Utilisateur:Thibaud4141/Brouillon

1A

CHÂTEAUX

Cet article recense les hôtels particuliers de Blois, en région Centre-Val de Loire, en France.

Seigneurs de Vienne connus

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  • 1169 : Raymond[1]
  • 1104 : Thierry[2]
  • 1119 : Henri de Vienne[3]

Une première famille, sans doute proche des comtes thibaldiens de Blois, semble avoir été installée vers le XIe siècle. Le plus ancien seigneur connu est, d'après les études récentes de l'INRAP, Raymond de Vienne, cité en 1169[1]. Des sources plus anciennes citent d'autres personnalités, dont un certain Thierry en 1104[2] et un Henri de Vienne en 1119[3].

Cette famille est rarement mentionnée dans les archives du comté : le seigneur de Vienne n'est par exemple même pas nommé dans la Coutume de Blois[4], au contraire de son procureur qui le représente[5]. Il est également possible que la seigneurie n'ait pas été transmise de manière héréditaire mais au curé de l'église Saint-Saturnin[Note 1].

Vers le début du XIIIe siècle, la seigneurie semble avoir été transmise à une branche de la maison de Montoire-Vendôme, ancienne famille rivale des comtes de Blois jouissant d'une alliance croissante comme le suggère le mariage en 1213 entre Jean III de Vendôme et Marie de Châtillon, notamment[Note 2]. Sont ainsi mentionnés comme seigneurs de Vienne :

Sommaire :

Liste des quartiers de Blois

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Le présent article présente l'ensemble des subdivisions de la ville française de Blois, située dans le département du Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

La ville est découpée en X quartier officiels, regroupés en cinq ensembles[9].

Quartiers Centre

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Le centre-ville concentre naturellement l'essentiel de l'histoire de la ville, durant laquelle chaque quartier s'est construit une identité.

Du fait de la géologie particulière de la ville[Note 3], le centre de Blois s'est développé autour du vallon creusé par le ruisseau de l'Arrou, et en particulier à partir de sa confluence avec la Loire.

Ville basse

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Bourg-Moyen

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Puits-Châtel

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Saint-Nicolas

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Quartier du Foix

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Saint-Jean

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Ville haute

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Éperon du château

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Quartier de la Gare

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Haut-Bourg

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Bourg-Neuf

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Basses Granges-Cimetière

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Quartier Médicis

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Quartiers Sud

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Les quartiers Sud correspondent à la partie rive gauche de la ville, aussi appelée « Blois-Vienne » ou « quartier Vienne ».

Héritage d'un village indépendant jusqu'en 1606, le quartier est connu pour avoir conservé un esprit de proximité avec la ruralité et la Loire.

Le parc des expositions de Blois ainsi que le dernier port fluvial de la ville, le port de la Creusille, se trouvent d'ailleurs en Vienne.

Quartiers Est

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Quartiers Nord

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Quartiers Ouest

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Cabochon

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La Quinière

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La Saulas

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Les Grouëts

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Saint-Georges

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Édifices religieux de Blois

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La ville de Blois (Loir-et-Cher, Drapeau du Centre-Val de Loire Centre-Val de Loire) possède un riche patrimoine religieux : églises, abbayes, couvents et autres congrégations religieuses. Cette liste classe les édifices religieux en fonction de la religion.

Christianisme

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Culte chrétien

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Image Nom Période Quartier Notes
Cathédrale Saint-Louis XVIe siècle Haut-Bourg
Église Saint-Nicolas du Foix XIIe siècle

Quartier du Foix

Culte protestant

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Autres églises

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Judaïsme

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Édifices aujourd'hui disparus

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Voir aussi

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Projet:Blasons/Demande de blason

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  • Morvilliers (en cours 2e)
  • Viart (en cours × 2)
  • Refuge
  • Villebresme

Familles manquantes

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  • Viart
  • de La Saussaye

Famille de Villebresme

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Famille de Villebresme
Famille de Villebrême
Image illustrative de l’article Thibaud4141/Brouillon
Armes de la famille.

Blasonnement D'or au dragon ailé de gueules membré d'azur.[10]
Branches de Groislard de Villebresme
Période XIVe siècle – XVIe siècle
Pays ou province d’origine Comté de Blois (Drapeau de l'Orléanais Orléanais)
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus Villebrême, Fossé, Fougères-sur-Bièvre, etc.
Demeures château de Boissay
château de Fossé
château de Fougères-sur-Bièvre
hôtel de Villebrême (Blois)
Preuves de noblesse
Montres anoblissement par lettres patentes en 1408[11], à Blois
confirmation en 1465

La famille de Villebresme (parfois écrit Villebrême) est une ancienne famille française de noblesse originaire du comté de Blois,

Le fief principal des Villebresme se trouve en un hameau homonyme de l'actuelle commune de Villebarou (Loir-et-Cher), mais des membres de la famille ont possédé d'autres seigneuries en pays blésois.

La famille de Villebresme s'est éteinte au XVIe siècle dans les familles de Refuge, de Groislard, .

Histoire

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Origines

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Les sources pouvant se contredire, les origines de la famille de Villebresme sont incertaines[12].

Néanmoins, à l'instar des Morvilliers, les Villebresme semblent être à l'origine une famille de marchands spécialisés dans la production et le commerce textile, en particulier de draps[13],[14]. Devenus proches de la maison d'Orléans, dont les ducs vivent au sein du château de Blois depuis 1397[Note 4],

Dès 1404, la ville de Blois plaidait contre les Villebresme pour les obliger à se reconnaître bourgeois[13].

