Wikipédia:Oracle/semaine 9 2012
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Mai 68 et les prix, récompenses ...
modifierBonjour ô Racle, Une question me turlupine : il y a je crois où, dans la mouvance "gauchiste" de mai 1968, un refus prononcé, en particulier dans le domaine des Arts, des Lettres, etc. de tout ce qui est prix, récompenses, distinctions ... Influence du refus du Nobel par Jean-Paul Sartre ? Refus de tout ce qui pouvait être considéré comme participant à créer des élites (cf le Prix de Rome ?) ou à conforter les normes (le prix ayant tendance à consacrer le respect et la poursuite d'un ordre établi). Je peine un peu, en fait, à trouver des manifestes, des textes, des opinions de leaders politiques de cette époque ; j'arrive à voir les conséquences (suppression de moult prix dans le système éducatif, de l'élémentaire au supérieur), mais pas les causes. Merci de ton aide. --Yougo (d) 27 février 2012 à 16:10 (CET)
- Y a pas que dans les Arts et Lettres que les gens se posent des questions sur le sens des récompenses et distinctions, cf Laurent Schwartz à propos de la légion d’honneur : [1]... et pour un point de vue plus récent, ce billet d’Edwy Plenel. rv 27 février 2012 à 16:52 (CET)
- comme on peut le voir dans Ordre_national_de_la_Légion_d'honneur#Refus_de_la_décoration , ce n'est ni spécialement 68ard, ni spécialement gauchiste
- C'est très bien de la refuser, mais encore faudrait-il ne pas l'avoir méritée
- ou ce qui est grave, ce n'est pas de l'avoir obtenu, c'est de l'avoir mérité
- gem (d) 27 février 2012 à 18:41 (CET)
- Et aussi la vacherie de Satie : « Ravel refuse la légion d’honneur, mais toute sa musique l’accepte ». rv 28 février 2012 à 08:48 (CET)
- Flemme à retrouver des sources, mais concernant Sartre, il n'y a pas eu réel refus du prix Nobel, mais plutôt une information tardive qui lui en a été faite et où il a dit +- "ah bon chavais pas" ou "m'en fout", qui a été vu comme refus et l'a un peu dépassé vu la médiatisation donnée (et, là, sûr, s'il avait exprimé qu'il avait été mal compris et voulait le prix Nobel, personne n'aurait rien compris ... ce fameux pratico-inerte qu'il a théorisé ...). Ce qui ne préjuge pas de ce qu'il aurait pu dire s'il en avait précisément été averti en avance. Mais là celà relève de l'histoire fiction. D'autres pythies ont-elles des infos plus précises sur ce simple sujet qui n'épuise pas la question ?--Casuis (d)
- Demandez, lisez La Cause du peuple, à défaut de trouver et d'éplucher tous les articles d'époque de ce journal et tant d'autres mon impression vécue est une salade composée du refus des valeurs bourgeoises (ou petites bourgeoises) très ancré dans les slogans (la simplicité des mots utilisés étaient très importante, le pouvoir en place ne disposait pas non plus, comme maintenant d'un groupe de riposte que sont les "communicants" pour faire dire aux mots tout et son contraire,un exemple: il a fallu quelques années de plus pour que les contestataires et gauchistes deviennent des casseurs) il y avait de la place pour la dialectique de gauche, un autre ingrédient était lié à la hiérarchie omniprésente avec son système émanant du modèle militaire, les grades et sous-grades représentaient une liste incroyable (il y a des restes dans les administrations) et d'une certaine façon cet empilement de fonctions, assorti de mini-cérémonies, ajouté à la haine réelle de l'uniforme chez beaucoup (pour les jeunes de 18-19 ans le service militaire obligatoire était devenu un symbole du pouvoir -dirigé par un général !- qu'il fallait mettre à terre), devenait aussi le symbole du travail récompensé (mais pas payé).
Tout ceci comme dit avant c'est un mélange d'idées, on parlait moins de prendre aux riches (ce sont eux qui en parlaient) et un peu plus de retirer le pouvoir à des gens usés, respectables et répétant les mêms gestes, cérémonies à l'envie, les mêmes mots honorables, prières sans foi, c'est la fin d'une époque tournée en arrière, convaincue et contradictoire -la guerre c'est mal, mais donner 18 mois de sa vie au pays c'est bien- je crois que la détestation de la pompe officielle (le bal des hypocrites) s'était étendue à tous les domaines (la culture était récente dans son sens officiel) et pour ne pas faire partie de la grisaille des petits bourgeois, la majorité électorale, il valait mieux refuser pour être mieux vu et former un groupe distinct, et ironiquement on peut voir avec le recul que la plupart d'entre eux sont encore des monuments vivants s'activant pour dénicher le dernier hochet officiel.--Doalex (d) 28 février 2012 à 12:01 (CET)- Merci, J'ai été très intéressé de voir que Roland Castro avait été en 1968 le fondateur de la Cause du Peuple ... avant effectivement de devenir sous Mitterrand un peu un architecte officiel, à l'instar des statues des commandeurs qu'il avait contribué à déboulonner vingt ans plus tôt. Si je comprends bien, ce type de posture intellectuelle (refus des grades, des récompenses, des cérémoniaux, de la stratification) ... appartenait plutôt aux maoïstes ? Ou ces points de vue étaient aussi partagés par les trotskistes ? Je regrette d'avoir une culture historique assez pauvre sur cette période ... Merci. --Yougo (d) 28 février 2012 à 13:08 (CET)
- Puisqu’on vous dit que c’est même pas réservé aux soixante-huitards... rv 28 février 2012 à 15:54 (CET)
- J'entends bien, mais mon interrogation portait sur la perception que les acteurs de l'époque en avaient. --Yougo (d) 28 février 2012 à 19:11 (CET)
- Tous ceux qui rejettent l’autorité de l’establishment ou de l’État, ou simplement qui font profession de le critiquer librement, peuvent logiquement avoir cette attitude vis-à-vis des distinctions qu’il dispense. Je ne pense pas que ça soit plus trotskiste que maoïste, ou plus qu’anar... rv1729 28 février 2012 à 21:10 (CET) Plus canard !
- Puisqu’on vous dit que c’est même pas réservé aux soixante-huitards... rv 28 février 2012 à 15:54 (CET)
- Merci, J'ai été très intéressé de voir que Roland Castro avait été en 1968 le fondateur de la Cause du Peuple ... avant effectivement de devenir sous Mitterrand un peu un architecte officiel, à l'instar des statues des commandeurs qu'il avait contribué à déboulonner vingt ans plus tôt. Si je comprends bien, ce type de posture intellectuelle (refus des grades, des récompenses, des cérémoniaux, de la stratification) ... appartenait plutôt aux maoïstes ? Ou ces points de vue étaient aussi partagés par les trotskistes ? Je regrette d'avoir une culture historique assez pauvre sur cette période ... Merci. --Yougo (d) 28 février 2012 à 13:08 (CET)
- Demandez, lisez La Cause du peuple, à défaut de trouver et d'éplucher tous les articles d'époque de ce journal et tant d'autres mon impression vécue est une salade composée du refus des valeurs bourgeoises (ou petites bourgeoises) très ancré dans les slogans (la simplicité des mots utilisés étaient très importante, le pouvoir en place ne disposait pas non plus, comme maintenant d'un groupe de riposte que sont les "communicants" pour faire dire aux mots tout et son contraire,un exemple: il a fallu quelques années de plus pour que les contestataires et gauchistes deviennent des casseurs) il y avait de la place pour la dialectique de gauche, un autre ingrédient était lié à la hiérarchie omniprésente avec son système émanant du modèle militaire, les grades et sous-grades représentaient une liste incroyable (il y a des restes dans les administrations) et d'une certaine façon cet empilement de fonctions, assorti de mini-cérémonies, ajouté à la haine réelle de l'uniforme chez beaucoup (pour les jeunes de 18-19 ans le service militaire obligatoire était devenu un symbole du pouvoir -dirigé par un général !- qu'il fallait mettre à terre), devenait aussi le symbole du travail récompensé (mais pas payé).
- La chose est assez simple : de longue date, les personnalités, partis et mouvements anarchistes ou révolutionnaires prônent le refus des honneurs décernés par le pouvoir en place ou, chez les anarchistes et libertaires, tout pouvoir (voir par exemple le cas du Canard enchaîné, plutôt libertaire, où dès sa fondation en 1915 l'acceptation d'un hochet de la République, y compris de la République des Lettres, était un motif d'exclusion du journal). Donc, sans préjuger du fait que Sartre a réellement refusé les honneurs ou s'est retrouvé dans le cas de devoir le faire, en tous les cas il n'est pas l'inspirateur de cette attitude. D'autant moins, en ce qui concerne les soixante-huitards, qu'un grande part d'entre eux s'inscrit dans les mouvements trotskistes ou anarchistes, lesquels détestaient Sartre, qui représentait pour eux le parangon du stalinisme puis, à partir du milieu des années 1960, du maoïsme, deux doctrines honnies.
- Là dessus, et comme exposé déjà plus haut, le temps passant les jeunes révoltés de 1968 devinrent souvent, dans les décennies 1980 et suivantes, les courtisans les plus empressés à parcourir les allées du pouvoir et à quémander hochets et prébendes. Ce qui est aussi dans la logique des choses : les jeunes réfractaires ou révolutionnaires ont une forte tendance, le temps passant, à devenir des vieux conservateurs ou réactionnaires. Soit dit en passant, on retrouve beaucoup plus d'ex «maos » que d'ex trotskos ou d'anars à courir après ces dépouilles. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 février 2012 à 09:50 (CET)
- Il existe un mot de Churchill sur le sujet des médailles : Never seek them, always accept them, and never wear them. Il y a plus d'ostentation dans le refus des honneurs que dans leur acceptation indifférente ; si on doit rire de la vanité de ceux qui recherchent les hochets, il faudrait rire également de ceux qui les refusent avec éclat. Apollon (d) 29 février 2012 à 17:41 (CET)
- Il existe aussi un mot de Churchill sur les négros : I do not agree that the dog in a manger has the final right to the manger even though he may have lain there for a very long time. I do not admit that right. I do not admit for instance, that a great wrong has been done to the Red Indians of America or the black people of Australia. I do not admit that a wrong has been done to these people by the fact that a stronger race, a higher-grade race, a more worldly wise race to put it that way, has come in and taken their place.
