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Un Français sur trois
Nom de naissance Trente-trois pour cent - un tiers
Naissance juin, juillet et août 1939
Nationalité Française
Diplôme
Parmi les 25-29 ans, un peu plus d'Un Français sur trois dispose d'un diplôme supérieur à Bac + 2
Profession
Apprécie travailler en Open Space, "fricote et chaparde" au bureau.
Activité principale
Autres activités
Formation
A étudié à l'étranger sans savoir ce qu'est un MOOC ni percevoir l'intérêt du e-learning
Distinctions
2022 : Arnaud Teyssier, considère Un Français sur trois comme un Modèle.

Compléments

Donne son avis facilement. Souvent représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Selon les enquêtes et sondages les plus récents, Un Français sur trois est un citoyen français, de moins de 60 ans, hypermoderne, fragile, craintif, solitaire, parfois antinomique, sexuellement actif, avec des loisirs. Il n'est pas forcément militant écologiste, plutôt de droite même s’il s’en défend. Son activité professionnelle est indéterminée, mais il apprécie prendre du "plaisir" au travail. Les difficultés économiques semblent être, pour lui, un sujet de préoccupation majeure. Il donne souvent son avis. Il est considéré comme un Modèle.

Biographie

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« L'avis des autres n'est que la vie des autres. - Paulo Amaro »

Naissance

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La date de naissance d'Un Français sur trois n'est pas connue avec certitude. Les premières apparitions d'Un Français sur trois remontent à juin, juillet et août 1939 par la revue Sondages appartenant à l'Ifop. Dans ces premières apparitions on constate, qu'en 1939, Un Français sur trois « estimait les accords de Munich comme néfastes », de plus « "Pensez-vous que la France et l'Angleterre doivent désormais résister à toute nouvelle exigence de Hitler ?", 30% répondaient "Non" ». En juin-juillet-aout 1939, à la question « "nous aurons la guerre en 1939", 33% des 40-50 ans répondaient "Non" », on retrouve dans ce dernier résultat son optimisme.[1]

Un Français sur trois « aura 60 ans et plus en 2050[2] »[note 1] et il a un grand-parent étranger[3], [4], [5].

Vie privée

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Un Français sur trois s'estime « heureux[6] », même s'il « vit dans la solitude[7] » et qu'il « a déjà fait appel à un psy[8] » (en effet, au cours de sa vie, Un Français sur trois est atteint de troubles sévères : dépression, Trouble bipolaire, schizophrénie, Troubles obsessionnels compulsifs[9],[10]).

Dans la société française, il connaît précisément « les bénéficiaires de la prime pour l’emploi, de l’allocation pour adultes handicapés, du minimum vieillesse ou encore de l’allocation personnalisée d’autonomie »[11]. Par ailleurs, il semble qu'il connaisse une victime d'inceste[12].

Il ne participe pas à la « fête de la musique[13] » et, en 2020, il ne compte pas faire d'achat à l'occasion du « Black Friday[14] », mais cela ne l'empêchera pas de fêter « la Saint-Valentin[15] ». En outre, devant un match de foot, Un français sur trois « admet tenir des propos homophobes[16] ».

Quand il part en vacances, traditionnellement, c'est « l'Hexagone qu’il préfère[17] » (S'il ne tombe pas malade[18]). Par contre, les bénéfices de ses vacances s'estompent rapidement[19], [20]. En 2016, il prévoit de ne pas partir en vacances durant la période estivale[21]. En 2020, il a voyagé en Europe[22], dépassant les frontières de « l'Hexagone ». Après le confinement, pour ses loisirs, il préfère les activités de plein-air et la musique[23]. En décembre, Un Français sur trois a prévu d'effectuer un déplacement de plus de 100 km à Noël ou pour le réveillon du nouvel an[24].

En 2011, il est prêt à « tout plaquer par amour[25] ». Cinq ans plus tard, il « se trompe encore » lors du changement d'heure[26]. Début 2020, il « fait confiance à des "inconnus rencontrés par hasard"[27] ».

En 2020, un an après l’événement, il doute « de l’origine accidentelle de l'incendie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris[28] » survenu le 15 avril 2019.

De plus, Un Français sur trois « croit aux fantômes[29] » et « en l'astrologie[30] ». Il croit également au paradis après la mort[31].

En 2018, ses conditions de vie présentent des fragilités : ainsi, s'il est concerné par « un (seul) des six facteurs de vulnérabilité passés à la loupe (par le CREDOC) : pauvreté , santé dégradée ou handicap, chômage ou sous-emploi, mal logement, isolement ou relégation territoriale », il est en parallèle concerné par au moins deux de ceux-ci[32].

Concernant son logement, il apprécie la proximité avec des services de santé[33]. Pour le chauffage, l'électricité et l'eau chaude, il compte investir dans des équipements utilisant des énergies renouvelables[34]. Par ailleurs, en 2020, Un Français sur trois « estime à tort qu'il faut utiliser autant de lessive quand le linge est peu sale ou très sale[35] ». De plus, il estime que le compteur Linky est « trop intrusif[36] ».

Parmi ses activités en 2020, Un Français sur trois continue « à jouer avec des briques Lego et pas uniquement pour accompagner ses enfants[37] ». En 2022, lorsqu'il a un nouvel enfant, Un Français concerné sur trois « ne profite pas du congé paternité[38] ».

En 2021, Un Français sur trois semble présenter une nouvelle phobie : « la peur de manquer de batterie sur son téléphone[39] ». Dans un autre registre, il est également « addict aux dernières tendances en matière de végétal »[40].

En 2022, Un Français sur trois « a déjà eu le béguin pour un collègue... mais est-ce bien raisonnable ?[41] ».

Travail

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En 2009, il est durement touché par le stress au travail[42].

En 2018, Un Français sur trois « fricotait au travail[43] » ; pour cela, en 2015, il « utilisait les réseaux sociaux pour trouver du travail[44] » ; pourtant, en 2012, il estimait que son travail pouvait nuire à sa vie de couple[45]. Tout cela va à l'encontre des recommandations de l'INRS dans le domaine de la prévention de la Santé au travail (prévention des RPS), ou bien de celles de l'Anact pour la promotion de la Qualité de vie au Travail (QVT), ces deux organismes de prévention, s'appuyant sur "le rapport Gollac"[46], publié en 2011, recommandent de faire une distinction entre vie privée et vie professionnelle.

Il apprécie « travailler en Open Space[47] » [48], [49], mais il « avoue chaparder au bureau[50] ».

En 2016, Un Français sur trois actif « ne juge pas son état de santé au travail comme bon. Et ce taux est en constante augmentation depuis 2011 [51] ». En 2019, Un Français sur trois « déclare avoir déjà fait un burn-out au cours de sa carrière[52] ». De plus, seul Un Français sur trois « déclare se rendre au travail avec plaisir[53] »

Depuis la crise de la[54] Covid-19, en 2020, Un Français sur trois « craint de perdre son emploi[55] » et il estime « que le lien avec son employeur a été modifié, voire dégradé[56] ». Cependant, il est « enthousiaste à l'idée que des technologies soient déployées sur son lieu de travail[57] ». Pendant cette crise, il déclare avoir eu besoin de modèles inspirants au quotidien, il aurait trouvé « dans son entourage professionnel des sources de motivation[58] ». Toutefois, en 2020, Un Français sur trois déclare « ne pas être épanoui au travail[59] », c'est pourquoi, cette même année, il s'engage dans « l’entrepreneuriat[60] ».

Concernant le télétravail, début 2022, il indique qu'il en effectue « au moins une fois par semaine[61] ».

Sur le plan de l'estimation de ses compétences et leur adéquation au monde du travail, il indique en 2019 avoir « déjà renoncé à candidater en raison de son niveau d’anglais[62] ».

En Octobre 2022, Un Français sur trois « comprend le mouvement des salariés de TotalEnergies et d’ExxonMobil qui font grève pour une revalorisation de leurs salaires, et le soutient[63] ».

En 2022, Un Français sur trois se déclare « attiré par le secteur aéronautique et spatial, dans le cadre d’une possible réorientation professionnelle ou tout simplement pour la poursuite de leur carrière[64] ». Cependant, Un Français sur trois est concerné « par le "quiet quitting", autrement dit : "la démission silencieuse"[65] ».

Économie

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En 2003, il se sent « menacé par le chômage », tandis que son concitoyen « Quatre Français sur cinq pense(…) que le nombre de chômeurs va augmenter » dans les mois suivants[66]. En 2017, il considère que « notre système social favorise l'assistanat » ; parallèlement, son compatriote Deux tiers des Français ne situe(…) pas bien le seuil de pauvreté[67]. En 2020, le début de la pandémie de covid-19, il a peur de perdre son emploi[68].