Personnalités

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  • Denys de Villebresme (), épousa en 1199 Jehanne de Marigny[15]
  • Pierre Ier de Villebresme († 1335), conseiller de Philippe IV le Bel puis procureur général au Parlement de Paris [15] entre 1323 et 1325, avait épousé Jeanne de Beauvoir ou Jeanne de Beauvais, de qui il eut 1) deux enfant : Mathias et Marie[16] ou 2) trois enfants : Pierre II, Jacques et Marie[17]
  • Jean Ier de Villebresme, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, chambellan du duc ou comte(?) Charles III d'Alençon[18], fils de Jean II et de Marguerite de Refuge(?)
  • Marie de Villebresme, fille de Pierre Ier, épouse de Philippe Ier Hurault († 1364)[16], remariée en 1352(?) à Guillaume Le Jay [Anselme]
  • Michel de Villebresme († 1413), bourgeois de Blois en 1375, devint secrétaire du duc Louis Ier d'Orléans[19],[Note 4]
  • Pierre II ou III de Villebresme (???), écuyer du duc Charles d'Orléans en 1418[19], secrétaire des commandements du duc Louis Ier d'Orléans, père de : Jean, François et Macé Ier[17]
  • François Ier de Villebresme, fils de Pierre II et frère de Jean II et Macé Ier, fut trésorier du duc d'Orléans[20], chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, trésorier du duc Louis II d'Orléans[18], puis receveur et conseiller de Louis XII[21], aurait épousé Catherine du Lys[18],[22] (fille de Pierre d'Arc et nièce de Jeanne d'Arc) ; Cette alliance est remise en doute par Jules Doinel[23]
  • Marie de Villebresme, fille de François et de Catherine du Lys (elle-même fille de Pierre d'Arc, donc Marie est petite-nièce de Jeanne d'Arc[22]), épousa Jacques Le Fournier[20]
  • Jean II de Villebresme, chancelier de France en 1423 sous Charles VII (Note usurpation guerre de 100 ans)[18], maître des eaux et forêts en 1447[19]
  • Guyon de Villebresme, bourgeois de Blois en 1409[14]
  • Jean II ou III de Villebresme, fils de Guyon, élu de la ville en 1451, mort vers 1462[14]
  • Jean (IV?) de Villebresme (???), notaire et secrétaire du roi en 1497[19]
  • Jean III de Villebresme († 1490), écuyer, seigneur de Boissay, de Plissot-lèz-Beaugency et de Fougères-sur-Bièvre suite à son mariage avec Marie de Refuge, dame de Refuge[24] ; eurent 2 enfants : Jean IV et Marie[25]
  • Jean IV de Villebresme († 1528), fils de Jean III, chambellan ordinaire du duc Charles IV d'Alençon, nommé sénéchal de Rodez en 1516[26]
  • Jean (IV?) de Villebresme acquiert en 1528 le château de Roujoux, à Fresnes
  • Pierre de Villebresme, fils de Jean IV?, a fait construire en 1549 l'aile gauche du château de Roujoux, à Fresnes,[27] a eu 3 enfants: Jean (V?), Antoine, Marie
  • Macé Ier de Villebresme (???), écuyer de cuisine au service du duc Louis Ier d'Orléans, capitaine de Chambord (encore en 1499)[19],[18]
  • Marc de Villebresme, artiste contemporain de Charles d'Orléans[28]
  • Marc de Villebresme, valet de chambre du duc en 1484[29], puis conseiller et maître d'hôtel du duc Louis II d'Orléans[30]
  • Macé II de Villebresme (???), maître des eaux et forêts entre 1461 et 1478[19],[18] ; maître d'hôtel de Marie de Clèves et ambassadeur à Rome en 1517, capitaine de Chambord de 1478 à 1503, fils de Jean (Ier?) de Villebresme, petit fils de Guyon ; ami du poète Crétin[31]
  • Mathieu de Villebresme, capitaine du port de Villeneuve, proche d'Avignon en 1431[32]
  • Marie de Villebresme, fille de Macé II et cousine de François, épousa Denis de Musset en 1449[33] ou en 1478/79[34]
  • Michel de Villebresme, frère de Macé II, garde des clés de la ville de Blois, maître d'hôtel d'Anne de Beaujeu[19] (1485/1490)
  • Anne de Villebresme, première épouse de Jean d'Arc (belle-sœur de Jeanne d'Arc) : un enfant, Marguerite d'Arc[35]
  • Guillaume de Villebresme, l'Aîné (né en 1416), ??? de la duchesse Marie de Clèves, puis du duc Charles d'Orléans, puis de Charles VII, puis de Louis XI
  • Guillaume de Villebresme, le Jeune, fils du précédent, secrétaire de la duchesse d'Orléans en 1478[36]
  • Jeanne de Villebresme, épousa Jean de Bonnas, et eurent une fille, Jeanne de Bonnas, qui épousa Simon de Musset[37]
  • Jacques de Villebresme, fils de Guillaume, chapelain de Coucy
  • Guillaume de Villebresme, grenetier au grenier à sel d'Orléans[19], neveu de Guillaume de Moulins († 1503), de qui il hérita en 1503 la seigneurie du Quartier à Mont[38]
  • Pierre de Villebresme (???), prieur commendataire à Blois[19]
  • Jean II de Villebresme († ???), fils de Jean Ier
  • Isabeau de Villebresme (???), fille de Jean, dame de Saint-Lubin, a épousé Étienne Ier de Morvillier
  • Louis Ier de Villebresme († 1561), fils de Jean IV[26], maître des comptes de Blois, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, Rougemont, Boissay, Ramoulu et le Pissot, épousa Jeanne de Moulins, dame de Mons, Vaurobert et Villedy[15],[38]
  • Jeanne de Villebresme, fille de Louis Ier, épousa en 1575 Pierre Ier de Groislard[15] > Branche de Groislard[18]
  • Charles († 1573) & Louis II de Villebresme, frères de Jeanne, morts sans postérité[18],[26]
  • François Ier de Villebresme († v. 1601) frère des précédents, céda ses domaines à sa sœur Jeanne[18], avait épousé Françoise d'Échelle, dame de Marmagne[39]
  • François II de Villebresme († 1626), fils aîné de François Ier, chevalier, seigneur de Fougères-sur-Bièvre[39]
  • Jacques de Villebresme, fils de François II[39]
  • Guillaume de Villebresme, fils aîné de Jacques, seigneur de Fougères-sur-Bièvre, mort sans enfants[39]
  • Françoise de Villebresme, fille de Jacques[39]
  • Claude I de Villebresme, seigneur de Fougères-sur-Bièvre et de Boissay, épousa Soulaine Hurault de Saint-Denis (fille de Denis II), fils de Jean et Adrienne de Brisay[25]
  • Jacques de Villebresme, fils de Claude et Soulaine, écuyer et seigneur de Boissay, épousa Marguerite de Moulins en 1578[38]
  • Claude II de Villebresme, frère cadet du précédent, seigneur de la Mahoudière, épousa Louise de Moulins (sœur de Marguerite) en 1578[38]
  • Louis de Villebresme, seigneur de Mons en 1569[40]
  • Jean de Villebresme, archidiacre de Blois en 1470
  • Bertaut de Villebresme, ancien serviteur de duc Charles, devenu prévôt de Blois en 1461
Portrait Nom Règne Titres Notes
Jean de Morvillier
(† ???)
??? – ???

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de Magny 1854] Ludovic de Magny, Le nobiliaire universel, ou Recueil général des généalogies historiques et véridiques des maisons nobles de l'Europe, , 246 p. (ISBN 978-1-022-31527-3, lire en ligne Accès libre), p. 129–136.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [de Saint-Allais 1815] Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, t. 3, (lire en ligne Accès libre), p. 48–49.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article [Storelli 1884] André Storelli, Notice historique et chronologique sur les châteaux du Blaisois, avec 32 gravures à l'eau-forte et une carte, Paris, Librairie d'art L. Baschet, (lire en ligne Accès libre), « Le château de Fougères », 10 p.

Famille Morvilliers

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Les origines de la famille sont mal connues.

Lorsqu'un Étienne de Morvillier est mentionné à Blois en 1319, la famille possède déjà une fortune grâce au commerce de drap[41].

Un Pierre de Morvillier († 1383)[Note 5] est cité comme seigneur de Cormeray, bourgeois de Blois, inhumé à l'abbaye Saint-Laumer[42], mais il portait des armes « d'argent, à trois saules de sinople, deux en chef, un en pointe, chargé d'une laie passant de sable »[43]. Son tombeau mentionne également ses proches : un premier Jean (ou Jehan) et une Gile apparaissent comme ses grands-parents paternels, un deuxième Jean comme son père, et une Jeannette comme sa sœur[44].

Un autre Étienne de Morvillier, alors auditeur des comptes à Blois puis procureur général de cette même ville, fut annobli par Louis XI en 1472[19]. Son fils, Philippe Ier, était en 1458 clerc au service du général d'Outre-Seine et Yonne, Pierre de Refuge[45],[Note 6], établi en son château de Fougères-sur-Bièvre.

Famille de La Saussaye

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Famille Viart

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Famille Viart
Image illustrative de l’article Thibaud4141/Brouillon
Armes de la famille.

Blasonnement d'or à un phénix de sable posé sur un bûcher de gueules, au chef d'azur chargé de trois coquilles d'argent[46],[47].
Devise Vivit et Ardet[47] (« il vit tant qu'il brûle »)
Branches d'Étampes (éteinte)
des Francs (éteinte)
de Quemigny (éteinte)
de Pimelles (éteinte)
de Villette (éteinte)
Période XIVe siècle – XIXe siècle
Pays ou province d’origine Comté de Blois (Drapeau de l'Orléanais Orléanais)
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus Candé-sur-Beuvron, les Essarts, Ménestreau-en-Villette, Pimelles, Quemigny-sur-Seine, Remilly-Wirquin, Usseau, etc.
Demeures château de la Motte d'Usseau
château de Quemigny-sur-Seine
château de Villebazin de Candé
château de Villette de Ménestreau
hôtel Viart de Blois
manoir Viart de Pimelles
Charges Baillis de Blois
Capitaine de la ville de Blois
Maître des Eaux et Forêts de Blois
Gouverneurs du comté de Blois
Écuyer ordinaire
Écuyer du duc Charles d'Orléans
Pages du roi
Maîtres des requêtes ordinaires de l'hôtel du roi
Conseiller du roi
Président du Grand conseil
Conseiller d'État
Trésorier général de France en Languedoc
Fonctions militaires Capitaines
Sous-lieutenants
Lieutenants
Lieutenant-colonel
Lieutenant des maréchaux de France
Garde-marine
Lieutenants de frégates
Lieutenants de vaisseaux
Récompenses militaires Ordre royal et militaire de Saint-Louis
Ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem
Preuves de noblesse
Montres anoblissement par lettres patentes en 1388, à Blois[46]
validé en 1643[47]
maintenu en 1666[48], 1671[49], 1699[48] et 1700[50]

Origines

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La famille Viart apparaît dans l'histoire du Blésois au milieu du XIVe siècle avec Jehan (ou Jean) Viart, mentionné comme bailli de Blois en 1342, sous le règne du comte Louis Ier de Blois-Châtillon[47],[51]. Il réapparaît en 1388, anobli par Charles VI[46]. Ce n'est cependant qu'à partir du siècle suivant que la généalogie de la famille est clairement documentée.[46]

Un deuxième Jean Viart († 1458) devient un personnage notable au début du XVe siècle, sous le règne des ducs d'Orléans, après que la maison d'Orléans a succédé à la maison de Blois. Il est d'abord gentilhomme, puis écuyer du duc Charles d'Orléans[51],[52]. Comme d'autres familles locales[Note 7], les Viart profitent ainsi de la présence de la cour ducale à Blois puis de l'accession au trône de Louis XII en 1498 pour entamer leur ascension sociale.