- On voit tout de suite de quelle haute autorité morale est ce meussieu Wiston. rv1729 1 mars 2012 à 19:56 (CET)
- Quand le sage désigne la Lune etc. Apollon (d) 1 mars 2012 à 22:41 (CET)
- Tiens, c’est pas mal ça, quand on se sait pas quoi répondre, on fait appel à un de ces bons vieux proverbes réputés chinois, on l’élise avec une désinvolture calculée, ça peut faire illusion. J’essaierai, à l’occcasion. Récemment, Michèle Audin a refusé la légion d’honneur, sans doute avec ostentation puis qu’elle s’en est expliquée dans une lettre ouverte [2] – et avec quelque raison de le faire. Je trouve que cette femme a une classe folle, et lire là-dessus ton semblant d’opinion appuyée sur une citation sans intérêt de l’affreux Churchill me fait l’effet d’un jet d’eau de javel sur une assiette de fraises, qu’est-ce que tu veux. rv1729 2 mars 2012 à 07:11 (CET)
- Il y a de bonnes raisons de refuser la légion d'honneur comme il y en a de bonnes de l'accepter, nous voilà bien avancés alors que nous parlions des positions de principe. Je pense que la recherche et le refus de principe des honneurs sont moralement équivalents et je crois qu'on peut pousser au bout l'équivalence : dans un cas on acquiert le symbole d'une consécration personnelle par une institution, l'Etat, reconnaissant par là même son autorité, dans l'autre cas... on fait exactement la même chose sauf que c'est devant l'autorité plus abstraite des idées à la mode. Entre la poursuite des honneurs et le rejet de principe des médailles, il n'y a qu'une différence de trône. Comme disait Sade, "le trône est du goût de tout le monde, et ce n'est pas le trône qu'on déteste, c'est celui qui s'y assoit." Apollon (d) 2 mars 2012 à 09:26 (CET)
- Je pense que suffisamment de liens ont été postés donnant accès à des textes argumentés pour que la platitude de tes opinions éclate dans toute sa fadeur. rv1729 3 mars 2012 à 16:02 (CET)
- Tellement fade que pour la contredire, tu nous expliques dans l'ordre que Churchill est rien qu'un sale raciste, puis qu'on connait une personne qui a refusé la médaille à raison (ce que personne ne nie), puis que mon argument est "fade". Bref aucune prise. Moi je crois à l'équivalence morale de la poursuite des honneurs et de leur refus de principe, je ne vois qu'une différence de trône devant lequel on vient s'agenouiller. Ta véhémence lorsqu'on touche à la croyance en la supériorité du refus des honneurs, est l'exact reflet de ce qui se passe dans le camp des amateurs de hochets, et ne peut que me servir d'illustration. Apollon (d) 3 mars 2012 à 16:34 (CET)
- Tu te méprends. Je ne crois pas à la supériorité du refus des honneurs (je pourrais citer des exemples, mais ça ferait un peu « je suis pas raciste j’ai un copain noir »...). Je crois simplement qu’on peut parfois avoir quelque raison de les refuser, et qu’on peut dans certains cas commettre quelque erreur à les accepter, comme l’explique par exemple fort clairement Edwy Plenel (lien posté beaucoup plus haut). À part ça, maintenant que tu assortis tes généralités sur le refus des honneurs d’un vague « sauf quand on a de bonnes raisons », il est en effet difficile de ne pas être d’accord, puisqu’on ne sait pas très bien ce qu’est ici une bonne raison... rv1729 4 mars 2012 à 15:39 (CET)
- Ravi qu'on soit d'accord. Apollon (d) 8 mars 2012 à 08:47 (CET)
- Tu te méprends. Je ne crois pas à la supériorité du refus des honneurs (je pourrais citer des exemples, mais ça ferait un peu « je suis pas raciste j’ai un copain noir »...). Je crois simplement qu’on peut parfois avoir quelque raison de les refuser, et qu’on peut dans certains cas commettre quelque erreur à les accepter, comme l’explique par exemple fort clairement Edwy Plenel (lien posté beaucoup plus haut). À part ça, maintenant que tu assortis tes généralités sur le refus des honneurs d’un vague « sauf quand on a de bonnes raisons », il est en effet difficile de ne pas être d’accord, puisqu’on ne sait pas très bien ce qu’est ici une bonne raison... rv1729 4 mars 2012 à 15:39 (CET)
- Tellement fade que pour la contredire, tu nous expliques dans l'ordre que Churchill est rien qu'un sale raciste, puis qu'on connait une personne qui a refusé la médaille à raison (ce que personne ne nie), puis que mon argument est "fade". Bref aucune prise. Moi je crois à l'équivalence morale de la poursuite des honneurs et de leur refus de principe, je ne vois qu'une différence de trône devant lequel on vient s'agenouiller. Ta véhémence lorsqu'on touche à la croyance en la supériorité du refus des honneurs, est l'exact reflet de ce qui se passe dans le camp des amateurs de hochets, et ne peut que me servir d'illustration. Apollon (d) 3 mars 2012 à 16:34 (CET)
- Je pense que suffisamment de liens ont été postés donnant accès à des textes argumentés pour que la platitude de tes opinions éclate dans toute sa fadeur. rv1729 3 mars 2012 à 16:02 (CET)
- Il y a de bonnes raisons de refuser la légion d'honneur comme il y en a de bonnes de l'accepter, nous voilà bien avancés alors que nous parlions des positions de principe. Je pense que la recherche et le refus de principe des honneurs sont moralement équivalents et je crois qu'on peut pousser au bout l'équivalence : dans un cas on acquiert le symbole d'une consécration personnelle par une institution, l'Etat, reconnaissant par là même son autorité, dans l'autre cas... on fait exactement la même chose sauf que c'est devant l'autorité plus abstraite des idées à la mode. Entre la poursuite des honneurs et le rejet de principe des médailles, il n'y a qu'une différence de trône. Comme disait Sade, "le trône est du goût de tout le monde, et ce n'est pas le trône qu'on déteste, c'est celui qui s'y assoit." Apollon (d) 2 mars 2012 à 09:26 (CET)
- Tiens, c’est pas mal ça, quand on se sait pas quoi répondre, on fait appel à un de ces bons vieux proverbes réputés chinois, on l’élise avec une désinvolture calculée, ça peut faire illusion. J’essaierai, à l’occcasion. Récemment, Michèle Audin a refusé la légion d’honneur, sans doute avec ostentation puis qu’elle s’en est expliquée dans une lettre ouverte [2] – et avec quelque raison de le faire. Je trouve que cette femme a une classe folle, et lire là-dessus ton semblant d’opinion appuyée sur une citation sans intérêt de l’affreux Churchill me fait l’effet d’un jet d’eau de javel sur une assiette de fraises, qu’est-ce que tu veux. rv1729 2 mars 2012 à 07:11 (CET)
- Quand le sage désigne la Lune etc. Apollon (d) 1 mars 2012 à 22:41 (CET)
- Il existe un mot de Churchill sur le sujet des médailles : Never seek them, always accept them, and never wear them. Il y a plus d'ostentation dans le refus des honneurs que dans leur acceptation indifférente ; si on doit rire de la vanité de ceux qui recherchent les hochets, il faudrait rire également de ceux qui les refusent avec éclat. Apollon (d) 29 février 2012 à 17:41 (CET)
- Faites votre choix ici Wikipédia:Décernez les lauriers et encore plus là Barnstars. --Doalex (d) 4 mars 2012 à 11:14 (CET)
- Pour conclure (?)
Économie : Produits nationaux
modifierBonsoir,
Cela peut-il avoir des inconvénients économiques de produire un maximum de choses au niveau national et d'encourager les citoyens à les consommer au lieu des produits d'importation ? 41.251.31.19 (d) 27 février 2012 à 23:31 (CET)
- Oui, dans le cas où la production est moins efficace dans le pays considéré que de celui importé, ou que l'accès aux matières premières est plus difficile par exemple. On peut penser à l'exemple de l'échange de vin et de draps développé par Ricardo dans le chapitre VII de Des principes de l'économie politique et de l'impôt. Cdt, Nicolas8241 (d) 28 février 2012 à 01:31 (CET)
- transposez votre question au niveau domestique et inversez là : quel avantage peut-il y avoir à tout faire soi-même en famille, au lui de faire appel à des spécialistes (médecin, mécanicien, agriculteur, cuisinier ...) qui ne sont pas de votre famille ? Voir division du travail. gem (d) 28 février 2012 à 13:01 (CET)
- Oui, voilà, les spécialistes du travail payé à coups de pieds au cul sont ailleurs ! Chez nous on sait pas faire, la faute à ces salauds de syndicats, donc on délègue. rv 28 février 2012 à 15:53 (CET)
- tu dis ça parce que c'est comme ça (à coups de pompe) que tu payes les gens, toi, mais seulement quand tu ne peux pas faire toi-même ? Tout le monde ne fais pas comme toi, tu sais ... par exemple je sais faire le ménage, mais je paye quand même qq'un pour ça : on ne peut pas tout faire, et on a même le droit de préférer ne rien foutre une partie de son temps. Tant qu'on paye, évidemment... gem (d) 28 février 2012 à 20:40 (CET)
- Oui, voilà, les spécialistes du travail payé à coups de pieds au cul sont ailleurs ! Chez nous on sait pas faire, la faute à ces salauds de syndicats, donc on délègue. rv 28 février 2012 à 15:53 (CET)
- transposez votre question au niveau domestique et inversez là : quel avantage peut-il y avoir à tout faire soi-même en famille, au lui de faire appel à des spécialistes (médecin, mécanicien, agriculteur, cuisinier ...) qui ne sont pas de votre famille ? Voir division du travail. gem (d) 28 février 2012 à 13:01 (CET)
- Salut. Pour une question de ce genre, c'est-à-dire aussi bien celle-là que celle inverse, « Y a-t-il des inconvénients à produire un minimum et à inciter à consommer des produits d'importation », et plus généralement pour toute question portant sur le commerce et l'économie, la réponse est : oui, il y a des inconvénients.
- Produire localement dans un État où le niveau des rémunérations est assez élevé et en tout cas, plus élevé que dans des États massivement exportateurs de biens manufacturés, permet d'augmenter la richesse globale des travailleurs, mais les biens mis sur le marché seront plus chers donc il n'y aura pas une augmentation du pouvoir d'achat global équivalente à l'augmentation de la rémunération globale. De l'autre côté, réduire la production locale implique de réduire la richesse globale des travailleurs, ce qui n'a d'intérêt que si la baisse de prix des biens importés vendus est supérieure à la baisse du revenu global.
