Discussion:Urbain V

Dernier commentaire : il y a 11 ans par Marianne Casamance dans le sujet Commentaire du lecteur : Cette notice importa...
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Grimoard et descendance

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Dans l'introduction, il est fait mention de Renaud de Lausbespin, dont les ancêtres furent les Grimoard. Aussi respectable soit cette personne, je ne pense pas que sa place soit dans cette page encyclopédique (sauf à la limite en note). JPS68 (d) 8 mai 2008 à 01:11 (CEST)Répondre

Je pense que c'est monsieur de Lausbespin lui même qui avait fait cet ajout, lorsque cet article n'était pas aussi bien développé qu'aujourd'hui. Le fait de savoir que le château de Grizac a été restauré (par un "descendant" qui plus est) peut être interressant ; surtout quand on voit le triste état de celui des Montferrand. Mais la tournure n'est pas vraiment des meilleures qu'il soit. Un paragraphe à part serait peut-être plus judicieux... Sanguinez (d) 8 mai 2008 à 09:34 (CEST)Répondre

Intention

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Petite remarque : est-ce utile d'être trop impatient pour le présenter à un label, alors qu'amha il ne manque pas grand chose pour demander direct le label AdQ. Non ? Sanguinez (d) 1 août 2008 à 18:47 (CEST)Répondre

BA ou AdQ ? Je dirais qu'on est entre les deux. Passer par une procédure de BA avant l'AdQ a ses avantages et ses inconvénients, à vous de voir. En revanche, pour l'un comme pour l'autre, il faudra étoffer le résumé introductif pour qu'il soit digne de ce nom. Bonne chance ! Émoticône sourire Gemini1980 oui ? non ? 1 août 2008 à 20:18 (CEST)Répondre

Houlà, il y a beaucoup de travail pour envisager passer AdQ. à commencer par de longs passages non sourçé comme celui sur l'attaque de la provence (il y a beaucoup de note et aucune référence. Plusieurs affirmations sont d'ailleurs carrément douteuses: Louis d'Anjou regroupe ses troupes à Beaucaire, mais plus tard dans le texte Du guesclin les rejoint à Nime, puis passe à l'attaque de Tarascon en partant de Beaucaire!!!! dans les sources que j'ai pu lire Du Guesclin n'arrive sur le terrain qu'une fois le siège entamé et c'est lui qui parvient à prendre la ville grâce à des complicités internes. Ensuite il n'est pas clair de savoir quand commence le siège d'Arles, ni de quand ont lieu les négociation pour ne pas menacer Avignon. Combien y avait il de corps expéditionnaires (1,2 ou3?), ont il simultanément assiégé Tarascon, Arles et menacé Avignon, ou ces différents évènements ont ils eu lieu les uns après les autres? Est ce le corps expéditionnaire qui à menacé Avignon qui pille la campagne et se trouve en contact avec l'armée provençale à Cérès? Pourquoi l'attaque cesse elle, il semble qu'une fois du Guesclin excommunié il préfère emmener ses hommes combattre en Castille, Louis d'Anjou les laisse partir car la reine Jeanne lui fait miroiter à Louis une adoption. Enfin au départ l'attaque de la Provence est commandités par Charles V lui même furieux de voir repartir le pape à Rome, avec les conséquences que celà à pour sa puissance diplomatique (Avignon est l'épicentre diplomatique de L'Europe sa présence à proximité du royaume donne au roi de France de nombreux levier pour influer sur la diplomatie papale (il a déjà extorqué le financement de l'expédition de Castille par exemple). Cordialement Cyberprout (d) 21 août 2008 à 17:05 (CEST)Répondre

Tout à fait d'accord sur les besoins en sources... on va s'y mettre dès que possible ! Par contre, je ne suis pas pour mettre trop de détails sur ces batailles car cela concerne précisément les batailles, donc des articles connexes ! Il ne faut, selon moi, pas noyer le lecteur avec trop de détails et rester sur le sujet principal : Urbain V (à Rome à ce moment là !). Cependant, et c'est un minimum, il faut corriger d'éventuelles erreurs si celles-ci existent ! Merci pour tes remarques. Cordialement --Ampon (d) 21 août 2008 à 17:17 (CEST)Répondre

