Wikipédia:Oracle/semaine 8 2013
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Faux avis d'utilisateur pour une review d'un des derniers nés de Nokia
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Chères pythies,
Il me semble avoir lu récemment (disons, dans les dix dernières semaines) que Nokia avait payé quelqu'un pour qu'il écrive une review dithyrambique sur un de ses derniers nés. Malheureusement, j'ai beau fouillé sur le net, je ne retrouve aucune source crédible. J'ai rêvé? Merci ;-) IntraLucide (d) 18 février 2013 à 10:45 (CET)
- Pas très encyclopédique mais soyons gentils, alors je propose ça:Démo : Lumia 820.--Doalex (d) 18 février 2013 à 11:22 (CET)
- En français, on dit « critique ». --GaAs (d) 24 février 2013 à 19:44 (CET)
Sœur Marie-Thérèse des Batignolles (... le retour...)
modifierChers colleagues, vous m'avez déjà assistés une fois en identifiant un personnage chez La Sœur - maintenant une autre personne. Qui est la personne réale qui figure ici comme fils de Marie-Thérèse dans tôme 2: Le retour de la malédiction du fils caché? (apparu en 1986) Car il a aucune resemblence à sa mère, il doit être un colleague de Maëster? Ou une autre personne connue en France? Aidez-moi, s.v.p. Pax vobiscum! 62.241.106.131 (d) 18 février 2013 à 11:36 (CET)
- J’ai reconnu quelqu’un tout de suite. Mais aucune preuve trouvée, donc je réserve ma réponse en attendant… Morburre (d) 18 février 2013 à 12:29 (CET)
- Il commence avec Co.... ? 62.241.106.131 (d) 18 février 2013 à 13:39 (CET)
- Il ne finit pas par yote non plus, pour moi. Morburre (d) 18 février 2013 à 14:18 (CET)
- Got... avec une (fausse) barbe.--Doalex (d) 18 février 2013 à 17:32 (CET)
- C'est pas Léandri quand il n'avait pas encore les cheveux gris ? Cobra Bubbles Dire et médire 18 février 2013 à 21:24 (CET)
- Célui là ... ??? 62.241.106.131 (d) 18 février 2013 à 21:57 (CET)
- Hmmmm ... non. Voici sa caricature de Léandri - trop de differences... 62.241.106.131 (d) 19 février 2013 à 11:49 (CET)
- Célui là ... ??? 62.241.106.131 (d) 18 février 2013 à 21:57 (CET)
- C'est pas Léandri quand il n'avait pas encore les cheveux gris ? Cobra Bubbles Dire et médire 18 février 2013 à 21:24 (CET)
- Got... avec une (fausse) barbe.--Doalex (d) 18 février 2013 à 17:32 (CET)
- Il ne finit pas par yote non plus, pour moi. Morburre (d) 18 février 2013 à 14:18 (CET)
- À l'époque où j'ai lu la BD, j'avais pensé à Salman Rushdie... Mais bon, que viendrait-il faire ici ? --Serged/♥ 19 février 2013 à 06:31 (CET)
- @Morburre aide moi! Si non je dois me logger dans le blog de Maëster... 62.241.106.131 (d) 20 février 2013 à 14:00 (CET)
- J’ai reconnu, donc, ou cru reconnaître Gérard Moncomble (il y a des photos de lui sur internet, mais plutôt récentes, donc il ressemble moins au dessin). Mais je n’ai pas trouvé de lien entre lui et Maëster et en fait je dois m’être complètement trompé. En même temps j’ai toujours ce sentiment de connaître ce personnage (c’est agaçant). Après tout, le plus simple est de poser la question directement à Maëster (il ne mord pas). Morburre (d) 20 février 2013 à 20:19 (CET)
- ... en train de le faire ... main plat avec un sucre dessus ... on ne tremble pas, on ne tremble pas. 62.241.106.131 (d) 20 février 2013 à 22:35 (CET)
- J’ai reconnu, donc, ou cru reconnaître Gérard Moncomble (il y a des photos de lui sur internet, mais plutôt récentes, donc il ressemble moins au dessin). Mais je n’ai pas trouvé de lien entre lui et Maëster et en fait je dois m’être complètement trompé. En même temps j’ai toujours ce sentiment de connaître ce personnage (c’est agaçant). Après tout, le plus simple est de poser la question directement à Maëster (il ne mord pas). Morburre (d) 20 février 2013 à 20:19 (CET)
- @Morburre aide moi! Si non je dois me logger dans le blog de Maëster... 62.241.106.131 (d) 20 février 2013 à 14:00 (CET)
- Il commence avec Co.... ? 62.241.106.131 (d) 18 février 2013 à 13:39 (CET)
Château de Marzé à Alix
modifierBonjour Madame, Monsieur
Ayant habité le château de Marzé à Alix pendant mon enfance, je souhaiterais trouver des livres sur l'histoire de ce château. Pouvez-vous, s'il vous plaît m'indiquer ou je peux les trouver. Je vous remercie pour votre aide. Cordialement. Thérèse
- Quelques informations ici sur la famille de Marzé : [1]. rv 18 février 2013 à 13:53 (CET)
- En partant de cette photo Château de Marzé on arrive sur le lien d'où elle est issue, dans Dictionnaire illustré des communes du département du Rhône. Tome 1 / par MM. E. de Rolland et D. Clouzet qui figure sur Gallica voir pages 8 à 11, il doit certainement exister d'autres renseignements postérieurs.--Doalex (d) 18 février 2013 à 16:40 (CET)
Trouvères et troubadours, c'est quoi ???
