.

En 2022, la presse a recensé 70 candidatures « dissidentes », soit autant que de candidats PS investis par la NUPES. Sébastien Vincini, secrétaire national du PS, a précisé que certains se sont mis eux-mêmes en retrait du PS et que les autres « seront exclus »[40], ce qui a été contesté en justice[42].

Selon la direction du PS, 19 ont décidé de faire bénéficier les financements politiques générés par leur candidature au Parti radical de gauche (PRG), privant ainsi le Parti socialiste d'un million d'euros de financements[43].

Après la mise en place d'un moratoire sur la participation du Parti socialiste à l'intergroupe de la NUPES[44], le groupe revient à son appellation précédente de « groupe Socialistes et apparentés », en retirant la mention à la NUPES, le (publication au Journal officiel le lendemain)[45].

XVIIe législature (depuis 2024)

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Organisation

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Présidents depuis 1958

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Portrait Nom Dates du mandat Notes
Francis Leenhardt Député des Bouches-du-Rhône, il est le premier président du groupe socialiste en 1958. Il perd son mandat de député lors de l'élection législative de 1962, refusant de s'allier au candidat communiste.
Gaston Defferre Député des Bouches-du-Rhône, il est élu président en 1962. Il quitte cette fonction en 1981 lorsqu'il est nommé Ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation au sein du gouvernement Mauroy.
Pierre Joxe Député de Saône-et-Loire, il est élu président en 1981. Il quitte cette fonction en 1984 lorsqu'il est nommé Ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation au sein du gouvernement Fabius.
André Billardon Député de Saône-et-Loire, il est élu président en 1984. Il quitte cette fonction en 1986.
Pierre Joxe Député de Saône-et-Loire, il est élu président en 1986. Il quitte cette fonction en 1988 lorsqu'il est nommé Ministre de l'Intérieur au sein du gouvernement Rocard.
Louis Mermaz Député de l'Isère, il est élu président en 1988. Il quitte cette fonction en 1990 lorsqu'il est nommé Ministre de l'Agriculture et de la Forêt au sein du gouvernement Rocard.
Jean Auroux Député de la Loire, il est élu président en 1990. Il perd son mandat de député lors de l'élection législative de 1993.
Martin Malvy Député du Lot, il est élu président en 1993. Il quitte cette fonction en 1995.
Laurent Fabius Député de la Seine-Maritime, il est élu président en 1995. Il quitte cette fonction en 1997 et est alors élu Président de l'Assemblée nationale.
Jean-Marc Ayrault Député de la Loire-Atlantique, il est élu président en 1997. Il quitte cette fonction en 2012 lorsqu'il est nommé Premier ministre par le Président de la République française, François Hollande.
Bruno Le Roux Député de la Seine-Saint-Denis, il est élu président en 2012. Il quitte cette fonction en 2016 lorsqu'il est nommé Ministre de l'Intérieur au sein du gouvernement Cazeneuve.
Seybah Dagoma
(intérim)
Députée de Paris, elle devient présidente du groupe par intérim en attente de l'organisation d'une nouvelle élection.
Olivier Faure Député de Seine-et-Marne, il est élu président du groupe nommé Nouvelle Gauche en 2016 puis réélu en 2017. Il quitte cette fonction en 2018 lorsqu'il est élu Premier Secrétaire du Parti socialiste.
Valérie Rabault Députée de Tarn-et-Garonne, elle est élue présidente en 2018. Elle quitte cette fonction en 2022 lorsqu'elle devient vice-présidente de l'Assemblée nationale.
Boris Vallaud En fonction Député des Landes, il est élu président en 2022 du groupe socialiste membre de l'intergroupe Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Il est réélu à l'unanimité pour assumer la présidence du groupe à l'Assemblée nationale le 10 juillet 2024.

Secrétaires généraux

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Identité visuelle

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Présidents socialistes de l'Assemblée nationale sous la Cinquième République

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Sous la Cinquième République, cinq membres issus du groupe socialiste ont exercé la présidence de l'Assemblée nationale, durant quatre législatures :

Portrait Nom Dates du mandat Législature Circonscription
1 Louis Mermaz 2 juillet 1981 1er avril 1986 VIIe Isère (5e)
2 Laurent Fabius 23 juin 1988 21 janvier 1992 IXe Seine-Maritime (4e)
3 Henri Emmanuelli 22 janvier 1992 1er avril 1993 Landes (3e)
(2) Laurent Fabius 12 juin 1997 27 mars 2000 XIe Seine-Maritime (4e)
4 Raymond Forni 27 mars 2000 18 juin 2002 Territoire de Belfort (1re)
5 Claude Bartolone 26 juin 2012 20 juin 2017 XIVe Seine-Saint-Denis (9e)

