Wikipédia:Oracle/semaine 26 2009

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métier ancien modifier

Bonjour, Je recherche depuis quelques temps....la définition et l'explication du métier de brindeur qui existait au XIX ème siècle. Je vous remercie d'avance et vous prie d'accepter mes sincères salutations. cordialement Jacques Boyer

Bonjour, j'ai trouvé ce document qui évoque le terme (p149), mais j'avoue avoir la flemme de lire le texte dans son ensemble pour comprendre de quoi il s'agit, je crois qu'il s'agit d'extraire du minerai... Bonne lecture Asheka [la vie est belle] 22 juin 2009 à 13:27 (CEST)[répondre]
Dans le CNRTL, il y a ça [1] :
«* BRINDER, verbe intrans.
BRINDER, verbe intrans.
,,Porter un toast`` (Rob.). Cf. bringuer B. Il était de rigueur, chez nous, de brinder en faisant un vœu, puis d'échanger les coupes et de s'embrasser, garçons et filles (Bosco, Le Mas Théotime, 1945, p. 22).
Rem. Attesté dans Rob. seulement.
Étymol. et Hist. 1. 1588 « boire avec excès » (L. Papon, Pastorelle, II, 2 dans Hug.); 2. 1945, supra. Dénominatif de brinde*; dés. -er. Fréq. abs. littér. : 2. »
Mais ça m'étonnerait que ce soit un métier Émoticône sourire... --Serged/ 22 juin 2009 à 13:37 (CEST)[répondre]
Bonjour, cet extrait du texte cité par Asheka devrait vous intéresser : Voici ce qu'on appelle Brinder le minéral, ou le passer à la brinde. On a plusieurs tamis de fil de fer, de différens degrés de finesse ; ils ont dix-huit pouces de diamètre, & six pouces de profondeur. Leur pourtour est fait avec des douves cerclées de fer, & garnies de chaque côté d'une petite anse pour les tenir à la main ; les plus grossiers ont leurs trous de demi-pouce en quarré ; les seconds d'un quart de pouce, & les plus fins d'une bonne ligne. On a ensuite, pour chaque ouvrier ou brindeur.... ViZiT (d) 22 juin 2009 à 14:16 (CEST)[répondre]

Salut, c'était à la lecture complète de l'article un ouvrier chargé de tamiser du sable pour récupérer un minéral (je ne sais pas lequel, faudrait lire tout le livre), pour ce faire il procède en 3 étapes avec 3 tamis de maillage différent. A partir du second tamis, il travaille un peu comme un orpailleur et au troisième il arrive a séparer le minéral pur du sable fin. Beaucoup d'autres termes tombés en désuétudes se retrouvent dans ce livre. Intéressant mais fastidieux à lire. --Kkbs (d) 23 juin 2009 à 09:01 (CEST) Je lis le bouquin en question, l'auteur parle de visite qu'il a effectuée en 1756, donc ... --Kkbs (d) 24 juin 2009 à 20:40 (CEST)[répondre]

Le livre explique en détail les critères de mise en œuvre d'une mine, qu'elle soit pour le charbon ou pour un minerai. C'est naturellement démodé, certains passages notent également que les ouvriers n'étaient pas assidus au travail et préféraient paresser ou boire. Les enfants y travaillaient relativement dur et les femmes devaient sans cesse être remisent à l'ordre car trop bavardes. Rien de changer sous le soleil. --Kkbs (d) 26 juin 2009 à 05:42 (CEST)[répondre]

clergé juif modifier

Bonjour, j'aimerais savoir s'il existe des analyses des conséquences de la non existence d'un clergé juif en tant que système hiérarchisé tel qu'il existe chez les chrétiens. Proxim

Mhhh, je doute qu'il existe un clergé vraiment hiérarchisé chez les protestants... Arnaudus (d) 22 juin 2009 à 18:24 (CEST)[répondre]
Ça dépend des Églises : j'ai pu voir que l'anglicanisme est classé parmi celles de la Réforme protestante, alors qu'elle apparaît à certains (dont moi) comme un simple schisme du catholicisme et en conserve beaucoup d'aspects, notamment un clergé très rigide. Quant à la question, il faudrait que tu la précises : conséquences sur quoi ? -O.M.H--H.M.O- 22 juin 2009 à 19:39 (CEST)[répondre]
??? Il y a un "clergé" très organisé : la prière est conduite par un cohen, à défaut par un Lévi, à défaut par un mâle adulte... Biem (d) 22 juin 2009 à 20:44 (CEST)[répondre]
Rien à voir : un clergé est une organisation hiérarchisée où les officiants sont désignés par le sommet sans que la base ait rien à dire. D'ailleurs, ne perçois-tu pas la contradiction de ton propos ? Tu dis que « la prière est conduite par un cohen, à défaut par un Lévi, à défaut par un mâle adulte », donc n'importe quel mâle adulte présent... Ne pas se fier à notre article sur le clergé qui tente, avec un louable souci d'œcuménisme, de faire penser que toutes les religions et à l'intérieur de chacune toutes les tendances ont un clergé. En la matière, je me fie au TLFi, qui nous donne ceci, pour les termes qui permettent de définir clairement ce qu'est un clergé :
« CLERGÉ, subst. masc. A. Ensemble des ecclésiastiques consacrés d'une nation, d'un diocèse, d'une ville, d'une paroisse, d'une communauté ou équipe sacerdotale (cf. cléricature B). Clergé anglican, catholique, français [...]. B. Spéc. Ensemble des ecclésiastiques de la religion catholique. L'assemblée, les biens du clergé » ;
« CLÉRICATURE, subst. fém. [...] B. État et condition des clercs de notaire ou d'officier ministériel »;
« ECCLÉSIASTIQUE, adj. et subst. masc. [...] B. Subst. masc. Membre du clergé »;
« CLERC, subst. masc. A. Homme qui a reçu la tonsure et qui, de ce fait, est entré dans l'état ecclésiastique. Clerc défroqué; clerc en surplis; ordonner des clercs. Synon. ecclésiastique »;
« ÉGLISE, subst. fém. I. [L'Église en tant que communauté de fidèles] A. [Avec une majuscule; au sing.] Communauté des chrétiens formant un corps social hiérarchiquement organisé, instituée par Jésus-Christ et ayant foi en lui. [...] B. En partic. 1. [Le plus souvent au sing.; absol. ou accompagné d'un adj. caractérisant ou d'un compl. prép. p. ex. de Rome] Ensemble des chrétiens catholiques. [...] 2. Au sing ou au plur. [Accompagné d'un adj. ou d'un compl. prép. indiquant la confession ou l'obédience particulière] Communauté de chrétiens non catholiques. Église anglicane, évangélique, orthodoxe, nationale, protestante, réformée ».
Il est possible d'étendre la notion de clergé aux religions ou à certaines tendances dans des religions qui ont une organisation similaire, par exemple le chiisme ou le bouddhisme tibétain, par contre la religion juive telle qu'elle s'est organisée depuis la deuxième diaspora, ou les religions réformées classiques telles qu'elles s'organisèrent en France, n'ont pas d'institutions assimilables à un clergé, et ni le rabbin ni, dans les Églises réformées sans hiérarchie ecclésiastique, le pasteur, ne sont assimilables au prêtre dans les religions avec clergé : dans les unes, le choix vient de la communauté locale de croyants, dans les autres il est désigné par sa hiérarchie et la communauté locale n'y a pas droit de regard. -O.M.H--H.M.O- 22 juin 2009 à 21:44 (CEST)[répondre]
Si dans un clergé les officiants sont désignés par le sommet, ce n'est pas non plus le cas de l'Église catholique, alors ^_^ Pour les offices catholiques romains, la prière est conduite par un prêtre (traduction de "Cohen"), à défaut par un diacre (ceux qui sont ordonnés au service du Temple, la vocation des lévites), à défaut par n'importe quel baptisé, donc n'importe quel mâle ou femelle présent. La grande nouveauté introduite par le catholicisme serait-elle d'autoriser les femmes à conduire des assemblées de prière? ou d'avoir remplacé le droit héréditaire par la vocation personnelle? Super, je veux m'inscrire! :-D Bon, je rigole. le "clergé" est plus responsable de l'administration et du prêche que de la conduite de la prière, d'accord, OK, je ne recommencerais plus (au moins pendant cinq minutes). Biem (d) 23 juin 2009 à 08:03 (CEST)[répondre]

Pour répondre à la question de Proxim, l'origine de la question me paraît être la remarque souvent faite que les musulmans n'ont pas de clergé constitué, ce qui rend difficile l'identification d'un "leader" représentant correctement l'ensemble de la communauté. Côté juif, ce n'est pas trop le cas : D'abord, les rabbins sont des "docteurs de la loi", et ont fait de longues études pour le devenir, alors que les imams sont simplement des "hommes de foi" qui conduisent la prière, ce que n'importe qui peut (théoriquement) faire dans une organisation où tout le monde est égal même si certains plus que d'autres. (à condition d'être musulman, bien sûr). (et mâle adulte, évidemment). Ensuite, le prêche est une composante importante de l'assemblée de prière musulmane, particulièrement surveillé par les renseignements généraux en France ; alors qu'il n'y a rien de tel dans une assemblée de prière juive où le rituel se déroule comme à un concert ; du coup, ce que pense le rabbin local ne transparaît pas tellement dans les cérémonies religieuses. Enfin, c'est précisément pour avoir un interlocuteur politique du judaïsme que Napoléon a créé le consistoire, alors qu'il n'y a eu rien de tel côté musulman (parce que c'était une époque lointaine où la France manquait de musulmans sur son territoire) ; pour corriger le tir, le "commandeur des croyants" de notre époque, ministre des cultes, Nicolas, tel un petit Napoléon V, a mis en place une sorte de consistoire musulman avec le Conseil français du culte musulman, destiné justement à mettre de l'ordre dans ce dialogue. Bref, globalement, l'absence de système très hiérarchisé dans le culte juif (par opposition au système organisé catholique) est sans grande conséquence pratique, contrairement à ce qu'il se passe côté musulman, à cause de la nature de la liturgie. Biem (d) 23 juin 2009 à 08:03 (CEST)[répondre]

Bonjour à tous et bonne semaine ! Je lis dans Le Vif-L'Express du 19 juin 2009 la phrase suivante : « Plusieurs cadors du MR évoquent, à demi-mot, le manque de discernement de... » (MR étant le Mouvement réformateur, nom d'un parti politique libéral belge). Que dois-je comprendre ? Que signifie ce « cador » ? Merci pour vos réponses, --Égoïté (d) 23 juin 2009 à 12:23 (CEST)[répondre]

http://fr.wiktionary.org/wiki/cador
waouh j'ai appris quelquechose...merci!! --Pytra (d) 23 juin 2009 à 13:07 (CEST)[répondre]
et « on les retrouve aux belles places, nickel » ;). Erdrokan - ** 23 juin 2009 à 13:58 (CEST)[répondre]

Émoticône ! J'avais cherché dans le CNRTL et dans l'atilf sans rien trouver...
En remerciement, je vous offre une perle (dans l'atilf) : « cador n'a pas été trouvé dans une entrée du TLF. Le logiciel a donc décidé d'activer son correcteur d'erreurs pour rechercher cador et les mots apparentés dans tout le texte du TLF. cador a été trouvé ailleurs que dans des entrées. » Suivent un tableau et une mention explicative : « Les mots qui ressemblent le plus, par leur orthographe ou leur prononciation, à ce que vous avez tapé sont, s'il y en a, surlignés en vert, les autres en orangé. » Cador étant surligné en vert, je clique et découvre ce texte :
« Vous avez recherché "cador" dans le TLF, et le logiciel a décidé de rechercher également "cador".
La raison en est la suivante :
"cador" est identique à "cador".
"cador" est donc apparenté à "cador". »

C'est-y pas beau ça ? Émoticône --Égoïté (d) 23 juin 2009 à 14:15 (CEST)[répondre]
Et en plus si tu cherches dans synonymie tu trouves 3 mots [2] !!--Doalex (d) 23 juin 2009 à 15:53 (CEST)--[répondre]

Il y a aussi le chat d'Alice au pays des merveilles et, comme lui, je disparais sur un sourire...Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 02:09 (CEST)[répondre]

la toison d'or modifier

quel était le but de jason en récupérant cette toison d'or. on dit qu'elle portait chance. merci et belle journée aurore rocher

Voir Toison d'or, ou l'article anglais Golden Fleece mieux fourni. --Serged/ 23 juin 2009 à 14:06 (CEST)[répondre]
oui, enfin, les intellectuels qui pondent les interprétations de ce genre de quêtes ont toujours tendance à alambiquer des trucs très abstraits et à négliger les aspects bassement matérialistes. C'est dans leur état d'esprit.
Plus simplement, à la base, Jason est allé piller une contrée plus riche (en or) que la sienne, à la barbare et en profitant d'une supériorité technique navale. Comme les vikings bien plus tard. Pillage qui, contrairement à l'imagerie populaire, n'implique pas automatiquement un déferlement de violence stupide, mais, plus efficacement, des pressions "amicales", des négociations publics ou secrètes avec l'autorité du lieu, son entourage, des traitres, etc.
La phase la plus délicate étant toujours le moment de se barrer avec le magot ; je pense là à une saga viking bien précise, avec notamment un épisode où le héros, qui vient extorquer un tribut aux finnois, se bien accueillir -- avec festin et tout et tout -- mais se fait attaquer sur le chemin du retour par des "inconnus", sans que ça soit une surprise.
En fait, l'ensemble de la séquence semble plus ou moins ritualisée : A viens piller B, B lui fait un "cadeau" et ils font la fête ensemble (Jason est convier à des jeux), A se tire et B envoie des gens le tuer sur le chemin du retour ; il n'y a donc pas d'affrontement (que A réussisse son coup ou le rate, B était "honnête" et c'est juste des "brigands" qui se sont opposer à A) et on peut continuer à faire semblant d'être des potes, ce qui d'ailleurs pourra se produire en d'autres circonstances (A pourrait aussi venir chez B chercher des auxiliaires pour participer à une expédition du même genre contre C).
gem (d) 23 juin 2009 à 16:09 (CEST)[répondre]

Bonjour! Je voudrais savoir ce qu'est la "Lebrosine ou Lebrosyne" en chimie, sa nature chimique et ses propriétés chimiques. Merci

bonjour, je ne connais pas. Mais comme vous ne semblez pas sur de la prononciation, je vous propose Le Prozin, qui a la meme formule que Sulfanilamide. ViZiT (d) 23 juin 2009 à 16:07 (CEST)[répondre]
Ou alors si le prof a prononcé le nom en se raclant la gorge ça donne l'é(argh)osine.Émoticône sourire --Doalex (d) 23 juin 2009 à 16:22 (CEST)[répondre]
La lépromine ? [3] rv1729 23 juin 2009 à 16:27 (CEST)[répondre]

Suite de nombres modifier

Bonjour,

Je suis en train de m'amuser à modéliser une base de données, et cherche à transformer n colonnes en une seule. J'ai des solutions de replis, mais je cherche une solution plus esthétique correspondant à mon besoin. L'objectif est le suivant: Pour une ligne

  • soit n colonnes, chacune pouvant ou non être cochée
  • En affectant à la place de la coche un nombre entier particulier ou zéro s'il n'est pas coché

Si je somme tous ces entiers, j'obtiens un nouvel entier unique tel que, en fonction de la suite en question, je suis capable de définir quelle(s) colonne(s) étaient initialement a été cochée(s).

  • Les nombres premiers sont disqualifiés (si j'obtiens 8 en somme, j'ignore si était initialement coché 3 & 5 ou 7 & 1)
  • ça marche en binaire, mais ce n'est pas drôle
  • ça marche en utilisant des multiples de 10, mais ce n'est pas drôle non plus

La question est: existe-t-il une suite particulière permettant d'obtenir ce même résultat? Mes connaissance en algèbre sont par trop restreinte pour reconnaitre parmi les multitudes de suites particulière celle qui correspond à mon besoin.