En 2014, Un Français sur trois est passé par Internet pour faire sa déclaration de revenus[69]. Concernant ses revenu, sept ans plus tard et malgré un « bulletin de paie "clarifié" », il « ne détecterait pas une erreur sur sa fiche de paie[70] ». Cependant, en 2021, Un Français sur trois déclare « avoir renoncé au moins une fois à une démarche en ligne au cours de l’année, notamment les plus âgés et les plus modestes.[71] ».

Bien qu'il détienne plusieurs comptes bancaires[72], Un Français sur trois éprouve des difficultés dans le domaine économique : en 2018, il « renonce à des soins pour des raisons financières[73] » ; c'est peut-être pour cette raison qu'il était en 2011 « tenté par le retour du franc[74] » et qu'il « envisage de devenir entrepreneur[75] » au cours de l'année 2020.

Par ailleurs, en 2014, Un Français sur trois « a des fins de mois difficiles[76] » et craint de basculer dans la précarité. En effet, il « estime avoir déjà connu la pauvreté[77] », mais il est le seul à continuer de faire « confiance à sa banque[78] ». S'ajoutent à cela ses craintes pour la retraite : en effet, il « a besoin d’aide pour comprendre les modalités de sa retraite[79] ». De plus, 50% de ses revenus « passent dans le logement[80] » et il ne perçoit pas les « aides sociales[81] » auxquelles il pourrait prétendre. Cependant, en 2020, il souhaite « une maison avec jardin[82] » et, s'il est copropriétaire, il envisage de « changer de syndic[83] ».

De plus, en 2019, Un Français sur trois « déclare avoir acheté de la seconde main, soit deux fois plus qu'en 2018[84], [85] ». En 2020, il admet également avoir « déjà acheté, au moins un objet reconditionné[86] », notamment, en 2022, il admet avoir « déjà acheté un smartphone d’occasion[87] » ; de plus, si de nombreux français préfèrent les magasins indépendants aux plateformes type Amazon, Un Français sur trois déclare qu'il « ne poursuivra pas avec les nouvelles marques (dans les magasins indépendants qu'il a découvert pendant le confinement), en raison de prix trop élevés[88] ». Il apprécie le fait de faire des achats « en vrac[89] ». En 2019, Un Français sur trois (quasiment 22 millions de Français) achetait sur Amazon, réalisant « un nombre de commandes annuelles assez élevé » (presque dix par an), mais avec un prix moyen par commande « assez faible, environ 35 euros »[90].

L'année suivante, dans un contexte de pandémie de covid-19 et d'aggravation de la pauvreté, il dit « avoir perdu des revenus »[91].

En 2021, les Français achètent partout, tout le temps ; depuis les toilettes, dans le métro, Un Français sur trois déclare réaliser au moins un achat par mois via son smartphone[92]. Dans ce contexte, il utilise le paiement fractionné[93]. Il est par ailleurs à découvert au moins une fois par an[94]. Il est aussi en situation de précarité en ce qui concerne la consommation et notamment les biens de première nécessité non alimentaires[95]. À l'approche de Noël, Un Français sur trois « se dit « attristé » ou « inquiet » à l’évocation des fêtes de fin d’année » 2021[96].

En 2022, Un Français sur trois « envisagerait d’équiper son logement avec des sources d’énergies renouvelables (ENR)[97] ». Cette même année, Un Français sur trois « appartient à une coopérative[98] »[note 2]

En 2022, un Français sur trois « a moins donné aux associations que l'an dernier[99] ». Comme en 2014[100], en 2022, Un Français sur trois « réussit tout juste à boucler son budget[101] ».

Sexualité

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Un Français sur trois « aimerait essayer le plan à trois[102] ». Il déclare avoir déjà eu « des relations sexuelles avec un(e) collègue[103] » et avoir « déjà reçu ou pratiqué la bifle[104] ».

Un Français sur trois déclare « qu'il serait prêt à se passer de sexe au profit de la musique[105] » (et pourtant, Il ne participe pas à la « fête de la musique[106] »), cependant, même en couple, il utilise régulièrement « les sites de rencontres[107] ».[note 3] En octobre 2020, un Français sur trois « a déjà fait un tour sur une application de rencontre[108] ». De plus, il voudrait que « sa moitié perde du poids avant l'été[109] ». Et, si le plat préféré d'Un Français sur trois est « la Raclette[110] » : il « préfère manger plutôt que d’avoir un rapport sexuel[111] ».

En 2019, Un Français sur trois était défini comme « un(e) partenaire sexuel(le) attentif(ve) au fait que son partenaire puisse atteindre l'orgasme lors d'un rapport sexuel[112] », pourtant il « admet avoir connu au moins une forme de troubles du désir ou de l’érection au cours des 12 derniers mois, la plus fréquente étant le manque de fermeté de son sexe durant un rapport[113] » et il « reconnaît avoir déjà donné à sa/son conjoint une fausse excuse pour masquer un problème sexuel, la fatigue physique étant l’argument le plus avancé (78%)[114] » de plus il serait « éjaculateur précoce[115] ».

En 2020, Plus d’un Français sur trois est « célibataire[116] ».

Généralités

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Un Français sur trois « aurait besoin de dormir plus[117] », ou, selon l'INSERM, serait « touché par un trouble du sommeil[118] ». Lors des Journées Internationales du Sommeil, en 2014, les chercheurs ont mis en évidence qu'« 1 actif sur 3 ne dort pas assez et souffre d’une privation de sommeil ». De plus, selon Les Données et études statistiques pour le changement climatique, l'énergie, l'environnement, le logement, et les transports[119], il est concerné par du « bruit dans son logement[120] », ce bruit étant susceptible de perturber son sommeil. Son insatisfaction quant à son sommeil perdure encore en 2022[121].

Un Français sur trois « n’arrive pas à dégager suffisamment de temps pour s’occuper de son bien-être » en 2010[122]. En 2011, il se méfie des médicaments[123]. En 2016 ou 2017, il « fume encore[124] ».

L'ensemble des facteurs négatifs auquel est soumis quotidiennement Un Français sur trois génère chez lui un ensemble de « douleurs chroniques[125] » qui persistent et lui empoisonnent la vie. De plus, sa santé reste fragile, il est concerné par les « maladies rares[126] » et a de l'hypertension artérielle[127]. Cependant, il s'entretient physiquement et se définit comme « adepte du fitness, de la danse ou des sports de combat[128] » ; de plus, il « pratique la course à pied[129] » et il a « souhaité s’initier à un nouveau sport après l’avoir découvert dans les médias[130] » (et cela, même s'il « ne fait plus confiance aux médias[131] »). En 2020, il souhaite davantage pouvoir « pratiquer des sports à domicile[132] ».

Un Français sur trois souffre de problèmes digestifs, en particulier de « Reflux gastro-œsophagien[133], [134] ». De plus, en 2021, il a été mis en évidence que « près d’un Français sur trois se plaint de difficultés à aller à la selle[135] ».

De plus, Un Français sur trois « pense être probablement concerné par la maladie d'Alzheimer à 80 ans[136] ».

De plus, il semble manquer de chance, car il tombe malade « en vacances[137] ». C'est peut-être pour cette raison qu'il a renoncé, plusieurs années de suite, à partir « en vacances[138] », mais, s'il part tout de même, ce sera « à l’étranger[139] ».

En 2020, Un jeune Français sur trois pense « qu’il existe des médicaments pour guérir du sida[140] » alors qu’il n’existe actuellement ni vaccin, ni cure.

Par ailleurs, il considère qu'il ne sait pas faire de geste de premiers secours[141].

En 2022, il est particulièrement inquiet de la possibilité d'un conflit nucléaire, aux côtés de son compatriote Un Français sur deux qui est « très inquiet » concernant la guerre en Ukraine[142].

Enfin, il est sujet à des « allergies environnementales »[143] tout en ayant des sensibilités à certains pollens[144].

Covid-19

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Un Français sur trois « refuserait de se faire vacciner[145] » contre la[146] Covid-19.[note 4] En effet, il estime que « que le ministère de la Santé et les laboratoires pharmaceutiques sont de mèche pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins[147] ».

De plus, le 16 août 2020, Un Français sur trois, ou presque, était inquiet du risque économique lié à la Covid-19, alors qu'Un Français sur deux, lui était plus inquiet du risque sanitaire[148]. De plus, il ne souhaite pas « porter le masque au travail[149] ».

Par ailleurs, Un Français sur trois fait — ou envisage de faire — la bise d’ici la fin de l’été 2020[150]. Cependant, le 30 août 2020, Un Français sur trois déclare avoir « peur de mourir[151] ».

le 8 octobre 2020, Un Français sur trois déclare avoir « subi une perte de revenus depuis le confinement de 2020 en France[152] ».