modifierBonjour, je parle des troubadour trouver quelle est la différence entre les deux ? Merci de votre gentillesse 😊
- La différence la plus flagrante entre les trouvères et les troubadours est une différence de langue. Les trouvères écrivaient (et parlaient) des dialectes d'oïl du nord de la France, tandis que les troubadours utilisaient des dialectes d'oc, essentiellement le limousin. --le sourcier 18 février 2013 à 18:37 (CET)
- Non, je ne veux pas me battre ! la langue d’oc, qu’on appelle maintenant l’occitan, ou les dialectes d’oc, bref cette langue qui était alors plus unifiée que maintenant, a été appelée limousin, gascon, provençal, languedocien, suivant les époques, mais c’était la même, à quelques variantes près. Morburre (d) 18 février 2013 à 19:48 (CET)
- En effet, la langue des troubadours était une langue littéraire assez homogène commune à toutes les régions de l'aire linguistique occitane, y compris la Gascogne et la Catalogne dont certains particularismes sont cependant encore perceptibles dans certaines œuvres. Elle était issue principalement de la langue des cours du Poitou, du Limousin et de Toulouse. C'était une forme centrale de l'Occitan. Certains troubadours l'ont nommée eux-même le limousin mais ça n'était pas le dialecte populaire limousin même si l'intercompréhension restait probablement très facile. --le sourcier 19 février 2013 à 11:59 (CET)
- L’occitan trobador a un féminin : trobairitz. Mais la langue d’oil ancienne, pas plus que le français moderne, n’ont pas de féminin pour « troubadour » ni pour « trouvère ». Morburre (d) 20 février 2013 à 13:49 (CET) « Troubadouresse », ouais, bon, on aurait pu trouver mieux…
- Troubadourette ? On dit bien gendarmette. Oblomov2 (d) 21 février 2013 à 11:11 (CET)
- Pour faire simple on transcrit le féminin occitan en français, ça doit donner un truc du genre Troubairisse. --le sourcier 21 février 2013 à 23:26 (CET) Euh … C'est pas joli Troubairisse ?
- Troubadourette ? On dit bien gendarmette. Oblomov2 (d) 21 février 2013 à 11:11 (CET)
- L’occitan trobador a un féminin : trobairitz. Mais la langue d’oil ancienne, pas plus que le français moderne, n’ont pas de féminin pour « troubadour » ni pour « trouvère ». Morburre (d) 20 février 2013 à 13:49 (CET) « Troubadouresse », ouais, bon, on aurait pu trouver mieux…
- En effet, la langue des troubadours était une langue littéraire assez homogène commune à toutes les régions de l'aire linguistique occitane, y compris la Gascogne et la Catalogne dont certains particularismes sont cependant encore perceptibles dans certaines œuvres. Elle était issue principalement de la langue des cours du Poitou, du Limousin et de Toulouse. C'était une forme centrale de l'Occitan. Certains troubadours l'ont nommée eux-même le limousin mais ça n'était pas le dialecte populaire limousin même si l'intercompréhension restait probablement très facile. --le sourcier 19 février 2013 à 11:59 (CET)
- Non, je ne veux pas me battre ! la langue d’oc, qu’on appelle maintenant l’occitan, ou les dialectes d’oc, bref cette langue qui était alors plus unifiée que maintenant, a été appelée limousin, gascon, provençal, languedocien, suivant les époques, mais c’était la même, à quelques variantes près. Morburre (d) 18 février 2013 à 19:48 (CET)
En français contemporain, c’est trouveur, trouveuse. On peut inventer de jolis noms, mais c’est TI. Morburre (d) 22 février 2013 à 07:19 (CET)
- La langue italienne ne semble pas connaître la différence entre les deux mots. Ainsi l'opéra de Verdi se traduit en anglais: « The Troubadour » et les Allemands aussi : « Der Troubadour ». Le français, toujours à la décalque, a, bien sûr, suivi et traduit : « Le Trouvère ». --Mistig (d) 22 février 2013 à 16:13 (CET)
- … outre la différence de langue entre trouvères et troubadours, je crois, comme me le confirment les définitions du CNRTL, qu'il y a une différence essentielle de statut : le trouvère restait généralement « fixé auprès d'un grand seigneur ou d'un mécène », alors que le troubadour « allait de château en château, propageant les valeurs de la société courtoise ». L'un faisait partie d'une cour royale, princière, ducale, pouvant être d'origine noble lui-même… l'autre était un saltimbanque amusant et divertissant un village, une ville pendant un temps limité. — Hautbois [canqueter] 22 février 2013 à 17:54 (CET) … peut-on déjà parler d'art « privé » et d'art « subventionné » ?
Belle Phrase ... trop belle ?
