Wikipédia:Oracle/semaine 36 2013

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Qu'est ce qu'un dégrillateur?

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… dégrilleurs hydrauliques, centrale de Donchery. Pas de quoi faire un barbecue !

Bonjour, encore un nouvel incident dans une centrale nucléaire (voir Ouest France d'aujourd'hui : incident à la centrale nucléaire de Flamanville), et encore un terme technique incompréhensible même pour google : dégrillateur. Est-ce que quelqu'un peut expliquer ce qu'est un dégrillateur - système de filtration de l’eau de mer - à quoi cela ressemble, comment ça marche, ... ?

S'agit-il d'une sorte de dégrilleur ? Merci pour vos lumières qui éclairent la communication d'EDF... Cordialement, --Moulins (discuter) 2 septembre 2013 à 13:03 (CEST)Répondre

Salut. M'est avis que c'est une sorte de coquille (et point une coquille marine) ou de faute d'orthographe et que l'auteur de l'article parle effectivement de dégrilleur, puisqu'il le définit comme un « système de filtration de l’eau de mer ». Attraction du mot « défibrillateur » ? -O.--M.--H.- 2 septembre 2013 à 14:01 (CEST)Répondre
Il semble bien que ce soit effectivement une coquille du journaliste de Ouest France et que le bon terme soit "dégrilleur".Nous avons interrogé les Techniques de l'ingénieur, encyclopédie française de documentation scientifique et technique qui couvre tous les domaines des sciences de l'ingénieur. Les articles régulièrement mis à jour constituent une synthèse de l'information dans les domaines scientifiques, techniques et industriels (sur abonnement).L'interrogation avec le terme "dégrillateur" donne le résultat "dégrilleur"et concerne bien les centrales hydrauliques.Voici une copie très partielle de l'article : Petites centrales hydrauliques Référence BM4166 Date de publication : 10 nov. 2003 Sylvain PERRIN
Prises d’eau 5.1 Rôle des dégrilleurs
"Les dégrilleurs sont des dispositifs mécaniques qui permettent d’évacuer les déchets flottants et en suspension dans l’eau. Ces déchets sont de nature très variable. Ce sont : les déchets organiques normalement charriés par le cours d’eau (bois, feuilles mortes) ainsi que les déchets dus à la pollution (bouteilles en verre, en plastiques, sac en plastique, et parfois, sur de grands cours d’eau, des voitures).
Les dégrilleurs et les dispositifs d’évacuation des résidus ont une grande importance dans l’exploitation des centrales hydrauliques. Leur dimensionnement, leur conception et leur automatisation doivent faire l’objet d’un soin particulier."
Il existe trois types de dégrilleurs : Dégrilleurs à chaînes - Dégrilleurs à câble - Dégrilleurs hydrauliques : ce sont des râteaux actionnés par un bras similaire à un bras de pelleteuse --BiblioSésame - des bibliothécaires répondent à vos questions (discuter) 3 septembre 2013 à 13:30 (CEST)Répondre
CQui (discuter) La moitié de l'article Wikipédia ne concerne qu’un type de dégrilleur et inclue des informations sans réel lien avec le sujet, je repasserais bien si j’ai le temps… N’hésitez pas. --3 septembre 2013 à 14:14 (CEST)Répondre

Traduction d'un terme anglophone

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Diatreta romaine
… diatreta façon puzzle.

Bonjour, j'ai un problème de traduction d'un terme anglophone pour un article, Cage cup (en). Plusieurs options se dessinent, soit une traduction plus ou moins littérale des synonymes qu'on trouve dans l'introduction (ce qui donnerait « coupe réticulée » ou « vase réticulé ») mais qui présente l'inconvénient d'avoir relativement peu de résultats au google test. Sinon, il y a la solution de facilité qui serait de reprendre le terme latin d'origine, vas diatretum (ou pourquoi pas grec tant qu'on y est, diatreton). Verrerie romaine propose également « diatret », mais je ne sais pas trop ce que ça vaut. Des avis ? — Rhadamante 3 septembre 2013 à 01:53 (CEST)Répondre