Branche aînée

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Le petit-fils de Jean, Jacques Viart († 1550), écuyer et seigneur de petites terres autour de Blois, scelle la première alliance matrimoniale notable de la famille avec Jeanne de Moulins, issue des familles de Moulins et Hurault[53],[54]. Son fils, Jacques II Viart († 1582), épouse Françoise Le Picard, de la prestigieuse famille Phélypeaux, et devient gouverneur et bailli de Blois pendant plus de 50 ans — de 1531 à 1580 —, ainsi que conseiller du roi Henri III[54],[55].

C'est aussi à partir du XVIe siècle que la famille se sépare. Un partie part en Bourgogne, plus précisément à Quemigny, où Raymond de Viart, huitième fils de Jacques II et Françoise Le Picard, s'établit.

Jacques III, fils aîné de Jacques II, fut quant à lui maître des requêtes ordinaire de l'hôtel du Roi et conseiller d'État, et acquit des terres en Vendômois en tant que seigneur de Villeromain[56],[57]. Son fils Jacques IV lui succèda en 1583[58],[59]. D'après le généalogiste d'Hozier, son épouse Catherine Compain descend de Souveraine d'Angoulême, demi-sœur bâtarde de François Ier, c'est donc abusivement qu'il affirme que cette union permet l'entrée de la famille Viart dans la famille royale[60], alors incarnée par la maison de Valois-Angoulême qui vit ses dernières années.

Le successeur et fils de Jacques IV, Nicolas († 1657), fut nommé comme son père conseiller d'État, puis président du Grand Conseil et enfin conseiller du roi[59],[60].

Au XVIIe siècle, avec le départ de la Cour vers Paris, la famille Viart suit le roi et s'engage dans l'armée sous Louis XIV. Guillaume II Viart († 1706), fils aîné de Nicolas, est capitaine dans le régiment du duc de Vendôme[59],[50]. Ses fils, Claude Viart († 1739) et Guillaume-François Viart († 1753), sont admis dans la compagnie des gentilshommes gardes de la Marine royale à Brest[61],[62].

Leur frère, Guillaume-Charles Viart († 1706), lieutenant de la Marine[61],[62], a deux fils notables : Charles-Nicolas Viart, qui combat dans les années 1740 en Allemagne et en Italie durant la guerre de Succession d'Autriche[63],[64], et Henri-Auguste Viart, surnommé le Chevalier Viart, qui participe au siège de Madras en 1758[62],[65]. Les deux frères furent faits chevaliers de Saint-Louis. La branche aînée de la famille s'éteint avec Charles Viart, fils de Charles-Nicolas[64],[48], qui ne laisse pas de descendance connue[réf. souhaitée].

Dispersion en France

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Entre-temps, plusieurs membres des Viart vont s'établir dans d'autres provinces de France, notamment en Poitou, en Beauce et en Bourgogne.

Branches de Bourgogne (Chalvosson et Pimelles)

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Dans un premier temps, Raymond, le huitième fils de Jacques II († 1582), succède à son père en tant que bailli de Blois, après avoir été trésorier général de France en Languedoc[66],[67]. Néanmoins, son fils, Guillaume Viart († 1638), reste dans le Sud et s'engage au service du marquis de Mirabeau qui le nomme capitaine et gouverneur de la ville de Mirabeau, en Provence[67],[68].

Son fils, François Ier du nom († 1649), fut nommé gouverneur des salines et domaines de Lorraine[67],[69], et c'est finalement sa veuve, Priscille Le Clerc, qui va acquérir la seigneurie de Pimelles, située aux portes de la Bourgogne, en 1649[70],[71]. Parmi leurs 5 enfants, deux rameaux découlent de ce couple.

D'un côté, l'aîné Claude est seigneur d'Ancy-le-Serveux, de Quemigny, de Quemignerot et de Chalvosson, qu'il transmet jusqu'à son arrière-petit-fils Guy-Bernard de Viart de Chalvosson († 1786)[70],[71],[72]. Son fils Artus-Alexandre († 1838), ancien page de la reine Marie-Antoinette et alors capitaine du Régiment Royal-Piémont cavalerie, lui succéda lorsqu'éclata la Révolution[72]. Il laissa un fils, Édouard de Viart de Chalvosson[73].

De l'autre, le cadet François II († 1699) hérita de Pimelles qui appartenait à sa mère[71],[74].

Branche de Poitou (Usseau)

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En parallèle, Jacques de Viart († 1699), troisième fils de Nicolas († 1657), s'est installé en Poitou et a acquis la seigneurie d'Usseau et son château de la Motte lorsqu'il passa au service du duc de Valois, Philippe, le frère cadet de Louis XIV[48],[75]. Ses descendants ont conservé ce fief — avec Villette — ainsi que cette particule, à commencer par son fils Louis-André de Viart[75],[76], puis ses arrière-petits-fils Henri-Louis et Jean-Jacques-François-Catherine, lesquels ont d'ailleurs été pages de Louis XV en sa Petite Écurie, à Versailles[77],[78].

Henri-Louis s'est ensuite engagé dans l'armée à l'École royale militaire de Pontlevoy, puis entre dans la Marine royale à l'École du port de Rochefort et aux Antilles[79].

Branches de Beauce (les Francs)

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Quatrième fils de Jacques de Viart († 1699), Henri de Viart († 1760), fit carrière dans l'armée et fut décoré de la Croix de Saint-Louis. Il s'installa quant à lui en pleine Beauce, au nord d'Orléans, dans la seigneurie des Francs[77],[78], sur le territoire de l'actuelle commune de Chevilly[réf. souhaitée].

Les Viart pendant la Révolution

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Les émigrés

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Alors que la famille a joué au jeu de la noblesse et la Cour depuis le règne de Louis XIV — qui les a aidé à obtenir des postes importants dans l'armée et dans la Marine —, la tournure des événements de la révolution de 1789 apparaît comme une menace pour la plupart des membres de la famille dont la plupart va émigrer à la chute de l'Ancien Régime.

Ainsi, les branches de la Motte d'Usseau et des Francs quittent la France et rejoignent l'Angleterre, où s'est réfugiée la majeure partie des nobles. En 1795, ils participent à l'expédition de Quiberon, qui tourne à l'échec, et les parents, dont Jean-Jacques-François-Catherine[80], sont tués dans l'opération[79]. La lignée de la Motte d'Usseau s'éteint avec Henri-François-Catherine, fils de Jean-Jacques-François-Catherine, fusillé sur le champ des Martys, lui-même mort après son fils, Charles, également fusillé[80].

L'espion Viart

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Un Achille Viart apparaît lors du procès de Louis XVI. Né en 1745 à Mauriac, il a d'abord été militaire et gendarme de la garde de Louis XVI, avant de devenir propriétaire terrien sur l'île d'Hispaniola, actuel Haïti alors colonie française[81]. Lors de la Révolution, le ministre des affaires étrangères Pierre Lebrun l'avait envoyé en Angleterre en tant qu'espion pour déterminer l'objectif de George III qui menaçait la France révolutionnaire d'une coalition européenne et qui protégeait également l'armée des émigrés, composée de nobles déchus en exil outre-Manche[82]. À son retour, il dénonce Roland et Fauchet comme correspondant avec des ennemis de la Nation, déclaration qu'il réitère en décembre 1792 alors que la Convention rend compte des trois ans de monarchie constitutionnelle sous Louis XVI[82]. D'après lui, il aurait trouvé à Londres des documents prouvant que les Anglais avaient eu connaissance des échanges entre Chamfort, du gouvernement révolutionnaire girondin, et des indépendantistes irlandais[83],[Note 8]. La déclaration d'Achille Viart paraît suspecte et fait polémique[82] : il est d'abord fait prisonnier dans une abbaye, puis libéré trois semaines plus tard[83] en l'absence de preuves[82]. Il est une nouvelle fois arrêté et emprisonné en 1794, puis il est finalement condamné à mort par le tribunal révolutionnaire puis guillotiné, le 29 prairial an II () à Paris[84], pour avoir été un « agent de l'étranger »[82].

Blason Blasonnement :
D’or au phénix de sable posé sur un bûcher de gueules, au chef d’azur chargé de trois coquilles d’argent[46],[47].

Généalogie simplifiée

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Jean
(† ???)
 
 
Jean II
(† ???)
 
 
Jean III
(† 1458)
 
 
Guillaume Ier
(† 1525)
 
 
Jacques Ier
(† 1550)
 
 
Jacques II
(† 1582)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche de Beaucebranche de Bourgogne
Jacques III
(† ap.1597)
Raymond
(† ???)
 