modifierQuartier du Montparnasse: « J'aspirais à voir avec mes propres yeux ce que j'avais entendu de si loin: la révolution de l'œil, la rotation des couleurs qui spontanément et astucieusement se fondent ensemble dans un flux de lignes conçues. Ceci n'aurait pu être vu dans ma ville. Le soleil de l'Art alors brillait seulement sur Paris. » <= Marc Chagall, mais pas de reference. Qui peut trouver la référence? 62.241.106.131 (d) 19 février 2013 à 13:33 (CET)
- Marc Chagall, Ma Vie, 1923 ? Morburre (d) 19 février 2013 à 16:52 (CET)
- Chagall : [2]. Pas forcément trop belle. Elle peut avoir été extraite de sa correspondance ou d'un discours. De toute façon, lorsque l'on connait la vie germanopratine à l'époque d'Hemingway, Pascin et autres, la Coupole, la rue de la Gaité etc ... ce n'est pas du tout en deça. Alan Stivell habite dans le quartier. Mike Coppolano (d) 19 février 2013 à 16:55 (CET)
- Il semble le hear/say du grandpère... Merci! 62.241.106.131 (d) 19 février 2013 à 17:22 (CET)
- Selon où vous vous trouvez en France vous pouvez vous renseigner lors des expositions consacrées à Chagall Paris ou Nice.--Doalex (d) 25 février 2013 à 11:03 (CET)
- Il semble le hear/say du grandpère... Merci! 62.241.106.131 (d) 19 février 2013 à 17:22 (CET)
- Chagall : [2]. Pas forcément trop belle. Elle peut avoir été extraite de sa correspondance ou d'un discours. De toute façon, lorsque l'on connait la vie germanopratine à l'époque d'Hemingway, Pascin et autres, la Coupole, la rue de la Gaité etc ... ce n'est pas du tout en deça. Alan Stivell habite dans le quartier. Mike Coppolano (d) 19 février 2013 à 16:55 (CET)
Une solution pire que le problème
modifierBonjour. Je cherche le terme (et/ou des pages de Wikipédia) qui traite de problèmes liés à l'introduction d'espèces animales dans un endroit pour lutter contre un problème et qui se révèle finalement créer un autre problème potentiellement plus grave. Du genre importer des renards en Australie pour lutter contre les lapins importés précédemment; lutter, en France, contre les pucerons avec des coccinelles asiatiques,... Dans l'épisode des Simpson, Lézards populaires, Skinner envisage toute une chaîne de corrections pour lutter contre une invasion de lézards de Bolivie provoquée par Bart (Dans Bart contre l'Australie, il est aussi question d'espèces envahissantes). De manière plus générale, c'est une question d'interventions sur des systèmes en équilibre issus d'une évolution (interventionnisme sur un écosystème, en économie, dans la société,...). D'avance merci. -- Xofc [me contacter] 20 février 2013 à 09:37 (CET)
- Invasion biologique anthropique ? Ça me rappelle la problématique de l'introduction de la perche du Nil dans le lac Victoria. RoiLezard (d) 20 février 2013 à 10:13 (CET)
- Non, ce n'est pas la même chose. De nombreuses invasions biologiques anthropiques ne sont pas volontaires (introduction de rats, animaux domestiques qui s'échappent et retournent à l'état sauvage...). J'ai l'impression que la question ne fait référence qu'à des exemples de lutte biologique qui ont mal tourné. Dans l'article en:Biological control, j'ai trouvé une référence "Follett PA, Duan JJ (2000) 'Nontarget effects of biological control.' (Kluwer Academic Publishers)." et en tirant le fil on trouve pas mal de références équivalentes en anglais ([3]). Je ne sais pas si le sujet est traité sur WP fr, je n'en n'ai pas l'impression. Arnaudus (d) 20 février 2013 à 18:01 (CET)
- Un déséquilibre de l'écosystème causé par une lutte biologique, donnant une victoire à la Pyrrhus, l'enfer étant pavé de bonnes intentions. --Rene1596 (d) 20 février 2013 à 19:34 (CET)
- Non, ce n'est pas la même chose. De nombreuses invasions biologiques anthropiques ne sont pas volontaires (introduction de rats, animaux domestiques qui s'échappent et retournent à l'état sauvage...). J'ai l'impression que la question ne fait référence qu'à des exemples de lutte biologique qui ont mal tourné. Dans l'article en:Biological control, j'ai trouvé une référence "Follett PA, Duan JJ (2000) 'Nontarget effects of biological control.' (Kluwer Academic Publishers)." et en tirant le fil on trouve pas mal de références équivalentes en anglais ([3]). Je ne sais pas si le sujet est traité sur WP fr, je n'en n'ai pas l'impression. Arnaudus (d) 20 février 2013 à 18:01 (CET)
Un exemple le crapaud buffle en Australie. Ce n’est pas tout à fait la même chose, mais j’ai lu aujourd’hui cet article dans le New York Times, sur les conséquences inattendues et négatives de la lutte contre des espèces animale (ici les moustiques, qui transmettent la malaria). --gede (d) 20 février 2013 à 22:00 (CET)
- C'est vrai que cela tourne autour de la 'systémique'... Faut-il se contenter d'observer (avec admiration) l'ordre spontané et d'en tirer des avantages locaux. Vouloir agir sur le système est-il toujours une question d'hubris menant systématiquement à une némésis? Je suis en train de lire des bouquins de Friedrich Hayek, grand défenseur de l'ordre spontané de la Grande Société (mais pas celle de Johnson)... -- Xofc [me contacter] 22 février 2013 à 07:33 (CET)
je sui interece a votre centre --> je suis intéressé à votre centre
modifiersalu je sui a votre bienvence je sui un jeune jouer qui a du talant et je veut tairmine ma vie comme ma karieur dent football si vou pouve maide je sui le 7lgauche et je suipolivalant dent le 10milierdu tr et8aussi
- Je ne comprendrai jamais comment les gens peuvent confondre Wikipédia avec un club de football ... Le logo en forme de ballon peut-être ? --Milena (Parle avec moi) 21 février 2013 à 17:48 (CET)
- Bah, sans vouloir être méchant, je doute que la personne qui a écrit ce message aie eu accès à un niveau d'éducation lui permettant de vraiment comprendre ce qu'est Intenet et qui sont les gens susceptibles de lire sa question. Arnaudus (d) 21 février 2013 à 19:36 (CET)
- évidemment d'accord avec la pose du bandeau mais... je m'interroge quant à la langue maternelle de notre questionneur...comment en est-il arrivé à cet écrit (par l'intermédiaire probale de GG traduction)... ? C'est quand même miraculeux, non ? au départ d'un ersatz de français, je comprends qu'il est poli, qu'il joue au football, qu'il désire être un professionnel dans ce sport (mais comme j'y pige que dalle en foot, je ne peux apprécier sa place et ses qualifications - honte à moi !) Mon côté Bon Samaritain - horreur ! ce n'est même pas une locution dans l'article ? - fait que j'aimerais lui répondre, mais je reste en panne... Égoïté (d) 22 février 2013 à 01:17 (CET)
