Wikipédia:Oracle/semaine 42 2013

Dernier commentaire : il y a 11 ans par Hautbois dans le sujet Internet au Japon

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insecte inconnu

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Bonjour, Je suis nouveau sur Wikipédia, Ce weekend, dans le Hainaut en Belgique j'ai vu cet insecte que j'ai pris en photos, il m'avait l'air malade ou en fin de vie. Est-ce que quelqu'un sait ce que c'est?

Désolé pour la qualité des photos, je n'avais que le téléphone sous la main. Merci pour vos réponses et ou commentaires, A bientôt. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Bertrandnat (discuter), le 14 octobre 2013 à 10:07 (CEST)Répondre

Bonjour,
Je pense à cet insecte : Staphylinus olens. Cela correspond-il? Mitch-Mitch 14 octobre 2013 à 11:38 (CEST)Répondre
Sinon, poser la question dans la section spécialisée : Projet:Entomologie/Quel est cet insecte ? (une section de Wikipédia:Atelier identification) -- Xofc [me contacter] 14 octobre 2013 à 11:44 (CEST)Répondre
Staphylinus olens sans hésiter — Hautbois [canqueter]

Un petit problème pour moi : les insectes ont trois paires de pattes et ici il y en a manifestement quatre. Ce n'est donc pas un insecte. --Yelkrokoyade (discuter) 27 octobre 2013 à 00:03 (CEST)Répondre

… bah non ! Change de lunettes, clique sur la photo (c'est plus grand) et vois : trois pattes à droite, un bout de l'avant gauche (mais son ombre est presque entière), un petit bout de l'arrière gauche, celle du milieu gauche est complètement cachée… bref trois d'un côté, deux un peu visibles, une cachée : ça fait six. Point — Hautbois [canqueter] 27 octobre 2013 à 00:44 (CEST)Répondre

les mots du dictionnaire

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Bonjour, je cherche la "base de données" suivante: l'ensemble des mots du dictionnaire, dans un format informatique intermédiaire, type un tableur XL, sur deux colonnes:

1. une colonne pour le mot, 
2. une autre pour sa nature grammaticale?

une telle base de donnée existe-t-elle chez Wikipedia? ou quelque part en "open source", et chez qui?

Ceci est une question qui a plus de chances de recevoir une réponse dans le Wiktionnaire. Dhatier discuter 14 octobre 2013 à 15:10 (CEST)Répondre
Sinon, voir aussi du côté de Thésaurus. -- Xofc [me contacter] 14 octobre 2013 à 15:16 (CEST)Répondre
Le lexique de l'université Paris Descartes est le meilleur que j'ai trouvé en libre accès, voir http://www.lexique.org --Rene1596 (discuter) 15 octobre 2013 à 13:00 (CEST)Répondre

réacteur nucléaire Minerve

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Minerve

bonjour, comment le réacteur minerve, initialement construit au fort de Chatillon à Fontenay-aux-Roses, a-t-il pu être déménagé en 1977 vers Cadarache, et ensuite seulement arrêté en 1982 à Fontenay-aux-Roses? N'y aurait-il pas une incohérence quelque part? merci pour vos lumières. --Moulins (discuter) 14 octobre 2013 à 16:14 (CEST)Répondre

Bonsoir, en effet voici le décret du 27 septembre 1977 ; et cette info Deux réacteurs de faible puissance entrent en activité en 1959. Triton doit servir à tester les composants au cœur des réacteurs industriels. Il a été arrêté en 1982 et son démantèlement s'est achevé en 2004 L'autre réacteur, Minerve, destiné à la recherche sur les neutrons, est désactivé en 1976, démantelé puis entièrement remonté sur le site du CEA de Cadarache. (Le Parisien). Il y a eu confusion entre Triton et Minerve. J'ai modifié l'article. Cordialement Léah[le dernier salon où l'on cause] 14 octobre 2013 à 23:18 (CEST)Répondre

PS selon L'HCTISN Triton ET Minerve ont été arrêtés en 82 ; et il ne parle pas du déménagement. Cependant un pdf Valider les calculs de neutronique du CEA confirme l'arrêt de Minerve en 1976 à Fontenay et un remontage à Cadarache. Donc en attente d'autres avis, je ne modifie rien :-) Léah[le dernier salon où l'on cause] 14 octobre 2013 à 23:40 (CEST)Répondre
merci pour toutes ces sources très intéressantes : le lien vers le décret du 27 septembre et la citation de l'article du parisien ainsi que le pdf de neutronique du CEA.
toutes ces sources convergent vers l'idée que le réacteur a été arrêté puis transferé à Cadarche entre 1976 et 1977. Je pense que le HCTISN a effectivement fait une confusion entre Triton et Minerve, sur le HCTISN Triton ET Minerve ont été arrêtés à Fontenay-aux-Roses en 82, or tout porte à croire que Minerve avait déjà déménagé à Cadarache depuis 1977. Je modifie l'article en conséquence, et j'envoie un mail au HCTISN pour leur signaler leur erreur.--Moulins (discuter) 15 octobre 2013 à 11:33 (CEST)Répondre
Bonjour. +1. D'après la liste des installation nucléaire de base (voir le site de l'ASN pour la http://www.asn.fr/index.php/content/download/25840/155012/file/annexes_INB_declassees.pdf liste des INB supprimées), Minerve (INB n° 12, Fontenay, réacteur de 0,1 kWth, mise en service 1959) a été rayée de la liste en 1977, démonté et remonté à Cadarache, oui. Après on retrouve encore un Minerve (INB n° 95, St Paul les Durance, mis en service en 1977[. Ce qui est arrêté en 82 à Fontenay c'est le réacteur Triton 5 (même source). Cordialement, Biem (discuter) 15 octobre 2013 à 17:49 (CEST)Répondre

Actes de vente

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Bonjour Messieurs mesdames,

En quelle année fut créé le premier acte de vente pour un terrain en France et par qui?