Vous pouvez tout a fait alléger le passage sur la l'attaque de la provence. Mais ce qui est mis doit être certain, il y trop de passage qui semblent douteux et contradictoires c'est pourquoi il faut impérativement sourcer pour que l'on puisse séparer le bon grain de l'ivraie. J'ai essayé d'améliorer les choses en sourçant ce que j'ai pu çà donne ceci (mais il faudrait encore préciser si les sièges d'Arles et de Tarascon furent concomitant ou succéssif et si l'expédition vers cerest est un raid séparé ou mené par les forces qui on pris tarascon ou par celles qui ont menacé Avignon!):
Tout à fait d'accord... --Ampon (d) 21 août 2008 à 18:07 (CEST)Répondre

Attaque de la Provence

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Jeanne Ire de Naples (1326-1382), dite la reine Jeanne, reine de Naples et comtesse de Provence.

La souveraineté de Jeanne de Naples, sur la Provence est contestée par ses cousins Angevins et en particulier par Louis de Hongrie (Son grand-père Robert Ier le Sage en l'absence de descendant mâle survivant a marié Jeanne à André d'Anjou pour mettre un terme aux revendications des Angevins, mais celui-ci est rapidement décédé et Jeanne est soupçonnée de l'avoir fait assassiner). C'est le soutient des pontifes qui a permi à Jeanne de se maintenir à la condition que le royaume de Naple soit dirigé avec l'avis d'un conseil envoyé par le saint-siège (c'est l'évêque Philippe de Cabassolle ancien tuteur de Jeanne qui rempli cet office)[1]. Mais en 1367, le pape Urbain V décide de réinstaller le siège apostolique à Rome. Jean de Gand, Duc de Lancastre, second fils du Roi d'Angleterre, revendique la possession de la Provence en tant que descendant d'Éléonore de Provence. Une armée est montée en Angleterre pour appuyer cette revendication[2]. Dans le contexte de guerre froide franco-anglaise qui prévaut depuis le traité de Brétigny, celà entraine une réaction immédiate des Valois: il faut à tout prix empêcher que la Provence ne tourne anglaise. Louis, qui est gouverneur du Languedoc, est lui aussi lié à la succession de Provence (de manière aussi éloignée que Jean de Lancastre) par le mariage de Marguerite de Provence avec Saint-Louis. Il est possible aussi qu'il y ai un contentieux entre les Valois et Urbain V qui avait refusé à Jean le Bon le payement d'une partie de sa rançon sous couvert de financer une Croisade qui aurait eu aussi pour effet de débarrasser la France et la papauté des compagnies. Enfin, après la Bataille de Nájera, les compagnies employées par Du Guesclin et le prince Noir ne sont plus payées : elles repassent en Languedoc et pour y vivre de pillage. Louis d'Anjou voit dans le départ du pape l'occasion de détourner les compagnies de ses territoires. Avec l'appui, de Charles V, il obtient de son oncle l'empereur l'empereur Charles IV les droits que celui-ci à sur le comté de Provence, ce qui lui permet de justifier son usurpation[3].

Les préparatifs guerriers Français et Anglais, entrainent une réaction diplomatique d'Urbain V qui parvient à convaincre Édouard III de réfreiner les velléités de son fils, mais il échoue avec Louis d'Anjou. Philippe de Cabassolle, le recteur du Comtat Venaissin, ordonne à Pons Bernard, Capitaine de Carpentras, de fermer les portes des remparts de sa ville et d’élever des murs de terres du château de Serres jusqu’à la Porte d’Orange afin que ce premier rideau protège les remparts de l'artillerie. Urbain V, face à la volonté évidente de Louis d’Anjou d’envahir la Provence et d’occuper le Comtat, demande aux Provençaux de rester fidèles à la reine Jeanne de Naples par une lettre bullée datée du 30 juillet 1367. Louis regroupe les routiers à Beaucaire en face de Tarascon. La tension monte et le , une bulle d’Urbain V excommunie tous ceux qui apportent aide aux routiers. Le pape juge Raymond d’Agoult incapable comme sénéchal de Provence propose à la Jeanne de Naples de le remplacer par Guillaume Augier de Forcalquier, le sire de Viens. Mais Raymond d’Agoult, troisième Sénéchal de Provence issu de la famille comtale de Sault, à la confiance de la reine de Naples: non seulement, il conserve ses hautes fonctions mais devient Amiral du royaume de Naples pour les mers du Levant et est chargé de conduire des ambassades pour la reine Jeanne en Italie et en Espagne.[réf. nécessaire]