A partir du 18 octobre 2020, et pendant au moins quatre semaines, Un Français sur trois « vivra dans une zone concernée par le "confinement nocturne"[153] ». Le 24 octobre 2020, cette mesure de "confinement nocturne" est étendue et concerne 46 millions de Français, soit Deux Français sur trois, et cela pendant au moins six semaines[154]. En mars 2021, il est confiné pendant un mois[155].

Début 2021, il « présente des états anxieux ou dépressifs[156] ». Pour mieux gérer son stress, pendant cette période de Covid-19, Un Français sur trois « a déjà eu recours à la méditation[157] ».

Au lendemain du discours du président français du 12 juillet 2021 (lire en ligne), Un Français sur trois, ou presque, juge les mesures annoncées par le chef de l'état comme « trop strictes[158] ». Lors de l'enquête CoviPrev (lire en ligne) en juillet 2021, Un Français sur trois déclarait « ne pas porter systématiquement le masque en public[159] ».

Un bilan effectué en mars 2022 indique qu'au cours des deux années précédentes, il a eu la covid-19[160].

Suites du covid-19

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Marqué par la covid-19, un peu plus que lui-même a ensuite attrapé la « bougeotte », affection qui lui a mis en tête des idées de changement de vie[161].

Toujours marqué par la covid-19, Un Français sur trois déclare « avoir perdu tout sens dans [son] activité professionnelle depuis le début de la pandémie[162] ». En 2022, Un Médecin Français sur trois déclare « subir des pressions pour prescrire un arrêt de travail [163] ».

Valeurs

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Un Français sur trois « ne fait plus confiance aux médias traditionnels pour s’informer[164] ».

L'optimisme d'Un Français sur trois est parfois malmené, il « voit dans le "chacun pour soi" une menace pour la cohésion sociale[165] » ; cependant il continue à se définir comme un « optimiste-actif[166] ».

Un Français sur trois est « inscrit sur un site communautaire[167] ». Cependant, ça ne l'empêche pas de se passer des règles qui régissent la vie en communauté, par exemple « payer son stationnement[168] ». Par ailleurs, il estime « vivre dans un territoire délaissé par les pouvoirs publics[169] » ; de plus, il est convaincu « qu’une technologie intelligente prendrait de meilleures décisions que ses élus gouvernementaux[170] ». Lorsqu'il souhaite partager des idées, des préoccupations ou faire part de ses engagements, il considère que les réseaux sociaux sont le lieu le plus efficace pour cela[171].

Sur le plan éthique, Un Français sur trois ressent de moins en moins de gêne à acheter « des produits contrefaits[172] », de plus il n'hésite pas à « pirater des films et des séries[173] ». Tout cela ne l'empêche pas d'attendre « des marques qu'elles changent le monde et s'engagent concrètement au niveau sociétal et/ou environnemental[174] ».

Un Français sur trois admet volontiers « consommer des vins bios[175] » et « boire de l’eau en bouteille plutôt qu’au robinet[176] », mais il fait « ses courses alimentaires en ligne[177] », de plus, il semble apprécier le PornFood, en effet, il utilise « son smartphone ou sa tablette à table[178] ». En 2017, il se définissait comme un « flexitarien[179] ». En 2020, pendant le confinement, il a « moins gaspillé de nourriture[180] » ; par ailleurs, il se déclare « apaisé par la nourriture. Elle lui donne de bonnes ondes pour être "forts" durant le confinement[181] ». Il s'avoue, également, influencé par les « promotions[182] ». Il pense qu'il y a du « lait dans les boissons ou dessert végétaux[183] ». Le plat préféré d'Un Français sur trois, de moins de 35 ans, est « la Raclette[184] ». En 2013, Un Français sur trois admettait volontiers « consommer des vins bios[185] », en 2022, il affiche une préférence « pour le rosé en canette[186] ».

Un Français sur trois est favorable à la « dépénalisation du cannabis[187] ». Ce qui explique, peut-être, pourquoi il « ne se sent pas en sécurité face à la police[188] ».

Après les attentats en 2015, Un Français sur trois était favorable à la « torture[189] » et, seulement, Un Français sur trois « fait confiance au gouvernement contre le terrorisme[190] ». En novembre 2020, après l'assassinat de Samuel Paty, Un jeune Français sur trois juge « injustifié pour un professeur de montrer des caricatures en classe[191] ».

Dans ses relations humaines, il fait attention « à ne pas être sexiste dans ses actes et propos[192] ».

Idéologie

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Au milieu des années 2010, Un Français sur trois partage « les idées du FN[193], [194] » et se dit « prêt à voter pour Marine Le Pen[195] ». De plus, il serait favorable au retour d'une « monarchie[196], [197], [198] ». Pourtant, en 2010, il se déclarait « "ni à gauche, ni à droite ni au centre"[199] ». Cependant, il « a confiance en la capacité du gouvernement à réformer[200] » et pourtant, il ne connait pas le « le nom du Premier ministre[201] ».

En 2020, Un Français sur trois déclare que le terme « ensauvagement » pour décrire l'évolution de la violence en France est « tout à fait justifié[202] ».

Un Français sur trois ne semble pas être un militant écologiste : il « admet jeter ses déchets par la fenêtre de sa voiture[203] », mais d'une « voiture électrique[204] », de plus il « ne croit pas au réchauffement climatique[205] ». Cependant, en septembre 2020, à l'inverse d'une majorité des français, il ne se montre pas « hostile aux déclarations des maires EELV concernant le Tour de France ou le sapin de Noël[206] ». Recemment, il se disait « prêt à consacrer une partie de son pouvoir d'achat pour investir dans des produits verts[207] ».

Le 23 avril 2017, Un Français sur quatre ayant voté pour Emmanuel Macron, ce dernier devient président de la République le 14 mai 2017. En novembre 2017, six mois après cette élection, seul Un Français sur trois est « satisfait du début du quinquennat Macron[208] ». Cependant, lors de cette élection, au second tour, Un Français sur trois « s'est abstenu ou a voté blanc[209] » car « insatisfait par par le duel Macron-Le Pen[210] ». En 2018, 66 % des Français avait « le sentiment que le président de la République Emmanuel Macron et le gouvernement ne sont pas ou peu engagés depuis le début du quinquennat en matière de politique sociale et de lutte contre les inégalités[211] », cela suggère donc qu'Un Français sur trois avait « le sentiment que le président de la République Emmanuel Macron et le gouvernement sont engagés depuis le début du quinquennat en matière de politique sociale et de lutte contre les inégalités ». Concernant les prochaines élections de 2022, Un Français sur trois ne souhaite pas se retrouver, au second tour, avec « une opposition entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron[212] ».

En 2021, dans un sondage publié le 11 mars 2021, Un Français sur trois « déclarent qu'ils pourraient "probablement" voter en faveur [de Marine Le Pen] lors du scrutin [présidentielle, en 2022][213] ». Toutefois, en octobre, il pense « qu’un candidat de gauche peut remporter la présidentielle 2022[214] ». Dans un sondage publié le 30 novembre 2021, Un Français sur trois juge que « l’école et l’éducation […] dans la campagne présidentielle » sont à « la place qui convient » et qu’on en parle trop[215] ».

En mars 2022, Un Français sur trois indique ne « pas encore s'intéresser à la campagne »[216], mais il souhaite que Brigitte Macron s'y implique[217]. Dans le même temps, son compatriote Sept Français sur dix considère que « l’immigration n’est pas la cause principale de tous les problèmes du pays »[218]. Le 10 avril 2022, lors du premier tour des élection présidentielle 2022, Un Français sur trois aurait « voté "utile"[219] ». Le 24 avril 2022, lors du second tour des élection présidentielle 2022, Un Français sur trois, seulement, aurait « voté pour Emmanuel Macron, selon Edwy Plenel cela fait du 25e Président de la République française, "le président le plus mal élu de la Ve République juste après Pompidou"[220], [221] ».

Début 2022, il indique, d'une part, « croire aux théories du complot » et, d'autre part, désapprouver l'interdiction des médias russes tels que Sputnik et RT en France (pour raisons de propagande)[222].

Dans un entretien avec Arnaud Teyssier, publié le 29 avril 2022, dans Marianne, Un Français sur trois devient un Modèle. [223]

« Et aujourd’hui, le système est bien loin du rêve des « deux Français sur trois » : nous sommes plutôt dans le modèle « un Français sur trois ». - Arnaud Teyssier »

Mi-juillet 2022, à l'approche de la fête nationale du 14 juillet, Un Français sur trois « n'approuve "pas du tout" l'action du chef de l'Etat, Emmanuel Macron.[224] ».

Culture

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En 2009, Un Français sur trois rêve « d'écrire[225] ».

En 2011, il « est lecteur de bandes dessinées (et Un Français sur quatre n'en n'(a) jamais lu)[226] ».