Des actes notariés étaient déjà couramment rédigés par des notaires dans la Gaule romaine.
En France cela remonterait donc à la naissance du Royaume de France en 987.
Voir cet historique du notariat sur le site du conseil régional des notaires de la cour d'appel de Rouen--Moulins (discuter) 15 octobre 2013 à 12:04 (CEST)Répondre

Droit de reproduction et d'édition de textes littéraires

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Bonjour, J'ai réalisé pour une asbl un livre intitulé "Marguerite Yourcenar. "C'est avoir tort que d'avoir raison trop tôt" Aphorismes. Lorsque j'ai demandé le montant des droits de reproduction à Gallimard, il a refusé l'édition, sans encore en fournir les causes. Malheureusement, le livre est déjà édité car on ne s'attendait guère à un refus. Ma question : étant donné que le livre est distribué gratuitement à nos membres (cela fait partie des services aux membres), que le tirage est réduit (350 ex), ne peut-on considérer qu'il s'agit d'une édition confidentielle, non soumise à autorisation de Gallimard et des ayants-droit de l'auteur? Qui que ce soit qui me répond, je le remercie déjà et espère que nous trouverons une issue à ce conflit. Merci Michèle Goslar pour le Centre international de Documentation Marguerite Yourcenar. Administratrice déléguée et responsable des publications.

Je réponds plus en regard des problèmes de publications que l'on connaît sur Wikipédia. Si vous êtes l'auteur de ce livre, vous en avez les droits donc le problème ne se pose pas. Si vous reprenez dans le livre des citations de M. Yourcenar, il faut voir si vous dépassez le cadre du droit de citation. Et si tel est le cas, je pense qu'un avocat serait plus à même de vous renseigner sur les risques effectifs, car formellement vous n'êtes pas dans le cadre de la loi. v_atekor (discuter) 15 octobre 2013 à 17:39 (CEST)Répondre
A priori, non, voir les exceptions admises par le code de la propriété intellectuelle Art. L. 122-5. Si le texte est soumis à droit d'auteur, ne sont autorisées que des publications restreintes au cercle famillial, ou destinées à un support de cours. Le droit à courte citation correspond à une " Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées ", ce n'est pas le cas ici. Biem (discuter) 15 octobre 2013 à 17:54 (CEST)Répondre
De toutes manières, le refus de Gallimard vous met forcément dans une situation inconfortable : le fait même de leur avoir demandé est un très bon argument pour affirmer que vous étiez au courant que sans leur autorisation, vous commettiez une contrefaçon. L'idée de repartir sur un argument de type "diffusion familiale" ou "courte citation" n'est donc pas très crédible, puisqu'il sera assez difficile de faire valoir votre bonne foi. La première solution est donc de balancer les livres au pilon. La deuxième solution est de distribuer les livres ni vu ni connu, en espérant que Gallimard n'en saura rien. La troisième solution est de mettre Gammilard devant le fait accompli, et de leur laisser l'option de demander des droits raisonnables, d'aller au tribunal, ou de laisser tomber.
Sur la forme, j'imagine que Gallimard défend simplement une exclusivité. Ils considèrent que quelque soit le montant des droits, ils y perderaient plus en remettant en cause leur exclusivité. Arnaudus (discuter) 15 octobre 2013 à 18:19 (CEST)Répondre
En effet, avec 350 exemplaires, ça ne pourrait guère passer pour une diffusion familiale... à moins d'être Starbuck-Fonzy. Pour rester dans le thème de la reproduction. -- Asclepias (discuter) 16 octobre 2013 à 00:34 (CEST)Répondre
Sans vouloir être méchant (mais je sais que je le suis, pardonnez-moi), si vous êtes responsable de publications, commencez par apprendre le b-a-ba du métier. L’édition, c’est comme Wikipédia, un monde sans pitié. Toujours se renseigner avant. --Morburre (discuter) 17 octobre 2013 à 13:45 (CEST)Répondre

Prénom dans un acte de naissance.

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Bonjour,

En cas de changement de sexe et donc de prénom, quel est le prénom dans l'acte de naissance du Service central d'état civil (de Nantes) des personnes nées à l'étranger ? Le prénom initial ou le prénom choisi ?

Merci d'avance. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.7.224.228 (discuter), le 15 octobre 2013 à 17:33

Salut. Quel que soit le bureau d'état-civil, si le changement est officiel (décision de justice) il doit être porté sur le registre, s'il est seulement d'usage, pas de mention sur ce registre. -O.--M.--H.- 15 octobre 2013 à 18:40 (CEST)Répondre
Pour être précis, voici ce que dit le Code civil : « Article 60. Toute personne qui justifie d'un intérêt légitime peut demander à changer de prénom. La demande est portée devant le juge aux affaires familiales à la requête de l'intéressé ou, s'il s'agit d'un mineur ou d'un majeur en tutelle, à la requête de son représentant légal. L'adjonction , la suppression ou la modification de l'ordre des prénoms peut pareillement être décidée. Si l'enfant est âgé de plus de treize ans, son consentement personnel est requis » ; « Article 61-4. Mention des décisions de changement de prénoms et de nom est portée en marge des actes de l'état civil de l'intéressé et, le cas échéant, de ceux de son conjoint et de ses enfants ».
OlivierHammam 16 octobre 2013 à 06:52 (CEST)Répondre

Question digestive

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… un spaghetti dans l'appareil digestif ? N'est-ce pas chercher une aiguille dans une meule de foin ? — Hautbois [canqueter]

Monsieur l'Oracle de wikipédia,

Suite a l'injection buccale d'un spaghetti entier,pourrait-on déféquer un selle composée de ce même spaghetti entier?

Merci pour votre recherche.

Salut. L'oracle est androgyne. La réponse est non, en arrivant dans l'estomac il sera malaxé, brisé, bref digéré. -O.--M.--H.- 15 octobre 2013 à 20:24 (CEST)Répondre
Néanmoins, si vous prenez la précaution de placer votre spaghetti entier dans un préservatif soigneusement noué, il n'est pas impossible que l'exfiltration soit un succès. Attention, ne prenez pas l'avion, vous risquez d'être ridicule. Cordialement. --le sourcier 15 octobre 2013 à 23:53 (CEST)Répondre
… dans l'article spaghetti, il est précisé que, d'après la recette de Cyril Lignac, « la part idéale pour une personne typique est de 112 spaghettis » ! Attention au 113e, il fait grossir et se défèque d'un seul tenant ÉmoticôneHautbois [canqueter] 16 octobre 2013 à 12:16 (CEST) Et pas une once de second degré ne transparaît de cette histoire de 112 spaghettis... mazette...! rv1729 16 octobre 2013 à 21:59 (CEST)Répondre
Un selle, une caca. Est-ce qu’un spaghetti tout seul ne s’appelle pas un spaghetto ? --Morburre (discuter) 17 octobre 2013 à 09:10 (CEST)Répondre
… et, puisqu'on est dans le domaine, un pipi tout seul… c'est un pipo ? (Je vais faire un pipo dans les lavabi ? Et le matin, le confetto… ) ÉmoticôneHautbois [canqueter] 17 octobre 2013 à 09:19 (CEST)Répondre
Il y avait un truc qui me chiffonnait dans la question, on ne dit pas plutôt ingestion ? CQui (discuter) 21 octobre 2013 à 09:09 (CEST)Répondre
En cas de gavage on peut parler d'injection Émoticône sourire >O~~H< 24 octobre 2013 à 09:10 (CEST)Répondre

Pourquoi

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Oracle, quel est le sens de la vie?