Merci par avance --SOnO (d) 23 juin 2009 à 18:04 (CEST)[répondre]

Bonjour. Si les choix de chaque colonne sont 0 ou 1, le nombre écrit en binaire est la solution optimale. Sinon, on peut de même imaginer que la suite de 0 et de 1 représente un nombre dans une autre base (3, 10...), ce qui donne autant d'autres solutions. Sinon, n'importe quelle suite telle que le Nème terme soit strictement supérieur à la somme des N-1 précédents répond à la question. cordialement, Biem (d) 23 juin 2009 à 18:18 (CEST)[répondre]

Et je voudrais bien savoir pourquoi c’est pas drôle. C’est très drôle le binaire, et dans les langages de programmation pas ineptes vous pouvez faire des opérations logiques bit à bit sur deux nombres : c’est parfait. Au passage, il faut noter que ceci donne un bon critère pour reconnaître certains langages ineptes. rv1729 23 juin 2009 à 20:28 (CEST)[répondre]

Bonjour, vous pouvez utiliser les puissances de 2, c'est un peu comme du binaire déguisé. Par exemple si vous avez trois colonnes dans la première stockez 1 (= 2 0), dans la seconde 2 (= 21) et dans la troisième 4 (= 22). Ainsi si le total vaut 3, c'est que les deux premières cases sont cochées, 6 pour les deux dernières, 5 pour la dernière et la première, 0 pour aucune, etc. Vous pouvez vérifier avec plus de colonnes. C'est ce qui est utilisé pour la commande unix chmod. Blue [ -02- ] 24 juin 2009 à 09:05 (CEST)[répondre]
Edit : cela correspond d'ailleurs totalement à la solution proposé par Biem : 2(n+1) -1 = ∑ 2n donc le Nème terme esr strictement supérieur à la somme des N-1 précédents. Blue [ -02- ] 24 juin 2009 à 09:12 (CEST)[répondre]

Franc-Maçonnerie... article pas très franc ! modifier

Non c'est pas un post à troll ! D'abord, chère Pythies, mes hommages. J'essaye de me renseigner quant à la Franc-Maçonnerie, pour avoir entendu parler récemment dans mon entourage de la Grande Loge nationale française. Sauf que l'article en question n'est vraiment pas parlant, en ce qu'il est visiblement trop "technique" pour le néophyte que je suis. Des abréviations, des termes très particuliers, se mêlent à un article qui avant tout donne des explications sur l'histoire de la Grande Loge nationale française et de ses pratiques, détaille les rites en question, mais n'explique pas... eh bien, tout simplement, ce que c'est. Il faut être déjà très familier avec le sujet pour y comprendre quoi que ce soit (j'insiste sur le "très" car même en lisant l'article Obédience maçonnique, je ne comprends toujours pas ce qu'est une obédience). En gros, je voudrais savoir ce que sont et font ces obédiences. J'ai cru comprendre en lisant des pages de discussion que c'étaient des associations, dans ce cas en quoi consistent des statuts de ces associations ? Que font-elles "au quotidien" ? Je comprends ce que fait une association de consommateurs, humanitaire, sportive ou culturelle... les obédiences se rapprochent dans leurs actions de l'une de ces catégories ? Quelqu'un peut-il tenter de m'expliquer, par un vocabulaire accessible, ce dont il s'agit ? Je lui en serai très reconnaissant.

sshhhtt ! il vaut mieux ne pas trop en savoir sur le sujet. Félix Potuit (d) 23 juin 2009 à 19:03 (CEST) [répondre]

Il s’agit de trouducuteries. rv1729 23 juin 2009 à 20:25 (CEST)[répondre]

On reconnait assez facilement ceux qui en sont, et ceux qui n'en sont pas. Les uns sont difficiles à comprendre, et les autres disent que c'est des trouducuteries, ou des trucs comme ça. Évidemment, la vérité est quelque part ailleurs. Il se trouve, par pur hasard, que je connais un certain nombre de gens qui en sont. Parmi eux, des gens sincères, honnêtes, responsables, enfin plein de qualificatifs. Et d'autres (que je fréquente moins) qui en sont par arrivisme, pour se faire des relations, et qui se foutent pas mal des idéaux inhérents aux principes de la chose. Alors il y a les rituels, la symbolique, obligatoires, on accepte ou on considère ça comme du folklore, limite ridicule, comme on trouve ridicule ce qu'on ne pratique pas soi-même (entre mettre des gants blancs, un petit tablier brodé, et se peindre la figure et s'habiller aux couleurs de son club de foot, bof-beauf..) Morburre (d) 23 juin 2009 à 21:38 (CEST)[répondre]
On peut distinguer les maçons opératifs qui construisent et les maçons spéculatifs qui … ne construisent pas ! Dans la vraie vie, dès le milieu de la matinée, et parfois même avant, on perçoit aisément l'odeur aigrelette des premiers, laquelle résulte de la macération de certaines humeurs excrétoires épidermiques qu'on nomme vulgairement la sueur. La seconde catégorie est exempte de cet inconvénient parce que la spéculation ne fait transpirer que légèrement le front. Soyons chiens, reniflons notre prochain(e). le sourcier de la Colline [on cause ?] 23 juin 2009 à 23:55 (CEST)[répondre]
C'était la suite de ma démonstration. Il y a probablement peu de maçons à la fois opératifs et spéculatifs, mais ce n'est pas impossible. Et des mecs qui transpirent au travail, il y en a dans les deux catégories. Et des qui ne transpirent pas, pareil. Morburre (d) 24 juin 2009 à 00:21 (CEST)[répondre]

Des idéaux qui ne proscrivent pas l’appartenance à une telle organisation ne méritent pas d’autre qualificatif que celui de trouducuteries. Je suis en forme ce matin moi. rv1729 24 juin 2009 à 07:56 (CEST)[répondre]

Je croirai dans les idéaux de la franc-maçonnerie le jour où la liste de ses membres sera publique. Félix Potuit (d) 24 juin 2009 à 08:08 (CEST)[répondre]

L'Oracle n'étant pas le Bistro, et Wikipédia désapprouvant les points de vue non neutres, j'aurais bien dans l'idée de supprimer les interventions de Félix Potuit et Herve1729 (dit "rv") dans cette discussion, d'autant qu'elles n'apportent pas de réponse, mais bon, soyons franc du collier et maçons passons...

En ce qui concerne ta remarque, chère questionneuse, cher questionneur, elle est en partie justifiée, et l'article que tu indiques et en fait tous ceux concernés par le Portail:Franc-maçonnerie et la catégorie:Franc-maçonnerie sont avant tout « techniques » et pour le reste, ne laissent guère place qu'à des sections « critiques et scandales ».

Pour ta demande par contre, ce n'est pas vraiment le rôle de Wikipédia que de rendre compte de « [ce] que font [les associations] "au quotidien" », quelque association que ce soit, sauf si cette activité au quotidien est l'objet principal de l'article. D'où la présence de liens externes, pour obtenir des informations moins générales et plus « quotidiennes ». Je te conseille donc de visiter le site http://www.glnf.fr/ où tu trouveras des informations plus précises sur les actions de la loge que tu évoques, un numéro de téléphone, une adresse et un lien « contact » qui sont tous moyens d'obtenir des renseignements de première main.

Bonne chance dans tes recherches. -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 10:19 (CEST)[répondre]

Faut pas pousser, si on peut pas se foutre sur la gueule entre potes, c'est plus la peine de vouloir faire une encyclopédie « neutre ». Tout le monde a le droit d'avoir des points de vue dogmatiques et arrêtés. Je ne fais pas la promo de la confrérie, je nuance. Morburre (d) 24 juin 2009 à 11:15 (CEST)[répondre]

OMH, j'ai l'impression d'avoir lancé une patate chaude. Je peux voir quelle en est la raison (et la discussion qui précède ta réponse), cela dit, car je sais le sujet sensible, mais justement on en débat souvent en tenant pour acquis que tout le monde sait de quoi il s'agit ; ce n'est pas le cas. Ma demande n'est pas que l'un de vous me dise quelle est l'actualité des activités de cette obédience, mais bien ce qu'elle fait en général. C'est pourtant bel et bien le rôle de Wikipedia puisque je peux lire sur la page Société protectrice des animaux une description de ses activités dés l'introduction, par exemple. Tu me recommandes le site de la Grande Loge mais c'est le même problème que la page Wikipedia sur le sujet, à savoir que seuls les initiés comprennent ce dont il s'agit. Je ne suis donc pas plus avancé. Merci tout de même.

Ce que tu dis n'est pas faux mais ne concerne pas l'Oracle qui ne peut ni ne veut répondre aux questions concernant le contenu des articles ou l'organisation de l'encyclopédie (et en plus, ça sème le trouble parmi les pythies). Tu devrais plutôt discuter de ça du côté du Portail:Franc-maçonnerie et surtout du Projet:Franc-maçonnerie, où tes remarques et propositions seraient utiles, je crois. -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 13:03 (CEST)[répondre]

Puisqu'il s'agit d'une société secréte, il est normal que ce qui s'y passe reste secret. Une de vos connaissances peut en faire partie sans que vous le sachiez, et s'il arrivait que vous le découvriez, il resterait vraisemblablement très discret sur ce qui s'y passe. C'est ce que j'ai retenu des recherches et émissions sur le sujet. Une chose semble certaine, c'est qu'il existe entre eux une grande solidarité. Essayez d'avoir des infos sur les Rose Croix ou autres associations, ce sera pareil.--Kkbs (d) 24 juin 2009 à 20:23 (CEST)[répondre]

Personne ne semble s'étonner que dans des républiques soi-disant démocratiques, égalitaires et transparentes, des sociétés secrètes puissent avoir une influence prépondérante sur la marche des affaires publiques... J'aimerais savoir quel article de la Constitution prévoit cela ? Félix Potuit (d) 25 juin 2009 à 16:20 (CEST)[répondre]

Pour donner une réponse courte et sans polémique, les maçons au sein des loges ont au quotidien trois types d'activité: les planches, sorte d'exposés sur un sujet qui peut être symbolique ou non (philosophique, social, actualité...) suivies de débats; les rituels (ouverture/fermeture de la loge, etc...) et cérémonies rituelles (initiations...); de l'administratif (votes, lecture de courrier, etc...). Selon les loges et les obédiences, ces trois activités ont plus ou moins d'importance relative. .: Guil :. causer 25 juin 2009 à 19:45 (CEST)[répondre]

Étrange, cette réputation de « société secrète » qu'ont encore, aujourd'hui, les franc-maçonneries : toutes les loges que je connais ont pignon sur rue (et pour certaines, de beaux pignons sur de belles rues), n'importe qui peut y entrer, s'informer sur elles et surtout, sur le moyen de s'y faire admettre. Certes il existe des loges locales aux mœurs (surtout politiques, économiques et financières) douteuses mais ça n'a rien de spécifique à la maçonnerie, on voit aussi ça dans la maçonnerie moins franche notamment, et de manière beaucoup plus courante semble-t-il, et certes ce sont, dira-t-on des « sociétés discrètes », mais s'ils sont souvent discrets les maçons ne sont pas secrets, voir par exemple tous ceux qui, dans le cadre de l'émission Divers aspects de la pensée contemporaine sur France Culture, parlent en tant que francs-maçons de toutes obédiences, ou ceux qui publient dans les revues émanant des diverses loges.
Là-dessus, il serait bon, me semble-t-il, de se souvenir ici, dans le cadre d'un projet comme Wikipédia, que les franc-maçonneries furent réellement secrètes dans les tristes périodes où la République et la démocratie furent en danger et même suspendues, les malheureux temps par exemple où l'on traquait les supposés complots de la supposée « judéo-franc-maçonnerie » et où il ne faisait pas bon penser librement... -O.M.H--H.M.O- 26 juin 2009 à 10:22 (CEST)[répondre]
Le passé n'excuse pas le présent. Félix Potuit (d) 27 juin 2009 à 07:35 (CEST)[répondre]
Mais souvent il l'éclaire et parfois il l'explique (cette remarque ne s'appliquant pas ici à la franc-maçonnerie). -O.M.H--H.M.O- 27 juin 2009 à 22:44 (CEST)[répondre]

Écriture manuscrite imprimée modifier

C'est 1840 ! ça ne nous rajeunit pas...
extrait d'un livre autographe

Bonjour ! Nouvelle question : comment les livres présentant des écritures manuscrites différentes étaient-ils imprimés au XIXe siècle ? (J'entends par là des imprimés composés entièrement en écriture manuscrite) Par lithographie ? Ces ouvrages portent-ils un nom particulier ? Merci à vous, --Égoïté (d) 23 juin 2009 à 18:49 (CEST)[répondre]

Salut, Egoïté. Pour imprimer un livre au 19è siècle, il fallait les plaques permettant l'impression ; et les images / dessins / graphiques étaient à l'époque composés par gravure, lithogravure ou autre gravure, sur cuivre par exemple. Il suffit d'un artiste pour reproduire l'écriture manuscrite, pas de problème particulire. Cordialement. Biem (d) 23 juin 2009 à 20:58 (CEST)[répondre]
Les planches de l'encyclopédie, par exemple, c'était de la taille-douce ou du burin (gravure). Au XIXe, idem, ou lithographie, réservé aux ouvrages de luxe (parce qu'il faut imprimer séparément le texte en typographie classique et la gravure ou la litho. pour le tout-venant, il restait la gravure sur bois de bout, imprimable en même temps que le texte, et puis sont apparus les clichés ou stéréotypes, reproduisant par moulage en métal les gravures sur bois, et puis les clichés classiques, reliefs en métal d'après photographies. Morburre (d) 23 juin 2009 à 21:24 (CEST)[répondre]
Merci. J'ai trouvé sur le net, des reproductions de passages de mon bouquin (le Hachette non daté). Cela vous suffirait-il pour déterminer si gravure ou litho ? (Smiley oups) mais pleine d'espoir ! --Égoïté (d) 23 juin 2009 à 22:48 (CEST)[répondre]
Aïe ! Impossible, sans avoir le bouquin original sous la main. C'est un peu agaçant. 1853, ce sont les débuts des clichés zinc, alors si l'édition est antérieure, ça devient difficile... 1852, c'est bon. Le pire, c'est que j'ai, là, à moins de deux mètres de mon clavier, un exemplaire d'un bouquin identique, peut-être le même, mais sûrement une édition postérieure. Le problème est de mettre la main dessus dans mon, euh, restons poli, rangement complexe. S'agissant d'un bouquin a priori scolaire, je ne crois pas qu'il y ait mélange de litho et de typo. Sûrement un système de cliché, il y a eu des dizaines de formes et de bidouillages... L'enquête continue. Morburre (d) 23 juin 2009 à 23:36 (CEST)[répondre]
Ayééé! J'ai trouvé : Choix gradué de 50 sortes d'écritures, pour exercer à la lecture des manuscrits, librairie Hachette et Cie, et typo Brodard à Coulommiers, mais pas de date. Bon, c'est imprimé en typo (ça se voit au foulage, le léger relief du papier qui se décèle à l'envers de l'impression), on exclut litho et gravure, ce sont donc des clichés : à partir d'un original, soit par procédé photographique, soit par report lithographique, je ne connais pas bien la technique de l'époque, mais l'écriture est déposée à l'envers sur une plaque de zinc qui est attaquée à l'acide, l'acide ronge tout ce qui n'est pas protégé par l'écriture, qui finit donc par être en relief. La plaque est montée sur un bout de bois de l'épaisseur adéquate, qui la met au niveau des caractères en plomb classiques et hop, on met tout ça dans la machine et on imprime. À l'exception des filets entre paragraphes et de la signature de l'imprimeur à la fin de chaque cahier, tout est fait au moyen de clichés, les folios, les titres (donc fait à la main). Morburre (d) 24 juin 2009 à 00:15 (CEST)[répondre]
Tu es un chef ! (et un parrain merveilleux). Je te cite promis ! --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 07:57 (CEST)[répondre]
Aïe ! Brodard, dis-tu ? Le mien, c'est « Coulommiers. — Typogr. A. Moussin » Cela changerait-il quelque chose ? --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 08:37 (CEST)[répondre]
Ayééé! J'ai réussi à déchiffrer le texte dans le "dessin" ultime (p... ce que je manque de vocabulaire !) : c'est daté ! « Choix gradué de 50 sortes d'écritures Paris 1840 mis en relief par C.G. » ! Ton avis, STP ? --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 08:43 (CEST)[répondre]
Exact., ça confirme bien que c'est un cliché, mais je n'ai pas retrouvé le mystérieux CG ni sa technique de 1847, l'histoire commence officiellement vers 1850 avec Firmin Gillot et plus tard son fils Charles, qui n'était pas né en 1847. À suivre... Morburre (d) 24 juin 2009 à 10:07 (CEST)[répondre]
J'ai dans mes archives, un "Cours élémentaire de Tissage" daté de 1898 (ça vient de ma grand-mère), dont le texte (imprimé) est entièrement manuscrit. Chapeau bas ! quand je vois les gribouillis de mes notes manuscrites...
Dans la page de titre (la seule page "composée") une mention : Autographie : GAGNAIRE Marius. Et dans l'article Autographie :
« L’autographie est un procédé d'imprimerie du début du XIXe siècle permettant de transposer sur une pierre lithographie des dessins réalisés sur un papier spécial avec une encre grasse. Cela permettait d'éviter de passer par la gravure, qui, mal fait, peut réduire la nervosité et l'expressivité des traits. »
--Serged/ 24 juin 2009 à 10:34 (CEST)[répondre]
Oui, mais on n'est pas dans ce cas ici. On a là un matériel qui a été utilisé à grande échelle pendant des années. En fait mon problème, c'est l'original : a-t-on utilisé les originaux, ou a-t-on fait des copies manuelles ? Étant donné que tous les textes sont au même format pour entrer pile dans le petit bouquin, ça veut dire qu'on a utilisé un procédé photographique (un agrandisseur, en l'occurrence plutôt « réducteur »). Je ne sais pas de quand date l'agrandisseur, les photographies étaient généralement faites par contact, donc au format du négatif. Bref, je piétine. Mais je l'aurai un jour. Morburre (d) 24 juin 2009 à 11:03 (CEST)[répondre]
Y aurait-il une date dans le cul de lampe de ton exemplaire, Morburre ? --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 11:44 (CEST)[répondre]
Dans le cas de mon livre, je pense que celui qui a saisi le texte a directement écrit sur le papier spécial. Dans ma scolarité (années 60-70), à une époque où la photocopieuse n'était pas si répandue que ça, les profs écrivaient les textes de leurs devoirs, bouts de cours etc. sur du papier spéciale, et les dupliquaient avec une machine à alcool. Les polys sentaient bon l'alcool... D'ailleurs, depuis, j'ai gardé le goût prononcé pour les boissons alcoolisées. --Serged/ 24 juin 2009 à 11:48 (CEST)[répondre]
Naissance de l'agrandisseur aux USA : 1843 , --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 11:56 (CEST)[répondre]
Pour mon livre : voir scan en tête du sujet. --Serged/ 24 juin 2009 à 12:07 (CEST)[répondre]
C'est ça. Les « bandes dessinées » de Rodolphe Töpffer ont été réalisées de cette façon sur papier autographe, mais dans les années 1827-1844. Imprimer par ce procédé en 1898 était tout à fait obsolète (toutes les techniques modernes existaient alors). Mais j'ai vu fin des années 70 un bouquin entièrement fait à la main par son auteur, un livre technique sur le travail du bois, avec des schémas partout, et « typographie » dessinée, justifiée, le tout dessiné sur des feuilles de calque, l'auteur expliquant en préface que c'était le moyen de publier son bouquin à moindre frais. Un truc de fou que j'ai eu le tort de ne pas acheter. Bon, reproduire par photo un document, le réduire, insoler une plaque, tout ça avant Gillot, je ne sais toujours pas... Morburre (d) 24 juin 2009 à 12:23 (CEST) Le cul-de-lampe sur mon exemplaire, c'est le même que le tien. À vue de nez, il semblerait que Brodard ait succédé à Moussin à Coulommiers, en reprenant tout son matériel. Donc ton exemplaire doit être plus ancien que le mien.[répondre]
Merci. On en apprend des choses aujourd'hui sur l'Oracle ! Émoticône sourire Si tu "parviens à l'avoir", préviens-moi ! --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 13:46 (CEST)[répondre]
Pour "mon" livre :
  • C'était un livre destiné à l'école professionnelle de tissage de Saint-Ètienne. Donc un tirage relativement limité (une sorte de "poly" de l'époque). Peut-être l'école avait de "vieux" équipements... Néanmoins qui a eu une vie assez longue : Ma grand-mère a du arrivé de sa campagne à Saint-Étienne vers 1920 et a du travailler dans le textile quelques années après. Et je subodore que ce livre était destiné à ma mère (née en 1925...) qui a du faire cette école dans les années 30-40. --Serged/ 24 juin 2009 à 14:00 (CEST)[répondre]
En fait d'équipement, c'est réduit au minimum, ce n'est que de la lithographie traditionnelle, et à l'époque il y avait des ateliers de litho partout. La seule différence, c'est qu'au lieu d'écrire et de dessiner sur la pierre directement, et à l'envers, ce qui peut poser certains problèmes, on écrit normalement sur un papier spécial, qui permet de décalquer directement sur la pierre en posant le papier dessus, face écrite contre la pierre. Il n'y avait plus qu'à imprimer. Morburre (d) 24 juin 2009 à 16:19 (CEST) Pourquoi j'ai « vu » 1847 ? C'est bien 1840, le cul-de-lampe.[répondre]

Tomber enceinte modifier

Les graffiteurs libanais sont des artistes ! Tu as la traduction ?