- Bref, l'une et l'autre chose ont leur intérêt. Et au passage, la parabole de gem n'a pas d'intérêt dans ce cas car il compare deux choses incomparables : une société de 60 millions d'habitants qui a a priori les compétences et les talents nécessaires à produire localement, et un groupe familial restreint qui n'a a priori pas les capacités de tout faire par lui-même. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 février 2012 à 19:10 (CET)
- Le travail humain est une ressource rare. Lorsqu'un bien ou service est produit à l'étranger, cela libère du temps de travail au niveau national pour d'autres activités qui rempliront d'autres besoins et s'échangeront contre les biens qu'il n'est plus nécessaire de produire soi-même. En d'autres termes le commerce international permet une augmentation de la production et la libération de temps libre. En plus court, l'analogie de Gem est valable et pertinente. Apollon (d) 28 février 2012 à 19:44 (CET)
- Cette analogie paraît en effet pertinente : pourquoi faire la vidange de la bagnole alors qu’il y a Midas ? pourquoi se couper les cheveux alors qu’il y a des coiffeurs ? pourquoi repeindre le plafond pendant les vacances de Noël alors qu’il y a des peintres ? pourquoi faire le ménage alors qu’on peut prendre une femme de ménage ? pourquoi faire à manger alors qu’on peut acheter des plats surgelés ? pourquoi réparer la chasse d’eau qui fuit alors qu’on peut faire venir un plombier ? Et pendant que le plombier répare la chasse d’eau je peux continuer à faire ma biblio, à taper mon projet ANR, des tas de choses pour lesquelles je suis qualifié et que personne ne peut faire à ma place !
- Les versets de la vulgate libérale que viennent de nous ânonner en cœur Gem et Apollon font partie des plus connus, même des mécréants comme moi les connaissent par cœur. Il en est d’autant plus difficile de les réfuter. L’exemple de Gem a ceci de frappant qu’il permet de montrer à peu de frais les limites du raisonnement ; je le resservirai à l’occasion. En effet, chacun reconnaîtra dans les suggestions ci-dessus où sont ses propres limites, celles de sa famille, celles de ses amis ; et se demandera si ceux qui n’ont pas totalement rationalisé l’organisation des activités de leur famille ont fait une si grave erreur.
- Ajoutons encore une chose : l’hyper-spécialisation, d’abord des individus, et même des régions ou des nations, où nous pousse l’utopie libérale, a des conséquences néfastes qu’on balaie joyeusement sous le tapis. Il est certain qu’on est plus productif et efficace quand on n’effectue qu’une tâche, et qu’on la maîtrise à fond. Il est également certain que dans ce cas de figure on devient un zombie, on est bien moins heureux, et qu’on peut même finir par se suicider. Mais on s’en fout, l’essentiel est de rationaliser l’économie, youkaidi, youkaida.
- Les individus éclectiques sont bien plus agréables à vivre et bien plus heureux que les monomaniaques. Je crains qu’il n’en soit de même pour les familles, et pour les pays. On ne saura bientôt plus faire en France que des céréales, du pinard et des produits de luxe. Quelle belle perspective ! rv1729 28 février 2012 à 20:35 (CET)
- rassure-toi, on ne sera bientôt plus rien faire du tout, même pas du pinard (trop de boulot, trop cher). Encore la faute au turbo-ultra-libéralisme qui caractérise la France, et qu'on voit dans l'effondrement lamentable de la part des prélèvement obligatoire et de la dépense publique dans le PIB depuis 30 ans ... Oh. Wait. On ne souffle dans l'oreillette que les données ne colle pas au modèle. [blanc radiophonique]. Oui enfin bref, c'est la faute "l’utopie libérale", point barre. Na. Ça ne peut pas être la faute à la licorne rose invisible, quand même, tout le monde sais qu'elle existe, elle (alors qu'une utopie, c'est justement une chose inexistante). gem (d) 28 février 2012 à 20:49 (CET)
- Inutile de jouer sur les mots : une utopie n’existe pas, mais les gens qui croient qu’elle est possible et souhaitable, qui y adhèrent, les think tanks qui feraient tout pour la réaliser contre l’évidence, existent bien.
- Même pas. Pas au sens où tu l'exprimes. Il n'existe pas une utopie libérale, qui dirait comment la société doit être. on est hors sujet, là, mais je ne vais pas t'ignorer. Or donc :
- Le libéralisme n'est qu'une méthode : respecter chacun et les choix de chacun (je dis bien de "chacun", pas de "tous", je pense que tu saisis la nuance) ; quant à la société qui en résulte ... bien malin qui peut le deviner, et à vrai dire on s'en fout un peu ; il n'est pas exclut qu'elle contiennent, outre évidemment du mutualisme comme on en observe déjà, des doses fortes de communisme au sens le plus fort, type Kibboutz, mais tant que c'est libre, n'est-ce pas ...
- Et heureusement qu'il y a des gens qui feraient tout pour réaliser [des choses] contre l’évidence, ce sont les seuls qui peuvent réaliser ce qu'on croit impossible ; tant qu'il n'oblige pas les autres à les suivre, ils ne font que du bien. Et, justement, les fameux think tanks que tu visent n'imaginent pas t'interdire d'adhérer volontairement à tous ces machins qu'ils trouvent nuisibles. Par exemple et pour rester dans le sujet : si ça t'amuse d'adhérer au club des gens qui n'achètent que du 100 % made in France, c'est aussi libre que ceux qui ne veulent que du 0% OGM (évidemment, personne n'est forcé de mettre sur le marché du 0% OGM non plus, mais comme disait Coluche : "mais vous êtes cons, aussi, c'est de votre faute ; ils suffirait que les gens n'en achètent plus pour que ça ne se vendent pas !") . gem (d) 29 février 2012 à 16:06 (CET)
- À part ça, cher Gem, j’ai en effet failli ajouter une phrasounette du genre : « si au moins ceci ne s’accompagnait pas d’une défection de l’État qui se solde par la faillite de notre système éducatif... » (et je suis content de constater que tu es d’accord, tout chance de parler n’est donc pas perdue – mais de ta part, je le savais) – mais bon, quand bien même : une nation d’ingénieurs et de chercheurs, est-ce que ça te paraît raisonnable ? Pourquoi pas une nation de rentiers ?! On a de tout dans un pays. Et c’est invariable par changement d’échelle : un individu complet, entier, a un peu de tout en lui, idéalement il devrait savoir se démerder avec une perceuse, une poêle à frire, une scie sauteuse, un ballon, un balai brosse, un épluche-légumes, une guitare ou une flûte, il doit savoir apprécier la musique d’un poème d’Éluard et la féroce ironie de Proust, ainsi que la beauté formelle et austère d’un cours d’arithmétique, et l’étincelante foison d’un bouquin sur la phylogénie des espèces. Chacun échoue peu ou prou à quelques-un de ces divers exercices, mais qui n’est bon qu’à une chose n’est bon à rien – si tu me permets de retourner le poncif, qui est bien usé de l’autre côté ; ce côté là est neuf et me fera encore de l’usage. rv1729 28 février 2012 à 21:03 (CET)
- Sans main à actionner, un cerveau tourne à vide, et ne produit rien à part peut-être de la poésie et des mathématiques (et encore, c'est pas sûr) : pas d'ingénieur ni de chercheur sans usines, donc sans ouvriers ou techniciens de labo.
- reste qu'il y a un tropisme à mettre "libéralisme " à toute les sauces, spécialement quand c'est complétement hors sujet comme ici : d'une part, parce que la DIT n'a absolument rien à voir ni avec le libéralisme ni avec la mondialisation, étant pratiqué également en tout temps et en tout lieu sous tous les régime politiques, même ceux qui organisent une autarcie nationale ; d'autre part parce que de fait, le libéralisme n'a aucune influence en France, ni politique ni économique : c'est juste un croquemitaine du niveau de la licorne rose invisible ou de l'anarchiste couteau entre les dents et bombe à la main... gem (d) 29 février 2012 à 16:06 (CET)
- Et non seulement le libéralisme est hors-sujet ici mais si on cherche la source de la "monotonisation" de l'activité professionnelle, de la précarisation des jeunes, du stress au boulot, il faudra désigner une toute autre doctrine. Qui en France a fait la flexibilité, l'annualisation du temps de travail ? Qui a favorisé les grosses boites anonymes en augmentant un coût du travail qu'elles étaient les mieux placées pour encaisser ? Qui a bloqué l'accès des jeunes au travail en interdisant de les payer au prix du marché ? La rationalisation politico-économique de la vie humaine est une chose ignoble et sa ruse est de se cacher dans la roue des politiques qui prétendent s'opposer à cette logique. Apollon (d) 29 février 2012 à 17:36 (CET)
- Je maintiens que l'analogie ou parabole ou comparaison n'est pas pertinente parce que le type de nécessité pour augmenter le niveau de production de biens d'un État n'a rien à voir avec le type de nécessité pour qu'un groupe restreint puisse obtenir un ensemble de services spécialisés. Un État tel que la France, qui vivrait en autarcie, aurait un niveau de production bien moindre mais pourrait sans problème disposer de tous les services dont il dispose déjà. Une famille, même très large, qui vivrait en autarcie, non seulement aurait une productivité limitée mais ne pourrait en aucun cas disposer des services que même une communauté restreinte, disons, du niveau d'un canton, peut lui offrir. La question porte bien sur les « inconvénients économiques de produire un maximum de choses au niveau national » et non sur les inconvénients à ne pas disposer de certains services. Et il n'y a pas moyen de faire une analogie entre le fonctionnement d'un État et celui d'une famille qui puisse répondre à cette question. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 février 2012 à 21:19 (CET)
- Je la refais autrement : une frontière reste une ligne imaginaire, qu'on la trace sur le mode géographique (pays, ville, ...) ou sur le mode généalogique (peuple, nation, clan, famille élargie ou nucléaire). Les raisonnements qu'on peut tenir sont les mêmes. Si un groupe plus large a des compétences plus nombreuses, il a aussi des envies plus diverses, avec aucune raison pour que les deux se recouvrent (et de fait les envies non satisfaits pour lesquels on ferait appel aux martiens si c'était possible restent légions). gem (d) 29 février 2012 à 16:18 (CET)
- Même en suivant ton raisonnement, on doit déduire du fait que la production a diminué que les ménages les moins fortunés devront se priver, exactement de la même manière qu'un ménage qui voudrait tout produire lui-même devrait se priver de nombreux services. Démonstration par l'absurde de la justesse de l'analogie avec la famille. Apollon (d) 28 février 2012 à 21:56 (CET)
- Inutile de jouer sur les mots : une utopie n’existe pas, mais les gens qui croient qu’elle est possible et souhaitable, qui y adhèrent, les think tanks qui feraient tout pour la réaliser contre l’évidence, existent bien.
- rv a raison de soulever le problème de la rationalisation de l'activité économique et les pertes d'humanité qu'elle entraine sauf que...
- d'une part la rationalisation de l'activité économique par l'internationalisation du commerce, qui implique une spécialisation et donc une certaine perte de variété de la vie humaine, a pour pendant une augmentation de la production et donc la création de temps libre et d'emplois moins pénibles de sorte que la rationalisation économique qui suit le commerce international a des effets contradictoires sur la richesse intérieure de la vie humaine. La rationalisation de la vie économique que produit le commerce international n'est pas une rationalisation totale de la vie humaine, bien au contraire.