… tout droit ! — Hautbois [canqueter] 15 octobre 2013 à 21:15 (CEST) Vers la tombe ? OlivierHammam …oui, sauf si on passe l'â(r)me à gauche trop tôt à la bifurcation. — Hautbois [canqueter] 18 octobre 2013 à 09:21 (CEST) Répondre
42 Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.
v_atekor (discuter) 15 octobre 2013 à 22:11 (CEST)Répondre
42 ! je vois que certains ont de solides références. Cordialement Léah[le dernier salon où l'on cause] 15 octobre 2013 à 23:08 (CEST)Répondre
Il n'y en a pas. --le sourcier 15 octobre 2013 à 23:42 (CEST)Répondre
Si c'est une question pratique concernant un parcours de vie individuel, on peut dire que le sens de la vie est d'accomplir au mieux la destinée d'un représentant de telle espèce, en ce cas chaque individu a un sens de vie différent selon son espèce mais tous ont en commun de devoir ou vouloir se réaliser au mieux en son espèce. Si c'est une question métaphysique sur la vie en général, et bien je dis comme le sourcier, il n'y en a pas, ou du moins on ne dispose d'aucun moyen certain pour déterminer une signification globale à la vie, tout donne à croire que le phénomène vital est aléatoire et qu'il n'a pas de signification particulière. -O.--M.--H.- 16 octobre 2013 à 02:44 (CEST)Répondre
Voir aussi, très simplement le Sens de la vie ou Le Sens de la vie. Et pour toute autre signification Le Sens de la vie (homonymie). --Serged/ 16 octobre 2013 à 07:16 (CEST)Répondre
de la naissance à la mort --Domingue (d) 16 octobre 2013 à 11:03 (CEST)Répondre
Comme chaque année ou presque, pendant la semaine 42 il y a toujours une question dans ce sens Émoticône sourire, c'est notre marronnier.--Doalex (discuter) 16 octobre 2013 à 20:30 (CEST)Répondre
Voir Le Sens de la vie Émoticône --YB 18 octobre 2013 à 01:20 (CEST)Répondre

Quantité d'huile et radiateurs à bain d'huile

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Bonjour, la question que je me pose concerne le fait que je n'ai jamais trouvé nulle part de renseignements concernant la quantité d'huile embarquée dans un radiateur électrique à bain d'huile. Pourtant, me semble-t-il, de cette quantité dépend l'inertie du radiateur en question et donc son efficacité. Il serait donc peut-être intéressant de compléter la page qui les concerne. Il en va de même concernant, j'imagine, les radiateur en fonte ou céramique. N'est-il pas regrettable que ne soit fourni aucune courbe d'inertie avec les appareils vendus ? J'avais un glacière "camping gaz" qui proposait justement une courbe de réchauffement.

Bonne continuation et merci à vous. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2001:41d0:fe4a:d400:656d:fb45:45b4:1911 (discuter), le 16 octobre 2013 à 10:17 (CEST)Répondre

Pour les aspects théoriques, voir Inertie thermique et Capacité thermique volumique et massique. -- Xofc [me contacter] 16 octobre 2013 à 11:17 (CEST)Répondre

vente des terres

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BONJOUR a quel période de notre histoire et qui a décrété que les terres devaient être vendu pour être propriétaire merci beaucoup

SUR INTERNET, abuser de CAPITALES est l'équivalent de CRIER (pardon) dans le langage parlé. Merci de respecter la tranquillité de l'Oracle, qui préfère les questions qui lui sont murmurées à l'oreille...
OlivierHammam 16 octobre 2013 à 11:44 (CEST)Répondre
Cela dit et par intuition, je suppose que Charlemagne est probablement le nom que tu cherches. OlivierHammam 16 octobre 2013 à 11:53 (CEST)Répondre
De toutes manières, je ne comprends pas vraiment la question : on peut devenir propriétaire suite à un legs ou un héritage, par exemple. Est-ce que la question ne porte pas plus sur la différence entre l'usufruit et a propriété? Arnaudus (discuter) 16 octobre 2013 à 15:41 (CEST)Répondre
je crois comprendre qu'il s'agit d'un point de vue critique sur la propriété. Voir notamment l'article Propriété#Propri.C3.A9t.C3.A9 et philosophie politique, dans lequel vous trouverez trois sections intitulées "La propriété sujet de rivalités et de guerres", « La propriété, c'est le vol » et "Propriété et capitalisme".--Moulins (discuter) 16 octobre 2013 à 20:51 (CEST)Répondre
P.S. : pour mieux comprendre la question voir aussi Wikipédia:Oracle/semaine_42_2013#Actes_de_vente qui me semble être du même auteur.--Moulins (discuter) 16 octobre 2013 à 20:53 (CEST)Répondre
La propriété, c'est le vol. Or le vol existe depuis la plus haute antiquité. Donc… La possession des terres, ça doit remonter à l'époque où les hommes ont commencé à pratiquer l'agriculture, ce qui ne nous rajeunit pas. Mais avant, ils devaient bien se taper dessus pour se disputer les territoires de chasse. --Guingois (discuter) 17 octobre 2013 à 09:06 (CEST)Répondre
Les animaux ont des territoires qu'ils défendent contre les intrus. Ils en marquent les limites, et n'y laissent rentrer que les individus qu'ils souhaitent. Ça ressemble à s'y méprendre au principe de propriété. Les sociétés modernes y ont simplement ajouté le formalisme juridique et la possibilité de transmettre une propriété foncière à une personne précise (vente ou héritage). On a aussi une sorte de superposition de la propriété : le sol appartient à une personne, mais aussi à un État ou au Roi. Mais bon, ça fait beaucoup de blabla autour d'une question complètement incompréhensible... Arnaudus (discuter) 18 octobre 2013 à 11:28 (CEST)Répondre
Si j'essaie de prendre littéralement la question : « décrété que les terres devaient être vendu pour être propriétaire » ce qui pour moi peut laisser sous-entendre qu'avant, il suffisait d'aller sur un terrain (et de planter son drapeau...) pour être propriétaire (ce qui n’est sans-doute pas faux au commencement de l’humanité). Si j’interprète donc bien, la question serait de savoir à partir de quand (et qui le décréta) il ne fut plus possible de revendiquer une terre autrement que par achat - cela-dit, la réponse serait sûrement différente selon les territoires... (my two cents ^^') --Floflo (discuter) 18 octobre 2013 à 11:40 (CEST)Répondre
C'est un peu ce que je me disais. J'ai suggéré Charlemagne car dans son désir de restaurer l’imperium il a établi ou rétabli l'impôt foncier, ce qui implique le titre de propriété négociable, mais ledit empire n'a eu qu'un temps, du moins sur le territoire qui formera la France, suite à quoi eut lieu la féodalité, période durant laquelle on pouvait se tailler un fief sur le dos d'un ennemi vaincu sans avoir nullement à acheter la terre. Par la suite il y eut des périodes « légalistes » où les terres se vendaient, échangeaient ou donnaient de manière plus civile, et des périodes troublées où revint le droit du plus fort, bref la question n'est pas si tranchée.
Je dirai que la période la plus continue où sans toujours l'acheter du moins la détention d'une terre se fit par l'obtention légale et légitime du titre de propriété (même si certaines expropriations furent parfois ressenties comme illégitimes, cf. le Larzac) est celle postérieure à juin 1944, puisque durant la période de l'Occupation eurent lieu des expropriations certes légales mais à coup sûr illégitimes, pour motifs religieux, raciaux ou politiques. La réponse serait alors Charles de Gaulle. OlivierHammam 18 octobre 2013 à 12:37 (CEST)Répondre