Bonsoir,
Une fois de plus, je viens d'entendre cette expression que je trouve laide (je sais que c'est un POV), tomber enceinte. Ni le CNRTL, ni le Wiktionnaire ne donnent l'origine de cette expression. L'une des Pythies saurait-elle me renseigner?
Cordialement. --doc103 (d) 23 juin 2009 à 21:35 (CEST)[répondre]

Bonjour. Je suppose que c'est par opposition à l'expression « s'envoyer en l'air », de temps en temps il y a un trou d'air et les femmes « tombent » enceintes ? Mais je ne peux qu'être d'accord, c'est une expression pas trop top. Être enceinte, c'est réaliser sa féminité, et il n'y a pas de raison que ce soit associé à l'idée de chute. Biem (d) 23 juin 2009 à 21:52 (CEST)[répondre]
Conflit d'édit :Tomber suivi d'un attribut a le sens de "devenir", c'est la même construction que "tomber amoureux", "tomber malade"... Loïse [patati] 23 juin 2009 à 21:53 (CEST)[répondre]
C'est une expression ancienne, gentiment connotée, qui tend à tomber en désuétude. Elle provoque des vives réactions chez certaines femmes, pas forcément féministes. Je connais une rédaction où l'usage de cette expession est fortement déconseillé, sous peine de tomber en disgrace. --Seymour (d) 24 juin 2009 à 00:47 (CEST)[répondre]
Laquelle ? 86.209.6.231 (d) 24 juin 2009 à 00:55 (CEST)[répondre]
Quelle stupidité! C'est une expression parfaitement française, et il faut être vraiment inculte pour la trouver connotée (d'ailleurs, je dirais "refnec" pour le "vieilli", je trouve que c'est une expression toujours très usitée : "je suis tombé malade la semaine dernière", "Noël tombe un Mercredi cette année", "Tu tombes bien"... ça a le sens d'être, en constatant un état de fait. Bannir une expression du vocabulaire courant sans plus de raison que la stupide croyance qu'il s'agit de quelque chose de connoté négativement est anormal. Arnaudus (d) 24 juin 2009 à 10:06 (CEST)[répondre]
« Être enceinte, c’est réaliser sa féminité. »
Ah oui, les femmes c’est là pour faire des gosses ! et pis c’est tout ! rv1729 24 juin 2009 à 07:53 (CEST)[répondre]
Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe ! a dit Victor Hugo, qui en connaissait un bout sur la question. Félix Potuit (d) 24 juin 2009 à 08:09 (CEST)[répondre]
Émoticône sourire A vrai dire, je ne vois pas trop le problème avec cette expression. Que faudrait-il dire en parlant avec un médecin de sa grossesse ? "Je me suis faite coller un polichinelle dans le tiroir autour du...", mieux "Je me suis fais engrosser" ? ou plus scientifique "la fusion entre le noyau de mon ovule et celui du spermatozoïde de mon conjoint s'est réalisée il y a ..." Disons que, niveau féminisme, les couvertures dont on est assiégés en sortant chaque matin "Perdre 50 kilos en trois jours parce qu'à un IMC supérieur à 15 on est moche et interdite de sortir en maillot de bain" me semblent plus problématiques... Loïse [patati] 24 juin 2009 à 08:21 (CEST)[répondre]
conflit d'édition
Mais oui, rv, avoir un enfant fait partie de la féminité. Mais non, rv, Biem n'était pas si restrictif que ça Émoticône
Ceci dit, même si Loïse a raison sur le plan de la langue, je fais partie de ces femmes qui haïssent l'expression « tomber enceinte » (au même titre d'ailleurs que « faire l'amour » – on ressent, on vit, on explore, on partage, on construit, etc. l'amour, sentiment ou acte sexuel) car elle sous-entend toute la détresse, pendant si longtemps, de milliers de femmes (mais d'hommes aussi – ça ne devait pas être drôle, en conscience, de découvrir qu'il faudrait nourrir un moutard en plus quand il était déjà difficile d'avoir du pain pour les autres...) qui n'ont pas eu de choix, de prise sur la maternité.
Celle-ci, quand non désirée, leur advenait effectivement comme une maladie (on en saisit directement les désagréments et les effets à long terme) et non comme le plaisir du sentiment amoureux (quand on « tombe amoureux », on ne ressent pas les désastres qui peuvent survenir... Émoticône).
Toute la nuance de la perception est là, entre le « je suis tombée enceinte » et le « je suis enceinte »...
Bien à vous tous, --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 08:24 (CEST)[répondre]
Tu dis cela parce que tu es jeune, Loïse, et c'est tant mieux pour toi. Notre époque a ses bons côtés, et la contraception en est un. Replace l'expression dans un contexte historique et social à une époque où nombre de femmes ne connaissaient et n'avaient pas accès au médecin ou au gynéco. Il leur restait les autres femmes de la famille (éventuellement), les voisines (potentiellement) et les faiseuses d'ange... Grrr, encore un article à compléter ! --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 08:31 (CEST)[répondre]
de fait, "tomber" enceinte est moins... pratiqué je dirais. d'ailleurs cette expression n'existe pas dans les langues que je connais un peu (anglais, danois, allemand)(alors que tomber amoureux, dans une moindre mesure qu'en français, existe). les femmes "tombent" moins, dans le mesure où c'est décidé-programmé-limite millimétré pour certaines (j'ovule là, alors on essaye de...). mais il y a encore 40 ans, c'était comme l'explique égoïté : bonjour le branche dans le vagin pour bien tout nettoyer. et inciter à perdre 18k avant l'été pour mettre un maillot, c'est au moins autant attentatoire que "tomber"...--Pytra (d) 24 juin 2009 à 09:40 (CEST)[répondre]
Je n'aime pas du tout cette expression non plus, et ça fait un moment que je me demande d'où elle sort. J'ai fait (mais c'est peut-être une erreur) le lien avec le terme médical de la grossesse, gravide. C'est un mot qui vient du latin gravis (lourd), vous rajoutez dessus l'attraction terrestre, ce qui est lourd tombe, et hop voilà Émoticône. C'est un peu tiré par les cheveux comme explication, mais il y a peut-être cette idée de lourdeur ? Serein [blabla] 24 juin 2009 à 10:00 (CEST)[répondre]
Tu as sans doute raison sur la différence de point de vue en fonction de l'âge, Égoïté. C'est vrai que je ne trouve pas qu'il y ait de sous-entendus particulièrement attachés à cette expression, j'y vois simplement, comme je l'ai dit, la signification de "devenir". Peut-être que si j'avais connu l'époque où l'accès à la contraception et à l'avortement était limité, voire impossible, je n'aurais pas eu la même perception... Après je m'aperçois également en lisant les commentaires des autres Pythies que je n'emploie pas forcément ce terme comme c'est l'usage courant. Pour moi, "tomber enceinte" réfère uniquement au moment de la conception, terme plutôt utilisé pour le contexte médical, donc. Par exemple, je dirais bien "je suis tombée enceinte il y a tant de temps" ou "je suis tombée enceinte très rapidement après l'arrêt de contraceptifs", mais certainement pas "je suis tombée enceinte" tout seul pour annoncer une grossesse, où j'utiliserais plutôt "je suis enceinte". Mais je ne suis pas linguiste ! Loïse [patati] 24 juin 2009 à 10:26 (CEST)[répondre]
Le TLFI est assez clair: il donne le sens "B. Se retrouver dans tel ou tel état physique ou moral, sous tel ou tel aspect.", et ne mentionne pas de connotation péjorative. Les exemples sont "tomber d'accord", "tomber amoureux", "tomber enceinte", "tomber malade", "tomber en extase", "tomber en défaut", "tomber en ruine", "tomber en faillite, en désuétude". La connotation négative n'est mentionnée que pour le sens B-3, "tomber dans le désespoir". À mon avis, toute cette histoire de connotation et de féminisme frôle la paranoïa, il s'agit d'une expression utilisée à la fois dans un sens positif (tomber amoureux, tomber en admiration) et un sens dégatif (tomber en déconfiture). "Tomber dans" est plus négatif (tomber dans l'alcoolisme), mais ce n'est pas cette forme qu'on trouve dans "tomber enceinte". Bref, ça me paraitrait un peu plus sain si les féministes s'intéressaient aux vrais problèmes plutôt que de réinventer des connotations que les dictionnaires ne mentionnent pas :-) Arnaudus (d) 24 juin 2009 à 10:42 (CEST)[répondre]
Eh oh attends ! Si ce n'était et n'est pas encore pas un vrai problème que de « tomber enceinte », que te faut-il de plus ? ! Quel âge as-tu donc ? N'as-tu encore rien appris de la vie ? Ne lis-tu pas les informations dans les journaux ? Ne sais-tu pas qu'il y a encore des femmes qui avortent, qui abandonnent ou tuent leur bébé ? Que certaines vivent le déni de grossesse ? En 2009. Alors remonte dans le temps, STP. Je suis née en 1950. À cette époque, dans une large partie de la population occidentale, on ne parlait de rien aux filles : ni de sexe, ni de précautions, ni de tout le reste qui concerne les rapports sexuels. On ne leur disait même pas qu'elles allaient avoir des règles, ni ce que c'était ! Les maladies sexuelles ? Aucune info ! Comment se concevait un enfant ? Motus ! Comment on accouchait ? Que dalle ! et même dans la salle d'op, les médecins n'expliquaient rien ! On te plaquait le masque à chloroforme sur le nez si nécessaire sans rien te dire ! sans même te dire qu'on allait t'endormir pour que tu ne souffres pas... Et les pauvres filles qui, hors mariage, « tombaient enceintes », c'étaient des filles-mères, rejetées par la société. Dans ces conditions, crois-tu qu'il faille être « féministe » pour connaître le sens d'une expression différent de celui des dicos (majoritairement écrits par des hommes, d'ailleurs, et dont les définitions mettent des générations à évoluer ! Mais sans doute, c'est pas sain de parler de ces choses-là ? Bien à toi quand même, --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 11:38 (CEST)[répondre]
@ Arnaudus : je ne me sens absolument pas militante féministe ou quoi que ce soit, et je ne peux invoquer mon éducation pour cela (plus vieille-France que ma famille, tu meurs), mais « tomber enceinte » a clairement un sens péjoratif pour moi, un peu comme « tomber malade ». Il y a cette idée de chute, et j'imagine que tu sais que la Chute, dans la culture judéo-chrétienne, c'est la faute d'Adam et Ève (surtout Ève d'ailleurs). Bref, tout un champ lexical péjoratif (je rajoute ce que je disais plus haut sur la lourdeur, gravis). Et je ne suis pas paranoïaque, mais force est de constater que la maîtrise des grossesses est une chose assez récente, la connotation négative de la grossesse est donc encore présente. Serein [blabla] 24 juin 2009 à 11:44 (CEST)[répondre]
Euh... ok, à une époque pas si lointaine (et même encore aujourd'hui par endroits), des gens employaient l'expression "tomber enceinte" avec une connotation négative envers la femme concernée, sous prétexte qu'elle n'était pas mariée par exemple ; mais à cette même époque (ou dans ces mêmes lieux d'aujourd'hui), quelle expression employaient alors les gens qui n'y voyaient rien de mal ? Par exemple, un couple marié depuis quelques années, la femme "tombe enceinte", ils sont tous deux très heureux... quelle expression emploient-ils alors ? Asheka [la vie est belle] 24 juin 2009 à 11:49 (CEST)[répondre]
si c'était pour moi, j'ai juste dis "moins". je n'ai pas dit qu'aucune femme n'avorte, ne se trouve dans des situations desespérées, bref ne veuille pas, ne désire pas être enceinte. j'ai juste dis "moins". je sais que c'est encore et tjs le desespoir pour certaines, et que certaines n'ont aucune info, etc. seulement, par rapport aux années 50 (où pas mal de filles arrivaient au mariage sans rien savoir du sexe, encore que les marige pour cause de grossesse y'en avait déjà), il y a des moyens contracaptifs efficaces et répandus. et que le grossesse est la plupart du temps un choix. je suis née en 1983, et j'ai l'impression que le pillule, les capotes et autres, c'est vraiment dispo (ok, dans mon milieu, dans mon pays...). cool! --Pytra (d) 24 juin 2009 à 11:49 (CEST)[répondre]
Désolée, Pytra, ce n'était pas pour toi ! C'était pour Arnaudus... --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 12:30 (CEST)[répondre]
À Asheka : La phrase heureuse était plutôt « Marie attend un enfant » ou « Jeanne est enceinte » ou « nous allons avoir un enfant », mais jamais « Martine est tombée enceinte ». Et à propos d'« enceinte », je me souviens avoir été punie parce que cherchant, en classe de 3e primaire (donc en 1958), un mot dans le Petit Larousse illustré, j'ai lu l'entrée Enceinte et que j'ai interrogé l'institutrice. (je ne connaissais pas le mot grossesse, et ne pigeais pas pourquoi « enceinte » c'était un mur et une femme) Ça te donne une idée de l'époque... --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 12:06 (CEST)[répondre]
D'accord, mais, il me semble que quelqu'un l'a dit plus haut, "tomber enceinte" correspond au moment de la fécondation, alors que les autres expressions désignent l'état de grossesse ; dans le premier cas, on parle d'un instant, dans le second d'une durée. Par exemple, je dirais pour ma part "je suis tombée enceinte dans le mois qui a suivi mon mariage", pour situer ce moment important, mais ensuite je dirai "je suis enceinte" et pas "je suis tombée enceinte". L'expression "tomber enceinte" est dans mon esprit forcément associé à une précision (qui peut indiquer que c'était plus ou moins "le bon moment" d'ailleurs). Enfin bref, tout ça pour dire que la connotation négative pour moi n'est pas dans le mot "tomber", mais dans la bouche de celui qui l'emploie / les oreilles de celui qui l'entend. Asheka [la vie est belle] 24 juin 2009 à 12:44 (CEST)[répondre]
Je comprends parfaitement ce que tu veux dire, Asheka, et cela indique clairement aussi l'évolution du sens de l'expression, moins négatif aujourd'hui que jadis, la société ayant évolué, notamment grâce aux féministes Émoticône. Il n'est pas anecdotique de constater que le questionnant, par ailleurs médecin et donc connaissant tout ce qui touche à la maternité, est un homme de la même génération que moi et qu'il s'informait d'une expression qu'il trouve « laide ». La connotation négative n'est pas dans la bouche de celui qui l'emploie / les oreilles de celui qui l'entend ; elle est dans le vécu des gens et dans l'époque, raison pour laquelle j'ai apprécié la réponse de Seymour : oui, elle est connotée (sans doute pas gentiment, mais c'est une question d'humour Émoticône) et elle tend à tomber en désuétude dans sa connotation. Mais par ailleurs, le sens négatif s'appliquait bien à un instant : celui du drame, du malheur, de la honte, de la chute comme le dit Serein, même si cet instant malheureux connaissait des répercussions bien au-delà de neuf mois... Amicalement, --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 13:30 (CEST)[répondre]

Merci à toutes les Pythies pour ces réponses, et particulièrement à Égoïté (d · c · b) qui en quelques phrases à su traduire le caractère désagréable que peut avoir cette expression pour des gens de ma génération. Amicalement --doc103 (d) 24 juin 2009 à 13:45 (CEST)[répondre]

Pour ma part, il ne faut pas y chercher une image désobligeante. Le sens est pourtant connu: « arriver par hasard », voire « arriver sans crier gare, brusquemment ». Cette mauvaise nouvelle vient de tomber... Mistig (d) 24 juin 2009 à 16:54 (CEST)[répondre]

@Egoité, sache que pour les garçons dans ces années là, ils n'avaient pas plus d'informations que les filles sur le sujet. Tout au plus en entrant pour le service militaire, on nous visionnait un ou deux films pour nous informer des risques encourus en fréquentant les filles (de mauvaise vie). L'époque était ainsi.--Kkbs (d) 24 juin 2009 à 20:14 (CEST)[répondre]

Portrait of the artist as a young man. rv1729 24 juin 2009 à 21:45 (CEST)[répondre]
'tainnnn ! Mon premier Joyce ! Je ne connaissais pas l'artiste quand j'ai entrepris la lecture de "Dedalus" (titre de l'ancienne VF) par hasard et par désoeuvrement, l'heureuse surprise que j'ai eue ! -Lo-78.115.157.194 (d) 26 juin 2009 à 10:07 (CEST)[répondre]
Je me suis toujours dit qu'être une femme, c'était trop compliqué pour moi, je suis bien content finalement d'être de l'autre bord (j'espère ne pas être puni de ce propos misogyne à ma prochaine réincarnation). Heureusement, bientôt il n'y aura plus besoin d'hommes ni de femmes pour assurer la transmission de la vie, tout ça se fera en laboratoire et on choisira sur catalogue. Quel soulagement. Félix Potuit (d) 25 juin 2009 à 16:11 (CEST)[répondre]
Nous vivrons enfin dans le meilleur des mondes. Loïse [patati] 25 juin 2009 à 16:14 (CEST)[répondre]

Pas trop tôt. "Et peut-être, un jour, pour de nouveaux amis, Dieu tiendra ce bonheur qu'il nous avait promis." Ah, je retrouve ma jeunesse, sauf que je ne me souviens plus de l'auteur de ce joli vers. Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 02:44 (CEST)[répondre]

Comment s'applique la contrainte de cisaillement

Bonjour cher Oracle,

ma question porte sur l’étude de la résistance des matériaux. Un pieu dans le sol est soumis à des contraintes de traction, de flexion et de cisaillement. La vérification de la stabilité de ce pieu est effectuée uniquement en s’assurant que la somme de la traction et de la flexion est inférieure à la résistance élastique de l’acier. Cela m’a étonné que le cisaillement soit complètement négligé.