- Non, non, les traductions de Google ne sont pas toujours compréhensibles mais les mots utilisés existent. Il s'agit vraisemblablement de quelqu'un qui parle un français approximatif (et avec un accent) qui le lit probablement (avec quelques difficultés) mais n'a pas (ou peu) appris à l'écrire. C'est vrai que cela a quelque chose de miraculeux. Le pire n'est évidemment pas là. Ce qui est tragique, c'est de croire que le salut passe par une carrière footballistique. Pour d'autres, ici, la solution c'est la loterie nationale... Il n'est sans doute pas interdit de rêver. Quand je serai riche, ... -- Xofc [me contacter] 22 février 2013 à 07:18 (CET)
- L'origine de l'IP se trouve au Burkina Faso, petit pays qui s'est retrouvé en finale de la Coupe d'Afrique des nations il y a peu, face au Nigéria un très grand pays, pour la démographie, la population du Burkina Faso représente 10 % de celle du Nigéria, ceci pour citer juste un exemple de la fierté de ce petit pays qui a vécu un rêve le temps de cette compétition, je pense que ce rêve continue pour les gamins.Laissons la forme et gardons le fond, je lis au début de l'article sur ce pays la signification de son nom, « Pays des hommes intègres », pour moi ce sera « Pays des enfants rêveurs » car si c'est une confusion du logo Wikipédia avec un ballon de football il a fallu aussi que ce mot spontané se retrouve sur l'Oracle, par hasard ? Meilleurs sentiments --Doalex (d) 22 février 2013 à 11:17 (CET)
- Carieur de dents, c'est un beau métier... Oblomov2 (d) 22 février 2013 à 16:49 (CET)
- Ce sont de jeunes, très jeunes, africains qui rêvent de s'en sortir et croient que leur chance c'est une carrière dans la football (pour quitter leur pays, obtenir la nationalité française) ; évidemment c'est un mirage. Il y en a énormément dans ce cas au Niger, en Côte d'Ivoire... Mais ils se raccrochent à ce qu'ils peuvent. Ceci étant, a part le foot ils passent du temps, beaucoup, dans des cybercafés et ils écrivent leur demande comme une bouteille à la mer, partout où le web le conduit, et dans la cas présent : Wikipedia.--jean-louis venet (d) 22 février 2013 à 23:21 (CET)
- Carieur de dents, c'est un beau métier... Oblomov2 (d) 22 février 2013 à 16:49 (CET)
- L'origine de l'IP se trouve au Burkina Faso, petit pays qui s'est retrouvé en finale de la Coupe d'Afrique des nations il y a peu, face au Nigéria un très grand pays, pour la démographie, la population du Burkina Faso représente 10 % de celle du Nigéria, ceci pour citer juste un exemple de la fierté de ce petit pays qui a vécu un rêve le temps de cette compétition, je pense que ce rêve continue pour les gamins.Laissons la forme et gardons le fond, je lis au début de l'article sur ce pays la signification de son nom, « Pays des hommes intègres », pour moi ce sera « Pays des enfants rêveurs » car si c'est une confusion du logo Wikipédia avec un ballon de football il a fallu aussi que ce mot spontané se retrouve sur l'Oracle, par hasard ? Meilleurs sentiments --Doalex (d) 22 février 2013 à 11:17 (CET)
- Non, non, les traductions de Google ne sont pas toujours compréhensibles mais les mots utilisés existent. Il s'agit vraisemblablement de quelqu'un qui parle un français approximatif (et avec un accent) qui le lit probablement (avec quelques difficultés) mais n'a pas (ou peu) appris à l'écrire. C'est vrai que cela a quelque chose de miraculeux. Le pire n'est évidemment pas là. Ce qui est tragique, c'est de croire que le salut passe par une carrière footballistique. Pour d'autres, ici, la solution c'est la loterie nationale... Il n'est sans doute pas interdit de rêver. Quand je serai riche, ... -- Xofc [me contacter] 22 février 2013 à 07:18 (CET)
- évidemment d'accord avec la pose du bandeau mais... je m'interroge quant à la langue maternelle de notre questionneur...comment en est-il arrivé à cet écrit (par l'intermédiaire probale de GG traduction)... ? C'est quand même miraculeux, non ? au départ d'un ersatz de français, je comprends qu'il est poli, qu'il joue au football, qu'il désire être un professionnel dans ce sport (mais comme j'y pige que dalle en foot, je ne peux apprécier sa place et ses qualifications - honte à moi !) Mon côté Bon Samaritain - horreur ! ce n'est même pas une locution dans l'article ? - fait que j'aimerais lui répondre, mais je reste en panne... Égoïté (d) 22 février 2013 à 01:17 (CET)
Tony Hoar Lanterne rouge du Tour de France 1955
modifierBonjour,
En écrivant l'article sur Tony Hoar la lanterne rouge du Tour de France 1955, je vois qu'il a participé aux Jeux du Commonwealth de 1954 à Vancouver en tant que cycliste sous le nom de A. Hoar. Dans les sources, Tony Hoar est quelque fois appelé Antony Hoar.
Cet anglais émigre au Canada fin 1956.
Dans mes recherches, je tombe sur un A.Hoar membre de l'équipe du Canada aux Jeux du Commonwealth de 1962 à Perth. Ce A. Hoar pratique le Lawn bowls.
Étant donné la concordance des faits, je suspecte qu'il s'agit d'une seule personne. Mais... c'est peut-être une coïncidence. Cher Oracle, selon vous est-ce la même personne ? Merci pour vos lumières.--Ange Gabriel (d) 21 février 2013 à 21:21 (CET)
- Compte tenu du nombre de sites qui figurent en liens externes dans l'article Boulingrin (jeu) je pense que votre recherche n'est pas terminée et que votre question sera certainement prise en compte sur un de ces nombreux sites.Cordialement --Doalex (d) 22 février 2013 à 11:56 (CET)
- Merci votre suggestion, aucun des liens ne permet une telle démarche. --Ange Gabriel (d) 22 février 2013 à 19:37 (CET)
- Ah bon ? Par exemple Communiquez avec nous --Doalex (d) 23 février 2013 à 10:58 (CET)
- Cela m'avait échappé, merci beaucoup. J'ai fait la démarche. J'hésite à écrire aussi à l'intéressé sur le site de son entreprise. --Ange Gabriel (d) 24 février 2013 à 20:37 (CET)
- Bonjour,
- L'idéal serait de dénicher une photographie du joueur de boulingrin. Ressemble-t-il à Tony Hoar le cycliste que tu peux voir sur cette photo en compagnie de Louison Bobet (le premier et le dernier du Tour 55, réunis) ?