En 2013, il « ne parle aucune langue étrangère[227] ».

En 2014, Un Français sur trois « n'a pas lu un livre l'année précédente[228] ». En 2019, lorsqu'il lit un livre c'est pour « être heureux et épanoui[229] ».

En 2017, Un Français sur trois continue à penser que « les femmes ont des cerveaux moins adaptés aux sciences que les hommes[230] ». Lors d'un vote la même année, il a utilisé le vote blanc et l'abstention et « n'a pas choisi dimanche »[231].

En 2018, Un Français sur trois s'est rendu au moins une fois « dans un musée (ce taux est identique à l'année 1973[232] ».

En 2019, Un Français sur trois souffre d'illectronisme et « manque d’au moins une compétence numérique de base[233] ». De plus, en 2020, il est convaincu que la 5G aura un impact « "radical" sur son quotidien[234] » ; il reste un défenseur de la « 5G et ne se définit pas comme un "Amish"[235] ». Mais cela ne l'empêche pas d'envisager de « créer son propre site Web[236] ». En 2021, une étude intitulée « Comment les Français s’informent-ils sur Internet ? Analyse des comportements d'information et de désinformation en ligne » révèle qu'Un Français sur trois « a passé de 10 à 50 heures sur Internet durant les 30 jours de l’étude[237] ». En janvier 2022, Un Français sur trois « a déjà essayé un casque de réalité virtuelle »[238].

Au début des années 2020, pour lui, « potentiellement, tout est culture »[239].

En 2021, Un Français sur trois « aimerait supprimer ses données personnelles de la toile[240] ».

Bien qu'il utilise le sport pour entretenir sa santé, Un Français sur trois n'a jamais fait de ski[241] ; cela peut accompagner le fait que son ami Un Français sur deux ne va jamais à la montagne[242].

En 2022, Un Français sur trois « serait trop sédentaire[243] »[note 5]

Formation

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En 2014, Un Français sur trois « ne sait pas ce que c'est qu'un Mooc et ne perçoit pas l’intérêt du e-learning[244] ».

En 2016, Un étudiant français sur trois « a étudié en partie à l’étranger[245] ».

Concernant la rentrée scolaire 2020, Un Français sur trois n'estime « "ni bonne, ni mauvaise" l'idée d'imposer le masque buccal à l'école à toutes les personnes de plus de 12 ans (élèves et professeurs)[246] », par ailleurs, il s'estime « bien informé sur le déroulement de la rentrée scolaire 2020[247] », à l'inverse, d'un point de vue général, il s'estime « mal informé sur la rentrée scolaire 2020[248] ».

En 2021, Parmi les 25-29 ans, un peu plus d'Un Français sur trois « dispose d'un diplôme supérieur à Bac + 2[249] ».

Transports

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Un Français sur trois est un « nomade » ; il « pourrait se déplacer à vélo[250] », mais il est « disposé à reprendre l’avion dès cet été (2020)[251] ». Lors des Journées Internationales du Sommeil, en 2014, les chercheurs ont également mis en évidence qu'« 1 passager sur 3 est susceptible de s’endormir » dans les transports en commun ou en covoiturage ; ils sont 39 % à s’endormir au moins une fois à l’aller et/ou au retour, et dorment en moyenne 23 minutes[252].

Un Français sur trois prend parfois des risques ; en effet, il a « déjà pris le volant en ayant trop bu[253] » (de « vins bios[254] » ?) et il « avoue dépasser les limitations de vitesse[255] ».

En 2021, Un Français sur trois « est inscrit sur BlaBlaCar[256] ».

Décès

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Un Français sur trois choisit la crémation, en France[257].

Un Français sur trois croit à une vie après la mort[258].

Fake News

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Août 2020, Willy Schraen a publié un livre intitulé Un chasseur en campagne, qui provoque un certain nombre de réactions dans les médias, car, notamment, préfacé par Eric Dupont-Moretti. Le 19 aout 2020, Willy Schraen accorde un interview au site chassons.com dans lequel il indique « que près d’un Français sur trois vit dans nos campagnes[259] ». Or, en 2020, « En France, pour l'Insee, les communes rurales regroupent 25,3 % de la population française »[260], ce qui signifie qu'Un Français sur quatre vit alors à la campagne, mais pas un Français sur trois. Toutefois, l'Insee ayant défini en 2021 la ruralité et les espaces ruraux — en utilisant une notion de densité de population par kilomètre carré —, Un Français sur trois devient bien habitant du territoire français[261].

17 septembre 2020, Giulia Foïs, chroniqueuse pour France Inter, à l'occasion du mouvement du 14 septembre sur les vêtements des filles dans les établissements scolaires, adresse une lettre au ministre de l'éducation Jean-Michel Blanquer.[262] Dans cette lettre, l'auteur conclut « Un Français sur trois pense d’ailleurs qu’elle est responsable de ce qui lui arrive si elle porte une mini-jupe au moment où elle est violée ». Or, un rapport d'enquête de l'entreprise de sondages Ipsos, Les Français-e-s et les représentations sur le viol et les violences sexuelles, publié en 2015, précisait : « Dans une moindre mesure, se promener dans la rue dans des tenues très sexy (jupe très courte, décolleté) peut également constituer, pour plus d’un quart des Français-e-s (27%), un motif de déresponsabilisation du violeur[263] » Les résultats de cette enquête précisent que cela représente Un Français sur quatre ou un quart des français-e-s et non Un Français sur trois.[note 6].

Le 26 décembre 2021, La Dépêche du Midi publie un article intitulé « Relations amoureuses : la révolution Meetic a 20 ans ».[264] Dans cet article qui indique que Meetic aura 20 ans en 2022, on peut lire : « Si au départ, il était presque tabou de dire que l’on s’était inscrit sur un site, aujourd’hui, c’est devenu très banal, particulièrement pour les jeunes. Selon la dernière enquête de l’Ifop sur « la rencontre en ligne », un Français sur trois en a déjà fait l’expérience ». Or, la dernière enquête de l’Ifop sur « la rencontre en ligne », portant le titre, plus précis, d'« Enquête sur la rencontre en ligne et la digitalisation de la vie sexuelle à l’heure du covid-19 (lire en ligne) », a été réalisée auprès de deux échantillons de 3.004 personnes (en ligne) et de 1.002 personnes (par téléphone), chacun représentatif de la population française âgée de 18 à 69 ans (les interviews ont été réalisées par questionnaire auto administré en ligne du 7 au 10 juin 2021 et par téléphone du 19 au 20 juin 2021) et les résultats peuvent être consultés sur le site de l'Ifop (lire en ligne). Les résultats de cette dernière enquête mettent en évidence et précisent que « s’inscrire sur un site de rencontre reste un phénomène très minoritaire dans la population n’en ayant jamais fait l’expérience – 28 % en juin 2021, contre 33 % avant le 1er confinement (janvier 2020) ». Ainsi, avant le premier confinement en janvier 2020, Un Français sur trois s'était déjà inscrit sur un site de rencontres ; ce qui n'est toutefois plus le cas en juin 2021.

Bibliographie

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  • Patrick Weil, Qu'est-ce qu'un Français ? Histoire de la nationalité française depuis la Révolution, Paris, Collection Folio histoire (n° 134), Gallimard, , 656 p. (ISBN 9782070426577, lire en ligne)
  1. Selon l'Insee, si les tendances démographiques récentes se maintenaient, 65.100 personnes âgées de 60 ans ou plus seraient en perte d'autonomie en 2050 à La Réunion, soit trois fois plus qu'en 2015. (lire en ligne).
  2. La nouvelle édition du Panorama des entreprises coopératives (lire en ligne) confirme le dynamisme économique du secteur en France. Les quelque 22600 entreprises coopératives recensées à travers le territoire affichent un chiffre d’affaires global de 329,7milliards d’euros, dont 156 milliards réalisés par les coopératives de commerçants [...]. [...] En termes de chiffre d’affaires, la France est le premier pays coopératif européen, ce qui se vérifie également par le fait que si 17 % des Européens appartiennent à une coopérative, c’est le cas d’Un Français sur trois. Le dynamisme coopératif de la France apparaît également à travers l’étude comparative des top 100 français, européen et mondial publiée par Les Entreprises Coop (lire en ligne) : les entreprises coopératives françaises représentent 25 % du chiffre d’affaires global du top 100 mondial. Au niveau mondial, les secteurs d’activités les plus représentés parmi les 100 plus importantes entreprises coopératives du monde sont l’agriculture et l’agroalimentaire, le commerce et la banque. (lire en ligne).
  3. Une étude de l’Ifop, publiée en février 2018, rapporte que 30% des répondants avouent avoir ressenti une forme d’addiction à des sites de rencontre. (lire en ligne).
  4. Lors d'une étude réalisée par l’institut de sondage américain Gallup pour l’ONG médicale britannique Wellcome, portant sur un échantillon de 140.000 personnes de plus de 15 ans, dans 144 pays, interrogées, en 2018, sur ce qu’ils pensent de la science, des professionnels de santé et des vaccins ; il ressort de cette étude qu'un Français sur trois ne croit pas que les vaccins soient sûrs, ce qui fait de la France le pays le plus sceptique envers les effets bénéfiques des vaccins parmi 144 pays étudiés. (lire en ligne).
  5. Selon l’Anses (l’Agence nationale de sécurité sanitaire) : "À cause de la crise sanitaire et de l’augmentation du télétravail, nous sommes très nombreux à rester assis toute la sainte journée, particulièrement les moins de 45 ans et les personnes ayant un faible niveau d’études, qui passent plus de huit heures par jour sur une chaise. Les femmes sont les plus touchées puisqu’elles représentent 72 % des personnes en manque d’activité physique contre 40 % des hommes. En tout et pour tout, Un Français sur trois prend des risques au quotidien. (lire en ligne).
  6. L'Ipsos a été à nouveau mandaté en 2018, par Marlène Schiappa, pour conduire une nouvelle étude sur : Les Français et les Représentations sur le viol et les violences sexuelles. Dans cette nouvelle étude, aucune question ne fait référence à la tenue que portaient les victimes.(lire en ligne).