Sur Wikipédia, j’ai lu que la contrainte de cisaillement était souvent négligée dans les calculs (mais sans savoir pourquoi). Quelqu’un m’a par ailleurs suggéré que le cisaillement devait être étudié séparément car il n’agissait pas selon les mêmes directions que la traction et la flexion (du moins dans ce cas). En bref, selon cette personne, il fallait additionner traction et flexion et s’assurer que la somme était inférieure à la résistance élastique, et d’autre part, s’assurer que la contrainte de cisaillement était également inférieure à la résistance élastique. Cela est-il exact ?

J’espère, cher Oracle, que tu pourras m’apporter quelques lumières. 195.226.110.166 (d) 24 juin 2009 à 08:57 (CEST)[répondre]

J'ai remarqué que le cisaillement en ingénierie renvoie vers l'article « Tenseur des contraintes ». Sinon, je ne sais où tu as lu que « la contrainte de cisaillement était souvent négligée dans les calculs » (ou formulation équivalente) mais apparemment pas dans l'article sur la résistance des matériaux où on en parle abondamment en donnant des cas concrets où il joue un rôle important. Pour ta question sur ce que t'a dit quelqu'un, patiente un peu : il y a plein de pythies compétentes sur ces sujets et probablement rv ou quelque autre ne tardera pas à t'apporter ses lumières. -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 14:23 (CEST) Hum ! Ils tardent... -O.M.H--H.M.O-[répondre]
oui, parce que je ce que j'écris en ce moment à ce sujet n'est qu'un salmigondis illisible, qui va plus embrouiller notre interrogateur que l'éclairer, je le crains. Enfin, essayons quand même.
Regardons ce schéma : problème, il manque manifestement une force égale et opposée à la base du cube, sans quoi le dit-cube ne va pas se déformer, mais seulement glisser vers la droite à vitesse croissante.
Ajoutons donc, par la pensée, cette force égale et opposé à la base, que j'appellerais, pour la commodité, "force verte" (pourquoi pas, hein ?). Ça résout ce premier problème, mais ça en pose immédiatement un autre : le cube ne glisse plus , mais il devrait tourner sous l'effet du couple (mécanique) rouge+vert ; ce qu'il ne fait pas non plus, par hypothèse. Il y a donc un autre couple, égale et opposé, qui empèche le cube de tourner. Où se cache-t-il ? Vous le savez si vous connaissez le comportement d'une poutre en porte à faux à laquelle on attache un poids : la partie haute de la poutre tire sur le mur, tandis que sa partie basse pousse dessus.
Là, c'est pareil. Pour que le cube ne tourne pas, il faut que la résultante des forces passe par le point de rotation (ainsi, le couple s'annule) ; on peut prendre comme point de référence le point en bas à gauche du cube, et dans ce cas, pour annuler le couple, il nous faut une troisième force, disons "bleue", verticale vers le haut, appliquée sur la face droite (en bas à droite par exemple : la face droite est comprimée), et égale à la force rouge (parce que le truc est cubique ; s'il est rectangle, il y a une homothétie, mais on va pas chipoter, hein ?)
Et c'est là qu'un morceau (un morceau seulement) de l'explication jaillit, lumineux. non ? pas lumineux ?
Je fais une pause et on continue plus tard
gem (d) 24 juin 2009 à 19:42 (CEST)[répondre]
(Smiley oups) J'ai pris cette illustration parce qu'on la trouve dans des articles en relation à la demande de notre questionneur/euse, mais à ma grande honte je n'y connais rien en la matière. Merci de ton début de réponse. -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 19:49 (CEST)[répondre]
Merci pour vos tentatives d’aide. Dans l’article sur la résistance des matériaux, il est écrit que :
Un cas simple est constitué par une poutre droite, horizontale, de section constante, chargée uniformément et reposant sur deux appuis simples. Si on désigne par "p" la charge linéaire et par "l" la longueur de la poutre, la détermination des éléments de reduction des efforts tient en quelques formules simples :
- la réaction à chaque appui est une force verticale, égale à la moitié de la charge totale soit pl/2,
- l'effort tranchant varie linéairement de +pl/2 à -pl/2 avec une valeur nulle en milieu de travée. On doit vérifier que la contrainte de cisaillement au voisinage de l'appui reste inférieure à la résistance au cisaillement du matériau
- Le moment fléchissant est nul sur appui et maximum en milieu de travée où il vaut pl²/8. On doit vérifier que les contraintes dans la section à mi-travée ne dépassent ni la résistance à la compression, ni la résistance à la traction du matériau.
Dans ce cas, il semble donc qu’il faut :
- d’une part, s’assurer que la contrainte de cisaillement est inférieure à la résistance au cisaillement
- d’autre part, s’assurer que la contrainte de flexion est inférieure à résistance à la traction/compression.
Mais s’il y avait en plus de la traction/compression, faudrait-il l’additionner à la flexion et comparer la somme (=traction+flexion) à la résistance de traction/compression ?
Autre question : dans le cas de l’acier, il me semble que la résistance au cisaillement, la résistance à la compression et la résistance à la traction sont toutes trois égales. Est-ce bien exact ? Encore merci pour vos réponses! 195.226.110.166 (d) 25 juin 2009 à 16:20 (CEST)[répondre]
désolé je n'ai pas le temps, mais pour faire très court : le maximum de l'effort en cisaillement se produit au niveau de l'appui (penser au clou qui dépasse du mur), par conséquent si ça tient le choc à cet endroit ça tiendra partout et il n'y a pas de question à se poser. gem (d) 25 juin 2009 à 20:16 (CEST)[répondre]

Question... écrite modifier

L'éducation fait tout, disait-il...

Hello ! L'oracle pourra-t-il m'éclairer ? C'est une question d'écriture au XIXe siècle, en France. On y pratique et on y apprend à l'école la ronde, la batarde, la coulée. Voilà qu'arrive l'anglaise...
« On combattit ardemment pour l'une ou pour l'autre. L'anglaise finit par prendre le pas sur la française, surtout dans les établissements congréganistes, et particulièrement dans les écoles des Frères des écoles chrétiennes qui l'adoptèrent uniformément. » écrit Victor Brouet, dans le Nouveau dictionnaire de pédagogie, en 1911.
J'aimerais (tout simplement Émoticône sourire) savoir ce qui fit pencher la balance vers l'anglaise dans ces écoles chrétiennes ?
Morburre ? Serein ? Félix ? Olivier ? et... ?
Émoticône --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 09:31 (CEST)[répondre]

Je dirais la plus grande simplicité de l'anglaise, dont le ductus est plus uniforme que celui des écritures françaises, qui ont plusieurs formes de lettres, plusieurs s, etc. Et l'anglomanie du XIXe s., en même temps que se développent les techniques d'impression, la lithographie, et les typographes qui créent des anglaises à tour de bras. en effet les écoles religieuses l'adoptent en premier, puis tout le monde suit (Claude Mediavilla, La Calligraphie, imprimerie nationale, 1993). Morburre (d) 24 juin 2009 à 10:03 (CEST)[répondre]
OK, grand merci Morburre. --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 12:33 (CEST)[répondre]
Outre cet aspect technique, et au risque de faire de la rétro-projection, est-ce que ça n'a pas a voir avec l'organisation de ce réseau d'école ? A priori, j'aurai tendance à penser (sans preuve, donc en restant prudent) que c'était plus facile pour elles de tester puis d'adopter et diffuser (si le test est concluant) des innovations, que pour d'autres organisations. On observe ça de nos jours dans l'école privée, quand l'école public a du mal à avancer sans "circulaire".
gem (d) 24 juin 2009 à 13:06 (CEST)[répondre]
Je m'étais aussi demandé si cela avait rapport avec les Jésuites (en Belgique, on appelait les enseignants jésuites « les Jésuites anglais » parce qu'ils venaient d'Angleterre), mais comme les Frères des écoles chrétiennes sont encouragés à se développer pour contrer l'influence des jésuites, cela ne tenait pas la route... --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 13:41 (CEST)[répondre]
J'ai l'impression que c'est plus une évolution du vocabulaire que du style d'écriture. Sur cette page, sur celle-ci, de même sur cet intéressant document, on trouve des exemples de cursives de divers pays en diverses époques, et il n'y a pas de différence significative, selon ce qui m'en paraît, entre les écritures « françaises » ou « italiennes » des XVIe au XVIIIe siècles et l'« anglaise » qui s'imposa entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, et cette dernière ne diffère pas tellement de l'italienne dont elle dérive. À remarquer, pour anecdote, que les exemples d'écriture proposées pour les écoles anglaises diffèrent sensiblement de l'anglaise de France. D'ailleurs, nous précise une de ces pages, « L’Encyclopédie de Diderot et D'Alembert distingue trois types d'écriture, qui ont leurs racines dans les écritures italiennes cursives des XVe et XVIe siècles » – comme l'anglaise... -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 14:02 (CEST)[répondre]
Oui, il s'agit essentiellement de commodités de langage. Il y a des quantités de différences entre les écritures dites « nationales », qui ne sont jamais vraiment nationales. Ce qu'on appelle l'anglaise a été initiée à partir de modèles français, et effectivement les écritures cursives modernes dérivent à peu près toutes des italiennes. Et les Anglais actuels ont une écriture qui n'a strictement rien à voir avec l'anglaise. Il est possible, comme dit gem (d), qu'il y ait eu une volonté d'évolution des écoles chrétiennes par rapport à l'enseignement laïque plus installé dans ses principes, mais là-dessus, je n'ai pas de références. Morburre (d) 24 juin 2009 à 14:22 (CEST)[répondre]
Merci Olivier, je connaissais également ces documents. Comme la question semble intéresser quelques-uns d'entre nous, en voici une autre (pardon Morburre, et merci pour ta réponse !) :
Auriez-vous sous la main une référence pour justifier le fait que le choix d'une écriture par une autorité participe à l'élaboration du sentiment national chez l'individu ? Cette question découle de ceci : Le phénomène d'acculturation est un effet global de la scolarisation dans l'école d'un pays donné. L'enfant acquiert au cours de sa scolarité des traits d'identité nationale qui se manifestent également dans l'écriture. En France, les particularités nationales de l'écriture ont été tributaires des modèles d'écriture utilisés dans les écoles (4). Merci déjà, --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 15:30 (CEST)[répondre]
Sais-tu que tue es ch...te ? Amicalement soit dit Émoticône sourire. Non seulement tu poses des questions, mais en plus nos réponses te font poser de nouvelles questions ! Je m'en vais tenter de trouver une réponse exacte à ta dernière question mais pour l'heure, je vais juste te donner une opinion : il s'agit là d'un point de vue non wikipédien (tu l'auras compris : non neutre).
La position de l'autrice de ce texte n'est pas scientifique mais idéologique. Elle se situe à une époque (1988) où l'usage de l'écriture cursive est largement abandonné en faveur de l'écriture script, mais où l'usage des outils de production de textes dactylographiés ou assimilables est encore très minoritaire ; cependant on peut déjà pressentir que dans les années suivantes, par le développement de l'accès aux ordinateurs, ça sera de plus en plus courant. Si son texte s'appuie sur certaines observations d'ordre scientifique, elle s'en sert dans d'autres buts. Sans vouloir être méchant, elle ne dépare pas de ce qui peut se lire sous la plume (ou le clavier) des tenants de la sociobiologie, de la cryptozoologie ou du créationnisme « scientifique » : s'appuyer sur des données de type scientifique, n'en exploiter que celles qui conviennent à sa propre théorie et laisser le reste de côté. Pour prendre ma citation préférée de cet auteur, comme le disait Gregory Bateson, « d'un ensemble inconsistant d'axiomes, on ne peut pas déduire un corpus consistant de théorèmes ». Liliane Lurçat part, dans sa première partie, de considérations qui semblent globalement acceptables, tandis que la deuxième montre une lecture quelque peu biaisée de certaines études et de certaines déclarations qui n'a visiblement pour but que d'étayer sa troisième partie, « De la nécessité de l'écriture manuscrite comme écriture première ». Plus intéressant que ce qu'elle écrit et que tu cites, la note de bas de page censée « appuyer » son propos : « Marcel Cohen, op. cit., voir p. 355: "Le milieu du XIXe siècle a vu paraître, surtout chez les femmes, une écriture dite anglaise, penchée et plutôt anguleuse, qui a influencé l'écriture scolaire." Voir p. 356 : "Depuis l'enseignement obligatoire, les maîtres d'écriture se sont multipliés en la personne des instituteurs. Les questions d'écriture se débattent entre pédagogues"; p. 356 : "C'est un modèle convenu de l'écriture - pas toujours le même - qui est enseigné aux enfants. mais avec la généralisation de l'écriture les écarts individuels sont inévitables et de plus en plus admis même par des pédagogues rigoristes en la matière, pourvu que l'écriture soit suffisamment claire." ». Sauf à avoir une idée préconçue, il est difficile de « déduire » de ces citations que « l'enfant acquiert au cours de sa scolarité des traits d'identité nationale qui se manifestent également dans l'écriture ». Mon conseil est donc : ne prends pas pour argent comptant cette considération de Liliane Lurçat et, plus largement, ne prends pas trop au sérieux cet article dont le but semble avant tout de donner à croire que « l'esprit national » est contredit par l'usage des claviers. En tant que familière de Wikipédia, tu auras pu constater que les claviers d'ordinateurs sont de piètres modérateurs de « l'esprit national »... -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]
PS. Finalement, cette réponse est peut-être suffisamment exacte. -O.M.H--H.M.O-
Oui, je sais ! Émoticône Je n'ai posé la dernière question que parce que 1/ c'était la suite logique dans ma recherche, 2/ ce texte me paraissait... "louche" et que 3/ j'étais dans l'impossibilité de consulter le Cohen. Maintenant, si tu préfères que j'augmente le nombre de sections de l'Oracle... Émoticône Remerciements et vives amitiés, --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 18:11 (CEST) Non non ! Pas du tout ! Moins il y a de sections, mieux c'est. Et plus il y a d'illustrations, plus agréable c'est. Émoticône sourire -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 18:14 (CEST)[répondre]

Fin d'année en collège modifier

Bonjour, que prévoient généralement les professeurs en collège, en fin d'année pour "occuper" les élèves présents ? Merci.

Des cours ? --Serein [blabla] 24 juin 2009 à 14:39 (CEST)[répondre]
Des jeux de cartes, des jeux de rôles, des mots-croisés, mots-fléchés, ou encore jeux d'échec....bref, je me souviens avoir eu ce genre de divertissement les 2-3 derniers jours d'école si le programme scolaire était bouclé. Je me souviens aussi en avoir eut en allemand et en anglais pour aborder les langues étrangères par le jeu.--SuperManu SuperMessage 24 juin 2009 à 14:43 (CEST)[répondre]
Ayant quitté les bancs de l'école il y a un certain temps (devenu peu à peu un temps certain...) je ne sais pas si ça se fait encore mais à mon époque, en fin d'année les profs consacraient souvent un ou deux cours à présenter le programme de l'année à venir. -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 14:50 (CEST)[répondre]
Par curiosité, j'aimerais bien savoir si la question émane d'un jeune prof qui se demande que faire des 4 élèves qui seront là jusqu'au dernier jour, d'un élève de 6ème qui se demande s'il peut convaincre ses parents que "c'est pas la peine que j'y aille de toute façon on fera rien d'intéressant", ou encore d'un parent qui se demande s'il doit se laisser attendrir par son rejeton qui lui énonce l'argument pré-cité Émoticône sourire. Sinon j'ai les mêmes souvenirs que mon camarade du dessus, à part une minorité de profs qui faisaient cours jusqu'au bout, même pour 3 ou 4 élèves, la plupart sortaient les jeux de société (ou jeux de mot, jeux mathématiques, des trucs un minimum éducatifs :-p ) Asheka [la vie est belle] 24 juin 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]
j'allais dire des cours. mais je me souviens, en maths, on parlais d'escher, d'enigmes mathématiques, en français on regardais généralement un pièce de théâtre filmée (Électre, l'avare etc) en techno baaah, rien, en anglais on faisait des jeux en anglais et/ou des chansons, en bio des expériences, etc. edith ; j'adhère à la question de aschekaet / re edith et c'était très très interessant -mieux que rester vautré chez soi devant la télé!! donc, jeunes profs, à vos trucs plus marrants que les cours!! --Pytra (d) 24 juin 2009 à 15:01 (CEST)[répondre]

Bah je ne sais pas si je dois le dire, car la question doit être la plus neutre possible, mais elle émane d'un jeune prof, qui a déjà essayé l'option cours. Mais le conseil de classe étant passé, les élèves ne s'y attendaient (apparemment) pas, n'ont pas aimé, l'ont fait sentir au professeur et non rien fait.

