Wikipédia:Oracle/semaine 31 2016

Dernier commentaire : il y a 8 ans par 90.12.46.175 dans le sujet Cantate BWV 147 de Jc Bach

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Carville-Stamper

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Bonsoir les pythies ! Regardant ce soir un documentaire sur la campagne présidentielle de Bill Clinton, il est beaucoup question de James Carville, et j'ai été frappé par sa ressemblance avec Michael Kelly, qui joue le rôle de Douglas Stamper dans House of Cards, que ce soit en N&B (James Carville en 1992, personnage Douglas Stamper) ou en couleurs (James Carville en 1992, personnage Douglas Stamper). D'ailleurs, le personnage de Stamper a un rôle similaire autour de Frank Underwood à celui de James Carville auprès de Bill Clinton.

Mon souci : pour une inspiration aussi flagrante de la part des scénaristes, je ne trouve rien là-dessus sur Internet. Est-ce que je me fais des idées ? Merci ! Turb (discuter) 1 août 2016 à 23:28 (CEST)Répondre

Salut, Turb, m'est avis que tu te fais des idées : la série américaine dérive de celles britanniques (1990, 1993 et 1995), elles-mêmes tirées des romans de Michael Dobbs, où apparaît le personnage de Stamper, avec un autre prénom mais avec le même rôle de responsable du staff et de confident du personnage principal. Selon toute vraisemblance, il s'agit plutôt d'une version romancée de l'auteur même qui, avant de se lancer dans la littérature, exerça la fonction de chief of staff auprès de Margaret Thatcher. Il existe certes la notion chère aux oulipiens de « plagiat par anticipation » (ici, plutôt « fictionnalisation par anticipation ») mais bon, difficile de croire que Dobbs a basé son personnage sur une personne qui n'avait pas encore accompli la tâche en question, l'élection de Clinton ayant eut lieu trois ans après la parution du premier roman. >O~M~H< 2 août 2016 à 03:15 (CEST)Répondre
Je pensais plus à la façon donc les auteurs de la série américaine ont construit l'apparence de leur personnage. Ils peuvent bien avoir repris celui de la série précédente et du livre, en lui donnant les traits d'un personnage connu de la vie politique américaine. Comme les Underwood rappellent les Clinton par certains côtés. Turb (discuter) 2 août 2016 à 11:37 (CEST)Répondre
Ils ont le même regard, en effet. Suggestion d'explication ː le responsable de la distribution des rôles doit trouver une incarnation du personnage Stamper. Par quoi commencer ? Il cherche dans l'entourage réel de Clinton pour trouver l'inspiration. Il tombe sur Carville et se dit, tiens, ça pourrait être un acteur comme ça. Et il pioche Kelly. Peut-être a-t-il essayé d'autres proches de Clinton avant. --- Pourquoi n'y a-t-il rien sur Internet là-dessus ? Parce que cela relève de la cuisine interne à la fabrication de la série, qui n'est pas destinée à être communiquée.---Delarouvraie Salon 7 août 2016 à 13:06 (CEST)Répondre

KK Quelle langue ?

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La mini-doc livrée avec mon APN est multilingue. Sur la couverture il y a le code des langues. Une m'intrigue, c'est codé "KK", c'est du cyrillique russe. Quelle langue ce peut bien être ? La page KK de Wikipédia suggérerait le Kazakh. Une allusion à Borat ? --Serged/ 2 août 2016 à 07:49 (CEST)Répondre

Est-ce si étrange ?! Le kazakh s’écrit avec un alphabet cyrillique, mais est une langue différente du russe. Grasyop 2 août 2016 à 08:04 (CEST)Répondre
Mais pourquoi le kazakh, pas le turc (langue de la même famille), l'urdu, ou le louchébem ? --Serged/ 2 août 2016 à 13:34 (CEST)Répondre
N.b. il me semble plus français d’écrire « ourdou » que « urdu ». Grasyop
Elle est traduite en combien de langues, cette doc ? Il faut croire que cet appareil photo est vendu, entre autres, au Kazakhstan. (Et peut-être qu’un autre modèle est vendu en Turquie, ou peut-être que la doc elle-même existe en plusieurs versions, chacune regroupant quelques langues.) Grasyop 2 août 2016 à 14:29 (CEST)Répondre
Très simple, Serged : l'usage d'un type d'écriture est lié à l'appartenance, voire parfois au désir d'appartenance, à une aire culturelle ou politique. Pour prendre un autre cas, environ la moitié des langues slaves utilise une variété d'alphabet cyrillique, l'autre moitié une variété d'alphabet latin, à quoi s'ajoute le cas des langues qui s'écrivent dans les deux alphabets. L'adoption de l'un ou l'autre est liée à l'appartenance de chaque région à la sphère catholique ou orthodoxe au moment où l'alphabétisation se répand, cela d'ailleurs indépendamment de la religion majoritaire localement. Les entités slaves de l'une ou l'autre sphère pratiquaient le plus souvent la religion majoritaire mais on a aussi le cas de zones musulmanes reprises à l'empire ottoman par la Russie ou par l'Autriche-Hongrie, qui durent utiliser l'alphabet dominant dans ces empires. À noter le cas du serbo-croate (ou croato-serbe pour certains Croates), transcrit en alphabet latin chez les Croates catholiques et austro-hongrois, en cyrillique chez les Serbes orthodoxe et sinon russes, du moins dans cette zone d'influence.
On a donc la même chose avec les langues turco-mongoles, sinon qu'en ce cas c'est plutôt une influence politique puisque dans leur grande majorité ces populations sont converties à l'islam sunnite : les territoires sous domination russe on été amenés à utiliser l'alphabet cyrillique, ceux sous domination perse ou ottomane l'alphabet arabe, ceux sous domination chinoise les idéogrammes de cet empire (ce qui n'empêche bien sûr pas l'usage d'un système ou même d'une langue alternatifs, notamment pour la littérature religieuse). Là-dessus, on a aussi des cas comme celui du turc de Turquie, qui sur décision d'Atatürk passa d'une variante d'alphabet arabe à une variante l'alphabet latin en 1928, par souci de prendre ses distances avec la zone culturelle et politique musulmane (hors zones d'influence austro-russo-chinoise) et de rapprochement avec l'Occident. >O~M~H< 2 août 2016 à 18:31 (CEST)Répondre
Pour la doc, il y a EN (anglais), CS (tchèque), DA (danois), DE (allemand), ES (espagnol), ET (estonien ?), FI (finnois), FR (français), HU (hongrois), IT (italien), LT (lituanien ?), LV (Letton?), NL (hollandais), PL (polonais), PT (portugais), SK (slovaque), SV (suédois ?), KK (kazakh, donc), RU (russe), UK (ukrainien), EL (grec) et 2 langues écrites en alphabet arabe (arabe et persan ?).
Quant à l'alphabet, c'est surtout une histoire de domination : par exemple les ex-républiques d'URSS écrivent en cyrillique (sauf les pays baltes, qui, je supposent avaient déjà une forte culture avant d'être annexés à l'empire russe), les iraniens en écriture arabe (car très tôt envahis et islamisés par les arabes). --Serged/ 3 août 2016 à 07:50 (CEST)Répondre
Liste des codes ISO 639-1. Grasyop 3 août 2016 à 10:36 (CEST)Répondre