Références

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  48. « Prévention des nuisances sonores au travail : une journée d’information sur le bruit en open-space et de nouvelles affiches de sensibilisation », INRS,‎ (lire en ligne) | Selon l'INRS, 60 % des actifs tous secteurs confondus ressentent une gêne liée le bruit sur leur lieu de travail. Ce dernier peut être considéré comme une nuisance professionnelle. Il peut générer des atteintes auditives (baisse de l’audition, surdité, acouphènes…), il peut aussi être cause de fatigue et de stress avec des conséquences sur la santé du salarié et la qualité du travail. Dans le tertiaire (notamment dans les bureaux ouverts ou open-space), les bruits peuvent provoquer de la fatigue, du stress et nuire à la capacité de concentration, ainsi qu’à la qualité du travail. Le bruit constitue la première source de gêne dans les bureaux ouverts, devant la qualité de l’air ou l’éclairage.
  49. « Approche différentielle et multifactorielle de la fatigue ressentie en bureaux ouverts », Conference: 52ème Congrès de la Société d’Ergonomie de Langue Française "Présent et Futur de L’Ergonomie",‎ 20-22/09/2017 (lire en ligne) | Cette étude s’intéresse à la perception de la fatigue dans les espaces ouverts de bureaux. Pour la première fois, des mesures de la fatigue ont été réalisées toutes les 2 heures pendant une journée de travail. En parallèle, tout au long de la journée, l’environnement sonore a été mesuré à l’aide d’un sonomètre. A partir des signaux recueillis, les auteurs ont calculé un indice acoustique de gêne et de fatigue basé sur les modulations du signal : le MAeq. Les résultats de cette étude, obtenus pour 30 participants, montrent une augmentation significative de la fatigue ressentie au cours de la journée. Les analyses suggèrent que les facteurs explicatifs de cette augmentation de la fatigue ressentie sont le MAeq, à un niveau élevé, ainsi que la qualité subjective du sommeil de la nuit précédente. Pour la première fois, les résultats montrent que les niveaux de fatigue ressentie ne dépendent pas uniquement de l’activité, mais également de facteurs contextuels et individuels.
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  165. Sophie Péters, « Un Français sur trois voit dans le "chacun pour soi" une menace pour la cohésion sociale », La Tribune,‎ (lire en ligne) | L’enquête a été réalisée, par le credoc entre décembre 2010 et janvier 2011, auprès d’un échantillon représentatif de 2.006 personnes, âgées de 18 ans et plus. Un redressement final a été effectué pour assurer la représentativité par rapport à la population nationale de 18 ans et plus
  166. Pierre Eric Sutter, « Près d’un Français sur trois « optimistes-actifs », malgré leurs préoccupations pour l’environnement », OBVECO,‎ (lire en ligne) | L’enquête a été conduite à l’aide de questionnaires administrés en face à face à un échantillon national de 998 personnes
  167. « Un Français sur trois est inscrit sur un site communautaire », Le Monde,‎ (lire en ligne) | Plus de 20 millions de Français sont inscrits sur un site communautaire et plus de 8 millions s'y rendent quotidiennement, révèle jeudi l'Observatoire des usages Internet de Médiamétrie, un sondage par téléphone réalisé chaque mois auprès d'un panel de 1 000 personnes.
  168. « Un Français sur trois ne paie jamais, ou pas toujours, son stationnement », Turbo,‎ (lire en ligne) | Etude réalisée par Made in Surveys en mars pour EasyPark auprès de 1031 personnes.
  169. « Près d’un Français sur trois estime vivre dans un territoire délaissé par les pouvoirs publics », Crédoc. Consommation et modes de vie,‎ (ISSN 0295-9976, lire en ligne) | Les résultats présentés sont issus de l’exploitation des questions insérées à la demande du CGET dans le dispositif permanent d’études des « Conditions de vie et Aspirations » du Crédoc. L’enquête est menée en face à face en juin de chaque année depuis 1978 auprès d’un échantillon représentatif de 2.000 personnes, âgées de 18 ans et plus, sélectionnées selon la méthode des quotas. Ces quotas (région, taille d’agglomération, âge, sexe, catégorie socioprofessionnelle) ont été calculés d’après les résultats du dernier recensement général de la population. Un redressement a été effectué pour assurer la représentativité par rapport à la population nationale de 18 ans et plus.
  170. « Intelligence artificielle : un Français sur trois pense qu’une technologie intelligente prendrait de meilleures décisions que nos élus gouvernementaux », Decideo,‎ (lire en ligne) | Sondage commandité par OpenText et réalisé via Google Forms auprès de 2.000 citoyens français de plus de 18 ans entre le 9 et le 14 février 2017.
  171. « Agendas médiatique, politique et d'opinion : le grand "désalignement" », sur Fondation Jean-Jaurès (consulté le )
  172. « Un Français sur trois achète des produits contrefaits », Le Figaro,‎ (lire en ligne) | Etude Ifop / L’Union des Fabricants, réalisée du 2 au 10 juin 2005 auprès d’un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
  173. « Un internaute français sur trois pirate des films et des séries », Presse Citron,‎ (lire en ligne) | L’ALPA a publié, en 2017, une étude sur la consommation illégale de vidéos sur Internet en France, en collaboration avec Médiametrie et le CNC : La consommation illégale de vidéos sur Internet en France. Période 2009 / 2015
  174. « Un Français sur trois attend des marques qu'elles changent le monde », sur Stratégies, (consulté le ) | Etude réalisée en ligne avec l’Institut Viavoice du 20 au 29 mai 2019, auprès d’un échantillon de 2.006 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus.
  175. « Un Français sur trois consomme des vins bios », La Vigne,‎ (lire en ligne) | Cette étude a été réalisée par internet du 1er au 9 juillet 2013, auprès d'un échantillon de 2.001 personnes âgées de 18 à 64 ans.
  176. « Comment l’eau du robinet est-elle rendue potable en France, et faut-il la préférer à l’eau en bouteille ? », Le Journal du dimanche,‎ (lire en ligne) | Cette étude a été réalisée sur le terrain, par TNS-Sofres et C.I.eau-Le Centre d’Information sur l’Eau (C.I.eau) du 17 juin 2020 au 15 juillet 2020, auprès d'un échantillon de 3.495 individus âgés de 18 ans et plus, issus d’un échantillon national représentatif de la population française métropolitaine. (lire en ligne les résultats de l'enquête 2020).
  177. « Près d’un Français sur trois a déjà fait ses courses alimentaires en ligne », Les Echos Entrepreneurs,‎ (lire en ligne) | Cette étude a été réalisée par par Harris Interactive pour le compte de Strong Point.
  178. « Un Français sur trois utilise son smartphone ou sa tablette à table », sur Le Parisien, (consulté le ) | Cette étude a été réalisée pour Amora auprès de 1000 personnes du 14/05/2019 au 16/05/2019.
  179. « Un Français sur trois est flexitarien », sur La France Agricole, (consulté le ) | Etude LinkQ Septembre 2017 réalisée auprès de 12.000 répondants.
  180. « Un Français sur trois a moins gaspillé de nourriture pendant le confinement », sur Le Monde de l'Epicerie Fine, (consulté le ) | Cette enquête YouGov pour Too Good To Go a été réalisée du 14 au 15 mai 2020 sur panel de 1.005 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne.
  181. « Food & confinement. Entre habitudes bouleversées & amour grandissant! », sur Ifop, (consulté le ) | Cette enquête de l'Ifop pour Just Eat a été réalisée du 22 au 24 avril 2020 sur un échantillon de 1.000 individus nationaux représentatifs de la population française, âgés de 18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne.
  182. « Une majorité de Français fait ses courses à 10 euros près », sur Le Parisien, (consulté le ) | Sondage réalisé, par Ipsos pour l’agence in-Store Media, auprès d'un échantillon de 1.000 Français, représentatif de la population nationale, interrogés par Internet du 9 au 12 avril 2019.
  183. « Coalition contre l'exclusivité des dénominations animales », sur Les Marchés, (consulté le ) | Étude « Perception du consommateur des produits végétaux », réalisée par Auridep, auprès de 5.175 personnes, pour le Cniel, en octobre 2017.