Le professeur en question peut aussi faire des jeux en rapport avec son cours. Par exemple, enseignant l'histoire en 5e j'avais fait faire à mes élèves une sorte de jeu de rôles sur la féodalité (au programme de cette année-là), un truc que j'avais trouvé sur un site internet de profs. Ils avaient bien aimé gérer leur seigneurie Émoticône. Mais partir du principe que les 3 derniers jours, on ne fait rien, je trouve ça dommage. Serein [blabla] 24 juin 2009 à 15:21 (CEST)[répondre]
Voici quelques années déjà que mon fils, actuellement en avant-dernière année d'humanités, n'a tout simplement... plus cours. Ou plutôt : cours = 0, animation = 0, présence à l'école = 0. Eh oui, la société évolue... --Égoïté (d) 24 juin 2009 à 15:25 (CEST)[répondre]
Alors, oui les élèves s'attendent généralement à ce qu'on ne leur demande plus rien passé le conseil de classe... ce n'est pas une raison pour ne plus faire cours (faut les dresser ces sales feignants :-P ). Par contre, pour que ça se passe bien (ou du moins pas trop mal), il vaut mieux effectivement les prévenir avant, et de préférences en leur expliquant pourquoi on prend cette option. Ce qu'on leur enseigne, c'est pas juste pour qu'ils passent dans la classe supérieure, c'est pour leur culture générale et pour développer leurs aptitudes dans certains domaines, ce qui leur servira dans la vie (il n'y a pas de sot métier, mais on est mieux payé en étant ingénieur qu'en étant secrétaire... alors autant pouvoir choisir entre les deux plutôt que de subir). De plus, il y a un programme qui est défini, il est prévu pour être étudié tout au long de l'année (oui oui, jusqu'au dernier jour) ; j'ai dû avoir trois fois dans mon parcours scolaire un prof qui nous annonçait "nous avons fini le programme", pas plus. Les petits malins vous diront forcément que "oui mais dans l'autre classe ils font des jeux, c'est trop injuuuste", ce qui met un peu mal à l'aise ; il peut être intéressant d'en discuter avec les collègues (au moins ceux enseignant la même matière), pour voir pourquoi ils font / ne font plus cours (certains organisent peut-être des jeux parce qu'eux aussi sont fatigués !). Un dernier point : si vous avez de grandes chances de retomber sur les mêmes élèves l'an prochain, il faut aussi voir les avantages/inconvénients des deux options : dans un cas "oh non, pas lui/elle, l'an dernier il/elle nous a fait bosser jusqu'au dernier jour, c'est scandaleux" (pour inspirer la sympathie à ses élèves, c'est sûr il y a mieux), dans l'autre "il/elle est cool, on peut faire ce qu'on veut les derniers jours"... (ce qui peut finir en élision : "avec lui/elle, on fait ce qu'on veut", et bon courage pour maintenir un semblant de discipline dans les rangs !). Bref, il n'y a pas de recette miracle (ça se saurait), mais on fait le choix qu'on est le plus prêt à assumer. Bon courage pour les prochaines années !! Asheka [la vie est belle] 24 juin 2009 à 15:34 (CEST)[répondre]
Le problème pour les profs d'aujourd'hui est que leurs élèves ont une conscience bien plus haute que ceux des générations passées des rouages du système scolaire, mais une conscience bien moins haute de l'intérêt intrinsèque de ce qu'on leur enseigne. Bien sûr que « à mon époque » on avait aussi une attention élevée sur le résultat des conseils de classe et que sur la fin de l'année on était plus dissipés qu'à l'habitude, en même temps on ne « planifiait » pas notre parcours scolaire, sinon quelques-uns, donc on ne trouvait pas étrange qu'après que « l'entretien d'embauche » pour la classe de l'année suivante ait débouché sur un CDD, le travail « préparatoire » continue. Bref, on ne considérait pas vraiment que les cours avaient comme but principal de réussite cet « entretien d'embauche ».
De cela je tire cette proposition : l'année prochaine, essaie de lancer une réflexion civique et philosophique sur le rôle de l'école en général, du savoir que tu enseignes en particulier. Le thème général serait : l'école est-elle une fin ou un moyen ? Ce que vous apprenez, est-ce un instrument pour « passer l'examen d'entrée dans la classe supérieure » ou est-ce un savoir qui permet de devenir un être humain plus accompli ? -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 16:44 (CEST)[répondre]

Et bien merci pour toutes ces suggestions et remarques intéressantes.

Ben chez moi, on fait rien comme tout le monde Émoticône ! On applique en pratique ce qu'on a appris au cours de l'année, ou bien on s'intéresse carrément à un domaine qui nous était jusqu'alors totalement inconnu (la colombophilie grâce à un voisin) et qui nous change carrément de la routine (si on peut dire que routine il y a). On peut faire des sorties très intéressantes et voir plein de jolies choses. A appliquer dans les écoles ? Puisque qu'en cours d'année on a pas le temps --.Anja. (d) 25 juin 2009 à 12:45 (CEST)[répondre]
Une petite suggestion...décrivez leur le fonctionnement d’une ruche...je suis sur que cela peut les motiver, c’est tellement magique et pédagogique. hexagone, taille idéale pour en mettre plein dans un petit espace. la reine, les ouvrières...abeilles fécondées tandis que les mâles, faux bourdons, non fécondés...approche de la génétique. le varroa, un parasite...le soleil...une philosophie...la dépendance du milieu, bref, tellement de domaines sont abordable à partir de ce sujet--SuperManu SuperMessage 26 juin 2009 à 10:41 (CEST) Sans compter qu'une étude de l'hexagone peut déboucher sur l'Histoire et la géographie de la France... Émoticône -O.M.H--H.M.O- 26 juin 2009 à 11:26 (CEST)[répondre]
Je me rappelle qu'au collège de nombreux profs nous faisaient voir des films que nous avions apporté, mais qui étaient souvent d'un intérêt pédagogique très limité...Comme solution, sans sortir entièrement du cadre scolaire, c'est proposer une activité (Travaux pratiques en sciences etc) pas trop compliquée pour que les élèves fatigués à la fin de l'année veuillent bien suivre mais un peu ludique et qui apprenne quelque chose. Sinon, il y a l'option film du genre "C'est pas sorcier", qui passe plutôt bien et qui permet vraiment de voir un point de la matière sous un angle amusant. Bonne chance car si les élèves ne veulent rien faire, ça peut être dur! --Xiglofre (d) 26 juin 2009 à 14:47 (CEST)[répondre]
À la fin de l'année, on se retourne et on constate qu'on a travaillé, en résumant rapidement chaque séquence qu'on a faite. A-t-on réussi/appris qqchose/est-ce un échec etc. Par ailleurs les collégiens adorent réciter les poèmes qu'ils connaissent déjà, ou dire de quoi parle un texte lu il y a 6 mois. Apprenez-leur à clore l'année. -Bourrichon (sous ip)

renseignements modifier

Bonjour

je suis surprise, ainsi que mon petit fils de ne trouver dans aucune rubrique rugbystique le nom de mon mari DUPEY Maurice,qui a pratiqué pendant des années au plus haut niveau SECTION PALOISE FC AUCH GERS STADE BAGNERAIS ainsi que en FRANCE B et FRANCE A,durant les périodes 1970 1980.

Je compte sur votre amabilité pour me renseigner,et me donner si cela vous est possible la marche à suivre.

Merci. Cordialement.

SARAH DUPEY

Une réponse à cette question, déjà posée, existe ici Wikipédia:Oracle/semaine 14 2009#Maurice Dupey.Bonne soirée --Doalex (d) 24 juin 2009 à 18:51 (CEST)[répondre]
J'avais déjà répondu le 31 mars, et je recopie donc la réponse ici : Pour que Wikipédia comporte une page concernant votre mari, vous pouvez soit déposer une requête ici, ou, beaucoup mieux, créer vous-même l'article. La première chose est alors est vérifier qu'il a eu une notoriété suffisante pour être admissible, en lisant les critères de notoriété ici, et ensuite de créer l'article ici. Nous vous suggérons de vous inspirer fortement de la structure d'articles existants concernant d'autres rugbymen. Allez-y, osez! Dhatier jasons-z-en 24 juin 2009 à 18:54 (CEST)[répondre]
Madame, l'Oracle n'est pas l'endroit adéquat pour ce genre de remarques. Adressez-vous plutôt à la page de discussion du projet rugby. J'y relaie votre demande. Attendez-y une réponse. -O.M.H--H.M.O- 24 juin 2009 à 18:56 (CEST) La vache ! On a été rapides sur ce coup ! Émoticône sourire -O.M.H--H.M.O-[répondre]

Mon grand-père mangeait des patates, pourtant je ne trouve aucun article à son sujet. Pourriez-vous combler cette lacune? D'avance merci.--91.176.150.59 (d) 30 juin 2009 à 19:39 (CEST)[répondre]

Dans cet article, on peut lire "Le grand requin-marteau est immunisé contre le venin des raies, c'est aussi l'un des requins les plus sensibles à l'électricité. Ses cellules sensorielles sont capables de détecter des variations inférieures à 5 µV/cm2."

J'aurai plutôt pensé a un champs électrique et donc à des µV/cm. Qui a raison, qui se trompe? Skiff (d) 25 juin 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]

Toi. rv1729 25 juin 2009 à 12:17 (CEST)[répondre]
Ouais mais : « toi » en réponse à laquelle des deux questions ? -O.M.H--H.M.O- 25 juin 2009 à 12:32 (CEST)[répondre]
Pas mal, rv. Réponse 100% exacte, mais qui ne fait pas beaucoup avancer le schmilblick. Skiff (d) 25 juin 2009 à 13:45 (CEST)[répondre]
Ben oui, c’est une réponse de matheux, et c’était voulu. Mais je peux t’en dire plus : je suis d’accord avec toi. Cependant je ne me sens pas qualifié pour te répondre ; je fais la même analyse que toi (les muscles des divers animaux aquatiques créent un champ électrique que les prédateurs aiment à détecter) mais peut-être une subtilité de la biologie des capteurs sensoriels impliqués nous échappe-t-elle à tous les deux. rv1729 25 juin 2009 à 14:38 (CEST)[répondre]
La réponse d'rv était aux deux questions, en sachant que ce sera juste à 50%. Je confirme son analyse. Elsaesser (d) 25 juin 2009 à 13:47 (CEST)[répondre]
solution : colle un refnec, l'article doit être en mesure de justifier cette affirmation sans faire appel à l'oracle ; si on a un doute sur les V/m, alors on peut douter du "5" aussi ! gem (d) 25 juin 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]
Pour les questions de ce genre j'essaie souvent ce truc : voir ce que disent les articles en d'autres langues. En l'occurrence l'article de WP:EN qui indique que cette capacité est due à la présence d'Ampoules de Lorenzini ; et cet article indique qu'il peut y avoir « un seuil de sensibilité aussi bas que 5 nV/cm. C'est 5/1.000.000.000 de volt mesuré dans une ampoule d'un centimètre de long ». Donc, exit le cm²... -O.M.H--H.M.O- 25 juin 2009 à 15:25 (CEST)[répondre]
Bien vu, j'ai pas eu le reflexe. Reste à trouver si c'est des nano ou des micro. Je faire une petite recherche. Skiff (d) 25 juin 2009 à 18:26 (CEST)[répondre]

bonjour

je suis un peu perdue dans cette révolution. je croyais qu'il y avait eu une répression des étudiants et vous parlez de gardes rouges qui auraient eu une responsabilité dans cette révolution. avez vous en une phrase courte une définition de la révolution culturelle

merci et belle journée

aurore rocher

Si c'est pour y faire tenir tes remarques sur la répression des étudiants, le rôle des gardes rouges et le but de cette politique, je crains qu'il ne soit pas possible de te répondre par une phrase courte. Si c'est pour expliquer quelle fut sa fonction réelle ça va mieux : permettre à Mao Zedong, en perte de d'influence à l'époque, de reprendre en main le parti communiste, les institutions politiques et l'État. Dans ce contexte, les gardes rouges sont un instrument aux mains des factions favorables à Mao pour « remettre le pays en ordre » (en réalité, pour éliminer des postes politiques et des positions sociales importants les personnes soupçonnées d'être en désaccord avec les partisans de Mao).
En ce qui concerne les étudiants, tu dois confondre avec le mouvement de 1989 qui culmina avec les manifestations de la place Tian'anmen : comme l'indique notre article, « Les Gardes rouges constituent un mouvement de masse chinois comprenant en grande partie des étudiants et des lycéens », donc, durant la révolution culturelle les étudiants ne furent pas les opprimés mais les oppresseurs. Plus exactement, il y eut au moins autant d'oppresseurs que d'opprimés parmi eux. -O.M.H--H.M.O- 25 juin 2009 à 14:40 (CEST)[répondre]

Qu'est ce que le chupacabra ?

logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Sinon, c'est une légende urbaine. -O.M.H--H.M.O- 25 juin 2009 à 14:43 (CEST)[répondre]
Les sépulcreux de Dead like me ressemblent beaucoup à l'illustration de l'article, voir : B89vOjiBq24/R7kx gCbRaI/AAAAAAAAADM/kB8nlkSf40A/s400/Graveling.jpg
Il paraît que quand on lit le nombre 13 au fond d'un verre Duralex™, on croisera un chupacabra à la prochaine lune noire... -O.M.H--H.M.O- 26 juin 2009 à 10:28 (CEST)[répondre]

Bonjour monsieur l'oracle,

pardonnez-moi de déranger votre tranquillité pour une question qui au final ne changera pas grand chose au shmilblick (d'ailleurs... ça s'écrit comment chmilbli...chmyl...chemilebli..bliiique... bref...) Sais-tu à quoi correspondent les fameux nombres que l'on peut retrouver au fond des verres duralex? Est-ce que c'est fait exprés pour donner l'âge quand on regarde au fond? Non là j'exagère, mais en vrai...?

Un bon réflexe, lire les articles de Wikipédia, on y trouve beaucoup d'informations. En ce cas, on trouve ceci : « Des générations d'écoliers se sont amusées à comparer leur « âge » à partir du chiffre au fond de chaque verre. Il s'agit en fait du numéro du moule qui a servi à le fabriquer. Il en existe 48 ». -O.M.H--H.M.O- 25 juin 2009 à 15:07 (CEST)[répondre]

Merci, je me sens mieux...

Et la réponse à la première question,est schmilblick, qui n'a bizarrement pas évolué lors de la réforme orthographique de 1990. Cordialement. Père Igor (d) 25 juin 2009 à 16:23 (CEST)[répondre]
et pourquoi à la cantoche, le verre Duralex il rebondit une fois, deux fois, trois fois, te laissant reprendre espoir avant de finir quand même par se casser en mille morceaux??? Juste pour te pourrir la journée devant les 400 autres qui mangent avec toi???Cobra Bubbles Dire et médire 25 juin 2009 à 18:14 (CEST)[répondre]
et puis, le numéro au fond ça sert aussi que celui de la tablée qui a le plus petit doit traverser toute la cantoche pour remplir le pichet...Cobra Bubbles Dire et médire 25 juin 2009 à 18:16 (CEST)[répondre]
Que les règles de la cantine sont cruelles (au point qu'on préfère les passer sous silence dans un article de qualité Sourire diabolique), mais comme on dit Dura lex, sed lex... (Ouais, je sais, c'est nul, mais il fallait bien que j'édite une fois dans la semaine la page de l'Oracle !). HaguardDuNord (d) 25 juin 2009 à 18:28 (CEST)[répondre]
Mais non c'est pas nul ! C'est juste que certains (je ne vise personne) n'ont jamais fréquenté la cantine et n'ont donc pas de premières sources pour avoir l'idée d'en chercher de secondes. Si tu complétais ? Émoticône --Égoïté (d) 25 juin 2009 à 18:33 (CEST)[répondre]
Et aussi, des fois, sous le numéro, il y a 1 ou 2 petits points : c'est le nombre d'enfants que tu auras... Cobra Bubbles Dire et médire 26 juin 2009 à 12:06 (CEST)[répondre]
Le verre rebondit une première fois parce qu'étant lesté par son fond épais ou par un liquide, il tombe à plat sur son fond. Ce dernier étant la partie la plus épaisse de l'objet, le verre ne casse pas. Après un premier rebond, il tombe sur sa partie latérale, plus fine et, par construction, en porte-à-faux. La probabilité que le verre se brise dépend alors de l'angle de chute et de la vitesse lors du choc. — Jérôme 26 juin 2009 à 15:06 (CEST)[répondre]
Merci de ton explication (mais tu viens de briser le mythe du verre Duralex...)Cobra Bubbles Dire et médire 26 juin 2009 à 15:56 (CEST)[répondre]
refnec.
Après rebond et a fortiori pour les suivants si le verre a survécu jusque là, la hauteur de chute est beaucoup moins grande (largement moins de la moitié) qu'initialement et la probabilité de bris serait réduite en conséquence, alors qu'un verre duralex n'est pas spécialement plus fin sur les bords que sur le fond ; or ce n'est pas ce qu'on observe. Autre observation dans le même sens : en général la rupture d'un verre ne se produit pas par fêlure directement au point du choc, mais se traduit par l'arrachement d'un morceau
L'énergie du choc sur le sol se répartit en trois : la partie qui est absorbée/diffusée par le sol (d'autant plus grande qu'il est plus mou), la partie qui est recyclée en rebond, et la plus dangereuse, la partie qui est transformée en vibration du verre (dont une petite partie est elle-même diffusée sous la forme de son). C'est la vibration qui fragilise, voire détruit le verre (il faut de la chance et de bons yeux, mais on peut parfois observer que le verre "explose en vol"). Un verre qui vibre lorsqu'il percute une seconde fois le sol a bien moins de chance de survit que le même verre non vibrant, même tombant de plus haut.
Au fait : c'est marrant, c'est toujours au dernier rebond que le verre se casse... (étonnant, non ? ) gem (d) 26 juin 2009 à 17:02 (CEST)[répondre]
donc, il existe bien un complot entre les fabriquants de sol industriel destiné aux cantoches et les ingénieurs de chez Duralex pour pourrir la vie des écoliers, collégiens, lycéens, étudiants...Cobra Bubbles Dire et médire 26 juin 2009 à 17:43 (CEST)[répondre]

Mais, aprés mûre reflexion, ..., (les pti points c'est pour symboliser la réflexion)... pourquoi numéroter des moules pour des verres tous similaires??? et de plus pourquoi que jusqu'à 48? hé hé!!! ba peutêtre que les 2 moules pour arriver à 50 se sont cassés, ou peut-être que toute cette histoire d'âge était un grand coup marketing prémédité... (je sais ce que vous allez dire, mais ne sous-estimons pas l'intelligence machiavélique de l'être humain)...