- D'autre part la rationalisation dans cette histoire n'est pas tant dans la réalité du commerce international que dans un projet politique qui déciderait de réorganiser la production de façon à consommer local. On peut trouver des défauts à notre contemporain mais en matière d'éclectisme, il en présente sans doute plus que nos ancêtres paysans à 95% ou les citoyens des systèmes politiques où a été opérée brutalement une véritable spécialisation des taches d'en haut. Apollon (d) 28 février 2012 à 21:52 (CET)
- rassure-toi, on ne sera bientôt plus rien faire du tout, même pas du pinard (trop de boulot, trop cher). Encore la faute au turbo-ultra-libéralisme qui caractérise la France, et qu'on voit dans l'effondrement lamentable de la part des prélèvement obligatoire et de la dépense publique dans le PIB depuis 30 ans ... Oh. Wait. On ne souffle dans l'oreillette que les données ne colle pas au modèle. [blanc radiophonique]. Oui enfin bref, c'est la faute "l’utopie libérale", point barre. Na. Ça ne peut pas être la faute à la licorne rose invisible, quand même, tout le monde sais qu'elle existe, elle (alors qu'une utopie, c'est justement une chose inexistante). gem (d) 28 février 2012 à 20:49 (CET)
- J'ai l'impression que la réponse à la question n'est pas économique mais politique.
- Il y a je crois plusieurs non-dits voire simplifications. Premièrement, on suppose que seul le secteur secondaire, celui de l'industrie, apporte de la richesse. Deuxièmement, on suppose que si on arrête d'importer sur une zone donnée, l'emploi dans cette zone va augmenter, ce qui fait fi des exportations. Troisièmement, on suppose que si il y a d'avantage d'emplois, il y a plus de richesse. Quatrièmement, on oublie les économies d'échelles, je n'ose imaginer les prix des voitures si on fabriquait des usines de 3 véhicules/jour. Cinquièmement, il ne faut pas oublier que ce discours est prononcé par un homme politique éligible à l'échelle d'un territoire donné. C'est-à-dire qu'un maire se battra pour qu'une nouvelle usine soit sur sa commune, un député sur son département, un président de la république sur son pays, un président européen sur l'Europe, un empereur terrestre sur sa planète... Bertrouf 2 mars 2012 à 03:53 (CET)
Recherche un film
modifierBonsoir,
Je cherche le titre d'un film (et pourquoi pas son article) que j'ai visionné il y à longtemps mais dont je ne me souviens que de brèves passages. L'histoire ressemble à peu près à ça : un homme évoluant dans une société futuriste ou tout les gens sont formatés dans le même idéal à l'aide de pilules qu'ils doivent ingérer quotidiennement décide d'arrêter de prendre les siennes. Cet homme au début du film fait partie d'une brigade d'intervention chargé de tuer les personnes qui veulent sortir "du moule". Pour nettoyer la ville, ce dernier est armé, et lors de ses interventions il effectue avec son arme de grands gestes de balayage afin de toucher le maximum de monde le plus rapidement possible. Au début du film, lors de son intervention on peut assister à un énorme blanc (le plus grand que je n'ai jamais vu dans un film) entre le moment ou il pénètre la pièce (dans le noir) et au moment ou il se met à tirer.
Merci ô Oracle d'éclairer ma mémoire.
- « Très longtemps », c’est combien de temps ? À la télé ou au cinéma ? Vous avez une idée de la date de sortie de ce film ? rv 28 février 2012 à 09:36 (CET) À vue de nez c’est un rimec violent de Fahrenheit 451...
- En 1966 peut-être ? Bertrouf 28 février 2012 à 10:27 (CET)
- Non, je connais ça, c'est Equilibrium. --Milena (Parle avec moi) 28 février 2012 à 10:28 (CET)
- J'aurais du préciser une estimation de la date en effet, la notion du temps est tellement subjective. Quoiqu'il en soit il s'agit bien d'Equilibrium, merci beaucoup à vous.
- Non, je connais ça, c'est Equilibrium. --Milena (Parle avec moi) 28 février 2012 à 10:28 (CET)
- En 1966 peut-être ? Bertrouf 28 février 2012 à 10:27 (CET)
Petite curiosité du petit patrimoine rural picard ?
modifierBonjour ! Encore un truc bien "curieux" ! Je suis intrigué depuis 3 mois par une sorte de petite trappe avec volets à 2 battants installée sous une fenêtre "normale" d'une vieille maison campagnarde de la Somme. Je n'ai jamais rien vu de semblable ! Je ne peux vous en proposer la photo directement puisque je l'ai découverte sur Flickr. Et ce cliché n'est pas sous licence compatible WP. Et puis, je n'ai pas envie de vous importuner en recopiant mes (toujours trop longues) interrogations ... que j'ai déjà formulées directement sur Flickr. Voir donc : http://www.flickr.com/photos/ronpic/4187876741/
Merci pour vos lumières ! Amicalement - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 28 février 2012 à 10:55 (CET)
- Je voterais pour un garde-manger : Isolé de la pièce d'habitation, plus au frais, mais à porté de main... --Serged/♥ 28 février 2012 à 11:26 (CET)
- Un wikt:comptoir, un étal? Pour vendre (du beurre, des oeufs, du pain) à la rue sans devoir ouvrir toute la fenêtre? J'ai vu un truc dans le genre associé à un atelier dans un bourg moyenâgeux. Cela permettait à l'artisan servir ses clients tout en poursuivant ses activités sans être trop dérangé. Mais je ne sais plus si c'était dans un bouquin, dans l'Oracle ou dans un documentaire à la TV... -- Xofc [me contacter] 28 février 2012 à 17:32 (CET)
- Merci à vous deux ! Tiens ... je n'avais pas pensé à une sorte de présentoir ou d'étal ! Hypothèse très intéressante ! Peut-être en effet cette trappe servait-elle à mettre à l'abri des pots-au-lait, du beurre ou des oeufs ! Les clients pouvaient donc récupérer leur "commande" en cas d'absence des fermiers (travaux des champs ou courses "en ville"). Amicalement - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 29 février 2012 à 10:44 (CET)
- Question à poser ici [3] ? Le détail que je retiens c'est que les 2 fixations métalliques (terme approximatif) externes, sur la partie inférieure et de part et d'autre, indiquent que ces battants étaient ouverts une grande partie de la journée, l'autre photo est intéressante également Panoramio.--Doalex (d) 2 mars 2012 à 17:30 (CET)
- Merci à vous deux ! Tiens ... je n'avais pas pensé à une sorte de présentoir ou d'étal ! Hypothèse très intéressante ! Peut-être en effet cette trappe servait-elle à mettre à l'abri des pots-au-lait, du beurre ou des oeufs ! Les clients pouvaient donc récupérer leur "commande" en cas d'absence des fermiers (travaux des champs ou courses "en ville"). Amicalement - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 29 février 2012 à 10:44 (CET)
- Un wikt:comptoir, un étal? Pour vendre (du beurre, des oeufs, du pain) à la rue sans devoir ouvrir toute la fenêtre? J'ai vu un truc dans le genre associé à un atelier dans un bourg moyenâgeux. Cela permettait à l'artisan servir ses clients tout en poursuivant ses activités sans être trop dérangé. Mais je ne sais plus si c'était dans un bouquin, dans l'Oracle ou dans un documentaire à la TV... -- Xofc [me contacter] 28 février 2012 à 17:32 (CET)
structure E.Leclerc
modifierBonjour, je dois rendre un devoir d'éco droit pour la rentrée. Qui consiste a faire le portrait d'une entreprise. J'ai choisit le Leclerc, mais je ne trouve pas d'informations sur sa structure... ce qu'il me faudrait c'est son organigramme, avec le gérant du groupe, les sous directeurs, enfin tout les postes importants. Merci d'avance.