L'alphabet arabe n'est pas le plus simple pour transcrire les langues turques ou persanes. Après une vague de "latinisation" (cf. http://www.persee.fr/doc/cmr_0008-0160_1965_num_6_2_1619) conforme à une certaine vision internationaliste et moderniste à l'instar de ce qui se déroulait en Turquie à la même époque, les dirigeants soviétiques ont privilégié le cyrillique pour transcrire les langues de l'URSS. Le but était d'extirper l'usage de l'arabe conçu comme rétrograde. A le chute de l'union soviétique, il y a eu un effet de balancier dans les anciennes républiques avec le rétablissement officiel de l'alphabet arabe (Tadjikistan) ou latin (Azerbaïdjan) mais le cyrillique a gardé une forte emprise en Asie centrale.

Lutte contre le cancer

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Bonjour,
J'ai cru comprendre que l'immunothérapie dans la lutte contre le cancer présentait des résultats très encourageants (avec thérapie anti-PD-1 ou transfert adoptif par exemples). Seulement, j'ai l'impression que les essais cliniques en cours ne se font que dans le mélanome métastatique et dans certaines formes de cancers pulmonaire (...). Ma question est : pourquoi pas les autres cancers ? Par exemple, pourquoi une immunothérapie est actuellement envisageable dans un mélanome mais pas dans un cancer gastrique ou un colorectal ? Parce que ce sont des cancers peu immunogènes ?
Tout élément de réponse, ou même suggestion, sera la bienvenue ! Merci :) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 46.255.49.69 (discuter), le 4 août 2016 à 13:31

Salut, 46.255.49.69 (d · c). Le truc avec le cancer est que l'envisager comme UNE maladie n'a pas de sens, dès lors une méthode qui vaut pour tel type de cancer ne vaut pas obligatoirement (et même, vaut rarement) pour tel autre type. Outre qu'il existe au moins trois sortes de cancers, ceux provoqués par un virus, ceux génétiques et ceux causés par un agent cancérogène, selon leur localisation et leur mode de diffusion le traitement pourra différer. Notre article considère que les cancers par irradiation sont un quatrième type mais on peut aussi voir ce vecteur comme un agent pathogène au même titre que l'amiante ou le tabac.
De ce que j'ai pu lire, si on parle essentiellement du mélanome c'est que pour l'heure les seuls essais ayant donné des résultats (mitigés cependant, améliorations significatives – mais pas toujours importantes – constatées des traitements chez seulement 30% des patients, ce qui nous place dans la zone « effet placebo », bref entre l'effet d'annonce et l'effet thérapeutique, je crains que ce soit surtout le premier qui l'emporte pour l'instant...). Il semble que d'autres essais soient en cours pour les cancers du foie, de la zone ORL, de la vessie et du colon, liste non close. Disons que pour l'instant les seuls essais ayant peut-être prouvé une certaine réussite sont ceux sur les mélanomes. D'autant que, si j'ai bien compris, l'immunothérapie est un possible traitement complémentaire de la chimiothérapie, ce qui exclurait les traitement par radiothérapie et par chirurgie.
N'étant pas oncologue ni biochimiste je ne saurais t'expliquer précisément pourquoi pour l'instant les essais ayant un embryon de début d'amorce de prémisse de possible efficacité sont ceux sur les mélanomes et les cancers ORL (mais pas des poumons), cependant il y a une cause probable à la chose : les molécules servant à renforcer les système immunitaire ont beaucoup d'effets secondaires, qui s'accentuent avec l'augmentation des doses et la diversification des cibles ; les cancers ayant possiblement vu un certain niveau de réussite dans ce type de traitement sont sur des sites limités (même si la peau est le troisième organe pour l'importance de sa surface, loin devant les suivants), des tissus assez homogènes et des cancers bien localisés. Sensibles à l'immunothérapie ou non, les autres cancers posent peut-être un problème entre gain pour la cure et perte relativement aux effets secondaires. Si l'on doit à l'issue du traitement en arriver à cette sentence prêtée à Molière, « il est mort guéri », pas certain que les patients voient de la même manière que les chercheurs et surtout les industriels du médicament cette « promesse » de l'immunothérapie qui me semble pour l'heure plutôt une promesse de rémunérations importantes sans nécessairement de gain médical évident. >O~M~H< 4 août 2016 à 23:20 (CEST)Répondre

Eichmann à Buenos Aires

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Bonjour,

Afin de compléter Adolf Eichmann#Bibliographie, je cherche les références complètes (titre exact, auteurs, date(s) et numéros du périodique, parution en album ?) d'une BD sur l'« arrestation » d'Eichmann, qui serait parue dans le, ou à partir du, numéro du 15 juin 1989 d'Okapi (à ne pas confondre avec un album de la série « Agents du Mossad »).