Bertrand du Guesclin,
le « Dogue Noir de Brocéliande »,
excommunié par Urbain V

Le , Louis d’Anjou donne ordre aux troupes placées sous le commandement de du Guesclin d’envahir la Provence. Le Sénéchal de Beaucaire, Amiel des Baux, organise leur passage sur l’autre rive du Rhône grâce à des ponts de barques[N 1]. Le samedi , Bertrand du Guesclin met le siège devant Tarascon ville stratégique contrôlant la basse vallée du Rhône. En effet, le contrôle de la navigation a une importance capitale à une époque où les routes sont peu praticables et peu sûres et ou le trafic commercial est acheminé majoritairement par voie fluviale ou maritime. C'est pourquoi dès le début du conflit, Louis d'Anjou s'assure le contrôle de l'embouchure du Rhône et empêche le ravitaillement des villes assiégées par des ponts de barques bloquant le fleuve (et permettant d'acheminer ses propres troupes sur la rive est). Tarascon, qui fait face à Beaucaire, siège de la Sénéchaussée, est ceinte alors de remparts et une première réfection du château entreprise à la fin du XIIIe siècle, résiste farouchement.

Avant qu’ils ne menacent Avignon, Philippe de Cabassolle fait immédiatement entamer des négociations préliminaires avec les Capitaines de Louis d’Anjou. Un accord est passé le 23 mars. Pour détourner les Bretons de la cité pontificale, les Avignonnais acceptent de leur payer 37 000 florins avec la promesse d’en verser immédiatement 5 000. Pour recouvrir cette créance, Bertrand du Guesclin, dès le lendemain, délègue Janequin le Clerc, son procureur anglais, auprès du banquier avignonnais, André de Tis, mandant de Michel de Baroncelli qui avançe la somme. Avignon est sauve, mais l'attaque de la provence se poursuit.[réf. nécessaire] En réponse, Urbain V intensifie son offensive diplomatique. Le 3 avril, le pape dépêche un émissaire au roi Charles V. Il est chargé de lui remettre des lettres dénonçant l’agression de son frère contre la Provence, comté de leur parente Jeanne de Naples, ainsi que le scandale de cette invasion sans cause, sans prétexte et sans déclaration de guerre. Pour bien se faire comprendre Urbain V menaçe même le roi de France d’une réplique menée par une coalition contre la Sénéchaussée de Beaucaire et le Dauphiné. Deux jours plus tard, le Doge de Gênes reçoit un bref pontifical lui enjoignant de ne pas soutenir les attaques dirigées de la France contre la Provence.[réf. nécessaire]

Le Sénéchal Raymond d’Agoult, qui a enfin levé des troupes, se porte au secours de Tarascon et d'Arles, assiégées depuis le 23 mars par Dugesclin. Au cours de ce siège, Guiraud de Simiane, Arnaud de Villeneuve et Isnard de Glandevès, seigneur de Cuers, sont faits prisonniers. La rencontre des deux armées a lieu devant cette cité le 11 avril 1368. Luquet de Girardières, le lieutenant du sénéchal, se heurte a du Guesclin, qui à la tête de ses troupes attaque la cavalerie provençale. L’affrontement se solde par la déroute des troupes fidèles à la reine Jeanne.[réf. nécessaire]