 
 
 
Jacques IV
(† ???)
Guillaume II
(† 1638)
 
 
 
 
Nicolas
(† 1657)
François Ier
(† 1649)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche de la Motte d'Usseaubranche de Chalvossonbranche de Pimelles
Guillaume III
(† 1706)
Jacques
(† 1699)
Claude
(† ap.1693)
François
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche Desfrants
 
 
 
 
Guillaume-Charles
(† 1753)
Louis-André
(† ???)
Henri
(† 1760)
François
(† ???)
Artus-Alexandre
(† 1699)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles-Nicolas
(† ???)
Jacques-Joseph
(† ???)
Henri-Auguste
(† 1774)
Claude-Marie
(† ???)
Louis-Alexandre-Charles
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles
(† ???)
Henri-Louis
(† ???)
Jean-Jacques-François-Catherine
(† ???)
Henri-Noël-Auguste
(† ???)
Guy-Bernard
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Charles-Henri
(† ???)
Henri-François-Catherine
(† ???)
Artus-Alexandre
(† ???)
Claude-Maurice
(† ???)
 
 

de Refuge

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Famille de Refuge
Image illustrative de l’article Thibaud4141/Brouillon
Armes de la famille.

Blasonnement D'argent aux deux fasces de gueules et aux deux bisses affrontées d'azur en pal, languées de gueules, brochant sur le tout.[85],[86]
Devise À tous Refuge[86]
Branches de Fougères (éteinte)
de Galardon (éteinte)
des Menus (éteinte)
de Précy (éteinte)
de Saint-Vrain (éteinte)
de Salvert (éteinte)
Période XIVe siècle – XVIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du duché de Bretagne Duché de Bretagne
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus Fougères-sur-Bièvre, etc.
Titres obtenus seigneurs, barons, comtes, marquis
Demeures château de Fougères-sur-Bièvre
Charges Baillis
Chambellans
Échansons
Écuyers
Maîtres d'hôtel
Maîtres des requêtes
Généraux des finances
Ambassadeur
Conseiller d'État
Sénéchal
Fonctions militaires Lieutenants-généraux des armées
Maréchaux de camp
Brigadier
Chevaliers de Malte
Récompenses civiles Ordre de Saint-Michel
Preuves de noblesse
Autres preuves acceptées en 1668[85]

La famille de Refuge est une ancienne famille française de noblesse d'extraction originaire de Bretagne.

La famille, particulièrement proche de la deuxième maison d'Orléans, s'est illustrée avec Pierre de Refuge, trésorier sous Louis XI, ainsi qu'avec Eustache de Refuge, nommé chancelier de France par Henri IV en 1599.

Personnalités

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Branche aînée

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Portrait Nom Règne Titres Notes
Alain de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Menchay et de Kernazret Originaire du pays de Léon, il épousa en 1380 Tiphaine, fille du célèbre Tanneguy III du Chastel[87],[88].
Hervé de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Menchay et de Kernazret Fils aîné d'Alain, il resta en Bretagne[88].
Gauvain de Refuge
(† ???)
??? – ??? Deuxième fils d'Alain, il accompagna son oncle Tanneguy à la cour de Charles VI[87].
Jean de Refuge
(† 1449)
??? – 1449 Fils aîné de Gauvain, il fut nommé général des aides, puis général des finances et conseiller du duc Louis Ier d'Orléans. Il était marié à Jeanne de Faverois, dame de Fougères-sur-Bièvre[87],[89].
Raoul de Refuge
(† ???)
1449 – ??? Fils cadet de Jean, fut conseiller de Charles VII, maître des comptes, puis chancelier et gouverneur des finances du duc Louis II d'Orléans, futur Louis XII. Marié à Marie Cadier, il eut 11 enfants, dont 4 vont créer leur propre branche généalogique[87].

Branche de Fougères

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Portrait Nom Règne Titres Notes
Pierre de Refuge
(† 1483)
14491483 Seigneur du Quartier et de Fougères-sur-Bièvre Fils aîné de Jean, il fut chambellan du duc Charles d'Orléans, et nommé général de France puis trésorier de Louis XI[90]. Dans les années 1470, il s'attelle à la reconstruction du château de Fougères-sur-Bièvre, au style médiéval tardif[91]. Il eut un fils, Jean, mort sans enfants, et trois filles, dont Marie[87].
Marie de Refuge
(† ???)
1483 – ??? Dame de Fougères-sur-Bièvre Principale héritière de son père Pierre, elle épousa Jean III de Villebresme, seigneur de Boissay. Elle transmit ses domaines à leur fils, Jean IV.

Avec la mort sans enfants de Jean, et Marie étant, au moment de sa mort, la dernière membre de la branche de Fougères, celle-ci est déclarée éteinte dans la famille de Villebresme. Elle a cependant eu des descendants, notamment Jean IV de Villebresme.

Branche de Précy

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Portrait Nom Règne Titres Notes
Raoulet de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur du Four et de Courcelles Fils aîné de Raoul, il fut chevalier, échanson et maître d'hôtel de Louis XII. Il épousa Catherine Ruzé, de la famille Ruzé[92].
François de Refuge
(† 1531)
??? – 1531 Seigneur de Précy-sur-Marne et de Courcelles Fils du précédent, il fut avocat général à la cour des Aides puis maître des comptes[92].
Jean II de Refuge
(† ???)
1531 – ??? Seigneur de Précy-sur-Marne et de Courcelles Fils du précédent, il fut conseiller au Parlement de Bretagne puis au Parlement de Paris[92].
Jean III de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Courcelles et de la Ravinière Troisième fils de Jean II, il fut tué lors d'un duel[92].
Eustache de Refuge
(1564 – † 1617)
??? – 1617 Seigneur de Précy-sur-Marne et de Courcelles Fils aîné de Jean II, il fut conseiller au Parlement de Paris, puis maître des requêtes, ambassadeur et conseiller d'État. Il épousa Hélène de Bellièvre, fille du chancelier Pomponne de Bellièvre[92].
Claude de Refuge
(† ???)
1617 – ??? Seigneur de Précy-sur-Marne Cinquième fils d'Eustache, il fut militaire jusqu'à devenir maréchal de camp puis lieutenant-général des armées en 1643[93].
Pompone de Refuge
(† 1712)
??? – 1712 Marquis de Refuge, Seigneur de Précy-sur-Marne et d'Arcueil Fils aîné du précédent, il fit également carrière dans l'armée, notamment en étant maréchal de camp puis lieutenant-général des armées en 1696. Il épousa sa cousine, Anne-Françoise d'Elbène[93].
Henri-Pompone de Refuge
(1686 – † 1766)
17121766 Marquis de Refuge, Seigneur de Villerceau Fils du précédent, il fut lieutenant des Gendarmes écossais, puis brigadier et enfin, lieutenant-général en 1744[93].

Branche de Galardon

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Portrait Nom Règne Titres Notes
Renaud de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Vilaines, de Fossé et de Galardon Quatrième fils de Raoul, il fut Premier écuyer de Louis XII puis de François Ier. Son fils aîné, Jean, fut élu évêque de Saintes[93].
Guy de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Dannemarie Fils cadet du précédent, il fut écuyer tranchant pour François Ier[93].
Jean Ier de Refuge de Galardon
(† ???)
??? – ??? Baron de Galardon Fils du précédent, il fut échanson duc Henri d'Orléans, puis gentilhomme ordinaire de la chambre d'Henri II une fois couronné[93].
Jean II de Refuge de Galardon
(† ???)
??? – ??? Comte de Coësmes, Baron de Galardon Fils du précédent, il était chambellan du duc d'Alençon mais fut tué lors d'un duel, en 1579[94].
Jean III de Refuge de Galardon
(† ???)
??? – ??? Comte de Coësmes, Baron de Galardon
Jean IV de Refuge de Galardon
(† ???)
??? – ??? Comte de Coësmes, Baron de Galardon
Gédéon de Refuge
(† ???)
??? – ??? Comte de Coësmes

Branche de Salvert

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Portrait Nom Règne Titres Notes
Élie de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur des Bordes Cinquième fils de Raoul, il fut maître d'hôtel de Louise de Savoie[94].
Jean Ier de Refuge de Salvert
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Ravinière, de Bullou et de Salvert
Thomas de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Bullou Troisième fils de Jean Ier et de Françoise de Voisines, il épousa Jacqueline de Villebresme[94].
Jean II de Refuge de Salvert
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Salvert et des Bordes Premier fils de Jean Ier avec sa seconde épouse[94].
Jean III de Refuge de Salvert
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Salvert, des Bordes et de la Baupinière
Charles de Refuge de Salvert
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Salvert et du Courbat

Branche des Menus

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Portrait Nom Règne Titres Notes
Christophe Ier de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur de Marolles et des Menus Septième fils de Raoul, il fut correcteur des comptes puis maître d'hôtel du duc Charles d'Alençon[95].
Christophe II de Refuge
(† ???)
??? – ??? Seigneur des Menus et de Theuilloy Fils du précédent, il fut chevalier de l'Ordre du Roi, gentilhomme de la chambre, sénéchal et grand bailli de Saint-Pol[95].
Louis de Refuge
(† 1569)
??? – 1569 Seigneur de Theuilloy, d'Aix et de Vergny Troisième fils de Christophe II, il fut tué en 1569 lors de la bataille de Moncontour[95].