… « diatreta », « calices diatreti » Dictionnaire des antiquités romaines, L'harmonie etimologique des langues, Encyclopédie méthodique: Antiquités, Mythologie… ou Dictionarium Latino-gallicum. Voir aussi « Diatreta » dans le Dictionnaire des Antiquités romaines et grecques - Anthony Rich (3e ed. 1883).
… en dehors de la mycologie, le mot « diatreta » semble revenir dans les sites spécialisés. Nos amis Italiens (Coppa diatreta) et Russes (Диатрета) ont tranché.
… une idée, comme ça, peut-être poser la question à Catfisheye (wikipédien allemand ayant des notions en français) et qui semble passionné par le sujet
Bien diatretatiquement — Hautbois [canqueter] 3 septembre 2013 à 05:23 (CEST)Répondre
… « diatrète » semble aussi employé par certains Musées Archéologiques par exemple (à Strasbourg ou à Grenoble). — Hautbois [canqueter] 4 septembre 2013 à 18:23 (CEST)Répondre
Ok, merci beaucoup. Je vais donc en rester à « diatreta » ou « diatrète », enfin, quand j'aurai un peu de temps, parce que là je suis surchargé de boulot... — Rhadamante 5 septembre 2013 à 23:45 (CEST)Répondre

les 12 coups de midi

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Ding deng dong, ding deng dong, ding deng dong, ding deng dong...
D’après moi, c’est plutôt la présence d’un article sur ce sujet qui porte discrédit à notre encyclopédie... salutations. rv 3 septembre 2013 à 13:41 (CEST)
CQui (discuter) Un lien pour ceux qui ne savent pas de quoi on parle, les 12 coups de midi !, et un petit bandeau de 4 lignes comme réponse. --3 septembre 2013 à 14:27 (CEST)Répondre
Image de bienvenue Nous vous remercions pour votre suggestion. Lorsque vous pensez qu'un article devrait être amélioré, n'hésitez pas à faire vous-même les changements nécessaires. Wikipédia est une encyclopédie basée sur un système wiki, que n'importe qui peut éditer en suivant le lien Modifier situé en haut de chaque page. La communauté des utilisateurs de Wikipédia vous encourage à être audacieux. Ne vous inquiétez pas pour les erreurs que vous pourriez commettre de bonne foi, elles seront probablement détectées et corrigées très rapidement par d'autres contributeurs. Si vous n'êtes pas sûr de la manière de modifier une page, vous pouvez lire Comment modifier une page ou vous entrainer dans le bac à sable. Les nouveaux arrivants sont toujours les bienvenus. Bien que cela ne soit pas obligatoire, vous pourriez trouver des avantages à vous créer un compte utilisateur. Bienvenue parmi les éditeurs de Wikipédia !
C'est un truc dans le genre Les Ch'tis débarquent à Mykonos, c'est bien ça ? Je n'ai pas le QI requis pour suivre une telle émission, désolé. Oblomov2 (discuter) 3 septembre 2013 à 16:04 (CEST)Répondre
En plus, ce n'est pas la première fois que cette personne (sous différentes IP mais il y a fort à parier que c'est la même) se plaint que « notre » article est incomplet, et qu'on lui explique que tout le monde peut participer à Wikipédia et qu'elle peut donc le compléter elle-même... --Milena (Parle avec moi) 3 septembre 2013 à 16:05 (CEST)Répondre
D’où ma réponse agacée... cette personne commence à dépasser les bornes. rv 3 septembre 2013 à 16:36 (CEST)
logo Pour la raison décrite ci-après, une des Pythies a estimé que cette question ne peut pas conduire à une réponse pertinente, et que son maintien sur la page ne présente pas un intérêt collectif. Pour la bonne tenue des lieux, si la question n'évolue pas, l'ensemble sera effacé d'ici 24 h. Question ne concernant pas l'Oracle, utilisateur déjà averti du fait
Mais je laisse les réponses, qui expliquent plus largement la suppression. -O.--M.--H.- 3 septembre 2013 à 21:38 (CEST)Répondre

Habitation traditionnelle du Jura

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Maison présentée comme typique du Jura
pignon à redents du Jura, superbement fleuri !