Merci. Apokrif (discuter) 4 août 2016 à 18:18 (CEST)Répondre

Cantate BWV 147 de Jc Bach

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Bonsoir ôracle

il existe plusieurs arrangements du " jesus que ma joie demeure" de la cantate bwv 147 de Js-Bach; il y a un arrangement que j'aimerais beaucoup trouver : c'est celui de Myra Hess ; cette grande artiste du piano est décédée en 1965 ...Voilà donc plus de 30 ans et j'ai du mal à croire que l'on ne puisse trouver cet arrangement pour le piano sur internet?...J'ai troué Busoni, kempf ...Mais pas celui de Myra Hess!

                                         Si vous pouviez m'aider, merci beaucoup
                                               un inconditionnel de Bach
Voir ici. 8,90€
Ou là, youtube + partition (mais c'est nul).
90.12.46.175 (discuter) 18 août 2016 à 20:07 (CEST)Répondre

Le disque de Phaistos version gendarmerie ?

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Bonjour Ô Racle, et merci par avance de tes lumières ! mMn voisin, dont le père fut gendarme dans les années 50, m'a apporté ce jour une trouvaille dont nous ne parvenons, ni l'un ni l'autre, à trouver la signification.

Il s'agit d'un disque de métal argenté gros comme une pièce de 2 euros, légèrement patinée par l'usage et portant des chiffres disposés de manière concentrique à l'avers et au revers.

Le mieux est de joindre les photos de l'objet.

Je sais que l'usure des pneus d'un véhicules fut un temps mesurée, empiriquement, en insérant dans les sculptures du caoutchouc une pièce de monnaie (tant que les pieds de la semeuse n'étaient pas visibles, on pouvait rouler). Mais nous avons affaire ici à un dispositif bien plus complexe.

J'ai promis à mon voisin d'élucider ce mystère, auprès duquel celui du disque de Phaistos apparaît comme un rigolade. Je me tourne vers vos talents oraculaires pour me permettre d'honorer cette promesse.

En vous remerciant par avance de votre aide. Bonne fin de semaine.

Cordialement--Jpda (discuter) 5 août 2016 à 12:20 (CEST)Répondre

Bonjour,
Il semble qu'il s'agisse d'un moyen de conversion entre deux systèmes d'unités puisqu'il y a à chaque fois un rapport d'environ 15 (ou 1/15) entre les séries de nombres internes et externes. Mes connaissances ne vont pas plus loin (Smiley: triste)
Les3corbiers (discuter) 5 août 2016 à 16:03 (CEST)Répondre
Bonjour et merci pour cette première réponse,
Conversion sans aucun doute, mais de quoi et comment ? La question nous taraude... Le rapport est de 6.50 au revers et de 15 et des brouettes à l'avers ? Ce jeton était-il employé seul ou bien devait-il être inséré dans un "lecteur" ? Ne tenons-nous pas ici la preuve que les gendarmes ont vraiment rencontré les extra-terrestres ? ;-) --Jpda (discuter) 6 août 2016 à 10:27 (CEST)Répondre
Environs 6.5, ce ne serait pas des francs en euros ? --CQui (discuter) 8 août 2016 à 09:20 (CEST)Répondre
Z'étaient en avance sur leur temps, les gendarmes ! Concevoir un instrument de conversion franc-euro avant même l'invention de la Communauté économique européenne, c'est champion ! >O~M~H< 8 août 2016 à 10:42 (CEST)Répondre
C'est presque mais pas assez proche pour être ça une conversion de bar en PSI. Reste a m'expliquer pourquoi indiquer que 5=>0,77; 50=>7.7; 500=>77 Il ne connaissent pas la table des 10 dans la gendarmerie ? Émoticône --CQui (discuter) 10 août 2016 à 13:37 (CEST)Répondre
Ça pourrait être un élément d'un appareil de visée multifonctions, permettant selon les cas d'évaluer des distances ou des degrés ou radians. Soit dit en passant, Sans vouloir médire de l'armée, je n'ai pas souvenir de grand chose d'utile de l'année que j'y ai passée aux temps déjà lointains de la conscription, sinon une méthode simple et efficace d'évaluer des distances en se servant du pouce et de l'index comme instrument de visée. >O~M~H< 11 août 2016 à 01:55 (CEST)Répondre

Comment s'appelle cet objet en haut d'une hampe de drapeau ?

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Bonsoir,

Comment s'appelle l'élément qui se trouve en haut d'une hampe de drapeau. Les réponses Wikipédia ne sont pas très précises.

Merci.