Généalogie simplifiée

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Jean Le Picard
(† ???)
 
 
Philippeau Ier
(† ???)
 
 
Philippeau II
dit Phélypeaux
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
branche Le Picardbranche Phélypeaux
Jean
dit l'Aîné
(† ???)
Jean
dit le Jeune
(† 1461)
 
 
 
 
Philippe
(† ???)
Guillaume
(† ???)
 
 
 
 
 
Raymond
(† ???)
Raymond Ier
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
François
(† 1605)
Françoise
(† ???)
Louis
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Michel
(° 1623)

famille Viart
Raymond II
(† 1629)
Salomon
(† 1655)
Paul
(† 1621)
Jean
(† 1660)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Louis Ier
(† ???)
branche d'Herbaultbranche de La Vrillière
 
 
branche de Pontchartrain
 
 
Balthazar
(† 1663)
Louis Ier
(† 1681)
Antoine
(† 1665)
Louis Ier
(† 1685)
François
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
François
(† ???)
Balthazar
(† 1700)
Michel
(† 1694)
Raymond
(† 1692)
Jacques-Antoine
(† 1732)
Raymond-Balthazar
(† 1713)
Louis II
(† 1727)
Louis II
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Antoine-François
(† 1704)
Louis II
(† 1725)
Jérôme
(† 1747)
 
 
 
 
 
 
 
 
Louis III
(1697–1761)
Louis Aymond
(† ???)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Georges-Louis
(† 1742)
Louis III
(† 1777)
Louise-Françoise
(† 1737)
Jean-Frédéric
(† 1781)
Paul Jérôme
(† 1775)
Charles Henri
(† 1734)
 
 
 
 
 
 
Jean-René
(1733–1806)
Edmond Raphaël
(1726–1786)
Louis IV
(1727–1776)
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean-Frédéric
(† v.1780)

famille de Bréhan de Plélo
Louis V
(° 1752)
Antoine
(1767–1799)

Liste des seigneurs, vicomtes puis comtes de Cheverny

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La seigneurie de Cheverny est une ancienne seigneurie féodale du Blésois ayant eu Cheverny (actuel Loir-et-Cher) comme capitale.

Seigneurie de Cheverny

14901790

Blason
Blason de la famille Hurault, visible sur le blason moderne de la commune de Cheverny
Description de cette image, également commentée ci-après
Le château de Cheverny (XXIe siècle)
Informations générales
Statut seigneurie féodale, puis vicomté, puis comté
Capitale Cheverny (Drapeau de l'Orléanais Orléanais)
Langue(s) francien puis français
Religion catholique
Monnaie livre tournois
Histoire et événements
1490 Création de la seigneurie de Cheverny
1577 Élévation en vicomté
1582 Élévation en comté
Principaux seigneurs de Cheverny
14901517 Jacques Ier Hurault
15641577 Jacques II Hurault
Principaux comtes de Cheverny
15821588 Jacques II Hurault
15881596 Philippe Hurault
15961648 Henri Hurault
17221755 Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise
17551764 Henri-Claude d'Harcourt
17641790 Jean-Nicolas Dufort

Succédant à une seigneurie de la Grange, secondaire aux mains des sires de Saint-Denis-sur-Loire, la seigneurie de Cheverny n'est créée qu'en 1490 en faveur de Jacques Ier, avant d'être, le siècle suivant, élevée en vicomté puis rapidement en comté.

Liste des seigneurs

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Première création

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Seigneurie de la Grange

Seconde création (1490–1582)

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Maison de Cheverny

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Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Jacques Ier Hurault
(14371517)
14901517 Seigneur de Vibraye, d'Huriel, de Cour-sur-Loire et du Vivier Fils de Raoul Ier Hurault de Saint-Denis, après avoir exercé de hautes fonctions sous Louis XI, Charles VIII et Louis XII, il forme plusieurs agrandissements autour du pressoir alors que sa carrière connaissait son apogée, le portant au poste de gouverneur et bailli du comté de Blois sous le règne de François Ier.
Raoul II Hurault
(† 1528)
15171528 Baron d'Huriel, Seigneur de Vibraye
Pierre de Ruthie
(† ???)
15371542 Lieutenant de la vénerie du roi
Bernard de Ruthie
(† ???)
15421551 Abbé de Pontlevoy
Diane de Poitiers
(14991566)
15511564
Jacques II Hurault
(v.15141588)
15641582

Liste des comtes

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Maison de Cheverny (1582–1755)

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Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Jacques II Hurault
(v.15141588)
15821588 En 1577, les terres sont érigées en vicomté, puis, en 1582, en comté[a 1].
Philippe Hurault
(15281599)
15881596 Comte de Limours, Seigneur de Gallardon, de Montrichard, d'Esclimont et d'Auneau
Henri Hurault
(15751648)
15961648
Cécile-Élisabeth Hurault
(† 1695)
16481695
Louis de Clermont de Montglas
(16451722)
16951722
Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise
(17021761)
17221755

Maison d'Harcourt (1755–1764)

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Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Henri-Claude d'Harcourt
(17041769)
17551764 Fils du maréchal Henri d'Harcourt

Famille Dufort (1764–1790)

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Portrait Seigneur Période Autres titres Notes
Jean-Nicolas Dufort de Cheverny
(17311802)
17641790

Généalogie simplifiée (v.1510–1755)

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Jacques Ier Hurault
 
 
 
 
 
 
 
 
Raoul II HuraultPhiliberte de Goux
 
René II de Clermont
 
Françoise d'Amboise
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jacques II HuraultPhilippe HuraultThomas de ClermontAntoine de Clermont d'Amboise
 
 
 
 
 
 
Henri HuraultHardouin de ClermontLouis Ier de Clermont d'Amboise
 
 
 
 
 
 
Cécile-Élisabeth Hurault
 
 
 
François de Paule de ClermontLouis II de Clermont d'Amboise
 
 
 
 
 
 
 
 
Louis de Clermont de MontglasLouis III de Clermont d'Amboise
 
 
Jean-Baptiste-Louis de Clermont d'Amboise
 
 

Continuité

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Le décret de l'Assemblée nationale du 12 novembre 1789 décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne », mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (31 octobre 1793) que le comté de Cheverny devient formellement « commune de Cheverny ». Elle est rattachée au département du Loir-et-Cher.

Depuis, l'administration de la commune est assurée par le maire de Cheverny.

Quant au château, il est resté privé à travers les descendants de la famille Hurault, qui le possèdent toujours de nos jours[Note 9]. Il est aujourd'hui ouvert au public.

Références

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Comté d'Orléans

vers 500 – 987

Informations générales
Statut Féodalité (comté)
Capitale Orléans
Langue(s) Ancien français (officiel de facto)
Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique)
Religion Christianisme
Histoire et événements
vers 500 Conquête de la Gaule par Clovis. Création du comté
987 Rattachement au domaine de la Couronne

Comtes d'Orléans

Entités précédentes :

Entités suivantes :

Le comté d'Orléans est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée après la conquête de la Gaule romaine vers l'an 500 par le roi Clovis Ier.

Il fut définitivement dissout en 987 lors du couronnement d'Hugues Capet, dernier comte en titre.

Histoire

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Antiquité

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Du Ier au Ve siècles, l'Orléanais dépendait de l'oppidum carnute de Cenabum (actuelle Orléans), au sein de la province de la Gaule lyonnaise, et était administré par un consul de l'Empire romain.