Bonjour Pythies! Je m’adresse plus particulièrement aux Pythies fan d’architecture. En tombant sur cet article, je me suis demandé si ce type d’habitation concerne uniquement le département français du Jura, ou une aire géographique plus étendue (recouvrant tout ou partie du massif du Jura) : le massif du Jura étant une région par définition transnationale et comme les traditions, comme les langues, se moquent éperdument des divisions administratives purement arbitraires fixées par l’homme (Ok, là, je digresse Émoticône), ce ne serait pas étonnant. D’avance merci pour votre réponse.--Chollux [viens batailler] 4 septembre 2013 à 00:32 (CEST)Répondre

Le début de l'article est pourtant clair : « Une habitation traditionnelle du Jura est un type d'architecture vernaculaire traditionnelle du Jura en Franche-Comté. ». Donc le Jura (département) et plus généralement la Franche-Comté (le Doubs, le Jura, la Haute-Saône et le Territoire de Belfort). --Serged/ 4 septembre 2013 à 07:32 (CEST)Répondre
L'architecture décrite dans l'article est une variante régionale de l'habitat traditionnel de montagne. Le bois est abondant, la neige aussi. Ce n'est pas le département qui est concerné, mais le massif. Le lien vers le département posé dans le résumé introductif n'est pas pertinent. Ce ne sont pas les sources qui me contrediront, parce qu'il n'y en a pas. On pourra en trouver de bonnes, je n'en doute pas, mais je vais changer ce lien pour favoriser une orientation des recherches plus fructueuse. --le sourcier 4 septembre 2013 à 09:21 (CEST)Répondre
Voui, la source de la Loue par exemple. Oblomov2 (discuter) 4 septembre 2013 à 12:43 (CEST) Répondre
Le début de l’article est clair (admettons : pour ma part je ne comprends pas la même chose que Serged, à savoir je ne comprends pas que le Territoire de Belfort puisse abriter des « habitations traditionnelles du Jura »), mais l’argumentation de Chollux montre à quel point il est peut probable qu’il soit pertinent... rv 4 septembre 2013 à 10:07 (CEST)
Demander à Juraastro ;-) GabrieL (discuter) 4 septembre 2013 à 11:15 (CEST)Répondre

Je me suis surtout posé cette question, pour répondre à serged (d · c · b), car je sais qu’il existe des fermes traditionnelles dans le canton du Jura (un livre est d’ailleurs paru à ce sujet; voir aussi, si vous pouvez, ce reportage) et le titre de l’article prête à confusion (pour moi, Suisse, le Jura, c’est d’abord ça, puis ça Émoticône). Une habitation traditionnelle du Jura est donc, pour moi, d’abord une ferme jurassienne « suisse ». <digression>Et quand je parlais de division administrative, je ne pensais pas qu’au cas français, mais aussi (et surtout en fait) au cas transnational et suisse, les frontières nationales étant des divisions administratives totalement arbitraires.</digression>.

C’est pourquoi je me demandais s’il pouvait y avoir des similitudes entre ces types d’habitations (celle décrite dans l’article en question) et les fermes traditionnelles jurassiennes suisses (comme décrites dans ce document de l’Office fédéral du développement territorial, chercher "fermes jurassiennes", il y a 3 ou 4 occurrences dans le document). Comme je le disais dans ma première intervention, ce ne serait pas très étonnant que ce soit le cas, car les gens de cette région vivent peu ou prou dans le même environnement, topologiquement parlant, et pour répondre à des besoins et des problèmes semblables, il est probable qu’ils aient répondu quasiment de la même manière.--Chollux [viens batailler] 4 septembre 2013 à 16:09 (CEST)Répondre

Ce qu'on trouve dans Commons:Category:Habitation traditionnelle du Jura ne semble pas très spécifique, c'est, comme dit par d'autres précédemment, pour l'essentiel de l'architecture de montagne, y compris du pseudo-typique « style chalet alpin », il y a probablement du vernaculaire dans tout ça mais rien de très singulier il me semble. -O.--M.--H.- 5 septembre 2013 à 09:00 (CEST)Répondre

Pour le nom de mon groupe.

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Bonjour, c'est un plaisir de discuter avec vous et je voulais vous présenter la requête suivante:pour choisir le nom d'un petit groupe d'intelectuels pacifistes un peu rebels et courageusement stoïques j'aimerai savoir quel animal d'afrique mordille la jambe d'un animal plus gros en passant par dérrière lui quand celui-ci lui vole de la nourriture sans pour autant arriver à la récupérer dans l'immense majorité des cas.Il me semble me souvenir que ces deux animaux vivent au sol et en meute.Pour plus de renseignements venez me demandez ici.Merci.