--H2O(discuter). 4 août 2016 à 20:48 (CEST)Répondre

Elles (les réponses) le seront encore moins si tu places ta question dans la mauvaise semaine Émoticône, je te laisse modifier. --Doalex (discuter) 5 août 2016 à 10:20 (CEST)Répondre
Oups, pas l'habitude de l'Oracle… --H2O(discuter). 5 août 2016 à 13:31 (CEST)Répondre
Le musée français des armées parle de « sommet de hampe », tout comme le musée Barbier Mueller ou le musée Guimet ou encore un commissaire-priseur. Turb (discuter) 5 août 2016 à 15:52 (CEST)Répondre
Il semble qu'en ce cas on peut parler d'un enseigne (un « signum », terme plus général pour parler d'une « [chose] qui signale, qui désigne ») qui s'applique notamment aux emblèmes des armées romaines quand ils figuraient comme images sculptées ou moulées en haut des hampes des légions. En tous les cas, celui que tu présentes est très nettement inspiré de ces enseignes romains. >O~M~H< 5 août 2016 à 16:02 (CEST)Répondre
Et wikt:nl a un wikt:nl:tête de hampe. -- Xofc [me contacter] 5 août 2016 à 16:04 (CEST)Répondre
Merci pour ces infos. --H2O(discuter). 5 août 2016 à 17:19 (CEST)Répondre
Il n’y a pas si longtemps, je posais la question de la typologie et de l’utilisation de la tête de hampe (toi-même !). Ici, celle du drapeau de la corporation des forgerons, forgée à la main, reconnaissable à sa fière devise : l’union fait la forge (bon, je le ferai plus). --Morburre (discuter) 5 août 2016 à 17:30 (CEST)Répondre
Notification Jmh2o : Désolée de t'avoir envoyé vers la semaine passée : c'est parce qu'il y était déjà question de cet objet ! - Cymbella (discuter chez moi) - 5 août 2016 à 21:23 (CEST)Répondre

On peut (re)lire (et sutrout l’interwiki anglais) Aigle de drapeau (pour le Premier Empire). Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 13:02 (CEST)Répondre

Et aussi Amortissement (architecture), et aussi Fleuron. --Morburre (discuter) 6 août 2016 à 16:48 (CEST)Répondre
Merci. Les entrées du Wiktionnaire (WT) wikt:fr:amortissement et wikt:fr:fleuron sont donc à compléter… J’ai aussi consulté Alfred Znamierowski (traduit de l’anglais par Gisèle Pierson), L’Encyclopédie mondiale des drapeaux, Genève, Manisse, 2000, 256 pages, ill. en coul., 31 x 24 cm, (ISBN 2-84198-162-2) qui comporte un « Glossaire des accessoires du drapeau » à la page 37 : ce glossaire confirme cette acception du terme fleuron. Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 17:38 (CEST)Répondre
J'avais lu l'article amortissement et fleuron, mais ces articles manques singulièrement de sources, d'où ma question. --H2O(discuter). 6 août 2016 à 17:48 (CEST)Répondre
Ah cette habitude d’écraser les liens par autre chose, comme fait supra (« Les réponses Wikipédia ne sont pas très précises. »). Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 19:04 (CEST)Répondre
J’ai aussi jeté un œil sur Divi Kervella et Mikael Bodlore-Penlaez, Guide des drapeaux bretons et celtes, Yoran Embanner, 2008, (ISBN 978-2-916579-12-2), ouvrage qui comporte pages 180-185 un « Vocabulaire français-breton de la vexillologie ». Dans ce « Vocabulaire » point d’amortissement ni de fleuron mais une entrée extrémité où il est précisé que e. de hampe est à traduire par penn-fist ou tog-fust et que e. décorative est à traduire par penn-kinkl. Et dans ce même « Vocabulaire » pas de trace nom plus de sommet (de hampe) ni de haut (de hampe). Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 19:04 (CEST)Répondre
En fait, H2O, la réponse doit être variable selon le contexte. Comme terme générique, « tête de hampe » ou « sommet de hampe » semblent convenir, par contre l'usage de la hampe comme le type de symbole peuvent appeler une dénomination spécifique, les deux termes de « fleuron » et « amortissement » semble aussi assez généraux et plus précis mais pour la hampe d'un régiment voire d'un bataillon qui porterait un symbole qui lui est propre, « enseigne » est plus précis. Et très probablement il existe encore d'autres termes adaptés à des contextes précis. >O~M~H< 6 août 2016 à 19:24 (CEST)Répondre
J'adooore quand ce n'est pas précis Émoticône. C'était pour catégoriser correctement sur Commons. Je vais donc faire un choix en espérant trouver un équivalent en anglais (je préfère mettre les termes des catégorie plus large en anglais sur Commons). Merci à tous. --H2O(discuter). 6 août 2016 à 19:35 (CEST)Répondre
Hervé Pinoteau, Le chaos français et ses signes : Étude sur la symbolique de l’État français depuis la révolution de 1789, éditions PSR, 1998 (ISBN 2-908571-17-X) pages 456 et 457 : « [...] Créée avec la constitution de 1946, l’Union française fit place à la Communauté en 1958. [...] On [passage de la page 456 à la page 457] fit réaliser par la maison Arthus-Bertrand [...] treize exemplaires d’un drapeau tricolore [...] ; au sommet de la hampe, le fer de pique était remplacé par deux mains se serrant dans une couronne de chêne enrubannée. [...] les drapeaux furent distribués à travers la Communauté [...] ». Toujours à la page 457 la photo de ce drapeau de la Communauté (à l’évidence un drapeau tricolore français) est ainsi légendé : « Le haut de hampe est typiquement maçonnique avec sa foi héraldique à l’intérieur d’une couronne de laurier et de chêne. [...] ». Tous les soulignés sont de moi. Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 20:14 (CEST). — PS : S’agissant d’une recopie fait à la main, il est prudent de se référer à l’original sur papier. Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 20:19 (CEST) Répondre
Mais que fait l'Académie française… ? --H2O(discuter). 6 août 2016 à 20:16 (CEST)Répondre
L’AF pourrait demander un coup de main de la Wikidémie (wikt:fr:Wiktionnaire:Wikidémie)… Émoticône sourire Alphabeta (discuter) 6 août 2016 à 21:25 (CEST)Répondre
Dans l'épisode des Simpson d'hier sur Club RTL, Le Naufrage des relations, Homer, devenu matelot sur un trois-mâts, trouve que la Marine, c'est merveilleux parce tout y a un nom. Émoticône -- Xofc [me contacter] 7 août 2016 à 07:28 (CEST)Répondre
Fleuron semble être le terme exacte [1] et [2]. Ce dernier lien m'a permis de trouver le nom anglais de la chose finial [3]. Merci à tous. --H2O(discuter). 7 août 2016 à 11:00 (CEST)Répondre
Après tout ce qui a été dit, il est peut-être utile de rappeler ici l’existence de la « category » commons:Category:Flagpole finials créée en 2011 par Bohème (d · c · b) et qui indique comme traduction dans la langue de Victor Hugo : « Français : Tête de hampe, fleuron ». Alphabeta (discuter) 7 août 2016 à 12:48 (CEST)Répondre
Euh, quand j'ai découvert la catégorie ce matin, j'ai ajouté le mot « fleuron » à la définition [4] Émoticône. Encore merci pour la collaboration précieuse. --H2O(discuter). 7 août 2016 à 12:52 (CEST)Répondre
Afin qu’on puisse lire plus tard ces discussions avec profit on précise que la question a d’abord été posée dans Wikipédia:Le Bistro/4 août 2016#Recherche d'un nom d'objet où quelques éléments de réponse ont été apportés. Par ailleurs on n’est pas trop sûr que « fleuron » soit le seul terme admissible en français. J’ai en effet jeté un œil sur  : Pierre Daniel de Losada, Petit Lexique de Vexillologie, édité par Lacour-Ollé (à Nîmes), 2011, 90 pages, (ISBN 978-2-7504-2815-0) (I.S.B.N. indiqué par le catalogue d’une bibliothèque mais qui ne semble pas figurer sur le livre lui-même ; sur le livre l’éditeur s’identifie sous la forme http://www.editions-lacour.com et http://www.editions-lacour.fr ). Si j’ai bien lu son Petit Lexique l’auteur Pierre Daniel de Losada (alias Pierre Daniel de Losada y Marti) donne le termes embout, fer, fleuron, pommeau à peu près comme des synonymes. Et on trouve en page 87 une « planche » dans laquelle la partie supérieure du mât est qualifiée de tête de mât (sous le n°2, mais ni tête ni tête de mât ne figurent dans le Lexique proprement dit) et est surmontée d’un pommeau (sous le n°1) de forme arrondie… Alphabeta (discuter) 7 août 2016 à 19:25 (CEST)Répondre