Fasciola hepatica

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On a les foies quand on voit ça...

bonjour messieurs ou madame responsable du site

je vous demande de bien vouloir répondre à ma question si c est possible,

pendant l'ouverture du ventre du mouton lors de la cérémonie de la fête du mouton j'ai touché le parasite "Fasciola hepaticaen ouvrant le foie pour vérification je tombe sur des parasites qui bougent;

je me suis lavé les mains avec de l'eau propre et de l'eau de javel;

nous avons jeté et les poumons, le foie ainsi que les intestins et j ai couru après avoir nettoyé la place, vers le site international qui est wikipédia pour me renseigner sur ce parasite,

prière me renseigner que faire dans mon cas malgré le lavage je reste inquiet,

mes sincères salutations

Mohamed lemzaoui — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 196.217.190.67 (discuter), le 16 octobre 2013 à 16:34 (CEST)Répondre

Logo de courriel Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).
A priori, pas grand chose à craindre. Les contaminations à l'Homme sont rares, ça se passe par ingestion, et surtout, ce n'est pas le stade adulte qui est contaminant. Par contre, je ne sais pas s'il est raisonnable de manger le mouton. Arnaudus (discuter) 16 octobre 2013 à 16:56 (CEST)Répondre
Comme indiqué par Arnaudus, j'espère que le mouton était bien cuit, car la principale voie de contamination, c'est par l'alimentation, non par le contact. v_atekor (discuter) 16 octobre 2013 à 20:21 (CEST)Répondre

Yéti

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Bonjour, c’est CQui,

Je viens de lire qu’un britannique a identifié le yéti comme un croisement de deux animaux moderne, d’il y a 120 000 ans…

Je me demandais comment deux animaux modernes peuvent être croisés dans le passé ?

J’imagine que ces animaux n’ont pas beaucoup évolués depuis mais qu’a l’époque le climat permettait à leurs ancêtres de se rencontrer.

Y a-t-il des pythies qui en savent plus pour nous éclairer ? CQui (discuter) 18 octobre 2013 à 08:52 (CEST)Répondre

Ce qui est scientifiquement prouvé, c'est que l'Homme a besoin de croire à des choses qui n'existent pas. Le yéti (bigfoot, Jean de l'Ours, Basajaun, etc.) a autant d'existence que la fée Clochette : dans l'imaginaire. Et c'est pas rien, mais il ne faut pas mélanger. --Guingois (discuter) 18 octobre 2013 à 09:18 (CEST)Répondre
Il y a même des personnes très sérieuses (du moins, dans d'autres domaines) qui font des expéditions de cryptozoologie ou de cryptobotanique, expéditions qui ont en commun pour l'heure de ne ramener aucun résultat, et ça semble destiné à ne pas changer pour les temps à venir... OlivierHammam 18 octobre 2013 à 09:32 (CEST)Répondre
Pourquoi on dit toujours LE yéti ? et pas les yétis, un petit yéti, un yéti mâle, un yéti femelle, une famille yéti ? Il est tout seul, le yéti ? Il a pas de papa, pas de maman, pas de copain ? Et il vit comme ça depuis 120 000 ans, sans crever d’ennui ? Et pourquoi pas un de ces scientifiques bidon ne nous explique comment il est censé se reproduire, vivre, et éventuellement mourir, sans que jamais on n’en retrouve un bout un peu consistant, à part une touffe de poils, une empreinte dans la neige, ou un témoignage toujours indirect (l’homme qui a vu l’homme qui a vu le yéti-ours) ? --Morburre (discuter) 18 octobre 2013 à 09:40 (CEST)Répondre
Je n'ai pas lu l'article scientifique original. Je n'ai lu que des articles de journalistes depuis deux jours, et ce qui est certain, c'est que les journalistes n'ont absolument rien compris, et qu'il est vain d'essayer d'en retirer quoi que ce soit. Il faudrait s'intéresser au vrai travail scientifique pour comprendre ce qu'il en est vraiment. Arnaudus (discuter) 18 octobre 2013 à 11:21 (CEST)Répondre
Situation de Himalaya. Bertrouf 23 octobre 2013 à 05:10 (CEST)Répondre
Ce que j’ai compris de l’information de base, c’est que les poils trouvés correspondent génétiquement à l’ours polaire, qui ne serait pas la même chose que l’ours brun. Et le reste n’est que littérature. --Morburre (discuter) 18 octobre 2013 à 11:54 (CEST)Répondre
<mode à-peu-près>Bon alors, yéti ou yéti pas ?</mode> OlivierHammam 18 octobre 2013 à 12:19 (CEST)Répondre
<mode plus qu'à-peu-près>… l'ail y est-y pour quelque chose ? </mode plus qu'à-peu-près> — Hautbois [canqueter] 18 octobre 2013 à 12:43 (CEST)Répondre
Voici deux articles de journaux scientifiques :
http://www.maxisciences.com/y%E9ti/yeti-et-si-l-039-abominable-homme-des-neiges-etait-un-ours-hybride_art31113.html
http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/actu/d/zoologie-science-decalee-yeti-abominable-ours-neiges-49696/
On y découvre que la nouveauté est d'avoir découvert dans deux régions distantes de 1250 km (la région de Ladakh en Inde, et une forêt de bambous au Bhoutan) des poils d'une quarantaine d'années d'une espèce d'ours brun polaire pas revue depuis 120000 ans 40000 ans. Suite à cela, des hypothèses sont dressées, dont celle qui dit que les abominables hommes des neiges qu'on croit observer de temps à autres sont un croisement entre un ours blanc et un ours brun et qu'il en résulte un comportement atypique et bipède, ainsi que d'autres hypothèses moins tranchées. Le croisement pourrait être récent, ou bien une sous-espèce vivrait dans l'Himalaya et s'y reproduirait. Bertrouf 21 octobre 2013 à 10:33 (CEST)Répondre
EDIT : Je corrige. L'ours en question était polaire et présent de -120000 à -40000 ans. C'est d'ailleurs le fait qu'il soit à des latitudes où on trouve plus souvent des bruns que des blancs qui surprend. Et une carte. Bertrouf 23 octobre 2013 à 04:54 (CEST)Répondre
Ladakh
Bouthan