Je ne connais pas mais ça pourrait être le chacal mordillant la hyène – ratage probable... -O.--M.--H.- 4 septembre 2013 à 20:56 (CEST)Répondre
Peintures de chacals importunant des hyènes. Bertrouf 5 septembre 2013 à 03:44 (CEST)Répondre
Fourmi et Homme ?! Mais à ce niveau pour votre groupe d'intelectuels pacifistes un peu rebels appelez-le confiture au citron ; si, si, c'est rebels le citron, ça pique une peu et il faut être courageusement stoïques pour en manger. --Epsilon0 ε0 4 septembre 2013 à 22:36 (CEST)Répondre
Pour l'arrière de la jambe : Jarnac ! Bertrouf 5 septembre 2013 à 03:44 (CEST)Répondre
… « p'tit-bia et pèr'honey » ? pour être en fracture avec la société avec du mord(ill)ant sans trop se casser. ÉmoticôneHautbois [canqueter] 5 septembre 2013 à 09:50 (CEST)Répondre

Merci bartow je rechercherais sur le chacal en approfondissant mes recherches.Il me semble que c'est l'animal le plus petit dont je parle.Les deux autres : vos blagues sont excellantes !

Descendant direct

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Celui-là n'est pas un descendant direct...

Bonjour à tous. Depuis quelques temps, je me pose une question sur ce terme de "descendant direct". Que veut il dire exactement ? Existe-t'il une notion de "descendant indirect" ? Pour être franc, je ne comprend pas très bien son utilité : ne descend on pas forcément directement de nos ancêtres ? En effet, dans un premier temps, le mot "descendant direct" me donne naturellement l'impression d'une personne pouvant remonter à un ancêtre par l'un de ses parents (père/mère), qui a lui-même ou elle-même un de ses parent qui a un parent qui a un parent qui... etc... jusqu'au dit ancêtre.
Ainsi, Philippe le Bel est le descendant direct d'Hugues Capet. Et de même, Philippe VI ne descend pas directement de Philippe le Bel, car il est de la lignée de son frère.
Cependant, cette théorie comporte des failles visibles :
-Premièrement, pourquoi employer ce terme de "direct" ? Philippe VI ne descend pas de Philippe le Bel, directement ou pas. Il est le petit fils de son frère, il n'est donc pas un descendant du Bel. On ne peut être descendant, par définition, que de quelqu'un a qui on est relié par une lignée de père/mère en fils/fille, non ?
-Deuxièmement, pourquoi dans ce cas, Philippe VI n'est il pas considéré comme descendant direct (puisqu'il n'est pas de la lignée des "capétiens directs") d'Hugues Capet ? Son grand père (Philippe III) est pourtant un descendant direct de celui-ci...
J'ai aussi pensé que "descendance directe" ou "lignée directe" ne prenait en compte que la primogéniture (masculine dans le cas des rois de France). Mais cette théorie est battue en brèche par le fait que certains rois de France sont les frères et non les premiers fils, de leur prédécesseur, et par là même ne sont pas les premiers fils de leur père. Ils sont pourtant considérés comme faisant partie de la lignée directe des Capétiens, comme Philippe V.
En bref et en résumé, je suis un peu perdu, je ne comprend pas grand chose à tout ceci, ma vie n'a plus de sens, ma femme m'a quitté, mes enf... Bref, j'aurais bien besoin de vos lumières oracliennes (ou oracleuses ?) sur le sujet. Je vous remercie par avance. -- Super Poirot 5 septembre 2013 à 03:42 (CEST)Répondre