Notes et références

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  1. Journal officiel de la République française, « Informations parlementaires : Groupes politiques » [PDF], sur Légifrance, (consulté le )
  2. a b c et d « Mélanie Thomin devient porte-parole des socialistes au Parlement », sur Le Poher, (consulté le )
  3. « Élection du bureau de la délégation parlementaire aux collectivités territoriales et à la décentralisation », sur Assemblée nationale, (consulté le )
  4. a et b « Arthur Delaporte, député du Calvados, nommé porte-parole du groupe Parti socialiste à l’Assemblée », sur Ouest France, (consulté le )
  5. Élue le , lors d'une élection partielle faisant suite à la démission de Didier Migaud, nommé à la Cour des Comptes.
  6. Élu le à la suite de la démission de Marie-Hélène des Esgaulx de Nolet, élue au Sénat.
  7. Démissionnaire le .
  8. Suppléante de Michel Debet, décédé le .
  9. Suppléante de Patrick Roy, décédé le .
  10. Élu le , à la suite de la démission de Dominique Strauss-Kahn.
  11. Suppléant de Françoise Olivier-Coupeau, décédée le .
  12. Marc Simon, « C'est fait, le PS n'a plus la majorité absolue à l'Assemblée nationale », sur lexpress.fr, (consulté le )
  13. Thomas Thévenoud quitte le Parti socialiste mais reste député, Le Monde, 8 septembre 2014.
  14. « PS. Le député frondeur Philippe Noguès quitte le parti », entretien avec Ouest-France, 24 juin 2015.
  15. « Le député frondeur Pouria Amirshahi quitte le Parti socialiste », sur Le Figaro,
  16. « Modifications », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  17. Étienne Girard, « Le député Patrice Prat, bras droit d'Arnaud Montebourg, quitte le PS », lelab.europe1.fr, 12 juillet 2016.
  18. « Bureau groupe décembre 2016 », sur deputes.lessocialistes.fr (consulté le ).
  19. « Groupe Nouvelle Gauche », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  20. « Élections législatives : Ericka Bareigts et Jean-Jacques Morel dans la 1ere circonscription - réunion 1ère », réunion 1ère,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Législatives en Deux-Sèvres : Delphine Batho restera-t-elle députée de la 2e circonscription ? », France 3 Nouvelle-Aquitaine,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « Vers une recomposition en marche ? », sur Le Réveil du Vivarais,
  23. a et b « Présidentielle. Des socialistes soulagés et prêts à s'engager… », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Polémique autour du candidat d’En Marche dans la première circonscription », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. a b et c « Qui sont les candidats PS arrivés en tête et sont-ils Macron-compatibles ? », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. « Orne. Joaquim Pueyo, candidat ni-ni aux législatives », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. (en) « En Marche! et des croche-pattes », sur Le Courrier Picard (consulté le )
  28. Christophe Gueugneau et Manuel Jardinaud, « A l’Assemblée, les gauches se sentent impuissantes », sur Mediapart, (consulté le ).
  29. Wedodata, « Les députés En marche traînent les pieds », sur Les Jours, (consulté le ).
  30. a et b Wedodata, « La gauche, contre Macron ou tout contre ? », sur Les Jours, (consulté le ).
  31. Caroline Vigoureux, « Édouard Philippe: ce que traduit le vote de confiance des députés », sur lopinion.fr, (consulté le ).
  32. « À l'Assemblée, le groupe PS se nommera “Gauche Nouvelle” », sur Libération (consulté le )
  33. « Laurence Dumont sera la candidate du groupe Nouvelle gauche (PS) au «perchoir» », sur Libération (consulté le )
  34. RFI
  35. Enora Ollivier, « Les députés socialistes vont à nouveau s'appeler… socialistes », sur Le Monde, (consulté le ).
  36. « Delphine Batho : "Je quitte le PS sans regrets" », Le Monde, publié et consulté le 2 mai 2018.
  37. Mathilde Siraud, « Assemblée nationale : création d'un nouveau groupe baptisé «Libertés et territoires» », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  38. « Rives-en-Seine. Le suppléant de Christophe Bouillon démissionne de l'Assemblée nationale », sur Tendance Ouest, (consulté le ).
  39. « Décision n° 2021-5726/5728 AN du 28 janvier 2022 » du conseil constitutionnel, publié et consulté 28 janvier 2022.
  40. a b c et d "Législatives : à gauche, des dissidents PS anti Nupes peuvent-ils l’emporter ?" Sud Ouest avec AFP le 10/06/2022 [1]
  41. « Législatives 2022 : entre résignation et rejet d’une alliance avec LFI, les députés socialistes feront campagne sur leur nom », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  42. Article dans le Huffin,gton Post le 08/06/2022
  43. Article de Julien Duffé dans Le Parisien le 27 mai 2022
  44. « Le Parti socialiste vote un "moratoire" sur sa participation à la Nupes », sur Franceinfo, (consulté le )
  45. Chez Pol, « A l’Assemblée nationale, le PS efface déjà la Nupes », sur Libération (consulté le )

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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