  184. « Les plats préférés des Français, Aout 2011 », sur Atelier de Valentine, (consulté le ) | Enquête réalisée en face-à-face au domicile des interviewés par le réseau des enquêteurs de TNS Sofres. Réalisée par TNS Sofres pour Vie Pratique Gourmand, auprès de 999 personnes, représentatif de l'ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus. Enquête réalisée du 26 au 29 août 2011.
  185. « Un Français sur trois consomme des vins bios », La Vigne,‎ (lire en ligne) | Cette étude a été réalisée par internet du 1er au 9 juillet 2013, auprès d'un échantillon de 2.001 personnes âgées de 18 à 64 ans.
  186. « Les Français sont-ils prêts pour le vin en canette ? », L'alsace,‎ (lire en ligne) | Source : Sondage Opinion Way pour les Maitres Vignerons de Saint Tropez - Janvier 2022. A l'occasion de la sortie de Nomad83, leur rosé en canette de 25cl, les Maitres Vignerons de Saint-Tropez ont posé des questions aux Français, sur le salon Wine Paris, sur leur perception de ce nouveau type de contenant. Source : LSA, Les 18/34 ans en pincent pour le vin en canette [sondage], 15/02/2022.
  187. « Deux français sur trois opposés à la dépénalisation du cannabis », Le Monde,‎ (lire en ligne) | Ce sondage a été réalisé par téléphone les 16 et 17 octobre 2012 auprès d'un échantillon représentatif de 1.142 personnes âgées de plus de 18 ans.
  188. « Un Français sur trois ne se sent pas sécurité face à la police, selon un sondage », sur LExpress.fr, (consulté le ) | Selon un sondage réalisé en ligne du 1er au 2 juin 2020 sur un échantillon représentatif de 1.054 Français de 18 ans et plus
  189. « Un tiers des Français favorable à la torture », Femme Actuelle,‎ (lire en ligne) | Ce résultat est issu du rapport 2016 de l'ACAT.
  190. « Après Nice, seulement 33% des Français font confiance au gouvernement contre le terrorisme », Le Journal du Dimanche,‎ (lire en ligne) | Ce résultat est issu d'une enquête réalisée en ligne du 15 au 16 juillet 2016, auprès de 1.000 personnes de 18 ans et plus.
  191. « Fractures sociétales : Enquête aurpsè des 18-30 ans. », sur Ifop, (consulté le ) | Sondage d'opinion réalisé par l'Ifop à l'intention de Marianne, enquête réalisée auprès d’un échantillon de 1.006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 30 ans. Les interviews ont été réalisées par internet du 13 au 18 novembre 2020.
  192. « Le sexisme au quotidien persiste, selon un rapport du Haut conseil à l’égalité femmes-hommes », sur Sud Ouest, (consulté le ) | D'après le Rapport du Haut conseil à l’égalité femmes-hommes, 2022, présenté comme un sondage inédit effectué par l’institut Viavoice sur un échantillon représentatif de 3.000 personnes et qui constitue le nouveau « Baromètre Sexisme ».
  193. « Sondage: un Français sur trois partagent les idées du FN », Paris Match,‎ (lire en ligne)
  194. « Un tiers des Français se disent en accord avec les idées du Front national », Le Monde,‎ (lire en ligne) | Enquête effectuée pour Franceinfo et Le Monde par Kantar Sofres-OnePoint, auprès d’un échantillon national représentatif de 1.006 personnes, interrogées en face-à-face du 23 au 27 février, est l’édition annuelle de ce baromètre réalisé depuis 1984.
  195. « Un Français sur trois prêt à voter pour Marine Le Pen », Le Journal du Dimanche,‎ (lire en ligne) | Trois Français sur dix (31%) se disent prêts à voter pour elle en 2017, selon le sondage Ifop - JDD qui mesure un potentiel électoral, mais pas des intentions de vote.
  196. « 31% des Français en faveur du retour de la monarchie », ActuFrance,‎ (lire en ligne) | Sondage BVA réalisé auprès d’un échantillon représentatif de la population française.
  197. « Près d’un Français sur trois prêt à voter pour un candidat royaliste », TF1,‎ (lire en ligne) | Enquête réalisée avec Alliance Royale auprès d’un échantillon de 1.099 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, recrutés par téléphone puis interrogés par Internet du 22 au 23 août 2016.
  198. « PRÈS D’UN FRANÇAIS SUR TROIS PRÊT À VOTER POUR UN CANDIDAT ROYALISTE. », Pro Fide Catholica. Le site de Laurent Glauzy,‎ (lire en ligne) | Enquête réalisée avec Alliance Royale auprès d’un échantillon de 1.099 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, recrutés par téléphone puis interrogés par Internet du 22 au 23 août 2016.
  199. « Sondage: 33% des Français "ni à gauche, ni à droite ni au centre" », Le Point,‎ (lire en ligne) | Sondage réalisé par l'Ifop les 16 et 17 septembre 2010 auprès d'un échantillon national représentatif de 965 personnes.
  200. Le Figaro fr avec AFP, « Un Français sur trois a confiance en la capacité du gouvernement à réformer », sur Le Figaro.fr, (consulté le ) | Selon un sondage Harris interactive pour M6 et RTL, réalisé en janvier 2019
  201. « Plus d'un tiers des Français ne connaissent pas le nom du Premier ministre », sur Challenges, (consulté le ) | Un Français sur trois n'est pas capable de donner précisément le nom du premier ministre, selon un sondage Odoxa avec Dentsu consulting pour franceinfo et le Figaro, cette enquête a été réalisée en ligne les 27 et 28 septembre 2017, auprès d'un échantillon de 1.023 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus.
  202. « Les Français, la montée de l’insécurité et “l’ensauvagement” de la société : mythe ou réalité ? », sur Avostart, (consulté le ) | Étude réalisée par l'Ifop pour Avostart par questionnaire auto-administré en ligne les 3 et 4 septembre 2020, auprès d’un échantillon national représentatif de 1.003 personnes âgées de 18 ans et plus.
  203. « Près d'un Français sur trois admet jeter ses déchets par la fenêtre de sa voiture », sur LCI (consulté le ) | Enquête réalisée par l'Ipsos entre le 10 et le 14 juillet 2020, sur un échantillon de 2.160 personnes âgée de 16 à 75 ans, représentatif de la population française
  204. « L’achat d’une voiture électrique tente 31 % des Français, selon un sondage », sur Ouest France (consulté le ) | Étude a été réalisée par Ipsos pour EVBox, dans six pays européens, auprès de 3.600 citoyens, dont 600 conducteurs de véhicules électriques (véhicules hybrides, hybrides rechargeables et électriques).
  205. « Plus d'un Français sur trois ne croit pas au réchauffement climatique », sur 20 Minutes, (consulté le ) | Étude réalisée en octobre 2012 auprès d’un échantillon représentatif de 2.000 personnes de 15 ans et plus résidant en France métropolitaine. Les résultats de cette étude sont restreints aux personnes de 18 ans et plus afin de permettre les comparaisons avec les précédentes enquêtes sur le sujet
  206. « TOUR DE FRANCE, SAPIN DE NOËL... UNE MAJORITÉ DE FRANÇAIS HOSTILE AUX DÉCLARATIONS DES MAIRES EELV », sur BFM TV, (consulté le ) | Sondage réalisé par l'Ifop pour Le Monde, du 14 au 16 septembre 2020, en ligne, auprès de deux échantillons représentatifs de: 1.020 Français âgés de 18 ans et plus vivant en France métropolitaine et de 1.031 habitants des communes de 100.000 habitants et plus.
  207. « 35% des Français prêts à faire des efforts pour la transition écologique », sur Europe 1, (consulté le ) | Sondage réalisé par BVA exclusif pour le Nexans Climate Day, auprès d’un échantillon de 1.002 Français âgés de 18 ans et plus interrogés par internet du 26 au 27 août 2020
  208. « Six mois à l'Élysée: seul un Français sur trois satisfait du début du quinquennat Macron », Capital,‎ (lire en ligne) | Cette enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 novembre auprès de 1.817 personnes de 18 ans et plus a été réalisée par Harris Interactive
  209. « Présidentielle: un Français sur trois s'est abstenu ou a voté blanc », RFI,‎ (lire en ligne) | L’abstention s’est en effet élevée à 24,95 % des inscrits sur les listes électorales, en hausse par rapport au premier tour : 22,23 % le 23 avril. C’est la première fois depuis 1969 que la participation baisse entre les deux tours.
  210. « Moins d'un Français sur trois satisfait par le duel Macron-Le Pen », Statistica,‎ (lire en ligne) | Selon un sondage Elabe, seuls 31% d'entre eux se déclarent satisfaits de l'affiche proposée et à l'inverse, 69% se disent "pas vraiment satisfaits" (36%) ou "pas satisfaits" (33%) de ce résultat.