Salut, Super Hercule. En effet, s'il y a des descendants directs c'est par contraste, non pas aux « descendants indirects » mais aux non descendants directs, plus clairement, aux « non descendants », mais qui sont cependant les héritiers directs. La maison capétienne de Valois et la maison capétienne de Bourbon descendent, comme toutes les autres branches de la dynastie capétienne, du fondateur Hugues Capet, mais la descendance directe est celle des descendants de la branche aînée, laquelle s'interrompt avec Philippe V de France, premier héritier qui ne soit pas aîné, et qui contrairement à ton assertion n'est pas considéré direct, cette branche étant éteinte dans ses représentants mâles avec le décès de Jean Ier de France. Incidemment, ou pas si incidemment, c'est là que fut inventée la loi salique – la deuxième, celle du XIVe siècle – pour ne pas voir revenir dans l'ordre de succession au trône les descendants mâles par les femmes de la branche aînée.
C'est donc assez simple : sont descendants directs d'une dynastie tous ceux et celles qui sont aînés de la branche aînée, en partant du fondateur ; tous les autres sont considérés « indirects », en tous les cas non directs. À remarquer que sans cette pseudo-loi salique, la France aurait fait comme un peu partout ailleurs où même quand les femmes sont exclues du trône, si l'aînée de la branche aînée a un fils il sera l'héritier en premier. -O.--M.--H.- 5 septembre 2013 à 05:10 (CEST)Répondre
Salut Olivier, merci de ta réponse. Je comprend tout à fait ce que tu me dis, cependant, il y a un truc qui me chiffonne : je ne suis pas le seul à dire que Philippe V fait partie de la lignée directe des Capétiens, tout comme son frangin Charles VI. J'ai l'impression que l'on juge la plupart du temps la lignée directe éteinte après la mort de ce dernier. C'est d'ailleurs le cas sur Wikipédia : l'article Capétiens directs dit Le nom de Capétiens directs désigne les monarques capétiens qui régnèrent sur le royaume de France, de Hugues Capet en 987, jusqu'à Charles IV le Bel en 1328. De même, l'article Capétiens dit Les Capétiens sont une dynastie princière d’origine franque qui commence avec Hugues Capet, roi des Francs, et qui règne, notamment sur la France avec sa branche directe, de 987 à 1328. Et enfin, même l'article sur Charles IV dit qu'il est roi de France, le quinzième et dernier de la dynastie dite des Capétiens directs, et roi de Navarre (sous le nom de Charles Ier).
Ainsi, si ton explication est satisfaisante, elle ne semble pas être partagée par la majorité : Charles IV, frère de Philippe V, qui sont tout deux frères du premier fils du roi, sont considérés par la majorité (il me semble) comme faisant partie de la lignée directe. Comment cela se fait il ? -- Super Poirot 5 septembre 2013 à 12:52 (CEST)Répondre
Ne confondez-vous pas les notions de "descendant", purement généalogique, voire biologique, et d'"héritier", définie par les lois en vigueur? Il y a ainsi à l'époque de Charles IV plusieurs descendants et descendantes directs d'Hugues Capet, mais un seul héritier du trône. Philippe VI est descendant direct d'Hugues Capet, mais pas de Charles IV, dernier héritier de la couronne.
En ce qui concerne la notion de "descendant indirect", ne sais pas si elle existe en français. Elle existe en anglais : "indirect descendant" ou "collateral descendant", qui est le descendant d'un frère ou d'une soeur. Miuki (discuter) 5 septembre 2013 à 14:47 (CEST)Répondre
Selon moi, c'est un abus de déterminer Philippe V et Charles IV comme « descendants directs », preuve en est que Philippe VI de France, frère de Philippe le Bel, donc petit-fils de Philippe III, n'est ni plus et surtout ni moins direct que les enfants non aînés de la branche principale. Clairement, de Hugues Capet à Philippe IV on a bien le cas d'accession au trône du fils aîné qui laisse une descendance mâle, ce qui est exact est que Philippe V et Charles IV sont les derniers représentants de la branche principale, « aîné » ; auraient-ils vécu qu'ils étaient alors dans le même cas que Philippe de Valois, c'est-à-dire descendants en ligne non directe, mais deux rameaux en dessous... -O.--M.--H.- 5 septembre 2013 à 15:17 (CEST)Répondre