Le mot finial existe aussi en français et recouvre à peu près la même acception que amortissement, toujours dans l’architecture et un poil plus spécifique. On a l’embarras du choix. --Morburre (discuter) 7 août 2016 à 21:08 (CEST)Répondre

"Tête de hampe" se dit pour les écouvillons et refouloirs d'artillerie mais je ne l'ai pas trouvé pour les drapeaux. --Verkhana (discuter) 7 août 2016 à 21:18 (CEST)Répondre
On précise que Pierre Daniel de Losada (op. cit., page 43) indique que fleuron a désigné à l’origine un « [o]rnement en forme de fleur de lys se trouvant au dessus de la hampe ». L’image Fichier:Étendard Scouts de France.svg montre un fleuron au sens premier. À titre de BA scoute j’ai catégorisé dans commons:Category:Flagpole finials des images des Commons qui ne s’y trouvaient pas encore, mais sans pouvoir le faire pour Fichier:Étendard Scouts de France.svg qui si j’ai bien compris n’a pas droit aux Commons. Alphabeta (discuter) 8 août 2016 à 14:54 (CEST) — PS : En revanche j’ai pu catégoriser dans commons:Category:Flagpole finials la photo commons:File:Groupe scouts et guides de france.jpg comportant le même étendard (non déployé mais le « fleuron est bien visible) (NB : il est aussi question de cette photo dans Wikipédia:Le Bistro/8 août 2016 #Cliché à localiser). Alphabeta (discuter) 10 août 2016 à 12:43 (CEST)Répondre
Le cliché commons:File:Groupe scouts et guides de france.jpg. Alphabeta (discuter) 10 août 2016 à 14:19 (CEST)Répondre
.
Fleuron est un nom charmant mais, comme pique, boule et aigle, il fait référence à une forme d'objet précise. Or, le but est de trouver un terme générique. --Verkhana (discuter) 8 août 2016 à 21:31 (CEST)Répondre
Autre source : http://www.ikonet.com/fr/ledictionnairevisuel/societe/politique/heraldique/elements-un-drapeau.php « éléments d’un drapeau », page qui comporte un dessin dans lequel l’élément du drapeau qui nous intéresse ici est appelé « pointe de hampe ». L’objet dessiné est certes « pointu » mais la définition de « pointe de hampe » figurant en bas de page (« Ornement formant la partie supérieure de la hampe. ») ne fait référence qu’à la position de l’objet et nullement à sa forme. Alphabeta (discuter) 9 août 2016 à 16:09 (CEST)Répondre
La source canadienne (Glossaire sur le drapeau national du Canada sur le site du Gouvernement du Canada), citée pour haut, définit fleuron comme étant un « élément décoratif placé au bout d'une perche, d'un mât ou d'un poteau. Il peut avoir la forme d'une pointe de flèche, d'une boule, d'une feuille d'érable, d'une couronne, etc. » Il y vraiment du choix. --H2O(discuter) 10 août 2016 à 12:42 (CEST)Répondre
« Fleuron est un nom charmant mais, comme pique, boule et aigle, il fait référence à une forme d'objet précise. Or, le but est de trouver un terme générique. --Verkhana (discuter) 8 août 2016 à 21:31 (CEST) » : on rappelle que les mots ont le sens qu’on leur donne et pas forcément le sens que l’étymologie semble leurs assigner. J’ai ainsi indiqué supra qu’Alfred Znamierowski utilisait lui-aussi fleuron comme terme générique… Alphabeta (discuter) 10 août 2016 à 13:21 (CEST) — PS : Et voici un nouvelle occurence de fleuron : dans le charmant document (charment car destiné aux petits Québécois) http://www.snq-laurentides.quebec/wp-content/uploads/2013/01/trousse-jour-du-drapeau-2013.pdf à peu près dans la partie « LE DRAPEAU MOT-À-MOT » on trouve un dessin du drapeau avec sa hampe : la pique (en tour cas c’est pointu) surmontant la hampe est légendée par le seul mot fleuron. J’ai l’impression que les Québécois ont tenu à revitaliser un vieux mot français comme il l’ont fait pour gentilé par exemple. Alphabeta (discuter) 10 août 2016 à 20:33 (CEST)Répondre
J’ai encore consulté : Jean Alessandrini (dessins par l’auteur), Drapeaux, les couleurs du monde, copyright FOMA (ISBN 2-88003-193-1), Hatier (ISBN 2-218-76008-8), 95 pages, avril 1995. La page 6 intitulée « Lire un drapeau » comporte un dessin comportant les indications « hampe ou mât » et « fleuron (en pique) » (le fleuron dessiné a effectivement la forme d’une pique). Le terme fleuron ne paraît guère contestable même s’il n’est pas le seul… Alphabeta (discuter) 11 août 2016 à 21:27 (CEST). — PS : À la relecture, « (en pique) » doit avant tout préciser l’emplacement du fleuron sur la « hampe ou mât ». Alphabeta (discuter) 12 août 2016 à 19:53 (CEST)Répondre
« Le sommet ». C'est le mot que j'aurais spontané employé et que j'ai retrouvé ci-dessus. C'est un mot qu'on emploie en héraldique, qui a des points communs avec la vexillologie, dans sa forme verbale (« sommer »). --Delarouvraie Salon 11 août 2016 à 22:23 (CEST)Répondre