- Un début de réponse :
- Mais aussi:
Mathias Jean Aristide Zhendre
modifierBonjour auriez-vous des informations complémentaires à celles que l'on trouve sur Google et Google livres sur Mathias Jean Aristide Zhendre qui fut maire de La Villette ? Voila un résumé de ce que j'ai déjà trouvé : Deux élèves du lycée Napoléon sont cités comme ayant reçu des accessits en 1809. Ce sont Alexandre Edme Donat Zhendre né à Paris et Mathias Jean Aristide Zhendre, né lui aussi à Paris. Ce sont vraisemblablement eux qui sont répertoriés par l’Almanach du commerce de Paris de 1811 comme négociants d’eaux de vie à Paris. Mathias Jean Aristide fut reçu en 1814 à l’école Polytechnique, mais ne s’est pas présenté à l’école. Il fut maire de La Villette et entrepreneur de transports. Les frères Zhendre sont cités à plusieurs reprises dans la littérature judiciaire du milieu du XIXe siècle pour des litiges commerciaux. En 1852 un A. Zhendre se suicida, à Paris. Le musée Vivenel à Compiègne conserve une sculpture signée Zhendre, de même que jadis la bibliothèque royale de Stockholm. Merci d'avance. Philippe Nusbaumer (d) 28 février 2012 à 16:16 (CET)
- Ces quelques données généalogiques sur les deux frères ont l'air assez sérieuses et sont en partie recoupées par la fiche polytechnicienne de l'aîné. Un peu maigre, certes, mais peut-être une piste ? Mu (d) 29 février 2012 à 13:47 (CET) PS. Le lien direct ne semblant pas marcher, il faut aller dans la rubrique Famille polytechnicienne et taper Zhendre. - Mu (d) 29 février 2012 à 13:51 (CET)
- Merci beaucoup. Philippe Nusbaumer (d) 1 mars 2012 à 00:15 (CET)
Bobby Lapointe et Framboise
modifierBonjour,
dans la chanson Framboise de Bobby Lapointe, je cherche en vain une contre-pétrie ou un jeu de mots sur la phrase: Avanie et Framboise Sont les mamelles du Destin! , transformée dans le dernier passage en Avanie et mamelles Sont les framboises du Destin! . D'ailleurs, je veux bien une explication des autres jeux de mots du texte (ormis Angevine de poitrine et Antibaise que je comprend), parce que bon, je suis nul a ces jeux là. Existe t il un site qui répertorie les contre-pétries de Bobby Lapointe ? -- Kormin (d) 28 février 2012 à 17:01 (CET)
- la règle d'or du contrepet est de ne JAMAIS dévoiler la solution du contrepet, c'est comme pour le fight club... Le jeu de mot par contre avec la glace vanille-framboise est clair comme de l'eau de source. http://www.allthelyrics.com/fr/lyrics/boby_lapointe/ Je te conseille je suis né au Chili qui est vraiment formidable. (et un cadeau : Oh, que votre verbe m'agite...) Cobra Bubbles°°° Dire et médire 28 février 2012 à 18:58 (CET)
- Pas marrant :( Je suis trés mauvais a ce jeu là. Je préfère rester ignorant, si je tente de comprendre, je vais m'énerver ^^.-- Kormin (d) 28 février 2012 à 19:58 (CET)
- Pas grave, il n’y a pas vraiment de contrepèteries dans cette chanson, plutôt des calembours et des à-peu-près, rien de caché.Morburre (d) 28 février 2012 à 20:04 (CET)
- C'est pas vraiment comme dans celle là « Le bateau de mon oncle est plus grand que Rome » ... --Yelkrokoyade (d) 28 février 2012 à 20:09 (CET)
- Voir ces 2 pages, pour quelques compléments : hip et hop - Bonne lecture ! Amicalement - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 29 février 2012 à 16:52 (CET)
- C'est pas vraiment comme dans celle là « Le bateau de mon oncle est plus grand que Rome » ... --Yelkrokoyade (d) 28 février 2012 à 20:09 (CET)
- Salut, j'ai entendu à la radio très récement l'explication précise, mais je m'en rapelle plus. quelques bribes, faut regarder du coté de la mythologie grecques, je cite wikipedia, "Par sa forme, la framboise est associée aux tétons. Selon la légende, le fruit tirerait sa couleur rouge du sang d'Ida, fille du roi de Crète et nourrice de Zeus, qui voulant calmer celui-ci, lui aurait cueilli des framboises jusqu'alors de couleur blanche, se serait griffé le sein qui en saignant aurait coloré les fruits." le rapport mamelles-framboise. Bien sur j'explique très mal
- Pas grave, il n’y a pas vraiment de contrepèteries dans cette chanson, plutôt des calembours et des à-peu-près, rien de caché.Morburre (d) 28 février 2012 à 20:04 (CET)
- Pas marrant :( Je suis trés mauvais a ce jeu là. Je préfère rester ignorant, si je tente de comprendre, je vais m'énerver ^^.-- Kormin (d) 28 février 2012 à 19:58 (CET)
demande
modifierComment vaut-il faire pour participer a l'armée — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 41.82.139.89 (discuter), le 28 février 2012 à 17:31 (CET)
- Regarder du côté de Forces armées du Sénégal? (ou demander à un militaire ou un gendarme). -- Xofc [me contacter] 28 février 2012 à 17:42 (CET)
- Pour la seconde suggestion, ils sont très occupés en ce moment et l'incertitude qui en découlera mérite que l'on attende un peu. --Doalex (d) 2 mars 2012 à 15:55 (CET)
probleme de droit
modifierBonsoir, pouriez vous m'aider a resoudre un petit probleme? mon probleme c'est es-ce normale que mon employeur me refuse mes congés a moins de quinze jour de la dattes prevu? alors que je lui est donne mes dates de congé environ deux mois avent?
- Cela dit, il me semble qui malheureusement, oui c'est légal... C'est d'ailleurs une demande de congés qu'on fait, pas une annonce de congés. Renseignez-vous chez vos délégués du personnel ou délégués syndicaux. (Mitch)2 28 février 2012 à 19:34 (CET)
- Le Code du travail (art. L3141-14) précise que « [l']ordre [de départ en congé] est fixé par l'employeur après avis, le cas échéant, des délégués du personnel », cependant « pour fixer l'ordre des départs, l'employeur tient compte » de certaines situations particulières contraignant tel employé à les prendre à une certaine date. Mais il est précisé que ce schéma vaut « à moins que l'ordre des départs ne résulte des stipulations des conventions ou accords collectifs de travail ou des usages ». Cependant il est indiqué dans l'article L3141-15 que « sauf en cas de circonstances exceptionnelles, l'ordre et les dates de départ fixés par l'employeur ne peuvent être modifiés dans le délai d'un mois avant la date prévue du départ ».
- Pour rappel et comme précisé ci-dessus, l'Oracle ne donne pas d'avis juridiques, ce ne sont que des pistes et comme le dit (Mitch), le meilleur conseil viendra d'un délégué du personnel, à même de connaître la situation propre à ton entreprise. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 février 2012 à 11:53 (CET)
- CQui (d) Conseil perso, toujours avoir une validation des dates de congés par ecrit, meme si cela ne protege pas de l'imprevu et n'est pas toujours possible... --2 mars 2012 à 14:49 (CET)
torquemada
modifierje viens d'netendre cette phrase : "fallait-il choisir entre omerta et torquemada (ou torquevard ?)", autant je sais ce qu'est l'omerta pouvez-vous me dire ce qu'est torquemada, et d'où viens ce mot ? merci--Le ciel est par dessus le toit (d) 28 février 2012 à 19:52 (CET)
- wikipédia est bien utile : Tomás de Torquemada. Apollon (d) 28 février 2012 à 19:57 (CET)
- Je veux bien, mais je ne vois pas le rapport--Le ciel est par dessus le toit (d) 28 février 2012 à 20:31 (CET)
- Choisir entre tout taire (et encourager le silence), et tout dire (et faire parler à tout prix). L’expression ne paraît pas très heureuse, je pense qu’il s’agit d’une invention sans grand avenir. rv1729 28 février 2012 à 20:38 (CET)
- Merci bien rv.--Le ciel est par dessus le toit (d) 28 février 2012 à 20:54 (CET)
- Choisir entre tout taire (et encourager le silence), et tout dire (et faire parler à tout prix). L’expression ne paraît pas très heureuse, je pense qu’il s’agit d’une invention sans grand avenir. rv1729 28 février 2012 à 20:38 (CET)
- Je veux bien, mais je ne vois pas le rapport--Le ciel est par dessus le toit (d) 28 février 2012 à 20:31 (CET)
Des fourchettes à gâteau et à dessert.
modifierDans l'émission Karambolage de ce dimanche sur Arte ([http://videos.arte.tv/fr/videos/karambolage-6418066.html émission pouvant être visionnée en streaming sur Arte + 7 jusqu'au samedi 3 mars), la fourchette à gâteau y est décrite comme typiquement allemande.
Quelle est la différence entre une fourchette à gâteau et à dessert ? Il semblerait a priori que la fourchette à dessert soit une simple petite fourchette à 4 dents, au lieu de la fourchette à 3 dents dont une dent-couteau. Mais difficile de trouver des sources pour confirmer cela. --Dereckson (d) 28 février 2012 à 21:26 (CET)
- Sur le site de Vega, la fourchette à dessert a 4 dents et la fourchette à gâteau en a 3. Pas de dent-couteau systématique. gateau dessert. Je ne trouve pas les historiques. Bertrouf 29 février 2012 à 04:11 (CET)
- De plus, la fourchette à gâteau a toujours les dents aplaties, tandis que celles de la fourchette à dessert peuvent être arrondies en fonction du design des couverts. La fourchette à gâteau fait partie des objets conçus pour être utilisés par des droitiers et dont l'usage par les gauchers est malaisé ! J'ai trouvé des couverts à poisson pour gauchers, mais pas de fourchettes à gâteau… ni de sources… - Cymbella (répondre) - 29 février 2012 à 22:16 (CET)
- Dans la mesure où les droitiers sont censés utiliser le couteau en main droite et la fourchette en main gauche, selon la disposition classique des couverts, c'est un objet conçu au contraire pour les gauchers, qui ont la fourchette en main droite. gem (d) 1 mars 2012 à 10:12 (CET)
- CQui (d) Je milite pour les couverts ambidextres. -1 mars 2012 à 09:44 (CET)
- Pas moi. Je préfère m'adapter. C'est plus rigolo. gem (d) 1 mars 2012 à 10:12 (CET)
- De plus, la fourchette à gâteau a toujours les dents aplaties, tandis que celles de la fourchette à dessert peuvent être arrondies en fonction du design des couverts. La fourchette à gâteau fait partie des objets conçus pour être utilisés par des droitiers et dont l'usage par les gauchers est malaisé ! J'ai trouvé des couverts à poisson pour gauchers, mais pas de fourchettes à gâteau… ni de sources… - Cymbella (répondre) - 29 février 2012 à 22:16 (CET)
BLASON de SAINT MONT dans le GERS
modifierBonjour à tous,
J'ai découvert le blason de Saint-Mont dans le GERS dessiné par le contributeur TomKr.
A-t-il reproduit à l'identique le blason original de ce village qui se trouve dans l'ARMORIAL d'HOZIER. (je n'arrive malheureusement pas à le trouver)
Merci beaucoup pour votre aide.