La réponse à la seconde question est d'ordre numérologique : chaque moule symbolise une des années vécues par Pierre Hely d'Oissel, encore directeur de Saint-Gobain en 1946, avant celle où il prit la direction de cette entreprise (naissance en 1887, intégration de St-Gobain en 1936 : 1935 - 1887 = 48). Une manière certes un peu ésotérique d'exprimer le fait que toutes les années avant celle de 1936 ne furent qu'une préparation pour ce couronnement : diriger St-G. !
Pour l'autre je ne sais pas mais c'est probablement dans un souci de traçabilité : pouvoir savoir sur quelle plateforme précise de production une série a été fabriquée. Ça peut notamment servir dans le cas d'une série défectueuse. Mais ce n'est là que pure hypothèse, contrairement à la réponse qui précède. -O.M.H--H.M.O- 27 juin 2009 à 10:15 (CEST)[répondre]

Bravo pour les réponses, j'ai beaucoup aimé la partie sur les vibrations. En fait les numéros de 1 à 48 ne correspondent pas à des moules différents, mais aux différentes empreintes d'un même moule. Avec un moule 1 empreinte, on fabrique 1 seul verre par injection. Un moule 48 empreintes permet de fabriquer 48 verres à chaque injection. Bien sûr le moule est plus gros et la puissance nécessaire de la presse d'injection est aussi plus importante. Par contre, si l'un des verres a un défaut en permanence (par exemple des petits points), l'outilleur qui démonte le moule a besoin de savoir quelle empreinte est usée prématurément afin de corriger le défaut. Il regarde alors le fond du verre en défaut qui lui donne l'information. Les numéros sont également utiles pour les personnes qui veulent "qualifier" un moule en contrôlant les caractéristiques techniques des pièces (dimensions, tests au choc, etc... ) Antoine


conductivité thermique du KEVLAR modifier

Bonjour, j'aurai voulu connaitre la conductivité thermique du KEVLAR et de la silicone svp. Avec mes remerciements.

Un lien externe de la page en anglais équivalente à Kevlar, KEVLAR_Technical_Guide.pdf (page II.1), donne 0,04 W·m-1·K-1 pour la conductivité thermique du Kevlar. -- Xofc [me contacter] 25 juin 2009 à 17:34 (CEST)[répondre]
L'article 'Pâte thermique' parle de 0,7 W·m-1·K-1 (à 0,9 W/(m.K)) pour une pâte thermique à base de silicone... -- Xofc [me contacter] 25 juin 2009 à 17:40 (CEST)[répondre]
Pour le Silicone à 100%: ( PDF ) Conductivité thermique = 0,45.10-³ Cal.s-¹.°C-¹.cm-¹. Notez les unités différentes.
oui, LE silicone et non "la". des "cal.s-1, je vous demande un peu... en plus, avec les calories on ne sait jamais si c'est des "grandes" ou des normales. Quelle merde. ce qui est sur, c'est que
10-³ °C-¹.cm-¹ = 0,1 m-1·K-1, et que
avec du bol (à 10³ près...) 0,45 cal/s = 0,45*(4,18 J)/s = 1,88 W
Ce qui donne, à un cheval près, 0,19 W.m-1·K-1
gem (d) 25 juin 2009 à 20:09 (CEST)[répondre]

"un des" modifier

Bonjour !

Ma question : doit-on dire "une des méthodes qui me convient" ou "une des méthodes qui me conviennent" ?

Merci !--Glützenbaum (d) 26 juin 2009 à 16:47 (CEST)[répondre]

Le 2, OU BIEN tu utilise des virgules : "une des méthodes, qui me convient,", mais le sens est subtilement différent. gem (d) 26 juin 2009 à 17:05 (CEST)[répondre]
Tiens c'est une bonne question, parce que dans le cas "la plupart des français parle français", on n'accorde pas avec le complément du nom (les français) mais bien avec le vrai sujet (la plupart). Donc j'aurai tendance à dire le 1, et si on rajoute "le mieux" derrière, ca sonne vraiment mieux : une des méthodes qui me convient le mieux // une des méthodes qui me conviennent le mieux. Mitch-mitch (d) 26 juin 2009 à 17:17 (CEST)[répondre]
Le tout est de savoir ce qui te convient : une méthode en particulier, ou plusieurs parmi lesquelles tu en mets une en évidence ? Bien à toi, --Égoïté (d) 26 juin 2009 à 17:25 (CEST)[répondre]
Ton cas est semblable à ceux qui se demandent: dit-on: Un grand nombre de personnes a été ciblé ou Un grand nombre de personnes ont été ciblées ? Les deux formes sont correctes d'après mon dico Larousse et mon Bescherelle. quant à moi j'utilise indifféremment les 2. A chacun libre de suivre sa logique. Sauf qu'ici, dans "une des méthodes" par contre, la définition est un peu différente selon le fait que tu utilises la première version ou la seconde. Pour moi quand tu dis Une des méthodes qui me convient, il s'agit d'une seule méthode qui te convienne; dans le second cas, c'est parmi toutes les méthodes qui te conviennent, tu en présentes une... --.Anja. (d) 26 juin 2009 à 19:09 (CEST)[répondre]
Quand c'est « un(e) des (x) qui... » il n'y a pas à se poser la question, le verbe s'accorde avec le sujet, et le sujet, c'est pas « un(e) », c'est « des (x) », donc pluriel, sans ambiguïté (tiens, Félix, prends ça). Morburre (d) 26 juin 2009 à 19:48 (CEST)[répondre]
La fiente du crapaud n'atteint pas la blanche colombe. Konba kont profitasyon ! Félix Potuit (d) 27 juin 2009 à 07:59 (CEST)[répondre]
AAAARRRRGGGL ! Je m'étrangle !! quelle horreur !!! (ai-je mis assez de "!" ?). Il n'y a pas de "nombre" ni de collection ici, il y a juste une méthode parmi des méthodes. Une des méthodes qui me convient, sans les virgules, est un barbarisme pur et simple et sans rémission. gem (d), sympathisant actif du Front Populaire Français de Résistance Contre le Génocide Virguliphobe (FPFRCGV). À bas les virgulicides ! .Anja., votre péché ne sera pardonné qu'après acte de contrition : vous me réciterez trois "je vous salut, Virgule", deux "notre point virgule", et une BD d'Achille Talon. gem (d) 26 juin 2009 à 19:51 (CEST)[répondre]

Heu... avant que quelqu'un ne s'étrangle (ah... trop tard... ) je vous remercie de vos réponses. Questionner l'Oracle en cas de doute, c'est vraiment une des méthodes qui me... enfin, c'est vraiment une des méthodes que j'apprécie. Amicalement.--Glützenbaum (d) 26 juin 2009 à 21:04 (CEST)[répondre]

J'arrive un peu après la bataille, mais si besoin est je confirme : cette méthode me convient, mais c'est parmi les méthodes qui me conviennent. Plusieurs me conviennent, et celle-ci n'en est qu'une parmi les autres. Septentrio (d) 26 juin 2009 à 23:27 (CEST)[répondre]
et en faisant une petite modification: "une des femmes qui me parlent était pieds nus" et "une des femmes qui me parle malgré ma réputation". Non ? ViZiT (d) 27 juin 2009 à 01:46 (CEST)[répondre]
"Une des méthodes qui me conviennent", "une des méthodes, qui me convient," : no problemo für mich. Pour les collectifs en français, voir Nombre grammatical#En français. Pour un solécisme précemment attribué à Dieu, voir la (désormais) bonne formulation dans Thomas d'Aquin#Dieu selon Thomas d'Aquin : "Je suis Celui qui est", et non pas "*Je suis Celui qui suis" comme il était indiqué précédemment (j'ai téléphoné à Dieu qui m'a confirmé la chose). Félix Potuit (d) 27 juin 2009 à 07:45 (CEST)[répondre]
Félix, t'a-t-il aussi confirmé la préférence de Thomas pour la choucroute ? C'est de première importance pour un certain portail ! Émoticône --Égoïté (d) 27 juin 2009 à 23:15 (CEST)[répondre]
Non, le crédit de ma carte était épuisé, je n'ai pas eu le temps d'aborder le sujet (il refuse les appels en PCV). Félix Potuit (d) 28 juin 2009 à 08:41 (CEST)[répondre]
"Des méthodes qui me conviennent, une" ou "Des méthode, celle qui me convient" => "Une des méthodes qui me conviennent" ou "Celle des méthodes qui me convient". Je crois que les deux propositions initiales étaient bonnes. Le tout est de savoir "qu'est-ce qui convient" comme le dit gem, mais comme, personnellement, j'ai un orthographe déficient j'essaie tant bien que mal de ne jamais lever une telle ambiguïté que par la conjugaison d'un verbe. Iluvalar (d) 28 juin 2009 à 18:32 (CEST)[répondre]
Rien compris. rv1729 28 juin 2009 à 20:53 (CEST)[répondre]

Couverture de survie modifier

Bonjour l'épythie ! (nouvelle maladie mentale consistant à attendre des questions au lieu d'attendre des réponses)

L'article Couverture de survie est perfectible. Quel est le risque réel de foudroiement en cas d'orage ? Si par exemple on est sur un plateau (alt. 1000m) sous sa tente avec une couv. de survie, y a-t-il un risque réel ? Merci. --(sous ip) Bourrichon

Il me parait plausible que le risque soit inférieur au risque de foudroiement des piquets de la tente s'ils sont métalliques, mais supérieur à celui d'arceaux en fibre de verre ou en fibre de carbone. Par ailleurs, le foudroiement d'un corps humain allongé sur un sol sec reste peu probable. De plus les orages sont rarement concomitant avec des températures si basses qu'elles justifient l'usage de ces horribles choses inconfortables en place d'une bonne couverture ou, à la rigueur, d'un duvet. Néanmoins, si vous prenez vos vacances en demi saison dans le Cantal pour y faire du camping, vérifiez quand même votre assurance. On n'est jamais trop prévoyant ! le sourcier de la Colline [on cause ?] 27 juin 2009 à 01:04 (CEST)[répondre]
Cela rappelle deux précédents Oracles ici et ici. ViZiT (d) 27 juin 2009 à 02:57 (CEST)[répondre]
C'est par l'expérience que la science progresse. Ne manquez pas de nous tenir au courant, si j'ose dire. Félix Potuit (d) 27 juin 2009 à 07:51 (CEST)[répondre]
Le « risque réel » d'être foudroyé en cas d'orage est très faible en soi ; comme le rappelle notre article dans sa partie sur les dangers de la foudre, « le foudroiement direct d'animaux (ou personnes) est très rare ». Selon cet article, le nombre de cas humains de foudroiement mortel en France est de l'ordre de 10 par an, et la part de cas mortels représente, selon les estimations, entre 10% et 20% dans ce pays, ce qui donne 500 à 1.000 cas par an pour 1 million d'impacts en moyenne, soit environ 1 foudroiement pour 1.300 impacts et 1 foudroyé pour 8.000 habitants. La personne enveloppée dans sa couverture de survie étant allongée, la foudre ne sera pas tellement attirée et préférera des objets verticaux, selon ce que j'en comprends, d'où l'on peut considérer que la couverture de survie n'augmente pas considérablement le risque de foudroiement. -O.M.H--H.M.O- 27 juin 2009 à 11:03 (CEST)[répondre]

--Anas1712 (d) 26 juin 2009 à 22:30 (CEST) modifier

Bonjour,
Je veux savoir quel est le siège social de Microsoft.
Merci et bon courage pour trouver
--Anas1712 (d) 26 juin 2009 à 22:30 (CEST)[répondre]

P.S.: Cette discussion va aussi être posée sur le Bistro, afin de l'indiquer sur la page Microsoft.

L'article indique Redmond, Washington, EUA. Évidemment il existe des sièges sociaux pour chaque pays , par exemple pour la France c'est bientôt . ViZiT (d) 27 juin 2009 à 02:49 (CEST)[répondre]

Microsoft Corporation - One Microsoft Way - Redmond, Washington 98052 que je peux lire à la fin d'un de leurs fichus courriels pour que j'utilise leurs services... mais je ne sais que dalle si ça veut dire quelque chose Émoticône Félixggenest le 27 juin 2009 à 02:22 (HAE)

Pour ce genre de problème, Google maps est votre ami. Précisons que la personne à quatre pattes devant le logo n'est pas en train de faire ses dévotions, mais plus banalement en train de prendre une photo. On peut aussi allez dans la partie réservée à la presse dans le site de Microsoft, et on trouve : Microsoft Corporation

One Microsoft Way, Redmond, WA 98052-7329, USA, Tel: (425) 882-8080, Fax: (425) 706-7329. --Seymour (d) 27 juin 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]

Douche et orage modifier

Heeeello les Pythies!

Question potentiellement niaiseuse posée sur Twitter : Peut-il être dangereux de prendre une douche lors d'un orage électrique et qu'il n'y a plus de courant dans la maison?

Évidemment je me dis que non, pas particulièrement. Mais en même temps je me dis que les choses sont parfois si surprenantes... Seul toi a la réponse finale, cher Oracle!

Merci, Émoticône Félixggenest le 26 juin 2009 à 17:12 (HAE)

En théorie il doit exister une liaison équipotentielle reliant tout conducteur potentiel d'électricité a la terre , et ce particulièrement dans les pièces d'eau. Ou alors tes engins doivent être classe 2 ( double isolation, aucun conducteur que tu puisses toucher en usage normal ) ou en très basse tension. Sinon en France Consuel ne donne pas son aval pour le raccordement EDF. Et comme l'électricité est réputée prendre le chemin le plus conducteur...Le fait qu'il y'ait ou non du courant, qu'il y'ait ou non un orage n'y change pas grand chose. De plus il doit exister un paratonnerre pas trop loin de chez toi ( clocher, poteau, cycliste sur la colline, campeur... Émoticône), donc que tu arrives a te faire foudroyer serait un phénoménal manque de bol. ViZiT (d) 27 juin 2009 à 02:29 (CEST)[répondre]
Merci Émoticône sourire Félixggenest le 26 juin 2009 à 21:04 (HAE)
J'ai pas de fenêtre dans ma salle de bain ; sans courant donc sans éclairage, je risque pas de prendre ma douche dans le noir Émoticône. Blue [ -02- ] 27 juin 2009 à 08:58 (CEST)[répondre]
Et si il n'y a pas de courant elle risque vite de devenir froide ! Ro

EFFETS SECONDAIRES SUITE A DES ELECTROCHOCS. modifier

bonjour à vous tous , je m'appelle Patricia. vous etes mon dernier recours,car ni les médecins ni mes recherches n'aboutissent ! Et ne veulent me répondre à cette question.ni comment resoudre mon probleme.

En 2003 , suite à une dépression sévère,j'ai du subir 12 séances d'electrochocs. depuis 3 ans , je ne prends plus d'antidépresseur.

mon gros probleme,c'est la perte de mémoire.au début,les médecins m'ont dit que cela allait s'estomper avec le temps(quelque mois ! ) Mais le temps passe,les années ;et celle-ci ne fait que s'accroitre

j'oublie des choses que j'ai faite,meme 1 semaine avant. des choses que l'on me dit. j'ai perdu la plupart de mes connaissances (film,auteur,artistes,anciennes actualites,etc) beaucoup de chose vous voyez ,en vous écrivant je ne trouve pas les autres domaines.... perdre son vocabulaire,c'est horrible.dans 1 discussion et que le mot ne sort pas....les gens vous regardent! , bref,je suis desespérée . je ne sort plus. J'ai trop honte.....

est-ce ces e.c.t , pour moi: oui

si vous avez vécu la meme situation,avez-vous trouvez 1 solution ,(entendu 1 témoignage)

de tout coeur , merci pour votre aide je suis impatiente de vous lire , à trés bientot.............

Ce bandeau est particulièrement adapté puisque vous affirmez avoir consulté des spécialistes qui, en connaissant votre cas et vous ayant examiné, ont posé un diagnostic.
Nous ne sommes pas devins ni voyants.
Je ne peux que vous conseiller de consulter un ( autre ? ) médecin qui vous orientera vers un spécialiste, car vos problèmes peuvent avoir une cause autre que les électrochocs. ViZiT (d) 27 juin 2009 à 02:40 (CEST)[répondre]
D'autant plus que ce que la baisse (réversible) de vos capacités intellectuelles, associée à d'autres signes, évoque plus un syndrome dépressif persistant que des séquelles d'ECT peu vraisemblables. S.M. | D.S.M. (4) 27 juin 2009 à 09:22 (CEST)[répondre]
Effectivement, ce peut être un effet secondaire indésirable (cf Sismothérapie#Effets secondaires. Les médecins psy (du moins en France) sont friants de cette technique que je considère comme barbare, un résidu des méthodes du 19ème siècles... Ce peuvent aussi être des séquelles des prises à long terme des antidépresseurs et autres médocs. Et comme le corps médical est solidaire, il n'est pas facile de leur faire avouer les causes exacts de vos problèmes. --Serged/ 27 juin 2009 à 10:06 (CEST)[répondre]
C'est surtout qu'ils n'en savent pas plus que nous, à mon avis, mais il importe de maintenir le prestige de la corporation. Félix Potuit (d) 27 juin 2009 à 15:22 (CEST)[répondre]

Bonsoir, Patricia. Je ne me souviens pas avoir subi d'électrochocs, par contre je connais les antidépresseurs. Ils causent effectivement des pertes de mémoire, et il faut bien quelques mois après avoir cessé de les prendre pour retrouver la lucidité, je veux dire un esprit à peu près clair. Tu dis que ça fait trois ans que tu as arrêté les antidépresseurs? Alors tu devrais constater des progrès, n'est-ce pas? Cela me paraît un temps suffisant pour commencer à récupérer et revenir petit à petit à la normale. Cependant tu as eu ta crise en 2003, donc tu as peut-être pris des antidépresseurs pendant quatre ans? Alors il faut du temps, c'est sûr. Prends-tu ou as-tu pris d'autres médicaments, des somnifères? C'est aussi une cause de perte de mémoire. Moi j'ai tout arrêté, sauf le café et un peu de tabac. En fait, c'est un tout, chaque chose entre en jeu, joue un rôle et influe sur la mémoire, l'alimentation et la fatigue. Bonsoir. Francis MARTIN (d) 27 juin 2009 à 23:27 (CEST)[répondre]

Kinshasa : quelle Victoire ? modifier

Ou alors celle-là ?
Peut-être celle-là ?