le général de Gaulle

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… le général et ses (seulement !) deux étoiles. — Hautbois [canqueter]

Bonjour

Comment se fait il que le général de Gaulle ne soit resté que général ? --Kkbs (discuter) 18 octobre 2013 à 12:47 (CEST)Répondre

Salut. Et en plus, à titre temporaire, au départ. Et bien, pour la même raison qui a fait qu'il se retrouva à la tête de la France libre : c'était un soldat indiscipliné qui osait tenir tête à ses chefs, du coup son avancement fut freiné, raison pourquoi en 1940, à l'âge déjà avancé de presque 50 ans et malgré d'excellents états de service il n'était que colonel. OlivierHammam 18 octobre 2013 à 13:01 (CEST)Répondre
Déja, sur le principe même : Général, c'est déja pas mal, et Maréchal, ça fait quand même penser un peu trop à qui-vous-savez. Ensuite, il est de notoriété publique que De Gaulle détestait les décorations et autres breloques ; il a d'ailleurs mentionné dans son testament "Je déclare refuser d'avance toute distinction, promotion, dignité, citation, décoration, qu'elle soit française ou étrangère". J'ai toujours entendu dire qu'il avait insisté pour garder le grade qu'il avait en 1940 (Général de Brigade), en refusant les étoiles supplémentaires. D'ailleurs, techniquement, il a été dégradé en juin 1940, puisqu'il a déserté. Reste à débattre longuement et stérilement de la continuité de l'État français à cette période... Arnaudus (discuter) 18 octobre 2013 à 13:14 (CEST)Répondre

(conflit d'édit)

Ah pardon ! Je viens de comprendre. Et bien, il n'a pas estimé que, étant juge et partie du fait de son implication dans la politique au plus haut niveau à l'issue de la seconde guerre mondiale, il pouvait se décerner lui-même le titre honorifique de maréchal, question d'honnêteté. OlivierHammam 18 octobre 2013 à 13:14 (CEST)Répondre

« Je déclare refuser d'avance toute distinction, promotion, dignité, citation, décoration, qu'elle soit française ou étrangère. Si l'une quelconque m'était décernée, ce serait en violation de mes dernières volontés. » merci à vous, entre temps j'ai lu ses dernières volontés, donc c'est sa volonté, et pas de l'ingratitude. ps : il est quand même bien servi en distinctions nationale et internationales. --Kkbs (discuter) 18 octobre 2013 à 13:32 (CEST)Répondre

… de toutes façons, général (ou amiral) est le grade maximum qu'un militaire peut avoir (ce qui est déjà pas mal), après, pour le nombre d'étoiles, n'étant plus militaire, il ne pouvait plus prétendre comme civil à aucun avancement. Pour maréchal, comme dit plus haut, c'est une distinction uniquement honorifique et politique, hors statut militaire. Donc, il n'est pas "resté que général", il était général, 3 étoiles certes, mais général. — Hautbois [canqueter] 18 octobre 2013 à 13:35 (CEST)Répondre
Même pas trois étoiles, rien que deux. Mais que faisait Michelin ? --Morburre (discuter) 18 octobre 2013 à 14:32 (CEST) (… le Gault et Millau l'aurait toqué et 2 toques = 13 et 14/20 ÉmoticôneHautbois [canqueter])Répondre
… pour quelqu'un qui « refuse d'avance toute distinction, promotion, dignité, citation, décoration, qu'elle soit française ou étrangère », résumons :
Distinctions et récompenses
Armoiries en tant que chevalier de l'Ordre du Séraphin

Distinctions de Grand Maitre :

  • Grand Maître de la Légion d’Honneur 1959, Président de la République
  • Grand Maître de l’Ordre de la Libération1947, Libérateur de la France
  • Grand Maître de l’Ordre national du Mérite 1963, Président de la République

Distinctions étrangères :

… c'est pas si mal, difficile d'en avoir beaucoup plus. — Hautbois [canqueter] 18 octobre 2013 à 20:57 (CEST)Répondre
Tu es de mauvaise foi, en tant que chef de l'État il ne pouvait guère refuser les honneurs dus à la fonction, comme principal responsable de la France libre il aurait eu mauvaise grâce de de pas accepter les breloques qui s'y rapportaient, enfin ce qu'on indique dans son testament est pour les occasions post mortem. À remarquer que ça exclurait la panthéonisation, si on respectait ses volontés. >O~~H< 21 octobre 2013 à 07:40 (CEST)Répondre
… oui, peut-être, mais c'est un peu facile, quand on a déjà tout eu, que l'on est bien repu, de dire après coup : « oh, la la, j'ai plus faim ! » — Hautbois [canqueter] 23 octobre 2013 à 05:09 (CEST)Répondre
… C'est sûr Émoticône sourire >O~~H< 24 octobre 2013 à 09:12 (CEST)Répondre