Amandil
- Le plus simple serait de lui demander sur sa page de discussion, ou aussi là, en espérant qu'il contribue encore, et sinon de communiquer avec la mairie, dont le no de téléphone est indiqué sur cette page. Dhatier jasons-z-en 28 février 2012 à 22:45 (CET)
Comparaison entre IRL et WP quant aux avis
modifierBonsoir. Non je ne blague pas, je suis même dans l'urgence d'une réponse, ce qui fait que je compte franchement sur l'ensemble des pythies pour dénicher dans leurs sources ou sur le web, parce que vous serez ensemble plus efficace que moi seule, la réponse à cette question : lors d'une enquête publique en matière de procédure de classement d'un bâtiment comme monument historique en Wallonie, comment les écrits positifs et négatifs peuvent-ils être appréciés par les pouvoirs publics ? Autrement dit, est-ce comme sur WP lors d'un vote où les votes/avis négatifs peuvent compter davantage que les positifs ? Autrement dit, quels sont les critères des administrations wallonnes pour apprécier les avis émis par le public ? Merci infiniment pour vos réponses, --Égoïté (d) 29 février 2012 à 00:03 (CET)
- À mon avis, tout se passe à l'influence; la démocratie est un leurre. (Cela dit, quelques citoyens décidés sont parvenus à retarder l'aménagement de la Place Saint-Lambert pendant plusieurs décennies. Heureusement que l'on ne leur a pas envoyé la facture.) -- Xofc [me contacter] 29 février 2012 à 11:58 (CET)
- J'ai comme dans l'idée que ça a un rapport avec la Ferme castrale de Hermalle-sous-Huy
- En cherchant un peu j'ai repéré un site intéressant sur ces questions, http://www.bibliotheque.auf.org/ et notamment les documents PDF sur le cadre légal et sur les effets de la protection. Dans ce dernier, sur la partie concernant la Belgique on peut voir que le processus est assez similaire à celui en vigueur en France : l'enquête publique est consultative mais doit servir, je suppose aux autorités locales pour constituer le dossier de classement qui sera soumis à l'autorité compétente, pour la Wallonie la Commission royale des monuments, sites et fouilles de la Région wallonne. De toute manière, en France et, je suppose, en Wallonie, dans les enquêtes publiques les parties débat public et consultation sont précisément consultatives, les décisions se prenant ailleurs. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 février 2012 à 13:28 (CET)
- Dans les années 1980, càd avant la régionalisation de la Commission royale des monuments et sites, j'ai siégé en tant que membre correspondant au comité provincial de Liège de ladite commission. Je me souviens que les dossiers étaient présentés par un membre qui pouvait être soit l'initiateur de la demande, soit quelqu'un qui avait accepté de se charger du dossier établi par un tiers ; après des questions éventuelles, on votait à main levée. Sauf erreur de ma part, le dossier était alors transmis à la commission centrale à Bruxelles qui suivait habituellement l'avis du comité provincial, puis il fallait encore la signature de ministre pour promulguer l'arrêté de classement. Mais c'était il y a 30 ans et les comités provinciaux ont disparu avec la régionalisation… et comme le dit Xofc, tout est politisé… Dans un autre ordre d'idées, le dossier du pont de Tilff en est un autre exemple [4] ! - Cymbella (répondre) - 29 février 2012 à 14:01 (CET)
- Ah oui, bien sûr : dans tous ces systèmes « l'autorité compétente » dont je parlais n'est pas décisionnaire, et ses avis seront plus ou moins suivis, selon l'ambiance du moment. Pour la Belgique je ne sais pas mais j'imagine qu'on assiste à la même dégradation quant au respect des avis de ces autorités que ce qu'on voit en France, concomitante à la dégradation des processus démocratiques des ces trois derniers lustres, après un optimum atteint au tournant des décennies 1980-1990. La « politisation » évoquée par Cymbella et Xofc serait plutôt, d'un sens, une forme de dépolitisation, si l'on considère que la politique c'est avant tout la régulation des intérêts divergents d'une société en vue de servir au mieux l'intérêt commun ; cette politisation est au contraire une forme de dérégulation au service de certains groupes et au détriment des autres. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 février 2012 à 14:20 (CET)
- Dans les années 1980, càd avant la régionalisation de la Commission royale des monuments et sites, j'ai siégé en tant que membre correspondant au comité provincial de Liège de ladite commission. Je me souviens que les dossiers étaient présentés par un membre qui pouvait être soit l'initiateur de la demande, soit quelqu'un qui avait accepté de se charger du dossier établi par un tiers ; après des questions éventuelles, on votait à main levée. Sauf erreur de ma part, le dossier était alors transmis à la commission centrale à Bruxelles qui suivait habituellement l'avis du comité provincial, puis il fallait encore la signature de ministre pour promulguer l'arrêté de classement. Mais c'était il y a 30 ans et les comités provinciaux ont disparu avec la régionalisation… et comme le dit Xofc, tout est politisé… Dans un autre ordre d'idées, le dossier du pont de Tilff en est un autre exemple [4] ! - Cymbella (répondre) - 29 février 2012 à 14:01 (CET)
Merci pour vos réponses. Vous en saurez plus ici et si ça dit à ceux qui connaissent la Ferme ( Olivier ) d'intervenir, qu'ils n'hésitent pas ! Amclt, --Égoïté (d) 29 février 2012 à 14:23 (CET) (conflit d'éd.)
une question d'anatomie...
modifierBonsoir l'oracle ; quelle est la différence entre le muscle tenseur du fascia lata et le tractus ilio-tibial ? Peut-on dire tout au moins que l'un est le prolongement de l'autre ? Et le tractus est-il considéré à proprement dit comme un muscle ? Merci.
- Mes connaissances en anatomie remontent loin, très loin... Mieux vaut consulter Muscle tenseur du fascia lata (le schéma est assez clair me semble-t-il), voire questionner les auteurs de cet article. Bien à vous, --Égoïté (d) 1 mars 2012 à 19:06 (CET)
Terre du Fey
modifierSalut. Quelqu'un sait-il où se situait au début du XVIIIe siècle la « terre du Fey, en l'archevêché de Paris » ? Cordialement. HaguardDuNord (d) 29 février 2012 à 21:34 (CET)
- Trouvé : Notice no IA78000977. Désolé du dérangement ! HaguardDuNord (d) 29 février 2012 à 22:29 (CET)
Bellone et Plon-Plon
modifierBonjour, Je cherche des informations complémentaires sur cette statue de Bellone (en plus du peu que j'ai pu trouver et que j'ai mentionné sur la page de description de l'image). Notamment, qui l'aurait réalisée. Les sites qui devraient être parmi les premiers à le savoir semblent l'ignorer ou sont silencieux à ce sujet [5], [6]. A-t-elle été faite d'après le croquis d'E.-É. Taché [7] ou indépendamment (ou encore serait-ce le croquis qui aurait pu être fait d'après la statue) ? Accessoirement, la statue serait un don d'un Jérôme-Napoléon, mais lequel ? S'agit-il de Plon-Plon ? (Et si oui, le site du gouvernement du Canada est-il dans l'erreur en parlant de l'oncle de Napoléon III plutôt que de son cousin?) Et quel lien possible y a-t-il entre Taché, le sculpteur et Jérôme ? Merci d'avance pour l'aide. -- Asclepias (d) 1 mars 2012 à 02:34 (CET)
- Salut. Sans le jurer, il semble que ce soit ce Jérôme Bonaparte-ci, décrit dans cette page comme le « prince français Jérôme-Napoléon, oncle de l’empereur Napoléon III ». Laquelle page est d'ailleurs très instructive pour ta recherche, même s'il n'y a pas la réponse à toutes tes questions. On y cite notamment les maitres d'ouvrage pour l'érection du monument. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 09:54 (CET)
- Bon... Sur la question du Jérôme qui fit ce don, ça n'est pas clair : même si le frère de Napoléon I° vivait en 1860 (année de sa mort justement) il semble finalement douteux que le don vienne de lui, d'autant que plusieurs sources indiquent que ce don est en lien avec la visite de Plon-Plon au Québec dans ces années-là (voir cet article entre autres). Par contre, il semble impossible de trouver la moindre information sur le sculpteur et le fondeur. J'envoie un courriel au site de la Commission des champs de bataille nationaux pour obtenir l'info (si du moins ils en disposent...) et relaierai la réponse ici. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 10:30 (CET)
- Merci. On trouve en effet dans l'article de Gaudet mention du don par Jérôme-Napoléon l'année suivant sa visite de 1861. -- Asclepias (d) 1 mars 2012 à 11:37 (CET)
- Hmmm... Voici la réponse de l'historienne archiviste de la CCBN : « Je suis désolée mais je n’ai pas cette information »... Bon ben, reste plus qu'à la trouver ailleurs -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 18:39 (CET)
- Ok, merci pour la tentative. Leur avais-tu par la même occasion signalé l'erreur de leur site à propos du lien de parenté ? -- Asclepias (d) 1 mars 2012 à 18:44 (CET)
- Ah ben j'avais oublié, mais c'est réparé, je l'indique dans mon courriel de remerciement. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 19:50 (CET)
- Ok, merci pour la tentative. Leur avais-tu par la même occasion signalé l'erreur de leur site à propos du lien de parenté ? -- Asclepias (d) 1 mars 2012 à 18:44 (CET)
- Hmmm... Voici la réponse de l'historienne archiviste de la CCBN : « Je suis désolée mais je n’ai pas cette information »... Bon ben, reste plus qu'à la trouver ailleurs -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 18:39 (CET)
- Merci. On trouve en effet dans l'article de Gaudet mention du don par Jérôme-Napoléon l'année suivant sa visite de 1861. -- Asclepias (d) 1 mars 2012 à 11:37 (CET)
Article non présent sur Wikipédia France
modifierBonjour, Je cherche des informations sur mon village d'origine (Trofa-Agueda au Portugal). Aucun article n'y fait référence. En poursuivant mes recherches, j'ai trouvé un article y faisant référence sur Wikipédia en Portugais. Serai t-il possible de le transférer sur Wikipédia France afin de le consulter facilement et d'y apporter, pourquoi pas ma contribution.
Merci pour l'attention portée à ma requête. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 92.156.0.196 (discuter), le 1 mars 2012 à 11:18
Cordialement.
- Salut 92.156.0.196 (d · c · b), je suppose qu'il s'agit de Trofa (Águeda). C'est possible, et tu peux le faire toi-même en traduisant l'article, d'autant si tu as une bonne connaissance du portugais, Wikipédia est une encyclopédie collaborative où toute contribution est bienvenue. D'ailleurs,
- Merci pour ta suggestion et bon courage pour la création de l'article -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 12:29 (CET)
- Et désolé pour ceux qui lisent ceci sans cesse mais il vaut mieux toujours le rappeler lorsque ça ne semble pas forcément évident pour tous: "Wikipédia France" ça n’existe pas. Il y a Wikipédia (dont ici Wikipédia en français, ou Wikipédia francophone) et l’association Wikimédia France (cliquer sur les liens pour plus d'informations ) Cordialement, --Floflo (d) 1 mars 2012 à 13:07 (CET)
Ferrocyanure de potassium (Prussiate jaune)
modifierBonjour, l'article de Wikipedia consacré à ce sel précise que "chauffé il se décompose notamment en cyanure d'hydrogène très toxique (HCN)"
Une autre source (livre de Claude Guillon - 1982) précise que si on calcine du prussiate jaune dans un contenant métal, on obtient du carbure de fer et du cyanure;
- du cyanure de potatium
Pourriez vous avoir l'obligeance de me préciser les conditions de ces chauffages et pourquoi cette différence d'analyse?
Bien à vous.
- Il est très probable déjà que le récipient "métallique" soit en acier (ou à forte teneur en fer) pour que le composé obtenu soit du carbure de fer. En outre, il y a en jeu des phénomènes d'affinité entre les réactifs présents. Là sans doute l'affinité du carbone pour le fer est plus importante que celle du carbone pour l'hydrogène et l'azote. Un chimiste aguerri pourra sans doute nous apporter plus d'infos (avec peut être des chiffres). Mitch-Mitch 1 mars 2012 à 17:01 (CET)
- il n'y a pas de différence d'analyse : les deux sources indiquent que la chaleur provoque une décomposition avec production d'ion cyanure, qui, toujours sous l'effet de la chaleur et parce qu'il y a aussi présence d'eau (le prussiate est généralement trihydraté), provoque un dégagement de cyanure d'hydrogène : CN- + H2O -> HCN + OH-. Le récipient métallique qui sert à la calcination sera attaqué par ce HCN (acide fort), et ceci, je le précise pour Mitch-mitch, aussi bien si il n'est pas en acier ou en fer
- la seconde source est plus précise puisqu'elle indique un autre composé obtenu par la décomposition : du carbure de fer. Je n'en sais pas assez pour dire ce que deviennent les autres éléments participant à la réaction ; je pense naturellement à de l'azote, et cette source [8] trouvée par une recherche "prussiate carbure de fer" me conforte.