Le comté

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Rattachement au domaine royal

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Continuité

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Géographie

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Frontières

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Références

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  1. a et b « Faubourg de Vienne à Blois : Découverte d’un site médiéval et d’un logis Renaissance » Accès libre, sur le site de l’INRAP, (consulté en )
  2. a et b Louis-Augustin Getty Research Institute, Le Château de Chaumont dans l'histoire et les arts, Tours : A. Mame, (lire en ligne)
  3. a et b https://books.google.es/books?id=Ddo4AAAAMAAJ&q=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&dq=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&hl=es&newbks=1&newbks_redir=0&source=gb_mobile_search&ovdme=1&sa=X&ved=2ahUKEwiE7-inkKmHAxXRVKQEHaSsC00Q6AF6BAgFEAM#%20%22Vienne-lez-Blois%22
  4. Maurice Vallas, La Coutume de Blois, Fernand Lanore, (ISBN 978-2-85157-036-9, lire en ligne), p. 222
  5. (la) Denis Dupont, Dionysii Pontani, Advocati Blesensis Iuris usque forensis consultissimi, in Cosuetudines Blesenses commentariorum tomi II: quorum primus à centum & viginti annis editus, iterum prodit emendatior, Apud Joannem Guignard, (lire en ligne), p. 5
  6. Dominique Barthélemy, « Les chartes de Freschines (1153–1263) et les destinées d'une coseigneurerie », Revue Mabillon, vol. 6,‎ , p. 69 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  7. https://books.google.es/books?id=Ddo4AAAAMAAJ&q=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&dq=liste+seigneurs+%22Vienne%22+Blois&hl=es&newbks=1&newbks_redir=0&source=gb_mobile_search&ovdme=1&sa=X&ved=2ahUKEwiE7-inkKmHAxXRVKQEHaSsC00Q6AF6BAgFEAM#%22Vienne-l%C3%A8s-Blois%22
  8. https://books.google.es/books?id=eK8-AQAAMAAJ&pg=PA691&lpg=PA691&dq=%22seigneur+de+Vienne+lez+Blois%22+Blois&source=bl&ots=36_qEnaSSi&sig=ACfU3U2yYE8MP8t2eqRHqxlqA2FNc8vFVg&hl=es&sa=X&ved=2ahUKEwjiyJOdnKmHAxWZVPEDHXAwDO0Q6AF6BAgPEAI#v=onepage&q=%22Vienne%20lez%20Blois%22&f=false
  9. « Carte des quartiers de Blois », sur Ville de Blois (consulté en )
  10. de Magny 1854, p. 129.
  11. Armand de Maude, Bulletin de la Société archéologique du Vendômois, Société archéologique du Vendômois, (lire en ligne Accès libre), « Essai sur l'armorial du Vendômois », p. 122
  12. Maurice Vallas, La Coutume de Blois, Fernand Lanore, (ISBN 978-2-85157-036-9, lire en ligne Accès libre), p. 228
  13. a et b Jacques Soyer et Guy Trouillard, Cartulaire de la ville de Blois (1196–1492), recueil manuscrit du XVe siècle conservé à la Bibliothèque nationale, (lire en ligne Accès limité), p. 430
  14. a b et c Jean Martellière, Les Annales fléchoises et la vallée du Loir : revue historique, archéologique, artistique et littéraire, Besnier, (lire en ligne Accès libre), « Les racines vendômoises de la maison de Musset », p. 33–35
  15. a b c et d de Magny 1854, p. 130.
  16. a et b Jules Viard, « Lettres d'État enregistrées au Parlement sous le règne de Philippe VI de Valois (1328–1350) », Annuaire-Bulletin de la Société de l'histoire de France, vol. 34, no 2,‎ , p. 201 (ISSN 0399-1350, lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le )
  17. a et b Maurice Garsonnin, Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, t. XIV, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais (no 182), (lire en ligne Accès libre), « Marie de Villebresme appartient-elle à la famille de Jeanne d'Arc ? », p. 157
  18. a b c d e f g h et i de Magny 1854, p. 131.
  19. a b c d e f g h i et j René de Maulde-La Clavière, Histoire de Louis XII, t. I, E. Leroux, , 1re éd. (lire en ligne Accès libre), p. 346–348
  20. a et b Ernest de Bouteiller et Gabriel Braux, La famille de Jeanne d'Arc : documents inédits, généalogie, lettres de Jean Hordal et de Claude du Lys à Chatherine du Lys, A. Claudin, (lire en ligne), p. 149–155
  21. Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, t. XVII, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais, (lire en ligne Accès libre), « La famille de Jeanne d'Arc : son séjour dans l'Orléanais d'après des titres authentiques découverts récemment », p. 136
  22. a et b Gilles-André de La Roque, Traité de la noblesse et de toutes les differentes espèces, Rouen, Pierre Le Boucher & Jore Père et Fils, , 2e éd. (lire en ligne Accès libre), p. 151
  23. Jules Doinel, Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, t. XVII, Orléans, Société archéologique et historique de l'Orléanais, (lire en ligne Accès libre), « Nouveaux documents sur Jean du Lys, neveu de Jeanne d'Arc », p. 194
  24. Storelli 1884, p. 3.
  25. a et b Philippe des Forts, Le Chateau de Villebon (Eure-et-Loir) : étude historique et archéologique, Auguste Picard, (lire en ligne Accès limité), p. 215
  26. a b et c Storelli 1884, p. 4.
  27. Patrizia Fabbri, Art et histoire, châteaux et villes de la Loire, Casa Editrice Bonechi, (ISBN 978-88-476-1864-0, lire en ligne), p. 59
  28. Francois Tissard Et Jerome Aleandre, Slatkine (lire en ligne)
  29. France Ministère de l'education nationale et des beaux-arts, Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, (lire en ligne)
  30. Archives départementales du Loiret, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Série A., nos. 1 a 1799, Imprimerie administrative de Paul Dupont, (lire en ligne)
  31. Laurence Marois, « L'Hystoire romaine de la belle Cleriende de Macé de Villebresme, à la croisée de l'épître et de l'élégie », Renaissance and Reformation / Renaissance et Réforme, vol. 34, no 4,‎ , p. 5–21 (ISSN 0034-429X, lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le )
  32. Simone Balossino, « Le long chantier du XVe siècle », dans Le pont d’Avignon : Une société de bâtisseurs (XIIeXVe siècle), Éditions Universitaires d’Avignon, coll. « Passion du patrimoine », , 181–212 p. (ISBN 978-2-35768-138-5, lire en ligne)
  33. Ernest de Bouteiller et Gabriel Braux, La famille de Jeanne d'Arc : documents inédits, généalogie, lettres de J. Hordal et de Cl. Du Lys à Ch. Du Lys, A. Claudin, (lire en ligne), p. 110
  34. de Saint-Allais 1815, p. 49.
  35. Philippe Contamine, Olivier Bouzy et Xavier Hélary, Jeanne d'Arc : Histoire et dictionnaire, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1214 p. (ISBN 978-2-221-10929-8, présentation en ligne), p. 550
  36. Léon de Laborde, Les ducs de Bourgogne : études sur les lettres, les arts et l'industrie pendant le XVe siècle et plus particulièrement dans les Pays-Bas et le duché de Bourgogne, t. III, Paris, Plon Frères, (lire en ligne Accès libre), partie 2, p. 419
  37. de Saint-Allais 1815, p. 48.
  38. a b c et d Antoine Marie : d' Hozier de Sérigny, Armorial général, ou Registres de la noblesse de France. Registre premier [-sixiéme], de l'imprimerie de Pierre Prault, imprimeur des Fermes & Droits du roy, Quay de Gêvres, au Paradis, (lire en ligne)
  39. a b c d et e Storelli 1884, p. 5.
  40. Louis de La Saussaye, Le vie et les ouvrages de Denis Papin, C. Migault, (lire en ligne), p. 19
  41. Soyer et Trouillard 1907, p. 399.
  42. Jacques Soyer et Guy Trouillard, Cartulaire de la ville de Blois (1196–1492), recueil manuscrit du XVe siècle conservé à la Bibliothèque nationale, (lire en ligne Accès limité), p. 399
  43. Louis de La Saussaye, Société française pour la description et la conservation des monuments historiques : Notice sur l'église Saint-Laumer, autrement Saint-Nicolas de Blois : présentée à la 4e section du 7e Congrès scientifique de France (session du Mans), Paris, Derache, (lire en ligne Accès libre), p. 40
  44. Louis-Catherine Bergevin et Alexandre Dupré, Histoire de Blois, vol. I, Blois, Chez tous les libraires, , 679 p. (ISBN 978-1-160-10666-5, lire en ligne Accès libre), p. 520
  45. Soyer et Trouillard 1907, p. 390.
  46. a b c d et e Mémoires de la Société archéologique de Touraine, t. XX, Tours, Société archéologique de Touraine, (lire en ligne Accès libre), « Recherches historiques sur la noblesse ancienne et moderne de la Touraine », p. 199
  47. a b c d et e d'Hozier 1768, p. 527.
  48. a b c et d d'Hozier 1768, p. 538.
  49. Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, t. III, Nantes, J. Plihon & L. Hervé, , 3e éd. (BNF 35251638, lire en ligne Accès libre), p. 217
  50. a et b d'Hozier 1768, p. 534.
  51. a et b Aubert 1775, p. 776.
  52. d'Hozier 1768, p. 528.
  53. d'Hozier 1768, p. 529.
  54. a et b Aubert 1775, p. 777.
  55. d'Hozier 1768, p. 530.
  56. d'Hozier 1768, p. 531.
  57. Aubert 1775, p. 778.
  58. d'Hozier 1768, p. 532.
  59. a b et c Aubert 1775, p. 779.
  60. a et b d'Hozier 1768, p. 533.
  61. a et b d'Hozier 1768, p. 535.
  62. a b et c Aubert 1775, p. 780.
  63. d'Hozier 1768, p. 537.
  64. a et b Aubert 1775, p. 781.
  65. d'Hozier 1768, p. 536.
  66. d'Hozier 1768, p. 541.
  67. a b et c Aubert 1775, p. 784.
  68. d'Hozier 1768, p. 542.
  69. d'Hozier 1768, p. 543.
  70. a et b d'Hozier 1768, p. 544.
  71. a b et c Aubert 1775, p. 785.
  72. a et b Thomas 1886, p. 114.
  73. Thomas 1886, p. 115.
  74. d'Hozier 1768, p. 545.
  75. a et b Aubert 1775, p. 782.
  76. d'Hozier 1768, p. 539.
  77. a et b Aubert 1775, p. 783.
  78. a et b d'Hozier 1768, p. 540.
  79. a et b « Bernard Ducluzeau ressuscite Henri de Viart », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne Accès libre)
  80. a et b A. de Bréhier, Fougeray depuis le IXe siècle jusqu'à nos jours, Impr. Lafolge, (lire en ligne Accès libre), p. 88–89
  81. Olivier Blanc, Les hommes de Londres : histoire secrète de la Terreur, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-17772-6, lire en ligne)
  82. a b c d et e Joseph Décembre et Edmond Alonnier, Dictionnaire de la Révolution française (1789–1799), t. II, (lire en ligne Accès libre), p. 747
  83. a et b Olivier Blanc, Les Espions de la Révolution et de l'Empire, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-01128-0, lire en ligne Accès libre)
  84. Alcide de Beauchesne, Louis XVII : sa vie, son agonie, sa mort : captivité de la famille royale au temple, t. II, E. Plon, (lire en ligne Accès libre), p. 199–200
  85. a et b Aubert 1870, p. 905
  86. a et b de Brébisson 1894, p. 173.
  87. a b c d et e Aubert 1870, p. 905–906.
  88. a et b d'Est-Ange 1909, p. 287.
  89. Storelli 1884, p. 2.
  90. Louis Serbat, « Château de Fougères », Bulletin Monumental, vol. 77, no 1,‎ , p. 301 (lire en ligne, consulté le )
  91. Charles Terrasse, « L'Art des châteaux de la Loire », Bulletin Monumental, vol. 86, no 1,‎ , p. 423–424 (lire en ligne, consulté le )
  92. a b c d et e Aubert 1870, p. 907–908.
  93. a b c d e et f Aubert 1870, p. 909–910.
  94. a b c et d Aubert 1870, p. 911–912.
  95. a b et c Aubert 1870, p. 913–914.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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L17

