Elles sont parmi les premières œuvres du compositeur à avoir été publiées après le concert de la Société musicale indépendante donné en 1911 dans lequel Maurice Ravel, dédicataire de la Deuxième Sarabande, a interprété la pièce. C'est notamment par ce concert qu'Erik Satie commence à voir sa notoriété s'installer dans le milieu musical parisien. Les Sarabandes s'inscrivent dans une logique de pièce pour piano dont la symbolique trinitaire importe autant que le côté railleur voire « phonométrique » comme le compositeur le dit de ses propres pièces, cherchant à étudier le son pour ce qu'il est et non plus pour ce qu'il porte comme éventuel message.
Les Sarabandes s'inspirent pour une grande part du compositeur Emmanuel Chabrier, mais elles ont influencé à leur suite beaucoup de compositeurs comme Claude Debussy, qui écrira ainsi une Sarabande dans Pour le piano. La symbolique de ces pièces est plus obscure et moins étudiée que les célèbres Gymnopédies, mais elles ont eu une forte influence sur les compositeurs de la génération suivante comme Maurice Ravel, Francis Poulenc et Darius Milhaud.
Le chanteur Noam Kaniel a connu un grand succès en interprétant la deuxième version du générique de Goldorak, bien qu’il l’ait enregistrée en une nuit, alors qu’il était grippé et peu enthousiaste.
Sur le circuit professionnel de tennis, les hommes et les femmes ne jouent pas exactement avec les mêmes balles, sauf à Wimbledon.
Ne pouvant pas se rendre à la cérémonie des Oscars de 2018, Agnès Varda y a fait parvenir une image cartonnée grandeur nature d’elle-même, qui a voyagé en cabine, participé au repas et à la photo traditionnelle des nommés.