La débâcle des nobles provençaux impose de mettre en place des mesures rapides pour éviter le désastre. Les États de Provence se réunirent d’urgence le 21 avril, à Aix-en-Provence, et chargent Louis de Trian, libéré après rançon, de prendre la défense de la capitale du comté. Pendant ce temps, une bulle pontificale, datée du 18 avril, porte condamnation des Avignonnais qui ravitaillent les Bretons assiégeant Tarascon. Tandis que le 27 du même mois, Urbain V se voit obligé de rassurer par lettre la reine Jeanne. Le pape lui confirme qu’il ne se laisserait jamais abuser par les mensonges de ses adversaires et l’exhorte à secourir et aider ses très fidèles provençaux.[réf. nécessaire]

Bertrand du Guesclin, rançon payée, est libéré le par le Prince Noir et quitte immédiatement Bordeaux. Après avoir rendu visite à de nombreux soutiens pour trouver de quoi financer sa rançon, il rejoint Louis d'Anjou au siège de Tarascon. Il organise le siège en rationalisant l'usage des machines de guerre et se rend compte que l'artillerie est sous utilisée chez les Français et par la suite militera pour son utilisation lors des sièges l'artillerie est plus facile à déplacer et permet de réduire rapidement la résistance des villes en abatant les remparts en quelques jours: elle est l'instrument indispensable d'une guerre de conquête se basant sur le contrôle des places fortes telle qu'il la mènera en Guyenne [4]. Tarascon finit par être prise par les routiers grâce à la trahison de quelques habitants. Mais la prise de la ville le 22 mai 1368 est difficile et ne se fait qu'a l'issue de combats de rue acharnés: Béranger de Raymond, chevalier d’Avignon, est tué, tandis que Louis de Trian, vicomte de Tallard, Bernard d’Anduze, seigneur de la Voulte, et Foulques d’Agoult, sont fait prisonniers[3].

L’incapacité du sénéchal de Provence ayant miné la confiance, même dans le Comtat, il faut une bulle pontificale, datée du 26 mai, pour remettre les esprits en place. Urbain V y ordonne à tous les nobles comtadins de suivre à la lettre les directives données par le recteur Philippe de Cabassolle. Le mercredi 5 juillet, Bertrand du Guesclin et ses routiers sont devant Aix défendue par le vicomte de Tallard. Pendant que les Bretons préparent le siège avec leurs machines de guerre, Raymond d’Agoult, fils du sénéchal, fait attaquer Aigues-Mortes afin de bloquer les arrières français (Aigues-Mortes, est à l'époque le port français le plus utilisé sur la façade méditerranéenne). L’archevêque d’Arles, Guillaume de la Garde, s’étant ouvertement déclaré pour Louis d’Anjou, est mis en accusation pour trahison et crime. Le sénéchal donne ordre à son lieutenant Luquet de Girardières de se saisir du temporel de l’archevêque.[réf. nécessaire]

La Tour de l'Hôpital, vestige des remparts d'Apt dont chacune des 27 tours étaient défendues par 8 arbalétriers.

Les Routiers, se financent en ravageant la province convoitée par louis d'Anjou. Ils envisagent une jonction avec les troupes de Grimaldi à Nice qui vient d'être retourné par le Duc. Le 18 Juillet 1368, Raymond d’Agoult lève une armée de 400 lances (1200 hommes) issue de la noblesse provençale et se jette à la poursuite de Dugesclin. Ce dernier évite d'attaquer Apt, mise ne défense avant son arrivée: la ville est bien protégée par de solides remparts, 216 arbalétriers et une artillerie conséquente (30 bombardes). Les provençaux rattrapent les routiers au village de Céreste. L'avant garde du sénéchal charge effrontément et est mise en pièce par les hommes de Bertrand du Guesclin[5]. Mais c'est la Provence entière qui se ligue contre les envahisseurs, l'ost Féodal est renforcé par des contigents fournis par les villes d'Aix et Marseille reprend Tarascon[6]. La reine de Naples réalise alors un coup de maitre diplomatique: Elle fait miroiter à Louis d'Anjou une éventuelle adoption, ce qui lui assurera le soutient des Français au cas où Louis de Hongrie devenait menaçant. Le duc d'Anjou sachant qu'il suffit d'attendre pour se rendre maitre du royaume de Naples sans risquer une excommunication voir une défaite militaire met fin à l'aventure qui devient incertaine[6]. Après dix neufs jours de siège infructueux devant Arles les routiers se retirent et repassent le Rhône. Les traîtres qui ont livré la ville sont enfermés au château d'Orgon. Devant les exactions commises par les routiers la Provence exsangue se rebelle. Mais les paysans révoltés, les laborieux, subissent une sévère répression menée par la noblesse provencale. Du Guesclin lui est excommunié par Urbain V.