Écriture à identifier

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Bonjour. Est-ce que quelqu'un pourrait identifier l'écriture utilisée sur le panneau au dessus de l'entrée du temple dans cette photo ? Apparemment elle aurait été prise en Chine et probablement à Kunming ou dans les environs. J'ai pensé à l'écriture yi, mais je ne suis pas sûr. Je suppose que les caractères chinois à droite (佛寺, soit « temple bouddhiste ») sont le traduction de l'inscription mystérieuse. Merci de votre aide. Rāvən (discuter) 18 octobre 2013 à 13:41 (CEST)Répondre

Ça pourrait bien être du tibétain. OlivierHammam 18 octobre 2013 à 14:09 (CEST)Répondre
J'ai posé la même question à l'Oracle anglophone et ça semble être de l'écriture Lanna. Rāvən (discuter) 23 octobre 2013 à 11:08 (CEST)Répondre

À propos de la résilience

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BONJOUR
POUVEZ VOUS répondre à une question concernant la résilience : comment peut on déterminer le moment de la résilience dans le processus de deuil ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 195.130.207.135 (discuter), le 18 octobre 2013 à 16:24 (CEST)Répondre

C'est une question très personnelle, intime, et qui selon moi ne peut avoir de réponse généralisée, le deuil étant l'affaire de chacun. Léah[le dernier salon où l'on cause] 18 octobre 2013 à 17:16 (CEST)Répondre
En gros, c'est quand ça va mieux, non? Je ne suis pas certain qu'il soit nécessaire de mettre un nom technique sur ces trucs là pour aller bien ; quand on lit que "La résilience serait rendue possible grâce à la structuration précoce de la personnalité, par des expériences constructives de l'enfance (avant la confrontation avec des faits potentiellement traumatisants) et parfois par la réflexion, ou la parole, plus rarement par l'encadrement médical d'une thérapie.", ça ne donne pas vraiment envie de s'intéresser aux bases rationnelles du concept en question. Arnaudus (discuter) 18 octobre 2013 à 18:40 (CEST)Répondre
Boris Cyrulnik a (beaucoup?) écrit sur la résilience (mais je ne sais pas où il traite du deuil en particulier). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Xofc (discuter), le 18 octobre 2013 à 18:56 (CEST) (… c'est celui qui dit qui est ! ÉmoticôneHautbois [canqueter])Répondre
On ne peut pas le déterminer et il n'a pas obligatoirement lieu. La résilience est une capacité propre à l'individu, le terme se réfère à la notion en physique qui est proprement « la capacité d'un matériau à absorber de l'énergie quand il se déforme sous l'effet d'un choc », suite à quoi, soit il se rompt ou se déforme, soit il reprend à-peu-près sa forme initiale. Certains individus ont une faible capacité de résilience et n'atteignent donc jamais ce que vous nommez « le moment de la résilience dans le processus de deuil », dit autrement, ne s'en remettent jamais. D'autres s'en remettent très vite, pour d'autres ça prend un certain temps. Bref, il n'y a pas de réponse simple et unique à cette question. OlivierHammam 19 octobre 2013 à 09:56 (CEST)Répondre
Effectivement, pour le dire très rapidement, Cyrulnik est parti du constat que certaines personnes ne se remettaient jamais d'un traumatisme tandis que d'autres y parvenaient (dont lui, puisqu'il a perdu très jeune ses parents). Il a donc utilisé le concept de résilience, terme issu de la physique et très utilisé dans les pays anglo-saxons pour désigner ce fait. J’ai tendance à être critique avec cette importation d'un concept lié à un autre domaine et à une autre langue dans le vocabulaire psychologique français, et je trouve que Cyrulnik n'éclaire au fond pas beaucoup la question. Comme vous le dites vous même, le deuil est un processus, c'est-à-dire qu'il y a à la fois un facteur temps à l’œuvre et un travail à accomplir sur soi-même, éventuellement avec une aide extérieure : voir l’article travail de deuil. Autrement dit, ce qu'on appelle désormais communément la résilience ne tient pas à un moment précis mais est ce travail même qui consiste à « faire son deuil » (et peut parfois aller jusqu'à prendre une existence entière). Il peut éventuellement être considéré comme étant achevé lorsqu'on arrive à « vivre avec » sans trop en souffrir, mais cela se fait progressivement. Cordialement. JoleK (discuter) 21 octobre 2013 à 12:26 (CEST)Répondre

Vitrification

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Bonjour Oracle. J'ai lu quelque part que l'arsenal atomique US permettrait de « vitrifier la planète » : Qu'en est-il vraiment, quelle surface peut-on vitrifier avec l'arsenal existant ? Eh nah? (discuter) 19 octobre 2013 à 12:32 (CEST)Répondre