couronne à fleurons

Comme Verkhana le dit bien: fleuron n'est pas un terme générique approprié pour l'extrémité d'une hampe, ce pourrait être un terme admissible dans le cas spécifique d'une hampe avec une extrémité en forme de fleur (fleurdélisée, voir la pique en forme de fleur de lys ci-dessus), mais pas pour celle montrant une couronne surmontée d'un lion (tout en haut), ni pour tout un tas d'autres motifs (voir commons). Je fais abstraction des liens vers des sites canadiens. Nous sommes sur fr:WP et - avec tous mes respects - non pas en Acadie. Nous ne sommes pas ici pour inventer de nouvelles définitions (et si cette définition provient d'un site de français canadien, ne faudrait-il pas, dans commons, au moins le préciser?). Définitions lexicales françaises (c'est moi qui souligne):

  • Dictionnaire Trévoux, 1762:
    • Fleuron, ornement de quelque chose que ce soit qui imite des fleurs.
  • CNTR en ligne:
    • A ornement en forme de fleur
    • 1. partie ornementale d'une couronne (insigne de dignité ou d'autorité) de roi, prince, duc, marquis, en forme de fleur ou de feuille [...] Exemples: [5],

[6]

    • 2. Spécialement
    • a ARCHIT. ornement isolé sculpté en forme de fleur ou de feuille [...]
    • b IMPRIMERIE ET RELIURE. Elément décoratif de fantaisie ornant le titre ou les blancs des principales divisions d'un ouvrage [...]
    • B BOT. Petite fleur [...]
  • LAROUSSE en ligne:
    • chacun des parties qui s'élèvent, isolées, au-dessus du cercle d'une couronne et figurent une feuille ou une fleur: Les fleurons de la couronne des rois de France étaient des fleurs de lis.
    • Architecture et arts décoratifs: ornement isolé, fait d'un motif floral (fleur, feuille) étagé et stylisé, décorant le sommet d'un gâble, d'un pignon; de même utilisé en décoration intérieure, en orfèvrerie, etc.
    • Imprimerie: ornement utilisé en typographie et en dorure
    • Reliure: fer à dorer de petites dimensions, le motif obtenu avec ce fer
    • etc.

En fait, on cherche un terme pour l'emplacement d'un ornement en forme de pique, de pommeau, de fleuron, de fleur de lys, d'aigle, etc. posé à l'extrémité d'une hampe. Fleuron de hampe n'est vraiment pas admissible pour l'Aigle de drapeau du Premier Empire, qui n'est certainement pas bien nommée non plus (pas sourcé). C'est une prise de tête pour pas grand-chose. C'est l'extrémité, la tête, le sommet, la pointe (en cas de forme de pique), l'embout, l'amortissement orné(e) de ... (au choix, selon les auteurs). Tous ces termes sont utilisés et justes, et tous sont parfaitement compréhensibles. Où est le problème? --Bohème (discuter) 13 août 2016 à 21:30 (CEST)Répondre