  1. J.-B.-M. Joudou, Histoire des souverains pontifes qui ont siégé a Avignon,Fischer 1855, p. 166.
  2. J.-B.-M. Joudou, Histoire des souverains pontifes qui ont siégé a Avignon,Fischer 1855, p. 104.
  3. a et b J.-B.-M. Joudou, Histoire des souverains pontifes qui ont siégé a Avignon,Fischer 1855, p. 105.
  4. Christophe-Paulin de La Poix Fréminville, Histoire de Bertrand Du Guesclin: considérée principalement sous le rapport stratégique, poliorcétique et militaire destinée à l'usage des officiers de l'armée française et des élèves des écoles militaires du royaume, A. Proux et cie 1841, p. 300.
  5. É. Baratier, (sous la direction de.), Histoire de la Provence, Éd. Privat, Toulouse, 1969, p. 193.
  6. a et b J.-B.-M. Joudou, Histoire des souverains pontifes qui ont siégé a Avignon,Fischer 1855, p. 106.
  1. Louis, duc d’Anjou, pour ses œuvres, fut qualifié « d’exacteur, mais viril et intelligent ». Il avait nommé Amiel des Baux, Sénéchal de Beaucaire, en remplacement de Gui de Prohins, le 23 avril 1367. Le Bâtard succédait ainsi à son père Agoult et à son demi-frère Bertrand.

il faudrait toutefois verifier le timing de l'excominication et du retours de dugeslin en Castille par rapport à la fin de l'expédition. Cordielment Cyberprout (d) 21 août 2008 à 17:59 (CEST)Répondre

Résumé introductif

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Je viens de l'étoffer. Question de néophyte, sans doute, entre les BA et AdQ, il n'existerait pas un label A ? JPS68 (d) 3 août 2008 à 11:19 (CEST)Répondre

oui, mais pour avoir le A, il faut le BA --Ampon (d) 3 août 2008 à 23:03 (CEST)Répondre
Le niveau A n'est pas un label, mais une notification d'avancement du projet Wikipédia 1.0. Je l'utilise pour indiquer qu'un article est prêt à être présenté à l'un ou l'autre label BA ou AdQ. En pratique, si un article a le label BA, même s'il est proche de l'AdQ, il garde le niveau BA, et non pas A, ce qui fait que ce dernier n'est pas vraiment "entre les deux" mais plus en parallèle. Gemini1980 oui ? non ? 4 août 2008 à 15:17 (CEST)Répondre

"GUILLAUME GRIMOARD" ET NON "GUILLAUME DE GRIMOARD"

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Le pape Urbain V s'appelle "Guillaume Grimoard" et non "Guillaume de Grimoard". Idem pour son frère : "Anglic Grimoard" et non "Anglic de Grimoard". Jean-Bernard Elzière— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.8.25.216 (discuter)

Commentaire du lecteur : Cette notice importa...

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90.52.198.158 a publié ce commentaire le 20 octobre 2013 (voir tous les retours).

Cette notice importante attribue un nom erroné à Urbain V, qui n'est pas un "Guillaume de Grimoard", mais un "Guillaume Grimoard". Voir notamment un article non cité en bibliographie : Jean-Bernard ELZIÈRE et Hélène DUTHU, « Autour de Raymond de Montaut (env. 1340 - 1374), seul neveu du pape Urbain V (1362 à 1370) » , Lien des chercheurs cévenols, n. 100 (2e fasc., 1995), pp. 73-110.

Avez-vous des remarques à formuler ?

Marianne Casamance (discuter) 30 octobre 2013 à 13:09 (CET)Répondre

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