Non, ce n'est pas une question de fils aîné, le roi Henri Ier n'étant pas le fils aîné de Robert II le Pieux. Il avait un frère aîné du nom de Hugues, qui a été sacré roi, mais qui est mort avant son père. De même Louis VI le Grosa eu pour aîné Philippe, mais c'est son second fils Louis VII le jeune qui lui succède. Louis VIII a eu trois fils avant Saint Louis, son successeur. Saint Louis a eu un fils avant Philippe III. Philippe III a eu un fils avant Philippe IV le Bel son successeur.
De plus tous les livres que j'ai lu considèrent Philippe V et Charles IV comme des capétiens directs. Je pense que le critère est que tous les capétiens directs sont fils de roi. Philippe VI de Valois est le premier à ne pas être fils de roi, rompant une suite. Odejea (♫♪) 5 septembre 2013 à 22:28 (CEST)Répondre
Merci beaucoup à vous tous. Ainsi, si je résume ce que vous m'avez dit : la notion de "descendant direct" n'est pas très claire, en français en tout cas, et plus ou moins synonyme de "descendant". Si "descendant indirect" existe, comme expression, c'est pour désigner le descendant d'un frère ou d'une sœur. Et enfin, la "lignée directe" des capétiens est liée au fait que chacun est fils de roi et que cela remonte ainsi jusqu'à Hugues Capet. Dit comme cela, cela me parait logique : la légitimité au trône de Philippe VI (comme celle, d'ailleurs, d'Henri IV) est due au fait qu'il descend bien d'Hugues Capet. Mais le changement de dénomination de la dynastie est due au fait qu'ils sont d'une branche mineure, c'est à dire une branche qui ne peut pas être reliée à celui-ci uniquement par des rois.
Tout ceci me semble très logique, et cela clarifie beaucoup les choses. Je vous remercie tous du temps que vous avez prit pour me répondre. -- Super Poirot 6 septembre 2013 à 02:06 (CEST)Répondre
Bon, désolé de revenir dessus, mais l'explication de "lignée directe" par le fait que chaque roi doit être fils de roi -théorie qui me satisfait particulièrement- se heurte à un problème auquel je viens de penser : Louis XV est bien considéré comme de la même branche, les Bourbons, que son prédécesseur, Louis XIV, alors qu'il n'est que son arrière petit fils. C'est a dire qu'il y a plus de générations entre eux qu'entre Philippe VI et Philippe III, son grand père, qui eux, ne sont pas considérés comme faisant partie de la même branche. Comment cela se fait il ? Le problème vient il du fait que, dans le cas de Philippe VI, on a du recourir à un "retour en arrière" ? -- Super Poirot 6 septembre 2013 à 04:04 (CEST)Répondre
Je reviens sur mes propos précédents, apparemment j'avais mal analysé la chose. Mais ça devient clair : la « ligne directe » est celle où il y a continuité généalogique, tous les régnants étant descendants de la branche actuellement aînée (l'éviction de la branche « Capétiens directs » par la grâce de la dite « loi salique » faisant de fait, puis de droit, des Valois la nouvelle branche aînée dans l'ordre de succession pour le trône de France). Quand les Valois accèdent au trône, au moins un ascendant de cette branche n'a pas été roi de France ET n'était pas premier dans l'ordre de succession, ce qui n'est pas le cas pour les Bourbon quand par trois fois au moins une génération n'a pas régné, non par défaut de prétendant mais du fait du décès prématuré du Dauphin ou par excès de longévité du roi en place. On a un cas comparable à celui des Valois avec les Bourbon, où il y a trois générations entre Henri IV de France et son dernier ascendant ayant été roi de France. -O.--M.--H.- 6 septembre 2013 à 07:38 (CEST)Répondre