Bonjour. Voir (dans Wikipédia:Le Bistro/27 juin 2009) : Wikipédia:Le Bistro/27 juin 2009#Kinshasa : quelle Victoire ? puisqu’on me dit de m’adresser ici. Cordialement. Alphabeta (d) 27 juin 2009 à 13:09 (CEST)[répondre]

La vache ! Pas facile à trouver, l'info ! Et pourtant, il y en a un paquet, de pages qui parlent de cette place... Je t'ai copié le lien du cache Google parce que le texte est long et la mention perdue au milieu de la page. Apparemment, la même victoire qu'un peu partout, celle des alliés après la Seconde Guerre mondiale (tu crois qu'il y a une place de la Défaite, à Berlin ou à Bonn ?). En tout cas, une chose est sûre, elle s'appelait déjà comme ça avant l'indépendance du Congo. -O.M.H--H.M.O- 27 juin 2009 à 13:56 (CEST)[répondre]
Merci pour les recherches effectuées. Effectivement celle de 1945 apparaît comme la victoire par excellence (la « mère des victoires » pour reprendre une expression de S. H.) : les exceptions doivent être rares, comme la Rue de la Victoire de Paris ou l’ancienne Avenue de la Victoire de Nice... Cordialement. Alphabeta (d) 27 juin 2009 à 14:42 (CEST)[répondre]
Bigre ! J'ai manqué de vigilance : elle réfère à la fin de la Première Guerre mondiale ! Mes excuses... -O.M.H--H.M.O- 27 juin 2009 à 18:38 (CEST)[répondre]


les mouches modifier

cher oracle, La saison fait que je me pose mille questions sur les mouches, la premières, ont-elle une intelligence développé car je les trouve trés mesquines, et la deuxième , et c'est là que je me demande si je deviens totalement parano, ont-elle une quelconque capacité à se soigner mutuellement???

La croix-rouge musquine est connue comme une des plus développées du monde des insectes. Je pense que vous devriez chercher mesquin dans le dico. rv1729 27 juin 2009 à 14:58 (CEST)[répondre]

Avec tout le respect que je vous doit je ne trouve rien sur la croix-rouge musquine... quand à l'adjectif mesquin, j'avoue, c'est pas ce que je voulais dire... je voulais dire qu'elles ont l'air de bien s'amuser à nous faire ch... ces c...

Si ce ne sont que les premières questions, je vous incite fermement à lire mouche et les liens qui y pullulent.
Pour ce qui est de leur intelligence, je suis sûr d'échouer aux tests Qİ (mouche) alors que mon score au Qİ (humain) est correct. Je crois que la mouche qui a passé le test avec moi était intéressée par autre chose. Peut-être par le muscapomorphisme.
Mais je suis d'accord pour reconnaître que certaines mouches sont enquiquinantes, comme celle-là. Heureusement qu'il existe une solution.
Pour ce qui est de soigner, je ne connais pas le cas auquel vous faites allusion. Mais l'article Asticothérapie est fascinant. ViZiT (d) 27 juin 2009 à 18:47 (CEST)[répondre]
J'ose... :
    
Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,

Et de tous les côtés au soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un coche.
Femmes, moine, vieillards, tout était descendu.
L'attelage suait, soufflait, était rendu.
Une mouche survient, et des chevaux s'approche,
Prétend les animer par son bourdonnement,
Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment
Qu'elle fait aller la machine,
S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
Aussitôt que le char chemine,
Et qu'elle voit les gens marcher,
Elle s'en attribue uniquement la gloire,
Va, vient, fait l'empressée : il semble que ce soit
Un sergent de bataille allant en chaque endroit

Faire avancer ses gens et hâter la victoire.
              
La mouche, en ce commun besoin,

Se plaint qu'elle agit seule et qu'elle a tout le soin ;
Qu'aucun n'aide aux chevaux à se tirer d'affaire.
Le moine disait son bréviaire :
Il prenait bien son temps! Une femme chantait :
C'était bien de chansons qu'alors il s'agissait!
Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles,
Et fait cent sottises pareilles.
Après bien du travail, le coche arrive au haut :
« Respirons maintenant, dit la mouche aussitôt,
J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.
Çà, messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine. »
Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
S'introduisent dans les affaires :
Ils font partout les nécessaires,

Et, partout importuns, devraient être chassés.
    

Si ma mémoire a fait défaut, pardonnez-moi. --Égoïté (d) 27 juin 2009 à 23:11 (CEST)[répondre]

Tiens ben, puisqu'on en est à la littérature, il y a aussi Les Mouches, qui peut éventuellement servir de tapette à mouches, en édition papier. -O.M.H--H.M.O- 28 juin 2009 à 09:24 (CEST)[répondre]

Bon, au risque de paraitre super agaçante, je reconnais que tous ces liens ont leur intérêt, mais suis-je la seule à se demander ce qui se passe dans la tête de ces mouches? Je ne parle pas de toutes les mouches bien sûre, je parle de celle qui me réveillent le matin en se collant sur mon visage et en revenant malgré toutes mes menaces, je parle de celle à cause de qui j'ai dût laver mes vitres une bonne dizaine de fois puisque c'est le seul endroit où il est facile de leurs ôter la vie, je parle de celle qui reste dans nos pattes sans arrêt quoi qu'on fasse et à qui on n'arrive jamais, je dis bien jamais à s'habituer malgré toutes les "zen-attitudes" tentées... si quelqu'un connait un site sérieux, où on parle de la vie des mouches, de leur organisation "socio-animale" et de leurs moeurs, merci de me le faire savoir, je suis en pleine guerre et j'ai besoin de documentation pour mieux connaître mon ennemi... :)

Visite le musée de la Gourmandise et tu découvriras un truc efficace (utilisé dès le XVe siècle) ou contacte-moi par mail. --Égoïté (d) 28 juin 2009 à 01:10 (CEST)[répondre]

En plus, elles piquent, n'est-ce pas? Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 01:35 (CEST)[répondre]

Je vois que les pythies sont d'humeur badine, aujourd'hui, ou sont trop sibyllines. Ou ne perçoivent pas que leur esprit et leur humour passent à côté (mais Égoïté a déjà corrigé le tir). C'est la fin de semaine, il y a des orages un peu partout sur l'Europe occidentale et il fait chaud, ceci explique peut-être cela...
Il te faut imaginer qu'une mouche ne « pense » pas, parce qu'elle n'a pas de cerveau à proprement parler mais un ganglion cérébral (voir l'anatomie de l'insecte) qui lui permet d'agir mais pas de penser, donc. Cela fait qu'elles n'agissent pas avec une intention précise de nuire à un individu précis, elles se laissent guider par leur odorat et leur vue et se dirigent vers ce qui leur apparaît comme une source de nourriture. Ce lien sur « Google Books » te permettra, j'espère, de comprendre comment et pourquoi une mouche agit comme elle le fait. Comme le dit l'auteur, « le comportement de la mouche pourra vous sembler justifié au sens où il répondra à un but précis [mais cela] n'a pas grand chose à voir avec l'intentionnalité et la préméditation ». C'est ce que voulait t'indiquer ViZiT en te renvoyant vers l'article anthropomorphisme : ne pas croire qu'un être qui semble agir « avec intelligence » le fait vraiment en se référant à sa propre manière d'agir.
Allez ! Continue ta guerre contre les mouches en ayant cette satisfaction : elles ont moins de cervelle que ton téléphone portable. -O.M.H--H.M.O- 28 juin 2009 à 01:51 (CEST)[répondre]
Mais souvent plus que leurs utilisatrices, à écouter (bien forcé) la nature des conversations hurlées dans les transports en commun. Félix Potuit (d) 28 juin 2009 à 08:44 (CEST)[répondre]
Et sans en exclure leurs utilisateurs... -O.M.H--H.M.O- 28 juin 2009 à 08:52 (CEST)[répondre]

Pas de pitié pour les croissants Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 02:05 (CEST)[répondre]

         Merci mille fois, vous avez tout compris à mes attentes, désormais je sais qu'il n'y a pas
          besoin d'être plus "maligne" qu'elles puisqu'elle ne pensent pas... on passe au plan B.

un: maman a tort - deux: c'est beau l'amour - trois: j'pense pas beaucoup - quatre : et vous? - Mylène farmer Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 18:10 (CEST)[répondre]

...Rien à voir.. :)


Oui, c'est vrai, c'était juste pour dire que définir la pensée est loin d'être facile. Et évidemment, ça m'intéresse, du coup. C'est comme de savoir si les virus sont vivants. C'est le week-end, je suis un peu fatigué. Cependant ces questions sont sûrement loin d'être des trolls, n'est-ce pas? Dans une récente discussion sur les virus, sur la page de l'Oracle, ici-même, donc, nous avons cherché à faire un peu le point sur la question de savoir si les virus sont vivants, et j'ai dû conclure pour ma part (personne ne m'a contredit en cela) que j'étais contraint de qualifier d' "entités" tout à la fois les virus et les cellules. Il resterait aussi à déterminer ce qu'on entend par "soupe primordiale" et par le passage du non-vivant au vivant. Tous ces champs de recherches ne me paraissent pas précis - c'est peut-être moi, mais après tous les autres participants du débat ne m'ont pas eu l'air plus avancés. Et voici qu'apparaît un autre domaine avec le fait qu'on dise qu'une mouche ne pense pas. Je ne pouvais pas rester sans rien dire. J'applique en cela une technique que j'ai apprise dans les années 90, celle du "brain storming" ça se faisait beaucoup dans les entreprises à ces moments là, mais depuis je suis devenu travailleur indépendant, je définis mes propres règles de travail, la seule chose qui compte pour moi désormais est de m'assurer que le produit final de mon travail se vendra, et à vrai dire je n'ai plus de souci matériel, j'ai acquis une sorte de rente, un revenu mensuel suffisant jusqu'en 2012, donc je fonctionne un peu à vide, sur ma lancée, je pourrais rester les bras croisés mais je m'aperçois que même se reposer n'est pas facile. Le brain storming, tempête cérébrale, c'était une façon de réunir des gens autour d'un projet, une réunion de travail où chacun était libre et même encouragé à dire tout ce qui lui passait par la tête, c'était enregistré et on triait par-après. Je ne sais pas si ça se fait encore ou si on a trouvé mieux depuis. Pour parler franchement je fonctionne un peu en roue libre actuellement, je me laisse aller en prévision de trouver de nouvelles idées au cas où j'aurais à nouveau à travailler (chercher à gagner de l'argent) à partir de 2012, ce qui n'est même pas sûr. Donc je fais un peu ce que je veux, j'ai assez d'argent pour vivre sans rien faire, et c'est nouveau pour moi, je suis seul (veuillez me pardonner, je raconte ma vie, dites moi d'arrêter et je le ferai). En bref je saute sur toutes les idées qui m'intéressent, je vais aussi loin que je peux à chaque fois qu'un domaine de recherche me tente, et je me dis que je reviendrai là-dessus quand il sera temps de mettre en forme. Dans le cas présent, ce qui a retenu mon attention est le fait que l'un d'entre vous a dit qu'une mouche ne penserait pas. Il m'est venu tout de suite à l'esprit que l'on considère plutôt, en gros, que nous serions plus ou moins nous mêmes, humains, pourtant, aussi des animaux. C'est comme le concept de vie, la pensée n'est pas clairement définie, même pour les scientifiques les plus avancés. Encore une notion qui me parait opérative, exploitable. Je commence à en avoir un certain nombre, le moment est peut-être, sans doute, même, proche où je pourrai approfondir l'un ou l'autre de ces domaines de recherche. Excusez moi encore si je vous ai paru hors-sujet ou difficile à comprendre. Le lien était la notion de pensée. Bien à vous. Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 22:42 (CEST)[répondre]

Aucun soucis, je plaisantais, je peux comprendre le fait d'avoir parfois souvent envie de dire tout ce qui nous passe par la tête car c'est aussi ma façon de vivre...

Pourquoi ne signes tu pas? Francis Martin (d) 30 juin 2009 à 00:39 (CEST)[répondre]

Je n'ai pas de "compte" ouvert sur wikipédia, je ne suis que de passage...

Bon passage alors. Il est relativement facile d'ouvrir un compte. Francis Martin (d) 30 juin 2009 à 21:24 (CEST)[répondre]

Pour dire vrai je ne viens que pour poser mes questions idiotes, et du coup je ne vois pas à quoi me servirait d'ouvrir un compte?!? parce que je n'ai pas les connaissances nécessaires pour devenir une piti pythie... voilou...

Pas d'accord regarde la place qu'a pris ta question, et moi le débat m'a intéressé, j'ai trouvé un nouveau thème de recherche. Francis Martin (d) 1 juillet 2009 à 02:30 (CEST)[répondre]

ravie de constater que mes questionnements bizarroïdes puissent être partagés, transmet les résultat de ta recherche à wikipédia, ça pourrait m'intéresser

MUSIQUE DU FILM MONSIEUR JOE DE 1949 COMPOSEE PAR ROY WEEB modifier

BONJOUR MESSIEURS

DES LE DEBUT DU FILM LE BEBE GORILLE EST BERCE PAR UNE PETITE MUSIQUE QUI SORT D UNE BOITE A MUSIQUE; CETTE MUSIQUE QUI REVIENT PLUSIEURS FOIS DANS CE FILM DIFFUSE SUR ARTE LUNDI 22 JUIN 2009 A 23H20 EST VRAIMENT MAGNIFIQUE!.. PIANISTE AMATEUR, JE CHERCHE DESESPEREMMENT COMMENT ME PROCURER LA PARTITION DE CE MORCEAU QUI DOIT ETRE DE ROY WEBB ( PUISQUE C EST LUI QUI A COMPOSE LA MUSIQUE )

                     SI VOUS POUVIEZ M AIDER A TROUVER CETTE PARTITION
                               MERCI D AVANCE, UN MELOMANE AVERTI


Vous pouvez trouver ici le détail de la bande originale de Monsieur Joe (film, 1949) composée par Roy Webb, et éventuellement y commander le CD. Bonne chance pour la suite de vos recherches. ViZiT (d) 27 juin 2009 à 20:27 (CEST)[répondre]
Est-ce cet air ? C'est Beautiful Dreamer de Stephen Foster. ViZiT (d) 27 juin 2009 à 22:18 (CEST)[répondre]
Et s'il doit y avoir une prochaine question, merci de respecter la quiétude des pythies, par pythié. Cordialement. Père Igor (d) 27 juin 2009 à 21:00 (CEST)[répondre]
SUR INTERNET, abuser de CAPITALES est l'équivalent de CRIER (pardon) dans le langage parlé. Merci de respecter la tranquillité de l'Oracle, qui préfère les questions qui lui sont murmurées à l'oreille...

Personnellement, depuis que j'ai vu ça, j'écris mes mails en vert. Francis MARTIN (d) 27 juin 2009 à 23:41 (CEST)[répondre]

Ça me fait pareil. rv1729 28 juin 2009 à 10:08 (CEST)[répondre]
Je m'en tiens à la prose (je suis resté très simple). Félix Potuit (d) 28 juin 2009 à 11:05 (CEST)[répondre]

Une bague portée au pouce .... Signification?? modifier

Je vois de plus en plus fréquemment des jeunes gens ou jeunes filles portant un bague au pouce. Cette mode, cette pratique a t-elle une signification?jbdepradines (d) 28 juin 2009 à 00:25 (CEST)[répondre]

J'énumère les significations:
  • athéisme
  • homophilie
  • liaison charnelle "en dehors des clous"
  • Poséidon ( Dieu ne vivant pas au mont Olympe, prenant ses propres décisions et se balançant des règles ). Personne ne suivant pas les us des autres, vivant avec sa propre vérité, libre.
  • Le pouce est le plus puissant des doigts, indépendant des autres, représente l'autorité " ce sera comme je dis !"
Et un peu de pratique:
  • La bague était la protection du pouce des archers, pour tirer des dizaines de flèches sans se retrouver écorché ( d'ailleurs il y avait un crochet pour tirer la corde ).
  • La bague était le symbole des médecins du moyen-age.
J'y vois une certaine cohérence. ViZiT (d) 28 juin 2009 à 01:43 (CEST)[répondre]

Excuse-moi, il est tard: j'ai tout compris sauf pour la dernière ligne: y a-t-il un rapport entre la bague des médecins du moyen-âge et la bague au pouce? Peut-être est-ce l'autorité des médecins, ou quelque chose comme ça, le pouvoir des médecins?Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 02:36 (CEST)[répondre]

dans ma liste j'ai juste "La bague portée au pouce était le symbole des médecins dans les années 1500". ViZiT (d) 28 juin 2009 à 14:32 (CEST)[répondre]

ok. Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 18:02 (CEST)[répondre]

@ViZit, j'ai recherché "bague d'archer". Je n'en ai vu aucune avec un crochet. Si j'ai bien compris la flèche repose sur la bague et protège le pouce du frottement. La corde est tendue avec l'autre main, je ne vois pas l'utilité du crochet. As tu un exemple à montrer? Merci. Émoticône --Kkbs (d) 28 juin 2009 à 08:09 (CEST)[répondre]

La corde est tendue par le crochet de la bague, et non "la corde est tendue avec l'autre main", c'est une autre manière de tirer à l'arc. Avec de jolis résultats car le test d'entrée de l'armée mongole était de tirer une flèche à 600m. Sans compter la cadence et le fait d'être à cheval... L'encoche est assez visible sur cette image. Et quand des artistes se lâchent , cela donne des formes encore plus alambiquées. ViZiT (d) 28 juin 2009 à 14:32 (CEST)[répondre]
Merci ViZit, je suis allé voir l'article que tu cites. J'ai très peu tiré à l'arc, mais pour autant que je m'en souvienne : Je tiens l'arc d'une main, je place l'encoche de la flèche dans la corde, la flèche repose sur mon pouce (qui peut être protégé par une bague) de la même main qui tient l'arc. L'autre main prend la flèche à hauteur de l'encoche et bande l'arc avant de décocher la flèche lorsque je lâche celle ci. Il y aurait donc deux sortes de bagues. Je dois dire que l'explication et la photo ne m'éclaire pas sur l'utilisation de cette bague (je vois mais je ne comprends pas). Bien à toi --Kkbs (d) 29 juin 2009 à 05:34 (CEST) //archers.lorrains.free.fr/lemat.htm[répondre]
Faut dire que j'en suis resté à l'arc élémentaire, je viens de visiter différentes armureries et j'ai découvert une foule d'accessoires dont j'ignorais l'existence. Mais pas de bague, des bracelets ou des bagues 3 doigts, enfin il faudrait se rendre sur place pour voir et poser des question. Difficile si pas motivé pour l'achat. --Kkbs (d) 29 juin 2009 à 05:51 (CEST)[répondre]
Et un reportage photo ainsi qu'un extrait vidéo pour le monsieur du 5, deux! ViZiT (d) 29 juin 2009 à 08:44 (CEST)[répondre]
Le monsieur du 5 te dis merci et passe à la caisse. Émoticône --Kkbs (d) 29 juin 2009 à 12:39 (CEST)[répondre]