  211. « Analyse Sondage Viavoice : l'insécurité sociale - Deux Français sur trois jugent insuffisante la politique sociale de Macron », Libération,‎ (lire en ligne) | D’après une enquête réalisée pour Libération par Viavoice. L'enquête s'est déroulée en ligne les 20 et 21 aout 2018, sur un échantillon de 1.008 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
  212. « LES FRANÇAIS ET L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2022 », Ifop,‎ (lire en ligne) | L’enquête a été menée par l'Ifop en partenariat avec Cnews, Sud Radio et Fiducial auprès d’un échantillon de 1.007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L'enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré en ligne les 1er et 2 septembre 2020.
  213. « Sondage BFMTV - Présidentielle 2022: 48 % des français estiment "probable" une victoire de Marine Le Pen », BFM TV,‎ (lire en ligne) | Sondage réalisé, réalisé par l'institut Elabe, sur un échantillon de 1.008 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L'échantillon a été interrogé par Internet les 9 et 10 mars 2021.
  214. Alexis Boisselier, « Seul un Français sur trois pense qu’un candidat de gauche peut remporter la présidentielle 2022 », sur Ouest France, (consulté le ).
  215. « Perception de l’éducation chez les Français : le constat de défiance », Libération,‎ (lire en ligne) | Sondage Viavoice pour Libération : "Le Baromètre Politique. Viavoice-Libération. Novembre 2021" du 12 au 15 novembre 2021 auprès d’un échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
  216. « A un mois de la présidentielle, plus d'un Français sur trois ne s'intéresse pas à la campagne », Les Echos,‎ (lire en ligne) | Selon le baromètre OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos » et Radio classique, plus d'un Français sur trois (35 %) affirme ne « pas encore s'intéresser à la campagne ». "Chaque jour, un échantillon national de 500 personnes, représentatif de la population française inscrite sur les listes électorales, est interrogé. Chaque vague quotidienne est cumulée avec celle des deux jours précédents, permettant de constituer un échantillon global de 1.500 électeurs et de suivre au plus près et en temps réel l'évolution des intentions de vote et des tendances électorales, en fonction de l'actualité de la campagne. Jusqu'au second tour, ce sont ainsi plus de 50.000 interviews qui seront réalisées.".
  217. « Sondage : Un Français sur trois veut que Brigitte Macron s'implique dans la campagne », Paris Match,‎ (lire en ligne) | L’enquête Ifop-Fiducial pour Paris Match a été réalisée sur un échantillon de 1.001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Un questionnaire a été proposé du 18 au 21 février 2022.
  218. « Présidentielle : plus de sept Français sur dix estiment que l’immigration n’est pas la cause principale de tous les problèmes du pays, selon notre sondage », France Info,‎ (lire en ligne) | Cette étude a été réalisée à partir d'un questionnaire en ligne sur un échantillon de 994 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus ; ils ont été interrogées, les 11 et 12 mars 2022. Pour cette étude, Ipsos-Sopra Steria affiche un intervalle de confiance de 95%.
  219. « SONDAGE : 1 FRANÇAIS SUR 3 A VOTÉ «UTILE» », CNews,‎ (lire en ligne) | "1 Français sur 3 a en effet voté «utile», selon un sondage OpinionWay pour CNEWS.".
  220. « Le triomphalisme des soutiens de Emmanuel Macron ce soir n’a aucune raison d’être. Avec 37,9% des inscrits, il est le président le plus mal élu de la Ve République juste après Pompidou un an après le mouvement de Mai-Juin 1968. Près de 2 Français sur 3 n’ont pas voté pour lui. », Twitter,‎ (lire en ligne) | Si "Près de 2 Français sur 3 n’ont pas voté pour lui", alors "Près d'1 français sur 3 aurait voté pour lui".
  221. « Emmanuel Macron réélu, cette punchline d'Orelsan résonne encore plus. », HuffPost,‎ (lire en ligne) | "Le rappeur Orelsan avait quelque peu prédit les résultats du second tour dans L’Odeur de l’essence. “Si l’président remporte la moitié de voix, c’est qu’les deux tiers des Français n’en voulaient pas”, lance-t-il en musique."
  222. Ifop et Reboot, « Observatoire Reboot de l'information et du raisonnement critique - désinformation et populisme à l'heure de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine », sur Ifop, (consulté le )
  223. « Arnaud Teyssier : "La droite paye pour avoir oublié le gaullisme, le peuple, et l'État" », Marianne,‎ (lire en ligne) | "Et aujourd’hui, le système est bien loin du rêve des « deux Français sur trois » : nous sommes plutôt dans Le modèle « un Français sur trois »."
  224. « L'action du président Macron convainc de moins en moins de Français », Impact.sn,‎ (lire en ligne) | Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publié mardi 12 juillet 2022. Ce sondage a été menée auprès d’un échantillon de 1.009 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 7 au 8 juillet 2022. (lire en ligne)
  225. « Un Français sur trois rêve d'écrire », Figaro Culture,‎ (lire en ligne) | Sondage réalisé par OpinionWay pour Le Figaro littéraire auprès d'un échantillon de 988 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. L'échantillon a été interrogé en ligne les 22 et 23 septembre 2009. OpinionWay indique que les résultats de ce sondage doivent être lus en tenant compte des marges d'incertitude : 2 à 3 points au plus pour un échantillon de 1 000 répondants.
  226. « un français sur trois est lecteur de bandes dessinées », Neuvième Art 2.0. Revue en ligne de la cité internationale de la bande dessinée et de l'image.,‎ (lire en ligne) | Enquête réalisée en mai et juillet 2011, par interrogation directe, par téléphone ou en ligne, de 4.580 personnes âgées de 11 ans et plus. 401 enfants âgés de 7 à 10 ans ont été interrogés par l’intermédiaire de leurs parents.
  227. « Les Français et les langues étrangères », lingueo.fr,‎ (lire en ligne) | A priori, les sources sont l'INSEE, Le Monde, RFI, Slate et une association des professeurs de langues vivantes.
  228. « Un Français sur trois n'a pas lu un livre l'année dernière », Terrafémina,‎ (lire en ligne) | Sondage réalisé par Ipsos pour Livres Hebdo avec le soutien du Cercle de la librairie. Cette enquête a été menée du 31 janvier au 17 février 2013 auprès d'un échantillon représentatif de la population.
  229. « Un Français sur trois lit pour être heureux et épanoui », ActuaLitté,‎ (lire en ligne) | Étude Ipsos réalisée pour le Centre national du livre détaillée dans Les Français et la lecture 2019.
  230. « Pour un Français sur trois, les femmes ont des cerveaux moins adaptés aux sciences que les hommes », La Recherche,‎ (lire en ligne) | Échantillons interrogés par internet, du 5 au 11 septembre 2017 : Via un panel d’Ipsos de 1.000 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus (sexe, âge, CSP, catégorie d’agglomération, région). Résultats du sondage exclusif "Recherche, sciences et stéréotypes".
  231. « Entre l'abstention et le vote blanc, un Français sur trois n'a pas... », sur Public Sénat, (consulté le )
  232. « Un rapport accablant sur la démocratisation culturelle dans les musées », Le Journal des Arts,‎ (lire en ligne) | Tout au long de l’année 2018, cette enquête réalisée auprès d’un échantillon de plus de 9.200 personnes en France métropolitaine, concerne les pratiques culturelles. Elle est la sixième édition d’une série commencée au début des années 1970 et destinée à mesurer la participation de la population aux loisirs et à la vie culturelle.
  233. « Une personne sur six n’utilise pas Internet, plus d’un usager sur trois manque de compétences numériques de base », INSEE Première,‎ (lire en ligne) | Cette enquête répond ainsi à une demande de l'Union européenne sur l'utilisation des TIC. Chaque État membre doit fournir à Eurostat environ 130 indicateurs.
  234. « Les Français face à l’arrivée de la 5G », L'Obs,‎ (lire en ligne) | Étude réalisée par Ansys auprès de 16.037 personnes dans dix pays du monde (dont la France).
  235. « Un sondage accablant pour la 5G : deux Français sur trois sont des "Amish"... », La Dépêche,‎ (lire en ligne) | Sondage OpinionWay réalisé les 26 et 27 août 2020.