- Cordialement, --Agamitsudo (d) 22 février 2013 à 14:35 (CET)
- PS : pour l'instant mon intuition est que ce sont deux personnes différentes. Le patronyme Hoar en doit pas être si rare et nous n'avons aucune certitude quant au fait que le A du boulingriniste (?) soit bien celui d'Anthony. --Agamitsudo (d) 22 février 2013 à 14:41 (CET)
- Merci pour votre réponse. Effectivement, c'est ce boulingriniste que je cherche. Je sais désormais que les représentants canadiens R.W. Moir et A. Hoar ont remporté le championnat canadien de 1962 pour le compte du Dumber Club de Vancouver en Colombie Britannique[4] et qu'ils représentaient le Canada aux jeux du Commonwealth de 1962 (site officiel des jeux du Commonwealth). D'un côté, j'ai un cycliste Tony Hoar qui participe aux jeux de Vancouver de 1954 et qui émigre au Canada en Colombie Britannique en 1956. De l'autre, j'ai un joueur, A. Hoar, de Lawn Bowls issu de la ville de Vancouver et qui participe aux jeux de 1962. L'idée de la photo est bonne. J'ai trouvé plusieurs photos de Tony Hoar le cycliste mais pas celle de A. Hoar le bouliste. La quête continue. --Ange Gabriel (d) 22 février 2013 à 20:03 (CET)
Requête
modifiermon père Robert Léon Klein né le 17.04.1913 à Soultzmatt france est décédé lors d'un combat en Lituanie (Dubravai) et inhumé à Lapsius le17.07.1944 (incorporé de force dans l'armée allemande) pourriez vous m'aider à situer ses combats . merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 81.80.179.34 (discuter)
- Bonjour,
- Pour commencer : Dubravai (lt) c'est ici 54° 50′ 31″ N, 24° 05′ 31″ E (voir la carte à droite)
- La ville se trouve à proximité du réservoir de Kaunas (en) et donc, assez proche de la ville de Kaunas.
- --Agamitsudo (d) 22 février 2013 à 14:22 (CET)
- Bonjour, cet article (suivez le lien) vous intéressera peut-être... Cordialement, Oblomov2 (d) 22 février 2013 à 16:51 (CET)
Il n'y a pas le feu
modifierBonsoir les fortiches,
Cette affiche de la Collection JOB est très rare et non encore répertoriée. Au vu des autres créations de la série elle pourrait être située entre 1895 et 1920. Elle est signée Louis Vallet, ce qui ne m'avance guère (1856-1940). Elle représente un sapeur-pompier (de Paris peut-être ?). A votre avis, avant 1900 ? Vers 1910 ? 1920 ? Merci de vos lumières (de lampe à pétrole).
Je n'arrive pas à dater non plus le spahi de F. Thuillière (annoncé comme étant vers 1900) et Cosaque de la garde de F. Thuillière, mais pour ces deux là, ignorant totalement de surcroît qui est ce "F. Thuillière", donc la date de sa mort, je ne peux pas mettre l'image, je laisse le lien, pour le cas où un érudit pourrait me renseigner soit sur les dates des affiches soit sur le peintre. Bonne soirée à tout le monde.--jean-louis venet (d) 22 février 2013 à 22:30 (CET)
- Pour Job et les affichistes et imprimeurs de Toulouse, demander au Centre municipal de l’Affiche, de la carte postale et du graphisme de Toulouse (ils ne mordent pas). Morburre (d) 23 février 2013 à 09:52 (CET) Je dis ça, mais tu dois connaître.
- Oui, oui je connais. Beau petit musée, accueil sympa, à visiter pour les personnes de passage à Toulouse. J'y suis allé plusieurs fois déjà. Effectivement, pas impossible qu'ils connaissent (même si là nous sommes carrément dans le très rare).--jean-louis venet (d) 23 février 2013 à 12:21 (CET)
- Je m’adresserais aux commissaires de l’exposition de l’année dernière au musée Rigaud sur la famille Bardou, qui avait réuni un ensemble extrêmement complet de publicités pour JOB et NIL. Le commissaire associé, membre d’une association de promotion de l'histoire locale, peut être de bon conseil. --gede (d) 23 février 2013 à 15:08 (CET)
- Merci pour la suggestion. Le dossier de presse est très bien fait sur cette expo surtout pour la présentation de la famille Bardou. Je m'en suis servi comme source. Mais cette affiche a été oubliée (d'autres aussi). Je me renseignerai néanmoins. Je pensais que peut-être un contributeur amateur de militaria pourrait y voir des indices (comme les médailles). --jean-louis venet (d) 23 février 2013 à 16:55 (CET)
- Je m’adresserais aux commissaires de l’exposition de l’année dernière au musée Rigaud sur la famille Bardou, qui avait réuni un ensemble extrêmement complet de publicités pour JOB et NIL. Le commissaire associé, membre d’une association de promotion de l'histoire locale, peut être de bon conseil. --gede (d) 23 février 2013 à 15:08 (CET)
- Oui, oui je connais. Beau petit musée, accueil sympa, à visiter pour les personnes de passage à Toulouse. J'y suis allé plusieurs fois déjà. Effectivement, pas impossible qu'ils connaissent (même si là nous sommes carrément dans le très rare).--jean-louis venet (d) 23 février 2013 à 12:21 (CET)
Tonet Timmermans