En tout état de cause, au mieux une trentaine de pourcent de sa surface, les terres émergées. OlivierHammam 19 octobre 2013 à 12:39 (CEST)Répondre
Boule de feu de l'essai Trinity : 300m de diamètre. « La silice contenue dans le sable s'est transformée en verre d'une couleur vert clair, appelé « trinitite » pour l'occasion. »
Robert Oppenheimer et le général Groves examinant le site de l'essai Trinity en septembre 1945, deux mois après l'explosion de la première bombe atomique. La trinitite ne semble pas tellement radioactive.
Non, beaucoup moins que ça - de l'ordre de 0,05 % de la surface des terres émergées.
On peut voir sur ce site les rayons d'actions des différents types de bombes, d'autre part on lit dans Arme nucléaire que « En 1982, on estimait qu'il y avait environ 50 000 armes nucléaires dans le monde totalisant entre 12 000 et 14 000 mégatonnes » ce qui fait en moyenne 50_000 armes de l'ordre de 300 kt. Ce chiffre de 300 kt est un bon ordre de grandeur : des armes plus puissantes causent individuellement beaucoup plus de dégâts, mais la surface détruite par kt est moindre, parce qu'il y a une sur-destruction au centre. Inversement, à énergie égale, plus de petites armes causerait plus de dégâts en terme de km², mais représenterait un coût énorme parce que le coût d'une arme nucléaire ne dépend que faiblement de sa puissance.
La zone de destruction d'une arme de 300 kt est de l'ordre de 200 km², donc si tout l'arsenal de 1982 (où il était au maximum) était dispersé de manière homogène sur un territoire, il y aurait de quoi détruire en gros 10_000_000 km². Les États-Unis ont une superficie de 9 629 048 km², donc c'est à peu près suffisant pour détruire totalement les USA, mais ça fait loin du compte pour la planète entière : les USA ne font que 6,3 % du total des terres habitées d'après Liste des pays et territoires par superficie. Le « bon » élément de comparaison, c'est que ça permet en gros de détruire toute la surface urbanisée du globe, mais en laissant les campagnes intactes.
Ceci étant dit, s'il s'agit de vitrifier le sol, ça demande de le porter à des températures de plus de 1000 °C, donc le simple rayon de destruction ne suffit pas. La vitrification stricto sensu ne concernera au mieux que la zone couverte par la boule de feu, c'est-à-dire une surface de l'ordre du km² par tête. L'arsenal mondial de 1980 pouvait vitrifier un territoire de l'ordre de 50_000 km², 250x200, à peu près un territoire grand comme l'Irlande. De l'ordre de 0,05 % de la surface totale, donc.
Et les irradiations, dans tout ça, me direz-vous ? En fait, l'irradiation directe ne concerne en pratique que des lieux qui sont déjà au départ dévastés par le souffle de l'explosion et grillés par les rayonnements thermiques, donc ça ne change pas grand'chose au résultat final. Dans le Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki il y a eu de l'ordre de 200_000 morts, mais le syndrome d'irradiation aiguë n'a été constaté que pour 5 à 15% des décès, sur des victimes souvent fortement traumatisées par ailleurs (la cause de la mort est donc probablement multiple). Si les explosions sont faites trop près du sol (ce qui ne va pas dans le sens d'une efficacité militaire maximale, et tend donc à être en réalité évité), des retombées nucléaires peuvent faire plus de victime à longue distance, comme le montre l'accident de Castle Bravo. Mais les niveaux mortels ne concernent que des zones limitées, et ne sont atteints que quelques jours. Après ~ un mois, il n'y paraît plus, les « zones radioactives interdites à jamais aux générations futures » sont des fantasmes de science-fiction.
En même temps, un bombardement massif de ce type déclencherait des Tempête de feu qui vitrifierait probablement le sol, donc la surface urbanisée de tout à l'heure se transformerait peut-être en désert vitrifié. Mais c'est impropre de considérer que la vitrification serait due aux explosions atomiques, parce que l'énergie correspondante viendrait en réalité de la combustion des matières locales, pas de l'explosion proprement dite ; c'est comme si on disait qu'une allumette suffit à vitrifier une forêt - en un sen c'est pas faux, mais ça ne reflète pas du tout l'énergie de l’allumette, plutôt l'inflammabilité de la forêt. Mais même en prenant cette interprétation, on ne « vitrifie » que les 6.3% de tout à l'heure, donc plus de 90% des surfaces (montagnes, plaines,...) ne sont pas directement concernées par ces explosions.
C'est déjà un bon argument pour vivre à la campagne, et si l'urbanisation concerne 50% de la population en 2000, ça veut dire que la moitié de la population a des chances très raisonnables de survivre dans l'immédiat à une telle apocalypse. Ceci étant, les survivants n'auront pas dans un sort très enviable. D'une part à moyen terme, évidemment, l'anéantissement de tout le tissu industriel et urbain fait qu'ils seront condamnés à vivre à l'âge de la pierre faute de moyens leur permettant de produire autre chose comme outils et comme source d'énergie (vous savez domestiquer une vache, vous?). Ce serait suffisant en tout cas pour anéantir la civilisation (pas l'humanité, même si c'est une piètre consolation). Mais surtout d'autre part, à court terme, la suie dégagée par la Tempête de feu ci-dessus entraînerait un obscurcissement massif et durable du ciel, donc un hiver nucléaire voire peut-être un effet suffisant pour déclencher une petite ère glaciaire artificielle. L'article en:Nuclear winter est assez ... refroidissant sur ce sujet.
Bref, si l'arsenal nucléaire est insuffisant pour vitrifier la planète, il est probablement suffisant pour la congeler. C'est peut-être pour ça que la course aux armements a été appelée la guerre froide, en fait ...
Cordialement, Biem (discuter) 20 octobre 2013 à 11:08 (CEST)Répondre
Ouahou, même si cela part en divers sens, à forcément étudier de plus près, très intéressant tout ce que tu as dit Biem. J'ai eu plaisir à lire ce que tu as écrit ; merci à toi. --Epsilon0 ε0 21 octobre 2013 à 21:56 (CEST)Répondre
Très intéressant tout ça, en effet. Merci. >O~~H< 24 octobre 2013 à 19:32 (CEST)Répondre

Merci pour cette réponse très détaillée. Effectivement, une vitrification de 0,05 % de la surface des terres émergées est négligeable, mais en même temps, la catastrophe que serait un hiver nucléaire est évidente. Merci encore, Eh nah? (discuter) 20 octobre 2013 à 22:07 (CEST)Répondre

Méthodes d'apprentissage de langues proches en parallèle

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Bonjour,

Je cherche s'il existe des méthodes de langues, des travaux de linguistique comparée (généraux, pas seulement sur un point précis), ou des grammaires qui permettent d'apprendre en parallèle plusieurs langues proches, ou plusieurs dialectes d'une même langue.

Par exemple, si de tels documents existaient pour l'arabe maghrébin ou les langues scandinaves, cela permettrait:

  • d'aller plus vite, par exemple en ne réapprenant pas, quand on étudie l'arabe tunisien ou marocain, ce qu'on a déjà appris en arabe algérien;
  • mais aussi, de ne pas aller trop vite, et de limiter les interférences, en signalant les points qui sont différents d'une langue à l'autre (par exemple, en présentant des tableaux de conjugaison parallèle, ou des listes de vocabulaires parallèles, et en signalant notamment les faux amis qui ont des sens différents dans des langues proches), ou en fournissant des règles de "conversion" d'une langue à une autre, un peu comme le fait cette méthode (en anglais) de portugais qui procède par comparaison avec l'espagnol, supposé déjà connu du lecteur.

Evidemment, on peut tenter d'arriver à ce résultat en consultant en parallèle plusieurs ouvrages consacrés chacun à une langue, mais en pratique, comme les différents documents n'auront pas le même contenu (sauf cas particuliers, comme les listes Swadesh de mots ou les guides de conversation d'Assimil), ce sera très laborieux.

Je ne connais que deux exemples d'ouvrages correspondant (plus ou moins) à ce que je cherche : le guide de conversation rromani d'Assimil, et la grammaire d'albanais de Martin Camaj.