  236. « Près d'un Français sur trois veut créer son propre site web », InfoDSI,‎ (lire en ligne) | Étude qui aurait été réalisée par Hubside et Médiamétrie.
  237. « Comment les Français s’informent-ils sur Internet ? Analyse des comportements d'information et de désinformation en ligne », Fondation Descartes,‎ (lire en ligne) | L'échantillon de cette étude est constitué de 2.372 personnes qui composent l’Access panel français de la société Respondi. Respondi a enregistré en continu, avec leur consentement, l’intégralité des données de connexion Internet par ordinateurs, tablettes et téléphones mobiles de ces personnes. Cette échantillon constitué par Respondi est un panel représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Pour cette étude, les données de connexion des 2.372 membres de l’Access panel français de Respondi ont été analysé sur une période de 30 jours consécutifs, du 20 septembre au 19 octobre 2020. À noter que, sur la période de l’étude, seuls 48 % des membres du panel ont été suivis sur leur téléphone mobile en plus de leurs autres objets connectés, 52 % ne désirant pas l’être ou ne possédant pas de téléphone connecté. Ils sont 24 % à n’avoir été suivis que sur leur téléphone connecté, ce qui correspond très exactement à la part des Français ne disposant pas d’un ordinateur personnel.
  238. « Un Français sur trois a déjà essayé un casque de réalité virtuelle », sur Odoxa, (consulté le )
  239. Ministère de la culture (France), « Que recouvre le terme de culture dans l’esprit des Français ? », sur Ministère de la culture (France) (consulté le ).
  240. « Cybersécurité : 31 % des Français souhaitent effacer leurs données personnelles d’Internet », Le café du geek,‎ (lire en ligne) | Etude menée par NordVPN, en décembre 2021, avec un échantillon de 1.003 internautes français de 18 ans et plus.(lire en ligne)
  241. « Paris : Étude - Un Français sur trois n'a jamais skié de sa vie ! », sur Presse Agence - La lettre économique et politique de PACA, (consulté le )
  242. « Paris : Étude - Un Français sur trois n'a jamais skié de sa vie ! », sur Presse Agence - La lettre économique et politique de PACA, (consulté le )
  243. « Les Français ne bougent pas assez », La Nouvelle République des Pyrénées,‎ (lire en ligne) | "Si l’on en croit l’Anses (l’Agence nationale de sécurité sanitaire), 95 % de la population française ne pratiqueraient pas d’activité physique régulière suffisante pour rester en forme."
  244. « "Il n'est pas sûr que les Mooc remplaceront les formations classiques en entreprise", pour Vincent Berthelot », L'usine Digitale,‎ (lire en ligne) | 33% des personnes interrogées dans le cadre d'une étude effectuée par la société de sondage AdoctA pour le site d'apprentissage en ligne Educadis ne savent pas ce que c'est qu'un Mooc. 32% des sondés ne perçoivent pas l’intérêt du l’e-learning par rapport à une formation classique.
  245. « Un étudiant français sur trois a étudié en partie à l’étranger », Le Monde Campus,‎ (lire en ligne) | Campus France a recueilli en 2015 le témoignage de 26 000 étudiants issus de 330 établissements.
  246. « Sondage RTL INFO: comment les parents voient-ils cette rentrée scolaire? », RTL Info,‎ (lire en ligne) | L'Ipsos a réalisé une enquête en ligne le 27 août 2020, pour la question "Trouvez-vous bonne ou mauvaise l'idée d'imposer le masque buccal à l'école à toutes les personnes de plus de 12 ans (élèves et professeurs) ?" le nombre de répondant était de 1.748 personnes.
  247. « Sondage RTL INFO: comment les parents voient-ils cette rentrée scolaire? », RTL Info,‎ (lire en ligne) | L'Ipsos a réalisé une enquête en ligne le 27 août 2020, pour la question "Estimez-vous être bien informé(e) sur le déroulement de la rentrée scolaire ?" le nombre de répondant était de 610 personnes.
  248. « Sondage RTL INFO: comment les parents voient-ils cette rentrée scolaire? », RTL Info,‎ (lire en ligne) | L'Ipsos a réalisé une enquête en ligne le 27 août 2020, pour la question "Estimez-vous être bien informé(e) sur la rentrée scolaire ?" le nombre de répondant était de 1.748 personnes, l'institut estime la marge d'erreur à +/- 2,34%.
  249. « 20 % de la population dispose d’un diplôme supérieur à bac + 2 », Centre d'Observation de la Société,‎ (lire en ligne) | Voir, également, Voir : « Les inégalités entre générations depuis le baby-boom », in L’économie française, édition 2011, Insee.
  250. « Oui, un Français sur trois pourrait se déplacer à vélo », sur Le Républicain Lorrain, (consulté le )
  251. « Sondage : un Français sur trois disposé à reprendre l’avion dès cet été », sur Air Journal, (consulté le ) | Sondage réalisé en ligne du 1er au 4 mai 2020 – 2.383 répondants
  252. « 14ème journée du sommeil, 28 mars 2014. Dossier de Presse », sur INSV Institut National du Sommeil et de la Vigilance, (consulté le ) | Enquête INSV/MGEN « Sommeil et transports ! », réalisée par OpinionWay auprès d’un échantillon représentatif de 1.032 actifs de 18 ans et plus, du 3 au 12 décembre 2013.
  253. « Un Français sur trois a déjà pris le volant en ayant trop bu », sur France Info, (consulté le ) | Cette étude a été menée auprès d'un échantillon de 6.774 personnes représentatif de la population française âgée de 18 à 64 ans, interrogées par internet entre le 31 octobre et le 13 novembre 2014
  254. « Un Français sur trois consomme des vins bios », La Vigne,‎ (lire en ligne) | Cette étude a été réalisée par internet du 1er au 9 juillet 2013, auprès d'un échantillon de 2.001 personnes âgées de 18 à 64 ans.
  255. « Un Français sur trois avoue dépasser les limitations de vitesse, mais ce n'est pas tout… », sur Caradisiac.com, (consulté le ) | D’après un billet de blog intitulé : Les Français et les interdits – L’enquête de Seton et un rapport d’accidentologie de la Sécurité Routière, en 2016, l’excès de vitesse était à 31% la cause principale des 3 477 accidents mortels sur la route.
  256. « 5 choses à savoir sur Blablacar », Yahoo!Actualités,‎ (lire en ligne) | "Pour son quinzième anniversaire en 2021, BlaBlaCar a franchi la barre symbolique des 100 millions de membres dans le monde, dont 20 millions en France. La locomotive française du numérique, présent dans 22 pays, n’a pas souhaité préciser combien de ces membres étaient actifs, mais a rappelé qu'elle avait enregistré 100 millions de trajets pour 71 millions de passagers en 2019."
  257. « Toulouse : un second crématorium », sur La Dépêche, (consulté le ) | "Un peu plus d’un Français sur trois choisit désormais la crémation, 38 % exactement, et ce taux croît régulièrement."
  258. « Toussaint : près d'un Français sur trois croit à une vie après la mort, selon une étude de l'Ifop », sur France Info, (consulté le ) | "Étude réalisée par l’Ifop pour Plaquedeces.fr du 5 au 6 septembre 2023 par questionnaire auto-administré auprès d’un échantillon de 1.013 personnes âgées de 18 ans et plus, représentatif de la population française."
  259. « Pourquoi Willy Schraen a souhaité écrire un livre pour défendre la chasse et le monde rural? », sur chassons.com, (consulté le ) | Willy Schraen ne cite aucune source lorsqu'il indique « que près d’un Français sur trois vit dans nos campagnes ».
  260. « Campagne », sur Wikipédia, (consulté le )
  261. « Campagne », sur Maire-info, (consulté le )
  262. « #Lundi14Septembre : Lettre à Jean-Michel Blanquer », sur France Inter, (consulté le ) | Dans cette lettre, Giulia Foïs précise : « Un Français sur trois pense d’ailleurs qu’elle est responsable de ce qui lui arrive si elle porte une mini-jupe au moment où elle est violée », mais elle ne cite aucune source.
  263. « Rapport d'enquête : Les Français-e-s et les représentations sur le viol et les violences sexuelles », sur Ipsos, (consulté le ) | Enquête réalisée, en ligne, par l'Ipsos, du 25 novembre au 2 décembre 2015, auprès d'un échantillon représentatif de la population française de 1.001 personnes.
  264. « Relations amoureuses : la révolution Meetic a 20 ans », sur La Dépêche, (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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