Modèle:Bus Azalys

Modèle:Bus Azalys

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Boulevards d'enceinte

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Boulevards d'enceinte de Blois
Carte

Autres noms D 201 - D 202 - D 203 - D 766 - D 951
Historique
Ouverture entre 1970 et 1998 (par tronçons)
Caractéristiques
Longueur 6,5 km
Largeur 20 m
Direction Nord – Ouest – Sud
Extrémité Nord rond-point des Mardeaux
Villebarou
Intersections
Extrémité Sud pont Charles-de-Gaulle
Vineuil
Ceinture périphérique Blois
Réseau rocade de Blois
Territoires traversés
Région Centre-Val de Loire
Villes principales Blois
Exploitation
Gestionnaire Conseil départemental de Loir-et-Cher

À Blois (Loir-et-Cher), les boulevards d'enceinte désigne l'ensemble des voies servant au contournement de l'agglomération blésoise par l'Ouest, en complément de la voie rapide existant à l'Est.

Histoire

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Tracé schématisé

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Extérieur Intérieur
D 957
vers Blois-2, Fossé et Vendôme



rond-point des
Mardeaux
D 957
vers voie rapide


rue de la Garbotière



rond-point
des Garbotières
rue des Mardeaux


vers Blois-centre
(par av. de Vendôme)
vers Blois-Nord
(par rue Latham)
vers Blois-Nord
(par rue Michel Bégon)
D 201 (fin)
D 32

vers Saint-Sulpice-de-Pommeray
rue B. Duguesclin
rue J.-B. Charcot
vers Blois-Nord
(par av. de l'Europe)
vers la Pinçonnière



rond-point de la Pinçonnière
rue Montesquieu


D 766
vers Valencisse
(par forêt de Blois)

rond-point
des Allées
rue de la Quinière


rue Cabochon



rond-point
Médicis
vers Blois-Nord
(par rue Fénelon)


vers Blois-centre et la gare[Note 10]
D 952
vers les Grouëts et Tours
(par Veuzain-sur-Loire)
D 952
vers Blois-centre
(par quai du Foix)
pont François-Mitterrand
sur la Loire
D 751
vers Chailles et Tours (par Candé-sur-Beuvron)

rond-point
Boncour
vers Blois-Vienne
(par quai Villebois-Mareuil)

vers ZAC des Grands Champs


rond-point
Brucker
vers l'Aggl'eau
D 956a
vers Saint-Gervais-la-Forêt

rond-point
Wilson
D 956a
vers Blois-Vienne
(par av. Wilson)
vers Blois-Vienne
(par la Creusille)
D 956
Voie rapide vers Saint-Gervais-la-Forêt et Vineuil
D 956
Voie rapide vers Blois-Nord et la Chaussée-Saint-Victor
D 951
vers Muides-sur-Loire et Orléans

Notes et références

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  1. Les noms des seigneurs connus de Vienne ne coïncident pas avec ceux des abbés de Saint-Laumer, desquels dépendait l'église Saint-Saturnin.
  2. Autre signe de leur paix, les comtes Bouchard VI de Vendôme et Guy Ier de Blois-Châtillon ont signé, sans aucune guerre préalable, un traité en 1329 fixant une frontière sans enclaves entre leurs deux comtés.
  3. Blois s'est développé sur la confluence de la Loire et du ruisseau de l'Arrou, qui a sculpté le paysage d'une ville avec deux promontoires.
  4. a et b Le comté de Blois a été acquis en 1392 par le duc Louis Ier d'Orléans, qui en prit pleinement possession en 1397 à la mort du dernier comte héréditaire de Blois, Guy II de Blois-Châtillon.
  5. Ne pas confondre avec Pierre de Morvilliers, chancelier de France sous Louis XI, entre 1461 et 1465.
  6. Voir l'article Famille de Refuge.
  7. Voir notamment les articles Maison Phélypeaux, Famille Hurault et Famille de Morvilliers.
  8. Au moment de la Révolution française, le royaume d'Irlande est de facto distinct et indépendant de l'Angleterre, mais le roi d'Angleterre porte également la couronne d'Irlande depuis 1541. Les indépendantistes, principalement représentés par les Patriotes irlandais, espéraient s'allier avec la République française pour faire front à un ennemi commun : l'Angleterre pro-monarchique. Une rébellion irlandaise éclatera en 1798, effectivement appuyée par la France, mais la répression anglaise mènera en 1800 à l'Acte d'union portant création au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.
  9. D'autres descendants de la famille Hurault possèdent par ailleurs le château de Saint-Denis-sur-Loire.
  10. Il s'agit d'un double carrefour, les rues étant à sens unique près de la gare.

Bibliographie

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Références

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Quartier Saint-Jean
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Ville Blois
Code postal 41000
Démographie
Gentilé blésois
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 01″ nord, 1° 17′ 17″ est
Transport
Bus 1 ligne semi-régulière (S13)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Quartier Saint-Jean

Le quartier Saint-Jean, à Blois (Loir-et-Cher), se situe à l'est du centre-ville, sur la rive droite de la Loire.

Toponymie

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Le quartier tient son nom actuel du prieuré Saint-Jean-en-Grève, situé à son extrémité depuis le X siècle[A 1].

Au Moyen Âge, il s'agissait du Bas-Bourg, en opposition au Haut-Bourg Saint-Jean construit en haut du coteau, bien que les deux bourgs n'étaient alors reliés que par un chemin sinueux[A 1].

Géographie

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Généralités

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Le quartier Saint-Jean s'est développé sur la rive droite du fleuve, à la sortie est de la ville médiévale de Blois. De nos jours, le quartier est ainsi directement relié au centre-ville (du côté du Puits-Châtel) mais reste relativement isolé du Haut-Bourg par le coteau du val de Loire, de La Chaussée-Saint-Victor par la RD 956, et de Blois-Vienne par le fleuve.