- gem (d) 1 mars 2012 à 17:49 (CET)
- Oui, en effet j'ai été un peu rapide dans ma lecture de la question; je n'ai pas fait tilté sur le fait que le ferrocyanure de potassium contient du fer, d'où ma déduction sur la nature du récipient! Mitch-Mitch 2 mars 2012 à 15:59 (CET)
à propos du dictionnaire
modifierBonjour à tous !
Je voudrais simplement savoir QUI s'occupe d'un dictionnaire ? Qui est chargé de l'actualiser ? Cela fait une éternité que je cherche la réponse à cette question, et je n'en trouve pas la réponse.
Aussi, je vous saurai infiniment gré de bien vouloir me communiquer la réponse, si "vous l'avez sur vous"... Parce que moi, j'ai eu beau chercher sur internet, je n'ai abouti à rien.
Merci d'avance, Mlle Chenuet
- Les lexicographes employés par les maisons qui éditent les dictionnaires. Par exemple, aux Dictionnaires Le Robert ou aux Éditions Larousse. Pour le Wiktionnaire, c'est vous ou moi, des lexicographes bénévoles comme les encyclopédistes de Wikipédia. -- Xofc [me contacter] 1 mars 2012 à 18:54 (CET)
- Et je crois que l’Académie française emploie également des lexicographes qui préparent le terrain à ces messieurs (les académiciens). Ceux-ci relisent, approuvent ou corrigent. rv1729 1 mars 2012 à 19:29 (CET)
- Ça dépend aussi du type de dictionnaire : pour un dictionnaire encyclopédique, outre des lexicographes ont s'adjoint les services de spécialistes des sujets traités pour les articles qui donnent lieu à des développements encyclopédiques. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 mars 2012 à 19:36 (CET)
- Et je crois que l’Académie française emploie également des lexicographes qui préparent le terrain à ces messieurs (les académiciens). Ceux-ci relisent, approuvent ou corrigent. rv1729 1 mars 2012 à 19:29 (CET)
Texte de l’arrêté français du 4 novembre 1993
modifierBonsoir,
Dans Wikipédia:Le Bistro/1 mars 2012#Venezuela/Vénézuela, Guatemala/Guatémala je viens de m’apercevoir que le Venezuela manquait dans Arrêté français du 4 novembre 1993 relatif à la terminologie des noms d’États et de capitales#Liste annexée UVWXYZ.
En descendant l’historique de Arrêté français du 4 novembre 1993 relatif à la terminologie des noms d’États et de capitales il ne semble pas qu’il s’agisse d’un vandalisme comme je l’avais d’abord cru mais que le Venezuela a bel et bien été oublié...
Dans Arrêté français du 4 novembre 1993 relatif à la terminologie des noms d'États et de capitales#Bibliographie j’avais pris le soin de noter la source utilisée, qui est : « L'arrêté du 4 novembre 1993 (Journal officiel du 25 janvier 1994) est reproduit (pages 299 à 313) dans le livre intitulé Dictionnaire des termes officiels de la langue française édité (édition de janvier 1994) par le Journal officiel ( (ISBN 2-1107-3499-X) - (ISSN 0767-4538)). Cette publication contient la liste annexée à l'arrêté. »
Le problème est que je n’ai plus accès à cette publication (je précise que cette publication avait été recopiée à la main).
Qui donc est aujourd’hui à même de consulter le texte de cet arrêté (et surtout de sa Liste annexée) ?
Cela permettrait de rétablir la ligne concernant le Venezuela.
Merci d’avance pour ce que vous pourriez tenter. Alphabeta (d) 1 mars 2012 à 20:23 (CET)
- Bonjour, On peut noter que le Venezuela est précisément l'exemple utilisé dans le paragraphe 3 de l'article 2 de l'arrêté en question. On le trouve aussi à cette page du tableau. -- Asclepias (d) 1 mars 2012 à 20:45 (CET)
- Merci. On reste confondu par tant d’efficacité et tant de célérité. Alphabeta (d) 1 mars 2012 à 21:14 (CET)
- J’aurais en fait pu me débrouiller tout seul, en consultant Arrêté français du 4 novembre 1993 relatif à la terminologie des noms d’États et de capitales#Liens externes. Mais voilà je me souvenais avant tout d’avoir travaillé à partir d’un livre. Re-merci donc de m’avoir fait gagner du temps... Alphabeta (d) 2 mars 2012 à 15:42 (CET)
- Merci. On reste confondu par tant d’efficacité et tant de célérité. Alphabeta (d) 1 mars 2012 à 21:14 (CET)
DVI-D -> VGA
modifierBonjour l'Oracle,
En fait, je viens d'acheter un nouveau moniteur afin d'en avoir deux sur mon portable. Seul problème, j'ai pas fait gaffe aux connectiques, et l'écran a comme sortie un cable DVI-D (single link), alors que mon portable a uniquement une entrée VGA. Et j'ai donc commencé à fouiller le web pour savoir s'il y avait moyen de faire un adaptateur DVI-D femelle -> VGA mâle maison avec mes petits doigts. Et je bute sur deux questions.
1) DVI-D c'est du numérique, alros que VGA c'est de l'analogique. En gros, mon cable DVI-D n'a que les fils pour "digital red blue green +/1", et n'a pas les "analogic red, blue, green", alors que c'est le contraire sur le VGA. Ça va poser un problème j'imagine ? J'ai l'impression qu'un sucre ne va pas permettre de faire le lien.
2) Si je me met à charcuter les cablasses, même si j'ai des petits doigts agiles, je vais souffrir pour différencier me 15 cables dans une gaine de moins d'un centimètre de diamètre ?
Merci d'avance d'avoir pris le temps de me lire
Spoutnik16 (d) 2 mars 2012 à 18:23 (CET)
- L’article Digital Visual Interface me semble clair à ce propos : pas de conversion possible. Si c’est un achat neuf, le retour au vendeur me paraît de très très très loin la solution la plus simple (en fait c’est probablement la seule). rv1729 2 mars 2012 à 19:58 (CET) En passant, ton écran a une entrée vidéo et ton portable une sortie vidéo, pas le contraire...
- Sinon, il semble exister des convertisseurs comme, par exemple, celui-ci mais c'est encombrant et cher (du moins, celui-ci?). Par sûr que cela vaille la peine. Si cela avait été un PC de table, un changement de carte graphique eut été une option. L'échange semble la meilleure solution (ou changer de portable? ;-) (Google(vga dvi) donne de la lecture.) -- Xofc [me contacter] 3 mars 2012 à 07:55 (CET)
- Je crois que je viens de comprendre : il s'agit d'un ordinateur portable et non d'un téléphone portable. Je me posais vraiment des questions. Oblomov2 (d) 3 mars 2012 à 09:55 (CET)
- Un téléphone portable se nomme un Natel chez les gens civilisés ;) Mais sinon, l'écran vient de chez Emmaüs, donc pas de retour, et il possède une entrée VGA aussi, j'ai juste pas le câble sous la main, c'était juste plutôt une question pour une question. Merci beaucoup Spoutnik16 (d) 3 mars 2012 à 16:30 (CET)
- Et nous, nous répondons pour répondre tant que la question ne manque pas d'éléments, mais si vous terminez en portant à notre connaissance que le moniteur externe possède une entrée VGA, votre question est destinée à un forum spécialisé dans les questions qui n'attendent pas de réponses. --Doalex (d) 4 mars 2012 à 10:57 (CET)
- Il existe des adaptateurs beaucoup plus pratiques et discrets qui se brochent soit directement sur le câble VGA (c'était livré avec les premiers écrans DVI, soit avec un petit bout de câble supplémentaire (http://www.networktechinc.com/dvi-vga.html). --Dereckson (d) 4 mars 2012 à 20:32 (CET)
- Mais ça n’est pas du DVI-D, Dereckson.
- Spoutnik16, euh, rassure-moi, tu te fous de nous là ?!! rv
- Hello à tous, je rejoins l'avis de Spoutnik en précisant qu'en matière l'électronique de conversion analogique<->numérique tout est presque possible. Seul compte l'intérêt, notamment économique de réaliser un tel circuit. Il existe des convertisseurs (actifs) sur le web. En fait, pour compliquer les choses, certains fabricants d'ordi exploitent même les connectiques DVI pour y faire passer également parfois des signaux analogiques (le cas pour d'anciens Mac, par exemple). Il convient donc de se cantonner aux accessoires "agréés" et validés techniquement par la marque. Sinon, la décision relève du coût de l'adaptateur. Exemples illsutrés en images : [9]. Il convient de bien choisir le coût livré... Bon courage ! Martino75 (d) 10 mars 2012 à 20:13 (CET)
- Il existe des adaptateurs beaucoup plus pratiques et discrets qui se brochent soit directement sur le câble VGA (c'était livré avec les premiers écrans DVI, soit avec un petit bout de câble supplémentaire (http://www.networktechinc.com/dvi-vga.html). --Dereckson (d) 4 mars 2012 à 20:32 (CET)
- Et nous, nous répondons pour répondre tant que la question ne manque pas d'éléments, mais si vous terminez en portant à notre connaissance que le moniteur externe possède une entrée VGA, votre question est destinée à un forum spécialisé dans les questions qui n'attendent pas de réponses. --Doalex (d) 4 mars 2012 à 10:57 (CET)
- Un téléphone portable se nomme un Natel chez les gens civilisés ;) Mais sinon, l'écran vient de chez Emmaüs, donc pas de retour, et il possède une entrée VGA aussi, j'ai juste pas le câble sous la main, c'était juste plutôt une question pour une question. Merci beaucoup Spoutnik16 (d) 3 mars 2012 à 16:30 (CET)
- Je crois que je viens de comprendre : il s'agit d'un ordinateur portable et non d'un téléphone portable. Je me posais vraiment des questions. Oblomov2 (d) 3 mars 2012 à 09:55 (CET)
- Sinon, il semble exister des convertisseurs comme, par exemple, celui-ci mais c'est encombrant et cher (du moins, celui-ci?). Par sûr que cela vaille la peine. Si cela avait été un PC de table, un changement de carte graphique eut été une option. L'échange semble la meilleure solution (ou changer de portable? ;-) (Google(vga dvi) donne de la lecture.) -- Xofc [me contacter] 3 mars 2012 à 07:55 (CET)
Du mercure dans l'air ?