Bonsoir. D'où vient l'expression "la lampe de sagesse" figurant plus haut, s'il vous plaît? Merci. Signé: Francis Martin modifier

Bonsoir. en haut de la page figure la fameuse lampe de sagesse. Je ne me souviens plus de son origine. Pourriez-vous me la rappeler, s'il vous plaît? Merci. Je ne sais pas si je la trouverais dans la case "recherche", donc je préfère vous poser la question. Bonne soirée à tous. Francis MARTIN (d) 27 juin 2009 à 23:08 (CEST)[répondre]

D'abord commençons par un proverbe indien: "Tous les pouvoirs dorment dans ton esprit, comme les diamants dans la mine. Il ne tient qu'à toi d'y descendre, muni de la lampe de sagesse".
Ensuite cet extrait de la biographie d'Epictète: "...Cette lampe de terre, après la mort du philosophe, fut achetée trois mille drachmes par un sot qui aspirait à la sagesse. C'est Lucien qui nous a conservé cette anecdote, dans sa satire contre un ignorant qui se composait une bibliothèque. «De notre temps, dit-il, il s'est trouvé un homme, et il est encore en vie, qui a acheté la lampe de terre d'Epictète, trois mille drachmes ; il espérait qu'en lisant, la nuit, à la lueur de cette lampe, la sagesse d'Epictète viendrait incontinent à lui pendant son sommeil, et qu'il deviendrait tout semblable à ce merveilleux vieillard»".
Un petit saut en chine : "Mais la flamme de la lampe, c'est la métaphore de la Sagesse chez les bouddhistes. Dans le Soutra de Huayanjing ( la guirlande de Fleurs ), la lampe comme Sagesse est la quatrième des dix étapes pour atteindre la félicité. Et sa contemplation porte sur les êtres sensibles, les faits, le monde, la conscience, le désir, le formé et l'informe, l'ouverture et la magnanimité de la foi".
Je retrouve à peu près la même symbolique dans quelques autres croyances et peuplades: Lumière = Sagesse. İl est vrai que la flamme vacillante est vraiment hypnotique, en plus d'être mystérieuse, avec une grande puissance potentielle, provoquant une atmosphère propice à l'introspection.
Sinon ces chauffe-plats sont vendus par paquet de 50 pour quelques €. ViZiT (d) 28 juin 2009 à 00:31 (CEST)[répondre]

Merci, Vizit. Oui, la lampe est plutôt une image traditionnelle de la sagesse. Cela rejoint le thème de la lumière. De même, on parle de "s'en mettre plein la lampe", pour dire de se remplir l'estomac. Ce rapprochement m'intéresse. Je vais peut-être t'apprendre quelque chose: en prison on utilise les cubes de combustible (pour chauffer les casseroles) comme drogue en les avalant, j'ai entendu cela en faisant un documentaire. In vino véritas, dit-on encore (la vérité est dans le vin). Le thème central de tout ceci me semble être l' énergie, n'est ce pas? La lampe fonctionne grâce à un combustible, qui par combustion génère une énergie dont la nature reste à déterminer. qu'en pensez vous? Ce que je connais le moins là-dedans, c'est pourquoi on parle de "la lampe" comme image de l'estomac. Si vous avez des renseignements à ce sujet, ça m'intéresse. Et pourquoi dit-on que la vérité est dans le vin? Cela me rappelle ce prix Nobel qui a étudié l'ayahuasca, drogue sud-américaine qui l'a aidé à améliorer nos connaissances sur l'adn. Je vais aussi rechercher de ce côté-là. En avez-vous entendu parler? C'est assez récent, deux ans je crois. Je précise: il a obtenu son prix Nobel récemment en étudiant l'ayahuasca car il a trouvé dans l'étude des effets de cette plante (l'ayahuasca) des renseignements nouveaux sur l'adn. A bientôt, si tout va bien ( "Lundi, si je vis", écrivait Prosper Mérimée sur son agenda). Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 01:13 (CEST)[répondre]

In vino véritas, dit-on encore (la vérité est dans le vin). Trouvé ici même " l'alcool rend sincère". C'est pourquoi certaines personnes en font boire d'autres pour soutirer des informations, vu que l'alcool contribue à relaxer notre organisme. Il arrive que "relax" on dévoile plus le fond de sa pensée, donc il arrive que l'on dise ce que l'on pense réellement. C'est un peu comme "la vérité sort de la bouche des enfants" (ce qui n'est pas toujours vrai d'ailleurs). --Kkbs (d) 28 juin 2009 à 07:50 (CEST)[répondre]

Ah merci je comprends enfin le sens de in vino véritas. C'était pas évident et franchement peu de gens que je connais savent ça, pour eux c'est plutôt une incitation à la débauche, je veux dire une fallacieuse justification des drogues et du dopage. Cela fait longtemps que je ne l'ai plus sortie, donc voici une vieille blague: savez vous pourquoi l'alcool est bon pour les prisonniers? Parce qu'il détruit les cellules. Je dois avoir l'esprit compliqué car j'ai toujours cru que "in vino veritas", la vérité est dans le vin, était une profonde réflexion philosophique, signifiant quelque chose comme "il faut chercher la vérité loin, elle n'est pas dans l'état normal de nos facultés", voyez vous? Tout ça c'est du vent, pas besoin d'alcool ou de quoi que ce soit pour trouver la vérité. "Ménage tes méninges" (san antonio, alias frédéric dard). Bonne matinée à tous et surtout à toutes-je plaisante. Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 10:46 (CEST)[répondre]

Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. rv1729 28 juin 2009 à 14:22 (CEST)[répondre]

Si le grain ne meurt, il ne peut donner la vie. Francis MARTIN (d) 30 juin 2009 à 00:37 (CEST)[répondre]

  • Il faut savoir qu'on ne construit pas une information on la découvre. La majorité des gens sont visuelle, c'est leur façon de concevoir leurs idée (déi "jour"). Ce n'est pas le lexème (lux? "lumière") qui manque pour mettre en lumière ce phénomène. Tu vois ou je veux en venir ? On observe ce mélange depuis la nuit des temps. J'espère t'avoir éclairé. Autrement tu est aveugle sans vouloir vexer. Il suffit d'y réfléchir et c'est l'illumination.
  • Outre les visuelles, les Kinesthésique se sont aussi approprié une portion en la matière. Ils ont saisi que pour apprendre il fallait d'abord comprendre.
  • Les auditifs sont les moins bien représenté. J'entend par là qu'ils ont fait moins de bruits à mon avis sur la question. Peut-être en avaient-il moins besoin, sachant qu'il maitrise probablement mieux le vocabulaire.
Émoticône Iluvalar (d) 28 juin 2009 à 19:26 (CEST)[répondre]
Heu...Tu es sûr que tout va bien Iluvalar ??
T'inquiète, c'est mon état normal. Quoi que je ne m'avance pas pour savoir si c'est bien ou mal. J'ai atteint mon point non ? À savoir que la sagesse est lié depuis très longtemps à l'éclairement et ce de façon très profonde. Iluvalar (d) 28 juin 2009 à 21:35 (CEST)[répondre]
Quel point tien as-tu atteint ? Ton point G ?
Bon, c’est normal pour une pythie d’être sibylline, après tout. rv1729 28 juin 2009 à 21:51 (CEST)[répondre]
En tant que garçon, j'ai pris l'habitude d'atteindre celui des autre à la place n'en ayant pas moi même.
D'accord ! stop ! Do not feed the troll qu'ils disent. Moi je sors (histoire de m'éCLAIRsir les idées. hihihi.) =>[] Iluvalar (d) 28 juin 2009 à 22:06 (CEST)[répondre]

recherche de nom(s) d'auteur(s) de poésies modifier

Bonjour, je ne suis pas sûr que ce vers: "le ciel est, par-dessus le toit, si bleu, si calme!" soit de Baudelaire, et j'aimerais bien savoir dans quel recueil il figure ou le titre du poème. Il y a aussi "Ici, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté". Ce sont mes classiques et j'aimerais bien en savoir plus à leur sujet, leur auteur principalement. Savez vous où je peux les trouver? Oh, et celui-ci: "Riez les filles, riez les roses - Au doux frisson des choses"? Merci d'avance. Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 03:04 (CEST)[répondre]

google:le+ciel+est,+par-dessus+le+toit,+si+bleu,+si+calme, google:Ici+tout+est+ordre+et+beauté+luxe+calme+et+volupté etc. vous apportera les réponses sans trop de difficultés sur wikisource : Verlaine, Baudelaire, etc.. Bon dimanche. Piero (d) 28 juin 2009 à 08:33 (CEST)[répondre]
Les deux dernières questions de Francis MARTIN ont été déplacé au bon (...) endroit par Piero. Attention à ne pas modifier la page d'accueil, mais de bien passer par ici pour vos requêtes à l'oracle.

Merci Francis MARTIN (d) 28 juin 2009 à 10:55 (CEST)[répondre]

Pierre étrange modifier

Bonjour, je possède chez moi une pierre assez étrange. Elle est blanche sur le dessus et rose sous le dessous. Sous sa " couche " rose il y a un petit " quelque chose " de gris collé dessus (comme un vieux chewing-gum mais ça n'en est pas ). Je l'ai amené à mon prof de SVT mais il ne sait pas ce que c'est. Je l'ai trouvé à Mours st Eusèbe posé sur le muret de la maison de mes grands parents, donc je ne sais pas d'où elle vient vraiment. Je mettrais une photo dès que je pourrais car cette pierre est chez mes grand parents. Merci de votre aide.

Message posté sur un nouvel article (supprimé) par 81.251.178.95 (d · c · b)

MicroCitron un souci ? 28 juin 2009 à 09:30 (CEST)[répondre]

Grillé sur ce coup ! Problème, si même il y a une réponse, pas sûr qu'elle ou il vienne la lire... Émoticône -O.M.H--H.M.O- 28 juin 2009 à 09:43 (CEST)[répondre]
La différence entre les couleurs blanches et roses sont peut être dues à des phénomènes géologiques ?... Sinon, aucune idée --.Anja. (d) 28 juin 2009 à 11:04 (CEST)[répondre]

Nicolas Antoine ou Nicolas Auguste Nouet ? modifier

Bonjour à tous,

J'ai bien failli créer une page « Nicolas Antoine Nouet » avant de découvrir Nicolas Auguste Nouet, mais je suis troublée à cause de ceci : « N°notice 02134 ». Qu'en pensez-vous ? C'est la même personne mais quel est le bon prénom ? Cordialement, --Anne97432 (d) 28 juin 2009 à 10:26 (CEST)[répondre]

Il semble que le second prénom soit effectivement Antoine. On le trouve, outre les pages « officielles », dans plusieurs ouvrages sérieux. Les recherches Nicolas Nouet "observatoire de paris" et Nicolas Nouet Pompey Chambéry astronome sur Google amènent des références sur « Google Books » qui semblent très fiables et donnent bien Antoine. Ne reste plus qu'à renommer l'article... -O.M.H--H.M.O- 28 juin 2009 à 10:59 (CEST)[répondre]
Une source (secondaire, soit) complémentaire, la BnF, confirme. Piero (d) 28 juin 2009 à 11:40 (CEST)[répondre]

Train à grande vitesse... mais quelle vitesse ? modifier

Bonjour,

Je sais qu'un TGV roule vite. Mais quelle est la vitesse maximum à laquelle un TGV a le droit de rouler lorsqu'il passe dans une gare (mais qu'il ne s'y arrête pas) ? Une mienne connaissance me soutient qu'un TGV est passé à 200 km/h dans la gare de Colmar. Est-ce qu'une pythie pourrait me renseigner sur ce point ? J'ai lu l'article TGV mais n'ai rien trouvé.

Merci d'avance et que tous ceux qui répondent voient leurs voeux exaucés jusqu'à la 12° génération et tout et tout

Marcellus55 (d) 28 juin 2009 à 12:05 (CEST)[répondre]

Il se trainait un peu ton TGV, à 200 km/h. J'en ai vu un en 2007 à la gare de Reims-Bezanne qui allait ses bons 500 km/h pendant un essai de vitesse qui a culminé un peu plus loin à 570 et quelques, il me semble ! Vain dieu le coup de vent ! le sourcier de la Colline [on cause ?] 28 juin 2009 à 13:29 (CEST)[répondre]
C'était ça: [4]. Mais ordinairement la vitesse n'est pas si élevée. le sourcier de la Colline [on cause ?] 28 juin 2009 à 14:02 (CEST)[répondre]
Les TGV, comme les autres trains, doivent respecter la vitesse limite de la ligne sur laquelle ils circulent. La gare de Colmar se trouve sur la ligne classique Strasbourg-Bâle dont l'article ne dit rien à propos de sa vitesse limite. Celle-ci est probablement 200 km/h puisqu'on y fait circuler des TERGV à cette vitesse. Cela dit il peut y avoir des limitations particulières à la traversée de certaines gares comme il y en a en zones de travaux ou en cas de circulation en IPCS. Sur la LGV-Est la vitesse limite est 320 km/h. Spedona (d) 28 juin 2009 à 14:46 (CEST)[répondre]
En clair, sur les lignes à grande vitesse, tracées spécialement pour foncer, comme des autoroutes, le TGV est un TGV et roule à des vitesses allant (en France) de 270 à 320 km/h selon les lignes, mais lorsqu'il quitte la ligne à grande vitesse, il redevient petit tortillard, comme la grosse voiture allemande à gros moteur doit à nouveau rouler à 50 quand elle quitte l'autoroute pour la ville... On a alors des vitesses variant de 80 (parfois même moins pour des cas particuliers) à 220 km/h.
Pour Colmar, la ligne est en effet autorisée à 200 km/h sur la plupart du parcours. Néanmoins, la limitation de vitesse dépent aussi du type de matériel, et les TGV bénéficient d'un petit "bonus" qui les autorise à rouler le plus souvent à 220 là ou les corails doivent se contenter de 200 (ils sont plus légers). Burenunoie [pia, pia, pia...] 29 juin 2009 à 10:08 (CEST)[répondre]
Je vais ajouter mon grain de sel, en disant que certaines gare (Gare LGV) disposent de voies centrales, souvent isolée du reste de la gare par des murs, ou le TGV traverse à pleine vitesse. C'est le cas à Lyon Saint Exupéry, le Creusot et surement plein d'autres Émoticône .
En fait, pour les gares TGV, ces voies rapides séparées sont systématiques. Pour les lignes classique, toutes les voies d'une gare ne sont pas toujours autorisées aux mêmes vitesses, certaines étant parfois réservées aussi aux "passages en vitesse" de boulets les plus rapides. Quant à la gare de Colmar, je ne connais pas son plan de voie et les vitesses qui y sont autorisées, mais le franchissement à 160 ou plus peut y paraitre crédible. Burenunoie [pia, pia, pia...] 29 juin 2009 à 10:31 (CEST)[répondre]
Un peigne à wax.

B'jour ! Je demande vote aide parce que j'ai acheté hier un short de bain. Il est parfait mais dans la poche se trouve un espèce de peigne très aiguisé ... Je me demandai si c'était un accesoire de surf ou un truc dans le genre. Mirci !

Bonjour, sans image ça va être dur. Cherchez quand même du coté du "peigne à wax" et Cire (surf). ViZiT (d) 28 juin 2009 à 17:27 (CEST)[répondre]
Faudrait vérifier si tous les shorts vendus possèdent un tel accessoire dans la poche. Car je ne vois pas la relation entre les deux objets. Si le short à une tendance au boulochage[1] on peut supposer que ce peigne serve à couper les petites boules. Je ne pratique pas le surf, mais de prime abord je ne vois pas en quoi cela peut servir à un surfeur. --Kkbs (d) 29 juin 2009 à 05:15 (CEST)[répondre]
Si c'est le même modèle que sur la photo, à ouvrir les cannettes. ViZiT (d) 29 juin 2009 à 09:04 (CEST) on dirait que la page de l'oracle n'est pas optimisée pour les renvois "ref"[répondre]

C'est marrant comme accessoire fournit lors de la vente d'un short, j'ai appris 2 choses ce jour. --Kkbs (d) 29 juin 2009 à 13:19 (CEST)[répondre]

Pisse devant modifier

Cher Oracle, vous qui connaissez tout, pouvez vous, dans votre grandre sagesse, me dire, virgule, pourquoi, virgule, c'est si jouissif d'uriner après avoir ingurgité un pichet de bière ??? hic

C'est une question difficile. D'un côté, les propriété vasodilatatrices de la bière contribuent à un sentiment de bien être favorisant la pleine conscience de son être potentiel et l'accès à un niveau d'éveil superlatif, soit les conditions objectivement requises pour jouir ; d'un autre côté, le pichet est lent et lourd à digérer, ce qui crée des tensions. Ainsi, le pichet de bière serait responsable de deux effets contradictoires, d'où naîtrait la difficulté de jouir pleinement dans l'acte d'urinance. Cependant, il faut comprendre qu'en ingurgitant un pichet de bière, on n'absorbe pas un pichet et de la bière, mais bien un pichet de bière en soi, une entité dont la pleine présence n'était pas compréhensible hors de soi ; nous contemplons la riche totalité du pichet de bière de l'intérieur, et de cette révélation intime vient une jouissance phénoménologique qui embrase chaque atome de notre corps. L'appareil urinaire êtant composé d'atomes, on déduit que la jouissance concerne en particulier l'acte d'uriner. Ab930 (discuter) 21 mai 2016 à 03:55 (CEST)[répondre]

Notes et références modifier

  1. particularité de certains tissus à former de petites boules de fibres en surface