Lieux-dits

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  • Le Commissariat,
  • Le Mail (anciennement Le Port),
  • Le Prieuré,
  • Les Tuileries,
  • Sanitas.

Histoire

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Antiquité et Moyen Âge

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Au début du XIe siècle, le prieuré Saint-Jean-en-Grève, dépendant de l'abbaye de Pontlevoy, a élu domicile à l'entrée est de Blois, sur un ancien chemin rejoignant la route de Paris à La Chaussée-Saint-Victor[A 1],[B 1].

Renaissance et Ancien Régime

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Après la Révolution

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Tout comme Vienne sur la rive gauche, Saint-Jean a beaucoup souffert des crues successives aux XVIIIe et XIXe siècle. La levée des Tillières, pourtant rehaussée en 1785, est détruite après l'inondation de 1789[A 2]. Après celles de 1846 et 1856 (la plus terrible), les Blésois ont construit une nouvelle digue à l'ouest des anciennes fortifications, aujourd'hui appelée levée des Tillières, reliée à la levée des Tuileries en bords de Loire[1].

Entre 1910 et 1933, le quartier est relié au centre-ville par la ligne du tramway électrique de Blois (TEB) qui longer la rive droite jusqu'à l'abattoir des Grouëts[2].

Époque contemporaine

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Culture et patrimoine

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L'activité viticole

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Les Grouëts ont compté trois édifices religieux[3] :

Patrimoine architectural

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Relation avec Blois

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Notes et références

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  1. a b et c Partie II, chap. II (« Faubourgs et banlieue de la ville »), p. 351.
  2. Partie II, chap. V-5 (« Crues de la Loire »), p. 421.
  1. Partie III, chap. XII (« Établissements monastiques »), p. 430–432.

Références

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  1. Mariette Signolet, « Petit ruisseau deviendra grand », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne Accès limité)
  2. Michel Lomba, « La belle époque des tramways de Blois », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne Accès limité).
  3. « Le site des clochers de la France : Blois » Accès libre, sur lafrancedesclochers.com (consulté en )


Duché d'Orléans

13441375

Informations générales
Statut Féodalité (Duché)
Capitale Orléans
Langue(s) Ancien français (officiel de facto)
Latin (administration gouvernementale et ecclésiastique)
Religion Christianisme
Histoire et événements
1344 Élévation en duché.
1498 Rattachement au domaine de la Couronne

Comtes d'Orléans

Entités précédentes :

Entités suivantes :

Le comté d'Orléans est une ancienne principauté féodale du centre de la France, créée après la conquête de la Gaule romaine vers l'an 500 par le roi Clovis Ier.

Il fut définitivement dissout en 987 lors du couronnement d'Hugues Capet, dernier comte en titre.

Histoire

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Le comté

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Rattachement au domaine royal

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Continuité

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Géographie

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Frontières

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Références

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Les communes ayant perdu leur statut de commune indépendante[Note 1] sont surlignées en gris.

Les noms révolutionnaires encore en vigueur de nos jours pour des communes indépendantes ou chefs-lieux sont quant à eux indiqués en gras.

Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Châtillon-sur-Chalaronne Châtillon-les-Dombes
Ferney-Voltaire Ferney Définitif depuis 1878[1].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Chézy-sur-Marne Chézy-l'Abbaye[2]
Licy-Clignon Licy-les-Moines Définitif depuis 1889[3].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Chantelle Chantelle-le-Château
Le Montet Le Montet-aux-Moines[4]
Valigny Valigny-le-Monial Définitif depuis [3].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Balnot-sur-Laignes Balnot-le-Châtel
Champ-sur-Barse Le Champ-au-Roy
Fontaine-les-Grès Fontaine-Saint-Georges Inchangé depuis 1859.
Jully-sur-Sarce Jully-le-Châtel
La Loge-aux-Chèvres La Loge-Mesgrigny
La Villeneuve-au-Chêne La Villeneuve-Mesgrigny[5]
Mussy-sur-Seine Mussy-l'Évêque[6]
Poivres Poivre-Sainte-Suzanne
Pont-sur-Seine Pont-le-Roi
Thennelières Paillot[7]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Pezens Voisins
Rieux-Minervois Rieux-Mérinville
Villeneuve-Minervois Villeneuve-les-Chanoines
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Fontenay-le-Pesnel Saint-Aubin-de-Fontenay
Tilly-sur-Seulles Tilly-d'Orceau[8]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Vic-sur-Cère Vic
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Dun-sur-Auron Dun-le-Roi
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Aisey-sur-Seine Aisey-le-Duc[9]
Labergement-lès-Seurre Labergement-le-Duc[9]
Marcilly-lès-Mont-Serein Marcilly-sous-Mont-Saint-Jean[9] Réunie à Marcilly-Ogny en 1849.
Source-Seine (devenue Saint-Germain-Source-Seine en 1875) Saint-Germain-la-Feuille Intégrée en 2009 à l'actuelle Source-Seine.
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Saint-Gilles-les-Bois Saint-Gilles-le-Vicomte
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Boussac-Bourg[10] Boussac-les-Églises
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Bois-Normand-près-Lyre Bois-Normand
Le Gros-Theil Saint-Georges-du-Theil
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Berchères-les-Pierres Berchères-l'Évêque
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
L'Union Saint-Jean-de-Kyrié-Éleyson[Note 2]
Escanecrabe Saint-Sabin-d'Escanecrabe
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Ambès Saint-Jacques-d'Ambès[11]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Mas-de-Londres Château-de-Londres
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
La Châtre-Langlin La Châtre-le-Vicomte
Luçay-le-Libre Luçay (ou Luçay-le-Captif)
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Neuilly-le-Brignon Neuilly-le-Noble
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Chatte Chaste
La Tronche Saint-Ferjus
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Montoire (devenue Montoire-sur-le-Loir en 1891) Querhoent Montoire était le nom traditionnel avant 1743[12].
Molineuf Saint-Secondin Définitif depuis 1913[3], intégrée à Valencisse en 2016[13].
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Bellevue-la-Montagne Saint-Just-près-Chomelis
Cohade Saint-Ferréol-de Cohade
Lavoûte-sur-Loire La Voûte-de-Polignac[14]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Batilly-sur-Loire (devenue Batilly-en-Puisaye en 1919) Batilly
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Laussou Boynet
Pompogne Sainte-Pompogne
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Bassurels Saint-Martin-de-Campselade[15]
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Varennes-sur-Loire Varennes-sur-Montsoreau Définitif depuis 1892.
Commune Nom pré-révolutionnaire Note
Cerisy-la-Forêt Cerisy-l'Abbaye[16]
Lozon Saint-Louet-sur-Lozon Définitif depuis 1832, intégrée depuis 2016 à Marigny-Le-Lozon.
  1. Élie Le Royer, « Décret du Président de la République française n°6148 du 23 novembre 1878 », Bulletin des lois de la République française, no 426,‎ , p. 72 (lire en ligne, consulté le )
  2. EHESS-Cassini fournit Chézy-sur-Marne comme nom révolutionnaire mais ne fournit pas de nom antérieur ; Noms révolutionnaires des communes de France, p. 2 fournit Chézy-l'Abbaye.
  3. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  4. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 3. Non avéré sur la base Ehess-Cassini.
  5. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 40337.
  6. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 24467.
  7. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur la notice communale no 37362.
  8. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 11. Non avéré sur Ehess-Cassini.
  9. a b et c Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 17. Non avéré sur Ehess-Cassini.
  10. EHESS-Cassini et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 19 donnent Boussac-le-Bourg ; après contrôle dans les archives départementales, ce nom n'est pas avéré.
  11. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 27. Non avéré sur Ehess-Cassini.
  12. « Histoire des communes : Montoire-sur-le-Loir - CRGPG », sur www.perche-gouet.net (consulté le ).
  13. Arrêté n°41-2015-12-14-002 portant création de la commune nouvelle de Valencisse, dans le Recueil des actes administratifs n°41-2015-12-007, publié le par la Préfecture du Loir-et-Cher (lire en ligne Accès libre), pp. 46 à 50 [PDF]
  14. Nom originel mentionné seulement sur Noms révolutionnaires des communes de France, p. 37 tandis qu'Ehess-Cassini fait état du nom de Lavoute, consulté le 21 juillet 2012.
  15. Selon Noms révolutionnaires des communes de France, p. 39 ; Ehess-Cassini donne le nom de Martin-de-Champzelade.
  16. Cerisy-la-Forêt sur le site des Archives départementales de la Manche et Noms révolutionnaires des communes de France, p. 40, consultés le 25 juillet 2012.


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