Merci. Apokrif (discuter) 19 octobre 2013 à 13:52 (CEST)Répondre

Bonjour. Ce n’est pas exactement ce que tu cherches, car pas une méthode d’apprentissage de langues, mais tu peux tout de même jeter un œil à « Langues sans frontières. À la découverte des langues de l'Europe » de Georges Kersaudy, qui contient notamment des listes de vocabulaire parallèles dans des langues apparentées. Grasyop 20 octobre 2013 à 14:06 (CEST)Répondre
Si cela n’existe pas il faut l’inventer, mon expérience d’essayer d’apprendre le néerlandais alors que je parlais un peu l’allemand a été un désastre, justement a cause des différences et des similitudes, je n’ai jamais su me rappeler si tel ou tel mot était d’une langue ou de l'autre. --CQui (discuter) 21 octobre 2013 à 09:03 (CEST)Répondre
Pareil pour moi, je lis à peu près couramment les différents dialectes occitans, le catalan, le castillan, et même l’aragonais et autres, sans me poser de questions, jusqu’au moment où je me dis tiens, au fait, c’est écrit en quoi ? Mais si j’essaie de sortir trois mots dans l’un de ces langages, je mélange tout. Il manque quelque part le commutateur automatique qui bloque sur une langue. --Morburre (discuter) 21 octobre 2013 à 12:16 (CEST)Répondre
C'est exactement ce que je crains: qu'il soit facile d'acquérir une compétence passive dans des langues voisines (et de comprendre les différentes Wikipédias en langues latines ou germaniques sans identifier la langue qu'on lit), et même, probablement, de se faire comprendre dans ces différentes langues, mais de parler en fait une sorte d'europanto ou d'interlingua. Un psycholinguiste didacticien, quelque part ? Apokrif (discuter) 21 octobre 2013 à 18:55 (CEST)Répondre
J’ai déjà le problème avec le castillan et l’italien... ! Par contre j’ai vu une fois un film en dialecte napolitain, je l’ai trouvé très intelligible. rv1729 21 octobre 2013 à 23:33 (CEST) Chapeau bas, MorburreRépondre
Ayant quelque peu potassé la lingua franca, ce sabir utilisé en Méditerranée pendant quelques siècles, j’ai pu avoir des conversations poussées avec divers interlocuteurs de différents langages. Je me faisais comprendre immédiatement et sans complexes (la couleur ayant été annoncée : mi non parlare ti lingua; ma no problemo), alors que si j’avais essayé de bien parler, je me serais honteusement planté dès le premier mot. Mais il faut bien reconnaître que ceux qui apprennent vite une langue sont ceux qui n’ont pas peur de faire des fautes. --Morburre (discuter) 22 octobre 2013 à 07:58 (CEST)Répondre
J’ai essayé de faire ça avec des roumains parce que quand ils parlaient lentement je comprenais des mots... mais ça n’a pas vraiment marché. rv1729 22 octobre 2013 à 18:46 (CEST)Répondre

Internet au Japon

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Bonsoir

En regardant les épisodes de Détective Conan réalisés en 2001 et 2002 les personnages reçoivent des émail sur leur téléphone. Je me demande si le Japon a déjà la 3G (2G où je sais pas avec quel moyen ils se connectent) en 2001!

Une autre question : depuis quand on la possibilité de savoir l'IMEI de son téléphone en tapant *#06#.

Merci. Rabah201130 (discuter) 19 octobre 2013 à 22:00 (CEST)Répondre

Bah, la fiction à tous les droits. Dick Tracy avait bien son téléphone portable au poignet plusieurs décennies avant Samsung. --Morburre (discuter) 20 octobre 2013 à 09:52 (CEST)Répondre
Pour les mails, pas besoin d'avoir la 3G : Le mail peut passer par la "1G". Le WAP existe depuis 1997 (source Wiki anglais).
Quand à l'IMEI, il semble que cela existe depuis l'invention du GSM...
Note: Il semble qu'au Japon, ils utilisent un protocole différent du GSM[réf. nécessaire] où l'IMEI n'existe pas. --Serged/ 20 octobre 2013 à 11:16 (CEST)Répondre
Pour l'IMEI il me semble qu'il existe au Japon. Ma question sur L'IMEI est : quand est ce c'est devenu possible de le savoir en tapant *#06#. Dans un épisode de l'anime (réalisé en 2002), en essayant de savoir l'IMEI d'un portable on a regardait l'étiquette collée sur la batterie mais comme elle a été retiré ils pouvait pas le savoir (le portable marche bien sûr). Rabah201130 (discuter) 20 octobre 2013 à 15:02 (CEST)Répondre
En tout cas, sur mon premier portable (en 2001 en France) le coup du *#06# fonctionnait... --Serged/ 20 octobre 2013 à 19:28 (CEST)Répondre

J'ai déjà regardé cette question: cela fait parti des paramètre de cartes SIM (tous le monde peut le faire avec son bon vieux 1G/2G). Il y a trois possibilité pour envoyer des texto: Le SMS/MMS; Le Fax et le courriel. C'est juste qu'en France, seul le premier mode est paramétré.

Je dis paramétré, car il y a un sens. Pour le comprendre, il faut savoir comment sont envoyé les SMS:
Il y a deux types d'appels

l'appel classique (celui qui permet de parler en téléphonie DTMF et par impulsions)
l'appel de service: Il permet de faire passer des requêtes tels que des demandes de filtrages de numéros ou pour savoir l'historique de consommation. Un numéro destinataire appartenant au services de l'opérateur est optionnel (Il ne s'agit pas d'un numéro d'abonné).

C'est le deuxième qui nous intéresse: Envoyer un SMS revient à appeler un numéro pour faire passer les donnés ver un terminal qui est soit un Minitel, soit un centre de messagerie. Bien sûr, le terminal peut envoyer des SMS par lui même directement Exemple: Le numéro du centre de messagerie de Free est +33695000695. le centre de messagerie va ensuite envoyer le SMS au numéro de destinataire indiqué lors de l'envoi d'un message.


Rabah201130: En résumé, Si tu veux faire comme les nippons. Je peu t'indiquer en partie la démarche si tu a un bon vieux Nokia: aller dans « messagerie » puis Paramètre des messages. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 23 octobre 2013 à 19:41 (CEST)Répondre

Note: Pour le courriel, les portables modernes (smartphone ou pas) ne s'embêtent plus: ils agissent en se connectant à internet pour utiliser POP/IMAP comme n'importe quel ordinateur!Émoticône
Ou comment faire passer le trafic de messages illimité de messages sur la connexion internet qui se paye au GB utilisés! Émoticône

… et comme disait ma grand-mère : « Si jeune et déjà poney ! » ÉmoticôneHautbois [canqueter] 27 octobre 2013 à 00:58 (CEST)Répondre