Double nationalité des membres actuels de la maison Petrović-Njegoš

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Peut-on considérer que, sauf renonciations à la nationalité française (à sourcer) :

l'actuel prétendant au trône monténégrin, Nikola Petrović-Njegoš, né en France d'une mère française (Geneviève Prigent), donc supposé Français pour une moitié,

  • sa fille Altinaï « Petrović-Njegoš » ou Petrovitch-Njegosh (c'est la graphie qu'elle utilise par exemple sur Vimeo et Linkedin), née en France de mère également française (France ou Francine Navarro), donc supposée Française pour les trois quarts,
    • le fils d'Altinai, Nikolaï Martynov, né de père russe et de mère possiblement française, donc supposé Français pour les trois huitièmes,
  • son fils Boris Petrović-Njegoš, né en France de mère également française (France ou Francine Navarro), donc supposé Français pour les trois quarts,
    • la fille de Boris, Milena, né de père supposément français et de mère supposément française (Véronique Haillot Canas da Silva), donc supposée Française pour les sept huitièmes,

disposeraient tous, en plus de la probable nationalité monténégrine qui a dû être accordée, après l'indépendance du pays en 2006, au chef de maison et à son héritier mâle, de la nationalité française ?

Je conçois que les sources fiables sur ce sujet puissent être difficiles à dénicher. Le site noblesseetroyautes.com semble dire que le parlement monténégrin aurait attribué, en 2011, la nationalité monténégrine au prétendant ainsi qu'à ses enfants et petits-enfants, mais cela ne résoud pas la question de la possible double nationalité française. Certains estimeront sans doute que j'ai des interrogations futiles Sourire, mais... Hégésippe | ±Θ± H∵C∵ (opérateur) 5 septembre 2013 à 15:11 (CEST)Répondre

Salut. Autant que je sache, sauf dans les cas où la loi du pays ne le précise pas explicitement, comme c'était le cas en Belgique jusqu'à il y a peu, la nationalité française ne se perd pas sauf si la personne y renonce explicitement. Il te faut donc trouver (mais de quelle manière ?) l'info au niveau du Montenegro pour savoir s'il refuse la double nationalité à ses citoyens, auquel cas l'acceptation de cette nationalité par les personnes que tu cites implique leur renonciation à la nationalité française. Cela dit, j'ai entendu une émission de France Culture réalisée autour de Nikola Petrović-Njegoš et dans mon souvenir il y parlait bien de sa double nationalité – à vérifier si tu retrouves trace de cette émission. -O.--M.--H.- 5 septembre 2013 à 15:24 (CEST)Répondre
Cela pourrait éventuellement (requête 'Petrovitch-Njegosh france culture' dans Google) se trouver dans les deux volets du reportage sur Cetinje, diffusé en septembre 2012 dans le cadre de l'émission Villes-Mondes (partie 1 et partie 2). Comme je n'ai pas de carte son sur cet ordinateur, il faudra juste que je trouve un système d'aspiration du flux en mp3, afin d'écouter ultérieurement la chose sur mon baladeur. Hégésippe | ±Θ± H∵C∵ (opérateur) 5 septembre 2013 à 15:42 (CEST)Répondre
Ok, je récupère ça et je vérifie Émoticône -O.--M.--H.- 5 septembre 2013 à 17:22 (CEST)Répondre
P.S. Il me semble que ce n'était pas cette émission (mais je l'écoute quand même pour son intérêt propre Émoticône sourire). En tout cas, j'ai vu par une recherche Google que le Monténégro reconnaît la double nationalité. -O.--M.--H.- 5 septembre 2013 à 18:14 (CEST)Répondre
Ma première intervention était mal formulée : la nationalité française ne se perd pas, sauf bien sûr dans les cas prévus par la loi de déchéance de nationalité pour certains crimes, mais on a toujours la possibilité d'y renoncer dans les cas où l'autre pays dont on a la nationalité y oblige, comme c'était le cas encore récemment en Belgique. Mais ici le cas ne semble pas se poser. -O.--M.--H.- 6 septembre 2013 à 20:15 (CEST)Répondre
Apparament, si. J'ai moi meme entendu dire qu'on ne peut pas perdre la nationalitée francaise (sauf a remonter le temps pour colaborer avec les nazi), mais a l'évidence c'est possible puisque c'est arrivé. En l'occurence, en aquierant la nationalité Néerlandaise --Madlozoz (discuter) 13 septembre 2013 à 01:51 (CEST)Répondre
C'est juste, il y a aussi le cas des accords bilatéraux. De fait, on trouvera curieux que cet accord soit précisément appliqué dans un cas où il est exclu mais de l'autre côté les autorités françaises peuvent faire valoir que la personne concernée acquit la nationalité avant son mariage, ce qui la ramène aux cas où l'accord s'applique. -O.--M.--H.- 27 septembre 2013 à 07:06 (CEST)Répondre