À Bohème (d · c · b) : pour tenter d’y voir plus clair je me suis permis d’encadrer votre communication. Cord. Alphabeta (discuter) 14 août 2016 à 18:37 (CEST) Répondre
« Je fais abstraction des liens vers des sites canadiens. Nous sommes sur fr:WP et - avec tous mes respects - non pas en Acadie.  » : que nenni, que nenni ! Le symbole fr dans « fr:WP » signifie « langue française » et l’encyclopédie Wikipédia de langue française a autant d’attaches avec le Nouveau Monde (Acadie, Québec, etc.) qu’avec l’Ancien (France, Belgique, etc.). Alphabeta (discuter) 14 août 2016 à 18:42 (CEST)Répondre
+1 pour Alphabeta. --Superbenjamin [discuter] 15 août 2016 à 22:23 (CEST)Répondre
Au passage : en héraldique pure, on peut être amené pour les armoiries à décrire de façon plus ou moins détaillée un drapeau et ce à quoi il est attaché : voir Armoiries du Canada#Confédération citant la proclamation royale du 21 novembre 1921 : « [...] Supports: à dextre un lion d'or tenant une lance d'argent, pointée d'or, déployant à dextre la bannière du Royaume-Uni, et, à sénestre, une licorne d'argent, armée, onglée et à la crinière d'or, accolée d'une couronne de croix pattées et fleurdelisée, attachée d'une chaîne du même, et tenant une lance déployant à sénestre une bannière d'azur à trois fleurs de lis d'or; le tout surmonté de la couronne impériale. [...] » (les soulignés sont de moi) ». Comme on voit il n’a pas été jugé utile (si la citation de la proclamation royale est bien exacte) de répéter que la deuxième lance était aussi « d’argent, pointée d’or »… Alphabeta (discuter) 17 août 2016 à 14:28 (CEST)Répondre
Je recopie ici la communication suivante depuis le projet Blasons, d’abord parce qu’elle est drôle par endroits Émoticône sourire, et aussi pour éviter de trop scinder cette discussion : «  Sans vouloir entamer une polémique inutile, si "sommet" est employé en vexi (selon ce que je lis dans la discussion), il n'a strictement rien à voir avec la forme verbale "sommer" de l'héraldique, dans laquelle, au participe passé, "sommé de" signifie "surmonté directement par", lequel "par" introduit un autre meuble que celui qui est sommé : donc rien à voir avec "sommet de hampe" qui désigne un sous ensemble de la hampe situé au sommet.
Pour ce qui est de la description de drapeaux dans un blasonnement, c'est tout aussi vrai pour une description d'accessoires ecclésiastique, d'ustensiles de cuisine ou de n'importe quels autres termes spécifiques spécialisés, sans pour autant, lorsqu'il s'agit de chaudron dans une discussion culinaire, sentir de lien avec l'héraldique sous prétexte qu'il y a de nombreux chaudrons sur les blasons... Cdlt, -- Ssire (discuter) 17 août 2016 à 14:43 (CEST) »
 ». PCC Alphabeta (discuter) 17 août 2016 à 17:46 (CEST)Répondre

L’infini plus un nombre réel ?

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Autre sorte de gogol.

Bonjour, Je me suis demandé à l'aube en pensant à la question de la torture sur terre et du mal absolu type seconde guerre mondiale et de la difficulté de qualifier le quotient emmotionnel émotionnel des tortionnaires type Klaus Barbie. Compte tenu du fait que les acéphales risquent déjà de se voir attribuer le zéro j'ai pensé à un chiffre négatif et à un grand nombre je n'en connais que deux : gogle et infini. Je voulais savoir si comme j'en ressens le besoin, pour nuancer le mal absolu, il se peut de mettre une virgule avant ou après ces chiffres. Exemple, extinction de l'univers : QE = -infini si c'est sans raison ; s'il y a une raison par exemple on obtient QE = 0,5 - infini. Pareil avec gogle pour par exemple la torture selon l'âge de la victime.

Merci beaucoup de m'aider à résoudre ma psychanalyse douloureuse.

Bien cordialement,

DRUEZ Christelle

Bibliothécaire à la Bibliothèque Sainte Geneviève Paris

DRUEZ Christelle bibliothécaire (d · c) 7 août 2016 à 12:42

Bonjour. Avant tout, vous êtes libre ! Aucun dieu des nombres ne va venir vous foudroyer parce que vous avez osé écrire que tel évènement méritait une note de -∞ + 0,5. Si cela vous aide à vous exprimer et vous faire comprendre (mais est-ce vraiment le cas ?), faites-le.
Si maintenant il s’agit de donner un sens à cette écriture, de l’intégrer dans un système cohérent de nombres que l’on puisse comparer, additionner, multiplier, alors une notion mathématique permettant de faire ça est celle des nombres surréels (dans laquelle votre infini sera écrit ω, et où on a bien : -ω + 0,5 > -ω).
Grasyop 7 août 2016 à 19:49 (CEST) P.s. : je me suis permis de retoucher légèrement votre message pour le rendre plus compréhensible.Répondre
En ce qui concerne le nombre « un gogol », c’est-à-dire 10100, c’est un nombre réel comme un autre, et on a bien sûr : -10100 + 0,5 > -10100. Grasyop 7 août 2016 à 21:00 (CEST)Répondre
Salut Christelle, selon moi, et selon les meilleurs esprits (dont je ne suis pas malgré mes efforts Émoticône), l'horreur, surtout quand elle s'incarne dans le crime contre l'humanité ou le crime de guerre (qui est aussi, parfois, contre l'humanité), n'est pas quantifiable, pour le dire, il n'y a pas vraiment une « échelle de l'horreur » allant de 0 à l'infini en ces questions, s'il peut y avoir une classification quant à la nature de ces crimes et aux visées de leurs auteurs. Pour préciser, on peut considérer trois types de crimes contre l'humanité, ceux circonstanciels, le plus souvent dans un contexte de guerre (internationale ou civile) ou de conquête, où l'accumulation d'un grand nombre de crimes finit par constituer un crime plus large, ceux systématiques mais non spécifiques où tout membre de la population peut subir le crime (le goulag en est un exemple puisqu'en certaines périodes, notamment la deuxième moitié des années 1930, on établissait des quotas et que beaucoup de victimes ne durent leur déportation qu'à la nécessité de remplir les quotas) et ceux spécifiques et systématiques (le génocide arménien, la « solution finale » dite désormais Shoah, la politique d'extermination et de « rééducation » des Khmers rouges, largement inspirée de la révolution culturelle mais encore plus systématique et radicale). En revanche, on ne peut guère considérer que les atrocités subies sont plus élevées dans l'échelle de l'horreur parce que s'y ajoute un caractère de planification ou un caractère systématique. >O~M~H< 8 août 2016 à 10:40 (CEST)Répondre

Connaitre la répartition des votes à l'Assemblée nationale pour les vieilles lois