modifierBonjour ! Je cherche des informations sur la dessinatrice Tonet Timmermans, née en 1926 (?) qui aurait pour frère Gommaar dit nl:Got. Merci d'avance. Philippe Nusbaumer (d) 23 février 2013 à 10:47 (CET)
- S'agissant d'une dessinatrice un bon départ commence par les images voir on y trouve la page citée dans l'article ensuite on retrouve le passé avec le père Félix Timmermans et certainement (selon les légendes de certaines photos) le frère très jeune ou plus âgé GoT.--Doalex (d) 23 février 2013 à 11:47 (CET)
- Merci. Philippe Nusbaumer (d) 23 février 2013 à 12:48 (CET)
- Article créé. Gommaar Timmermans Bertrouf 26 février 2013 à 04:49 (CET)
- Merci. Philippe Nusbaumer (d) 23 février 2013 à 12:48 (CET)
malek haddad derniere imression ed julliart
modifiermalek haddad derniere imression ed julliart — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 41.201.37.51 (discuter), le 23 février 2013 à 12:19 (CET)
- … « vous pouvez répéter la question ? » — Hautbois [canqueter] 23 février 2013 à 12:34 (CET)
- Il faut regarder du côté de Malek Haddad. Plusieurs bouquins de lui ont, en effet, été édités aux Éditions Julliard. Dr. ès-charabia Xofc [me contacter] 23 février 2013 à 17:06 (CET)
Je cherche le titre d'un film
modifierBonjour, je cherche le titre d'un film. C'est une comédie française qui date des années 2000. Je me souviens que c'est un homme qui est séduit par une femme aisée puis se fait inviter chez elle pour un diner (avec d'autres invités) et il lui arrive pleins de péripéties sur place. A la fin il se retrouve a coucher avec 2 soeurs de milieux modestes sans trop savoir comment il est arrivé la. J'avais fait des recherches à l'époque et je crois que le réalisateur ne fait que des films de ce genre. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 110.77.226.188 (discuter) Personne ne trouve ? c'est un film très drole avec des gags à la mister bean.
- Changement d'adresse 2006 ; Un fil à la patte 2005 ; Cliente 2008 ; Elles ne pensent qu'à ça ! 1994 ? --Bertrouf 28 février 2013 à 08:15 (CET)
CV de Philippe BOUVARD
modifierMadame, Monsieur,
Je suis étonné que WIKIPEDIA indique que l'animateur de RTL, monsieur Philippe BOUVARD, porte le nom de son beau-père.
Pourriez-vous vérifier la véracité de cette affirmation car j'ai connu ses 3 demi-frères (dont Jean-Pierre) et sa demi soeur au Maroc qui s'appelaient tous BOUVARD, et dont le père cultivait (entre autre) des tomates à OUALIDIA (Maroc) ?
Cela signifierait que BOUVARD serait le nom du père biologique de Philippe et non pas celui de son père nouricier.
Actuellement on peut trouver sur Internet un site des associés MOUNIER - BOUVARD (bijoutiers à Casablanca)dont Jean-Pierre BOUVARD serait le demi-frère de Philippe BOUVARD.
Je vous remercie pour la vérification.
- Bonjour, pourriez-vous préciser la question ? Si ses demi-frères (donc les fils de son beau-père si je suis bien) s'appelle Bouvard, c'est donc que son beau-père s'appelle Bouvard. Non ? Turb (d) 24 février 2013 à 20:57 (CET)
- Je n'ai pas trouvé le nom complet du résistant tailleur à Paris libéré par le recteur de la mosquée. Ca aurait pu répondre à la question. Mais la journaliste qui l'a interviewé est formelle sur la provenance du nom de famille : ici --Bertrouf 25 février 2013 à 03:27 (CET)
- Pour le résistant on sait aussi qu'il a obtenu la Médaille de la Résistance mais là les recherches deviennent plus compliquées.--Doalex (d) 25 février 2013 à 12:58 (CET)
- Je n'ai pas trouvé le nom complet du résistant tailleur à Paris libéré par le recteur de la mosquée. Ca aurait pu répondre à la question. Mais la journaliste qui l'a interviewé est formelle sur la provenance du nom de famille : ici --Bertrouf 25 février 2013 à 03:27 (CET)
Michel Simon a défendu dans une lettre émouvante, le monde des Artistes.
modifierBonjour et merci à l'Oracle de venir à mon aide dans cette recherche. AD.21 Dimanche 24 février 2013 21 h 50.
- Bonjour. --GaAs (d) 24 février 2013 à 23:46 (CET)
- Navrée : rien trouvé, Égoïté (d) 25 février 2013 à 00:26 (CET)
- Ça ne serait pas une scène d’un film où Michel Simon joue le rôle d’un vieil acteur… ça va me revenir (Internet soit loué !) mais c’est peut-être pas ça. Morburre (d) 25 février 2013 à 07:55 (CET) Voilà : La Fin du jour, de Julien Duvivier.
- Navrée : rien trouvé, Égoïté (d) 25 février 2013 à 00:26 (CET)
Remerciements pour ces informations j'accepte en effet qu'il s'agisse de "La Fin du Jour",
Münchhausen
modifierBonjour,
Entre syndrome de Münchhausen et syndrome de Münchhausen par procuration, quelle serait le nom d’une autre affection approchante qui n’utiliserait que le seul clavier « émotionnel » aux mêmes fins, sans pour autant attenter directement à l’intégrité physique ?
Un exemple parmi maintes autres variantes et déclinaisons possibles ici : → [5].
Merci pour vos réponses !