Lysanxia OU alcool

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Bonjour, du point de vue des dommages sur l'organisme, l'individu étant considéré sain par ailleurs (pas de dépendances ni à l'un ni à l'autre), vaut-il mieux, en cas de gros coup de stress, consommer l'un OU l'autre ? Merci--78.114.28.139 (discuter) 6 septembre 2013 à 09:24 (CEST)Répondre

Cela dit j'ai un avis personnel et non médical : aucun des deux. -O.--M.--H.- 6 septembre 2013 à 09:36 (CEST)Répondre
Autre avis personnel : si vous ne dépassez pas la dose prescrite (pas d’intoxication aiguë), et que c’est ponctuel et non chronique (pas de toxicité à long terme), l’un et l’autre sont anodins. L’effet anxiolytique de l’alcool est réputé supérieur ; mais considérer l’alcool comme un médicament dans une pratique d’auto-médication est le début d’une pente qui peut être fatale. La toxicité à long terme d’un anxiolytique médicamenteux est (normalement...) infiniment plus faible que celle de l’alcool.
Dans tous les cas, voyez votre médecin (j’en connais qui préfère recommander un cognac plutôt que prescrire un lysanxia). rv 6 septembre 2013 à 13:58 (CEST)
Le Lysanxia (et autres saloperies) est remboursé par la sécu, pars l'alcool... --Serged/ 7 septembre 2013 à 08:05 (CEST)Répondre
... Oh ! Euh ? Émoticône c'est l'alcool qui rembourse le Lysanx-machin ? ÉmoticôneHautbois [canqueter] 7 septembre 2013 à 09:49 (CEST)Répondre
En cas de stress, il y a une grande quantité de solutions. Pour ma part, j'écoute du Brahms. Mais j'en ai connu qui prenaient un long bain chaud, ou qui regardaient des poissons tourner dans un aquarium pendant des heures. D'autres encore qui allaient en pleine campagne pour hurler tous leur saoul (sans alcool) ou jouer de la cornemuse... La chimie n'est pas forcément la meilleure solution, surtout à long terme... Bertrouf 9 septembre 2013 à 05:20 (CEST)Répondre

LVF et Malgré-nous

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Je lis un roman où il est dit qu'un malgré-nous de Villerupt aurait fait partie de la LVF, est-ce crédible? --Pierrot Lunaire (discuter) 8 septembre 2013 à 10:00 (CEST)Répondre

La réponse est non, puisque précisément les « malgré-nous » étaient, 1) recrutés contre leur volonté, 2) considérés comme des soldats allemands. Conclusion, ça ne pouvait pas être des volontaires français. Il se peut que des Alsaciens et des Lorrains aient décidé d'entrer dans la LVF, même si ça semble étrange, mais par nécessité ce n'étaient alors pas des « malgré-nous ». -O.--M.--H.- 8 septembre 2013 à 10:50 (CEST) En complément. Les informations sur cette page confirment mes propos : un petit nombre de personnes originaires des départements annexés a intégré la LVF mais pas en tant que malgré-nous, ce sont des réfugiés qui y sont entrés dans les départements non annexés, tant en zone libre qu'en zone occupée. -O.--M.--H.- 8 septembre 2013 à 18:41 (CEST)Répondre

Histoire de l'Algérie

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Vue générale d'Oran

Bonjour, je voudrais apporter une précision de date :

l'arrivée des français à Oran, vous indiquez juin 1831 cela est faux, en réalité ils sont arrivés en juillet 1830, occupation de mers el kébir, port jouxtant Oran mais se sont retirés presqu'aussitot, et ont débarqué définitivement le 4 janvier 1831

né à Oran j'ai toujours appris cela depuis l'école,

Bonjour. L'Oracle n'intervient pas sur le contenu de l'encyclopédie, pour toute précision de ce genre il faut en passer par la page de discussion de l'article concerné ou par le Bistro. Cela dit, l'article Conquête de l'Algérie par la France est très imprécis sur les dates, il s'agit d'un résumé succinct, les éléments de cette conquête étant développés dans des articles particuliers, l'article Prise d'Oran par exemple précise bien que « la prise d'Oran [est] effective le 4 janvier 1831 », rappelle que le Bey d'Oran fit acte de soumission peu après la prise d'Alger et qu'une première troupe entra brièvement dans la ville en août 1830. -O.--M.--H.- 9 septembre 2013 à 02:15 (CEST)Répondre