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Bonjour les pythies, sur le site de l'Assemblée Nationale il existe une table des scrutins publiques accessible ici grâce à laquelle on peut savoir pour chaque loi votée depuis la 11ème législature les votes des différents députés. J'aimerais savoir s'il existe un moyen d'avoir accès aux scrutins des lois plus anciennes comme par exemple la loi Veil. Merci d'avance, --Dimitrius99 (discuter) 7 août 2016 à 16:30 (CEST)Répondre

Bonjour,
oui c'est facile, en plusieurs étapes !
Alors c'est sûr que c'est pas très pratique, et ce qu'il manque à mon avis c'est les archives vidéos (dommage par exemple de ne pas pouvoir revoir les déclarations de politique générale par exemple).
Tiraden (discuter) 7 août 2016 à 18:38 (CEST)Répondre

Y a-t-il un astronome dans la salle ? [Résolu]

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Bonjour,

Pour honorer une commande à l'Atelier, j'ai accepté la relecture de l'article Lune noire (astrologie).

On admet (en oubliant momentanément la lune noire de l'astronomie) que « la Lune noire est le point immatériel où est situé le second foyer de l'ellipse de l'orbite lunaire autour de la Terre (le premier foyer étant occupé par la Terre). »

Cela étant posé, le paragraphe actuellement nommé « De nos jours » a-t-il un sens ?

« La Lune noire a la même longitude (éliptique) que l'apogée, point de l'orbite lunaire le plus éloigné de la Terre. Étant dans la même direction vus depuis la Terre, ils occupent la même place dans le zodiaque, et la Lune noire peut donc être aussi définie comme l'apogée de l'orbite lunaire. Or l'apogée est une donnée qui varie en même temps que l'excentricité de l'ellipse de la Lune. Il y a donc en réalité une Lune noire moyenne (apogée théorique) et une Lune noire corrigée pour suivre les variations de l'ellipse lunaire (apogée réel)[1]. La majorité des analyses astrologiques sont basées sur la position de la Lune noire moyenne[2]. Cependant, certains logiciels d'astrologie offrent l'option d'utiliser la position de la Lune noire dite " vrai ". »

Merci d'avance,

Delarouvraie Salon 7 août 2016 à 21:04 (CEST)Répondre

Où en est la difficulté? —Tamfang (discuter) 11 août 2016 à 10:47 (CEST)Répondre
Je me suis engagée à relire cet article via l'atelier de relecture. Relire = valider. Je n'ai pas la formation pour comprendre ce paragraphe (ni astronome, ni astrologue, ni géomètre dans l'espace); je demande donc l'avis de quelqu'un d'autre.--Delarouvraie Salon 11 août 2016 à 22:46 (CEST)Répondre
Ben, en capacité de mec quelconque qui connait quelque peu la géometrie et l'astronomie, je juge que le paragraphe en question (omettant de considération les deux dernières phrases, La majorité des analyses astrologiques…) est juste. —Tamfang (discuter) 12 août 2016 à 11:31 (CEST)Répondre
OK. Merci ǃ --Delarouvraie Salon 12 août 2016 à 11:42 (CEST)Répondre

Œil et appareil photo : vitesse

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Bonjour Oracle

Tout le monde sait qu'il y a bien des points communs entre œil et l'appareil photo. Ma question - insolite - est quelle est la (ou les) vitesse(s) d'obturation de l’œil humain, et si ça change en fonction de l'environnement. Sachant que par exemple, que l'oeil n'est pas capable d'individualiser les 24 images d'un film en 1 seconde. merci à vous ! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.250.146.225 (discuter), le 7 août 2016 à 23:47

Salut, 78.250.146.225 (d · c). Il y a certes des points communs entre l'œil et l'appareil photo, sauf sur ce point : l'œil n'a pas de « vitesse d'obturation ». Le mouvement qui peut sembler comparable à l'obturation est la nictation et a un tout autre rôle, il ne s'agit pas de « fixer l'image » mais d'humecter la surface de l'œil. Il y a certes une fonction de l'œil qu'on peut rapprocher de l'obturation mais qui, là aussi, n'a pas exactement le même rôle, la micro-saccade oculaire : pour parvenir à faire le point sur un objet et pour avoir la perception de la profondeur de champ on ne contemple pas fixement mais on fait en permanence des micro-mouvements très brefs (quelques centièmes de degrés) et très rapides (moins de 50 millisecondes). D'après notre article, ces tout petits ajustements sont de l'ordre de trois par secondes.
Le fait de ne pas isoler les images d'un film n'est pas lié à ce phénomène mais à celui de la persistance rétinienne. Même si, comme dit notre article, la notion de persistance rétinienne stricto sensu n'a pas de validité (ergo, que l'œil n'a pas de fonction d'obturation), du moins l'emploi du terme pour indiquer le seuil de la vitesse de défilement où, sans que l'œil isole strictement les images, il commence à percevoir le défilement, reste valable ; cette vitesse est semble-t-il de l'ordre de 16 images par seconde. Mais même à cette vitesse ou à une vitesse moindre (telle qu'elle peut être avec un flipbook ou un zootrope) le cerveau est tout de même capable de construire une continuité de mouvement, simplement il perçoit en plus du mouvement le défilement des images sans donc pouvoir ou (en-deçà de dix images) vouloir les isoler strictement. >O~M~H< 8 août 2016 à 07:57 (CEST)Répondre
S'il faut faire une analogie entre appareil photo (numérique) et œil, j'ai tendance à le comparer à un appareil photo en attente live view qui ne prend jamais de photo, donc pas de vitesse d'obturation. --CQui (discuter) 8 août 2016 à 08:46 (CEST)Répondre
merci à vous tous. --78.250.45.219 (discuter) 11 août 2016 à 11:23 (CEST)Répondre