modifierDans cet article du Monde La fonte de la banquise entraînerait une forte pollution au mercure, on y apprend :
« L'épaisse banquise permanente du pôle Nord laisse place progressivement à une glace moins épaisse et plus salée, qui dégage dans l'atmosphère du brome lorsque se produit une interaction avec les rayons solaires et le froid. Cela déclenche une réaction chimique appelée "explosion de brome" qui transforme le mercure gazeux présent dans l'atmosphère en un polluant toxique qui se dépose sur la neige, les terres et la glace et peut s'accumuler dans l'organisme des poissons... »
Comment se fait-il qu'il y ai du mercure dans l'air ? --Serged/♥ 2 mars 2012 à 19:03 (CET)
- Salut. Et bien, c'est comme le dit l'article du Monde, et aussi celui de Wikipédia. Le mercure, comme presque tout corps, connaît au moins trois états : solide, liquide, gazeux. À température ordinaire, le mercure est un rare métal qui ne soit pas à l'état solide mais à celui liquide, « conditions dans lesquelles il se vaporise toutefois assez aisément ». Et voilà -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 2 mars 2012 à 19:43 (CET)
- Pas mal de choses dans ce document. rv1729 2 mars 2012 à 19:46 (CET)
- Merci rv pour ce document ! J'ignorais qu'il y avait du mercure qui passait en phase gazeuse dans l'athmosphère. --Serged/♥ 3 mars 2012 à 08:20 (CET)
- +1 impressionnant ! Ça fait froid partout ! Je pensais qu'un des dangers du réchauffement climatique était la libération de gaz comme le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4) et du à la dégradation du permafrost de l'hémisphère Nord, donc + 1.--Doalex (d) 3 mars 2012 à 11:51 (CET)
- Pour info complémentaire, il ne faut pas s'imaginer que parce qu'un élément chimique est un métal lourd, il ne peut pas se trouver en suspension dans l'atmosphère, soit sous forme de vapeur comme le mercure, soit d'aérosols comme l'uranium ou le plomb par exemple. Cette recherche,
- ramène pas mal de résultats dont certains de sites officiels sérieux. Je me rappelais de ça parce qu'on en avait pas mal parlé lors de l'intervention internationale au Kosovo où l'emploi de bombes à l'uranium appauvri avait généré ce problème. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 3 mars 2012 à 13:47 (CET)
- Ça aurait été étonnant que tu saches pas tout. rv1729 3 mars 2012 à 15:02 (CET)
- J'essaie de trouver un sens oraculaire à cette remarque mais j'ai du mal. Tu peux m'éclairer ? -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 3 mars 2012 à 21:52 (CET)
- Ça aurait été étonnant que tu saches pas tout. rv1729 3 mars 2012 à 15:02 (CET)
- +1 impressionnant ! Ça fait froid partout ! Je pensais qu'un des dangers du réchauffement climatique était la libération de gaz comme le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4) et du à la dégradation du permafrost de l'hémisphère Nord, donc + 1.--Doalex (d) 3 mars 2012 à 11:51 (CET)
- Merci rv pour ce document ! J'ignorais qu'il y avait du mercure qui passait en phase gazeuse dans l'athmosphère. --Serged/♥ 3 mars 2012 à 08:20 (CET)
- J'apprends aussi qu'il y a de l'eau dans le gaz, toutes les pressions, compressions et dépressions vont sur vos pdd, svp.--Doalex (d) 4 mars 2012 à 10:09 (CET)
- « La combustion du charbon pour la production d’électricité et le chauffage constitue de loin la première source d’émissions de mercure. Le charbon contient du mercure qui est libéré lorsqu’il brûle. » (Source : OMS)
- Une raison de plus d'éviter le recours à cette source d'énergie (ce qui passe par le développement d'autres... ) Grasyop ✉ 4 mars 2012 à 11:30 (CET)
sources supprimées/vérifiées
modifierBonjour à tous!
En fait, j'aurais deux questions à vous posez qui me triturent la tête,
ainsi, vous me rendriez très heureuse si vos réponses sont honnêtes!
Alors voilà :
- "Est il possible que wikipedia suprime le nom d'un artiste, après que celui-ci ou sa maison de disque, agent, ect... le lui ai demandé?"
Et
- "Comment vérifiez-vous la source des véritables noms d'artiste éditées?"
Mon problème et que le véritable nom de mon idole a été publié puis effacé.
Du coup je me sens frustrée car je ne sais plus quoi penser. :'(
Ca vous paraît sûrement con mais si important pour moi!
Merci de votre réponse que j'attends avec joie!
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 113.21.108.42 (discuter) le 3 mars 2012 à 02:46 (CET)
- Salut. Pour la deuxième question il n'y a pas de réponse précise, sinon que comme pour le reste cette information doit avoir été publiée dans une source vérifiable et fiable, si possible de plusieurs sources. Pour la première, la réponse est non, sauf si la demande est motivée par des raisons sérieuses (mise en danger de la personne concernée par exemple) ou à la suite d'une décision de justice. Enfin, si le véritable nom réel de ta vedette préférée a figuré un jour dans son article, sauf s'il y a eu une purge de celui-ci, normalement tu peux retrouver la mention en passant par l'historique et en consultant les versions antérieures de l'article. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 3 mars 2012 à 05:47 (CET)
- Bonjour ou bonsoir, décalage horaire avec la Nouvelle-Calédonie oblige, votre question effectivement n'est pas de nature encyclopédique et aurait une place éventuelle sur Le Bistro mais avant de savoir s'il s'agit d'un problème entre des contributeurs de l'article ou d'une autre forme de suppression il nous faut connaitre, au moins, le nom de l'artiste ou simplement le titre de l'article dans lequel figurait le nom de l'artiste, je tiens à préciser que le mot "purge" utilisé plus haut n'a pour nous qu'un seul sens technique et motivé, voir aussi Wikipédia:Purge d'historique.
Aide pour nous répondre: Si la réponse appelle une explication de votre part, vous pouvez intervenir en cliquant sur le bouton [modifier] situé à droite du titre de votre question.
--Doalex (d) 3 mars 2012 à 11:18 (CET)
- Bonjour ou bonsoir, décalage horaire avec la Nouvelle-Calédonie oblige, votre question effectivement n'est pas de nature encyclopédique et aurait une place éventuelle sur Le Bistro mais avant de savoir s'il s'agit d'un problème entre des contributeurs de l'article ou d'une autre forme de suppression il nous faut connaitre, au moins, le nom de l'artiste ou simplement le titre de l'article dans lequel figurait le nom de l'artiste, je tiens à préciser que le mot "purge" utilisé plus haut n'a pour nous qu'un seul sens technique et motivé, voir aussi Wikipédia:Purge d'historique.
Pas d'article en anglais sur la délation ?
modifierBonjour chers gens savants. Sur le bistro j'ai fait la remarque suivante [10]. Suite à ces recherches infructueuses, je lance 3 questions :
Q1) Qui pourrait trouver sur wp:en une page traitant de la délation ? J'ai essayé avec denunciatory, informing, tattling, inform, etc...
Q2) S'il est si difficile de trouver une telle page sur la délation sur wp:en, cela voudrait-il dire que nous avons des conceptions tellement différentes de la délation ?
Q3) Je crois qu'elle est souvent encouragée au Royaume-Uni, qu'en est-il aux USA ?
Je vous remercie pour votre attention.--Joël DESHAIES (d) 4 mars 2012 à 17:26 (CET)
- En français pour commencer, il me semble qu'il faut faire une différence entre dénonciation et délation, la seconde impliquant un bénéfice personnel pour celui qui la pratique. Grasyop ✉ 4 mars 2012 à 18:16 (CET)
- Pour un bénéfice personnel mais aussi n'importe quel autre motif du moment qu'il est méprisable. Apollon (d) 8 mars 2012 à 08:44 (CET)
- Dans ce cas, la différence entre les deux devient subjective... Grasyop ✉ 9 mars 2012 à 12:50 (CET)
- Exactement, la différence est subjective. Apollon (d) 11 mars 2012 à 14:57 (CET)
- Dans ce cas, la différence entre les deux devient subjective... Grasyop ✉ 9 mars 2012 à 12:50 (CET)
- Pour un bénéfice personnel mais aussi n'importe quel autre motif du moment qu'il est méprisable. Apollon (d) 8 mars 2012 à 08:44 (CET)
- Vous faites référence peut-être à Surveillance de voisinage, qui a un interlien anglais fourni. C'est de la dénonciation encouragée mais pas véritablement de la délation. Apollon (d) 8 mars 2012 à 08:44 (CET)
- A ce propos, vous connaissez certainement le portail http://delation-gouv.fr/
- Mouais, de la fausse audace et de l'humour plat. Apollon (d) 12 mars 2012 à 13:15 (CET)
- A ce propos, vous connaissez certainement le portail http://delation-gouv.fr/
Débarquement en Norvège
modifierJe cherche le nom de l'ile norvégienne où les britannique ont tenté de débarqué durant la seconde guerre mondiale (je l'ai enteendu cet après midi sur la guerre en couleur sur Arte et pas moyen de la retrouver). Le nom commence par un V, il y a 2 a qui se suivent et cela fini par un o), où alors le nom de l'opération. Je pense que cela s'est déroulé bien après Narvik et avant le débarquement à Dieppe, c'était, je pense, un coup d'essai qui a permit de fixer de la défense en Norvège. Skiff (d) 4 mars 2012 à 18:49 (CET)
- Bonjour. La réponse est probablement quelque part dans cette liste. Père Igor (d) 4 mars 2012 à 19:12 (CET)
- Et puis c'était sur France 5 voir docus France 5.--Doalex (d) 4 mars 2012 à 22:00 (CET)
- Eureka! C'était Vaagso.
- Et puis c'était sur France 5 voir docus France 5.--Doalex (d) 4 mars 2012 à 22:00 (CET)
"December 1941 - Norway, Combined Operations Raid - Separate commando raids took place in northern Norway on the Lofoten Islands and further south on Vaagso Island. The aim was to destroy installations and sink and capture shipping. The first force was led by cruiser “Arethusa” with limited results. The second with cruiser “Kenya” was more successful. On the 27th, cruiser “Arethusa” was damaged in German bombing attacks". Source: [11]. Skiff (d) 5 mars 2012 à 03:49 (CET) et l'article est là: Opération Archery sauf que le nom de l'île à une orthographe différente. Skiff (d) 5 mars 2012 à 03:49 (CET)
- Bonjour et...de rien.--Doalex (d) 5 mars 2012 à 08:42 (CET)
- Vågsøy ? 195.5.239.194 (d) 6 mars 2012 à 15:59 (CET)
- Tout à fait et ce n'est pas une île.Merci --Doalex (d) 6 mars 2012 à 17:54 (CET)
- Vågsøy ? 195.5.239.194 (d) 6 mars 2012 à 15:59 (CET)