Bien cordialement !
euphonie bréviaire
24 février 2013 à 23:50 (CET)
- Sans être du tout spécialiste, j'ai l'impression que ça n'a rien à voir. D'après ce que je comprends, le syndrome de Münchhausen est caractérisé par la fréquence des consultations médicales (c'est une forme d'hypochondrie, ou quelque chose comme ça). Le cas décrit dans le résumé de bouquin s'apparente simplement à de la maltraitance. Ceci dit, je doute qu'on puisse faire le diagniostic d'une maladie psychiatrique à partir du résumé d'un roman :-) Arnaudus (d) 25 février 2013 à 09:14 (CET)
- Effectivement, vous avez raison, l’exemple précité n’est vraisemblablement pas suffisamment parlant pour illustrer la question posée. Pourtant, le cas exposé dans le livre qui en rapporte la teneur correspond bel et bien à une réalité tangible, puisque résultant de l’expérience clinique de l’auteur. Ici, cependant, la maltraitance est « indirecte », bien qu’elle puisse potentiellement revêtir ceci de commun avec le syndrome en question qu’elle favoriserait insidieusement la dégradation d’une situation, tout en s’attribuant — illusoirement — une image d’exemplarité, quitte à passer outre sur l’évidence d’une réalité sournoise, cf. réaction de l’un des parents lorsque le praticien tente de le confronter au paradoxe du cadeau concerné : → [6]. Dans la version « autarcique » — soit : qui n’implique pas un tiers dans la nocuité autogène —, le but recherché par la personne qui s’y adonne consiste à s’évertuer à focaliser — artificiellement — l’attention sur elle-même en « provoquant » — de façon calculée et soigneusement occultée — la totalité des maux qui l’assaillent. Quant à la mouture déclinée sous forme de « procuration » ou « by proxy », la tendance va hélas parfois jusqu’au meurtre (indétectable) de l’enfant (généralement par étouffement). Pourtant, le moteur d’un acte aussi définitif ne repose pas sur une réelle intention délibérée d’infliger une souffrance par « plaisir », pas plus que ses fondements ne sont imputables à un quelconque énervement ou emportement incontrôlable. Non, la motivation inavouée vise bel et bien à se « délecter », au final, de la « compassion » qui serait vouée à « une mère frappée de plein fouet par le sort, condamnée à devoir endurer une épreuve aussi dévastatrice que celle abolissant le fruit de sa chair ». Finalité omniprésente : phagocyter l’empathie et la sollicitude tout en demeurant — en coulisse — l’artisane quintessenciée d’un malheur aussi individualisé que créé de toute pièce. Ma question serait de savoir s’il existe concomitamment une dénomination qui s’avérerait propice à une éventuelle variante essentiellement « psychologique » dudit syndrome, mais dont la déclinaison s’articulerait alors avant tout autour du clavier émotionnel ou psychique, sans atteinte — du moins, pas directement — à l’intégrité physique. Par exemple : une personne se plaindrait ostentatoirement d’être la victime d’un corbeau qui la poursuivrait de ses assiduités, qui la harcèlerait incessamment de lettres infâmes tant par courrier postal, par email, que sur le web ou autre, lui infligeant d’interminables menaces et abominations en tout genre ; ladite victime mobiliserait alors avec ostentation la solidarité de ses proches, de son entourage, de ses voisins, des avocats, des forces de l’ordre, du corps médical, des infirmières « émues par l’interminable tourment qui l’accable », etc. … Puis l’on découvrirait, au final, mais bien des années plus tard, qu’elle se serait envoyée à elle-même, en secret, l’intégralité des lettres et écrits diffamatoires mis en accusation, dans le seul but ultime de devenir « la star du moment », de se sentir choyée ainsi que l’objet d’une attention soutenue, constante, unique, privilégiée. Idem dans le cas où les affects intarissables seraient essuyés par sa progéniture que, contraste aidant, elle entourerait de « ses soins attentifs et bienveillants » (du moins, à ce qui transparaitrait au premier degré), donnant ainsi l’impression d’incarner « une mère admirable d’abnégation ». Pourtant, en toile de fond, diaphane, ce serait elle et uniquement elle qui serait à l’origine du calvaire subi, sans que, pour autant, cette « dérive adjacente » ne puisse être en quoi que ce soit décelée ni même soupçonnée puisque, aux yeux du monde, celle qui actionnerait subtilement les fils du destin demeurerait savamment « irréprochable ». Si ensuite l’enfant, poussé à bout, en venait à commettre l’irréparable, la responsable — pourtant si « touchante de dévouement et d’amour maternel » (en apparence) —, ayant su rester « invisible » dans l’éclosion de cette issue fatale, jouerait à merveille le rôle de la génitrice éplorée, s’affichant alors de façon éloquemment crédible comme « abasourdie », « anéantie », n’escomptant qu’un « bénéfice » : se faire plaindre jusqu’à plus soif lors des obsèques, mobiliser la presse, collecter les témoignages de sympathie et de soutien en sa faveur aussi longtemps que possible ... avant de se remettre un jour ou l’autre à exercer de plus belle encore le même stratagème... au détriment d’une autre « cible ». — euphonie bréviaire 25 février 2013 à 12:30 / 13:20 / 13:42 / 14:50 / 14:56 / 15:20 / 23:30 (CET)
- Salut Euphonie, je précise d'emblée que je n'ai pas de réponse quant à un éventuel syndrome que tu recherches. Cependant, d'un point de vue psychanalytique, je suis plutôt enclin à me méfier des nosographies qui ont trait au psychisme et autres classements type DSM. Il me paraît toujours difficile de réduire un individu à une case ou une classification, et ce d'autant plus qu'un individu est en souffrance et présente un symptôme susceptible de le faire souffrir, lui ou d'autres. Le symptôme ou le syndrome étant toujours le signe d'une souffrance autre, enfouie dans le vécu, souvent infantile, du sujet. À mes yeux, c'est une manie utilitariste, anglo-saxonne et signe d'une médicalisation qui réduit l'individu à une mécanique inhumaine. En psychanalyse, on se contente principalement de deux grands types psychiques, la névrose, que toute le monde partage à des degrés divers, et la psychose, autrement dit la folie. L'essentiel étant que de manière inconsciente, certains peuvent être conduits à répéter, sous des formes parfois détournées, des souffrances vécues et occultées. Reste que de tels gestes, dans les exemples que tu donnes, sont très difficiles à interpréter, il faudrait connaître l'histoire de ces personnes pour pouvoir émettre des hypothèses. Cela dit, comme tu le soulignes, dans le cas de la persécution fictive ou le syndrome de Münchausen, on peut évidemment y voir une volonté d'attirer l'attention, par suite, par exemple, d'un manque affectif vécu ou fantasmé. Mais c'est pure spéculation. Comme dans le cas du cadeau du fusil, qu'effectivement l'on peut voir comme un encouragement à se suicider, sans doute inconscient de la part des parents. Mais pourquoi ? Je ne crois pas que mettre un terme précis (tel syndrome de...) fournisse plus d'explication que ça. Enfin, je suis très enclin à me méfier de ces psychiatres qui, comme celui de l'ouvrage que tu cites, vont, pour ce que j'en ai compris, chercher des réponses du côté de la Bible et utiliser des catégories morales, telle celle de « mal ». Cela me paraît complètement étranger à la notion de souffrance psychique et d'inconscient. Cordialement. --JoleK (d) 27 février 2013 à 19:12 (CET)
- Effectivement, vous avez raison, l’exemple précité n’est vraisemblablement pas suffisamment parlant pour illustrer la question posée. Pourtant, le cas exposé dans le livre qui en rapporte la teneur correspond bel et bien à une réalité tangible, puisque résultant de l’expérience clinique de l’auteur. Ici, cependant, la maltraitance est « indirecte », bien qu’elle puisse potentiellement revêtir ceci de commun avec le syndrome en question qu’elle favoriserait insidieusement la dégradation d’une situation, tout en s’attribuant — illusoirement — une image d’exemplarité, quitte à passer outre sur l’évidence d’une réalité sournoise, cf. réaction de l’un des parents lorsque le praticien tente de le confronter au paradoxe du cadeau concerné : → [6]. Dans la version « autarcique » — soit : qui n’implique pas un tiers dans la nocuité autogène —, le but recherché par la personne qui s’y adonne consiste à s’évertuer à focaliser — artificiellement — l’attention sur elle-même en « provoquant » — de façon calculée et soigneusement occultée — la totalité des maux qui l’assaillent. Quant à la mouture déclinée sous forme de « procuration » ou « by proxy », la tendance va hélas parfois jusqu’au meurtre (indétectable) de l’enfant (généralement par étouffement). Pourtant, le moteur d’un acte aussi définitif ne repose pas sur une réelle intention délibérée d’infliger une souffrance par « plaisir », pas plus que ses fondements ne sont imputables à un quelconque énervement ou emportement incontrôlable. Non, la motivation inavouée vise bel et bien à se « délecter », au final, de la « compassion » qui serait vouée à « une mère frappée de plein fouet par le sort, condamnée à devoir endurer une épreuve aussi dévastatrice que celle abolissant le fruit de sa chair ». Finalité omniprésente : phagocyter l’empathie et la sollicitude tout en demeurant — en coulisse — l’artisane quintessenciée d’un malheur aussi individualisé que créé de toute pièce. Ma question serait de savoir s’il existe concomitamment une dénomination qui s’avérerait propice à une éventuelle variante essentiellement « psychologique » dudit syndrome, mais dont la déclinaison s’articulerait alors avant tout autour du clavier émotionnel ou psychique, sans atteinte — du moins, pas directement — à l’intégrité physique. Par exemple : une personne se plaindrait ostentatoirement d’être la victime d’un corbeau qui la poursuivrait de ses assiduités, qui la harcèlerait incessamment de lettres infâmes tant par courrier postal, par email, que sur le web ou autre, lui infligeant d’interminables menaces et abominations en tout genre ; ladite victime mobiliserait alors avec ostentation la solidarité de ses proches, de son entourage, de ses voisins, des avocats, des forces de l’ordre, du corps médical, des infirmières « émues par l’interminable tourment qui l’accable », etc. … Puis l’on découvrirait, au final, mais bien des années plus tard, qu’elle se serait envoyée à elle-même, en secret, l’intégralité des lettres et écrits diffamatoires mis en accusation, dans le seul but ultime de devenir « la star du moment », de se sentir choyée ainsi que l’objet d’une attention soutenue, constante, unique, privilégiée. Idem dans le cas où les affects intarissables seraient essuyés par sa progéniture que, contraste aidant, elle entourerait de « ses soins attentifs et bienveillants » (du moins, à ce qui transparaitrait au premier degré), donnant ainsi l’impression d’incarner « une mère admirable d’abnégation ». Pourtant, en toile de fond, diaphane, ce serait elle et uniquement elle qui serait à l’origine du calvaire subi, sans que, pour autant, cette « dérive adjacente » ne puisse être en quoi que ce soit décelée ni même soupçonnée puisque, aux yeux du monde, celle qui actionnerait subtilement les fils du destin demeurerait savamment « irréprochable ». Si ensuite l’enfant, poussé à bout, en venait à commettre l’irréparable, la responsable — pourtant si « touchante de dévouement et d’amour maternel » (en apparence) —, ayant su rester « invisible » dans l’éclosion de cette issue fatale, jouerait à merveille le rôle de la génitrice éplorée, s’affichant alors de façon éloquemment crédible comme « abasourdie », « anéantie », n’escomptant qu’un « bénéfice » : se faire plaindre jusqu’à plus soif lors des obsèques, mobiliser la presse, collecter les témoignages de sympathie et de soutien en sa faveur aussi longtemps que possible ... avant de se remettre un jour ou l’autre à exercer de plus belle encore le même stratagème... au détriment d’une autre « cible ». — euphonie bréviaire 25 février 2013 à 12:30 / 13:20 / 13:42 / 14:50 / 14:56 / 15:20 / 23:30 (CET)